Yanis Varoufakis
Le ministre grec des finances a accusé samedi les créanciers du pays de «terrorisme» et de vouloir «humilier les Grecs». Ces derniers doivent se prononcer dimanche lors d’un référendum crucial. En réalité, la Grèce doit-elle ou non accepter les propositions de l’Union européenne sur la restructuration de sa dette ? Je crois que non. Hélas, selon des sondages, le oui risque de passer. Ce serait l’humiliation supplémentaire pour les Grecs.
Ce sont des terroristes
«Ce qu’ils font avec la Grèce a un nom: terrorisme», a ouvertement critiqué Yanis Varoufakis, connu pour sa liberté de ton, dans un entretien au quotidien espagnol «El Mundo». Il a par ailleurs annoncé que si le oui l’emporte, il démissionnera.
«Pourquoi est-ce qu’ils nous ont forcés à fermer les banques ? Pour insuffler la peur aux gens. Et quand il s’agit de répandre la peur, on appelle ce phénomène le terrorisme», a développé le ministre en parlant de la politique menée par les créanciers d’Athènes, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque centrale européenne (BCE) et l’Union européenne.
Un exemple en pâture
Faute d’être parvenu à un accord avec les créanciers sur une prolongation d’un programme d’aide financière au-delà du 30 juin, le gouvernement de gauche grec a annoncé la fermeture des banques et le contrôle des capitaux jusqu’au 6 juillet, soit lundi.
Quel que soit le résultat du référendum de dimanche, les banques du pays rouvriront et il y aura un accord avec les créanciers, a assuré Yanis Varoufakis. «J’en suis complètement et absolument convaincu. L’Europe a besoin d’un accord, la Grèce a besoin d’un accord, de sorte que nous arriverons à un accord», a-t-il martelé.
Pour le ministre, qui répète qu’en cas de victoire du oui il démissionnera, «aujourd’hui ce que veulent Bruxelles et la troïka, c’est que le oui gagne pour pouvoir ainsi humilier les Grecs», a-t-il dit. Il accuse ses opposants de vouloir faire de «la Grèce un exemple pour les autres» à l’heure où en Espagne le parti de gauche radicale Podemos, allié du parti grec Syriza, gagne en force à l’approche des élections législatives.
«Je crois que dans toute l’Europe il y a besoin de partis comme Syriza et Podemos, des partis à la fois critiques à l’égard du système mais en même temps pro-européens et démocrates. Ceux qui nous détestent veulent nous faire passer pour anti-européens, mais non, ce n’est pas vrai, nous ne le sommes pas», a-t-il déclaré.
Les derniers sondages donnent le «oui» et le «non» au coude à coude dimanche. L’avenir de la Grèce dans la zone euro est en grande partie suspendu à ce résultat.
Allain Jules
Allain Jules 
Cash55
Juil 6, 2015 @ 9:37
Il faudrait demander aux peuples français et allemand et autres pays de la zone euro s’ils veulent continuer à payer pour la Grèce !!??
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bluestar
Juil 5, 2015 @ 16:13
En ce qui concerne le comptage des voix, je conseille au Grecs de faire plus attention que les Écossais l’année passée, où la fraude a été massive – comme on l’a pu constaté sur des vidéos…
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allouche
Juil 4, 2015 @ 19:23
LE PEUPLE GREQUE N’A D’AUTRE CHOIX QUE LE NON , TOUT COMME IL L’AVAIT POUR CHOISIR SYRIZA . IL DOIT DONC SOUTENIR LES DIRIGEANTS ET VOYER NON CAR COMME LE DIT VAROUFAKIS , LE TERRORISME NE SE PRATIQUE PAS UNIQUEMENT AVEC DES BOMBES . FMI-CIA-MOSSAD-MI6 , OU EST LA DIFFERENCE ? LES SYNDICATS FRANCAIS SONT MORTS .
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Gwendoline
Juil 4, 2015 @ 18:59
Coup d’état silencieux contre la Grèce :
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Charles
Juil 4, 2015 @ 17:12
Le peuple grec s est baigné toujours dans la Mythologie et la Philosophie. Ils les ont dans le « Sang » . De surcroît, c est la Grèce qui a été la première à avoir inventé la Démocratie.
En règle génèrale, et en écoutant toutes les critiques hystériques occidentales contre le Vote grecque de Dimanche 05.07.2015, ne dit on pas que « Quand le peuple vote, il a toujours raison même s il a tort! » ?
