TRIBUNE LIBRE DE SHLOMIT ABEL
Mais pour ce qui est de la Côte d’ivoire, nous ne devrions pas parler de deux camps, puisque la Côte d’Ivoire, comme nous le savons tous, a élu massivement son “messie” Ouattara et a remis cela encore une fois, le 11 décembre !!! Comment, dans ce mariage d’amour célébré le 11 avril 2011, et cette nouvelle lune de Miel qui se poursuit depuis quinze jours par le “plébiscite” – à presque 37 %, taux garanti ! – aux législatives et les plus de 99 % donnés à Soro Guillaume, la mariée ivoirienne, cette belle république, sortirait-elle son tam-tam de guerre ? Pourquoi se révolterait-elle contre ces agents d’état chargés de sa protection, elle qui est censée ignorer que les agents du capital, français et étrangers, de connivence avec certains ivoiriens de l’ombre, font sortir en douce les richesses du pays et reconstruisent à prix d’or sur les ruines des bombardements ?
Aujourd’hui chacun le sait : Ouattara et son mentor élyséen se sont embarqués dans une aventure militaire aux allures de safari à l’ancienne. Ils n’en sortent plus et ne s’en sortent plus. La côte d’ivoire est devenue un immense terrain de chasse, dont ils n’ont pas encore fait le tour : après avoir terrassé l’éléphant, lui avoir retiré ses défenses tant convoitées, après avoir en s’acharnant, tué, décimé, le gros gibier, voila que le chasseur burkinabé, épaulé par sa suite, s’amuse avec ses meutes de chiens, – un croisement bâtard nouveau, moitié loubard, moitié bagnard,- à fatiguer et affamer ses prochaines victimes ; incessamment il les traque pour qu’elles ne puissent pas trouver de repos, reprendre des forces, se relever, se dresser et à mains nues s’opposer à ces chasseurs disproportionnellement armés !
Voilà plus de 10 ans que ces forces rebelles augmentées de forçats en cavale, de délinquants de tous poils, pour beaucoup venus d’ailleurs, tiennent en otage tout un peuple, sans que personne ne bronche, sans que l’alarme ne soit déclenchée… D’autant plus scandaleux !
Alors que Ouattara par son investiture, genre Commedia dell Arte, dans l’auditorium de la fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix croyait consacrer devant Dieu, -le sien- et devant les hommes -la communauté internationale- son union avec l’élue de ses intérêts, celle-ci déjà mariée se retrouve dépouillée de tout, son époux légitime jeté en prison, puis en pâture aux fauves du grand cirque occidental de La Haye!
Ouattara n’a cessé de sonner l’hallali, mais voilà : en dépit du nombre exponentiel des chasseurs, de leurs armes lourdes françaises, qui ont extirpé le roi-lion de sa tanière fortifiée, laissant la Côte d’Ivoire à terre, sanguinolente, sans forces, sans eau et sans nourriture depuis si longtemps, la Côte d’Ivoire ne rend pas l’âme, elle ne capitule pas ! Il a beau la violenter, la violer, la mettre à nu, la dépouiller, l’étrangler, elle ne veut plus de lui !
Enceinte des œuvres de ce monstre -violence, mort, désolation..-, la voici lourde, épuisée. Cette nuit de noce résonne encore comme un cauchemar : si l’époux usurpateur avait été un peu vigilant, il aurait compris qu’en passant ses nuits à l’extérieur, au Sénégal, sans panser les plaies de l’élue, sans lui rendre sa joie de vivre, sans veiller sur le comportement de ses auxiliaires, sans améliorer son quotidien; oui, il aurait réalisé que son couple contre nature était sans avenir! Rêvait-t-il d’un avenir de veuf, pouvant dilapider à sa guise avec son ami français l’immense héritage laissé vaquant? Dans leur folie, lui et son ami Nicolas réalisent-ils que jamais elle n’a signé de contrat autre que celui d’une Constitution qui la lie à la Légitimité et la Vérité, qu’elle n’a pas légué ses biens à son époux de fer et de paille !
Au contraire, maintenant des enfants se lèvent, ses vrais fils et filles, ils viennent de partout et réclament leur dû ! Le tam-tam leur apporte la triste complainte de l’épouse et de la mère bafouée et l’appel à la révolte : trop c’est trop! Le son du cor de chasse occidental s’étrangle, l’éléphant réclame ses défenses d’ivoire brisées et volées, pour réveiller le peuple avec un barrissement nouveau ! Le tam-tam apporte la nouvelle de la convalescence de l’Epouse, et son appel : ses enfants se préparent, ils s’équipent, ils relaient les nouvelles du tam-tam, et au son de la trompe véritable, sonnant le véritable hallali – peut-être celui du “Hallel”, cette “louange” entonnée pendant les fêtes à la gloire du D.ieu Libérateur (Psaumes 113 à 118)-; ils se mettent en route pour rentrer au bercail, déclarer au chasseur que la chasse est terminée, qu’il n’y a pas de station supplémentaire. Terminus : tout le monde descend! La réserve, la chasse gardée ferme définitivement ses portes, le colon-chasseur est prié de quitter les lieux, de vider ses valises et de restituer les biens mal acquis; seul bagage autorisé : un Ouattara roulé et bâillonné, en partance pour La Haye, Pays-bas, prison de Scheveningen !
