Le journaliste revient sur la diffusion d’une liste de personnalités européennes interdites d’entrée en Russie. Il la met en perspective avec les sanctions de l’UE contre Moscou. Et là, la vérité est implacable. Sans commentaire.
>>>> MAMAFRIKA TV. Rencontre avec RISKA L. pour l’émission « Radioscopie » (clic)
Cette sortie d’Eric Zemmour publiée le 02 juin dernier rejoint mot pour mot notre papier du mois de mai (31) intitulé « JÉRÉMIADES. Riposte russe: la Russie interdit de séjour un certain nombre de cuistres« . On peut le détester, insulter mais, sur ce point, il a raison sur toute la ligne.
Regardez:
Posted in: Actualité
ahoueya
Juin 6, 2015 @ 5:39
je me demande si l’union européenne a encore des tetes pensantes
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Coeur de pirate
Juin 5, 2015 @ 12:33
Petit HS assez drôle : Un chat se voit dans la glace. Amusant :
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Coeur de pirate
Juin 5, 2015 @ 13:57
Source : Spoutnik
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allouche
Juin 5, 2015 @ 7:16
QUOI QU’IL FASSENT , ZEMMOUR & BOTUL , Y EN A D’AUTRES ME DIREZ-VOUS , MAIS NE CITONS QUE CES 2 ESPÈCES , SONT LOIN DU BON GRAIN . LE SIÈCLE DES PRIVILÈGES , DES PLEURNICHERIES ET AUTRES PASSE-DROITS FONT QUE L’ IVRAIE ENVAHIE LA TERRE OU JADIS MES LYS CROISSAIENT .
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Driss
Juin 5, 2015 @ 4:01
ERIC ZEMMOUR, nous montre ici un véritable talent de polémiste, il va bientôt sérieusement dépoussiérer la presse conventionnelle et vite faire des émules.
Driss
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thomas
Juin 5, 2015 @ 23:13
Oui je ne suis pas d’accord avec tous ce qu’il dit (il à une vrai « phobie » de l’Islam et je trouve qu’il est un peu trop « conservateur » sur les questions de société)…Mais souvent sur les questions économique, Européenne et internationales il est très pertinent….
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Driss
Juin 5, 2015 @ 3:49
Les États-Unis d’Amérique jouent avec le feu
Depuis plusieurs années le déclin relatif du pouvoir global des États-Unis dans le monde vient, accompagné par une augmentation nette du bellicisme et des aventures militaires, depuis le Moyen-Orient jusqu’aux Balkans, en passant par le nord de l’Afrique et l’Afghanistan.
S’ajoute à tout cela, le conflit qui a résulté du changement de régime induit par l’OTAN en Ukraine et la tension croissante dans la Mer de Chine provoquée par le déploiement militaire des États-Unis dans la région, ses alliances et les mises en place de nouvelles bases d’appui à Singapour, Philippines, Australie et Viêt-Nam, qui s’ajoutent aux traditionnelles de la Corée et à celles du militarisme japonais revigoré .
Le résultat de tout cela est une nette augmentation du danger d’une «guerre totale », comme en a alerté un homme politique aussi timoré que le président français, François Hollande.
Une guerre totale contre les nouvelles et vieilles puissances émergentes – surtout la Russie et la Chine – dont le risque, selon le rétrograde ex-Premier ministre suédois Carl Bildt, prend force dans « l’incertitude sur les relations de pouvoir global ».
En d’autres mots : le monde bipolaire s’est terminé avec la guerre froide, la tentative de monde unipolaire qui lui a succédé s’est terminée en fiasco et ce qui s’affirme depuis lors, une invitation à un certain pluralisme et au consensus dans les relations internationales, est vue comme quelque chose d’« incertain » et « dangereux » avec qui il faut en finir par la force.
En réagissant au changement de régime en Ukraine, en annexant la Crimée et en appuyant les rebelles de Novorrossia, la Russie a répondu pour la première fois avec des mesures de force à l’avancée de l’OTAN dans son environnement le plus immédiat, en lançant un message à d’autres puissances régionales. Ce défi est ce qui est puni par des sanctions et la nouvelle campagne de presse contre la Russie.
Militairement on assiste à un vrai festival de manœuvres, de déploiements et d’essais provocateurs autour du territoire russe, dans toute l’Europe Orientale, la Mer Baltique, la Mer Noire et l’Arctique. Lors du dernier incident, des chasseurs russes sont sortis samedi à la rencontre d’un destroyer US, l’USS Ross, dans la limite des eaux territoriales russes de la Mer Noire.