99% des misères dans ce monde inclus non pas celle d avoir aidé la Grèce à sauver l Economie Grecque et non pas sauver les Grecques du tout bien au contraire. Quand ils votent avec un résultat Oui ou Non (je souhaite le Non!) c est qu ils votent pour dire que ce n est pas les Grands Lobbys, la FMI, la BCE et les grandes banques qui doivent décider de l avenir d une nation.
Savez vous combien de petites îles grecques ont été achetées en vrac par les Emirs et Rois dits arabes depuis le plan de l austérité imposée ?..
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Charles
Juil 4, 2015 @ 18:50
SI VOUS AVEZ DU TEMPS; LISEZ CET ARTICLE SUR LA GRüCE ET SA DETTE, ARTICLE TRèS INTéRESSANT ä MON HUMBLE AVIS: Ecrit par Jean CUéNOD de la TDG
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Que ce soit « oui » ou « non », les Grecs doivent voter ce qui est leur droit et leur obligation
voire un devoir de l Etat souverain.
Le référendum voulu par Tsipras a au moins un immense mérite, celui de mettre enfin en première ligne l’aspect politique de la crise grecque. Les instances financières ont été obnubilés par les exercices comptables, par l’Epicière Berlinoise Merkel et par ses commis bruxellois qui avaient surpassé jusqu’à maintenant cette dimension, pourtant essentielle, par pertes et profits. Surtout pertes, d’ailleurs sans tenir compte de l aspect politique de cette crise.
Si la Grèce s’est trouvée aspirée par le vortex d’une dette astronomique, c’est en partie dû au fait que les Grecs ont toujours considéré l’Etat comme un corps étranger. Déjà , sous la domination ottomane, l’Etat était tout naturellement considéré comme extérieur au peuple grec. Pour s opposer aux étrangleurs ottomans, il fallait s endetter via les puissances protectrices de l époque (la France, Russie et l empire britannique ) et rembourser après coup ses dettes abyssales qui ont commencé il y a 150 ans. Ces mêmes puissances avaient imposé leurs lois aux Grecs. Et voilà un roi Etranger venu du froid du Bavarois Othon 1 er puis le Danois Guillaume. Puis les grecs ont tâté à la Republique de 1924 à 1935. Puis, sont revenus à la monarchie et ont goûté à une première dictature (celle du général Metaxas) de 1936 jusqu’à l’invasion nazie. Celle-ci a ravagé le pays – d’où le lourd contentieux entre la Grèce et l’Allemagne – causant la mort de plus de 300 000 Grecs. Dès la fin de l’occupation nazie, la Grèce a connu jusqu’en 1949, une guerre civile particulièrement sanglante, le bilan en pertes humaines s’élevant à 200 000 morts. Entre 1939 et 1949, les deux conflits ont donc provoqué la disparition de plus d’un demi-million de personnes, ce qui, pour un pays qui comptaient 7 222 000 habitants en 1939 est considérable. De plus, la guerre civile entre communistes et non-communistes a durablement divisé le peuple. Ceci leur a fait entre la 1ère et la 2ème guerre mondiale plus d un million de morts représentant le 15 à 20% de la population chose considérable.
l’Etat n’a pas trouvé grand monde pour le défendre, si ce n’est quelques puissantes familles qui en ont fait leur propriété quasi personnelle, tissant des réseaux de suzeraineté et de clientélisme. A cet égard, les dynasties Papandréou, Karamanlis et Mitsotakis décrochent le pompon. Et ce n’est pas la dictature des colonels (1967 à 1974) qui a réconcilié peuple et Etat.
Dans ce contexte, la fraude fiscale, les petits arrangements, les grosses combines et les rentes-cadeaux deviennent la règle. Les familles régnantes se goinfrant de biens publics et les armateurs grecs ayant pour patrie d’élection les paradis bancaires, pourquoi se gêner ?
La Grèce est donc entrée dans l’Union européenne et la zone euro sans Etat digne de ce nom, avec des habitudes qui devaient forcément entrer en contradiction avec les règles à observer en matière budgétaire. Mais cela, chacun pouvait d’emblée le constater à Bruxelles, Paris, Londres et Berlin. Cela n’a pas empêché l’Allemagne, la France et les autres d’accepter ce nouveau maillon qui ne cachait guère sa faiblesse. Les pays européens doivent aussi payer les conséquences de leur… inconséquence. S’asseoir sur une partie au moins de la dette serait la moindre des choses.
Quant aux Grecs, quelle que soit l’issue du référendum, ils vont vivre des années de vaches anorexiques. Mais cette rude épreuve peut aussi leur permettre de construire cet Etat qu’ils n’ont jamais eu la possibilité de bâtir selon leurs propres plans. C’est le bon moment, puisque les grandes familles qui ont pourri leur pays ont été balayées.
