Le Premier ministre grec a déclaré mercredi qu’il pourrait être contraint d’organiser des élections législatives anticipées s’il ne disposait plus de la majorité nécessaire au Parlement.
Alexis Tsipras a précisé qu’un congrès exceptionnel de son parti, Syriza, pourrait avoir lieu début septembre. «Je serais la dernière personne à vouloir des élections si j’avais une majorité parlementaire assurée pour aller jusqu’au bout de (mon) mandat de quatre ans», a déclaré le chef du gouvernement lors d’une interview à une radio grecque.
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sahb
Juil 31, 2015 @ 10:52
Cipra salaud le peuple aura ta peau !!
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LUDOVICK
Juil 29, 2015 @ 23:27
http://rutube.ru/video/dfc32cf090ab043308f5e0547cea406a/?ref=logo
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hakim
Juil 29, 2015 @ 23:15
L’Inde détrônera la Chine en tête du classement des pays les plus peuplés de la planète d’ici 2022, selon un rapport publié mercredi par les Nations unies.
Aujourd’hui, la Chine compte approximativement 1,38 milliard d’habitants contre 1,31 milliard en Inde. En 2022, les deux pays seront à 1,4 milliard d’habitants environ puis l’Inde continuera de croître (1,7 milliard projeté en 2050) tandis que la population chinoise devrait stagner avant de légèrement décroître à partir de la fin des années 2030.
Le Nigeria, à la croissance démographique élevée, devrait dépasser pour sa part les Etats-Unis d’ici 2050. A cet horizon, le pays le plus peuplé d’Afrique comptera un tiers d’habitants de plus qu’aujourd’hui.
Globalement, la Révision 2015 des Perspectives de la population mondiale préparée par l’Onu prévoit que la planète passera de 7,3 milliards d’individus aujourd’hui à 9,7 milliards en 2050 et 11,2 milliards en 2100.
L’essentiel de la croissance démographique mondiale trouvera son origine dans les régions en développement, notamment en Afrique: les démographes s’attendent à ce que l’Afrique compte pour plus de la moitié de la croissance démographique mondiale dans les 35 prochaines années. Dix pays africains (l’Angola, le Burundi, le Malawi, le Mali, le Niger, la République démocratique du Congo, la Somalie, la Tanzanie, l’Ouganda et la Zambie) devraient voir leur population multipliée au moins par cinq d’ici 2100.
Pour la France, les projections onusiennes tablent sur une progression de 64,4 millions d’habitants aujourd’hui à 71,1 millions en 2050 puis 76 millions en 2100. A cet horizon, la France aura largement dépassé l’Allemagne (80,7 millions aujourd’hui, 74,5 millions en 2050 puis 63,2 millions vers la fin du siècle).
En Europe, un tiers de la population aura soixante ans et plus d’ici 2050.
(REUTERS)
http://www.jolpress.com/sites/default/files/styles/article_content_big/public/field/image/foule_inde_-_seeveeaar.jpg?itok=e52GNr1c
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sahb
Juil 29, 2015 @ 23:10
Pacte militaire Grèce-Israël : le changement de cap de Tsipras
Quand Tsipras est arrivé au gouvernement en Grèce, l’alarme a sonné en Israël : Syriza, soutien de la cause palestinienne, demandait de mettre fin à la coopération militaire de la Grèce avec Israël.
>
> Face à la brutale répression israélienne contre les Palestiniens, prévenait Tsipras, « nous ne pouvons pas rester passifs, parce que ce qui arrive aujourd’hui sur l’autre rive de la Méditerranée, peut arriver sur notre rive demain ».
>
> Sept mois plus tard, fin de l’alarme : Panos Kammenos, ministre de la défense du gouvernement Tsipras, est allé en visite officielle à Tel Aviv, où le 19 juillet il a signé avec le ministre israélien de la défense, Moshe Ya’alon, un important accord militaire. Pour ce déplacement, Kammenos, fondateur du nouveau parti de droite Anel, a choisi le moment où la Grèce était prise en tenailles par la question de la dette.
>
> L’ «Accord sur le statut des forces », communique le Ministère grec de la défense, établit le cadre juridique qui permet au « personnel militaire de chacun des deux pays de se rendre et résider dans l’autre pour participer à des exercices et activités de coopération ».
>
> Un accord semblable n’a été signé par Israël qu’avec les Etats-Unis. Dans l’agenda des entretiens on trouve aussi la « coopération dans le domaine de l’industrie militaire » et la « sécurité maritime », notamment des gisements offshores de gaz qu’Israël, Grèce et Chypre considèrent comme leur « zone économique exclusive », en repoussant les revendications de la Turquie.
>
> Sur la table de la rencontre « les questions de la sécurité au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ». Faisant écho à Ya’alon qui a dénoncé l’Iran comme « générateur de terrorisme, dont l’ambition hégémonique mine la stabilité d’autres Etats », Kammenos a déclaré : « La Grèce aussi est dans le rayon des missiles iraniens ; si un seul réussit à atteindre la Méditerranée, ce pourrait être la fin des Etats de cette région ».
> Il a ensuite rencontré les dirigeants des forces armées israéliennes pour établir une coordination plus étroite avec celles grecques. En même temps le chef de la marine militaire hellène, le vice-amiral Evangelos Apostolakis, a signé avec la contrepartie israélienne un accord de coopération sur des « services hydrographiques » non mieux précisés.
