Tunis a dévoilé des images prises notamment par les caméras de vidéosurveillance du musée Bardo, théâtre de la fusillade qui a fait 21 morts, mercredi.
Les autorités tunisiennes ont diffusé samedi soir une vidéo, tirée en partie de caméras de surveillance, montrant les deux assaillants déambulant dans le musée du Bardo, Kalachnikov à la main, au moment de l’attentat ayant coûté la vie à 21 personnes à Tunis mercredi. D’une durée d’une minute environ, cette vidéo, publiée par le ministère de l’Intérieur sur sa page officielle Facebook, débute dans l’une des salles du musée. L’enregistrement mentionne la date de mercredi, à 12H09 et une poignée de secondes.
On y voit les deux hommes marcher tranquillement, arme à la main, capuche rouge sur la tête pour l’un et casquette à l’envers pour l’autre. Des photos montrent ensuite leur cadavre. L’abdomen d’un premier corps est cerclé de rouge pour montrer ce qui paraît être une ceinture d’explosifs. Le second baigne dans le sang. Il est, dans les deux cas, possible de distinguer les visages, plutôt juvéniles.
Le président reconnait des «défaillances»
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi admet qu’il y a eu des «défaillances» dans le dispositif de sécurité de son pays, qui ont facilité l’attentat meurtrier du Bardo, dans une interview publiée samedi sur le site internet de l’hebdomadaire français Paris Match. «Il y a eu des défaillances», reconnaît le chef de l’Etat tunisien, selon lequel «en amont, la police et le renseignement n’ont pas été assez systématiques pour assurer la sécurité du musée» de Tunis. M. Caïd Essebsi souligne cependant que les services de sécurité «ont réagi de manière très efficace pour terminer rapidement l’attaque au Bardo, évitant certainement des dizaines de morts supplémentaires si les terroristes avaient pu déclencher leurs ceintures d’explosifs.» Il affirme par ailleurs que «jamais la Tunisie ne sera gouvernée par la charia» et qu’elle «demeure un havre de démocratie».
bebert
Mar 22, 2015 @ 15:56
Eurovision 2015 la chanson de la Hongrie provoque la colère d’Israël
La chanson intitulée Guerres pour rien faisait mention du nombre d’enfants palestiniens tués à Gaza l’été dernier. Choquées, les autorités israéliennes ont demandé le retrait de ce passage polémique de la chanson.
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Amazigh__
Mar 22, 2015 @ 13:59
Un point commun entre ces islamistes qui menacent souvent l’occident et qui finissent toujours par commettre leurs massacres dans les pays musulmans (bizarre dites-vous?) : leur laideur. Tous ont des tronches de macaque qui rend compliquer les rapports humains notamment avec la gente féminine. Il y a bien des beaux-gosses, mais ils passent plus de temps sous la couette de l’émir que sur le champs de bataille.
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Dcembre
Mar 22, 2015 @ 13:59
Des Kalachnikov ?!?!? Ce serait donc la Russie..?
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Coccinellebzh
Mar 22, 2015 @ 15:07
Des kalash vous pouvez vous en fournir n’importe où dans le monde, les pays satellites de la russie en ex URSS sont encore actuellement dans le top 10 des ventes grises d’armes, c’est ainsi d’ailleurs que l’Ukraine est toujours pour l’année 2014 au 10° rang d’exportateur d’armes sans pour autant avoir de gros contrats officiels et légaux.
Les usines « sous licence » Kalash sont situées dans plusieurs pays, il y a même une usine en argentine. L’usine kalash, dans l’oural est d’ailleurs en déclin et sa production baisse depuis plusieurs années. Kalah et Russie ne se conjuguent pas ensemble la plupart du temps, c’est un peu plus compliqué que ça.
