C’est le site incontournable nigérian Naij.com, l’un des plus lus au monde, qui vient de réaliser ce classement. Sur quels critères ? Nous ne pourrons y répondre.
N°1) Princesse Lalla Salma (Maroc)
La princesse Lalla Salma est l’épouse de Mohammed VI, roi du Maroc. Ingénieur de formation, elle milite aussi dans des associations pour la lute contre le cancer…
N°2) Sylvia Bongo Ondimba (Gabon)
La First Lady’s du gabon est connue pur sa fascination des grandes maisons de couture comme Valentino encore Chanel. Ele milite également pour la liberté des femmes et la protection des enfants…
N°3) Chantal Vigouroux-Biya (Cameroun/Cameroon)
Chantal Biya est réputé pour son style et ses coiffures. Elle parvient toujours à concocter quelque chose de nouveau et créatif dans son style. Chanel et Dior sont ses créateurs préférés. La plupart des tenues qu’elle porte sont faites sur mesure.
BERETE
Août 7, 2015 @ 11:30
N’ayant pas mon téléphone à disposition suite à une hospitalisation d’urgence , quelqu’un pourrais me dire comment accéder à mon compte Facebook ? en effet , je pouvais jusqu’alors y accéder via Yahoo ( mot de passe Yahoo) . Facebook me demande toujours un code malgré la notification d’impossibilité actuelle de réception d’un code . merci de votre aide … . N’faly berete .
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sahb
Août 7, 2015 @ 11:07
put… de m… des horreurs ! des vraies têtes à claques !
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lafleurs
Août 7, 2015 @ 19:25
Des têtes à claques mais pire ce sont les têtes des maris ! pas dégoutées les minettes !
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cri
Août 7, 2015 @ 7:35
C’est que voir des chacals (Cf. Documentaire « quant le FMI fabrique la misère »), comme dominique et alassane apparaitrent dans un classement « bon enfant » peut paraitre bizarre !
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SEITU KARANJA
Août 7, 2015 @ 4:20
LA BEAUTÉ PEUT ÊTRE UNE QUESTION DE CULTURE ET D’OPPRESSION CULTURELLE
La beauté caractérise ce qui est beau, mais le concept du beau varie dans l’espace et le temps. Ainsi l’Europe n’a pas les mêmes concepts du beau que l’Afrique ou l’Asie, par exemple l’Inde, le Japon ou la Chine. Seulement au travers de l’assimilation et de l’esclavage, les occidentaux, disons les Blancs, ont imposé leur concept de la beauté aux Africains : ils jugent en épousant la perception de l’autre. Par exemple on dira « beaux cheveux » ce qui signifie qui ressemblent aux cheveux des blancs ; ce qui reste valable pour les traits du visage, pour la couleur de la peau : une « belle peau » doit être claire. Il en sera de même du nom : je n’appellerai jamais mon enfant Makimbélé ou Nzonga parce que l’extrait sonore qui m’est proposé me paraît étranger et désagréable à l’oreille ; Laurent ou Julie me semble plus beau, plus acceptable. De même le colonisateur, du fait de sa suprématie culturelle blanche, n’appellera pas son enfant Thi Diem, Nkemba ou Namamoto.
Le concept du beau ne reste pas figé dans le temps : hier en France seules les femmes fortes, bien enrobées et petites pouvaient être qualifiées de « belles ». Ainsi de manière provocante Baudelaire dans son célèbre poème « A une passante » ose parler de la beauté d’un femme mince et grande. (Il ira plus loin dans sa provocation esthétique en vantant la beauté de la femme noire dans « Sed non satiata ». Aujourd’hui en France et en Europe (depuis les années 1960) pour la beauté féminine on adopte un autre canon (mince et de grande taille) incontournable dans la présentation de la mode et de la publicité.
Par contre dans les années 1960 les Noirs américains révoltés ont renversé le concept de beauté qui leur avait été imposé et ils ont proclamé : « black is beautiful » ce qui signifie que le cas proposé pour juger la plus belle des femmes je dois les voir au travers de critères qui caractérise l’être noir, par exemple une peau franchement noire, des cheveux crépus… en fait je devrais rejeter les fausses blanches, les succédanés de blanches, les noires factices… (en somme je rejetterai la question qui m’a été posée et le classement colonial des plus belle femmes de « chefs d’Etats africains). En proposant et en affichant ce classement n’avez-vous pas pensé à la puissante révolte des femmes indiennes contre le concours « Miss Monde » chargé d’imposer les valeurs occidentales dont l’esthétique ?
