– A Alep, l’armée a visé des rassemblements des terroristes et détruit leurs véhicules, avec les armes et les terroristes dedans, à Rachidine 5, à Rachidine 4, à Khan Assal, à Hour et à Babis.
– A Deir Ezzor, l’armée a également tué et blessé des terroristes d’un groupe armé et détruit un véhicule doté d’une mitrailleuse lourde
– Seize martyrs palestiniens, bilan du 25ème jour de l’agression israélienne continuelle contre la bande de Gaza
– Irak: Les forces irakiennes éliminent des dizaines de terroristes de l’EIIL
Posted in: Actualité
fredo
Août 1, 2014 @ 19:31
vendredi, 01 août 2014
Le ministre syrien de la Défense met en garde les terroristes
IRIB – Le Ministre syrien de la Défense, le général Fahd Jassem Al-Freij a mis en garde les terroristes opérant dans ce pays.
A l’occasion du 69ème anniversaire de la création de l’armée syrienne, le ministre syrien de la Défense, le général Fahd Jassem Al-Freij a demandé aux terroristes de poser les armes car, « le gouvernement et le peuple syriens sont les gagnants de la guerre à laquelle est aux prises le pays depuis plus de 3 ans ». Le Ministre a appelé les hommes armés à retourner au peuple, car, « poursuivre la guerre est désormais inadmissible et signifie qu’on a adhéré aux rangs des ennemis de la Syrie », selon ses propres termes. Dans le même temps, la chaîne Al-Alam a rapporté que les groupes terroristes dans l’Est de la région Al-Rachedin, à Alep, dans le Nord syrien, se sont retirés de leurs positions, essuyant des coups durs de l’armée. En plus, l’armée syrienne a bombardé le convoi des terroristes à Qalamoun, à l’Ouest du pays ; des dizaines de terroristes y ont été tués ou blessés
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fredo
Août 1, 2014 @ 19:34
vendredi, 01 août 2014
Homs/Idleb : dernier point
IRIB-Dans la banlieue de Homs, l’armée a ciblé des rassemblements
des terroristes à Samalil, à Taldo dans la zone de Houlah, à Waer et à Talbissah, tuant et blessant nombre d’eux.
Dans la banlieue d’Idleb, l’armée a visé des rassemblements des terroristes, abattu nombre d’eux et détruit leurs armes, à Raihaniyah, à Merr’iyan, à Ared Doussah, à Bzabour, à Talaf, à Hamidiyah, à Sarmine et à Binéche.
Une unité de l’armée arabe syrienne a détruit deux caches des terroristes à proximité des deux localités de Chegher et de Halouz à Jisr Choughour dans la banlieue d’Idleb, tuant 20 terroristes, blessant des dizaines d’autres et détruisant 3 véhicules dotés de mitrailleuses lourdes.
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fredo
Août 1, 2014 @ 19:37
vendredi, 01 août 2014
Daraa: saignée dans les rangs des terroristes
IRIB-A Daraa, l’armée a éliminé d’autres terroristes
et détruit leurs armes dans la ferme de Fitian, sur l’autoroute de Nahtah – Mlehat al-Attache, à Nassab, à Jamrah, à l’ouest de Faqi’, au sud de Ghurab Chahem à Atman et au nord de Muhjah dans la banlieue de Daraa.
A Daraa al-Balad, l’armée a tué et blessé aussi de nombreux de terroristes à Bajabjah, à la périphérie de la rue d’al-Ordon, à proximité de la mosquée de Billal Habachi, au sud de la mosquée de Khalil et à l’alentour de l’institut technique.
