La Grèce, financièrement exsangue, a réussi à s’acquitter mardi du remboursement d’obligations dites « samouraï » auprès de créanciers privés au Japon, un geste symbolique destiné à éviter la défiance totale des marchés. Dans le même temps, les Britanniques refusent de renflouer la Grèce. Le ministre britannique des Finances George Osborne s’efforcera de bloquer toute tentative de l’Union européenne d’inclure de l’argent britannique dans un nouveau programme de renflouement financier de la Grèce, ont rapporté mardi plusieurs médias.
« La réception de la somme de 20 milliards de yens (148 millions d’euros) a été confirmée ce matin », a indiqué un porte-parole de la méga-banque nippone Mizuho Financial Group, administrateur des obligations. Or, hier, lundi, la Grèce a de nouveau fait défaut sur sa dette vis-à-vis du Fonds monétaire international (FMI) en n’honorant pas un remboursement des 456 millions d’euros qui était dû.
La dictature des marchés financiers ont eu raison de Tsipras. Car en effet, il n’est pas responsable de ces dettes. Ces titres de dette avaient été émis par l’Etat grec il y a exactement… 20 ans dans la devise nippone, et vendus à des investisseurs privés. Elu, il assume donc. Or, il y avait mieux à faire. Enfin, en principe.
La situation voulue par la BCE pour sceller un accord pouvait pourtant être détournée, selon de nombreux économistes contre l’austérité et qui précise que la Grèce sera sous perfusion pendant encore de nombreuses décennies. D’autres attestent qu’elle ne remboursera jamais sa dette.
Pour dire non aux créanciers, ces terroristes, un vrai non, pas celui du référendum grec, il fallait faire quoi ?
- Émettre des IOUs » (phonétiquement « I owe you », « je vous dois », des reconnaissances de dettes en euros);
- Appliquer une décote sur les obligations grecques détenues par la BCE depuis 2012, pour réduire d’autant la dette.
- Prendre le contrôle de la Banque de Grèce des mains de la BCE.
Malgré les menaces allemandes ou les salmigondis anglaises, cela entrevoyait une possible sortie de la Grèce de l’euro, uniquement, d’autant plus qu’il n’y a aucun moyen légal de la pousser dehors. D’ailleurs, le faire, c’est simplement effacer l’ardoise…In fine, il ne s’agit donc pas d’avoir une monnaie forte pour être émergent. Le cas du japon et du yuan est là pour l’expliquer. Un retour au drachme serait plus intéressant pour la Grèce…
hopeless
Juil 16, 2015 @ 11:46
« L’accord signé le 13 juillet au matin se défait désormais d’heure en heure. La perspective d’une sortie de la Grèce hors de la zone Euro est à nouveau à l’ordre du jour. »
Signé : Jacques SAPIR 15 juillet 2015
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Huakum
Juil 15, 2015 @ 8:04
Les Africains « francophones » devraient suivre attentivement ce qui se passe entre la Grèce et l’Allemagne. Cette dernière est en train d’étrangler la Grèce comme la France étrangle les pays africains « francophones » grâce à l’arme monétaire. On peut voir nettement pourquoi les pays africains « francophones » sont parmi les plus pauvres de la planète, le franc CFA est à l’oeuvre. La célèbre phrase de Meyer Rothschild : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me moque de qui fait ses lois » trouve ici une intéressante illustration.
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sowhat
Juil 14, 2015 @ 20:10
Inéluctablement Tsipras va devoir tomber le masque, d’abord devant l’aile gauche de son parti et de toux ceux qui l’ont soutenu y compris en dehors de son parti, ensuite devant le peuple qui a voté non au référendum. Maintenant la question est de savoir s’il est prêt au pire au service de l’élite euro-atlantiste et des EU à savoir être obligé de mater une insurrection populaire car c’est ce qui va arriver. Les grecs sont plus prêts que jamais à descendre dans la rue et là ça risque d’être nettement plus violent que ce qu’on a déjà vu. Des jours sombres attendent la Grèce.
