Calixthe Beyala : Vous avez raison, diantre ! Que suis-je allée faire dans cette galère ? Mais la Francophonie dans son acception première telle que conçue par mes confrères est une organisation noble, plaidant pour la langue française, la fraternité, la solidarité entre les peuples, les valeurs humanistes. Le mot a d’ailleurs été inventé au XIXème siècle par Onassis Reclus géographe et écrivain qui disait que « la langue est identité ; qu’à travers elle, il n y a plus de race, de religion, sauf la langue qui unie les peuples en un tout indissociable.
Le Messager : Si nous enlevons le vernis de cette institution, que verrons-nous derrière les lambris dorés ?
Calixthe Beyala : C’est cette francophonie ci-dessus décrit qui explique que je sois entrée dans ce que vous surnommez à juste titre « galère ». Mais je ne quitterai pas cette galère tant que les valeurs humanistes et universelles qui sont le socle de la Francophonie continueront à être bafouées… car derrière le vernis de cette institution, il y a certainement des choses, j’ignore quoi… La France Afrique à la Foccardienne ? Des intérêts mafieux ? Des copinages et des accointances financières ? Autant de questions qui méritent d’être posées. Il doit tout y avoir à l’intérieur, à l’exception de l’intérêt des peuples Francophones. Puisqu’il s’agit là d’une institution qui n’est pas démocratique dans son fonctionnement, ni humaniste dans ses agissements. Ceci explique pourquoi je continuerai à me battre jusqu’à ce que la Francophonie retrouve ses objectifs nobles.
Le Messager : Que vouliez-vous faire ? Secouer le cocotier ? De quelles atouts disposiez vous face à la superbe d’un Abdou Diouf présenté comme politiquement correct ?
Calixthe Beyala : De quel atout disposais-je ? La sincérité. Un programme plébiscité par les peuples francophones. Un objectif noble. Une intégrité morale.
Le Messager : A la conférence internationale de Yaoundé, Africa 21, vous avez fait du lobbying sur votre candidature. Vous avez obtenu une dizaine de minutes d’entrevue avec le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo.
Calixthe Beyala : Oui, j’ai commencé mon lobbying au Cameroun, j’ai rencontré plusieurs Chefs d’Etats Africains favorables à ma candidature, car il leur apparaissait nécessaire de faire jouer l’alternance démocratique. Et selon des indiscrétions, durant le huis-clos, 12 chefs d’Etats ont soutenu ma candidature, ce qui est énorme ! C’est le Président Sarkozy qui s’est opposé à mon élection et non les Chefs d’Etats Africains permanemment accusés par l’Occident d’être des dictateurs, des voleurs, des corrompus et j’en passe ! Diouf a été imposé par Nicolas Sarkozy et ses amis hommes d’affaires. Curieux que des Hommes d’affaires s’impliquent dans ce type d’élection.
Le Messager : Les mêmes démarches auraient été entreprises pour rencontrer Paul Biya. Apparemment en vain. Otez-moi d’un doute : c’est vrai que le président Biya ne vous a pas soutenu ? Aurait-il dû le faire ?
Calixthe Beyala : Je n’ai jamais fait de démarche auprès du Président Paul Biya afin qu’il me reçoive, car contrairement à ce que beaucoup pensent, un écrivain est d’abord un homme politique ! Et stratégiquement je savais que cette démarche aurait dédouané le Président Sarkozy qui se serait dépêché de me faire comprendre que le Cameroun refusait de me présenter. Je savais en amont que la France seule décidait du destin de la Francophonie. Cela s’est passé ainsi avec Boutros Ghali imposé par Chirac et avec Diouf ! Les africains dans cette histoire n’ont aucune responsabilité, ils sont en faiblesse car on leur rétorque que c’est la France qui paie.
Le Messager : Et le président Sarkozy alors ? Vous êtes quand même française ! Avez-vous senti un courant de sympathie française autour de votre candidature ?
