De vrais psychopathes ces gens ! Environ 15.000 Égyptiens ont fui le conflit en Libye pour retourner dans leur pays. Il n’y a pas de gouvernement. Et là, toute honte bue, le violeur s’exprime. Comme quoi, le criminel revient toujours sur le lieu du crime. L’Otan est « particulièrement préoccupée par la terrible situation » en Libye, et prête à « soutenir pour sa sécurité » ce pays plongé dans le chaos, a indiqué, pince-sans-rire jeudi le secrétaire général de l’Alliance atlantique, Jens Stoltenberg.
« Nous sommes particulièrement préoccupés par la terrible situation en Libye », a déclaré M. Stoltenberg au cours d’une conférence de presse à Rome à l’issue d’un entretien avec le chef du gouvernement italien Matteo Renzi.
« L’Otan est prête à soutenir la Libye pour sa sécurité comme l’a demandé le gouvernement libyen » soutenu par la communauté internationale, a ajouté le secrétaire général de l’Otan, « ce qui accroîtra l’importance de l’Italie » dans le dispositif de l’Alliance.
M. Stoltenberg a indiqué que « des drones de surveillance seront basés (sur la base de l’Otan) à Sigonella (Sicile) à partir de l’an prochain ».
Livrée aux milices et plongée dans le chaos, la Libye est dirigée par deux Parlements et deux gouvernements rivaux. L’un est proche de la coalition de milices Fajr Libya qui contrôle la capitale Tripoli et l’autre est reconnu par la communauté internationale et siège à Tobrouk (est).
M. Renzi, dont le pays accueille des dizaines de milliers de réfugiés partis du territoire libyen, a réitéré son soutien au gouvernement de Tobrouk, souhaitant que les efforts de médiation de l’ONU permettent d’arriver à une « paix durable ».
« Nous pensons qu’il faut partir du gouvernement de Tobrouk et nous espérons que les efforts de l’ONU permettront d’arriver à une paix durable en partant d’un gouvernement élu de manière démocratique », a déclaré M. Renzi.
Le parlement libyen reconnu par la communauté internationale a décidé lundi de suspendre sa participation au dialogue parrainé par l’ONU, en précisant qu’il en expliquerait ultérieurement les raisons.
clem
Fév 27, 2015 @ 14:27
La Libye n’existe déjà plus elle est redevenue la cyrénaïque et la tripolitaine…
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derty
Fév 27, 2015 @ 9:39
à partir de l’an prochain, ils feront quoi la bas? à cette date
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mecano
Fév 27, 2015 @ 12:45
je crois qu’ils ont prevu le grand israel !!! ou le grand paris ??je ne sais plus trop !!!
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Bernard Cuny
Fév 27, 2015 @ 9:34
Partout où est envoyée « en opérations » par ses dirigeants au nom de la « Démocratie » et des « Droits de l’Homme », l’Organisation Militaire Terroriste des pays du Traité de l’Atlantique Nord, la Souveraineté des Peuples et leurs libertés disparaissent…Combien reste-t-il de « vrais libyens », comme les appelaient Mouammar, en Libye ?…N’ont-ils pas été bannis de leur pays par millions, en Égypte et en Tunisie notamment, et interdits de Retour, pour « crime » de Kadhafisme ?…
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LUDOVIK
Fév 27, 2015 @ 9:29
halte là coup d’état /En Argentine, rejet de la plainte contre Kirchner pour entrave à la justiceLe spectre de poursuites judiciaires contre la présidente argentine Cristina Kirchner s’éloigne : la justice a estimé jeudi sans fondement l’accusation du défunt procureur Alberto Nisman, selon qui le pouvoir a couvert des dirigeants iraniens soupçonnés d’avoir commandité un attentat contre la communauté juive à Buenos Aires en 1994.Dans un document de 63 pages, le juge Daniel Rafecas a battu jeudi en brèche les accusations lancées contre Cristina Kirchner le 14 janvier par le procureur Alberto Nisman. Ce magistrat accusait la présidente Cristina Kirchner et sont ministre des Affaires étrangères Hector Timerman de protéger les Iraniens accusés. Cette mise en cause de la présidente avait fait sensation, tout comme la mort mystérieuse du procureur Nisman, quatre jours plus tard.Dans son propre document de 63 pages, le juge Daniel Rafecas, magistrat respecté en Argentine, explique qu’il n’engage pas de poursuites contre Cristina Kirchner, au pouvoir depuis 2007, et Hector Timerman « faute de commission d’un délit ».Un attentat qui avait fait 85 morts et 300 blessés en 1994 Divers juristes avaient déjà estimé que les faits énoncés ne pouvaient pas déclencher des poursuites judiciaires, quand le dossier d’accusation du procureur Nisman avait été rendu public après sa mort. En 2007, M. Nisman avait accusé Téhéran d’avoir ordonné l’attentat et soutenait que le mouvement chiite libanais Hezbollah s’était chargé de la logistique et de l’exécution de pération.Pour Alberto Nisman, le mémorandum scellé en 2013 entre Buenos Aires et Téhéran, prévoyant l’audition en Iran des suspects iraniens dont l’Argentine demandait en vain l’extradition depuis 2007, était en fait une manoeuvre visant à assurer l’impunité des Iraniens.
