Loufoque comme toujours. Frappadingue dans la forme. La faute aux autres. Jamais coupable. Le Figaro vient de commettre l’interview la plus partiale qui soit sur la crise migratoire qui frappe l’Europe, en interrogeant Nicolas Sarkozy, l’un des acteurs majeurs de cette situation. Une interview sans évoquer une seule fois la Libye et l’assassinat macabre du frère guide Mouammar Kadhafi ? Simplement honteux et cynique. Nous sommes d’accord avec lui sur la Russie mais fermement opposé à sa solution syrienne sans Bachar al-Assad. Qui sont-ils pour désigner les « qui » doivent diriger un pays souverain ?
INTERVIEW. Crise des migrants: comment Nicolas Sarkozy évite de parler de la Libye et de Kadhafi
Posted on Sep 10, 2015 @ 10:54
Posted in: Actualité
Turner
Sep 11, 2015 @ 19:58
http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/8474-aylan-selon-survivante-interrogee-television.html ????????????????????????????
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Debout
Sep 10, 2015 @ 23:30
Le hongrois a encore dépassé le mur du con. Après l acte abominable de la cadreuse hongroise, voici venues les déclarations hideuses d un autre hongrois appelé Sarkozy à propos du droit d asile.
Il aurait oublié par hasard que son père est rentré clandestinement en France,caché en dessous du train et portant des chaussures déchirées et sans chaussetes.
Pendant qu’ il faisait la déclaration de trop,Merkel prenait,dans un centre de Berlin,des selfies au milieu des réfugiés.
Décidemment,ces Allemands sont en passe de placer leur nation comme la force morale de référence en europe.
Le strapontin au conseil de sécurité qu’ avait gagné la France a la faveur de la blague et la debacle de la ligne Maginot n a plus de sens.
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 21:10
APPEL
Manifestation 13/09/2015/ dimanche à 15h
Place des Droits de L’Homme – Trocadéro et vive la Syrie al Assad
La meilleure façon de commencer cet appel est de citer notre Président, Bachar Al-Assad, qui, lors d’un entretien du 25 août 2015 sur une chaîne libanaise a dit : « Il y a des personnes qui ne résident pas en Syrie, mais la défendent de là où ils sont. Chacun selon l’endroit où il se trouve et selon ses possibilités. Ceux-là sont tous des patriotes ».
Aujourd’hui, François Hollande « Président en échec en France » qui soutient le terrorisme, déclare qu’il faut neutraliser Al-Assad pour commencer à solutionner la crise syrienne, il veut dire l’ASSASSINER.
Nous, les Syriens, les amis de la Syrie, des associations arabes et françaises, contestons la déclaration de F. Hollande et sa politique vis-à-vis de la Syrie et avons l’intention de nous exprimer lors d’une manifestation prochaine à Paris où nous confirmerons que la Syrie est un pays souverain, seul le peuple syrien décide de son sort.
Venez nombreux et faites circuler l’information.
———- Message transféré ———-
De : Roueida KHOURY
Date : 9 septembre 2015 21:39
Objet : Invitation à l’événement : Appel à un rassemblement de soutien à la Syrie
Roueida KE vous invite à l’évènement de Chrétiens de Syrie pour la Paix
Place Du Trocadéro à Paris le 13/09/2015 à 15 heures
A l’initiative des associations franco-syriennes qui œuvrent pour alerter et sensibiliser l’opinion publique sur la situation dramatique dans laquelle vie le peuple syrien depuis plus de 4 ans
.
STOP A DAESH ET AL-NOSRA
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Turner
Sep 10, 2015 @ 20:27
Tiens du nouveau autre version si la censure ne supprime point ce message
Révélations de la tante d’une victime : « Le père d’Aylan était ivre et a causé l’accident »
(…) Comme on le sait, le petit Aylan est mort avec sa mère et son frère de cinq ans en essayant d’atteindre la côte grecque, tandis que son père a survécu à la tragédie. Ensemble avec eux ont également été tués Zaiba et Haidar, deux enfants d’origine irakienne.
Dans le quotidien irakien « Shafaq Nouvelles », la tante des enfants irakien accuse le père de Aylan d’avoir causé l’accident après avoir bu.
Il giornale.it (source)
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Cassandra Vermeulen
Sep 11, 2015 @ 10:17
Ben voyons !!!, elle est de quelle bord cette tante? c’est une sionarde ?
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 20:01
Syrie : de la Responsabilité de protéger…
Bachar al-Jaafari
Jeudi 10 septembre 2015
À l’occasion d’une réunion informelle de l’Assemblée générale des Nations Unies, le 8 septembre 2015, deux hauts responsables de l’Organisation ont appelé les États à traduire la reconnaissance de leur responsabilité de protéger (R2P) les populations contre les crimes internationaux les plus graves en actions concrètes, nous dit le Centre d’actualités de l’ONU, version française [1].
Voici la réponse du Délégué permanent de la Syrie auprès des Nations unies, le Docteur Bachar al-Jaafari.