Calixthe Beyala : Concernant mes relations avec Sarkozy, elles sont ambiguës, je l’avoue. EN 2000 en tant que député maire de Neuilly, il a été le premier des responsables politiques, voire l’un des seuls à m’avoir écrit pour soutenir l’action des Noirs, leurs revendications ! En tant que candidat aux élections présidentielles, nous nous sommes rencontrés et il me disait être prêt à mettre en place un système de discrimination positive pour favoriser l’accès des noirs à des postes de responsabilité, d’ailleurs, il est venu déjeuner avec l’ensemble des membres du Club Elite que je préside. Depuis qu’il est élu, il y a le fameux discours de Dakar, par la suite, des anathèmes jetés çà et là sur les Noirs, les Arabes, puis ces jours–ci les attaques se sont dirigées contre nos plus jeunes enfants, à savoir « que les petits noirs et arabes sont dès la maternelle, des communautaristes » mais encore « Les petits chinois réussissent mieux à l’école que les noirs et les arabes » ; ce qui laisse supposer que le nègre n’est pas intelligent. Enfin, vous êtes sans ignorer les déclarations racistes du parfumeur Guerlain contre l’ensemble des Noirs. Aucun politique français ne s’est insurgé contre ces injures. Il flotte dans l’air un consensus… Contre nous…je suis extrêmement en colère ; l’ensemble des français issus de quelque chose aussi d’ailleurs (rire). Nous avons des bulletins et en 2012, face au fascisme ambiant, nous ferons entendre notre voix.
Le Messager : De toutes évidences, aucun officiel français n’a fait de déclaration publique en faveur de la candidature de Diouf !
Calixthe Beyala : Oui, j’ai senti un courant de sympathie autour de ma candidature provenant des députés, des sénateurs, des hommes de la rue. Qu’auraient-ils pu faire face à Sarkozy en tant que Président ? Rien. Ils expriment simplement aujourd’hui leur déception, face à cette énorme machine Sarkozyste qui n’épargne personne.
Effectivement personne officiellement n’a soutenu Diouf ; d’ailleurs n’eût été SARKOZY, il aurait perdu ! Et la réaction mondiale des peuples découvrant que le Président Français a mis à la tête de cette Institution un homme qui selon le Rapport officiel d’Amnesty International a laissé ses militaires assassiner plus de six mille civils, y compris, femmes et enfants.
En réalité, j’ai gagné en ayant permis au peuple Francophone d’ouvrir un œil sur cette institution. Maintenant, regardons vers le futur car les familles des victimes du génocide en Casamance s’apprêtent à déposer plainte tandis que la presse française découvre l’histoire. En réalité, il n’y a pas eu d’élection, mais obligation d’applaudissement après que le Président Sarkozy ait imposé Diouf tout en promettant aux Chefs d’Etats Africains deux places au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Il y a là quelque chose avec des relents de MEKA, le personnage du best-seller « Le vieux nègre et la médaille » de Ferdinand OYONO.
Le Messager : Diouf impliqué dans les massacres en Casamance ? C’est un peu fort de café non ?
Calixthe Beyala : Il ne s’agit pas d’information mais d’un Rapport d’Amnesty International, faisant état de plusieurs milliers de morts durant la présidence d’Abdou Diouf au Sénégal. Femmes enceintes éventrées, enfants enterrés vivants. Vous pouvez accéder à ce rapport en allant sur le site de cette organisation. Les accusations sont fondées, mais cela ne met nullement DIOUF à l’ abri d’une poursuite, ou du moins les personnes de bonne volonté se battent pour que justice soit faite. Cela prendra du temps, certes, mais le temps de cette justice viendra.
Le Messager : A plus de 75 ans sonnés, que peut-il encore apporter à la Francophonie ? A quoi sert d’ailleurs celle-ci ? Les peuples francophones se reconnaissent-ils encore en cette institution sommes toutes mystérieuse ?
