Le Britannique Reyaad Khan, 21 ans, jeune combattant de l’Etat islamique, est mort. Enfant, il était devenu célèbre en Angleterre car il ambitionnait de faire de la politique en devenant le premier Premier ministre d’origine asiatique. Il était d’origine pakistanaise.
Le jeune djihadiste qui a dérivé en rejoignant l’Etat islamique aurait été tué lors d’une attaque par drone, à Raqqa, de la coalition menée par les Etats-Unis. La frappe aérienne de Raqqa a fait plusieurs morts côté terroriste…
Sa mort a été constatée car son compte Le compte Twitter qu’il mettait à jour régulièrement à coup de propagande est muet depuis le 7 Juillet. Dans le compte Twitter d’un autre djhadiste, sa mort est annoncée avec son nom de guerre: Abdu Dujana.
Fils unique, Reeyad Khan, habitant de Cardiff, a été l’un des premiers Britanniques à apparaître dans une vidéo de propagande de Daesh, l’année dernière. Il encourageait les jeunes britanniques, de le rejoindre. Y figurait, son camarade de Cardiff, Nasser Muthana, qui a voyagé en Syrie avec lui, en compagnie de son frère cadet, âgé lui de 17 ans, Aseel Muthana.
Son père, Nazim Khan, un ingénieur électrique de 46 ans, dit qu’il n’a eu aucun contact de la Syrie pour l’informer que son fils était décédé. En avril dernier, sa mère était apparu à la télévision lors d’un témoignage émouvant, l’exhortant à rentrer chez eux. Cette mère, lors de cet appel à son fils unique sanglotait, répétant: «Reyaad, s’il te plaît, reviens à la maison. Je vais mourir pour toi. Tu es mon seul fils. S’il te plaît Reyaad, reviens. »
Depuis qu’il a atteint la Syrie en novembre 2013, Khan a utilisé 27 comptes Twitter différents, après que ses autres comptes ont été fermés à cause des images violentes et de contenus islamistes.
Muthana père a précédemment affirmé que le jeu vidéo Call of Duty a été utilisé par Daesh pour recruter de jeunes musulmans britanniques.
Turner
Juil 23, 2015 @ 12:42
Arabie saoudite jeunes Saoudiennes harcelées par des hommes
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personne
Juil 22, 2015 @ 23:02
L’assaut en direction de jisr al shugour a démarré la nuit précédente.
Les troupes iraniennes dont on cherchait la trace semblent avoir fini leur formation
puisqu’elles sembleraient y participer.
Zabadani a perdu les trois-quart de ses terroristes ce qui est énorme!
A Hassakah il y a effectivement des actions de la SAAF en coordination avec les kurdes.
Les américains en font autant. Qui gère l’intelligence au sol pour toutes ces bombes laser?
On aurait vu des hélicoptères apache aussi(#al_Hasakah #Syria
American Apache launched air raids onto al Shaddady city, southern countryside, last night)
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Marie-Christine
Juil 22, 2015 @ 20:31
Merkel et la jeune réfugiée palestinienne :
pourquoi tout le monde est à côté de la plaque
Susan Abulhawa
Mardi 21 juillet 2015
Mardi 14 juillet, la chancelière allemande Angela Merkel a participé à une émission de télévision appelée « Good Life in Germany » dans laquelle elle a discuté avec des adolescents. Dans le public, il y avait Reem, 13 ans, une réfugiée palestinienne qui a fui son camp au Liban il y a quatre ans. D’une voix tremblante et dans un Allemand fluide, la jeune Reem a dit : « J’ai des projets comme tout le monde… Je veux aller à l’université. » Mais, a-t-elle expliqué, elle et sa famille sont menacées d’expulsion. « C’est très désagréable de voir comment les autres peuvent profiter de la vie, et moi je ne peux pas, » a-t-elle dit, « je veux étudier, comme eux. »
La chancelière Merkel a répondu avec la peur occidentale habituelle vis-à-vis des immigrés. Elle a dit que si l’Allemagne l’autorisait à rester, il y aurait des milliers de réfugiés palestiniens, puis des milliers d' »Afrique » [ce grand pays singulier] qui se déverseraient en Allemagne. « Nous ne pouvons pas nous le permettre, » a-t-elle dit. La jeune Reem a fondu en larmes et la vidéo de son dialogue avec la chancelière Merkel a fait le tour du monde.