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fredo
Août 1, 2014 @ 21:01
vendredi, 01 août 2014
Quneitara: Assad avance…
IRIB-les sources militaires syriennes rapportent de très violents combats
à Quneitara au sud de la Syrie. les combats se poursuivent sur plusieurs axes entre les militaires syriens et les terroristes takfiris. le gros des combats se déroule non loin de la cité Majoudaliya lordement pilonnée par l’armée syrienne. les soldats syriens progressent en ce moment vers la cité Haba à Om Batana tout en menant des combats à Momtana et à al Ghahtaniya. les affrontements sporadiques ont été rapportés à Bossra al Chaam. à al Ghariya oriental et al al Harak et à rif de Daraa
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africalibre
Août 1, 2014 @ 11:36
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africalibre
Août 1, 2014 @ 11:35
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africalibre
Août 1, 2014 @ 11:35
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fredo
Août 1, 2014 @ 9:33
vendredi, 01 août 2014 05:53
Assad, l’infatigable soldat anti-terreur…
IRIB- « Notre guerre contre les terroristes, en Syrie, se poursuivra, jusqu’à leur liquidation totale », a déclaré le président syrien.
« Nous sommes déterminés à faire face aux terroristes et comploteurs sionistes », a affirmé, jeudi, Bachar al-Assad, le Président syrien, lors de propos tenus à l’occasion du 69ème anniversaire de la création de l’armée de ce pays, a-t-on appris d’Al-Alam. «Face au terrorisme, aucune pitié n’est permise. Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes déterminés à confronter les plans des terroristes et colonialistes visant à démembrer la Syrie et toute la région», a martelé Assad. «Nous ne nous laisserons pas emporter par des actes provocateurs et nous ne renoncerons jamais à nos droits inaliénables. Nous ne nous éloignerons pas de nos principes. Nous resterons attachés à notre vision», a-t-il indiqué. « Malgré les incidents amers, les difficultés et les nombreux complots, la Syrie ne se dérobera jamais à sa mission de défendre la patrie », a-t-il ajouté.
Lors d’affrontements avec les terroristes, à Rif Ouest d’Ain al-Arabe, dans le Nord-Est de la province d’Alep, les comités populaires, pour le soutien aux kurdes syriens, ont réussi, pendant les 24 dernières heures, à tuer 120 d’entre eux, a-t-on appris du journaliste de Farsnews, depuis Damas.
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FB
Août 1, 2014 @ 0:08
Les fruits du printemps arabe
Le temps des récoltes a commencé et ses fruits ne sont excellents pour le sionisme. Les arabes doivent se demander ce qui leur est arrivé et s’ils n’ont pas rêvé. Et voilà, c’est la guerre et la division de tous les côtés. Une révolution applaudie par BHL, Sarkozy ou Hollande ne pouvait que mal tourner. Shimon Perez, l’ancien président israélien se frotte les mains. Il a déclaré que la majorité des pays arabes soutenaient Israël contre les Palestiniens. Tripoli, Alep, Mossoul et maintenant Gaza. Les dirigeants arabes se réjouissent sans doute mais le peuple se réveillera bientôt.
« Perez:C’est notre première guerre et la majorité des Arabes nous soutient
L’ancien président de l’Entité sioniste, Shimon Peres, s’est réjoui que, pour la première fois de l’histoire des guerres israéliennes, la majorité des pays arabes soutiennent Israël face aux Palestiniens, ajoutant que le monde arabe isole désormais la résistance palestinienne. C’est ce qu’a rapporté la radio israélienne, citée par la chaine de télévision satellitaire alAlam. »
La suite de l’article :
http://www.manartv.com.lb/french/adetails.php?eid=184633&frid=18&seccatid=22&cid=18&fromval=1
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Driss
Août 1, 2014 @ 0:05
LA METAMORPHOSE DE BACHAR EL-ASSAD
par Thierry Meyssan
Depuis la retraite de Fidel Castro, la mort d’Hugo Chávez et l’interdiction faite à Mahmoud Ahmadinejad de présenter un candidat à l’élection présidentielle iranienne, le mouvement révolutionnaire n’a plus de leader mondial. Ou plutôt, n’en avait plus. Cependant, l’incroyable ténacité et sang-froid de Bachar el-Assad a fait de lui le seul chef d’Exécutif au monde qui ait survécu à une attaque concertée d’une vaste coalition coloniale conduite par Washington et qui ait été largement réélu par son peuple.