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Biko
Juil 14, 2015 @ 16:52
Avec la mafia mondiale c’est la stratégie de défet, elle n’a pas gagné sa deuxième guerre tribale européenne mais fait comme et se comporte comme si c’est elle qui avait gagné. Contre la Grèce la voici qui transforme le héros en bouffon. Pauvre Hercule Tsipras il est entre l’enclume et le marteau de la pègre mondiale. En tant que pays orthodoxe Il ne fallait pas se glisser dans la forge de la meute catholique-protestante finement appelée communauté européenne. Il faut savoir le Yen comme le Dollar c’est du papier toilette. La planche à billet mène vers le chaos de l’apocalypse et comme par hasard c’est sous le ciel Grecque que l’apôtre Jean a eu la vision de tous ces événements.
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Biko
Juil 14, 2015 @ 16:50
Avec la mafia mondiale c’est la stratégie de défet, elle n’a pas gagné sa deuxième guerre tribale européenne mais fait comme et se comporte comme si c’est elle qui avait gagné. Contre la Grèce la voici qui transforme le héros en bouffon. Pauvre Tsipras il est entre l’enclume et le marteau de la pègre mondiale. En tant que pays orthodoxe Il ne fallait pas se glisser dans la forge de la meute catholique-protestante finement appelée communauté européenne. Il faut savoir le Yen comme le Dollar c’est du papier toilette. La planche à billet mène vers le chaos de l’apocalypse et comme par hasard c’est sous le ciel Grecque que l’apôtre Jean a eu la vision de tous ces événements.
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Phoenix
Juil 14, 2015 @ 16:03
LE TERRORISME DE BRUXELLES, BERLIN, WASHINGTON, LONDRES, TEL AVIV, NEW-YORK SUR LA GRÈCE POUR LA DITE « DETTE » DES ASSASSINS CRIMINELS DE PAYS SOUVERAINS, PAR LES VRAIS CRIMINELS ET SEULS TERRORISTES DU MONDE, EST LE MÊME QUE CELUI EN UKRAINE ET EN SYRIE, PROVENANT DUNE ET MÊME CUISINE DE PSYCHOPATHE PRÉDATEURS PATENTES ET LA GRÈCE À ABATTRE ET PILLER DE SES RICHESSES ET RESSOURCES POUR UNE FAUSSE DETTE DES BANKSTERS CRIMINELS DU MONDE, L’ALGÉRIE, À SON GAZ ET PÉTROLE, EST LA PROCHAINE CIBLE ET VICTIME SUR LEUR LISTE ET AGENDA…DE PAYS SOUVERAIN À ANÉANTIR ET DÉPECER…
NE VOUS TROMPEZ NI D’ENNEMI, NI DE VÉRITÉ !
La dette publique de la Grèce doit être annulée, selon un expert crétois
11:47 14.07.2015(mis à jour 13:20 14.07.2015)
La dette publique de la Grèce est illégitime, et Athènes doit saisir les institutions internationales pour exiger qu’elle soit annulée.
Une commission spéciale du parlement grec a déjà préparé une analyse préliminaire du problème, a déclaré Dimitrios Patelis, de l’université technique de Crète, dans une interview accordée à RIA Novosti.
Президент РФ В.Путин встретился с премьер-министром Греции А. Ципрасом
© SPUTNIK. ALEXEI NIKOLSKY
Grèce: Tsipras a appelé Poutine juste après le référendum
Les premières conclusions de ce groupe de travail font ressortir que la dette grecque serait « illégale, frauduleuse, injuste, honteuse et invivable », et que la responsabilité de la situation économique actuelle incomberait à ceux qui ont « prêté et emprunté déraisonnablement au pays pour des programmes de sauvetage ». La dette provoquée par les règles imposées par la troïka des créanciers bafoue directement les droits fondamentaux de l’homme des habitants de la Grèce, stipule le rapport.
« En s’appuyant sur ce rapport, l’État souverain s’adresse aux organisations internationales, à l’Onu et déclare que la dette est illégitime, qu’elle s’est formée en violant les droits souverains de l’État. Il existe déjà des précédents d’annulation de telles dettes injustes, un tel mécanisme existe mais il faut de la volonté pour que le peuple soit informé et participe à tout le processus. Cela nécessite également des alliés internationaux qui pourraient soutenir les initiatives de la Grèce au sein des institutions mondiales. Mais le gouvernement d’Alexis Tsipras n’a pas suivi cette voie », déclare Dimitrios Patelis.