Pour la beauté il en va aussi des noms puisque les Noirs de la Caraïbe et d’Amérique, depuis ce grand mouvement (Black Power et Black Panthers) changent leurs noms adoptant des noms et prénoms africains. Précisons que depuis 1989 aux USA on ne dit plus Noir (Black) mais Africain-Américain, tandis que le colonialisme français a inventé le mot « antillais » pour continuer son entreprise d’assimilation culturelle et esthétique des Africains-Martiniquais et Africains-Guadeloupéens.
Je terminerai en proposant un casse-tête, donc insoluble : si le concept de beau varie suivant les cultures et dans le temps, pourquoi les chefs-d’œuvre ont-ils une esthétique universelle ? Pourquoi les créations esthétiques prodigieuses tendent à l’universalité, à l’exemple du Jazz, seule musique nouvelle depuis plus de trois siècles ?
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Chose
Août 7, 2015 @ 14:14
Les chefs-d’oeuvres le sont bien souvent seulement parce que l’oeuvre en question a été moussé par une forme de pub ou une autre. Il y a des millions de musiciens compositeurs inconnus qui sont excellent sinon meilleurs que Bob Marley ou Bethoven…
De nos jours, il suffit que la radio populaire décide de passer en boucle votre oeuvre musicale pour habituer l’oreille de son auditoire à votre style de musique. Après un certain temps ça finira probablement par en faire un hit.
Si les grands classiques musicaux sont encore enseigné dans nos univers-cité, ce n’est pas parce que ce sont des chefs-d’oeuvre, c’est parce qu’il ont été étiqueté en tant que tel… Cette musique est certe très intérésante une fois que l’oreille s’y est habitué, mais elle n’a rien d’exceptionnelle par rapport à ce qui ce fait de nos jours…
Que se soit Le jaz, le rock, le disco, le classique, le métal, le punk etc etc. Tous ont eux leurs chefs-d’oeuvres qui dureront dans le temps à la seule condition qu’ils soit enseigné et donc inculqué… Le jazz n’a rien de prodigieux, c’est une qustion de goûts et d’état d’âmes personnelle…
On pourrais facilement associer le jazz aux nostalgiques comme ont pourrais associer, le métal aux frustrations de l’adolescence… À quoi pourrait-on associer les oeuvres de Bethoven? À la tristesse et au manque d’amour certainement…
Quoi qu’il en soit, tout les goûts sont dans la nature et bien souvent ils nous sont vendu et imposé par des génies du marketing.
À titre d’exemple, la Monalisa n’a rien de spéciale qui puisse justifier sa valeur actuelle. En fait, des millions d’artistes peintre inconus peuvent en faire autant, c’est tellement vrais, que ceux qui s’achètent ce genre d’oeuvre son obligé de les faires authentifier par des experts parce qu’ils sont absolument incapable de faire la différence entre un faux et un vrai… Dans ce cas précis, c’est simplement la rareté de l’objet qui en fixe la valeur et non la supposé qualité du chefs-d’oeuvre…
Au finale, qui donc décide de ce qui est un chefs-d’oeuvre et de ce qui n’en est pas un? Qui décide de ce qui est beau ou laid? C’est l’âme qui regarde ou qui écoute.
Personnellement, j’apprécie plus un un style de femme qu’un autre mais la couleur de leurs peaux ne semble pas influencer mes goûts. Il y à des traits que j’apprécie plus que d’autre, probablement imposé par mon milieux de vie.
L’amour rend toutes choses belles, alors suffit d’apprendre à aimer pour trouver beau ou bon…
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sahb
Août 7, 2015 @ 17:19
la beauté c’est à la fois très RELATIF c’est clair et c’est faussé par l’impérialisme occidental ! MAIS cependant c’est aussi un ABSOLU ! ça a aussi quelque chose d’UNIVERSEL car l’Homme est à la fois divers et UN !
la musique de Mozart a la réputation de toucher toute le monde et est même utilisée en psychothérapie car elle apaise et dynamise grâce à sa richesse en harmoniques aiguës !
c’est une notion DIALECTIQUE (comme la science qui est à la fois relative, historiquement marquée, et absolue, à une époque donnée il y a un consensus sur ce qui est prouvé, il y a des périodes de grand progrès et des périodes de graves régressions, comme aujourd’hui !)
