EXCLUSIF. Cameroun-France: l’écrivain Bertrand Teyou écoeure la police et la justice françaises

Posted on Mai 21, 2014 @ 15:07

8


TataComme le dit toujours l’humoriste Dieudonné, « Au dessus, c’est le soleil ! ». Personne ne peut expliquer comment l’écrivain d’origine camerounaise en exil, Bertrand Teyou, s’en est tiré. Ni pirouette ni manipulation, aucun subterfuge ni passement de jambes ronaldonesques. Il l’avait annoncé et l’a fait. Même pas peur ! Mais, attention au retour de bâton car, il ne faut pas se focaliser sur cet exploit. Oui, exploit. La scène ubuesque s’est passée, hier, en plein 19e arrondissement de Paris au siège de Presstalis, NMPP, les nouvelles messageries de la presse parisienne, distributeur de presse française et internationale, partenaire des éditeurs…L’écrivain s’y était rendu pour réclamer ses droits. Ambiance.

Or, par décision du 18 avril 2014, enregistrée au N° de Parquet 14108000350, la 23e chambre du Tribunal correctionnel de Paris avait condamné l’écrivain à 04 mois de prison avec sursis assorti d’une interdiction de se rendre au siège social de ladite société pour une durée de 2 années. N’écoutant que son coeur, Bertrand Teyou s’est donc rendu à Presstalis sis au 30, rue Raoul Wallenberg, 75931 Paris cedex 19. Les responsables de Presstalis ont donc fait appel à la police qui s’est rendue très rapidement sur place pour interpeller le contrevenant. Mais, une surprise les attendait.

>>>Rejoignez-nous sur Facebook

>>>Suivez-nous sur Twitter

Les policiers du 19e arrondissement devaient donc l’arrêter pour faire exécuter une décision de justice. Amené au poste, mystère et boule de gomme. Les policiers ont été priés de le relâcher illico-pesto, pire, en lui faisant des excuses. Choqués, abasourdis et les cerveaux tourneboulés, ces derniers ont compris à leurs dépens, que, le dossier était piloté de très haut. Entre jurons et dégoûts, un d’eux s’est laissé aller en lançant :  » je quitte la police ».

Il n’était pas le seul à avoir « les boules ». Un autre, visiblement plus choqué, qui avait eu la juge au téléphone s’est fendu d’un: « même la juge est sonnée ». Le plus vieux de la troupe, probablement un brigadier-chef a pesté en ces termes :  » je n’ai jamais vu ça de ma carrière, ça se trouve ils vont aussi relâcher Kiervel! ».

Souvenez-vous, nous avons reçu l’écrivain dernièrement sur Diaf-Tv:

Posted in: Actualité