Les titres et les analyses politiques, en Europe et aux Etats-Unis, ont parlé de la réponse sèche de Merkel à une courageuse jeune fille, avide d’éducation, de vie stable, de quelque chose d’autre que d’une peur et d’une incertitude persistantes pour construire sa vie. J’ai lu au moins 15 articles sur le sujet et pour la plupart d’entre eux, l’incident était à relier à la « crise de l’immigration » tant débattue dans toute l’Europe occidentale. Les commentateurs de gauche dénonçaient le manque de cœur de la chancelière, insistant sur la responsabilité humanitaire de l’Europe envers les damnés de la terre. Les commentateurs penchant à droite reflétaient les sentiments de Merkel, que l’Europe avait suffisamment de problèmes et qu’elle ne pouvait endosser ceux du monde entier. D’autres, simplement pragmatiques, reprenaient les paroles de Eva Lohse, présidente de l’Association des Villes allemandes, qui avertissait, « Nous avons atteint les limites de nos capacités. »
Toutes ces analyses sont passées à côté de l’essentiel.
Pas une n’a évoqué le fait que Reem est une réfugiée en raison directe ou indirecte des actions allemandes. Reem, et « des milliers et des milliers de réfugiés palestiniens, » comme a dit Merkel, n’ont pas d’Etat précisément parce que l’Allemagne, avec d’autres nations occidentales, continue de soutenir le colonialisme sioniste qui a expulsé et continue d’expulser les Palestiniens indigènes de leur patrie ancestrale.
Reem ne devrait pas avoir besoin de la « charité » allemande si l’Allemagne faisait en sorte que l’aide militaire et financière massive qu’elle donne à Israël était conditionnée par l’adhésion d’Israël à des principes fondamentaux de morale et de droit international qui garantissent explicitement le droit de Reem à vivre dans son pays natal. Reem ne serait pas perdue dans le monde si l’Allemagne conditionnait les nombreuses incitations européennes économiques et commerciales dont bénéficie Israël au démantèlement de l’Apartheid sioniste qui considère Reem comme un être humain inférieur, indigne de son propre patrimoine, de sa propre maison et de sa propre histoire.
En plus de l’énorme soutien matériel, il y a la complaisance de l’Allemagne vis-à-vis d’Israël pour qu’il continue d’ancrer un racisme structurel et institutionnel qui offre des privilèges d’Etat et des droits aux citoyens en fonction de leur religion. C’est à cause de la couverture politique que l’Allemagne offre à Israël pour détruire la vie, la société et la culture palestiniennes en toute impunité que Reem reste une réfugiée. L’été dernier, par exemple, après qu’Israël a massacré les Palestiniens à Gaza par terre, air et mer, le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies a exhorté l’ONU à « diligenter d’urgence une commission d’enquête internationale indépendante pour examiner toutes les violations [du droit international] dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem Est, en particulier dans la Bande de Gaza occupée, dans le contexte des opérations militaires menées depuis le 13 juin 2014. » Malgré les horreurs que les Palestiniens ont endurées au cours des 51 jours, l’Allemagne n’a pu réunir la plus minime reconnaissance de l’humanité palestinienne qui l’aurait fait voter en faveur de cette enquête.
A voir la vidéo, ceux d’entre nous qui ont le sens de l’histoire bouillent devant un tel spectacle de paternalisme occidental. La réponse de Merkel à Reem fut la manifestation parfaite de l’époustouflante dénégation délibérée des gouvernements occidentaux, qui sont, bien sûr, les créateurs des réfugiés. La vérité est que notre partie du monde gît en ruine, dans la peur et la dévastation largement à cause des « opérations » impérialistes occidentales dans la poursuite d’une hégémonie qui n’a pour nos vies que dédain, mépris total et irrespect. De l’Irak à la Palestine et à la Libye, l’Allemagne a joué un rôle terrible et central dans notre éviscération. Avec ses alliés occidentaux, ils ont fait de nos mères, nos docteurs et nos professeurs des mendiants, et produit des générations de traumatisés, d’analphabètes au sein de ce qui fut jadis des populations au haut niveau de fonctionnement. Ils ont détruit jusqu’aux fondations de nos sociétés, vaincu les mécanismes sociaux qui marginalisaient les éléments extrémistes, au point que dans le chaos et la misère béante de nos vies surgit maintenant une puissante organisation de fanatiques morbides.