Dans la Mer de Chine se passe quelque chose de semblable, quelque chose qui progresse clairement depuis qu’en 2009 Washington commençait son « pivot vers l’Asie » c’est-à-dire une augmentation et une réorganisation de sa présence militaire là-bas avec le scénario d’une guerre contre la Chine.
La semaine dernière lors du forum international de sécurité régionale Shangri-La, organisé à Singapour, le secrétaire de la défense US, Ashton Carter, a confirmé l’envoi dans la région – traversée de tensions territoriales entre voisins – de ses ressources militaires les plus modernes avec l’objectif d’affirmer la « liberté de navigation », pseudonyme d’un cercle de fer autour de la Chine, une chose que celle-ci n’a pas la moindre intention d’accepter. Comme ils l’ont fait avec la Russie, la pratique provocante d’envoyer des avions et des bateaux de guerre patrouiller juste dans les limites des zones de l’adversaire est devenue un recours courant et donne lieu aux tensions constantes qui peuvent dégénérer avec une grande facilité en conflits, désirés ou non.
Pour comprendre la situation il faut observer qui prend l’initiative et où cela arrive : tout cela n’arrive pas au Golfe du Mexique ou en face des côtes des États-Unis, mais chez son équivalent russe et chinois.
Les États-Unis sont déterminés à bloquer militairement l’ascension de la Chine ou toute réponse de la Russie aux provocations dans sa cour arrière la plus proche. Naturellement, des médias et « les experts » de centres en orbite autour de la logique impériale et de son argent, ont commencé une campagne intense dans laquelle il ne faut pas ni même entrer. La réalité, que ni la Mer de Chine ni l’Ukraine ne peuvent être considérées comme arrière cour des États-Unis, est plus qu’évidente pour être ignorée.
Washington veut que la Russie et la Chine acceptent le même statut de vassalité accepté par l’Europe, l’Asie et l’Océanie par des pays comme le Royaume Uni, la France, l’Allemagne, le Japon ou l’Australie, mais cela ne va pas arriver, expliquait le mois dernier dans son blog Paul Craig Roberts, qui a été vice secrétaire d’État pour la politique économique avec Ronald Reagan.
« À moins que le dollar, et tout le pouvoir américain avec lui, ne s’écroule ou que l’Europe soit courageuse et rompe avec Washington pour développer une politique extérieure indépendante en disant au revoir à l’OTAN, la guerre nucléaire est notre avenir probable », écrit cet observateur.
Par Rafael Poch : (Barcelone, 1956) a été vingt ans correspondant de « La Vanguardia » à Moscou et à Pékin. Avant il a étudié l’Histoire contemporaine à Barcelone et à Berlin-Ouest, il a été correspondant en Espagne du « Die Tageszeitung », rédacteur de l’agence allemande de presse « DPA » à Hambourg et correspondant itinérant en Europe de l’Est (1983 à 1987). Actuellement correspondant de « La Vanguardia » à Paris.
Sources : La Vanguardia
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Driss
Juin 5, 2015 @ 3:45
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Vénus
Juin 5, 2015 @ 2:12
A l’écouter m’est venu une suspicion tout le tintoin sur la FIFA c’est pour cacher quelque chose de beaucoup plus gros. Un leurre. Quelque chose à venir. Je crois dans le sixième sens écoutez Alex Jones.
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Vénus
Juin 5, 2015 @ 2:18
Ils veulent qu’on regarde ailleurs.
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emc2
Juin 5, 2015 @ 1:28
Zemmour a tout le temps venere poutine ,en voici quelques extraits….
Poutine n’est pas Staline ! C’est le sempiternel conflit entre les classiques et les modernes.
Vladimir Poutine n’est pas un moderne. C’est un tradi qui la joue à l’ancienne.
On l’accuse de vivre au temps d’la Guerre Froide, de refaire le Coup d’Prague en 1968, on a tort.
Poutine est un homme du XIXème siècle. La guerre est, pour lui, la continuation d’la politique par d’autres moyens. « On avance et puis on voit » disait Bonaparte. Seul compte le rapport de force.
Poutine pense comme le Tzar Alexandre III, que l’Armée et la flotte sont les deux meilleures amies d’la Russie. Il les protège et il s’en sert.