Dès sa première rencontre avec Bachar el-Assad, Hugo Chávez affirmait que le Syrien deviendrait un jour le principal leader révolutionnaire dans le monde.
Bachar el-Assad ne souhaitait pas entrer en politique. Il se destinait à être ophtalmologue. Cependant, à la mort de son frère Bassel, il rentra du Royaume-uni où il poursuivait ses études et accepta de servir sa patrie et son père. À la mort de celui-ci, il consentit à lui succéder pour maintenir l’unité du pays. Ses premières années de gouvernement furent une tentative de modifier la composition des classes sociales de manière à rendre possible un système démocratique que personne ne lui réclamait. Patiemment, il démantela le système autoritaire du passé et commença à associer la population à la vie publique.
Cependant, à peine arrivé au pouvoir, il fut informé que les États-Unis avaient décidé de détruire la Syrie. Aussi sa présidence fut-elle principalement tournée vers le renforcement de l’Armée arabe syrienne, l’élaboration d’alliances extérieures, et des tentatives de déjouer le complot. Dès 2005, avec la commission Mehlis, il dut affronter l’opposition du monde entier qui l’accusait de l’assassinat de Rafic Hariri. Mais ce n’est qu’en 2011, que les puissances coloniales s’unirent à la fois contre lui personnellement et contre la Syrie.
Quelle ne fut pas sa surprise, au début des événements, en recevant une délégation de la bourgade syrienne où s’était tenue la plus importante manifestation, d’entendre celle-ci lui réclamer pour toute revendication l’expulsion des alaouites de la ville. Révolté, il mit fin à l’entretien et décida de défendre jusqu’au bout la civilisation syrienne du « vivre ensemble ».
Durant trois ans, le timide médecin se transforma en chef de guerre. D’abord soutenu presque exclusivement par son armée, puis progressivement rejoint par son peuple, il fut élu en pleine guerre pour un troisième mandat par 88,7 % des suffrages exprimés, soit 65 % du corps électoral. Son discours d’investiture exprime à quel point il a changé au cours des événements [1].
L’idéal qu’il y exprima est d’abord celui du service de la Patrie républicaine. Il s’est battu pour défendre ces hommes et ces femmes que l’on destinait à vivre sous la férule d’une dictature religieuse au service de l’impérialisme. Et parfois, il s’est battu pour eux, et contre leur volonté. Il s’est battu pour eux en doutant de parvenir à la victoire, préférant mourir pour la Justice que d’accepter l’exil doré mais honteux que lui proposaient les « Occidentaux ».
Pourtant, peu avant, les dictateurs Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak avaient cédé dès les premières injonctions de Washington, et laissé leur pays aux mains des Frères musulmans. Pis, l’autocrate Hamad ben Khalifa Al Thani avait abdiqué, comme un enfant docile, au premier froncement de sourcils de Barack Obama, préférant jouir de sa fortune volée que de combattre.
Il s’agissait au départ pour Bachar el-Assad de résister aux coups de l’impérialisme. Mais alors que s’approche la victoire, la volonté lui est venue d’aller plus loin, de remettre en cause le désordre mondial. Il s’est découvert comme un vrai leader révolutionnaire, exactement comme Hugo Chávez l’avait perçu alors que le monde le prenait encore pour un simple fils-à-papa. Et à ce titre, et quelle que soit la félonie de certains politiciens, il ne peut pas ne pas prendre la défense du peuple palestinien que les colons israéliens massacrent à Gaza.