Alors, aux commentateurs de gauche, de droite et pragmatiques, je demande de nous épargner, s’il vous plaît, votre baratin égoïste sur le fait de savoir si vous devez ou non « aider » les autres. Il suffirait de mettre fin au préjudice causé et perpétué par l’occident. Au minimum, essayez d’injecter une once d’auto-critique honnête dans votre discours sur l’immigration. Examinez votre rôle dans la création des crises mondiales qui jettent sur vos rivages des êtres humains désespérés. Demandez-vous pourquoi Reem est une réfugiée, peut-être de la troisième ou quatrième génération, et quel est le rôle de l’Allemagne dans la tragédie incommensurable qui continue à frapper la Palestine.
Source : Counterpunch
Traduction : MR pour ISM
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Charles
Juil 22, 2015 @ 19:44
J espère que ce Riyaad Khan, quand il arrive dans l au delà, qu il ne se permette pas d engueuler ni Dieu ou allah ni aucun des prophètes …ou au mieux de ne pas leur dicter ce qu ils doivent faire ou pas…On ne sait jamais avec des Djihadistes ou des energumènes pareils
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Charles
Juil 22, 2015 @ 19:58
et pourvu qu il n a pas non plus sa mitraillette sur lui..ça craint …
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Lydia
Juil 22, 2015 @ 22:41
Surtout qu’il a due trouver les portes du paradis fermés et une indication disant veuillez descendre au sous sol… 😈👹👺🔥🔥🔥
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jp
Juil 27, 2015 @ 19:28
ll’allemagne n’est plus ce qu’elle était il y a 70 ans..maintenant elle est géréepar un gouvernement pro-sioniste malheureurement c’est la vérité….qu’attendent les allemands des sionistes?????????? rien toussssss zero..sinon perte sur perte l’allemagne n
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hussaf
Juil 22, 2015 @ 18:42
Citations sionistes et antisionistes qui rappellent l’usurpation de la Palestine
« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place »
David Ben Gourion 1937, premier Premier ministre d’Israël
« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves »
Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987
« Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe »
Israël Koenig, « The Koenig memorandum »
« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu »
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973
« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans
« A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée »
Commentaire de l’essayiste hébreu Achad Ha-Am, après avoir visité la Palestine en 1891
« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre »
Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969
« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé »
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969
« Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs »
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988
« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes »
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989
« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection »
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895
« Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias
« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … »
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000
« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes »
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982
« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie »
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001
« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront »
David Ben Gourion, journal du 18 juillet 1948
« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille»
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983
« La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israël se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre »
Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972
« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres »
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972
« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien »
Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel
« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe »
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969
« … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon »
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297
« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation »
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisionniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923
« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone. C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes »
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923
« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins – tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester »
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem »
« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires »
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam », du 24 novembre 1989
« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence »
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem)
« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais d’ accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ? »
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.
« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël … La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous »
Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983
« Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision »
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967
« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela … Je vais vous dire quelque chose de très clair : Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent»
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Peres, cité sur la radio Kol Yisrael
« Parmi les phénomènes politiques les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres »
Albert Einstein. Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.
« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate »
Ben Gourion
« Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora »
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.
« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous »
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958
« Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne »
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967. Palestine, vol. 12, décembre 1983
« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gourion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » »
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.
Béatrice Doinette
Source: Réseau International
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hussaf
Juil 22, 2015 @ 18:39
Quand la France foulait aux pieds ses intérêts en Iran
Par suite de l’accord historique sur le nucléaire iranien, du 14 juillet dernier, le chef de la diplomatie française avait annoncé sa prochaine visite à Téhéran.
Chose tout à fait légitime et allant de soi.
Ce qui l’est moins, c’est la précipitation apportée par Paris à renouer les liens avec l’Iran.