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Dcembre
Mar 22, 2015 @ 18:01
Merci pour l’info additionnelle mais, c’était une boutade car ces temps-ci, Blame Russia est le slogan…
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Coccinellebzh
Mar 23, 2015 @ 5:14
Yes Dcembre 😉 je l’avais bien compris, mais comme nous le savons tous, ce site est « listé » et donc régulièrement épluché 🙂 et c’était une bonne occasion de leur servir la soupe aigre à ces ânes 🙂
Pardon aux ânes, j’aurais pu dire les dindes et les chapons … 😀
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Sylvain
Mar 22, 2015 @ 10:21
La Tunisie , tout comme la France, est un pays qui fournit des terroristes . 3000 ont rejoint EI.
Alors, qu’ils aient un retour du boomerang, ça leur fait les pieds. Regrettable pour les civils qui paient pour les conneries gouvernementales , cela aurait plus marrant si cela avait touché le gouvernement.
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africalibre
Mar 22, 2015 @ 9:58
Et si la chute de la Tunisie était un objectif pour détruire la Libye ?
Ce document vidéo de Canal Plus (Spécial Investigation) est d’une importance capitale pour ceux qui n’ont pas encore compris les « révolutions » arabes. On se demande alors si la Tunisie n’était pas la victime collatérale d’un plan néocolonialiste beaucoup plus large.
Fin 2008, un accord entre la North Global Oil And Gas Compagny – dont le patron est Ziad Takieddine , agissant au nom de la Libye- et le géant Total, portant sur l’exploitation du gisement pétrolier libyen NC7. Ce devait être sans doute l’une des promesses de Kadhafi à Sarkozy, à la suite de la visite du guide libyen en France en décembre 2007. Le contrat a été signé entre Total et la North Global Oil And Gas Compagny, qui cède au groupe français 100% de ses droits d’exploitation pour un montant de 140 millions de dollars.
Cheikh Hamad a convaincu Sarkozy de faire la guerre contre la Libye
Mais dès 2009, le Qatar s’ingère dans cet accord bilatéral entre la France et la Libye. Autrement dit, ce que cet émirat s’est vu refuser par Kadhafi, il va essayer de l’obtenir par « l’ami » Sarkozy, via le groupe Total. Avec ses pratiques mafieuses et faisant intervenir ses réseaux d’influence et de corruption, le Qatar va réussir à racheter à Total une partie des droits d’exploitation du gisement libyen NC7. Furieux en l’apprenant, Kadhafi menace de rompre tout accord avec Total. C’est à partir de ce moment-là que Sarkozy, sous l’influence pernicieuse de son bien généreux ami cheikh Hamad, va penser à la déstabilisation du colonel Kadhafi, comme au bon vieux temps des « révolutions » et des coups d’Etat en Afrique. La France sarkozienne venait justement de réussir son intervention « humanitaire » en Côte d’Ivoire, pour déloger Laurent Gbagbo et imposer Ouattara. Selon Ziad Takieddine, « C’est l’émir du Qatar qui a poussé Sarkozy à faire la guerre contre la Libye »
Tunisie-Secret .
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africalibre
Mar 22, 2015 @ 9:53
Des plus values tombées du ciel, des biens immobiliers de l’Etat bradés, des sociétés luxembourgeoises mystérieuses. Le Qatar va conclure quelques bonnes affaires immobilières à Paris durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy, alors que Jean François Copé était le ministre du budget. Qu’il s’agisse de la vente du centre de conférences de l’avenue Kléber appartenant au Quai d’Orsay ou de la cession d’un bel hotel particulier appartenant au ministère de la Culture.
[…].
LES PETITES AFFAIRES IMMOBILIÈRES DU QATAR SOUS COPÉ ET SARKOZY
mondafrique
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africalibre
Mar 22, 2015 @ 9:32
[…]
Le 7 mars 2011, une réunion est organisée à l’Élysée sur « les flux migratoires en Méditerranée ». Alain Juppé est présent. Claude Guéant, alors ministre de l’Intérieur, entame son exposé lorsque Nicolas Sarkozy l’interrompt : « Claude, je crois que le ministre des Affaires étrangères va prendre la parole : nous allons intervenir en Libye. » Interloqué, le fidèle collaborateur de Nicolas Sarkozy, très grand ami de la Libye, comprend qu’une page est tournée. Pas plus que Claude Guéant, Bernard Squarcini, alors patron de la DCRI (résultat de la fusion des anciens RG avec la DST), n’est favorable à l’intervention.