La Révolution de Bachar el-Assad est d’abord un combat de libération contre l’obscurantisme religieux, que les monarchies wahhabites d’Arabie saoudite et du Qatar incarnent dans le monde arabe. Elle entend garantir le libre épanouissement de chacun quelle que soit sa religion et s’affirme donc comme laïque, c’est-à-dire qu’elle s’oppose au conformisme religieux. Elle pose que Dieu ne soutient aucune religion en particulier, mais la Justice commune à tous. De fait, elle renvoie la croyance en Dieu dans la sphère privée, pour en faire la source de la force qui permet à chacun de lutter contre un ennemi supérieur en force et de le vaincre collectivement.
Comme tous ceux qui ont traversé une guerre, Bachar el-Assad n’a pu admettre l’idée que les horreurs commises l’aient été par des hommes mauvais plantant « leurs crocs dans le corps syrien, semant mort et destruction, dévorant cœurs et foies humains, égorgeant et décapitant ». L’accepter aurait été perdre tout espoir en l’espèce humaine. Aussi a-t-il vu derrière leurs agissements l’influence du Diable, les manipulant à travers les soi-disant « Frères musulmans ».
Le nom du « Diable » fait étymologiquement référence au double discours qu’il tient. Le président el-Assad a donc démonté le slogan des « printemps arabes », imaginé par le département d’État pour placer les Frères musulmans partout au pouvoir au Maghreb, au Levant et dans le Golfe. Partout l’asservissement à l’impérialisme suivait les drapeaux coloniaux, celui de la monarchie wahhabite des Sénoussi en Libye, celui du mandat français en Syrie, tout en se réclamant paradoxalement de « la Révolution » aux côtés des tyrans de Riyad et de Doha.
La guerre fut pour lui un long cheminement personnel. Il l’a vécue guidé par sa morale : le « service de l’intérêt public », ce que les Romains appelaient « la République », mais que les Britanniques considèrent comme une chimère masquant des ambitions autoritaires. Comme Robespierre « l’Incorruptible », il a compris que ce service ne souffrait aucune trahison, donc aucune corruption. À l’instar de son père, Hafez el-Assad, il vit sobrement et se méfie du luxe ostentatoire de certains capitaines du commerce et de l’industrie, fussent-ils de ses proches.
Il est devenu un leader révolutionnaire ; le seul chef d’Exécutif au monde qui ait survécu à une attaque concertée d’une vaste coalition coloniale conduite par Washington. Ce faisant, il entre dans l’Histoire.
Thierry Meyssan
Source
Al-Watan (Syrie)
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lafleurs
Août 1, 2014 @ 0:05
A aller relire !
En cherchant : Piccini delle Prada (es otage en Syrie): journal …mais je vais rechercher et donner le lien – je viens juste de trouver ce long récit parmi d’autres de ses témoignages (il aime montrer le plus sanguinolant en plus ! ) ! J’ai donc lu surtout les détails de sa capture par ces voyous que ce naïf imbécile pensait des amis honnêtes, et qui les ont vendus et revendus lui et son copain italien quand ils s’étaient rendu avec leurs copains ASl à Qussayr où il s’est trouvé enfermé pendant que l’ Armée syrienne nettoyait la ville de cette infâme vermine ! Ces voyous ignobles ont quitté d’ailleurs les quartiers de Qussayr qu’ils occupaient encore, sous le feu de l’Armée syrienne en pillant et emportant tout ce qu’ils pouvaient encore voler, tandis que la population civile tenue en otage tentait se sauver sans l’aide de ces sales barbares …
….Donc j’étais en train de lire ce que j’ai retrouvé à propos du gaz sarin, dans le journal que tient Piccini della Prada : ce reporter italien et l’ex otage avec l’autre belge Ramos et qui détaille comment il a été pris par ces bandes de » voyous rebelles ; Et voila ce qu’il raconte à ce chapitre qu’il nomme :
…. La révolution assassinée (Il y raconte comment ces tortionnaires se racontaient leur utilisation du gaz sarin pour faire donner par les occidentaux un coup de pouce à leurs actions !
