Angela Cassell-Bush
«L’existence du Liberia est gravement menacée», avait déclaré Brownie Samukai, ministre libérien de la défense. Une déclaration alarmiste qui, visiblement, n’avait pas été prise au sérieux. C’était le 9 septembre dernier. La maladie «se propage comme un feu de forêt, dévorant tout sur son passage». Le pays «n’a pas assez d’infrastructures, de capacités logistiques, d’expertise professionnelle et de ressources financières pour faire face à l’épidémie de manière efficace», avait-il constaté aux Nations Unies. Et que fait la soi disant « communauté internationale » depuis ? Rien, que des déclarations.
Le Liberia est le pays le plus touché par l’épidémie, avec 2.458 morts pour 4.249 cas sur un total de 4.493 morts pour 8.997 cas, selon le dernier bilan de l’OMS arrêté au 12 octobre. Le Liberia dispose de six centres de traitement d’Ebola sur 28 prévus, soit une capacité de 620 lits sur 2.930 (21 %) nécessaires.
La ministre des Transports du Liberia, Angela Cassell-Bush, a annoncé jeudi s’être mise volontairement en quarantaine à la suite du décès de son chauffeur personnel, du virus Ebola. Au même moment, la plus haute responsable médicale du pays, Bernice Dahn, placée en quarantaine pour 21 jours (durée maximale d’incubation du virus) après le décès de son adjoint, mort d’Ebola le 25 septembre, a indiqué avoir repris le travail depuis lundi, se disant « en pleine forme ».
« Je me suis mise en quarantaine parce que mon chauffeur me conduisait encore quand il est tombé malade. Bien que je n’aie pas eu de contact direct avec lui, je le fais par précaution », a déclaré la ministre, dans un communiqué diffusé jeudi à Monrovia. « Je resterai à l’écart pendant 21 jours comme le recommandent les règlements médicaux sur ce virus », a précisé Mme Cassell-Bush, qui a pris ses fonctions en août.
Allain Jules
Allain Jules 
Civil
Oct 17, 2014 @ 18:29
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Civil
Oct 17, 2014 @ 18:46
http://genereusespersonnes.blogspot.fr/2011/01/guerres-britanniques-par-le-climat-le.html
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tchalawou
Oct 17, 2014 @ 9:52
Les affaires d’Ebola
Eh dire que les premiers cas de cette « vilaine » maladie qui terrifie le monde ont été signalé en Afrique de l’Ouest depuis la fin de l’année 2013 et au début de 2014. C’est-à-dire qu’il y a huit mois de cela nous avions l’occasion d’empêcher la propagation incontrôlée de l’épidémie.
En attaquant le mal à la racine, en concentrant les actions d’éradication et de traitement autours des zones atteintes et espérer ainsi limiter sa diffusion comme on le constate malheureusement.
Aujourd’hui tout indique que l’épidémie n’est plus sous contrôle. Pas aucuns jours ne passe sans qu’on ne signale un cas dans un nouveau pays.
C’est très étonnant quand même ! Lorsqu’on regarde un peu en arrière et qu’on se rend compte que durant un long temps, l’apparition de la fière hémorragique Ebola n’a pas suscité des inquiétudes aux des instances internationales et dans les grandes puissances occidentales celles qu’on considère souvent comme les mieux informées sur ces types de catastrophes. Et c’est comme si toute la planète toute entière avait pratiquement abandonné les premiers pays touchés à leur triste sort.