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SEITU KARANJA
Août 8, 2015 @ 16:39
Je voudrais au travers de ce texte essayer d’apporter une modeste contribution au concept d’art qui anime le débat
COMPRENDRE L’ART EST A LA FOIS SIMPLE ET COMPLEXE.
Dès qu’on parle de chefs-d’œuvre il importe avant tout de comprendre ce qu’est l’art. La meilleure définition est la suivante : la création de la beauté par les soins d’un être conscient. On aurait pu dire « création par l’homme » mais si un jour un Martien débarque sur Terre il nous accuserait de racisme puisque d’emblée, on le jugerait incapable d’art, comme l’animal ou la nature. Je pourrais, en effet, m’extasier devant les Chutes Livingstone du fleuve Congo, ou les paysages hallucinants de terre rouge du désert du Nevada, sans pour autant dire qu’il s’agit d’œuvres d’art ; de même les réalisations d’un singe muni d’un pinceau et de palettes de couleurs ne peuvent être assimilées à de l’art. La nature et l’animal étant dépourvus de conscience. Ajoutons aussi qu’on utilise le mot art pour parler d’un savoir-faire, sans pour autant qu’il s’agisse d’ART, comme « l’art culinaire », « l’art de l’habillement ».
Il existe six formes d’art, répertoriées depuis les temps antiques, certainement par Imhotep le savant égyptien : les trois arts de l’espace, à savoir peinture, sculpture, architecture et les trois arts du rythme à savoir dance, poésie, musique. Les tentatives pour faire adopter le cinéma comme 7ème art ne semblent pas avoir été concluantes (malgré l’immense contribution des réalisateurs soviétiques des débuts, Eisenstein à Kalatozov) , encore moins celles pour la photo ou la bande dessinée (8 et 9ème art).
En fait comprendre l’art exige une formation esthétique qui permet d’avoir accès aux codes utilisés et évidemment les artistes suivent une formation qui leur permet de maîtriser la technique qu’ils appliqueront ; mais ils continueront tout au long de leur existence à se former. Ainsi on pourra admirer les innombrables carnets des peintres, des architectes ou des sculpteurs portant sur leurs « Etudes sur… ». La condition du compositeur en musique ou en dance paraît plus complexe et plus ingrat : après des dizaines d’années d’études il pourrait encore consacrer toute une vie à la création d’une seule œuvre, sans pour autant l’achever. Comment en serait-il autrement, disons-nous, en assistant à la représentation du « Lac des cygnes » ou de « Casse-noisette ». Les archives des compositeurs et des poètes regorgent d’œuvres inachevées.
Pour en venir à la musique il faut éviter la confusion entre la musique et la musique rythmique, la seconde étant aussi éloignée de l’art qu’un abri de jardin avec Notre-Dame de Paris ! C’est que un art possède ses techniques propres, ses outils, et se suffit à lui-même : Ainsi pour réaliser Guernica Picasso a utilisé des couleurs sur un support. Pour la 6ème symphonie de Beethoven dite « la pastorale » on n’entend que des sons au travers desquels je perçois les épisodes de la vie du berger gardant son troupeau et faisant face à tous les changements du temps, rosée matinale, soleil, pluie, orage, les déplacements, la sieste.. Ce qui me permet de vous dire que le reggae n’est pas de l’Art, ce n’est qu’une musique rythmique destinée à accompagner un chanteur, qui peut être un artiste, un vrai ! mais certainement pas un musicien, plutôt un poète. Bob Marley n’est donc pas un musicien, c’est un poète comme Jacques Brel ou Georges Brassens. Seuls comptent ses textes qu’on analyse, qu’on peut dire ou chanter. C’est que la poésie devenant de plus en plus hermétique, un poète français, Pierre-Jean Béranger (1780 – 1857), eut l’idée pour la rendre plus accessible de l’accompagner en musique en la chantant ; depuis cette technique fut adoptée à travers le monde. (ne pas confondre avec la technique des trouvères et troubadours du Moyen-Âge).
On peut faire beaucoup de pub autour d’un prétendu artiste, on peut l’encenser et afficher sa photo sur tous les murs, il n’en restera pas moins un être nul, s’il l’est ! Regardez Salieri et Mozart, même s’il s’agit ici d’un raccourci cinématographique. On pourra citer le cas de Victor Hugo qui eut tous les honneurs, avec sa littérature abondante, jusqu’à la fin de sa vie à 83 ans, alors que Arthur Rimbaud qui n’écrivit que de 16 à 18 ans, l’âge de sa « mort pour la poésie » reste immortel et contemporain !
