DALLAS, Etats-Unis – Il avait refusé que sa fille Bobbi Kristina, 21 ans, plongé dans le coma depuis des mois, soit débranchée. Bobby Brown, lors d’un show donné à Dallas samedi, a affirmé que sa fille qu’il a eu avec la regrettée Whitney Houston s’est réveillée. Une victoire sur la famille Houston qui souhaitait la laisser partir. Mais, sera-t-elle encore valide ?
« Je peux le dire aujourd’hui. Bobbi est éveillée. Elle est entrain de me regarder ». Bobby Brown, le papa de Bobbi Kristina, fille de feue Whitney Houston, a réservé une surprise au public du Verizon Theatre de Dallas samedi dernier où il donnait un concert.
Regardez:
Bobby Brown – Don’t Be Cruel
Afrique
Avr 20, 2015 @ 17:31
Que Dieu te protège, ta grande-mère à besoin de toi …..
J’aimeJ’aime
Cortchou
Avr 20, 2015 @ 17:23
Entretien du Président syrien Bachar al-Assad avec le quotidien suédois Expressen
[Texte intégral de la 1ère partie]
Le Président syrien, Bachar al-Assad, a accordé une entrevue télévisée au quotidien suédois Expressen. Une première partie a été publiée en anglais et en arabe par lAgence syrienne Sana ce 17 avril, le tout nayant été publié que le lendemain.
Voici la traduction du texte intégral de la première partie à partir de la version anglaise originale. À suivre… [NdT].
Question 1: Monsieur le Président, je tiens à vous exprimer mes plus sincères remerciements et ceux du quotidien Expressenpour nous avoir accordé cet entretien. Merci beaucoup. En ce moment même, l’organisation terroriste EIIL, et même Al-Nosra, ont envahi le camp de réfugiés dAl-Yarmouk, alors quAl-Nosra qui contrôlait la frontière syro-jordanienne a pris le contrôle de Idleb. Comment décririez-vous la gravité de la situation actuelle ?
Le Président Al-Assad : Lorsque vous parlez de terrorisme, cest toujours grave, parce que le terrorisme est toujours dangereux, nimporte quand, nimporte où, et peu importe comment il se manifeste. Il en est toujours ainsi, non seulement pour lexemple que vous venez de mentionner qui nest finalement que lune de ses manifestations. Cest un long processus qui a commencé depuis des années, bien avant la crise en Syrie. Le terrorisme est grave et dangereux car il na ni frontières, ni limites. Il pourrait frapper nimporte où. Ce nest pas un problème local. Ce nest même pas un problème régional. Cest un problème mondial et cest pourquoi il est toujours dangereux. Dans notre cas, disons que le danger est pire quailleurs, non seulement à cause de la situation militaire que vous évoquez dans votre question, mais parce que le fait est quil bénéficie dune couverture politique de la part de nombreux pays, de nombreux dirigeants et hauts fonctionnaires, notamment en Occident. Au tout début, nombre de ces responsables nont pas vu la réalité de la situation. Et aujourdhui, cette réalité est devenue encore plus dangereuse, en raison du non respect du droit international et faute dune organisation internationale efficace qui protégerait un pays contre un autre pays utilisant des terroristes pour le détruire par procuration. Cest ce qui se passe en Syrie. Par conséquent, je vous répondrai par laffirmative. Oui, la situation est dangereuse mais, en même temps, réversible. Aussi longtemps quelle restera réversible, il ne sera pas trop tard pour y remédier. Avec le temps, elle deviendra dautant plus grave que les terroristes auront endoctriné les coeurs et les esprits.
Question 2 : Sauf quils envahissent davantage de zones en Syrie. LArmée et les Forces syriennes seraient-elles affaiblies ?
Le Président Al-Assad : Cest là une répercussion naturelle et normale pour nimporte quelle guerre sur nimporte quelle armée, aussi forte et moderne soit-elle. Elle sape et fragilise nimporte quelle société dans tous ses aspects, son économie, son moral, et évidemment son Armée en tant que partie de cette société.
Question 3 : Mais l’Armée est-elle plus faible qu’avant ? Parce que l’année dernière, nous avions constaté du gagnant-gagnant en votre faveur, du côté de lArmée. Vous contrôliez davantage de zones du Qalamoun et ailleurs. Et aujourdhui, par exemple, ils ont pris Idleb.
Le Président Al-Assad : Ceci nest pas directement lié au fait que lArmée soit plus ou moins forte ou affaiblie. Comme je viens de le dire : toute guerre sape nimporte quelle armée, cest le cours normal des événements. Dans notre cas, si vous analysiez la situation sur les quatre dernières années, vous constateriez des hauts et des bas. Parfois vous gagnez, parfois vous perdez, et cela dépend de nombreux critères ou facteurs, certains spécifiquement nationaux dordre interne ou militaire, dautres en relation avec le niveau de soutien dont bénéficient les terroristes. Sagissant du récent exemple dIdleb, le facteur déterminant a été l’énorme support fourni par la Turquie aussi bien du point de vue logistique que militaire et, bien sûr, le soutien financier fourni par l’Arabie saoudite et le Qatar.