Mais qui sait, dans ce monde où l’argent est au centre de tout activité humaine, la logique capitalistique fait de l’intérêt le moteur et l’essence même des investissements, a sans doute été responsable de ce à quoi nous assistons à l’heure actuelle. Les lobbys financiers et les grands groupes pharmaceutiques ont sans doute actionné leurs leviers dans toutes les instances internationales lorsqu’il fallait donner de vraies mesures, présenter le tableau réel de la situation et des projections, pour que des actions appropriées et efficaces soient mises en place. Qui sait donc que pour des besoins de rentabilité, les données n’ont pas été au début biaisées, déformées ? Même au sein de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) l’institution internationale la plus outillée au monde en termes de moyens humains et technologiques, les choses n’ont pas fonctionné correctement. Malgré les épidémiologistes qu’elle regorge et les données dont elle dispose sur la dangerosité de ce virus personne au sein de cette instance n’a pu déceler à temps que la lenteur voire l’indifférence observée jusque-là face à la maladie (contagieuse) provoqueraient à la longue une dispersion générale des cas. Pourquoi les dirigeants de ces instances internationales et de ces institutions de recherches s’étonnent des prévisions et des projections pessimistes sur la maladie Ebola. A quoi s’attendaient-ils d’autre lorsqu’au moment où il fallait mobiliser les moyens pour venir en aide à deux ou trois pays on s’est contenter de beaux discours à des rencontres internationales budgétivores ?
Et comme je l’affirmais tantôt, tout évolue comme si le monde scientifique et celui des financiers et celui des grands hommes politiques s’étaient entendu pour délibérément laisser la maladie se répandre pour en espérer des dividendes. La théorie du complot contre le monde. Elle a de quoi prospérer si les choses continuent par aller dans ce sens.
Le nombre de cas signalés au début du déclenchement de la maladie n’était pas assez important pour compenser les dépenses à faire pour le développement des vaccins et autres.
Logique économique malheureusement hypocrite qui risque de nous coûter très cher en termes de vies humaines perdu. Mais quoi qu’il en soit, ils se frottent déjà les mains. L’OMS pense déjà à des commandes des doses de vaccin à l’échelle du continent. Du business mes chers amis. Du vrai business et c’est ainsi que ça marche. Les industries qui produiront ces vaccins ne sont pas en Afrique ! Les propriétaires ne sont n’ont plus en Afrique, ils sont loin quelques part en train de sabler du champagne tablant sur des bénéfices records. Qui dit mieux.
Qui sait ce que contiendront ces doses de vaccins qui nous seront administrés ! Une fois je le disais plus préoccupé par l’urgence, immédiat, personne sur le continent africain ne pensera à un système de contrôle des doses qui nous seront envoyés. On croira à la bonne foi des groupes pharmaceutiques et les vaccins du bon samaritain de l’occident nous sera administré pour nous épargner d’Ebola, maladie aussi dangereuse que mystérieuse qui a été découverte dans des années 1970 ; période au cours de laquelle les deux grandes idéologies (capitalisme et communisme) s’affrontaient en douce chacun en développement des moyens inimaginables de destruction de l’autre.
Au-delà de tout ce que l’on pourrait dire à ce sujet, il y a aussi lieu de nous interroger nous en tant que africain et de ce que nous avons fait de nos traditionnelles liens de fraternités et de solidarité. On a coutume de dire que lorsque le toit de chaume de ton voisin part en fumée, empresse-toi d’aller à son secours au risque de voir ton propre toit brûlé.
Quand Ebola a surgi sur le continent en Afrique Occidentale, peu d’africain ont montré leur solidarité aux touchés. Les universitaires, les épidémiologistes, peu que nous comptons n’ont pas réagi comme il le fallait en ces moments. Même la société civile, les acteurs influents n’ont pas fait grand-chose pour contribuer à éradiquer la maladie. On a toujours pensé que c’est de l’Occident qu’il faudrait attendre de l’aide, or des campagnes de sensibilisation pouvaient être faites avec les moyens de diffusion appropriés pour attirer l’attention des dirigeants de la planète.
Au plus haut niveau de nos pays, il a fallu les derniers moments pour que les chefs d’Etats se concertent sur cette maladie. Certes, les moyens manquent mais ce ne sont pas les idées et les têtes qui manquent pour apporter l’information dans tous les pays contre les pratiques à observer devant des cas suspects.
Au niveau continental l’Union Africaine (UA) qui était inaudible avec Jean PING est devenu presque aphone avec Nkosazana DLAMINI-ZUMA. A quoi servent ces institutions si la population ne peut pas compter sur elles dans des cas pareils ? Qu’est-ce que l’UA a fait concrètement pour contrer l’Ebola sur le continent ? Rien à part les discours et les appels à l’Occident.