Calixthe Beyala : A 75 ans, Diouf peut toujours apporter son soutien à ses amis, rien au peuple francophone. Oui, les peuples francophones ne se reconnaissent pas dans cette Institution, ils ont raison au vue de la manière occulte entourant sa gestion, à l’odeur de soufre qui entoure son actuel Secrétaire général. Cette organisation est discréditée ; c’est dommage ! Car l’intention de départ était bonne et je sais que nous finirons par gagner.
Le Messager : Calixte Beyala est bon an mal an au centre de l’actualité. C’est vous qui choisissez cette posture ou c’est l’actualité qui vous colle à la peau ? Etes-vous une provocatrice ?
Calixthe Beyala : Provocatrice, moi ? Jamais ! Combattante ? Certainement ! Pour ceux qui n’ont pas la parole, pour ceux qu’on piétine, pour ceux qu’on dépouille de tout, même de leur dignité ! Oui, avec moi, les meurtriers ne sauraient dormir du sommeil de brave ! Les organisations ne sauraient être détournées de leur mission… Provocatrice, moi ? Je prends si rarement la parole, mais me dit-on, elle est forte, c’est tout ! Oui, je prends rarement la parole, mais de manière très justifiée, ce qui provoque à chaque fois un scandale.
Le Messager : Quel est votre prochain cheval de bataille ?
Calixthe Beyala : Mon prochain cheval de bataille ? Toujours les mêmes, à savoir la Francophonie, le respect des droits de l’homme et des valeurs humanistes, peut-être les prochaines élections présidentielles en France ? Je sais que je suis une cible qui paraît à priori facile pour les racistes et les misogynes, mais je crois qu’à force de me fréquenter ou de me provoquer, ils se rendent compte que je suis une femme au mental d’acier. Peu à peu, chacun recule… les coups bas, on ne me les donne plus qu’à l’ombre cachée des persiennes ! Je sais me défendre comme vous avez pu le constater en plus de vingt ans de carrière
Le Messager : Alors la « Petite fille du réverbère » que vous auriez pu devenir comme tant d’autres natives de New Bell, ce coin chaud de Douala au Cameroun semble être en représentation permanente.
Calixthe Beyala : J’ai eu une chance extraordinaire dans ma vie, moi qui ne suis nullement une femme qui aime forcément à fréquenter les palais.
1° le poète Aimé Césaire avait demandé à me rencontrer en tête à tête quelque temps avant sa mort. Il me parla pendant plus de quatre heures des combats à mener, des difficultés qu’il avait rencontrées, celles que je rencontrerai sur le chemin au vue de mes choix.
2° le président EYADEMA eut la même attitude, six mois avant sa mort. Il me fit comprendre des menaces dont il avait été victime à chaque fois qu’il se décidait à prendre des décisions pouvant améliorer les conditions de vie de son peuple.
3° Il en fut de même du Président Gabonais OMAR BONGO à quelques mois de sa mort. Il voulut me parler et pendant des heures ce qui s’était passé pour le continent depuis avant les indépendances jusqu’à nos jours. Pourquoi nos pays n’étaient pas aussi développés que nous nous en attendions. Ce vieil Homme me fit de la peine ; tout n’était pas de sa faute, loin s’en faut. Je compris alors le mécanisme insidieux qui liait l’Afrique au reste du monde. Un jour, j’écrirai sur ce sujet à partir des propos de ces trois grands Hommes.
Le Messager : Une certaine diaspora est très courtisée en ce moment au Cameroun, tandis qu’une autre qualifiée d’activiste est vilipendée. Le Cameroun a-t-il mal à ses diasporas ?