En effet, ce qu’il faut savoir est que ledit accord a été retardé de près de deux ans du fait de l’intransigeance… de la France, la plus engagée des P5+1 à faire rendre gorge à Téhéran. Ce qui, en termes prosaïques, s’appelle insulter l’avenir. Plus que cela, la France dans son jusqu’au-boutisme a surtout ignoré ou négligé ses intérêts intrinsèques avec l’Iran. Cela ne s’invente pas, d’autant plus que Paris a de ce fait perdu de vue l’adage qui dit qu’ «en diplomatie il n’y a pas d’amis, il n’y a que des intérêts», d’où la nécessité de toujours laisser entrouverte la porte.
La France, dans son exaltation à défendre prioritairement les intérêts d’Israël avait omis les siens propres.
En effet, dans les diverses phases des difficiles négociations sur le nucléaire iranien, la France, particulièrement son chef de la diplomatie Laurent Fabius, s’est le plus durement illustrée envers l’Iran. C’est ainsi que Paris s’est signalée à l’attention générale en étant pratiquement seule contre tous en novembre 2013 quand elle a opposé son veto au pré-accord qui se dessinait induisant l’échec des négociations de Genève. L’étrange intransigeance du ministre français des Affaires étrangères y a été décisive.
Cela avait à l’époque suscité l’étonnement, voire déconcerté les observateurs y compris l’ennemi déclaré de l’Iran: les Etats-Unis.
Paradoxalement, seul Israël avait approuvé et applaudi ce fanatisme, inconcevable, venant d’un pays aussi au fait des arcanes de la diplomatie et de ses interactions qui auraient dû lui imposer de savoir raison garder. Cela n’a pas été le cas, M.Fabius se félicitant même d’avoir «empêché» un «mauvais» accord.
A quelques variantes près, l’assise de l’accord auquel sont parvenus, mardi dernier, les P5+1 et l’Iran, est celle-là même refusée à l’époque par la France qui a fait perdre à tout le monde près de deux années. En effet, beaucoup d’experts voyaient alors dans le document de Genève «une authentique percée vers un apaisement des relations entre l’Occident et l’Iran» et un règlement négocié de cette difficile impasse nucléaire.
En vérité, à l’époque, donc en novembre 2013, personne n’avait compris l’attitude négative prise par la diplomatie française. Même les Iraniens les plus hostiles au pouvoir des ayatollahs n’avaient pas admis le fait. D’ailleurs, les réseaux sociaux s’en sont donnés à cœur joie, allant jusqu’à accuser Laurent Fabius d’être «l’âne des Israéliens». C’est dire, jusqu’où la France, singulièrement son représentant officiel Laurent Fabius, obnubilée par la haine de l’Iran – que l’on supputait à l’aune du seul Israël – a gravement nui à ses propres intérêts alors que des dizaines de sociétés françaises ont ou avaient eu pignon sur rue à Téhéran. En se faisant le porte-voix zélé d’Israël, la France aura surtout foulé aux pieds ses propres intérêts en Iran.
C’est, dès lors, d’un cocasse incongru, que ce soit ce même Laurent Fabius – alors que l’encre des signatures de l’accord de Vienne n’a pas encore séché – qui annonce sa prochaine visite dans la capitale de cet Iran honni. Hier, dans son ardeur vengeresse, la France a négligé le fait que l’Iran est un riche pays disposant des quatrième et deuxième réserves mondiales de pétrole et de gaz. Aujourd’hui, toute honte bue, Paris est le premier à se précipiter vers un Iran redevenu fréquentable. Honteux!
Gageons que l’Iran et les Iraniens ont la mémoire longue et se feront un devoir de rappeler au chef de la diplomatie française, s’il atterrit un jour à Téhéran, son ostracisme malvenu envers leur pays.
Karim MOHSEN
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Charles
Juil 22, 2015 @ 19:31
Excellent article @hussaf et Merci.
Fabius et Hollande qui sont corps et âme contre l Iran?
1–Les deux recevaient les ordres de Netanayou de faire un bloc français contre l iran bien que Netanayou a été critiqué par ses propres rangs afin d arrêter de citer Auschwitz « deux fois par semaine » et qu il le fait juste pour valider sa « guerre » contre l iran
2–Fabius a reçu des ordres aussi du « Sympathique Libermann » ministre aussi des Affaires Etranges comme Fabius. Néanmoins, le 1er premier (fabius) est un Grand Escroc et Libermann un grand facho, un raciste, un anti arabe et qui refuse de se trouver à côté d un arabe raison pour laquelle il est considéré comme une persona non grata en Europe (sauf ä Paris où il a été reçu en Catamini à maintes reprises).