Alexis Tsipras
© REUTERS/ ALKIS KONSTANTINIDIS
Grèce: adresse imminente de Tsipras à la Nation
A la question de savoir si cela signifiait que la dette devait être reconnue comme mauvaise et ne pas être remboursée, le professeur a répondu: « Oui. C’est une dette illégale, criminelle, qui n’a pas été contractée au profit du peuple. Le peuple ignorait qui signait les accords, quelles étaient les dettes et pourquoi ».
D’après lui, de tels précédents existaient déjà avant la Seconde Guerre mondiale. « En 1937, si je ne m’abuse, la Grèce a refusé la dette extérieure française et a soutenu le Commonwealth. L’Argentine avait utilisé le même procédé. En s’appuyant sur un rapport semblable au nôtre, le gouvernement de l’Équateur avait saisi l’Onu et les organismes compétents pour rejeter la dette, et elle avait été levée », explique-t-il.
Selon Dimitrios Patelis, la Grèce avait payé plus de 1.000 milliards d’euros pendant la période de pré-crise. « Si notre peuple a versé entre 1991 et 2009 l’équivalent de 1.028 milliards d’euros, à qui devons-nous encore de l’argent? », s’interroge-t-il.
Commentant la déclaration de l’ex-ministre des Finances Yanis Varoufakis, selon qui 90% des prêts obtenus par la Grèce ont servi aux banques, le professeur précise: « C’est exact, et la majorité absolue de cette somme est passée à côté de la Grèce, personne ne l’a vue. Cela servait à rembourser la dette. A refinancer et à recapitaliser les banques, ainsi qu’à payer les intérêts de la dette. Cet argent aurait pu nous permettre d’acheter la moitié du système bancaire européen ».
La Grèce fête les résultats du référendum
© AP PHOTO/ PETROS GIANNAKOURIS
La Grèce fête les résultats du référendum
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Dimitrios Patelis explique que l’accord en cours de préparation avec les créanciers a pour finalité de vendre les biens publics grecs.
« La banque agricole grecque a été vendue à une banque française pour le prix de l’un des bâtiments de cette banque à Athènes, comme un site immobilier. Savez-vous quelle est la valeur marchande de ce bien? », dit-il.
Le professeur souligne que les créanciers attendent actuellement 52 milliards d’euros de la privatisation. « Ils exigent que nous vendions tout ce qui reste encore pour rembourser cette dette. Et on appelle cela le sauvetage. Le sauvetage de qui? C’est une véritable guerre. J’en parle souvent. Ce qui se passe dans le Donbass et à la périphérie de la zone euro fait partie d’un seul processus d’actions militaires. C’est ainsi que se comportent de telles structures en temps de crise et de guerre », conclut Dimitrios Patelis.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150714/1016999000.html#ixzz3fsGrqNBi
Rapporté par :
Φοίνιξ
Ο ακριβής χρόνος (L’heure exacte)
16h03
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Albert
Juil 14, 2015 @ 15:43
Tout n’est peut-être pas perdu :
Il n’était pas prêt car il n’avait pas imprimé des drachmes.
Maintenant il peut prendre les milliards que lui fournira la BCE. Les Grecs videront progressivement leurs comptes en euros. La BCE rajoutera des liquidités pour les banques; elles iront grossir le bas de laine des grecs. Alors la Grèce se déclarera en défaut de paiement., quittera l’eurozone. Passera à la drachme,( imprimée en cachette en Russie) et dévaluera de 50%. Les Grecs changeront leurs euro en drachmes et n’auront rien perdu !!!
L »Eurozone aura perdu près de 400 milliards d’euros.
Avec une telle dévaluation les investissements en Grèce seront très très attractifs. Si les Européens n’en voudront pas, les Russes, les Chinois etc se feront un plaisir d’investir.
Les Russes se sont engagés à fournir l’énergie à la Grèce !
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Vénus
Juil 14, 2015 @ 22:51
Ils visent le pétrole qui se trouve au large de la Crète.