La publicité ne fait pas l’art et l’artiste ; bien plus pendant des siècles encore on demandera les œuvres de Brel et de Brassens (poètes boycottés par les télé et radios) alors que tous les « artistes » du show-biz auront sombré dans l’oubli total.
Enfin je voudrais affirmer une règle fondamentale : le chef-d’œuvre s’impose à nous et non L’inverse. Prenons comme exemple le premier quatrain du poème d’Arthur Rimbaud, Le Mal :
Tandis que les crachats rouges de la mitraille
Sifflent tout le jour par l’infini du ciel bleu ;
Qu’écarlates ou verts, près du Roi qui les raille,
Croulent les bataillons en masse dans le feu ;
Je noterai d’abord qu’une analyse non exhaustive de ces quatre vers, compte tenu de leur richesse, nécessiterait la rédaction d’un essai de quelque centaines de pages. Mon but reste donc modeste il s’agit de formuler quelques remarques qui immédiatement prouvent le génie du poète et la beauté du chef-d’œuvre : en premier lieu il convient de constater que le poète adopte une approche paradoxale pour traiter le sujet grave de la guerre, des massacres, c’est à dire de la mort qui par convention se déroule toujours la nuit dans une atmosphère sombre et neutre (noire, blanc, gris). Ici la mort frappe en plein jour, en pleine lumière, sous un ciel sans nuage dans un univers coloré à dominante rouge (crachats rouges, écarlates, feu). Rimbaud exprime donc sa colère en envoyant ce message : « ne dites pas que vous n’avez rien vu ! ». Il ajoute aussi « ne dites pas que vous n’avez rien entendu » puisqu’il présente un spectacle assourdissant avec les sifflements, la mitraille, les cris, les chutes. Montrons l’assonance en i (au 2ème vers) crée une harmonie imitative en amplifiant les sifflements, de même les assonances en a (au 1er et 4ème vers) toujours pour l’acuité des bruits et des sentiments de douleur. Par contre les allitérations en r expriment la révolte rimbaldienne au travers de grincements de colère (1er et 3ème vers).
Examinons le premier hémistiche du 3ème vers : « Qu’écarlates ou verts ». Manifestement il s’agit des deux armées ennemies qui s’affrontent dans la mesure où le poète utilise deux couleurs opposées dans le cercle chromatique le rouge (écarlates) et son complémentaire (verts). Pourtant Rimbaud utilise la conjonction (ou) en lieu et place de (et) afin d’exprimer son pacifisme et son rejet de la guerre : il ne fait pas de différence entre un camp (les écarlates) et un autre (les verts). Pire cet hémistiche s’avère imprononçable, renfermant une dissonance, disons une cacophonie qui ralentit la diction causant un métaplasme par rupture isotopique substituant le sens (suggérant des corps écartelés et ouverts)…
Dans ce quatrain la préposition « dans », « dans le feu » 4ème vers constitue le mot clef : le poète qui a recours à une hyperbole-hyperbolique (les bataillons en masse) pour présenter l’étendue du massacre des soldats « par » le feu (de la mitraille) utilise la préposition « dans » au lieu de« par », dès lors il transforme le champ de bataille en un enfer consumant de manière insatiable des armées entières, d’où le titre du poème : LE MAL ;
Par comparaison je présente un « poème » d’un autre auteur, Jacques Delile dit Abbé Delile (1738 – 1813) auteur très adulé par les salons de son époque, ce qui correspondait aux plateaux de TV actuels.
LE PÊCHEUR
Sous ces saules touffus dont le feuillage sombre
A la fraîcheur de l’eau joint la fraîcheur de l’ombre
Le pêcheur patient prend son poste sans bruit
Tient sa ligne tremblante, et sur l’onde la suit.
Penché, l’œil immobile, il observe avec joie
Le liège qui s’enfonce et le roseau qui ploie.
Quel imprudent, surpris au piège inattendu,
A l’hameçon fatal demeure suspendu ?
Est-ce la truite agile, ou la carpe dorée,
Ou la perche étalant sa nageoire pourprée,
Ou l’anguille argentée errant en longs anneaux.
Jacques Delile
Je voudrais m’arrêter au vers 3 :
« Le pêcheur patient prend son poste sans bruit »
On constate une allitération en p, des plus mauvais effets. C’est le déclenchement de multiples explosions ; une pétarade ! en contradiction avec l’idée de la discrétion et du silence que l’auteur introduit !
C’est exactement ce qu’on appelle un mauvais poème et aucune publicité Radio ou Télé ne le sauvera.