Sikensi, le massacre de Noël, le massacre de trop ! Dans le calendrier juif, à la Fête de Hannoucah se rattache également le souvenir d’une révolte sanglante, où beaucoup sont morts, mais où la victoire d’un tout petit nombre sur une immense armée s’est vue couronnée par un miracle lui aussi tout petit, presqu’insignifiant : l’huile du Chandelier, dans le Temple reconquis et purifié, au lieu de brûler un jour, a brûlé huit jours ! C’est tout à fait banal et, au regard du déploiement de lumières à Abidjan, presque un non-évènement; mais la parole à retenir, celle que nous avons entendue proclamer lors du Shabbat de hannoucah, c’est celle du prophète Zacharie: “Ni par la puissance, ni par la force mais par mon esprit!” (ch. 4 v. 6)
Monsieur Ouattara, vous aurez beau redoubler de violence, brutaliser encore davantage, le temps vous échappe, et telle une femme enceinte, soudainement prise de contractions, qui ne s’arrêteront pas et iront en s’intensifiant jusqu’à la délivrance, “votre” Côte d’ivoire vous échappe déjà; le compte à rebours a commencé, l’intolérable douleur partagée par tous les Ivoiriens va se muer en douleurs de l’accouchement ! La mère et son enfant vivront! Ils ont un avenir, mais vous et les vôtres, ils vous vomiront, comme on vomit ce qui ne peut être digéré, assimilé ! Oui, le tam-tam, c’est tout cela qu’il annonce ! Préparez-vous au jour du grand hallali, celui de l’Eternel, qui annoncera que la Bête – vous et vos “illuminés”- est à terre, que la côte d’ivoire vit, que ses exilés sont de retour, qu’elle engendre des fils et des filles, que la joie est revenue…
Shlomit Abel
Léandre Sahiri
Jan 5, 2012 @ 12:59
En vérité
Celui de qui la conduite offre le plus à redire
Il est toujours sur autrui prompt à médire ;
Celui de qui la conduite offre le plus à dire
Il prétend se trouver seul à détenir la vérité à dire ;
Et il va
Jusqu’à manœuvrer pour nous faire abandonner la poursuite du chemin vers la vérité ;
Et il va
Jusqu’à se mentir à soi-même et à mentir aux autres ;
Et il va
Jusqu’à ne plus distinguer le faux du vrai, le mal du bien, ni en soi, ni autour de soi ;
Et il va
Jusqu’à vivre sans savoir qu’il a perdu le respect et l’estime de soi et des autres ;
Et il va
Jusqu’à étaler son dérèglement dans des arrogances insensées et des jouissances grossières ;
Et il va
Jusqu’à ignorer que, comme l’huile dans l’eau, la vérité finit toujours par remonter à la surface ;
Et il va
Jusqu’à sous-estimer que le mensonge peut perdurer à courir, à courir, à courir…, mais, le mensonge a les jambes si courtes que la vérité finit toujours par le rattraper ;
Et il va
Jusqu’à feindre de ne pas savoir que la vérité et le matin en viennent toujours à la lumière,
Avec le temps,
Car, le temps
Il est le père de la vérité :
Le temps mûrit toutes choses
Le temps fait déteindre ce qui éblouit ;
Le temps révèle tout, même ce qui se cache ;
Par le temps, toutes choses viennent en évidence ;
Par le temps, l’excès de mensonge finit par rendre inutiles nos masques,
Et finit par nous exposer au mépris et aux outrages, sinon à la haine et à la vindicte.
Léandre Sahiri
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Deyoga
Déc 30, 2011 @ 0:36
Lundi, 26 Décembre 2011 06:01
Histoire de la Cris Ivoirienne: LETTRE DU PRESIDENT FRANCAIS SARKHOZY AU PRESIDENT NIGERIAN JONATHAN GOODLUCK
Écrit par Voix de l’Afrique
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Paris le, 25 Février 2011
Monsieur le Président,
La situation politique de la Côte d’Ivoire se dégrade tous les jours et nous craignons une catastrophe humanitaire sans précédent et comme je vous l’ai hier lors de notre conversation téléphonique…………..
La France jouera son rôle dans le rétablissement d’un Etat de droit et surtout user de toutes les voies légales afin d’obtenir le épart du Président sortant Laurent Gbagbo.
La Côte d’Ivoire s’achemine lentement mais surement vers une anarchie et le chaos qui débouchera vers une inévitable guerre civile, étant premier responsable de l’organisation régionale ouest africaine, vous avez la lourde tâche de prendre vos responsabilités afin d’envoyer un message clair à M. Laurent Gbagbo que la force militaire dont vous aurez la charge le délogera.
Nos forces basées en Côte d’Ivoire interviendront dans l’opération avec une résolution claire des Nations Unies sous le couvert de la mission locale, résolution qui sera soutenue par notre ambassadeur lors des débats au Conseil de Sécurité. Mais pour cela, il vous faudra après la saisine faite par votre pays au conseil pour l’intervention militaire, de penser à trouver un Etat sou régional qui se chargera aussi d’ester devant la Cour Pénale Internationale tel que prévu par le statut de Rome.
La France par ma voix a énoncé au Conseil de Sécurité que le mandat de l’ONUCI est devenu totalement inadapté pour garantir la paix et la sécurité en Côte d’Ivoire et que l’inertie prolongée des Nations Unies, ne me laissera pas d’autres choix que de retirer mes troupes dans ce bourbier.
Pour ma part, je reste convaincu que vos efforts conjugués avec celui du médiateur Blais COMPAORE, devraient permettre à l’Organisation de l’Union Africaine de reconnaitre enfin la victoire du Président Allassane Dramane Ouattara.
Il sera catastrophique pour la démocratie en Afrique de laisser passer un tel affront du Président sortant Laurent Gbagbo et rester au pouvoir. L’Afrique a besoin de dirigeants consciencieux comme vous et surtout qui ont un idéal pour le peuple dont ils ont la charge.
Je reste persuadé que votre engagement dans la résolution de la crise ivoirienne sera soutenu par l’ensemble des Chefs d’Etats Africains pour qu’enfin ce beau continent puisse s’organiser et aller de l’avant.
La crise ivoirienne est une succession de faille et de laisser aller dû aux compromis afin d’éviter la guerre civile dans toute la sous région de la CEDEAO et de l’Afrique en général, le partage du pouvoir est inadmissible et ce sera une autre défaite des médiations africaines.