C’est dans les derniers chapitres et je vais redonner exactement la référence : je n’ai pas fini de lire mais ce qu’on peut tirer de son journal c’est à quel point ces reporters sont des imbéciles nunuches ! En fait, je cherchais des nouvelles de la Syrie parce que sur Allain Jules, il n’y a plus grand chose sur la Syrie ! Pourtant les Syriens continuent à vivre et à combattre ces salauds immondes ; un enfer quand ils sont sous le contrôle de ces immondes . ..Piccini dit assez comment ces « chouchous des fabius -hollande Ps et aux ordres d’Obama » sont dégoûtants, sales, innomables ! !
Donc voila l’extrait à propos du gaz sarin employé par ces immondes !
.
Titre : La révolution assassinée
« …..Le 29 août, nous avons déménagé dans le centre de Bab al-Hawa et le groupe s’est installé dans une des pièces d’un grand immeuble transformé en caserne par l’Armée libre.
Nous étions toujours flanqués de nos quatre geôliers, dans une chambre dont la porte était restée ouverte, car il faisait très chaud et les fenêtres en étaient fermées, par crainte que quelqu’un puisse nous voir.
Le 30 août, à la mi-journée, nous avons surpris une conversation dans la pièce dont la porte se trouvait en face de la nôtre ; trois hommes s’entretenaient en anglais ; l’un d’eux communiquait via Skype. Les deux autres étaient le général de l’ASL auquel nous avions été confiés et un officier d’al-Farouk, que nous connaissions aussi. Leur interlocuteur s’exprimait avec un parfait accent britannique. De leur entretien, nous avons appris que des heurts avaient opposé Sunnites et Chiites au Liban et qu’un coup d’État militaire avait renversé le président Morsi en Egypte. Ils ont aussi parlé des troubles qui secouaient la Tunisie. Mais, surtout, ils ont évoqué une attaque au gaz à al-Ghuta, dans la banlieue de Damas où nous devions nous rendre initialement. Le nom de ce lieu nous était donc familier. Le général de l’ASL était très irrité du fait du nombre élevé de morts que l’attaque avait causé. Son interlocuteur anglophone a répliqué que la situation avait échappé à leur contrôle, mais que le sacrifice avait été nécessaire et allait tout changer pour la révolution… Nous avons rapidement compris l’enjeu de ce que nous venions d’entendre.
Plus tard dans la journée, nous avons demandé à nos gardiens si nous pouvions regarder la télévision avec eux, et nous avons entendu John Kerry, le Secrétaire d’État américain, accusant le régime d’al-Assad d’avoir gazé sa population. Mais nous venions d’avoir les preuves irréfutables que cette attaque avait été organisée par les rebelles !……. »
Bon je retourne à cette lecture …. édifiante tant pour la bétise crasse de ces journaleux -reporters aux ordres et qui se croient si malins mais ne sont que complices de voyous qui d’ailleurs leur montrent sans arrêt à quel point ils les méprisent et à quel point ils ne sont rien que des nunuches qu’on utilisent et qu’on promène en s’en servant tant que cela en vaut encore la peine !
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lafleurs
Août 1, 2014 @ 0:09
sorry : Piccini de Prata, et si on tape « Mon effroyable odyssée » on tombe sur le site de ce Monsieur qui se dit » historien, politologue » !
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lafleurs
Août 1, 2014 @ 10:40
Ah s’ils pouvaient les éliminer tous ! Tout comme dans la chanson de Brecht :
» et je lui dirai : tuez les tous ! »
Ils font vivre l’horreur aux Syriens et partout…L’histoire en gardera le souvenir apeuré comme des invasions mongoles ou de ces mercenaires du Khwaresm : ce sont des vermines immondes…. répugnants !