La délégation syrienne déplore que certains des États membres ayant approuvé la « Responsabilité de protéger », telle qu’elle a été définie au Sommet mondial de 2005 [2][3], l’aient transformée en un nouvel instrument pouvant justifier leur ingérence dans les affaires d’autres pays pour servir leurs intérêts étriqués et égoïstes, ce qui l’a décrédibilisée comme tant d’autres idées innovantes censées servir la morale et l’humanité.
Avec la délégation de mon pays, nous insistons sur les points suivants :
•Premièrement : la responsabilité de protéger les populations contre les crimes internationaux les plus graves, incombe au premier chef à l’État concerné.
•Deuxièmement : son but est de renforcer la souveraineté nationale, non de la saper ; l’idée même de cette « Responsabilité de protéger » n’ayant pas été proposée pour autoriser quiconque, au niveau international, à imposer ses exigences et ses solutions à d’autres états membres afin de modifier leurs régimes de gouvernance par invasion militaire, occupation territoriale, soutien de groupes terroristes armés, qualifiés ici d’« éléments armés non étatiques ».
•Troisièmement : il est inacceptable de politiser la question de la protection des civils de manière arbitraire et d’exploiter leurs souffrances pour légitimer des actions contraires à la Charte et aux résolutions des Nations Unies.
Monsieur le Président,
Si nous revenons sur le mode d’application de cette « Responsabilité de protéger » au cours des dix dernières années, nous ne pouvons qu’en constater la partialité et la politisation scandaleuses, associées à une indulgence systématique à l’égard des crimes abominables commis par les forces d’occupation américano-britanniques en Irak, par les autorités israéliennes contre le peuple des territoires arabes occupés en Palestine et dans le Golan syrien, par les forces d’intervention étrangères en Libye sous le prétexte de la protection des civils, et par le régime saoudien contre les civils yéménites.
Ces pratiques ont mis en évidence son effet contraire quant à la protection escomptée, ainsi que son exploitation comme prétexte de tueries « humanitaires » visant à renverser des gouvernements, à changer des régimes et à transformer des États membres de cette Organisation internationale en États faillis et en centres d’exportation du terrorisme, comme c’est le cas de la Libye d’aujourd’hui.
Concernant la Libye, je salue le fait que, dans son rapport, le Secrétaire général ait reconnu les conséquences de la mauvaise application de cette « Responsabilité de protéger », bien que cette reconnaissance soit tardive.
Ce qui n’est pas le cas pour mon pays, la Syrie, puisque les rapports du Secrétaire général évitent encore aujourd’hui d’aborder le considérable soutien, toujours consenti, au gouvernement légitime syrien par des États membres que vous connaissez tous, en lui expédiant des dizaines de milliers de combattants terroristes étrangers en provenance de plus d’une centaine de pays, pour qu’ils commettent les crimes les plus odieux et les plus horribles contre ses citoyens et travaillent à la destruction de ses institutions et de ses installations publiques. Certes, ce n’est pas là le soutien auquel s’attendaient les chefs d’États et de gouvernements lors du sommet de 2005.
Ce qui n’est pas non plus le cas lorsque les rapports du Secrétaire général continuent à ignorer l’obstruction par certains gouvernements d’une solution politique et pacifique de la crise syrienne, ainsi que leurs efforts pour la prolonger et l’attiser ; ce qui ajoute à la souffrance des Syriens et menace la stabilité de la région et du monde.
Pour terminer, Monsieur le Président,
Voilà que les citoyens de mon pays payent le prix des mauvaises politiques de ladite communauté internationale. Les voilà qui sont devenus les proies des bandes de trafiquants et de la traite des êtres humains. Ils risquent leur vie sur les embarcations de la mort pour fuir la cruauté des organisations terroristes, commandées et soutenues à un niveau international, et pour échapper aux mesures coercitives unilatérales décrétées par certains États membres contre mon pays, les privant des moyens de vivre et de gagner leur vie.
Et voilà que nombre de pays, qui se vantent de leur attachement à la « Responsabilité de protéger » et aux droits humains, leur ferment leurs portes, certains ne prenant même pas la peine de les sauver, les abandonnant à leur triste sort en mer Méditerranée.
Ce qui, une fois de plus, nous pousse à affirmer que les problèmes qui entravent le travail de l’Organisation des Nations Unies ne sont pas dus à des défauts de procédures ou de concepts, mais sont en rapport avec la politisation, le parti pris et les deux poids deux mesures, désormais les marques dominantes de cette organisation.
Merci, Monsieur le Président.
Dr Bachar al-Jaafari
Délégué permanent de la Syrie auprès des Nations unies
08/09/2015
Source : Vidéo Al-Ikhbariya
Transcription et traduction par Mouna Alno-Nakhal
Source : Mouna Alno-Nakhal
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 19:42
COMMENT FERONT-ILS LE TRI DES REFUGIES ET PARMI EUX DES REFUGIES SYRIENS, ET QU’EN SAURONS-NOUS ? D’APRES THIERRY MESSIAN PARMI EUX LA PROPORTION DE SYRIENS SERAIT DE 20 %.