« Nous craignions, explique Squarcini, un conflit long et difficile aux effets dévastateurs pour la région, ce qui va être effectivement le cas lorsqu’on voit aujourd’hui ce qui se passe au Nord-Mali1. » Juppé fait le fier mais il confie à des proches qu’il ne comprend pas la raison de cette guerre subite… Pourquoi un tel retournement ? Est-ce la force de persuasion de l’émir, conseiller de Sarkozy ? Est-ce une volonté de se venger de Kadhafi qui n’a pas honoré les contrats promis ?
Enfin, tentons l’hypothèse people : Est-ce parce que le colonel a tenté de séduire Cécilia, quand elle s’est rendue en Libye pour la libération des infirmières bulgares ? Un dernier scénario qui n’a jamais été démontré expliquerait plus trivialement l’intervention de la France aux côtés des Qataris. Première étape, on élimine Kadhafi, un tyran dont la disparition ne fera pleurer personne, et un témoin de trop nombreuses frasques financières. Seconde étape, on tente de mettre la main sur son trésor.
Bien sûr, pour le restituer à la Libye renaissante. Intermédiaire flamboyant des grands contrats de sous- marins et de frégates pendant les années 1990, intime de Jean-François Copé et de Brice Hortefeux, le Libanais Ziad Takieddine accuse Nicolas Sarkozy et Claude Guéant d’avoir, en 2007, empoché plus de 50 millions d’euros venant du trésor de Mouammar Kadhafi. Lors de cette déclaration, faite le 19 décembre 2012, Takieddine est dans un cabinet d’instruction où il se confie au juge Renaud Van Ruymbeke.
Six mois plus tôt, en mai 2012, pendant la dernière campagne présidentielle, le site Médiapart a déjà publié un document faisant état de quelques largesses faites à Nicolas Sarkozy. Le chiffre donné est identique : 50 millions. Aucun élément n’est venu confirmer l’ensemble de ces accusations, qui mettent aussi en cause Claude Guéant. D’autant que Takieddine a une notion élastique des frontières qui séparent la vérité du mensonge. Lâché par tous, même ceux qu’il a fidèlement servis, le porteur de mallettes a toutes les raisons de se venger de ses anciens amis, Nicolas Sarkozy et Claude Guéant.
[…]
Comment Sarkozy et le Qatar se sont retournés contre Ben Ali et Kadhafi
Nicolas Beau / news.tunistribune
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africalibre
Mar 22, 2015 @ 9:24
Mezri Haddad traite Sarkozy de « complice utile de l’émirat bédouin du Qatar »
– Le dernier bilan officiel de l’opération terroriste du Bardo fait état de 23 décès, dont 20 touristes parmi lesquels il y a 3 Français. L’on compte également 47 blessés, dont 5 dans un état grave. C’est une tragédie pour les familles des victimes, et un coup dur pour l’économie tunisienne, qui était déjà agonisante depuis la « révolution bouazizienne » de janvier 2011.
A l’exception du 11 avril 2002 et des attentats d’août 1987 contre des hôtels à Sousse et à Monastir, perpétrés par les islamistes « modérés » d’Ennahdha et plus exactement par Hammadi Jebali, qui deviendra après la » révolution du jasmin » le chef du gouvernement de la troïka, jamais la Tunisie n’avait connue une attaque aussi spectaculaire et sanglante. L’attentat contre la synagogue de Djerba en avril 2002, commis par des jeunes de la « diversité » française et revendiqué par Al-Qaïda, avait fait 19 morts, tous des touristes Allemands. Craignant pour son secteur touristique, le gouvernement tunisien avait commis à l’époque une grave erreur de communication : maquiller cet attentat en « accident » dû à l’explosion d’une bouteille de gaz. Paradoxalement, les islamistes tunisiens et leurs idiots utiles en France disaient que Ben Ali simulait l’épouvantail du terrorisme islamiste pour maintenir sa chape de plomb sur la Tunisie. S’il est vrai que Ben Ali savait jouer de la menace islamiste et terroriste, il n’en demeure pas moins vrai que celle-ci était bien réelle et absolument périlleuse.