>
> Le pacte militaire avec Israël, stipulé au nom du gouvernement Tsipras, n’est pas seulement un succès personnel de Kammenos. Il entre dans la stratégie USA/Otan qui, dans l’offensive vers l’Est et vers le Sud, vise à intégrer toujours plus étroitement la Grèce non seulement dans l’Alliance mais dans la coalition plus ample comprenant des pays comme Israël, Arabie Saoudite, Ukraine et autres.
>
> Le secrétaire général Stoltenberg a déclaré que le « paquet de sauvetage » UE pour la Grèce est « important pour toute l’Otan », la Grèce étant un « solide allié qui dépense plus de 2% de son PIB pour la défense » (niveau atteint en Europe seulement par la Grande-Bretagne et l’Estonie).
>
> Particulièrement importante pour l’Otan la base aéronavale de la baie de Suda en Crète, utilisée de façon permanente par les Etats-Unis et d’autres alliés, dans ces dernières années pour la guerre contre la Libye et les opérations militaires en Syrie. Maintenant utilisable, grâce au pacte avec la Grèce, également par Israël surtout en fonction anti-Iran.
>
> Dans ce cadre stratégique se recomposent les conflits d’intérêt entre Grèce et Israël, d’un côté, et Turquie de l’autre. La Turquie, où l’Otan a plus de 20 bases et le Commandement des forces terrestres, au nom de la « lutte contre l’Isis » bombarde les Kurdes du PKK (vrais combattants anti-Isis) et, avec les USA et les « rebelles », se prépare à occuper la bande septentrionale du territoire syrien. En vertu de l’article 4 du Pacte Atlantique, car elle considère que sont menacées sa sécurité et son intégrité territoriale.
>
>
> Par Manlio Dinucci
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sahb
Juil 29, 2015 @ 23:14
on remarquera que le drapeau grec est un drapeau nazi américain d’un bleu israélien !!
bizarre … vous avez dit bizarre…. comme c’est bizarre …
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Marie-Christine
Juil 30, 2015 @ 0:46
Menace renforcée sur les Palestiniens.
Question : mais pourquoi les forces militaires israéliennes ont-elles besoin de s’entraîner sur le sol grec ? Elles n’ont pas assez de place en Israël ?
Me paraît effectivement un accord assez inquiétant !
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La Grèce signe un accord militaire avec Israël
Ali Abunimah
Le ministre grec de la Défense, Panagiotis Kammenos, à droite, salue son homologue israélien Moshe Yaalon à Tel-Aviv, le 19 juillet.
(Photo : Ministère grec de la Défense nationale)
Mercredi 29 juillet 2015
Le gouvernement grec, dirigé par le parti de gauche Syriza, a signé avec Israël un accord de « statut des forces » qui offre l’immunité juridique aux forces militaires des deux pays pendant qu’elles s’entraîneront tant en Grèce qu’en Israël.
Israël n’a jamais signé d’accord similaire auparavant qu’avec les États-Unis, signale The Jerusalem Post.
L’accord a été signé lors d’une visite du ministre grec de la Défense Panagiotis Kammenos à Tel-Aviv où, en compagnie de son homologue israélien Moshe Yaalon, il a discuté de la possibilité de resserrer les liens entre les deux pays. Kammenos dirige le partenaire de Syriza dans la coalition grecque, le parti de droite des Grecs indépendants.
Les deux hommes ont également discuté d’une coopération plus rapprochée dans « l’industrie de la défense » et des « questions concernant la sécurité maritime » dans les gisements gaziers méditerranéens situés dans les zones économiques de la Grèce, de Chypre et d’Israël.
En avril et mai, des escadrilles d’avions de combat israéliens F-16 ont effectué des exercices communs d’entraînement au départ de bases aériennes grecques.
C’était la première fois que la Grèce invitait des forces aériennes étrangères à participer à ses principaux exercices militaires annuels, connus sous l’appellation « Iniohos-2015 ». La Grèce permet effectivement à Israël de se servir de son territoire pour s’entraîner à tuer des Palestiniens, et ces « compétences » seront susceptibles d’être mises à profit la prochaine fois qu’Israël lancera une attaque contre Gaza.
Des avions de combat israéliens F-16 sur une base aérienne grecque au cours de l’exercice militaire commun, l’« Iniohos-2015 », le 30 avril dernier. (Photo : Ministère grec de la Défense nationale)
Publié sur The Electronic Intifadah le 23 juillet 2015. Traduction : Jean-Marie Flémal.
Source : Plateforme Charleroi-Palestine
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sahb
Juil 30, 2015 @ 9:44
non ! israel n’a jamais assez de place !
ISRAEL EST UN PAYS IMPÉRIALISTE donc il a des visées hégémoniques mondiale (cf son absence officielle de frontières !)
la péninsule balkanique est un enjeu géostratégique de 1ère importance c’est pour ça que LES NAZIS LES ANGLAIS LES AMERLOCS SE SONT ACHARNÉS sur ce petit pays qui s’était déjà échappé du côté soviétique puisque la révolution était faite, la résistance (l’ensemble du peuple) avait conquis le pouvoir en 45 (voir le site du KKE en français)
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Chose
Juil 30, 2015 @ 18:15
Ont constate à quel point ils ont le peuple à coeur. Encore un sauveur qui n’en était pas un…
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SEPH
Juil 30, 2015 @ 10:11
Tsipras est plus qu’un clown, c’est un traite de la pire espèce.