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Réflexions et questions sur la cohérence de ce qu’on nous raconte (ou ne nous raconte plus) à propos des « réfugiés pour la plupart syriens »
Marie-Ange Patrizio
Jeudi 10 septembre 2015
Chers amis,
en complément de la rubrique de Manlio Dinucci « Derrière ces photos d’enfants », et de la chronique hebdomadaire de Thierry Meyssan « La fausse « crise des réfugiés » » (http://www.voltairenet.org/article188608.html ) dont je vous recommande la lecture, quelques Réflexions et questions sur la cohérence de ce qu’on nous raconte (ou ne nous raconte plus) à propos des « réfugiés pour la plupart syriens »
On peut être surpris par le nombre de « réfugiés pour la plupart syriens » ou « en majorité Syriens » arrivant aux portes de l’Europe. On nous avait pourtant annoncé[1] que le « régime » ne contrôlait plus les frontières (notamment nord avec la Turquie et est avec l’Irak et la Jordanie), aux mains de Daesh et autres terroristes… qui maintenant laisseraient donc passer non pas quelques discrètes dizaines ou centaines mais des milliers de gens, pourtant assez repérables dans des zones très surveillées ? A contrario si, contrairement aux informations que nous donnent les « spécialistes », le gouvernement syrien contrôlait ces frontières, quel intérêt aurait-il à laisser partir des dizaines de milliers de ses concitoyens ?
Pour le journaliste syrien Moustapha Al Mikdad « maintenant que leur guerre terroriste contre nous a épuisé une grande partie de nos ressources, l’organisation de l’immigration de nos jeunes commence à prendre de très graves proportions qui laissent à penser qu’un nouveau plan est en cours de préparation pour vider la Syrie de ses compétences humaines et scientifiques. (…) Un dernier plan qui, en effet, viderait considérablement la Syrie de cette catégorie d’âge susceptible de combattre le terrorisme et de reconstruire le pays ; ce qui signifie la poursuite de la politique guerrière occidentale par d’autres moyens qui atteindraient les mêmes objectifs, en cas d’échec de leurs opérations incessantes d’extermination, de destruction et d’extension du terrorisme »[2].
Fin juillet le gouvernement syrien a décrété une « amnistie générale pour les déserteurs et tous ceux qui ont refusé de faire leur service militaire dans le pays en guerre. Elle s’applique à condition que les déserteurs se rendent dans un délai d’un mois s’ils sont à l’intérieur du pays et de deux mois s’ils se trouvent à l’étranger. D’après SANA [agence de presse gouvernementale syrienne, dont le site en français est inaccessible depuis plusieurs mois…], l’amnistie concerne uniquement les soldats ou appelés ayant fui l’armée. « Ne sont pas concernés par cette amnistie les soldats qui ont participé à des opérations militaires [contre le régime] après leur défection ou qui ont du sang sur les mains » »[3].
« Beaucoup de jeunes hommes choisissent de quitter le pays pour fuir le service militaire. Il est difficile de leur jeter la pierre : plus d’un conscrit sur cinq est déjà mort face aux jihadistes »[4].
Mais on ne nous montrera pas de reportages sur les familles de conscrits ou jeunes réservistes blessés ou tués au combat, parfois plusieurs dans le même foyer.
Selon le HCR, il y a 6,5 millions de déplacés internes en Syrie : familles qui ont dû quitter leur foyer détruit, ou fuyant les zones de combat contre les terroristes et « rebelles », mais qui ne veulent pas quitter leur pays et souhaitent retourner chez eux dès que leurs quartiers sont reconstruits. D’après T. Meyssan « les déplacés en Syrie se sont surtout regroupés à Damas et dans le district de Lattaquié. Il n’y a pas de déplacés des zones gouvernementales vers les zones occupées par les jihadistes » et «sur le terrain, les rebelles syriens ont tous accepté de s’allier aux jihadistes étrangers. Les zones tenues par les rebelles sont administrées comme en Arabie saoudite ».
Nos médias ne nous parlent pas non plus des déplacés internes ; et nos gouvernements ne les aident pas. Ce serait pourtant doublement intéressant : là-bas pour les déplacés, et ici pour contribuer à diminuer l’arrivée de ces « réfugiés fuyant la guerre », qu’on nous exhibe depuis quelques jours.
Tel qu’on nous le présente aujourd’hui, cet exode requiert une logistique dépassant les arrangements, mafieux ou pas, de passeurs embarquant discrètement depuis les côtes syriennes quelques dizaines ou centaines de personnes, ou les accompagnant à travers des frontières terrestres pourtant hautement sensibles. A moins qu’une partie de ces « réfugiés en majorité syriens » ne se trouve déjà, et pour certains depuis longtemps, au-delà de la frontière, par exemple dans les camps de réfugiés turcs (ou jordaniens) ?
D’après nos informations depuis Damas, « les réfugiés syriens sont dans des camps en Jordanie, dans des camps et des locations en Turquie, uniquement dans des locations au Liban où il n’y a pas de camp pour les Syriens. En Jordanie, les réfugiés sont majoritairement opposés à la République arabe syrienne, croit-on. Par contre au Liban et en Turquie, ils sont massivement pro-Assad. Les réfugiés qui se rendent en Europe viennent surtout de Turquie. Ils fuient les camps, après avoir fui Daesh ».