L’Union Européenne, elle, est une créature du XXIème siècle, elle se veut à la pointe de la modernité. « Un Empire sans impérialisme » disait Manuel Barroso. Une puissance avec zéro division. Ses armes s’appellent le marché, la norme, le droit et les médias. C’est le monde des affaires, des lobyistes, des avocats, des journalistes. A Bruxelles on parle de Soft Power, particulièrement efficace dans le cas ukrainien où des manifestations de rues ont renversé un pouvoir légal sans que les grandes démocrates pas tentées en Europe ne trouvent à redire. « C’est la liberté ! » dit-on, sans chercher à savoir si la majorité du peuple ukrainien approuve cette révolution de rue.
Depuis des semaines, les émissaires de l’Union Européenne étaient comme chez eux, Place Maïdan. Ils manipulaient tout le monde dans l’ombre. Mais quand les soldats russes occupent la Crimée, les européens pétrifiés menacent Poutine de l’éliminer du G8.
Car face à un homme du XIXème siècle, l’homme du XXIème siècle est comme un type de 60 kilos face à un autre de 120 : il se tait.
Mais, la France – ça veut dire d’après-vous – a eu tort de menacer Poutine de sanctions personnelles par exemple ?
Bah ! les français devraient pourtant être bien placés pour comprendre le maître du Kremlin.
L’Ukraine est à la Russie ce que l’Afrique est à la France.
Mieux qu’une ancienne colonie, une chasse gardée depuis plusieurs siècles. Personne ne se scandalise des interventions réitérées de l’Armée française dans son précarré africain. Les médias russes expliquent d’ailleurs que leur armée intervient pour des raisons humanitaires afin de sauver leurs compatriotes de Crimée contre les extrêmistes de la Place Maidan, exactement comme nos médias français nous expliquaient que l’Armée française intervenait en Lybie ou au Mali pour sauver des innocents.
Mais vérité en deça de la méditerrannée, erreur au-delà du Rhin. Ingérance humanitaire en Afrique, invasion en Ukraine.
Lors de l’intervention américaine en Irak il y a dix ans, refusée par les français et les allemands, les néo-conservateurs américains s’étaient déjà moqués de ces européens qui venaient de Vénus quand les américains venaient de Mars.
Ah Poutine lui-aussi vient de Mars. D’ailleurs les européens vénusiens s’empressent de quémander la protection de leur mâle dominant à eux : l’Amérique. Mais personne à Washington n’a envie de mourir pour la Crimée. Les américains regardent goguenards, ces européens qui se sont mis eux-même dans l’pétrin par des actions inconsidérées et demandent à l’Oncle Sam’ de les tirer de là.
Mais une diplomate américaine avait donné il y a quelques jours déjà la réponse de l’Oncle Sam’ : fuck the UE.
genius
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Amazigh__
Juin 5, 2015 @ 1:23
Zemmour sur ce coup et sur beaucoup d’autres tape là où ça fait mal. Il suffit de l’écouter sans à priori pour s’en rendre compte… il a juste choisi de se positionné à la juste limite du Mur de Dieudo… ni trop pâquerettes ni trop show-biz. Un choix qui lui permet d’exister encore médiatiquement. Certains esprits lui reproche de ne pas être assez casse-gueule et de ne pas taper assez sur les juifs. Ils n’ont toujours pas compris que le problème ne vient pas des juifs mais d’un système (intoxiqués qu’ils sont par les islamistes qui les infiltres).
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hakim
Juin 5, 2015 @ 1:31
Tu sais lecher le cul du meilleur salope!
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Amazigh__
Juin 5, 2015 @ 1:42
à l’image de ce trou de cul.
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Amazigh__
Juin 5, 2015 @ 2:24
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Lydia
Juin 5, 2015 @ 10:29
Alors la sur ce coup la c’est du n’importe quoi, Amazigh.!
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souf
Juin 5, 2015 @ 14:25
Tiens revoila le degenerer cosanguin qui nous fait une crise. T’es vraiment traumatisé et frustrer toi, surement encore une histoire d’inceste.
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Chose
Juin 4, 2015 @ 23:47
Excellent résumé.
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sowhat
Juin 4, 2015 @ 23:41
comment entendez-vous le mot « gentil » ?
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Estelle
Juin 4, 2015 @ 23:06
Prem’s !
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