Question 4 : Cest là une information ou une opinion ?
Le Président Al-Assad : Une information. Ils sont tous apparus comme une seule armée. Dans cette bataille dIdleb, les terroristes dAl-Nosra faisant partie d’Al-Qaïda, le gouvernement ou les institutions et les services du renseignement turcs, ont agi comme une seule et même armée. Par conséquent, votre exemple ne dépendait pas de l’affaiblissement de notre Armée, mais du soutien apporté aux terroristes par la Turquie.
Question 5 : Il y a quatre ans, la Turquie, le Qatar et l’Arabie saoudite, avaient leur agenda. Est-ce que cela a changé ? Ont-ils changé cet agenda ?
Le Président Al-Assad : Tout d’abord, ce ne sont pas des pays indépendants, de sorte qu’ils ne peuvent pas avoir leur propre agenda. Ils ont leur propre comportement borné, vindicatif ou haineux, parfois mis à profit pour servir dautres agendas. Ici, soyons francs, et disons quil sagit plus particulièrement de celui des États-Unis. Nous ne pouvons donc pas dire quils ont leur propre agenda. En revanche, nous pouvons dire quils nont pas changé. Ils soutiennent toujours les mêmes terroristes, leur comportement nétant pas lié à la crise en Syrie. Ils ont soutenu les terroristes en Afghanistan, ils ont soutenu l’idéologie wahhabite et l’extrémisme qui a récemment conduit au terrorisme en Europe. Depuis des décennies, ils soutiennent la même idéologie et les mêmes factions sous différents noms et labels en Syrie. Rien na donc changé, car cest leur comportement naturel.
Question 6 : De quelle idéologie parlez-vous ?
Le Président Al-Assad : De l’idéologie wahhabite qui constitue la base de tout terrorisme dans le monde. Ces dernières décennies, aucune opération terroriste au Moyen-Orient et dans le monde na échappé à cette idéologie. Tout terroriste fonde sa doctrine sur l’idéologie wahhabite.
Question 7 : L’idéologie wahhabite est liée au « 11 septembre » ainsi que tous les groupes terroristes. Les États-Unis ne sont-il pas au courant de ce lien et continuent à soutenir lArabie saoudite ?
Le Président Al-Assad : Cest une question très importante puisque dans les années 1980, les États-Unis désignaient ces mêmes groupes d’Al-Qaïda et de Talibans, en Afghanistan, de « Saints combattants » [Holy fighters]. Cest ainsi quils étaient présentés par le Président Bush. Ce nest quaprès le 11 Septembre 2001 quils les ont qualifiés de terroristes. Le problème avec les États-Unis et, bien sûr avec certains responsables occidentaux, cest qu’ils pensent pouvoir utiliser le terrorisme comme une carte en poche, une carte politique. En fait, le terrorisme est tel un scorpion ; dès quil aura une chance de vous mordre, il le fera. Par conséquent, ils sont au courant, mais nont pas mesuré le danger de lusage du terrorisme comme carte politique.
Question 8 : Monsieur le Président, une délégation officielle syrienne et une partie de l’opposition se sont récemment réunies à Moscou. Cette rencontre a-t-elle débouché sur un quelconque résultat positif ?
Le Président Al-Assad : Oui. Nous pouvons dire oui, parce qualors que, comme vous le savez, elle a été précédée de nombreuses autres rencontres, cest la première fois que lon est parvenu à un accord sur certains principes de base pour le futur dialogue inter-syrien. Nous ne les avons pas encore finalisés, le calendrier étant très chargé et faute de temps. Deux jours de dialogue entre les représentants de lopposition, suivis de deux jours de dialogue avec les représentants du gouvernement, doù quatre jours qui nont pas été suffisants pour finaliser le calendrier. Mais une percée, même partielle, signifie que la prochaine rencontre sera prometteuse quant à un accord complet sur les principes du dialogue en vue dune solution syrienne au conflit.
Question 9 : Ce que vous dites, Monsieur le Président, est très important étant donné que lEnvoyé spécial des Nations Unies, M. Staffan de Mistura, est en train de planifier une série de consultations qui devraient débuter en mai, ou en Juin, pour tenter de trouver un terrain d’entente entre les principaux États ayant un intérêt dans le conflit. Qu’en pensez-vous ?
Le Président Al-Assad : Je suis d’accord avec De Mistura sur ce point, parce quil nest ni logique, ni objectif, de considérer que le conflit est purement interne et entre factions syriennes. En fait, le problème nest pas très compliqué, mais il lest devenu en raison de l’intervention extérieure, et tout plan que vous voudriez appliquer dans le but de le résoudre sera voué à léchec à cause de cette ingérence extérieure. Cest ce qui sest passé à Alep quand les Turcs ont invité les factions de terroristes, quils soutiennent et dirigent, à refuser de coopérer avec De Mistura. Je pense donc quil est parfaitement conscient que sil narrive pas à convaincre ces pays de cesser leur soutien aux terroristes et de laisser les Syriens résoudre leur problème, il ne réussira pas.