Nos médias et spécialistes (et ministre des Affaires étrangères) se sont faits beaucoup plus discrets depuis des mois sur ces camps de réfugiés « surpeuplés » en Turquie ou Jordanie[5]. Le « 20 heures » de France 2 du 8 septembre a fait semblant de nous montrer le camp de Zaatari, à la frontière jordanienne : une seconde d’image panoramique (non datée) sur un camp de tentes sans aucun habitant en vue, puis reportage sur une famille chrétienne hébergée dans la paroisse d’un village jordanien voisin…
La « communauté internationale » qui feint subitement de se lamenter sur le sort des pauvres réfugiés n’a pas répondu en décembre 2014 à l’ « appel pressant » du HCR pour éviter la suspension par le PAM (Programme alimentaire mondial) de « son programme d’aide alimentaire à plus de 1,7 million de réfugiés syriens en raison d’une pénurie de fonds », «suspension du programme d’aide alimentaire […] dévastatrice à cette période critique [qui] aura un impact direct sur des dizaines de milliers de familles réfugiées parmi les plus vulnérables qui dépendent presque entièrement de l’aide internationale. Je lance – disait le Haut Commissaire- un appel pressant à la communauté internationale : soutenez le PAM maintenant, ne laissez pas les réfugiés souffrir de la faim »[6].
Façon radicale, économique et discrète, de se débarrasser de ces réfugiés en les poussant vers l’Europe. Merci qui ?
m-a patrizio,
9 septembre 2015
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nordin
Sep 10, 2015 @ 18:14
L’ambassade russe en Iran a annoncé que Téhéran avait donné son accord au passage par son espace aérien des avions russes à destination de la Syrie.
“L’Iran a accepté d’ouvrir son espace aérien aux avions russes transportant des aides humanitaires à destination du peuple syrien”, a annoncé à Itar-Tass ce mercredi Maxim Soslov, le porte-parole de l’ambassade russe en Iran.
Au début de la semaine écoulée, en réaction aux informations sur les mesures de sécurité russes en Syrie, les Etats-Unis ont demandé à la Grèce et à la Bulgarie d’ouvrir leur espace aérien aux vols de ce pays à destination de la Syrie.
http://cybercomnet.fr/2015/09/liran-a-donne-son-feu-vert-au-passage-des-avions-russes-par-son-espace-aerien/ R.I
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nordin
Sep 10, 2015 @ 18:03
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nordin
Sep 10, 2015 @ 17:58
http://www.huffpostmaghreb.com/2015/09/10/palestine-onu_n_8114682.html?ncid=tweetlnkfrhpmg00000009
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 17:42
Réfugiés : Et si l’on commençait par imposer le droit au retour pour les Palestiniens réfugié
Article de Hossam Shaker publié par le site info-palestine.eu sur la tragédie des réfugiés palestiniens fuyant la Syrie et obligés d’endurer un nouvel « exode » et des souffrances renouvelées. L’auteur demande pourquoi l’Europe ne commence pas faire appliquer à Israel le droit international concernant le droit au retour des réfugiés palestiniens ?
Réfugiés en provenance du Moyen-Orient tentant de traverser le rideau de « barbelés coupants comme des rasoirs » installé sur plus de 300 kms à la frontière hongroise – Photo : Reuters
« Jusqu’en 2011, près d’un demi-million de réfugiés palestiniens vivaient en Syrie. Il était généralement entendu que leurs conditions de vie étaient plus stables que celles de leurs compatriotes. Yarmouk, le plus grand camp de réfugiés palestiniens à l’extérieur de la Palestine, était présenté comme « la capitale de la diaspora palestinienne » et il était de fait devenu une extension résidentielle de Damas avant d’être transformé en une scène de ruine, de mort et de famine dans le conflit syrien.
Mais la tragédie qui a frappé la Syrie a dissipé toutes les illusions, avec la révélation que les communautés de Palestiniens réfugiés sont en fait extrêmement fragiles et paient très rapidement le prix de toutes les turbulences et crises dans les pays d’accueil. Cela s’est déjà produit au Liban, au Koweït et en Irak.
Par rapport aux masses de réfugiés qui affluent désormais vers l’Europe, la tragédie des réfugiés palestiniens fuyant la Syrie a ses propres caractéristiques. Elles tiennent au fait qu’ils sont obligés d’endurer un nouvel « exode » et des souffrances renouvelées alors qu’ils cherchent un lieu de sécurité, même si leur patrie n’est qu’à un peu plus d’une heure de route de leurs camps de réfugiés.
Dans le but d’atteindre l’Europe les familles palestiniennes doivent faire ce long voyage périlleux à travers les frontières, les côtes et les montagnes, cédant aux exigences scandaleuses des gangs criminels et des trafiquants d’êtres humains.
Toutefois, l’Europe est si préoccupée par la crise des réfugiés qu’elle ne se soucie pas de l’essence du problème. En ce qui concerne les Palestiniens en provenance de Syrie, la question est suffisamment claire, alors pourquoi l’Union européenne n’avance-t-elle pas vers les solutions les plus logiques et pratiques, telles que leur retour dans leur pays, au moins temporairement ? Pourquoi une telle discussion est-elle absente des réunions de l’Europe où l’on discute surtout des moyens de contenir les crises aux frontières ?