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lafleurs
Août 1, 2014 @ 10:46
Et c’est en réponse à la nouvelle de Fredo et non à la suite de l’extrait de Piccini le naïf !
je vous mets l’extrait de la chanson de Jenny mais elle voit arriver le bateau de corsaires qui vont ravager la ville où elle travaille dur dans un bar miteux !
« ….Ce jour-là, vers midi, cent hommes viendront à terre
Dans l’ombre, en silence, ils avanceront,
A chaque porte ils prendront un de vos frères;
Couvert de chaînes ils me l’amèneront
Et me demanderont: « Qui faut-il mettre à mort? »
Ce jour-là, vers midi, quel silence sur le port,
Quand on me demandera qui mourra.
Et vous m’entendrez dire : « Tous! », et faire
A chaque tête qui tombera : « Hop-la…! »
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fredo
Août 1, 2014 @ 13:59
exellent!
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fredo
Juil 31, 2014 @ 23:39
jeudi, 31 juillet 2014
les kurdes syriens déciment Daech
IRIB-de violents combats ont opposé les kurdes syriens aux terroristes de Daech
à rif ouest de Aïn al Arab au nord est d’Alep/ 120 terroristes ont été tués au cours de ces combats.les comités populaires de soutien aux kurdes ont réussi de s’emparer de certaines positions de Daech dans cette localité!
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fredo
Juil 31, 2014 @ 23:37
jeudi, 31 juillet 2014
Mouallem : L’offensive terroriste visant la Syrie portera atteinte à la région entière!
Mouallem : L’offensive terroriste visant la Syrie portera atteinte à la région entière
IRIB-Le vice-président du Conseil des ministres, ministre des affaires étrangères et des expatriés
au gouvernement chargé d’expédier les affaires courantes, Walid Mouallem, a affirmé que la Syrie avait averti durant les trois années passées que l’offensive dont elle fait l’objet portera atteinte à la région entière, soulignant que plus de 80,000 terroristes de par le monde avaient adhéré « au Djihad Wahhabite et extrémiste » pour combattre la Syrie.Dans un article publié par le journal chinois /Global Times/ sous le titre « Le chaos syrien, résultat de la politique du double critère », Mouallem a fait noter que des forces bien connues et soutenues par les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux ferment les yeux quant aux crimes perpétrés par les groupes terroristes armés contre les innocents et toutes les institutions économiques, industrielles et culturelles en Syrie pour la faire retourner aux époques d’obscurantisme.Il a assuré que tous les crimes précités avaient consolidé l’unité nationale du peuple syrien et l’avaient poussé à former un front unifié pour défendre sa patrie, soulignant à cet effet la vaste participation des Syriens au scrutin présidentiel pour élire leur leader.Mouallem a insisté sur l’importance que l’Occident et ses alliés régionaux enrayent l’appui aux terroristes pour atténuer la dureté de la violence en Syrie.Et Mouallem de poursuivre : « Les forces occidentales rejettent de reconnaître que leur appui aux groupes terroristes dans leur guerre contre la Syrie est la raison cruciale de la souffrance humanitaire des Syriens ».Mouallem a souligné la nécessité d’admettre que le processus politique est la seule issue à la crise en Syrie qui œuvre pour la résoudre en engageant un dialogue national inter-syrien et sous une direction syrienne. »Il ne faut pas permettre aux terroristes de mener une autre attaque terroriste chimique qui serait un prétexte pour les forces occidentales d’agresser la Syrie », a fait allusion Mouallem qui a souligné la coopération complète du gouvernement syrien avec les Nations Unies et l’Organisation pour l’Interdiction des Armes Chimiques, ainsi que l’élimination de ses armes chimiques pour ne pas laisser des prétextes aux terroristes et à leurs soutiens d’attaquer la Syrie.Il a affirmé l’importance d’éradiquer les groupes terroristes, précisant que l’armée arabe syrienne fait sa mission dans la lutte contre les terroristes.
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Estelle
Juil 31, 2014 @ 23:30
Prem’s !
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