Question 10 : Quelle est votre opinion sur les efforts de De Mistura ?
Le Président Al-Assad : Nous avons discuté ensemble de son plan pour Alep, lequel sest révélé compatible avec nos efforts pour la réconciliation [Mousalaha] dans plusieurs régions syriennes. Cest un domaine où nous avons pu réussir et où nous pouvons mieux faire encore, à partir du moment où les gens reviennent vers la normalité, bénéficient de lamnistie gouvernementale et déposent leurs armes… Le plan de De Mistura repose donc sur ce même principe de réconciliation. Cest pour cela que nous lavons soutenu dès le début et que nous continuons à le soutenir.
Question 11 : Monsieur le Président, la Suède est le seul pays dEurope qui accorde un droit de séjour permanent aux personnes qui fuient la guerre en Syrie. Qu’est-ce que cela signifie pour vous, et comment voyez-vous la politique suédoise ?
Le Président Al-Assad : Sur ce sujet ou en général ?
Lire la suite====>>:http://www.mondialisation.ca/entretien-du-president-syrien-bachar-al-assad-avec-le-quotidien-suedois-expressen/5443912
J’aimeJ’aime
fredo
Avr 20, 2015 @ 16:35
re HS
lundi, 20 avril 2015
Syrie : libération des régions situées dans la banlieue de Deraa
IRIB- Dans la foulée de leurs avancées, les forces de l’armée régulière syrienne ont investi certaines régions de Deraa et rouvert la voie principale entre Deraa et Al-Sowaïda. La voie de ravitaillement des groupes armés a été coupée, lors de cette opération.
Selon l’Agence officielle syrienne, SANA, le commandement général de l’armée et des forces armées syriennes a annoncé, dans un communiqué : «Les unités de l’armée et des forces armées ont réussi, ce lundi matin, à reprendre le contrôle des cités de Masika de l’Est et de l’Ouest, Al-Khawabi, Achnan et Al-Dalafa. Au cours d’une opération militaire inégalée et spectaculaire, l’armée régulière syrienne a repris le contrôle des cités de Maliha al-Atash et Basar al-Harir. Bon nombre des terroristes takfiris, qui s’y étaient rassemblés, ont été tués.
«L’importance de ce nouvel acquis des forces armées réside dans le fait que la voie vitale entre Deraa et Al-Sowaïda a été rouverte. Avec la fermeture du point de passage d’Al-Lajah, dont les terroristes se servaient, pour le trafic des mercenaires, d’armes et de munitions, en provenance de la Jordanie, vers deux régions, à Rif-Damas, la voie de ravitaillement des terroristes est, désormais, bloquée, et cette percée est considérée comme un coup dur asséné aux terroristes. « Ce succès de l’armée régulière syrienne ouvre la voie à l’anéantissement des fiefs des terroristes », précise le communiqué du commandement de l’armée régulière syrienne.
J’aimeJ’aime
fredo
Avr 20, 2015 @ 16:10
Hors Sujet!
lundi, 20 avril 2015
La Russie et la Chine rendent le terrain propice à l’accès à une solution politique, en Syrie
IRIB- «Les partenaires occidentaux ne s’expriment sur les droits de l’Homme que s’ils s’accordent avec leurs propres intérêts», c’est ce qu’a affirmé le ministre russe des Affaires étrangères.
Selon la chaîne d’information «Russia Today», le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a affirmé que les partenaires occidentaux ne parlent des droits de l’Homme que s’ils vont dans le sens de leurs propres intérêts. Au cours d’un discours, tenu à Moscou, Lavrov a fait état des problèmes, sur les modalités de prises de décision, à l’ONU, et auprès de la communauté internationale. «Nos partenaires occidentaux ne s’expriment sur les droits de l’Homme que s’ils conviennent à leurs propres intérêts, mais lorsque cela ne s’accorde pas avec l’idée qu’ils se font de leurs droits ou les contredit, motus et bouche cousue. En allusion aux prises de décision, par certaines puissances occidentales, sans saisir le Conseil de sécurité de l’ONU, le patron de la diplomatie russe a souligné : «Les prises de décision sans saisir l’ONU et le Conseil de sécurité sont considérées comme unilatérales. Grâce au veto sino-russe, le terrain a été balisé à l’accès à une solution politique, en Syrie».
J’aimeJ’aime
Estelle
Avr 20, 2015 @ 16:08
Attention !! Vidéo Choquante , des terroriste à Douala, au Cameroun
J’aimeJ’aime
Estelle
Avr 20, 2015 @ 15:59
Prem’s !
J’aimeJ’aime