Plus d’un tiers de million de Palestiniens, dont beaucoup sont des réfugiés chassés de leurs maisons puis de leurs les camps, vivent en Europe. Nous assistons à de nouvelles étapes dans la souffrance de ces êtres humains à qui les Israéliens ont interdit de retourner dans le pays d’où ils ont été expulsés en 1948 et 1967. Ils ne sont même pas autorisés à visiter leur pays, ce qui est une claire violation des lois et conventions internationales.
La logique commande que nous faisions tout le nécessaire pour que les réfugiés palestiniens disposent de leur droit légitime au retour sur leurs terres et dans leurs maisons, qui sont si près d’eux. Sinon, ils continueront à devoir chercher refuge à travers les continents, dans une fuite transformée en catastrophe. Il ne fait aucun doute qu’une grande partie de la responsabilité en incombe en premier lieu à l’Europe, qui a créé les conditions historiques qui ont abouti à la tragédie du peuple palestinien.
Les officiels de l’Union Européenne [UE] parlent de l’importance de lier l’aide aux pays d’Europe orientale à leur volonté d’assumer leur part de réfugiés, et il y a même ceux qui appellent à lier les négociations sur l’adhésion à l’Union européenne au traitement réservé aux réfugiés. De telles injonctions ne seraient-elles pas également nécessaires avec le « partenaire israélien » qui bénéficie de nombreux privilèges et de traités européens dans l’économie, l’éducation et la défense ?
Pourquoi l’Europe est-elle incapable de penser même simplement à user de son influence pour faire pression sur le gouvernement israélien, pour rendre effectif le droit au retour des Palestiniens, qui a été approuvé par la résolution 194 de l’Assemblée générale de l’ONU ? Les Palestiniens, dont beaucoup ont encore les clés de leurs maisons en Palestine occupée, ont le droit de vivre dans leur patrie. Les routes vers leurs villes, villes et villages sont bien connues pour ceux qui voudraient les interroger, et les cartes sont facilement disponibles.
Si l’Union européenne et la communauté internationale ne traitent pas le coeur de cette question par le rappel et la mise en œuvre du droit légitime des Palestiniens au retour, des milliers d’entre eux continueront à se diriger vers l’Europe et beaucoup vont mourir en route. Laquelle de ces deux possibilités a la préférence de l’UE et du reste du monde ? »
Source : https://www.middleeastmonitor.com/)
Traduction : Info-Palestine.eu – Lotfallah
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 17:30
ET QUI PARLE DU YEMEN ?
Les forces terrestres saoudiennes ont envahi le Yémen pour la première fois durant cette guerre le 27 août. Officiellement, le gouvernement saoudien désigne cette invasion comme une incursion qui sera limitée et temporaire. Le gouvernement saoudien a défini de la même façon les bombardements terroristes qui ont débuté le 26 mars et se sont poursuivis jusqu’à présent de manière quasi quotidienne. D’autres troupes étrangères ont envahi le sud du Yémen en soutien au gouvernement yéménite démis.
Parallèlement à l’invasion saoudienne, le gouvernement yéménite démis pousse maintenant des coups de gueule sous la protection de Riyad. Il affirme qu’il ne se prêtera à aucune négociation de paix jusqu’à ce que l’adversaire, qui ne dispose ni de force aérienne ni de force navale, rende les armes et se retire du territoire disputé. Cette « exigence » est conforme à la résolution du Conseil de Sécurité corrompu des Nations-Unies, passée en avril avec le soutien des Etats-Unis et des autres pays engagés dans la guerre au Yémen.
L’agression saoudienne contre le Yémen a été catastrophique pour ce pays, le plus pauvre de la région et pratiquement sans défense. Soutenue par huit autre régimes arabes dictatoriaux ainsi que par les Etats-Unis, l’alliance saoudienne a commis d’innombrables crimes de guerre et crimes contre l’humanité. L’assaut a coûté la vie à plus de 4.300 personnes (principalement des civils), a brutalement soumis la moitié de la population yéménite à la famine et à la pénurie d’eau et a démoli des sites du patrimoine mondial parmi les plus anciens du monde.
Le blocus naval mené par les Etats-Unis constitue un acte de guerre qui a coupé les importations de vivres en direction du Yémen, alors que ce pays n’a pas la capacité de cultiver suffisamment pour nourrir sa population. Le responsable du programme alimentaire de l’ONU a signalé le 19 août que le Yémen est au bord de la famine, ce qui fait du blocus naval étasunien un crime potentiel contre l’humanité. Le responsable humanitaire de l’ONU a rapporté au Conseil de Sécurité des Nations-Unies que « le niveau de souffrance humaine est presque incompréhensible ». Ainsi que l’a rapporté ABC News :
« Il a dit avoir été choqué par ce qu’il a vu : quatre Yéménites sur cinq ont besoin d’aide humanitaire, presque un million et demi de personnes sont déplacées dans le pays et les gens utilisaient des cartons en guise de matelas dans un hôpital où les lumières tremblotaient, la banque de sang était fermée et il n’y avait plus de gants en latex. »
Comme la plupart des médias officiels, ABC News diffuse cette souffrance avec une certaine complaisance sans narrer franchement l’histoire de la guerre, ayant recours à des euphémismes évasifs tels que : « au moins 1.916 civils sont morts dans le conflit au Yémen, depuis son escalade du 26 mars » (avec emphase). C’est tout simplement malhonnête. Le 25 mars, le « conflit au Yémen » était en premier lieu une guerre civile (avec l’Etat Islamique et Al Qaïda en tant que parties prenantes).