La seule solution politique est celle du départ sans condition de Monsieur Laurent Gbagbo qui continue à usurper un poste dont il n’est plus détenteur légal, et si nous ne prenons pas toutes les mesures nécessaires, le pays risque de sombrer et voir une division en deux Etats, et ceci à la suite du Soudan entrainera une succession de réclamation et de confiscation de zones pour diviser d’autres pays africains.
Sur le pont des divergences nées de la méconnaissance du dossier ivoirien par le Président Jacob Zuma, j’ai dépêché mon conseillé diplomatique qui se chargera de lui expliquer les enjeux et le risque encouru par un manque de cohésion au sein du panel à faire partir Monsieur Laurent Gbagbo du pouvoir, explication que je me chargerai d’appuyer lors de son passage à Paris.
Comme vous le voyez, mes collaborateurs ont été mobilisés immédiatement, et préparent activement d’autres initiatives qui nous permettront d’améliorer nos politiques dans ce sens et regler définitivement ce problème.
J’adresse copie de ce courrier au Président du Faso, Médiateur de la crise ivoirienne.
Je vous prie d’agréer, son Excellence Monsieur le Président de la République à l’expression de ma très haute considération.
Son Excellence
Monsieur Goodluck Jonathan
Président de la République
République Fédérale du Nigéria
Nicolas SARKHOZY
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Deyoga
Déc 30, 2011 @ 0:31
Ouattara a perdu l’élection présidentielle : les arguments-chocs
Dans un texte précis et méticuleux, Ahoua Don Mello, ex-patron du Bureau national d’études techniques pour le développement (BNETD), impliqué dans le processus électoral à travers sa filiale SILS-Technology, démontre scientifiquement qu’Alassane Ouattara a perdu les élections en Côte d’Ivoire. Et mis en place une fraude gigantesque à travers la Commission électorale indépendante (CEI), qu’il contrôlait. A lire et à faire lire. Même quand les enjeux d’actualité sont passés, l’Histoire reste toujours à écrire.
La vérité des urnes
La crise post-électorale en Côte d’Ivoire, a été vécue de manière très douloureuse par les Ivoiriens, chacun selon ses raisons. C’est pour cela que je tiens publiquement à exprimer toute ma compassion à tous ceux qui en ont souffert et qui souffrent encore. Notre compassion serait vaine si ces souffrances devaient se répéter un jour, car nous ne sommes pas à notre dernière élection ni à notre dernière crise électorale. Alors pour inhiber toutes les formes de ressentiment, seuls la découverte de la vérité des urnes du 28 novembre, l’examen des problèmes qui se sont posés et les dispositions à prendre pour éviter les crises, ou si elles surviennent, les dispositions à prendre pour les résoudre pacifiquement, peuvent nous permettre de soigner nos douleurs et construire notre nation en faillite. S’attaquer aux effets en ignorant la cause de la crise serait une erreur de méthode, car cela ne nous met pas à l’abri d’une autre crise, les mêmes causes produisant les mêmes effets
La grande bataille que nous devons livrer pour asseoir durablement la démocratie est la bataille contre la fraude électorale qui s’est révélée endémique dans les conditions des élections de 2010. C’est dans ce seul but que, prenant acte de la faillite de la commission Electorale Indépendante (CEI) à proclamer les résultats des élections dans les délais prescrits par le code électoral et l’imposture de son président Monsieur Youssouf BAKAYOKO, à proclamer hors délai les résultats du 2ème tour d’une élection présidentielle au quartier général de campagne d’un des candidats sans procès verbal signé de tous les membres de la commission centrale. Prenant aussi acte de l’attitude incongrue du conseil constitutionnel à proclamer deux présidents pour une seule élection, pendant deux mois, à raison de 15 heures par jour, je me suis évertué à passer en revue les 19 041 procès verbaux (PV) issus des élections du 28 novembre 2010 pour asseoir mon intime conviction sur les élections de 2010. Les résultats que je vais livrer sont édifiants. Mais le travail étant fait par le militant du Front Populaire Ivoirien que je suis, toute suspicion serait certainement légitime. C’est pour cela, mon souhait le plus cher serait que chaque personne physique ou morale (ONG, Association, etc.) à la quête de la vérité des urnes du 28 novembre puisse refaire le même exercice. Cela suppose que l’ONUCI accepte de mettre à la disposition du public l’ensemble des procès verbaux qu’elle détient et que la SAGEM ou la CEI puisse mettre à disposition le répertoire des bureaux de vote. Pour ma part je suis prêt à le faire. Mais la crédibilité des PV et du répertoire sera d’autant plus grande que si la source est onusienne bien que dans ce conflit son impartialité soit douteuse.
Les procès verbaux qui m’ont servi de base de travail sont ceux remis au représentant du facilitateur et à l’ONUCI.
Les procès verbaux examinés par l’ONUCI sont de trois sources :
– PV originaux remis par la CEI au représentant spécial du facilitateur dans les sacs scellés (18433 PV exploitables)
– PV numérisés et transmis par SILS non compris parmi les 18 433 exploitables ci-dessus (548 PV supplémentaires)
– PV annoncés publiquement par la CEI pour l’étranger (60 PV supplémentaires)
Cela fait au total 19 041 procès verbaux (PV) sur 20 073 bureaux de vote (BV) soit 1032 PV manquants non transmis à la CEI centrale par les commissaires électoraux Car chaque bureau de vote doit remettre obligatoirement un PV.
Les 19 041 PV correspondent à 5 418 833 inscrits sur un total de 5 725 722 électeurs. Il serait important, dans le cadre de la recherche de la vérité sur les élections de 2010 que l’on étudie le sort des 1032 PV manquants et l’on situe les responsabilités car il s’agit du droit de vote de 306 889 électeurs pouvant induire une erreur de 7 points sur le résultat de chaque candidat.