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SEPH
Juil 31, 2015 @ 19:57
Pour Varoufakis , d’accord avec Sapir : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article6201
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SEPH
Juil 29, 2015 @ 23:00
Alexis Tsipras est un clown qui n’ose pas affronter la racaille capitaliste dont les patrons sont les banques et les spéculateurs milliardaires et qui ont comme bras la Troïka et l’OTAN.
Il refuse de s’appuyer sur le peuple pour chasser cette racaille sanguinaire. c’est sa principale erreur, il finira dans une poubelle!!!
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kawa
Juil 29, 2015 @ 23:16
Tout s’explique ! Une information de Nathalie Caron : » Héhéhé
Alexis Tsipras est fils de Pavlos Tsipras, milliardaire grec décédé en 2012. Les grands-parents d’Alexis Tsipras ont immigré en Grèce, depuis la Turquie, dans les années 20. Le nom du village d’origine de la famille « Cipra » devenue « Tsipras » est Babaeski qui situé dans la province Turque de Kırklareli.
L’entreprise familiale du père du leader de Syriza (Pavlos Tsipras) s’appelait « SKPANAEA » et était spécialisé dans les travaux publiques en Grèce, notamment la restauration et la construction des églises orthodoxes ; et ce, depuis l’époque de la Junte des Colonels.
En ce qui concerne le mouvement de Syriza, son lien avec le milliardaire George Soros qui le finance est on ne peut plus clair comme le revèle le site Gazetawarsza .
L’ascension fulgurante de Tsipras semble avoir été facilitée par l’oligarchie financière internationale
Alexis Tsipras apparaît donc comme une forme « d’opposition contrôlée » au « système » Pas étonnant que Tsipras ait toujours milité pour le maintien de Grèce dans la zone Euro.
l’arnaque !!!
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sahb
Juil 30, 2015 @ 19:39
oui ça s’explique ! déterminisme de classe ! sauf que certains sont capables de le dépasser !!!! mais pas cette ordure de traitre de « Cipra » !!!!
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hakim
Juil 29, 2015 @ 22:09
La Russie a mis son veto mercredi au Conseil de sécurité à une résolution qui aurait créé un tribunal spécial pour juger les responsables du crash du vol MH17 abattu en juillet 2014 dans l’est de l’Ukraine.
Onze pays ont voté pour, trois se sont abstenus (Chine, Venezuela, Angola). Juste avant le vote, les 15 pays membres avaient observé une minute de silence en souvenir des 298 victimes du crash du Boeing malaisien, en majorité néerlandaises.
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sahb
Juil 29, 2015 @ 22:02
Grèce – Communication du Comité central du KKE (Parti Communiste Grec) 13.7.2015
Concernant l’accord-memorandum
1. Le KKE appelle les ouvriers, les salariés, les couches pauvres de la population, les retraités, les chômeurs et les jeunes à répondre avec un vrai, inflexible, grand «NON» à l’accord-mémorandum signé par la coalition SYRIZA-ANEL avec l’UE-BCE-FMI, et de combattre sur les lieux de travail les mesures incendiaires qui y sont contenues et qui viennent s’ajouter aux mesures barbares des memoranda précédents. Qu’ils organisent leurs contre-attaques pour que le peuple ne soit pas conduit à la faillite totale. Qu’ils renforcent le mouvement ouvrier, l’alliance populaire de manière à ouvrir le chemin qui permettra au peuple de se débarrasser une fois pour toutes du pouvoir du capital et des unions impérialistes, qui le conduisent de plus en plus à la barbarie.
Que ne soit perdu ni un jour, ni une heure. Maintenant, sans atermoyer, il faut renforcer l’action populaire sur les lieux de travail, dans les usines, les hôpitaux, les sociétés de services, dans les quartiers, par le biais des syndicats, des Comités de lutte, des Comités populaires de solidarité et d’assistance sociale. L’accord conduit à une nouvelle importante baisse du revenu populaire et à la casse des droits ouvriers et populaires. Il légitime et donne le feu vert à des licenciements, à l’extension du travail non-rémunéré, aux congés forcés et à d’autres mesures anti-ouvrières, que s’octroie dernièrement le grand patronat, prenant avantage des restrictions du secteur bancaire.
Il ne faut pas laisser passer la complaisance, l’intimidation, le fatalisme, le climat trompeur «d’unanimité nationale» et l’espoir bidon que cultivent le gouvernement, les autres partis bourgeois, les médias, divers autres centres du pouvoir, ainsi que les organes de l’UE qui en commun invitent le peuple à accepter le memorandum «Tsipras» et de plus se sentir soulagés, d’avoir soi-disant évité le pire.