Les Etats-Unis cultivent une nouvelle génération de criminels de guerre
Le 26 mars, l’alliance saoudienne soutenue par les Etats-Unis a transformé le « conflit » en une guerre internationale illégale, entreprenant un bombardement de saturation sur des populations sans défense en coordination avec le blocus naval censé affamer les rebelles jusqu’à leur reddition. Le « conflit » n’a pas, comme l’a écrit ABC, escaladé de lui-même : les Etats-Unis et la coalition saoudienne ont entamé une nouvelle guerre criminelle non-déclarée, vis-à-vis de laquelle les principaux criminels de guerre de huit pays (à commencer par le président Obama) ne devront probablement jamais rendre de comptes, pas plus qu’Obama n’a voulu tenir pour responsables Bush, Cheney et les autres criminels de guerre en Irak.
Amnesty International, Human Rights Watch et d’autres observateurs des droits de l’homme ont rapporté des crimes de guerre dans le chef des différentes factions.
Un représentant d’Amnesty a déclaré : « Toutes les parties de ce conflit ont fait preuve d’un mépris impitoyable et indécent pour la sécurité des civils ». « Toutes les parties » inclut les rebelles et le gouvernement yéménite en exil en Arabie saoudite, bien sûr. Mais il inclut aussi les Etats-Unis, l’Arabie saoudite, l’Egypte, le Maroc, Bahreïn, le Qatar, la Jordanie, le Sénégal, le Pakistan et la Somalie. Si l’un de ces pays possède un mouvement pour la paix, il n’en montre guère les preuves.
La sponsorisation étasunienne de la guerre criminelle au Yémen comprend aussi une provision de bombes à fragmentation américaines, qui ont été déclarées illégales par la plupart des nations civilisées à travers le monde. Plus de cent pays ont signé le traité international d’interdiction des bombes à fragmentation mais les Etats-Unis, tout comme la Chine, la Corée du Nord, la Russie, l’Arabie saoudite, l’Iran et Israël, ne sont pas signataires. Les Etats-Unis n’ont pas du tout pris part aux négociations sur ce traité. La principale utilité des bombes à fragmentation est qu’elles tuent des civils et continuent à en tuer bien après la fin de la guerre dans des endroits comme le Cambodge, l’Afghanistan, le Kosovo et l’Irak.
Human Rights Watch a, le 26 mars, appelé les bombardiers de la coalition saoudienne soutenue par les Etats-Unis, à cesser d’utiliser des bombes à fragmentation au Yémen. Un chercheur des droits de l’homme a déclaré : « Les munitions à fragmentation ajoutent au terrible coût civil dans le conflit yéménite. Les forces de la coalition devraient cesser immédiatement d’utiliser ces armes et adhérer au traité qui les interdit. »
La réalité de la souffrance excède de loin la réalité des crimes de guerre Etats-Uniens
Les combats des cinq parties en présence au Yémen se poursuivent sans trêve et la couverture par les médias se nourrit de la souffrance (peut-être selon le credo : « plus ça saigne, plus ça attire », bien que le Yémen soit rarement en tête des nouvelles). Le reportage sur le terrain est entravé par une prohibition virtuelle des reporters dans le pays où. S’ils parviennent jusque là, ils deviennent des cibles potentielles. C’est la politique menée par l’alliance saoudienne, soutenue par les Etats-Unis, se basant sur la stratégie mise en œuvre lors de la glorieuse victoire étasunienne sur La Grenade.
Alex Potter est une infirmière et photographe de 25 ans, originaire du Minnesota, qui a déménagé au Yémen en 2012. Son album photo du Yémen, illustre de façon superbe et poignante la destruction perpétrée sur la population et les sites d’une antique partie du monde. L’album, publié sur un site de la NPR (National Public Radio, ndlt), parle de lui-même. Le texte, écrit par la NPR, et les citation de Potter, décrivent de manière poignante la souffrance de personnes pour la plupart innocentes. Mais le texte de la NPR traite de la catastrophe comme s’il s’agissait d’un désastre naturel plutôt que d’une guerre réelle, que des personnes réelles ont résolu de mener à tout prix :
Le Yémen est en guerre. Les rebelles du groupe minoritaire des Houthis ont pris le contrôle, il y a six mois, de Sanaa et d’autres parties du pays. L’Arabie saoudite soutient le gouvernement qui a été chassé et a lancé des attaques aériennes contre les Houthis. D’autres acteurs – Al Qaïda et l’Etat Islamique – compliquent encore la situation. Et, en juin, l’inconcevable s’est produit. La Vieille Ville [de Sanaa], où des gens vivent depuis plus de 2.500 ans, a été attaquée. Les habitants dénoncent une attaque aérienne.