Les 19 041 PV, au cours de l’exercice que j’ai effectué, ont été classés en deux catégories. Les PV frauduleux et les PV d’apparence non frauduleux.
J’ai classé dans la catégorie des PV frauduleux ceux présentant les caractéristiques suivantes et donc ne satisfaisant pas les critères définis par la CEI :
– Les PV sans sticker car la commission électorale indépendante a remis à chaque bureau de vote un sticker pour authentifier le procès verbal. L’absence du sticker invalide le procès verbal selon les règles de la CEI ;
– Les PV fictifs car ayant un lieu de vote non renseigné ou le lieu de vote renseigné sur le PV ne correspond à aucun lieu figurant sur le répertoire des lieux et bureau de vote ;
– Les PV dont le nombre de voix par candidat n’a pas été renseigné ou illisibles ;
– les PV dont le nombre de suffrages exprimés additionné au nombre de bulletins nuls est supérieur au nombre de votants. J’ai éliminé ces PV car tout se passe comme si les bulletins de vote se sont multipliés dans l’urne ;
– Les PV dont le nombre de votants est supérieur au nombre d’inscrits de plus 18, car la règle établie par la CEI ne tolère pour chaque bureau de vote qu’un maximum de 18 votants supplémentaires au nombre d’inscrits. Cela pour permettre à ceux qui sont en mission et autres déplacés de pouvoir voter ;
– Les PV dont la somme du nombre de voix pour les deux candidats diffère du nombre total de suffrages exprimés ;
– Les PV dont les noms et signatures des trois membres du bureau de vote n’y figurent pas.
Les cas de fraude les plus significatives sont repartis comme suit :
– Nombre de PV fictifs : 2 090
– Nombre de PV sans sticker : 1 320
– Nombre de PV avec un nombre de votants non inscrits supérieur à 18 : 97
– Nombre de PV dont le nombre de suffrage exprimé est supérieur au nombre de votant : 66
– PV dont la somme des suffrages exprimés par les deux candidats est supérieur au suffrage exprimé : 31
Soit au total 3 604 PV hormis les fraudes mineures. Les 3 604 PV représentent1 069 285 voix
J’ai considéré comme valides les PV dont l’un des candidats n’a pas de représentants, même si cela s’est abondamment produit dans la quasi-totalité des bureaux de vote de la zone sous contrôle de la rébellion où le candidat Laurent GBAGBO n’avait aucun représentant. De nombreux soupçons de fraudes existent sur plusieurs PV. Seule une commission qui pousserait plus loin l’analyse en ayant à disposition les listes d’émargement et le contenu des urnes peut découvrir les PV frauduleux issus de la catégorie des PV dont les noms et signatures des trois membres du bureau de vote n’y figurent pas. L’absence du représentant d’un candidat n’est pas une situation de fraude en l’état actuel des règles de la CEI.
Le résultat obtenu en ne retenant que les procès verbaux valides au stade actuel des moyens d’investigation (absence de liste d’émargement, d’urnes contenant les bulletins de votes) est le suivant :
– Nombre de suffrages exprimés : 4 065 262 soit un taux de participation de71% correspond à peu près au chiffre annoncé par la CEI à la fermeture des bureaux de vote ; chiffres basés sur les listes d’émargement qui sont loin des 81%obtenus sur la base des PV.
– GBAGBO Laurent 2 132 229 soit 52,45%
– OUATTARA Alassane 1 933 033 soit 47,55%
Au vu des documents, la principale source de fraude provient des commissaires de la CEI responsables des zones sous contrôle de la rébellion et des présidents des commissions locales qui ont pu faire disparaître 1032 procès verbaux sans aucune explication officielle. Lorsqu’on se rend compte que la quasi-totalité de ces commissaires et des présidents des commissions locales sont des militants RHDP donc pro-Ouattara et qu’ils avaient les résultats du premier tour, rien ne les empêchait de créer des situations qui invalident des PV favorables au candidat adverse (Cas de Paris). En plus, étant chargé de la gestion des PV et du matériel électoral, rien ne les empêchait de substituer aux vrais PV des faux PV ou des PV sans sticker. Au vu du nombre élevé de PV sans sticker et de PV fictifs tout laisse à croire que c’est ce qui s’est passé.
Enfin les scores soviétiques dans la zone sous contrôle des rebelles avec l’absence des représentants du candidat GBAGBO pourchassés par ces rebelles, constituent la seconde source de fraudes. Une commission électorale équilibrée et une sécurité non partisane, constituent les conditions d’élection avec un minimum de fraude.
En effet, des élections crédibles ne peuvent être organisées en Côte d’Ivoire que si la nation est une et entière. Quelques soient les arguments avancés par la communauté internationale sur la faisabilité d’organisation des élections, il faudra d’abord et avant tout unifier le pays, le pacifier.
La possibilité d’une résolution pacifique de la crise
En cas de crise, une commission de recomptage est la voie la moins coûteuse. Seul, j’ai mis deux mois ; cela veut dire qu’une commission mettra moins de deux mois pour régler la crise. Il faut donc sécuriser tous les documents électoraux depuis les urnes, en passant par les listes d’émargements jusqu’au PV. La présence des représentants des candidats doit être une obligation afin d’éviter des PV fantaisistes et les bourrages d’urnes.
L’exemple d’HAÏTI est instructif. Au premier tour des élections présidentielles tenues le 28 novembre 2011 correspondant à la date du deuxième tour en cote d’ivoire, le Conseil électoral Provisoire (CEP) haïtien a proclamé des résultats, validés par le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU, qui éliminaient le chanteur Michel MARTELY au premier tour et plaçaient le candidat du pouvoir Jude Célestin en tête. La protestation de ces résultats a entraîné une médiation internationale. Une mission d’enquête de l’Organisation des États américains (OEA) a conclu que des fraudes avaient faussé les résultats et a procédé à un recomptage des voix qui a exclu Monsieur Jude Célestin du deuxième tour. Le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU s’en est excusé auprès du peuple haïtien. Monsieur Michel MARTELY est, aujourd’hui, le Président de la république de Haïti.