Ce qu’il faut comprendre c’est que le capitalisme a un besoin insatiable de bonnes œuvres d’art, de chefs-d’œuvre qui vont lui permettre de thésauriser, d’investir, d’accumuler des capitaux. Il n’a aucun état d’âme puisque les œuvres des artistes révolutionnaires, à l’exemple des peintres Picasso, Siqueiros, Wilfrido Lam n’échappent pas à cette règle ! Il y va de même des architectes révolutionnaires ou progressistes, tels Oscar Niemeyer ou Le Corbusier qui ont permis au travers de grands projets l’accumulation du capital. Le capitalisme a perverti la vocation de l’oeuvre d’art ; à l’exemple du Roi Midas il transforme tout ce qu’il touche en valeur monnayable.
Je terminerai par une petite provocation : vous entendez souvent parler de Diva. En art qu’est-ce une Diva ? C’est une cantatrice qui interprète et ne possède que sa voix laquelle est devenue patrimoine de l’Humanité. La Diva représente donc un musée vivant et on aura beau s’égosiller à appeler une chanteuse « diva » cela ne fera jamais d’elle une Diva, sauf dans l’intimité, et encore moins une chanteuse.
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sahb
Août 9, 2015 @ 0:01
merci ! quelle science de l’art ! très intéressant et très touchant !
n’oublions pas que dans ce système de mort, pour un artiste qui aura pu s’exprimer et qui sera transformé en capital il y en aura eu des millions d’écrabouillés.
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SEITU KARANJA
Août 9, 2015 @ 0:43
Bien sûr. On parle aussi du chant du cygne, cela veut dire que les artistes au contact de la réalité extrème peuvent s’exprimer « dans des chants immortels » et émouvqnts. Voir les oeuvres des vietnamiens, des poètes palestiniens… que nous chantons dans nos manifestations. Ces artistes forment malheureusement pour l’art, le lot des « écrabouillés »
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celcot
Août 7, 2015 @ 2:05
on les a choisit à cause de la clarté de leur peau????? ou sont passées toutes ces belles dames qu’on connait???? en plus la femme de Jammhé est plus jolies que les deux avant elle…à moins que les critères de beautés n’aient été changés entre temps..
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celcot
Août 7, 2015 @ 2:08
les quatre avant
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SEITU KARANJA
Août 7, 2015 @ 14:22
Acide, cynique, ravageur !
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Biko
Août 7, 2015 @ 0:53
Sujet diversion considéré comme arme de distraction massive.
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Charles
Août 6, 2015 @ 21:59
Ce qui est important non pas de savoir qui est la plus belle:
–Car en nous montrant la photo, on peut chacun de nous et en buvant une Bière ou un Vodka 45% dire que cette épouse de l autre est belle éventuellement.
–Ce qu on attend de vous, ce site, est d analyser sa position intellectuelle et déontologique genre X, Y ou Z, vulgairement-parlant, laquelle est la plus intelligente et la plus intègre et la plus honnête et laquelle est la plus bête ou la plus conne.
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Charles
Août 6, 2015 @ 22:08
J aimerais aussi bien voir la tronche de « leurs » présidents mâles et nous dire laquelle est la plus digeste et la moins, physiquement parlant?
Et tant qu on y est, pourquoi pas que les Hauts Dignitaires de ce site : AJ, Estelle et la Modé, entre autres, et quelques prétendants parler au nom du Chef comme s ils étaient leurs fils (pas nous la classe prolétaire) et qui nous soumettent les photos de leurs époux/épouses successives (-ifs) pour évaluation?
Toutefois, on ne se basera que sur l intégrité, l honnêteté et le charme de leurs écrits..le reste on s en tape hollandement et fabiusement !
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Charles
Août 6, 2015 @ 22:22
Addendum (en majuscules):
Ce qu on attend de vous, ce site, est d analyser sa position intellectuelle et déontologique genre X, Y ou Z,…. POUR L AFRIQUE ET LES PEUPLES D AFRIQUE QUI DOIVENT DEVENIR UN DES DOIVENT DEVENIR UN DES ACTEURS MAJEURS DE CE MONDE; A COMBIEN D ETRES HUMAINS NOBLES, LE CONTINENT AFRICAIN DU SOLEIL EN COMPTE?
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Blogueuse Pro
Août 6, 2015 @ 21:36
Merci pour ton blog, hyper sympas es très bien réaliser 🙂
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Estelle
Août 6, 2015 @ 21:33
Prem’s !
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