C’est moins un reportage que de la propagande. « Le Yémen est en guerre » est aussi aseptisé que « Le Yémen a subi un tremblement de terre » – et c’est fondamentalement malhonnête. Jusqu’au 26 mars, « le Yémen » n’était pas en guerre. Le Yémen était au cœur de la plus récente des guerres civiles chroniques qu’il connaît depuis des décennies. Les rebelles étaient apparemment sur le point de remporter la victoire. Aussi, les Saoudiens prirent-il le gouvernement yéménite dans une sorte de détention protégée et, avec la connivence des Etats-Unis et de plusieurs alliés, commencèrent à mener une guerre aérienne non-déclarée contre une population civile et des militaires sans force aérienne et très peu de défense anti-aérienne efficace. La NPR doit être au courant de tout cela et a choisi de ne pas l’expliquer.
Déclarer que « les habitants dénoncent une attaque aérienne » est presque une obscénité journalistique, comme s’il existait une autre possibilité, non mentionnée. C’est comme si la NPR déclarait : qu’en savons-nous, nous ne sommes que des reporters et un seul d’entre nous se trouvait sur place. Vous n’apprendrez sûrement jamais de la NPR que la désolation affichée est le résultat direct des choix faits par les politiques US (entre autres). Les gens photographiés par Potter n’ont nulle part où aller. Le texte mentionne que « Médecins sans Frontières a qualifié ceci de ’guerre à l’encontre des civils’. » Ce que NPR ne vous révélera pas, c’est que, si les Yéménites n’ont nulle part où aller, c’est principalement parce qu’il existe un blocus naval étasunien qui maintient leur pays dans un état de prison en plein air, en faisant un champ de tueries que les Saoudiens et les autres peuvent – et ils ne s’en privent pas – bombarder à loisir.
William M. Boardman a 40 ans d’expérience dans les domaines du théâtre, de la radio, de la télévision, de la presse écrite et des ouvrages de non-fiction, y compris 20 ans dans l’administration judiciaire du Vermont. Il a reçu des prix de la Writers Guild of America, de la Corporation for Public Boradcasting, du Vermont Life Magazine, et une nomination aux Emmy Awards de l’Académie des Arts et Sciences télévisuels. Cet article a été publié la première fois dans le Reader Supported News.
Traduit de l’anglais par JH pour Investig’Action
Source : Investig’Action
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 20:17
Des cartables faisant l’apologie de l’agression saoudienne contre le Yémen en vente en Algérie
Karim Bouali
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Jeudi 10 septembre 2015
Des cartables portant l’image du roi d’Arabie Saoudite et de chasseurs-bombardiers de l’armée saoudienne ont été introduits en Algérie. Pris en photo par un citoyen algérien à Bouira, ces cartables à haute connotation politique, pourtant destinés aux enfants, sont exposés à la vente sans aucune réaction des autorités du pays. Comment ces objets de propagande de guerre qui applaudissent une agression militaire contre un pays arabe, le Yémen, ont-ils pu être introduits en Algérie ? N’existe-t-il pas de contrôle au niveau des douanes et des services de sécurité ? La vente de ces cartables à nos élèves est une grave atteinte à la sécurité nationale et participe d’une action psychologique qui semble bien avoir été planifiée et qui est loin de relever d’un simple hasard. Le refus de l’Algérie de participer à l’opération militaire engagée par la monarchie saoudienne contre le Yémen a donné lieu à des représailles sournoises de la part des autorités saoudiennes. Et cette action a tout l’air de faire partie de cette réaction négative et dangereuse de Riyad. Non contente d’avoir exporté l’extrémisme wahhabite vers notre pays dans les années 1980, l’Arabie Saoudite s’acharne contre l’Algérie et va jusqu’à payer rubis sur l’ongle des armements au profit du Maroc. Une action dirigée clairement contre l’Algérie. Plusieurs sources avaient rapporté, récemment, l’intention de ces deux pays alliés d’acquérir des chars de fabrication américaine ainsi qu’un sous-marin russe de dernière génération. Par ailleurs, les difficultés vécues par l’équipage d’Air Algérie dépêché à Sanaa pour rapatrier les ressortissants algériens, marocains et tunisiens de ce pays en proie à une guerre civile et à une agression militaire étrangère confirment les mauvaises intentions de cette riche monarchie pétrolière envers l’Algérie. L’opération militaire de l’alliance arabe contre le Yémen se poursuit et s’enlise face à la résistance des Houthis qui a fait des dizaines de morts dans les rangs des armées arabes qui y prennent part. Au moment où nous rédigeons cet article, les cartables portant les images de propagande en faveur de cette guerre et du roi de l’Arabie Saoudite qui la conduit n’ont toujours pas été retirés de la vente. Et il est fort probable que d’autres quantités soient commercialisées à travers tout le pays. Une enquête devra être ouverte pour connaître l’identité des importateurs de cette marchandise, véritable instrument d’endoctrinement destiné à nos enfants.