Calixthe Beyala : J’ignore si une certaine diaspora est courtisée en ce moment ; dans cet univers mondialisé, où la gestion de certains pays d’Afrique se déroule à Paris ou à Washington, j’essaye de rassembler et non de diviser. J’essaye d’éviter des sujets qui braqueront les Africains les uns contre les autres, car in fine, du Président Africain au balayeur de la rue de Dakar, nous sommes à tous les niveaux, les dindons de la farce ! Aucun Président Africain n’a souhaité la dévalorisation du franc CFA qui a contribué à affaiblir le pouvoir d’achat des peuples en zone francs ! Aucun d’entre eux n’a cautionné la baisse des prix des matières premières ! Cette réflexion n’est pas racialiste de ma part, car les petits peuples souffrent au niveau mondial qu’ils soient blancs, noirs ou jaunes ! Ce qui explique pourquoi, je préfère attaquer les problèmes par leurs racines, c’est – à –dire depuis l’Occident où quelques individualités concentrent tous les pouvoirs. Ce n’est qu’en restant solidaire les uns des autres que nous sortiront un jour de cette énorme « Galère » générale.
Le Messager : Le droit de vote, la double nationalité etc.…autant de questions qui fâchent et que le pouvoir de Yaoundé refuse d’aborder. Quel est votre position par rapport à ces revendications de la diaspora camerounaise
Calixthe Beyala : Quant à double nationalité, je l’appelle de tous mes vœux, car à tout moment, n’importe quel citoyen franco-camerounais pourrait perdre sa nationalité française et devenir un apatride. Il est un devoir pour son pays d’origine que de le protéger. J’espère que le Gouvernement Camerounais prendra cette décision protectrice pour ses enfants.
Je m’étonne néanmoins car autrefois, les femmes Camerounaises ayant acquis une autre nationalité par mariage, conservaient également leur nationalité Camerounaise. Est-ce toujours vrai ? Espérons. Je tiens enfin à remercier les millions d’Africains, Canadiens, Suisses, Français ou Belges qui m’ont soutenu, et qui me disent continuer à le faire en toute circonstance, ce qui prouve que l’homme appartient plus à son époque qu’à son père. Ce qui prouve d’une certaine manière que la notion de fraternité entre les peuples n’a jamais été aussi forte qu’en ce début du troisième millénaire.
mahmoud
Oct 31, 2010 @ 0:30
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pach
Oct 30, 2010 @ 19:59
Finalement un président américains qu’il soit noir blanc ou jaune il reste le porte parole d’un pays hégémonique,dominateur, menteur et manipulateur. p
Obama nomme des officiers corrompus à la tête des armées
http://www.voltairenet.org/article167030.html
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pach
Oct 30, 2010 @ 18:45
IL sont en train de préparés le monde et l’opinion a la perspective peut-être éminente d’un attentat aux Etats Unis ou en Europe ou l’on peut évidemment se posé la quéstion,serat t’il cet attentat commandité par ceux la même qui servent de boucs émissaire et d’alibi politique?.
Colis suspects : la piste Al-Qaïda se précise
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Mosset
Oct 30, 2010 @ 18:08
C’est fou, de constater qu’une déception personnelle devienne un élément de compagne anti Sarko pour la communauté noire pour l’horizon 2012. Je pense que si Sarko vous avait aidé à accéder au poste de secrétaire général de l’OIF, vous en seriez reconnaissant, alors arrêtez vos salades.
En temps que française, il est indécent de votre part de se référer à rapport d’Amnesty International pour ternir l’image d’un grand Monsieur comme A.D. Je vous apprends que la présomption d’innocence existe en France. Je sais de quoi je parle Mme.
Vous faites des éloges sur les défunts présidents Eyadema père et Omar Bongo ! Est ce que c’est parce que leurs enfants sont encore à la tête de leurs pays respectifs? Mais AD n’en a pas ?
Attention ABO, ce n’est pas de bon cœur, même si elle a été reçue par le CANI avant sa mort. Ce sont les mêmes personnes qui parlent très mal nous les Batékés en général, du vieux en particulier.