Considéré à cette époque comme étant « proche du régime », j’avais été le seul à rompre l’omerta en dénonçant « cet attentat terroriste, assurément antisémite, qui plus est frappé de l’estampille de l’islamisme radical » (Les leçons d’un attentat, dans Le Figaro du 20-21 avril 2002). Plus importante que cette dénonciation qui m’avait alors coûtée les foudres de Ben Ali, j’avais pointé du doigt la responsabilité de l’Europe dans la prolifération de ce que j’ai toujours appelé l’islamo-fascisme :
« Ce n’est plus les pays du Sud qui exportent vers les pays du Nord leurs déchets radioactifs intégristes, mais l’inverse. C’est ce que les plus hautes autorités tunisiennes, algériennes et égyptiennes disent depuis bien longtemps à leurs partenaires occidentaux qui, par leur laxisme ou leur cynisme, ont contribué à la métastase de la gangrène islamiste…Toutes secousses au Proche-Orient ou au Maghreb aura désormais de graves conséquences architectoniques en Europe… »
Je fais ce rappel pour dire aux gladiateurs européens de l’anti-terrorisme, qui ont abrité les islamistes chez eux, avant d’applaudir unanimement le « printemps arabe », que leurs condamnations aujourd’hui et leurs messages d’amitié à la Tunisie sont certes louables, mais ils n’effaceront pas leur responsabilité dans la prolifération du terrorisme et du djihadisme islamiste partout dans le monde.
Si les déclarations du président François Hollande et de son premier-ministre Manuel Valls touchent les Tunisiens par leur authenticité et crédibilité, on ne peut pas en dire autant de l’homélie pharisienne de Monsieur Sarkozy :
« Au nom de l’UMP, j’adresse à leurs familles et à leurs proches toutes mes condoléances et ma solidarité face au drame qui les touche (…) La France toute entière est aux côtés de la Tunisie, de ses autorités et de son peuple dans cette épreuve (…) Plus que jamais la France et ses alliés doivent combattre sans faiblesse la barbarie terroriste où qu’elle se trouve parce qu’elle est une menace pour nos pays, et parce qu’elle est l’ennemie de la civilisation ».
On ne peut pas être et avoir été ? Peut-on prétendre combattre sans faiblesse la barbarie terroriste, lorsqu’on a été son allié déterminant dans la campagne de type néocoloniale, qui a été conduite contre la Libye et dont on mesure les conséquences chaotiques aujourd’hui ? Nicolas Sarkozy savait parfaitement que son fantoche « Conseil national de transition libyen » était majoritairement islamiste et qu’il comptait même dans ses rangs un ancien membre d’Al-Qaïda, Abdelhakim Belhadj. Nicolas Sarkozy savait intimement que les quantités d’armes impressionnantes livrées par la France, payées par le Qatar et introduites en Libye par les frontières sud de la Tunisie, allaient forcément tomber entre les mains des islamo-fascistes que le philosophe-guerrier, Bernard-Henri Lévy, présentait alors comme de vaillants révolutionnaires et combattants de la cause démocratique et droit-de-l’hommienne.
Nicolas Sarkozy savait, mais il y est allé quand même, suivant en cela l’exemple de George W. Bush dans sa croisade contre l’Irak en 2003. C’est ce précédent qui a autorisé certains occidentaux à aller casser de l’Arabe ou de l’Africain, en toute impunité, sous le prétexte fallacieux des droits de l’homme et du messianisme démocratique.