Pourtant, au même moment, la protestation des résultats et la demande de recomptage des voix en Côte d’Ivoire sont balayés d’un revers de main par le secrétaire général de l’ONU et son représentant spécial considérant comme une injustice le recomptage des voix. Malgré l’insistance du Président Laurent GBAGBO auprès de l’Union Africaine et du reste de la communauté internationale.
De même que la république d’HAÏTI a pu éviter une guerre en empruntant la voie du recomptage imposé par la communauté internationale (France, USA, ONU) lors du premier tour des élections, de même la Côte d’Ivoire pouvait faire l’économie d’une guerre en utilisant la même solution pour des crises identiques. Belle leçon de gestion de la crise électorale par les mêmes acteurs de la communauté internationale.
Qui avait donc intérêt à faire une guerre en Côte d’Ivoire ? Ceux qui, de toute évidence connaissaient la vérité des urnes telle que je viens de les exposer. Pour ceux là, la voix du recomptage était sans issue, seule la guerre pouvait donner la réponse souhaitée, donc procéder, vaille que vaille, à un coup d’état.
Les ponts d’une réconciliation durable
Commencée en 2002 avec un seul visage, cette guerre s’est terminée en 2011 avec tous les visages dont celui de la France en première ligne avec des bombes larguées sur nos têtes pour nous « protéger ». Au-delà de la résolution 1975 de l’ONU, en violation flagrante de l’accord de cessez le feu conclu en 2003 et qui a justifié l’envoi des forces onusiennes pour faire respecter cet accord, en violation de l’embargo sur les armes et en violation de l’accord de fin de guerre conclu en 2005 à Pretoria, la Côte d’Ivoire a vécu une page sombre de son histoire sous l’instigation de la France qui a réussi à diviser pour mieux régner en jouant au pyromane et au pompier et en se jouant de l’Union Africaine mise hors jeu en dernière minute.
Il est temps que nous Ivoiriens, nous Africains comprenions définitivement que notre salut ne viendra pas de l’extérieur et que ce ne sont pas les primes de guerre que les différents bailleurs de fonds vont annoncer les uns à la suite des autres qui développeront nos pays et ce continent. Si certains y croient encore c’est leur droit mais cela ne doit pas être l’occasion d’écraser ceux qui croient l’inverse.
Le faux prétexte qui consiste à dire que la guerre a été déclenchée par le refus du Président GBAGBO de quitter le pouvoir après avoir perdu les élections doit aussi être abandonné car aucune déclaration de GBAGBO ne peut être brandie pour prouver de telles affirmations ayant fait du silence sa méthode de gestion de cette crise. GBAGBO a souhaité un recomptage des voix comme en Haïti au lieu de la guerre, mieux, l’institution compétente pour faire d’un candidat le vainqueur des élections présidentielles n’est pas GBAGBO mais bien le conseil constitutionnel qui l’a proclamé vainqueur du 2ème tour des élections comme cela s’est passé au 1er tour. Après la décision de l’Union africaine, malgré le non recomptage des voix, il a pris acte des propositions faite par cette dernière à travers un communiqué du gouvernement et a donné son accord pour la désignation d’un haut représentant pour entamer les négociations qui devaient démarrer le 5 avril. Une adresse à la nation plusieurs fois reportée devait être faite après la désignation du haut représentant pour préciser les conditions de mise en œuvre des propositions de l’Union africaine en accord avec plusieurs de ses pairs africains auprès de qui il a dépêché des délégations après le sommet de l’Union africaine
C’est dans cette attente de la désignation et de l’arrivée du haut représentant de l’union africaine, que le Président Français Monsieur Nicolas SARKOZY, en violation du cessez le feu et de l’accord de fin guerre, a déclenché la guerre avec l’appui de l’ONUCI et des rebelles lourdement armés en violation de l’embargo sur les armes.
En effet certains opérateurs économiques de l’Union européenne avaient décidé de passer outre l’embargo à partir du 30 mars si aucune solution n’est trouvée à la crise. Ces opérateurs pouvaient ne pas respecter leur engagement surtout la livraison de matières premières convoitées par d’autres opérateurs économiques hors zone Union européenne. Les négociations de l’Union africaine qui devaient commencer le 5 avril étaient donc inacceptables pour Mr SARKOZY, c’est ainsi que les besoins en matières premières ont primé sur la méthode de règlement pacifique de l’union africaine et l’ordre de violation du cessez le feu a été donné le 28 mars.
N’en déplaise à ceux qui n’ont pas encore compris que les états n’ont que des intérêts et pas d’amis et qui ont la naïveté de croire encore que l’armée française est intervenue pour les sauver. Le gouvernement a appelé au respect du cessez le feu en décidant d’un cessez le feu unilatéral pour ne point se rendre complice d’une guerre inutile de la France contre la Côte d’Ivoire.
Face à l’impossibilité des rebelles de prendre les institutions de la république malgré l’appui aérien français et onusien, dans la nuit du 2 au 3 avril, 17 avions cargo de l’armée française ont débarqué un régiment de bérets verts de la Légion étrangère et du matériel de guerre après avoir braqué l’aéroport. On connaît la suite. En violation flagrante de la résolution 1975, 50 bombardements sur la résidence du chef de l’état et une colonne de 30 chars de l’armée française ont eu raison du Président GBAGBO le 11 avril 2011. Après ce coup d’état inédit, l’heure est venue de faire la paix. Toute paix après une guerre commence par un accord de paix. Ce que le Président GBAGBO a appelé, la partie civile de la crise ou ce que AFFI N’GUESSAN a appelé la solution politique de la crise.