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bebert
Juil 14, 2015 @ 12:48
Pour les banques usionistes est plus simple de faire une OPA sur l’Union européenne que sur 28 pays une des raisons qu’il faut d’abord détruire l’Europe morceau par morceau.
Comme on a détruit l’église, l’Allemagne en 1945 après l’avoir financé, mais dans chaque gouvernement il y a que des traitres.
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Rensk
Juil 14, 2015 @ 11:01
Ne mélangez pas tout : le FMI est en « attente » selon le règlement de l’institution, il a été imposé au FMI les 30 jours par la Grèce…
En effet, le règlement prévoit 30 jours d’attente après le premier défaut, dans ces 30 jours la dette peu être réglée sans pénalités.
Or donc il n’y a eu qu’un seul défaut vu que le total de la somme due est reportée sur une seule « facture »…
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SEPH
Juil 14, 2015 @ 10:07
Les financiers veulent la peau de ce gouvernement pour faire un exemple. Ainsi pensent-ils barrer la route à Podémos en Espagne et ailleurs en Europe. De plus, ils veulent plumer s’emparer de ses richesses.
La Grèce va être dépecée de ses biens . En effet, les banques prêterons à 10% ou plus de l’argent et achèteront pour 3 euros 6 cents les bijoux de la Grèce. C’est un racket organisé.
L’Europe est un monstre financier, où les banques et les gros spéculateurs voleront tous les biens publics des pays dans les années à venir, dans le plus grand mépris des peuples.
Notons que, les dirigeants européens et occidentaux critiquent la Grèce pour son incapacité à collecter l’impôt. Or dans le même temps, les Occidentaux ont créé un système d’évasion fiscale mondial. Ainsi les grandes sociétés payent pratiquement pas d’impôts au regard de leurs bénéfices. Ce qui explique, en partie les dettes colossales de ces pays.
L’Europe est devenue une machine à broyer les peuples,c’est une dictature de la finance.
Il faut donc en sortir au plus vite pour garder notre liberté et nos souverainetés.
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Dcembre
Juil 14, 2015 @ 12:21
Tsipras n’avait qu’à dire non, il avait le peuple derrière lui et pas seulement les grecs. Il a misérablement failli à la tâche. Il ferait mieux de se suicider…
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SEPH
Juil 14, 2015 @ 12:39
Je suis d’accord, mais Tsipras n’avait pas de plan de sortie de l’euro et de l’U.E. : c’est une grave erreur stratégique. il allait donc à cette négociation la corde au coup.
De plus, se mettre à la remorque de Hollande, véritable planche pourrie, un bonimenteur larbin des banques, a été une erreur qui n’a rien arrangé..
Les créanciers ont vite compris que Tsipras négociait en position de faiblesse. Alors ils ont enfoncé le couteau dans la plaie.
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Dcembre
Juil 17, 2015 @ 13:37
Il n’y avait aucune faiblesse son mandat était clair… Il a été faible ou peut-être avait-il menti depuis le début…
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Chose
Juil 15, 2015 @ 3:18
Je pense plutôt que le peuple était devant Tsipras, parce que ti-pras joue dans le dos du peuple… 😉
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Dcembre
Juil 17, 2015 @ 13:38
Ça j’y crois…
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Judith Mirville
Juil 18, 2015 @ 0:30
Non, on le voit plus joyeux et décontracté que jamais depuis sa signature, comme plein du sentiment d’une mission accomplie.
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sahb
Juil 14, 2015 @ 10:00
Dernière minute > un tout récent sondage intéressant :
79% des Grecs sont contre l’acceptation du 3e mémorandum et 74% considèrent que cette acceptation viole le résultat du référendum.

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croixmorand
Juil 14, 2015 @ 15:24
le peuple se réveille. Les députés oseront-ils le violer?
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sahb
Juil 14, 2015 @ 16:28
réponse : oui !
c’est pour ça qu’on les paye !
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croixmorand
Juil 14, 2015 @ 19:19
Aube dorée.
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sahb
Juil 14, 2015 @ 19:45
là-bas tout est prêt pour le fascisme (depuis longtemps) ! d’ailleurs la dinde Rocard avait indiqué sa préférence et déclarait il y a quelques temps que c’était la meilleur solution pour ce pays !
y’en avait marre de discutailler comme si ses copains les dindons (de la finance) discutaient !!!!! ILS FONT SEMBLANT DE DISCUTER c’est ce qu’a dit Varoufakis !