Lorsqu’on a été le complice utile de l’émirat bédouin du Qatar, qui soutient l’Internationale islamiste et qui finance toutes ses ramifications terroristes dans le monde arabe, en Afrique et même en Europe, il faut avoir la décence de se taire, faute de s’excuser auprès des peuples libyen et tunisien qui subissent aujourd’hui les conséquences dramatiques de la destruction programmatique de la Libye. Près de 4 millions de Libyens vivent aujourd’hui en exil, dont la moitié est en Tunisie. Les autres, restés dans cette Libye implosée et livrée à une guerre fratricide entre les différentes factions islamistes, vivent dans l’insécurité et bientôt la famine. Le sinistre « Etat islamique » (Ei), qui a revendiqué l’attaque terroriste du Bardo, contrôle depuis déjà quatre mois une bonne partie des territoires libyens, en attendant la grande offensive, y compris sur le sud tunisien. Selon Rafik Chelly, le secrétaire d’Etat tunisien chargé des affaires sécuritaires, « les deux auteurs de l’attentat du musée du Bardo à Tunis se sont formés au maniement des armes en Libye », dans des camps d’entraînement de djihadistes à Sabratha, Benghazi et Derna, initialement supervisés par le Qatar et la Turquie, pour les envoyer mener le « djihad démocratique » en Syrie, où le premier contingent arabe de terroristes est de nationalité tunisienne et le premier contingent européen de terroristes est de nationalité française. Jusqu’au traumatisme de janvier dernier en France, certains apprentis sorciers semblaient avoir oublié que l’islamo-terrorisme, boosté par le « printemps arabe », ne connait ni religion, ni nation, ni pays, ni frontières, ni culture.
Bien plus profondément encore que le chaos libyen, c’est le « printemps arabe » qui a ouvert la boîte de Pandore d’où sont sortis les barbares de l’EI, du Front Al-Nosra, d’Ansar Al-charia, de Boko Haram, d’AQMI, du Mujao, d’Ansar Eddine… appellations multiples qui se ressourcent toutes dans l’islamisme originel et matriciel des Frères musulmans. L’ennemi n’est donc pas seulement ces ramifications métastatiques du terrorisme international, mais l’idéologie islamiste, qui est théocratique, totalitaire et universaliste. Autrement dit, cet islamisme politique qui ne cherche pas seulement à s’implanter dans les pays arabes, mais partout dans le monde, à commencer par l’Europe, « la citadelle des croisés », comme l’appellent les islamistes, et qui est à conquérir parce qu’elle est politiquement fragile et spirituellement désarmée, toujours selon la littérature islamiste.
C’est cette réalité que le monde occidental n’arrive pas à assimiler parce qu’elle échappe à sa rationalité cartésienne. C’est ce manque de clairvoyance politique et de sens géopolitique qui a fourvoyé certaines élites françaises, de gauche comme de droite, dans la célébration de « l’islamisme modéré ». Dès lors où l’on a accepté, cautionné et défendu la thèse de l’islamisme modéré charrié par le « printemps arabe », on avait implicitement admis sa reconnaissance et son existence en Europe.
L’omnipotence des dictatures arabes devait sans aucun doute prendre fin, mais pas au prix des valeurs universelles et de la modernité auxquelles aspiraient les populations arabes, et encore moins pour céder le pouvoir aux islamistes, fut-ce par des élections « démocratiques » et « transparentes ». Malgré le terrorisme qui les frappe, les Tunisiens, les Egyptiens, les Libyens, les Syriens, les Irakiens, aspirent toujours à ses valeurs universelles. La question est désormais de savoir si l’Occident y croit toujours, aussi bien pour lui que pour « ces Arabes » du Maghreb et d’Orient!
L’islamo-terrorisme, cet enfant adultérin du « printemps arabe »
Mezri Haddad / .huffingtonpost.fr
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dife
Mar 22, 2015 @ 8:38
condoléance a la famille des victimes le terrorismes est de partout même devant nos portes il promènent avec nous on ne set pas qui est terroristes vu que ce net pas marquer sur le visage de personne meffions nous des réseaux dormant a qui profite se carnage aux ricains il veut mettre une base en Tunisie attention le gouvernement de ne pas tomber dans le piège qui a declancher tout ce bordel Sarkozy le petit nabot cameron le tordu Obama le grand con bhl le face de rat attention tout ce mikmak pour aller attaquer l’Algérie et pour piller ces ressources ces bandes d’assassins leur tour viendras toute on un début toute on une fin comme dit ma grand-mere
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Estelle
Mar 22, 2015 @ 8:05
Prem’s !
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