Vouloir passer outre ce traité et agir en éternel « vainqueur » en traquant à tous les coins du pays les « vaincus » serait une erreur car la nation ivoirienne ne pourra que s’effriter d’avantage et en plus les éléments constitutifs d’un état disparaissent par des pillages. Nous avons des généraux sans armées, des ministres sans ministères, des juges sans tribunaux, des députés sans assemblée. L’heure est au chantage et au pillage par une armée de rebelles et de prisonniers en armes se considérant « vainqueurs » de l’armée régulière et abandonnée sans solde par les recruteurs.
Aujourd’hui, tous les sachants du FPI et du gouvernement sont soit en prison, soit en exil donc n’ont pas le droit à la parole, ni au dialogue, ni à l’expression de leur part de vérité.
Aujourd’hui près de 2 millions d’électeurs presque tous du LMP sont des exilés internes ou externes sur une population électorale qui ne compte que 5 700 000 électeurs. Si on ajoute à ces 2 millions ceux qui ne sont pas exilés mais persécutés chaque jour dans leur existence pour être des proches de GBAGBO, l’on se rend bien compte que ce n’est pas la majorité qui a voté Monsieur Alassane Dramane OUATTARA et qu’il sera difficile de gouverner contre cette majorité.
Il faut donc créer les conditions de leur libération et de leur retour pour que toutes les vérités soit dites, que tous les victimes et responsables de crimes soient identifiés avant que la justice ne prenne le relais. Vouloir faire autrement, c’est vouloir cacher un pan important de la vérité sur la crise ivoirienne.
Le gouvernement illégal et illégitime de rebelles formé à Bouaké de 2002 à 2010 n’a pas plus de légitimité que le gouvernement de l’honorable professeur AKE NGBO formé selon les lois et règlements de son pays ; les 10 000 morts de cette rébellion pendant cette période de 2002 à 2010 et le génocide Gueré en 2011 par le fait des rebelles doivent être soumises de la même justice que les victimes alléguées au camp Gbagbo.
Selon la commission spéciale mise en place par l’ONU sur les trafics en zone rebelle, plus de 250 milliards de FCFA de ressources par an soit plus de 2000 milliards en 8 ans (diamant, cacao, bois, coton, anacarde, vente illégale de carburant, moto, vélo, pagne, sucre, lait, huile, casses d’agences BCEAO etc.) ont été détournés par les rebelles sans qu’aucun compte n’est été fait à l’état. Les auteurs de tous ces crimes ne peuvent pas être en liberté tandis que ceux qui ont permis à l’état d’exister malgré ces manques à gagner sont en prison ou poursuivis. Selon Africa mining intelligence n°251 du 01/067/2011, l’exploitation frauduleuse par les rebelles du diamant continue jusqu’aujourd’hui exploitant plus de 300 000 carats chaque année générant plus de 12 milliards l’an.
Si le souci du nouveau pouvoir est véritablement de bâtir un état de droit, alors il est important que la loi ne soit pas à double vitesse et qu’elle soit la même pour tous au risque de faire de la justice un instrument d’injustice qui entraverait pour longtemps la paix et l’unité nationale.
Reconstruire l’état, l’état de droit, la nation et la démocratie reste donc une œuvre immense qui doit commencer par la liberté d’aller et venir et la liberté d’expression en toute sécurité, en libérant Laurent GBAGBO et tous les prisonniers politiques et en créant les conditions de sécurité nécessaires pour le retour des exilés. Tels sont les préalables à toute réconciliation sincère et durable qui n’hypothèque pas l’avenir.
Ahoua DON MELLO
Docteur Ingénieur des Ponts et Chaussées
Ex Directeur Général du BNETD
Ministre de l’Equipement et de l’assainissement,
Porte parole du Gouvernement AKE NGBO
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constantineware
Déc 29, 2011 @ 23:38
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A.Th
Déc 29, 2011 @ 23:37
Google earth, google mensonge, a les voir la guerre de Libye n’aurait jamais eu lieu.
Des images présentées comme datant de septembre 2011, avec des bâtiments intact même a Bab azizia, fallait oser.
Mais la personne attentive remarquera surement que certaines zone de tripoli reste avec des date d’avant le 3 mars 2011. Pourquoi?? ce sont des zone qui ont étaient si longtemps sous le feu des médias bien qu’avec de rare photos, que les montrer avec de fausses dates auraient pu peu être attirer l’attention?? A vérifier.
J’aimerais bien que quelqu’un puisse m’expliquer pourquoi aucune trace de bombardement malgré leur violence de mars a la date des photo.
D’un autre coté ils se sabordent tous seul aussi, car si Muammar avait fait bombarder son peuple, on aurait pu au moins avoir les traces.
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constantineware
Déc 29, 2011 @ 23:33
Mondialisation de la pauvreté par la dette
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constantineware
Déc 29, 2011 @ 23:21
Conférence de Michel COLLON et Jean BRICMONT à l’Université de Liège (08/12/2011)
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elmikao
Déc 29, 2011 @ 22:54
29/12/2011 – Nouvelles de résistance en Libye
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elmikao
Déc 29, 2011 @ 22:56
sorry à constantineware pour le doublon. On a pensé au même analyse vidéo. elle est bien fisselée – à voir absolument.
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boheme
Déc 30, 2011 @ 0:50
Il est vraiment magnifique de perseverance et d esperance!
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constantineware
Déc 29, 2011 @ 22:32
Nous ne savons pas si cela est vrai, mais voici une traduction:]
Nouvelles de libye a déclaré que «Abdul Rahim CEEB, le Premier ministre, a l’intention de présenter sa démission après des semaines de protestations contre l’obstruction du programme de réconciliation nationale. libyens groupes inconnus prétendant être de l’Union et les rebelles libyens veulent se débarrasser des supporters de Mouammar Kadhafi.