2. Le nouveau memorandum «Tsipras» est un paquet de dures mesures antipopulaires qui viennent multiplier l’insupportable fardeau des précédents memoranda et de leurs décrets d’application, votés par les gouvernements de la ND-PASOK. Le memorandum a déjà le sceau de la ND, de POTAMI et du PASOK parce que dans le communiqué commun qu’ils ont signé par leur vote à la Vouli, ils ont donné carte blanche au gouvernement pour prendre les nouvelles mesures barbares antipopulaires qui accompagnent l’accord. L’attitude de la plupart des media privés est révélatrice. Alors qu’ils accusaient SYRIZA de vouloir par le référendum faire sortir la Grèce de la zone euro, désormais ils applaudissent ses choix, le félicitent d’être «revenu» au réalisme.
Aujourd’hui, les partis du «NON» (SYRIZA-ANEL) avec les partis du «OUI» (ND-POTAMI-PASOK) appellent le peuple à dire «OUI» à un nouveau memorandum, qui ajoute de nouveaux fardeaux sur le dos de la classe ouvrière et des couches populaires pauvres avec des mesures antipopulaires comme celles rejetées par une grande partie du peuple grec au référendum.
Le gouvernement essentiellement charge le peuple avec un nouveau prêt de 86€ milliards et les mesures incendiaires qui l’accompagnent, à savoir, une réduction du revenu populaire, un déluge d’impôts, le maintien d’ENFIA [un impôt foncier], la forte augmentation de la TVA sur la consommation populaire et la contribution à la solidarité, la réduction des retraites, la mise en place d’un système de sécurité sociale détérioré, la suppression graduelle des EKAS [aides de solidarité pour les retraités], les privatisations, les mesures de la «boîte à outils» de l’OCDE, etc.
Pour que le peuple accepte ces mesures, une fois de plus il doit faire face au même chantage, au même dilemme qu’il a vécu de manière répétée les cinq dernières années: Soit d’accepter un nouveau et plus sévère mémorandum, soit la faillite de l’état par le biais d’un Grexit? La répétition du même dilemme au premier comme au second memorandum, à chaque fois qu’il fallait décaisser une échéance. Chaque fois le peuple doit choisir le «moindre» mal, le conduisant ainsi au plus grand mal. C’est la même tactique et rhétorique qu’utilise aujourd’hui la coalition SYRIZA-ANEL.
3. Le gouvernement a offert de précieux services au système par la manière avec laquelle il a «habillé» dès le départ l’accord avec des mots d’ordre de gauche, empruntant le masque de la dignité. Il a mis en branle contre le peuple de faux dilemmes en une période ou la contestation globale de l’UE aurait dû avoir un contenu radical et conduire au rejet de la voie capitaliste de développement, qui va main dans la main avec la participation du pays à des alliances interétatiques impérialistes toujours sur la base de relations inégales entre les états. Il a organisé un référendum avec une interrogation bidon, puis a transformé le «NON» à un memorandum barbare, en un «OUI». SYRIZA a délibérément exploité le désir populaire d’annuler les conséquences de deux précédents memoranda, qui revendiquait au moins le recouvrement des pertes subies par les couches populaires. SYRIZA a marchandé les aspirations et les rêves de la gauche et des progressistes, qui souhaitaient un gouvernement de «gauche» et «populaire». Il s’est servi de la décrédibilisation de la ND et du PASOK, de manière à prendre le pouvoir. Aujourd’hui avec le nouveau memorandum il offre «rémission des péchés» aux memoranda ND-PASOK. Il a utilisé la démagogie, mais aussi engagé le peuple à soutenir le grand capital pour redresser sa profitabilité et de contenir la reconstruction et le renforcement du mouvement ouvrier-populaire. Il a obtenu la tolérance, même jusqu’au soutien du noyau de base de la bourgeoisie en Grèce, mais aussi des centres impérialistes étrangers tels que les États-Unis. Les alliances avec les États-Unis, la France, l’Italie, pour lesquelles le gouvernement se vante, ne sont rien d’autres que des «boucliers» pour les intérêts du peuple. En réalité, ce sont des «plombs» qui tirent la classe ouvrière et les couches populaires vers des confrontations dangereuses et exacerbées des impérialistes.
Le KKE a, dès le début, soutenu et démontré que SYRIZA ne voulait pas et ne pouvait pas préparer le peuple à une confrontation à propos des memoranda, contre les monopoles grecs et européens, tout simplement parce qu’il n’avait aucune orientation prévoyant la résistance et le conflit. Au lieu de cela, il a fait ce qu’il pouvait pour garder le peuple dans la passivité en attendant le «vote de protestation» des élections. Il a trompé le peuple en prétendant pouvoir ouvrir la voie vers des changements favorables à celui-ci de l’intérieur de l’alliance de loups qu’est Union européenne.
La «Plateforme de gauche» de SYRIZA a joué un rôle particulier dans la manipulation du mouvement et la tromperie des gens de gauche et des radicaux. Maintenant tous ceux qui concernés tentent de se camoufler derrière leur «abstention» ou leur «absence» lors du vote au parlement, de sorte à occulter leurs énormes responsabilités et à se préserver politiquement pour pouvoir de nouveau entrer dans la scène pour contenir le radicalisme et faire intégrer le peuple dans le cadre du système, en préparant tout à la fois un nouveau rempart politique, rôle joué jadis par «Synaspismos» [fraction qui s’est détaché du KKE].