3–(Mediapart a dit)Quand on entend Nethanyaou annoncer que quelques soient les résolutions qui seront adoptées à Genève (pour l Iran dès 2013)Israel ne s’y pliera pas !Là dessus aussi ni Fabius ni Hollande – qui sous les pressions annonce qu’il parlera à la Knesset ,n’ont dit un mot ou écrit une ligne à propos de ce mépris affiché des positions et résolutions internationales !
4–(Mediapart a dit aussi): Faut-il rappeler aussi qu’Israel n’a jamais reconnu officiellement avoir l’arme atomique ( en partie grâce à Guy Mollet illustre prédécesseur et modèle de Hollande ) et que maintenant seul des pays « développés » pouvaient en produire des armes nucléaires. S ajoute à cela qu Israel n’a pas ratifié la convention internationale sur les armes ni nucléaires ni chimiques.
—–
NB: C est vrai que Guy Mollet, un socialiste comme Hollande était un sale impérialiste dès 1950: Il a foutu un bazar inimaginable lors de la Décolonisation de l Algérie. Il a mené la guerre contre la nationalisation du canal de suez et contre Nasser en 1956 (GB+France/Mollet+Israel) et enfin c est grâce à mollet que la France avait commencé le transfert de connaissance sur les armes nucléaires depusi 1955.
On dirait qu Hollande recopie son maitre à penser Mollet mais au fait il ne fait rien: Il exécute ce que les Lobbys et les cartels lui disent de faire et mieux encore il annonce la naissance d un bébé dans qu il n ait rien su de ce qui s est passé les 9 mois avant…Il était dans le coffre de la voiture …
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hussaf
Juil 22, 2015 @ 18:24
L’armée syrienne et le Hezbollah encerclent la ville de Zabadani
la bataille pour libérér la ville de Zabadani devrait bientôt toucher à sa fin .
Le Hezbollah et l’armée syrienne viennent de s’emparer de la plaine sud de cette ville située à 45 km au nord-ouest de Damas, autrefois fief des milices de la branche d’al-Qaïda en Syrie, le front al-Nosra et Cie. 1500 miliciens y sont encerclés et appellent au secours, selon les sites de l’opposition syrienne.
La plaine de Zabadani sous contrôle
En effet, le terme « congé » ou « pause » pour célébrer la fête al-Fitr de la rupture du Jeûne du mois de Ramadan n’existe pas dans le dictionnaire de l’armée syrienne et de la résistance libanaise.. Les batailles n’ont pas cessé sur la plupart des fronts ces derniers jours.
Bilan en ce mardi: elles se sont emparées de Darb Kallassa, Darb alHasba et Marj alKassara dans la plaine sud de Zabadani. Celles-ci constituaient les principales lignes de ravitaillement des réseaux terroristes qui se positionnent dans la ville de Zabadani et assuraient le transit des militants de Zabadani vers la rivière Barada dans le sud, appelée Darb alChams.
Selon des sources locales, citées par le quotidien alAkhbar, des dizaines de militants ont été tués ou blessés dans l’embuscade menée par l’armée et la résistance pour empêcher une tentative d’infiltration dans la ville. Il s’agirait des miliciens du groupuscule wahhabite takfiriste daesh (Etat islamique), venus prêter main forte au Nosra. Ils ont été ensevelis alors qu’ils tentaient d’avancer via des batiments qui avaient été piégés par la Résistance.
Sur les sites de l’opposition, les appels au secours battent leur plein, faisant état de «plus de 1 300 hommes armés menacés de génocide», et appelant « leurs frères moudjahidines en Syrie quelque soit leur appartenance de se rendre vers la ville pour les sauver».
La milice Ahrar al-Cham qui combat aux côtés du Nosra dans la plupart des régions syriennes a essuyé des pertes importantes. Elle a fait était de 21 de ses miliciens abattus ces derniers jours et dont elle a révélé l’identité.