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Judith Mirville
Juil 18, 2015 @ 0:37
Évidemment. Syriza est une construction mise en place pour retarder la prise du pouvoir par l’Aube dorée.
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Leboninformateur
Juil 14, 2015 @ 9:34
Alexis Tsipras est un juif séfarade, fils de Pavlos Tsipras millionnaire grecque décédé en 2012. Les grands-parents d’Alexis Tsipras ont immigré en Grèce(depuis la Turquie) dans les années 20. Le nom du village d’origine de la famille « Cipra » devenue « Tspiras » est Babaeski qui situé dans la province Turque de Kırklareli.
Selon le site nowtheendbegins.com, l’entreprise familiale du père du leader de Syriza (Pavlos Tsipras) s’appelait « SKPANAEA » et était spécialisé dans les travaux publiques en Grèce, notamment la restauration et la construction des églises orthodoxes et ce depuis l’époque de la Junte des Colonels.
En ce qui concerne le mouvement Trotskyste de Syriza, son lien avec le milliardaire George Soros qui le finance est on ne peut plus clair comme le revele le site Gazetawarsza .
L’ascension fulgurante de Tsipras semble avoir été facilité par l’oligarchie financière internationale afin d’empêcher l’arrive au pouvoir en Grèce du mouvement « ultra nationaliste » Golden Dawn (opposés à l’UE et à l’OTAN) dont les principaux dirigeants sont en prison depuis bientôt deux ans.
Alexis Tsipras apparaît donc comme une forme « d’opposition contrôlée » au « système » comme le sont Besancenot ou Mélenchon en France. Pas étonnant que Tsipras ait toujours milité pour le maintien de Grèce dans la zone Euro.
L’ex-ministre des finances grec, Yanis Varoufaki qui a démissionné la semaine dernière car mis en minorité au sein du gouvernement Grec aurait d’ailleurs annoncé qu’il allait crée son propre parti
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sahb
Juil 14, 2015 @ 10:02
info très éclairante ! merci !
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Jacqueline Dubois
Juil 14, 2015 @ 15:13
Merci .
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Paco
Juil 14, 2015 @ 22:21
Pour ajouter quelques infos complémentaires, en cas de bras de fer avec la brochette de banquier qu est la commission européenne, il y a une différence de poids entre un pays comme la Grèce dont la banque centrale est une société anonyme de 19000 actionnaires, et la France dont la banque centrale est un bien public depuis l’après guerre. Un gouvernement français n’aurait aucun problème a se financer en euro a taux zéro s il le désirait.
https://simplyleft.wordpress.com/2012-comparez-les-programmes/
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hopeless
Juil 15, 2015 @ 11:30
L’accolade entre Tsipras et Junker suite à l’accord m’avait beaucoup surpris, comme s’ils se félicitaient mutuellement d’avoir réussi leur coup !
Bonne info du Bon Informateur, c’est logique 😉
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yann
Juil 15, 2015 @ 12:33
Et c’est seulement maintenant que l’on nous découvre ce complot chrétien orthodoxe bourgeois juif trotskyste !!! ??? Varoufakis lui aussi vient de remonter à la troisième génération et de découvrir que Tsipras est un agent infiltré de très longue date ? Et tout le mouvement de masse qui a abouti à créer Syryza se serait laissé mener en bateau ? Si c’est le cas, pas très lucide ce mouvement, comme avant-garde ! Vaut mieux passer à quelque chose de plus sérieux comme …le Parti communiste grec KKE !!!
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Charles
Juil 14, 2015 @ 9:26
L Allemagne commente l issue de la Crise Greque (Crise qui n a rien de greque que le nom!)
comme ceci: Solidarité et Septissisme ou SS. Vous dit il quelque chose, politiquement parlant, les SS ou la SaoudoSionisme ou les FAT & SiQ( Sick/malade) c a d les Gros Malades; FAT/F rance, A mérique, T urquie & SIQ/ S aoudie, I srael et Q atar ?
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Estelle
Juil 14, 2015 @ 9:12
Prem’s !
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