« CEEB Rahim, le Premier ministre libyen, a refusé de signer un mémorandum, présenté à lui par ce soi-disant Union, intitulé: . partisans de Kadhafi doit être gardé hors de la Libye et Saif al-Islam Kadhafi devrait être exécuté »
Le journaliste libyen: « Démonstrations à Benghazi et à Tripoli pour plusieurs jours sont exigeants pour expulser les partisans de Mouammar Kadhafi en dehors du pays et aussi l’exécuti
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Zouzou
Déc 29, 2011 @ 19:14
La réalité ivoirienne, il faut avoir le courage de le dire, provient de la rébellion de 2002.Sangaré, as tu perdu des gens en 2002, en 2004? Les morts de ces années sont ils des hommes ou des animaux pour que seuls les morts post-électorales soient pour toi, l’élément essentiel pour juger les faits des autres? Tous les morts de Bouake, Duekoue, Korhogo, méritent ils ou simplement ce sont des « bousoumani » qui méritent la mort? Frère Sangaré, il faut voir les choses en face. Que Dieu nous aide à voir la paille qui est dans nos yeux.
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Le vigile
Déc 29, 2011 @ 18:38
@Karine, Bonsoir
Vous avez dit @Chido dans la page précédente :
« 29 décembre 2011
Chido@
A quoi sert tout ca, a canaliser la colere, a s’exprimer a etre ficher a qoi sert ce truc…
Tu sais le sheikh imran hossein expliqe une sourate dans le coran dans la fin des temps.. (“la verite, devient comme une fourmie noir ,sur une pierre noir, dans la nuit noir”)….c’est vraiment a mediter tout est confusion..”!!”…? »
J’ai lu dans certains de vos posts que vous vous reférez souvent au sheikh Imran Hossein dans ses explications du Saint Coran. Dans le post cité ci-dessus, vous dites que ce sheikh a expliqué une sourate dans le Coran sur la fin des temps (…). pourriez-vous svp me donner le nom ou le n°de cette sourate?
J’aime lire moi-même le Coran sans me référer à un quelconque « savant » de la chose religieuse, d’autant que beaucoup d’entre-eux sont au service de l’empire. Exemple le sheikh Al Qaradhaoui. Ce dernier n’a jamais commenté les versets qui traitent des devoirs dûs aux parents car il est hébergé par le porc-émir du Qatar qui a renversé son propre père pour prendre le pouvoir. Donc, je me méfie et c’est bien comme ça.
Merci beaucoup.
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Karine
Déc 31, 2011 @ 6:17
Vigile@
Desolee,pour l’erreure, ce n’est pas une sourat mais plutot un hadith nabawi, le sheikh imran hossein dans sa conference jerusalem,ou dajjal, cet imam a une lecture du coran tres interessante…. vraiment ce n’est pas comparable avec le traitre de kardawi….
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Le vigile
Déc 31, 2011 @ 15:51
@Karine,
Merci pour votre réponse.
Savez-vous que l’histoire du « Dajjal » est une invention des chiites ? D’après leurs contes, les chiites qui croient fermement à l’apparition du 12ème imam (l’imam caché), disent que le Dajjal ou, si vous voulez l’antéchrist, sera combattu par cet imam et que ce dernier effectuera une prière à El Qods et derriere lui, se tiendra Le Christ qui reviendra sur terre.
Son apparition, disent-ils, serait le prélude à la fin du monde.
Cette légende a été créée par les chiites qui prêtent au Prophète (saws) un hadith dans ce sens. Rien dans le Coran, à ma connaissance et je peux me tromper, ne fait allusion au Dajjal ni à ces imams mahdis dont l’apparition du douzième d’entre-eux annoncerait la fin du monde.
Croyez-vous en la venue d’un autre « prophète »derrière lequel se tiendra Sidna Aïssa (le Christ). Le Coran dit que le Prophète Mohamed (saws) est le sceau des prophètes, c’est-à-dire qu’il est le dernier.
De tout cela, il y lieu de tirer la conclusion suivante:
Ni Dajjal, Ni imam Mahdi. Les Hadiths du prophète (saws) ont été réunis bien longtemps après sa mort et Dieu Seul Sait combien sont réels et combien sont faux. A mon avis et ces matières, il faut s’en tenir au Seul Coran qui est la parole du Créateur.
Moi, c’est ce que je fais.
Merci encore Karine
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Le vigile
Déc 31, 2011 @ 15:54
Excusez une petite erreur « antépénultième phrase : lire A mon avis et en ces matières »
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vilistia
Déc 29, 2011 @ 15:53
Obama déception en 6 vidéos
http://stationzebravideo.id.st/obama-deception-a28685728#
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MERLIN ET FILS
Déc 29, 2011 @ 16:02
louis 14 et napoléon .n’ont pas eux le prix nobel de la paix .l’injustice avance trop vite !
le prix pouvait attendre un peu .pour obama .mais il va se rattraper .avant sa nouvelle prèsidence .
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mamhoud
Déc 29, 2011 @ 13:38
Présidentielles France : la France cul-turelle est devenue pirate avec Frédéric Mitterrand
par saidabiida
Le ministère de la Cul-ture français sous l’empire pédophile de Frédéric Mitterrand est accusé ce 29 décembre 2011 de pirater des films et des séries X.
C’est la recherche de plusieurs adresses IP utilisées par le ministère de la Culture qui a permis aux internautes lecteurs du blog Nikopik d’accuser Frédéric Mitterrand de pirater des longs-métrages, séries, morceaux de musique et jeux vidéo. Une accusation très grave pour le ministre pédophile, alors qu’une loi Hadopi 3 est dans les cartons du gouvernement, qui ne cesse de répéter aux internautes que télécharger c’est mal, tout comme regarder des films en streaming sur des plateformes non légales.