4. Particulièrement aujourd’hui, il ne faudrait pas oublier certaines conclusions, précieuses pour le peuple:
• «L’âpre» négociation a, dès le départ, été un champ de mines pour les intérêts du peuple, puisqu’elle avait pour objet le redressement de la profitabilité du capital. La participation de la Grèce à l’UE et à la zone-euro demeure la priorité stratégique du capital grec et se fait dans des conditions inégalitaires, telles qu’elles existent objectivement dans le contexte des alliances impérialistes. Au sein de ces alliances, l’État grec est obligé de s’accorder avec la plupart des centres puissants, tels que l’Allemagne, déchargeant les conséquences de cette inégalité sur le dos des travailleurs.
• Ces développements sont la plus éclatante expression de l’échec de la «gauche «novatrice» ou «gouvernante», de la théorie selon laquelle l’UE peut modifier son caractère monopolistique et antipopulaire. Ils ont illustré le naufrage de l’orientation dite «anti-memorandum» qui avançait avec comme objectif bourgeois, social-démocrate, de reconstruction productive sans changements fondamentaux au niveau de l’économie ni du pouvoir.
• Est confirmée la ligne de lutte du KKE, sa position forte et conséquente de refus de participation à ces «gouvernements de gauche», qui sont en fait des gouvernements de gestion bourgeoise.
• Globalement, après les derniers développements, les processus de réforme du système politique bourgeois s’accélèrent, soit par le remaniement du gouvernement, soit par des élections et la création de nouveaux partis et de nouveaux remparts. En tous cas, la méthode constante du système est d’attaquer le KKE de manière à empêcher que se rencontrent d’un côté le ressentiment du peuple et de autre la ligne de lutte anticapitaliste et anti-monopolistique. Devant le peuple s’érige la nouvelle alliance des «empressés» qui se donnent pour tâche d’empêcher tout esprit de résistance et d’émancipation. Aujourd’hui, apparaissent avec une intensité menaçante la répression du pouvoir et du patronat, la croissance de l’autoritarisme pour empêcher l’organisation du mouvement ouvrier et de ses alliés, le développement de la lutte de classe.
5. Le fait que pour la première fois ait été posé si fortement et directement l’éventualité de la sortie d’un pays de la zone-euro, est dû à l’exacerbation des contradictions internes et des inégalités des économies de celle-ci, à la concurrence avec les anciens et nouveaux centres impérialistes qui a émergé après les renversements qui ont eu lieu dans les pays socialistes. Ces problèmes se sont exacerbés dans des conditions de crise économique prolongée en Grèce et ailleurs. Se sont renforcé des tendances séparatistes soutenues par des forces politiques bourgeoises qui voudraient une zone-euro réduite aux pays les plus puissants économiquement. Il s’agit d’une tendance forte en Allemagne, soutenue par les forces dominantes au sein du FMI, qui pour leurs propres raisons, leurs propres intérêts, aggravent les contradictions au sein de la zone euro. Sur la question de la permanence de la Grèce dans la zone-euro, des contradictions inter-impérialistes ont émergé, en particulier entre l’Allemagne et la France, mais aussi entre les États-Unis et l’Allemagne, ainsi qu’entre d’autres centres impérialistes. Les États-Unis sont intervenus en voulant limiter l’hégémonie allemande en Europe mais sans pour autant souhaiter l’éclatement de la zone-euro.
Les contradictions et les développements à l’intérieur de la zone-euro et dans l’ensemble de l’UE, ne sont pas contrariés par l’actuel compromis temporaire et la ratification de l’accord entre la Grèce et la zone-euro-FMI. Cependant, persiste une forte tendance, de laisser ouverte la possibilité d’un Grexit, pour la restructuration de la zone-euro, par l’approfondissement des instruments d’une politique économique unifiée, mais aussi des règles et des mécanismes de contrôle plus strictes et pour l’équilibre budgétaire. Ce n’est pas fortuit, d’ailleurs, que la France et l’Italie, qui s’étaient opposées à la sortie de la Grèce de la zone-euro, soient elles-mêmes des pays avec des déficits et des dettes publiques élevées, et qui cherchent l’assouplissement des règles.
La conséquence de ces contradictions, a aussi donné lieu à la confrontation sur la question de la dette. Le gouvernement, en suivant la ligne du FMI et des États-Unis, a proclamé comme objectif ultime pour le peuple d’obtenir à tout prix un échéancier de dette aux dépens des intérêts du peuple. En même temps il demande un nouveau prêt de 86€ milliards qui augmentera la dette. Il veut que le peuple accepte les mesures antipopulaires d’une nouvelle gestion de la dette, alors que chaque fois dans le passé, elles ont été accompagné par l’écrasement des droits du travail et populaires, que ce soit par le financement sous la forme d’un nouveau prêt – soit par l’échelonnement de la dette, le capital étant le seul bénéficiaire.
6. Pour arriver à une solution définitive et favorable au peuple, est indispensable une rupture réelle, rien à voir avec la caricature de rupture revendiquée par certaines forces à l’extérieur et à l’intérieur de SYRIZA, qui évoquent comme voie de sortie la Grèce capitaliste de la drachme. L’option de sortie de l’euro et l’adoption de la monnaie nationale, dans le cadre capitaliste de développement, est une option antipopulaire qui a été soutenue par d’importantes sections de la bourgeoisie en Allemagne, sur la base du «Plan Schäuble», et dans d’autres pays-membres de la zone-euro, ainsi que d’autres forces réactionnaires. C’est avec ce choix que flirtent aujourd’hui des sections du capital de notre pays, dans l’expectative à brève échéance de profits plus élevés.
