DIAF-TV. D’ici, on entend déjà les miasmes, les accusations sans fondement, les invectives les plus abjectes dans un dossier fortement technique que la plupart des Camerounais ne maîtrise point… L’affaire du ministre Dieudonné Ambassa Zang (DAZ) est complexe. Nous avons essayé de plonger dans les méandres même de la justice camerounaise, de l’administration, aussi, pour essayer de déceler le vrai du faux, le bon grain de l’ivraie, sans toutefois porter un jugement.
Après avoir parcouru la centaine de pages du dossier, consciencieusement, nous espérons que les questions posées à notre invité valent le détour. Sans langue de bois, ni juge, ni partie. Selon le ministre DAZ, après cet entretien, ses détracteurs et dénonciateurs, toutes dents dehors, et les spécialistes de l’esbroufe seront plus qu’aux aboies. La tambouille ne marchera plus. Les extrémistes de la pensée unique – c’est un euphémisme – n’ont plus une seule carte en main. Il jure son innocence. Il accuse ses ex collègues, attaque et révèle l’anachronisme de l’accusation avec un calendrier biaisé…
Tout d’abord, considérant que la France fait partie du dossier, DAZ argue que, puisque c’est ce pays qui a financé le projet de l’affaire dite du Pont du Wouri, il n’aurait jamais eu droit à son exil sur place. Il s’en explique et tente de déconstruire les accusations portées contre lui. Il dénonce le traitement univoque de son dossier par l’Etat camerounais et la justice de son pays. Il fustige les raccourcis hâtifs qui, selon lui, relèvent simplement de ce qu’on appelle dans le jargon de l’intelligence économique relatif au conflit par l’information, d’art de l’incertitude ou code paradoxal pour flouer les Camerounais.
Ancien ministre camerounais des Travaux publics, M. DAZ relate l’acharnement dont il a été victime durant et après ses fonctions. Voire les deux documents ci-dessous:
Avertissement: entre la 23′ et 32′ de la deuxième vidéo, ne pas augmenter le volume suite à des désagréments liés à un bruit extérieur difficilement gérable. Merci.
Regardez:
Nasser
Sep 29, 2014 @ 13:28
SUR le site TSA (Algérie)
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Au lendemain de la décapitation de l’otage français Hervé Gourdel, beaucoup de question restent sans réponse. En plus du déroulement troublant du kidnapping, une question se pose : dans quelles conditions le ressortissant français a-t-il obtenu son visa pour se rendre en Algérie ?
Pour obtenir un visa pour l’Algérie, un ressortissant français doit fournir au consulat d’Algérie plusieurs documents. Comme l’indique le site internet du Consulat d’Algérie à Nice où Gourdel a obtenu son visa, parmi les pièces à fournir figure, notamment, une « réservation d’hôtel couvrant la durée du séjour ou un certificat d’hébergement récent (de moins de trois mois) légalisé par les services d’une mairie algérienne ».
Si Hervé Gourdel a présenté un certificat d’hébergement émanant d’une mairie de la région de Bouira, comment les autorités consulaires algériennes ont délivré un visa permettant à un ressortissant français de se rendre dans une zone à risque terroriste élevé ? Nous avons tenté de joindre le Consulat d’Algérie à Nice, mais en vain.
Si Hervé Gourdel a présenté un certificat d’hébergement d’une autre mairie située loin de Bouira, dans une zone plus sûre, pourquoi les autorités locales n’ont pas fait les vérifications nécessaires après l’arrivée du ressortissant français en Algérie ?
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Ne pensez-vous pas que c’est des questionnements idiots!
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Estelle
Sep 29, 2014 @ 12:00
Drôle de procès fait à un homme innocent….
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dreliberty
Sep 30, 2014 @ 17:00
Estelle!!! tu deviens la justice là…
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Estelle
Sep 29, 2014 @ 10:26
Prem’s !
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