D’autre part, c’est facile d’avoir voté Sarko en 2007 et maintenant suivre les instituts de sondages pour retourner sa veste en souhaitant régler votre différent avec le président Sarko en appelant sans doute à voter PS. Personne n’a le monopole des voix de la communauté noire en France. Le vote noir est personnel et non communautaire, ce n’est pas comme aux USA. C’est pour montrer que vos carences sociopolitiques,! Vous êtes très mal informée de cette diaspora que vous représentée à tort et médiocrement. Vous n’aviez jamais eu des convictions politiques sincères. J’ai suivi vos prises positions sur certain sujets sociétaires en France, sincèrement j’ai l’ultime conviction que vous êtes avec les Kelman (Kelmon en vrai) les mauvais exemples. Vous êtes en quelque sorte les têtes-turcs pour la diaspora africaine en France. Mettez un peu de l’eau dans votre vingt.
Prenez l’exemple sur les jeunes autour de vous, UMP ou PS, ils savent ce qu’ils veulent.
JP MOSSET
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jeanpaul de la mata
Oct 31, 2010 @ 0:28
Bravo jpMosset…d’autant plus qu’elle ne s’est pas déplacée le jour de la désignation,une place comme ça ne s’achête pas mais ce mérite…trop trouillarde cette gonzesse pour aller gueuler ses états d’âmes devant une assemblée !
Qu’est-ce qu’il y a comme traîtres dans la politique chez l’élément féminin…ça pullule !
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pach
Oct 30, 2010 @ 18:08
Affaire Guerlain : infiltration du cabinet noir
Affaire Guerlain : infiltration du cabinet noir
Depuis trois ans et demi, un cabinet noir a été mis en place en France, de manière évidemment secrète, pour surveiller les Antillais et les Africains, et semer systématiquement la zizanie entre eux. Ce cabinet, dont l’existence est aujourd’hui prouvée, est animé par un ancien collaborateur de la Direction du renseignement militaire qui, dès 2007, alors qu’il se trouvait en quête de subsides et prêt à tout, a vendu cette idée, digne des pires moments de la colonisation, voire de l’esclavage, à certains hauts fonctionnaires que les « nègres » inquiètent.
Le cabinet, dont le fonctionnement est désormais connu, est prolongé par différentes associations ou personnalités dévoyées s’efforçant de parler au nom des « noirs », des Antillais, des homosexuels et même des antisionistes. Deux membres du comité bidon pour la mémoire de l’esclavage sont par ailleurs membres de ce cartel. Quelques rares journalistes, qui ne font pas honneur à leur métier, sont de même associés à cette entreprise peu honorable et tentent de donner quelque écho aux correspondants de l’officine, dont les ramifications ne se limitent pas à l’UMP, mais sont aussi identifiées au parti socialiste. L’intérêt de l’affaire Guerlain est que, dans l’affolement, tous le réseau a été activé de manière brouillonne : presque tous les correspondants peu honorables du cabinet noir sont ainsi apparus à la manifestation du 23 octobre sur les Champs-Elysées. Le mot d’ordre était d’empêcher par tous moyens un rassemblement devant le siège de LVMH (22 avenue Montaigne), de détourner l’attention sur France 2, de profiter de la manifestation pour s’en prendre au parti socialiste en attirant Benoît Hamon dans un guet-apens, et de récupérer au passage un peu d’argent chez LVMH – via certaines associations – pour alimenter la caisse noire de l’organisation …
http://www.claude-ribbe.com/dotclear/
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pach
Oct 30, 2010 @ 18:00
Abdellatif Kechiche : “J’avais cru le racisme disparu”(Dans une bulle?.)p
http://www.lavie.fr/hebdo/2010/3400/abdellatif-kechiche-j-avais-cru-le-racisme-disparu-26-10-2010-10967_169.php
J’ai pu voir cette histoire celle de Saartjie Baartman, sous forme d’un télé film Anglais qui montre bien la nature humaine dans ces pires instinct de ce qu’il y a de plus mauvais dans l’être humain et de sa curiosité malsaine .Surtout de ceux qui pensent parce-que être blanc est un signe de supériorité,pire encore prétendant êtres civilisés .