Une source locale a ajouté que l’armée de l’air a mené des raids sur les repaires des terroristes sur la place d’Ara, au rond-point de Silan et à al-Jisr dans la ville de Zabadani.
Par ailleurs, une unité de l’armée a détruit un véhicule qui transportait des terroristes de la branche d’al-Qaïda en Syrie, le front al-Nosra dans la périphérie de la localité de Khan Chih dans la banlieue de Damas, selon une source militaire.
”Dans la localité d’Erbine à Ghouta est, l’armée de l’air arabe syrienne a détruit un entrepôt de munitions et un lance-roquette qui appartenaient aux réseaux terroristes takfiristes”, a ajouté la source.
Les habitants de Nobbol et Zahra subissent la vengeance des takfiristes
Toujours selon alAkhbar , les habaitants des deux villes Noubbol et Zahra , situées au nord d’Alep, sont exposés à une campagne terroriste de la part des takfiristes qui se vengent pour leur défaite à Zabadani et au Qalamoun.
Il y est question d’une rafle de roquettes qui se sont abattues sur un certain nombre de quartiers résidentiels des deux localités . Roquettes qui ont été tirées par des takfiristes basés dans la ville avoisinante d’alMeyer et qui ont visé directement une mosquée pendant la prière de l’Aïd, faisant des victimes parmi les fidèles.
Ghouta orientale
Dans la Ghouta orientale de la capitale syrienne, les forces gouvernementales ont liquidé des terroristes de la milice fincancée par l’Arabie Saoudite Jaïch al-Islam (Armée de l’Islam) dans les fermes de Hajjarya et d’Aliya.
Deraa
A Deraa, au sud de la Syrie, une source militaire a indiqué que des unités de l’armée ont tué et blessé des miliciens du ”Front Nosra” et détruit leurs véhicules dans la localité de Saïda et dans le quartier-est de la localité de Noïamah dans la banlieue-est du gouvernorat.
De même, la source a souligné la neutralisation de nombreux terroristes, dans des opérations menées contre leurs repaires, à l’ouest de la localité de Yadoudah dans la banlieue nord-ouest de Deraa.
A Deraa al-Balad, la source a ajouté que d’autres unités de l’armée avaient abattu des terroristes et détruit leurs véhicules, dont certains étaient dotés de mitrailleuses lourdes, sur la route de la Météorologie – Sad, au sud d’Abaret al-Sad, dans la périphérie de la mosquée de Khalil, dans les deux quartiers de Kark et Abazid et à l’alentour de la Poste.
Souweïda
Dans la banlieue-nord de Souweida, une source du gouvernorat a déclaré que des combattants volontaires des Comités de la défense populaires affiliés à l’armée régulière ont tendu une embuscade aux terroristes dans la zone de Kou’- Hadar entre les deux villages de Radimeh Lioua et Lahthet, tuant et blessant des dizaines d’hommes armés parmi eux, tandis que les autres avaient pris la fuite en direction de la zone de Lajat.
Quneitra
Dans la banlieue-est de Quneitra, une source militaire a fait savoir que de nombreux terroristes du Front al-Nosra ont été neutralisés, dans une opération exécutée par une unité de l’armée dans le village d’Om Battinah.
Une autre unité a détruit des caches des réseaux terroristes et éliminé plusieurs parmi eux dans le village d’Abou Chatta dans la banlieue-nord de Quneitra.
Hassaké
Au nord de la Syrie, et plus précisément à Hassaké, il est question de la mort de 6 miliciens de Daesh, dont leur chef d’origine tunisienne et cinq autres, de natinalités étrangères dans un raid aérien.
Selon le quotidien libanais assafir, l’Observatoire syrien pour les droits de l’homme a annoncé que le raid a visé une voiture transportant des militants étrangers près d’un village appelé Foj Almilbiyah au sud de Hassaké.
Et de préciser qu’il n’y a pas d’informations exactes si ce raid était exécuté par l’armée syrienne ou par la coalition dirigée par les Etats-Unis.
Alep
Dans la banlieue d’Alep, l’armée de l’air a détruit des repaires et des rassemblements des organisations terroristes et abattu des terroristes aux alentours du bâtiment de Recherche scientifique.