Se moquent consciemment tous ceux qui soutiennent que la sortie de la Grèce de la zone-euro, avec une monnaie dépréciée, renforcera sa compétitivité et sa croissance, avec des conséquences positives pour le peuple. Quelle que soit le développement capitaliste qui sera réalisé dans ce cours, il ne sera pas suivi par le redressement des salaires, des retraites, des droits et c’est pour cela qu’il ne profitera pas au peuple. Il mènera à de nouveaux sacrifices du peuple sur l’autel de la compétitivité des monopoles.
La Grèce capitaliste avec une monnaie nationale ne constitue pas une rupture en faveur du peuple. Toutes les forces politiques qui soutiennent un tel objectif comme solution ou comme objectif intermédiaire de changements radicaux (La «Plateforme de gauche» SYRIZA, ANTARSYA, etc.) jouent objectivement le jeu du capital.
Ce choix ne conduit pas au retour à des niveaux relativement meilleurs des années 80 et 90, comme certains le clament haut et fort. Les lois de l’exploitation capitaliste, la concurrence monopolistique impitoyable «règneront», les engagements auprès de l’UE et de l’OTAN resserreront l’étau. Les lois barbares des prêts s’appliquent dans tous les marchés financiers, les banques d’investissements et les caisses des alliés impérialistes actuels ou d’autres (du type BRICS). Par ailleurs, les politiques antipopulaires sont appliquées dans les pays de la zone-euro comme dans les pays capitalistes ayant des monnaies nationales, les plus fortes, comme la Chine, la Grande-Bretagne, la Russie ou les plus faibles, comme la Bulgarie et la Roumanie.
Les scènes de prétendue indignation à propos de «la Grèce pauvre, cependant digne, qui résiste aux puissants» sont de la poudre aux yeux destinée au peuple, ne cherchant qu’à l’asservir à la barbarie. Le peuple ne peut pas se sentir fier quand on lui vole les richesses qu’il produit et qu’on le met en faillite pour sortir le système capitaliste de la crise, que ce soit dans ou hors de l’euro.
C’est une chose que le peuple choisisse lui-même de quitter l’UE, par sa volonté et son action, en prenant simultanément dans les mains les clés de l’économie et du pouvoir et une chose complètement différente, qu’un pays se retrouve en dehors de la zone-euro, en conséquence des contradictions et des antagonismes capitalistes. La première est une solution alternative pour le bénéfice du peuple et vaut tous les sacrifices, la seconde conduit à la faillite populaire par un autre chemin.
7. La proposition politique du KKE est – la propriété sociale, rupture avec l’UE et l’OTAN, l’annulation unilatérale de la dette, le pouvoir ouvrier-populaire – cela concerne les salariés et les couches populaires, les jeunes et les femmes des ménages ouvriers-populaires, les retraités, parce que ce sont eux qui sont et ont été les véritables forces motrices de la société. Leur travail assurerait le bien-être social, sans chômage, faim, misère, sans exploitation. Il suffit qu’ils deviennent les protagonistes des développements sociaux et politiques, qu’ils agissent pour leurs propres intérêts, pour leur vie, ensemble avec le Parti communiste contre le pouvoir de leurs exploiteurs.
Rien n’est donné en cadeau par les exploiteurs et leur état. Le pouvoir ouvrier-populaire ne s’offre pas par le système politique bourgeois, ni par aucun parti «de gauche», il se conquiert. La condition préalable dans la voie du changement de rapport de forces en faveur de la majorité ouvrière-populaire est le rapprochement avec le KKE, son renforcement et surtout sur les lieux de travail et dans les quartiers populaires.
Le renforcement dans tous les sens du KKE et son accompagnement est une condition préalable pour la restructuration du mouvement ouvrier et de la constitution d’une puissante alliance populaire, qui se battra pour les problèmes du peuple, revendiquera des mesures de soulagement immédiates, la récupération des pertes, avec comme «boussole» stable la lutte contre les monopoles et le capitalisme. Sa mise en place son renforcement peuvent dès aujourd’hui aider à changer le rapport de forces négatif, le renforcement de l’organisation, la combativité, l’esprit de lutte de classe de la classe ouvrière et d’autres couches populaires, contre le fatalisme et la subordination du peuple, aux vieux et nouveaux gestionnaires de la barbarie du capitalisme.
Le CC du KKE
13 juillet 2015
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LUDOVICK
Juil 29, 2015 @ 21:18
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LUDOVICK
Juil 29, 2015 @ 21:17
//www.youtube.com/watch?t=113&v=4eJI2gj-Z0c
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bebert
Juil 29, 2015 @ 18:58
Alexis Tsipras a fait son boulot conduire le peuple à sa destruction
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Vénus
Juil 29, 2015 @ 19:08
Ben Hollande lui il s’en fout de sa majorité et il demande pas d’élections.
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Serge Charbonneau
Juil 29, 2015 @ 21:18
Vous auriez sûrement fait mieux !