Pour savoir si des fichiers étaient téléchargés illégalement par le ministère de la Culture, les lecteurs ont utilisé le site YouHaveDownloaded, hébergé en Russie, qui permet d’afficher l’historique des téléchargements des Torrents publics qui ont transité via une adresse IP. Cette même méthode est utilisée par Trident Media Guard (TMG), la société privée en charge de surveiller les échanges en peer-to-peer pour le compte des ayants droit et de transmettre les adresses IP des pirates à l’Hadopi.
«Sur les 65.025 adresses IP officiellement attribuées au ministère, plus de 250 ont été repérées comme faisant transiter du contenu illégal durant les deux derniers mois», peut-on lire sur Nikopik.com. Parmi les fichiers téléchargés, figurent les films Jurassic Park, Minuit à Paris, Captain America, le single de Justin Bieber ft Usher «Somebody to Love», un morceau de David Guetta, un album du groupe The Verve, des épisodes de la série «Big Bang Theory», de «Terra Nova», de «Beverly Hills» ou encore les jeux Deus Ex et Call of Duty…
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MERLIN ET FILS
Déc 29, 2011 @ 15:46
la crise n’est pas pour tout le monde .et si peu .car tout va bien .sauf ceux qui sont trop en bas .des solutions ,sont possible .
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sran
Déc 29, 2011 @ 13:08
mon frère sangaré, tu sais toi meme que tout a commencé en 2002. tous les fonctionnaires qui travaillaient dans les régions nord du pays ont été pourchassés, ou tué. le gendarme qu on a egorgés comme rituel humain avec la complicité de sherif ousmane que tu connais bien. la scène a ému la majorité des ivoiriens. les 86 gendarmes tous tués a bouaké, les femmes danseuses d ajanou aussi. et j en passe.
malgrés toute ces attrocités GBAGBO a demandé de pardonner en nommant soro guillaume comme PM.
loin de moi l idée de faire l apologie du crime. mais l arrivée de dramane ouattara, mon fère , est un désastre pour le peuple IVOIRIENS.
dans sa dernière trouvaille, il veux nous opposer l un comme l autre. malinké contre les autres ethnies.
mais nous allons pas tomber dans son piège ethnique.
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MERLIN ET FILS
Déc 29, 2011 @ 12:51
deux lègionnaires .qui ne verront pas 2012 .pas de chance .
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gelato
Déc 29, 2011 @ 11:51
allain tu me surprends,jai loccasion de lire tous tes articles depuis la crise ivoiriene et je navais jamais compris pkoi un black vivant en occident pouvait soutenir ouattara,alain la realite africaine se vit elle ne sinterprete pas de loccident nous y sommes et nous la vivons au jour le jour
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Marie
Déc 29, 2011 @ 11:45
Bonjour a tous !
Des lycéens ivoiriens tabassés par leur proviseur avec l’aide de soldats !
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Papillon rouge
Déc 29, 2011 @ 11:04
Nous sommes encore malheureusement dans la poésie !
Passons mainternant aux actes !!!
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katalizeur
Déc 29, 2011 @ 10:57
@ Shlomit Abel
bonjour
merci pour ce message plein d’espoir pour mes frères ivoiriens
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estelle
Déc 29, 2011 @ 10:52
Une plaie et une honte pour l’Afrique ce Ouatarra, pas seulement pour la Cote d’Ivoire !
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sangare
Déc 29, 2011 @ 11:37
allain le dossier ivoirien t’échappe totalement..j’ai comme l’impression que tu t’éfforces à faire fi de la realité..cesse de critiquer pour faire plaisir aux lecteurs…accepte que gbagbo et ses acolytes ont commis de graves crimes au pays ,,,bruler vifs des innocents,tuer à coup de pierres et machettes entérrer vifs ,,etc….si tu avais perdu un proche au moment de ces tueries tu allais comprendre beaucoup de choses,,,et allait surement moderer ton langage,,sur ce qui se deroule en còte-d’ivoire
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KGR1
Déc 29, 2011 @ 12:25
Sangare. Ce sont les partisans de Ouattara qui ont commencé à brûler des gens vifs, à massacrer (depuis 2002). La réaction des pro gbagbo n’est que la conséquence des tueries perpétrés par Ado et ses rebelles depuis 2002. Sans cette rébellion où l’ouest a payé le plus lourd tribu, on aurait jamais assisté à de telles horreurs. Tu le sais très bien. Ne fais donc pas semblant.
Si Ado était si populaire il n’aurait pas créé de toutes pièces cette armée parallèle appelée FRCI composée de rebelles, de délinquants sans foi ni loi. C’est elle qui terrorise la population pour maintenir sa dictature (meetings interdits, emprisonnements extra judiciaires etc.)
En décembre 2010, ces brigands ont égorgé et brulés vifs des policiers qui ne faisaient que leur boulot. Ensuite ils ont attaqué l’armée régulière grâce à l’onuci qui les a armés. C’était le commando masqué. Aujourd’hui ces gangsters sont toujours armés et l’armée régulière encasernée et désarmée. C’est la Côte d’Ivoire de Ouattara la solution.
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COXT
Déc 29, 2011 @ 15:34
@ KGR1. Merci de rétablir les faits. les gens ont la mémoire courte
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MERLIN ET FILS
Déc 29, 2011 @ 16:11
qui a truqué les votes ,si lui n’est pas le bon président .!
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MERLIN ET FILS
Déc 29, 2011 @ 12:37
si tu a une bonne idèe ,je pense que beaucoup serait avec toi .
mais c’est pas simple .sangare .la souffrance est dur à avaler ..pourtant la côte d’ivoire comme d’autres en afrique ,sont bloqués .
l’occident à un besoin .le vol et la soumission du peuple africain .
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MERLIN ET FILS
Déc 29, 2011 @ 12:56
avant lui ,l’autre aussi était la honte .qui a raison alors .?
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