Hama
Dans la banlieue de Hama, des unités de l’armée arabe syrienne ont visé une cache des terroristes du Front al-Nosra dans la localité de Qastoune au nord-ouest de la ville de Hama et ont tué au moins 38 terroristes, dont la majorité appartenait à des nationalités étrangères.
Parmi les terroristes tués figuraient : l’Emir du Front Nosra dans la banlieue d’Idleb, Mohammad Khaled al-Khaled, dénommé Abou Dajana et l’Irakien Saïd Ali Naous.
La source a ajouté qu’une unité de l’armée avait tué 12 terroristes dans une opération de qualité contre une cache des terroristes dans la localité et la colline al-Amiqa dans la banlieue nord-ouest, soulignant que la majorité des tués sont des mercenaires étrangers, dont un Tchétchène, un Jordanien et un Egyptien.
Idleb
Dans la banlieue d’Idleb, l’armée de l’air a détruit des caches et des véhicules des terroristes du Front Nosra à Abou Dhouhour, Teraa, Majass, Bennech, Jisr al-Choughour et Ariha.
Homs
Dans la banlieue de Homs, une source militaire a fait savoir que l’armée de l’air avait détruit des caches des terroristes de Daech dans la périphérie de Palmyre, au nord de Jazal, à Jbab Hamad, à Tafha, à Hanoura et à Om Sahrij.
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Aboubakre
Juil 22, 2015 @ 17:45
c’est la même question que tout le monde se pose car l’ennemi historique de l’islam et les musulmanes est le sionisme et les juifs. Personnes ne comprend pourquoi ils se font massacrer ou massacre d’autre musulmans soit disant parce qu’ils font une jihad contre les autres musulmane.
A mon avis, ils sont manipulés par des agents au solde des sionistes ou des puissances étrangères uniquement pour pérenniser leur domination et leur accaparement des richesses du monde. Eux, ils ne font que servir bêtement les autres sans en prendre conscience. Ils n’ont pas pitié de leurs parents que ont tant travaillé pour les mettre à l’abri du besoin, pour qu’ils ne souffre pas de la faim, qu’ils soient en bonne santé, qu’ils aient une bonne éducation pour espérer un meilleur avenir. Dés qu’ils atteignent la maturité au lieu de se battre pour prouver à leurs parents que leurs efforts n’ont pas été vain, ils choisissent de se faire tuer après avoir massacrer plusieurs de leur coreligionnaires au nom d’une jihad qu’eux seuls connaissent l’utilité. REVEILLER VOUS ILS VOUS TROMPENT ET VOUS POUSSENT A FAIRE DU MAL A VOTRE FAMILLE D’ABORD, A VOS FRERES DE RELIGION ET A TOUTES PERSONNES EPRISENT DE JUSTICE ET D’EQUITE. LA RELIGION MUSULMANE NE VOUS DEMANDE PAR DE FAIRE CE QUE VOUS FAITES ET EN LE FAISANT VOUS PORTEZ UN LOURD PREJUDICE A L’ISLAM QUI EST UN RELIGION DE PAIX ET D’AMOUR
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campus13127
Juil 22, 2015 @ 17:08
je me pose la questions
combient d’hommes de femmes et d’enfants à t’il tuer??????
la il vas etre 1er ministres sous terre
il poura même former un gouvernement
j’ai jamais compris comment c tordue arrive à gober que l’ont peut faire le jihad entre musulm
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croixmorand
Juil 22, 2015 @ 18:30
longue vie à son gouvernement d’asticots.
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hakim
Juil 22, 2015 @ 15:47
Les milliards de Mouammar Kadhafi, disparus dans les banques occidentales!
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=249236&cid=76&fromval=1&frid=76&seccatid=61&s1=1
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Chose
Juil 22, 2015 @ 18:12
Et lui, il les avait pris ou ses Milliars?
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sara
Juil 22, 2015 @ 23:48
Pour Mouammar Kadhafi, la Libye c’était une épicerie familiale.
Perdre autant d’argent bêtement, c’est révoltant.
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aras
Juil 23, 2015 @ 0:09
Pour Mouammar Kadhafi, la Libye c’était une épicerie familiale.
Perdre autant d’argent bêtement, c’est révoltant.
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Estelle
Juil 22, 2015 @ 15:18
Prem’s !
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