Votre commentaire est ridicule et superficiel.
Votre commentaire va dans le sens que la propagande veut nous faire percevoir ce politicien à éliminer.
Serge Charbonneau
Québec
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sahb
Juil 29, 2015 @ 21:59
oh mon dieu on ose critiquer un politicard ! @charbobo nous fait immédiatement une crise de nerfs !
une crapule qui est payée par l’oligarchie (qui commande) pour donner des coups de poignard dans le dos au peuple grec qu’on a manipulé pour le faire voter Cipra (le vrai nom de son père) la crapule !
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Marie-Christine
Juil 29, 2015 @ 22:35
A éliminer, Serge, vous êtes sûr ?
C’est vrai qu’il a fait l’essentiel du boulot et que maintenant on peut éventuellement passer à quelqu’un d’autre si sa situation de gouvernance (et avec le peuple grec) est maintenant devenue intenable, mais personnellement je ne m’inquièterais pas beaucoup pour lui, ni pour son avenir personnel.
Il n’était pas difficile de « faire mieux ». En premier être honnête avec le peuple grec et lui dire la vérité -IL LUI DEVAIT LA VERITE, AUTREMENT CELA S’APPELLE UNE TRAHISON! ; en second, lui offrir l’option de sortir de l’Euro et de l’UE, car de toute évidence, c’était la seule porte de sortie qui offrait aux Grecs un espoir d’échapper au plan inique de liquidation et de soumission totale à la troïka et l’assumer si tel était le choix du peuple et même en être le leader. Mais bien sûr pour lui c’était hors de question, car il était dès le départ du camp de l’Atlantisme et de l’UE, j’ajouterais, plus que de celui du peuple grec !
Il avait la force du soutien du peuple grec qui l’aurait suivi même avec des sacrifices pour la reconquête de sa souveraineté et face à ça l’UE n’était pas si en position de force… cela même aurait créé pas mal de panique… Mais il aurait fallu qu’il en ait eu l’envergure et que son intérêt et son orientation idéologique n’ait pas été au départ de rester (coûte que coûte ?) dans le giron de l’UE et de l’Atlantisme.
Je ne comprends pas votre indulgence à son égard.
La propagande nous dit au contraire qu’il s’est montré comme un dirigeant « raisonnable » devenu fréquentable, dont on ne fera peut-être qu’une bouchée (mais c’est déjà fait !).
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thomvix
Juil 29, 2015 @ 21:55
@bebert,
Nous avons besoin de l’analyse sur ce blog. L’esprit de dénigrement systématique est à exclure, car c’est peu utile!
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sahb
Juil 29, 2015 @ 23:23
oh ben en voilà une de belle analyse ! originale et utile …
tu n’es pas d’accord avec @bebert mais tu as zéro argument (et zéro analyse) alors tu lui aboies dessus dans le style petit roquet ! le blog a immédiatement monté d’un cran !
mais au fait qu’est-ce que tu trouves de bien dans les élections (piège à cons) ?
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Chose
Juil 29, 2015 @ 23:31
Une analyse du référendum grec?
Tsipras a mentionné clairement au peuple grec que le référendum ne portait pas sur la sortie de l’EU. Ce qu’il prétendait vouloir c’était un mandat fort pour négocier les conditions du remboursement de la dette…
Il l’a eu ce mandat…
Par-contre, il semblerait qu’avec la manipulation des sondages et des grands médias Tsipras s’attendait plutôt à un OUI qu’un oxi… En tous les cas, force est d’admettre qu’il a accepté les conditions exactement comme l’avait demandé les créanciers et précisément comme si le résultat du vote avait été un oui…
Avec un oui au référendum il aurait eu bonne mine de signer, avec un non il a l’air d’un traitre et à mon avis s’en est un… Il a parié sur le oui et il a perdu
En admettant qu’il aurait été validé et permettez-moi d’en douter, pour être utile ce référendum aurait du comporter deux choix, soit la sortie de l’EU en guise de refu de paiement ou au contraire de l’acceptation des conditions des créanciers.
Tous disait que le oui l’emporterait, Tsipras a misé là dessus.
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Marie-Christine
Juil 30, 2015 @ 0:07
Oui, chose, beaucoup ont fait la même analyse et parmi des gens très sérieux ! Cela devient de plus en plus plausible. Tsipras savait avant le référendum qu’il se soumettrait au plan de l’UE. Il espérait qu’un oui le déchargerait de sa responsabilité -en passant en plus pour un démocrate qui se soumet à la volonté populaire ? Pas de chance, mauvaise pioche ! Le peuple grec était massivement plus résistant et digne que lui !
Ce qui me met la puce à l’oreille a posteriori a été l’annonce « défaitiste » de son coéquipier, qu’il démissionnerait si le oui l’emportait (j’ai trouvé cela un peu curieux, mais bon…). Le non l’a emporté et il a quand même démissionné ! Il savait très bien ce qui allait se passer et ce avant le référendum… Lui, a tiré son épingle du jeu…
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Marie-Christine
Juil 30, 2015 @ 0:12
Alors qu’au contraire avec un non massif il aurait dû être encore plus combattif ! Sa démission a été un arrangement avec Tsipras, ils sont restés copains.