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pach
Oct 30, 2010 @ 17:57
Quelle manipulation !,et la carrément des colis piégés envoyés de l’étranger a destination de la communauté juive ,souvenez vous a l’image de l’entrax qu’ils prétendaient avoir été envoyé par des menbre d’Al Quaida et qui C révélé être aussi une grosse arnaque. Des colis,et pourquoi pas aussi inscrit sur le paquet objet « attention bombe adressé et a remettre uniquement a la synagogue de Chicago ».Ni avait t’il pa sur le paquet l’adresse de l’expéditeur aussi ,et un Coran a l’intérieur avec le passeport de l’expéditeur ?.Heureusement que le ridicule ne tue pas.
Des colis suspects ravivent la peur du terrorisme aux Etats-Unis
par Jérémy Pelofsky et Phil Stewart
WASHINGTON (Reuters) – L’interception, vendredi, de deux colis contenant des explosifs à destination de la communauté juive de Chicago accrédite la thèse d’une « menace terroriste crédible » contre le territoire américain.
Dans la dernière ligne droite de la campagne pour les élections de mi-mandat, dominée jusqu’ici par les questions économiques, la sécurité a été renforcée aux Etats-Unis et les autorités américaines tentaient samedi de comprendre le but et le cheminement de ces attaques venues du Yémen.
Al Qaïda dans la Péninsule arabique (Aqpa) est en tête de la liste des suspects, a dit Barack Obama lors d’une conférence de presse à la Maison blanche.
L’explosif, dissimulé à chaque fois dans des cartouches d’encre pour imprimantes, était le même que celui utilisé dans une précédente attaque venue du Yémen et revendiquée par Aqpa, a dit une élue démocrate au fait des questions de sécurité.
Les enquêteurs continuent de travailler sur ces explosifs et des spécialistes évoquent un coup d’essai destiné à vérifier le niveau de sécurité du fret à destination des Etats-Unis.
Barack Obama a vu dans ces colis « une menace terroriste crédible » contre les Etats-Unis et annoncé un renforcement de la sécurité aussi longtemps que nécessaire.
Les deux colis étaient adressés à « deux lieux de culte juif à Chicago », a précisé le président américain.
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nicole
Oct 30, 2010 @ 11:02
Tiens, cette dame ne semble que récemment se rendre compte que « l’humanisme » de la France serait hypocrite!
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strym
Oct 30, 2010 @ 10:40
pr reprendre stephane guillon, guerlain a presenté en direct sr france 2 son nouveau parfum, « brise d’hortefeux »…
strym.
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mahmoud
Oct 30, 2010 @ 10:11
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pach
Oct 30, 2010 @ 4:35
Haïti – Choléra : un pays abandonné ?
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pach
Oct 30, 2010 @ 4:34
Haiti abandonné et livré à lui meme,n’en déplaise a certains qui prétendent le contraire pour se donnés bonne consciences.N’est-ce pas naztros.
Haïti – Choléra : un pays abandonné ?
Dans la Francophonie, « nous sommes tous des Haïtiens » lance Diouf
http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=85018&PubDate=2010-10-27
FRANCOPHONIE EN HAITI :
ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES
http://www.dhdi.free.fr/recherches/horizonsinterculturels/memoires/descardesmemoir2.htm
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pach
Oct 30, 2010 @ 2:58
Depuis le dernier interview qu’elle a donnée sur rmc passant la pommade à Sarkozy dont elle aurait mieu fait de s’abstenir ,évitant la critique,elle ma beaucoup déçu et quand on voient le résultat .A mon avis ,elle n’a meme vraiment rien a envier a Rama Yade et à la marrante FA.Tous pareilles,des opportunistes.
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strym
Oct 30, 2010 @ 12:37
calixte, rama ou fadela, que des puent de la bouche sans aucune credibilité…
strym.
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