Et pourtant le continent compte des milliardaires. Au Nigeria, en Afrique du Sud, au Maroc, en Angola, l’Afrique dispose des ressources importantes pour sauver sa population. Mais on attendra l’Occident pour « donner » les milliards qu’ils reprendront par la suite.
Pour ramasser les corps des victimes d’Ebola dans la capitale libérienne, il n’y a que huit ambulances pour faire le travail. Du coup plusieurs familles sont obligées de roder au tour des corps augmentant les risques de contaminations de la maladie.
Et pourtant ce ne sont pas les voitures, les ambulances, les milliardaires qui manquent dans nos pays.
Propagation de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, c’est d’abord l’échec de l’africain, de l’UA face à ses propres problèmes, ensuite l’échec des instances internationales l’ONU, l’OMS face à un risque mondiale.
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kefos93
Oct 17, 2014 @ 0:45
Ebo-LIE : L’immense arnaque de la pandémie ouest-africaine de « fièvre Ebola »
http://reseauinternational.net/ebo-lie-limmense-arnaque-pandemie-ouest-africaine-fievre-ebola/
Ciao
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venus
Oct 17, 2014 @ 2:16
Madame Cassel BUSH que fout-elle en Afrique ? Famille de BUSH, cette femme est au Libéria ? J’aimerais bien savoir qui elle est vraiment et les dessous de l’histoire doivent être assez faciles à trouver j’imagine avec ce nom là.
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Vanda
Oct 17, 2014 @ 14:50
Cet thèse me paraît tout à fait plausible .
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Ted
Oct 16, 2014 @ 22:30
‘ Par Nana Kwame, le 9 octobre 2014
Les gens du monde occidental doivent savoir ce qui se passe ici en Afrique de l’Ouest. ILS VOUS MENTENT!!! Le virus « Ebola » en tant que tel n’existe PAS sur place et n’est PAS en train de « se propager ». La Croix-Rouge a apporté une maladie à quatre pays spécifiques pour quatre raisons spécifiques et elle n’est attrapée que par ceux qui reçoivent un traitement et des injections des mains de la Croix-Rouge.
……… »
LES RAISONS:
Autre extrait
» Raison 1: Cette maladie inoculée par vaccination qui se fait appeler « Ebola » a été introduite en Afrique de l’Ouest dans l’objectif ultime de déployer des troupes sur le sol du Nigeria, du Liberia et de la Sierra Leone. »
Autre extrait
» Le soutien international s’est fait la malle, et il a fallu trouver une nouvelle raison pour déployer des troupes au Nigeria pour y voler les nouvelles réserves pétrolières qui viennent d’y être découvertes. .. »
Autre extrait
» Raison 2: La Sierra Leone est le plus grand fournisseur de diamants au monde. Les mineurs ont été en grève depuis quatre mois, refusant de produire des diamants à cause d’horribles conditions de travail et de salaires de misère…. »
Autre extrait
» Raison 3: En plus de voler le pétrole nigérian et de forcer la Sierra Leone à retourner au fond des mines, des troupes ont aussi été envoyées pour FORCER la vaccination sur ces Africains qui ne sont pas assez stupides pour la prendre volontairement. 3000 soldats sont envoyés pour s’assurer que ce « poison » continue de se répandre, parce qu’encore une fois il ne se répand qu’à travers la vaccination. ….
lire l article complet,
http://globalepresse.com/2014/10/15/limmense-arnaque-de-la-pandemie-ouest-africaine-de-fievre-ebola/
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Spanish Empire
Oct 16, 2014 @ 23:27
Ebo-Lie: El Ebola es una mentira
La gente en el Mundo Occidental necesita saber qué está ocurriendo aquí en Africa Occidental. ELLOS ESTÁN MINTIENDO!!! El “Ebola” como virus NO existe y NO se está “diseminando”. La Cruz Roja ha traído una enfermedad a 4 países específicos por 4 razones específicas y sólo es contraída por aquellos que reciben tratamientos e inyecciones por parte de la Cruz Roja. Por esa razón Liberianos y Nigerianos han comenzado a sacar a patadas a la Cruz Roja de sus países y a informar en las noticias la verdad. Ahora, síganme:
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massinissa
Oct 16, 2014 @ 19:35
Ebola : pourquoi certains malades guérissent et d’autres non!