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Chose
Juil 30, 2015 @ 3:58
Bien, peut-être que le bon copain de Tsipras se présentera à la prochaine élection. Il apparaîtra comme étant le nouveau sauveur du peuple Greque, le peuple aura besoin d’un nouveaux sauveur… Ils sont grand les mystères de la foi démocratique…
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sahb
Juil 30, 2015 @ 9:55
sauf truquage il était impossible que le « oui » l’emportat !
le peuple grec lutte depuis 6 ans maintenant par des GRÈVES GÉNÉALES, DES MANIFS MONSTRES ET AUTRE AUTO-ORGANISATION (réprimées par l’armée !!! que les merdias occidentaux censurent évidemment !) CONTRE SA DESTRUCTION !
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Marie-Christine
Juil 30, 2015 @ 14:54
Oui, sahb, à mon avis aussi c’était impossible ! Mais selon les apparences, ils l’espéraient quand même, tout comme Merkel (très placide face au référendum) et d’autres dirigeants de l’UE : ce qui tendrait à montrer qu’ils étaient bien davantage branchés (en phase) sur les dirigeants de l’UE que sur le peuple grec…
Encore un « coup de poker » (raté !) avec le peuple grec !?
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sahb
Juil 30, 2015 @ 16:39
ne pas oublier qu’ils avaient empêché le gouvernement grec en 2011 de faire un référendum identique ! et avaient viré Papandréou !!! remplacé par un sbire de Golmann
Sachs (un administrateur judiciaire en quelque sorte !) personne dans les chancelleries n’avait hurlé au coup d’état ! Et c’en était bien un !
LÀ CURIEUSEMENT ILS ONT LAISSÉ LE TRUC SE FAIRE ?!
Ils ont 2 types de sondages : ceux NON PUBLIÉS pour eux pour régler leurs sales coups et CEUX PUBLIÉS pour manipuler !
….
voilà ce que j’avais mis comme commentaire sur le site lors de l’annonce du référendum :
« Je n’arrive pas à croire que tout ceci ne soit pas que du cirque !
Tsipras est un vieux routard de la politique ! de plus il est associé au parti de droite ANEL (car SYRISA n’avait pas la majorité absolue) et ils ont fait toutes les concessions à l’oligarchie depuis leur installation au pourvoir ! ils n’ont supprimé AUCUNE des mesures CRIMINELLES prises de « »plans d’aide » » en « »plan d’aide » » qui font toujours CREVER la population et ENRICHISSENT les banques « »aideuses » » sans oublier les richards et l’église du pays (le bataillon des Kollabos indispensable à toute agression/occupation d’un pays ) !!! »
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Chose
Juil 30, 2015 @ 18:39
Est-ce que les peuples finiront par comprendre qu’il n’y aura pas de Sauveurs? Hollande, Obama, Tsipras…
C’est une erreur que de céder le pouvoir à un petit groupe d’individus. Toutes décisions qui concerne le devenir de la majorité devraient être voté par référendums électronique non anonymes.
C’est la seule manière de garantire que le vote ne soit pas truqué et qu’il soit le choix de la majorité.
Tsipras devrait être emprisonné ou au minimum être déchus pour ne pas avoir respecté la volonté du peuple.
Sa signature devrait être invalidé…
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sahb
Juil 30, 2015 @ 19:43
surtout pas « électronique » malheureux !!! c’est invérifiable !!!
il faut batailler pour conserver le vote par bulletins papier recomptables !!!
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Chose
Juil 30, 2015 @ 21:11
Pas si le vote est (non anonyme) comme je l’ai expressément spécifié plus haut, dans ce cas tous peuvent vérifier si c’est la bonne case qui est coché sous leurs noms… Par-contre, pour ça il faut commencer par avoir le courage de ses convictions…
Les peureux ne voteront pas, les braves voteront!
L’oligarchie feras tout pour maintenir le système de suffrage actuel, comme ça, ils s’assurent que c’est infaisable de faire un référendum à toute les semaines… Alors qu’électroniquement, c’est un jeux d’enfant…
Sahb, vous voulez conserver exactement ce qu’ils souhaitent conserver…
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sahb
Juil 31, 2015 @ 10:19
ce qui compte c’est qu’on puisse recompter par bureau de vote, par ville, par département, et au niveau national ! la vérification individuelle ne sert à rien car elle peut être retruquée (tous les truquages et retruquages électroniques sont indétectables)
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bebert
Juil 29, 2015 @ 18:54
Les élections c’est pile je gagne face tu perds
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sahb
Juil 30, 2015 @ 16:41
bien vu !!!
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sahb
Juil 30, 2015 @ 19:44
« très bonne analyse » comme dirait @thomvix !
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CROA
Juil 30, 2015 @ 22:28
c’est notre référendum de 2005
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Chose
Juil 29, 2015 @ 17:54
On a vue à quoi ça sert des élections…
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sahb
Juil 31, 2015 @ 10:21
5o/50 !!! que les pro-circus-électoral s’expriment !!! on est curieux de connaître leurs arguments !!! ho ho ho !
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raimanet
Juil 29, 2015 @ 17:51
A reblogué ceci sur Boycott.
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Estelle
Juil 29, 2015 @ 17:12
Prem’s !
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