Le 18 juillet 1994 à Buenos Aires, une puissante explosion a dévasté un bâtiment abritant les institutions juives d’Argentine, dont la mutuelle juive de l’AMIA, tuant 85 personnes et faisant plus de 300 blessés. »Pas de délit avéré »Le 13 février, Cristina Kirchner, et son ministre des Affaires étrangères, Hector Timerman, avaient été formellement mise en cause pour « les délits d’entrave à la justice et manquement au devoir d’un fonctionnaire » par le procureur Gerardo Pollicita, qui avait repris l’accusation de Nisman, et demandé leur inculpation.A la suite de l’analyse du dossier, M. Rafecas assure « qu’aucune des deux hypothèses de délit formulées par le procureur Pollicita ne tient, et qu’il n’y a pas de délit avéré ». La députée d’opposition Patricia Bullrich s’attend à ce que le procureur Pollicita « porte le dossier devant la Cour d’appel ».Le procureur Nisman, en charge du dossier AMIA depuis 2004, a été retrouvé mort le 18 janvier dernier. Les premiers éléments de l’enquête laissent penser à un suicide, thèse à laquelle ne croient pas les Argentins. Vingt ans après, l’attentat non revendiqué contre la mutuelle juive AMIA n’a toujours pas été élucidé.
source: radio-monaco.com
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Vanda
Fév 27, 2015 @ 9:06
Comment on stirilise les populations africaines
Après les scandales qui ont déjà secoué le Mexique, le Nicaragua et les Philippines, l’OMS et l’Unicef sont à nouveau mises en cause au Kenya pour avoir administré des produits stérilisants à l’insu des patients qu’elles prétendaient vacciner contre le tétanos.
La Conférence épiscopale catholique du Kenya, qui administre de nombreux hôpitaux, a participé à la campagne de vaccination contre le tétanos organisée par l’OMS et l’Unicef en mars et octobre 2014 pour les patients de 14 à 49 ans. Face aux rumeurs qui circulaient, la Conférence épiscopale a demandé au ministre kenyan de la Santé, James Wainaina Macharia, de vérifier la composition des vaccins. Devant son refus, la Commission épiscopale a mandaté le laboratoire AgriQ Quest Ltd pour procéder à des expertises. Les expert ont constaté la présence de 24 à 37,5 % d’hormones beta humaines chorioniques gonadotrophiques (βhCG), une quantité largement suffisante pour provoquer la stérilité des patientes. Le ministre de la Santé a réfuté ces résultats, affirmant qu’il était impossible d’introduire des βhCG dans ces vaccins.
La Commission parlementaire de la Santé a alors invité le ministère d’une part et la Conférence épiscopale d’autre part à lui présenter leurs travaux. Contrairement aux déclarations antérieures du gouvernement, il s’est avéré que celui-ci n’avait pas testé les vaccins avant leur inoculation. Aussi fournit-il alors 10 échantillons du vaccins qui s’avérèrent négatifs, tandis que la Conférence épiscopale en présenta 9, dont 3 s’avérèrent positifs. Le ministère de la Santé se retira du débat.
Mgr Paul Kariuki Njiru, évêque d’Embu et président de la Commission de la Santé de la Conférence épiscopale catholique du Kenya, a alors largement communiqué, accusant l’OMS, l’Unicef et le gouvernement kenyan d’avoir délibérément inoculé à leur insu du βhCG à des patientes afin de les stériliser à leur insu.
Le vaccin du tétanos s’administre en trois prises. Un tiers des doses étaient empoisonnées.
L’Organisation mondiale de la santé n’a pas souhaité communiquer.
Source: egalité et réconciliation
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Vanda
Fév 27, 2015 @ 9:00
Qui sème le vent récolte la tempête .
Si l’actualité massacrée par les médias menteurs que nous connaissons tous permet aux Sarkosi , BHL, et Cameron d’être en liberté , alors qu’ils devraient être internés depuis plus de 3 ans ……nous savons que l’ histoire rattrapera ces Dalton du crime organisé .
Quand on sait que ces assassins de peuples se pavanait en tête de la manifestation du 11 janvier , on peut se dire que ce jour là 7 millions de personnes se sont faites cocufiées .
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Sylvain
Fév 27, 2015 @ 8:51
HS mais intéressant
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allouche
Fév 27, 2015 @ 8:17
L’OTAN inquiet du brasier qu’il a allumé – ITALIE en force pour mieux assoir son néo-colonialisme – ONU , ah l’ ONU , cette chère organisation de paix entre les peuples . POUTINE : QUI A DONNER L’ORDRE DE TUER KADHAFI ?
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Estelle
Fév 27, 2015 @ 7:15
Prem’s !
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