Pour l’instant, les médecins n’en savent rien mais émettent des hypothèses. La première réside dans le délai de prise en charge : plus elle est rapide et plus le patient a de chances de guérir. « Les patients atteints d’Ebola meurent surtout de déshydratation en raison des diarhées et des vomissements très importants, explique Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Bichat-Claude-Bernard (Paris), l’un des trois établissements de référence Ebola pour l’Ile-de-France. Si on leur administre rapidement des traitements symptomatiques, à savoir les réhydrater, leur apporter des sels minéraux et leur fournir des antibiotiques contre les infections, on réduit grandement leur probabilité de décès. »
De manière générale, le taux de mortalité est ainsi plus faible dans les pays avec des structures de soin modernes et nombreuses. « En France, les mêmes cas d’Ebola, bénéficiant de mesures de réanimation standard, enregistreraient une mortalité très réduite : elle serait de l’ordre de 15 % au lieu de près de 50 % dans les pays africains », assure Jean-François Delfraissy, directeur de l’Institut microbiologie et maladies infectieuses de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). A l’inverse, au Liberia, en Guinée ou en Sierra Leone, les malades arrivent souvent trop tard à l’hôpital et les établissements sanitaires n’ont pas assez de places pour tous les traiter.
M planete
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Gabriel
Oct 16, 2014 @ 22:52
Alors pourquoi des malades unique et hyperbien traité dans des hôpitaux de pointe occidentaux ou américain crèvent ? Antibiotiques et rehydratation ne seraient pas efficace, ou alors, » les antibiotiques, c’est pas automatique ? »ou bien ?
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salimsellami
Oct 16, 2014 @ 18:42
A reblogué ceci sur salimsellami's Blog.
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Vanda
Oct 16, 2014 @ 18:40
Ces deniers jours les cours du pétrloe et des marchés actions ont dégringolé , les médias de masse n’en disent pas un mot . Pourquoi? J’ai pas de réponses et suis preneur des idées des uns et des autres .
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massinissa
Oct 16, 2014 @ 19:32
ca ne peut s expliquer que par la surproduction du cote de l arabie seoudite,le pompage intensif en lybie et surtout,un fait nouveau,l effet de la surproduction du gaz de schiste aux etats unis qui ont diminue leurs importations de 60% a 30%.
quoiqu il en soit la revolution du gaz de schiste va enormement affecter les pays producteurs qui depandent uniquement de la rente petroliere!
En bref il y a trop d or noir qui innonde le marche!
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Vanda
Oct 16, 2014 @ 20:22
Le pétrole est surabondant :
http://www.karmapolis.be/pipeline/petrole.html
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massinissa
Oct 16, 2014 @ 20:36
Un rabbin haut responsable de la communauté juive de Washington, soupçonné d’avoir dissimulé une caméra dans les douches pour femmes d’un bain rituel, a été formellement accusé de voyeurisme, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.
Barry Freundel, 62 ans, rabbin de la synagogue Kesher Israel de Washington, une synagogue en vue de la capitale américaine, est soupçonné d’avoir dissimulé dans un radio-réveil la caméra, braquée sur l’entrée des douches pour femmes qui jouxtent la « Mikvah », le bain rituel, de la synagogue.
Le rabbin, qui a plaidé non coupable, a été formellement accusé mercredi de « voyeurisme » et « enregistrement » par le tribunal de district de Washington. Laissé en liberté avec interdiction de s’approcher de la congrégation, il risque jusqu’à six ans de prison.
Il doit à nouveau comparaître le 12 novembre.
La caméra a enregistré les images, saisies au domicile du rabbin, d’au moins six femmes dévêtues ou partiellement dévêtues alors qu’elles sortaient de la douche ou se changeaient, indiquent les documents de justice. Trois vidéos datent du 2 juin dernier.
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Gabriel
Oct 16, 2014 @ 17:58
Si ebola se diffuse comme la grippe, elle est contaminée.
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Estelle
Oct 16, 2014 @ 17:46
Prem’s !
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