Karim Bouali
Source : Algérie patriotique
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hakim
Sep 10, 2015 @ 15:39
Bernard Cazeneuve répond à Nicolas Sarkozy. Alors que le président des Républicains suggère de créer un statut « provisoire de réfugiés de guerre » , le ministre de l’Intérieur a souligné que le statut de réfugié était « un et indivisible ».
« Dans l’histoire longue de notre pays, est réfugié quiconque est persécuté dans son pays en raison de ses origines, de sa religion, de ses convictions. Ce statut de réfugié, il n’est pas divisible, il est un et indivisible comme la République », a déclaré à la presse le ministre en marge d’une journée d’étude de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars) sur la réforme de l’asile, à Marseille.
« Si nous devions décider, par exemple, que ceux qui sont réfugiés de guerre auraient vocation à venir ici (…) et à repartir après, nous ajouterions aux persécutions, les incertitudes et la précarité d’une situation incertaine », a poursuivi Bernard Cazeneuve. « Pourquoi cela? Est-ce que la France a dit par exemple à ceux qui étaient dans la guerre d’Espagne « vous retournerez chez Franco quand la guerre sera terminée »? C’est une conception curieuse du droit d’asile et ce n’est pas la nôtre », a-t-il encore ajouté.
« Quant à cette idée que la France serait un pays extraordinairement attractif qui pourrait demain accueillir tout le monde parce qu’il aurait des dispositifs beaucoup plus avantageux que ceux des autres pays, je fais remarquer qu’il y a là aussi la réalité des chiffres : la demande d’asile a été étale cette année, elle a diminué l’an dernier et ceux qui veulent venir en Europe essaient de passer en Grande-Bretagne et en Allemagne », a encore pointé le ministre.
« Je comprends que Nicolas Sarkozy, qui est responsable d’une organisation politique qui a des ambitions électorales, puisse vouloir (…) assurer des résultats électoraux mais ce n’est pas ma responsabilité, ni celle du gouvernement », a encore critiqué le ministre de l’Intérieur. « Nous sommes face à un problème extraordinairement complexe qui appelle de la pédagogie, de la rigueur, davantage que des amalgames, des approximations et la convocation des instincts », a-t-il indiqué.
Puis le ministre a souligné, « nous sommes dans un moment où soit le pays bascule vers de mauvais instincts, soit le pays bascule dans un élan de responsabilité et d’humanité qui lui fera honneur dans l’histoire ».
Les echos.fr
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alan Horus
Sep 10, 2015 @ 15:26
Personne pour porter plainte contre Sarkozy et BHL pour crime contre l’humanité ?
Ou va la France ?
Il faut faire la même chose contre nicolas Sarkozy et bernard henry Levy
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alan Horus
Sep 10, 2015 @ 15:35
J’appel les libyens de france à imiter voir transcender l’exemple de vox populi dont on peut voir les lettre type en commentaires sur la page youtube de la vidéo, leur rassemblement sera couronné de succes, car la France ne se reconnaitra jamais dans les traitres sanguinaires que sont nicolas Sarkozy et bernard henry Levy.
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Driss
Sep 10, 2015 @ 15:22
Il va bien finir par faire passer Juppé aux primaires !!!
Juppé c’est bon pour Bordeaux, car lui aussi a des casseroles qu’il traine derrière lui.
Et de l’autre côté si Mimolette ne se représente pas nous allons récupérer Dominique Strauss-Kahn…c’est Israël qui va être content !!! (lol)
Driss
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hakim
Sep 10, 2015 @ 15:10
Dans la dernière édition de son magazine de propagande Dabiq, l’EI publie l’image du petit garçon, avec en titre: « Les dangers de l’abandon de Dar al-islam », ou les terres de l’islam, qui incluent l’autoproclamé « califat » du groupe jihadiste en Syrie et en Irak. « Certains Syriens et Libyens sont malheureusement en train de risquer la vie et l’âme des êtres dont ils sont responsables… beaucoup perdant la vie durant le périple qui les conduit à la terre des croisés », a souligné le texte. Il dénonce « un péché majeur » que sont en train de commettre les musulmans en emmenant leurs enfants en Occident, où « ils vivent sous la menace constante de la fornication, la sodomie, les drogues et l’alcool ».
afp
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hakim
Sep 10, 2015 @ 14:49
Apres la bulgarie ,l’Ukraine a fermé son espace aérien aux avions russes se rendant en Syrie pour y fournir de l’aide humanitaire, a déclaré jeudi le premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk.La grece est sous pression des etats unis pour fermer le sien!
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 16:45
Oh la Grèce est un de leurs pions maintenant et totalement alignée sur l’otanosionisme (un partenaire, je le crains +++…) ! Elle est tombée dans leur escarcelle…?
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Marie-Christine
Sep 10, 2015 @ 18:02
Je crois que l’on peut même enlever le point d’interrogation, tellement cela semble une certitude.
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queniartpascal
Sep 10, 2015 @ 11:36
tu m’étonnes ce nigaud est passe grâce a khadafi sans cela il n’aurait jamais passé et tout ce bordel c’est de sa faute ce truc est 1 naincapable
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Estelle
Sep 10, 2015 @ 11:00
Interview ridicule !
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