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Article de Jean Cuénod du TDG.
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Charles
Juil 4, 2015 @ 18:57
Lien et article complet ( ci dessus est un résumé-contracté en diagonal) écrit par Jean Noël CUENOD, Ecrivain et Journaliste libre Paris-Léman, Rédacteur en Chef de La Cité
http://jncuenod.blog.tdg.ch/archive/2015/06/30/que-ce-soit-oui-ou-non-les-grecs-devront-apprendre-l-etat-268432.html
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Serge Charbonneau
Juil 4, 2015 @ 16:50
« selon des sondages, le oui risque de passer. »
Sondages ??????
Sondages ou tentative de manipulation subtile de l’opinion ?
Ce que j’observe c’est plutôt la détermination majoritaire des Grecs de dire NON à la poursuite de l’austérité.
Je crois que le NON, OXI va sortir gagnant.
Serge Charbonneau
Québec
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kamel l'algérien
Juil 4, 2015 @ 22:08
sondage ?lol
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Claude
Juil 4, 2015 @ 16:12
Si demain les Grecs se prononcent majoritairement pour le « OUI »; qu’ils aillent se faire foutre ! Ce serait la preuve que ce peuple manque de dignité et de courage à un moment où il a une formidable opportunité de gifler les salauds de Bruxelles.
Mais il le paiera très cher et ce ne sera que justice car les pleutres ne méritent qu’humiliation et mépris.
Enfin, attendons demain, et j’espère toujours me tromper.
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Serge Charbonneau
Juil 4, 2015 @ 16:52
Je crois que ces supposés sondages qui mettent le oui et le non au coude à coude sont faux.
Je crois que le NON va sortir gagnant.
Serge Charbonneau
Québec
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Gwendoline
Juil 4, 2015 @ 17:56
« Si demain les Grecs se prononcent majoritairement pour le « OUI »; qu’ils aillent se faire foutre ! »
Croyez-vous que les français seraient plus courageux. Nous avions voté NON en 2005. Le traité de Lisbonne nous a été imposé. Qui a manifesté ? Ni vous, ni moi.
Beaucoup ont manifesté en déclarant « JE SUIS CHARLIE ». Quand Valls et Cazeneuve ont lancé « la surveillance généralisée », c’était « le silence des agneaux ». Quand Cazeneuve a déclaré, tête haute, que « la vie privée ne relevait pas des libertés individuelles » le silence a été pesant. Quand nous avons envoyé nos troupes au Mali, les français, eux, ont manifesté en masse « contre le mariage pour tous » (qui était là juste pour faire diversion). Nous avons laissé faire le coup d’état en Ukraine. Nous n’avons pas dénoncé les propos de Victoria Nuland qui disait clairement qu’il fallait virer Ianoukovitch pour le remplacer par Iats (je cite) et « fuck the UE » disait-elle….. et ainsi fut fait. Nous soutenons maintenant ce coup d’état, les nazis de Pravisector, de Svoboda. Nous avons naturalisé les fémens, ces harpies soutenues par Fourest, et le nouveau timbre est à l’effigie de l’une d’entre elles. Qui a manifesté ? Ni vous, ni moi. Nous sommes tous complices car l’arme absolue est la peur qu’ils manipulent très bien. Et comme disait Victoria Nualnd « Fuck the european People ». Nous attendons que la Grèce déblaie le passage pour, éventuellement, bouger un p’tit peu, pas trop. Faut pas faire de vague. Il y a la nouvelle loi de surveillance généralisée et surtout les vacances.
« Je n’ai rien dit »… par Martin Niemöller
« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas catholique.
Et, puis ils sont venus me chercher.
Et il ne restait plus personne pour protester. »
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fab
Juil 4, 2015 @ 13:35
En fait on découvre aujourd’hui ce que le FMI et l’UE font à tous les pays du sud depuis au moins une trentaine d’années.
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Vénus
Juil 4, 2015 @ 14:14
Qu’ils se retirent de l’Europe ils montreront l’exemple et le château de cartes s’écroulera.
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Charles
Juil 4, 2015 @ 11:45
La presse britannique se moque à fond du pouvoir en France. Pendant que l Europe est au sang et à feu (en plus pendant le canicule !) au sujet de la dette grecque et le vote de demain Dimanche, qu a fait le pouvoir en France: (NB:Les entre parenthèses sont de mon propre fait):
1–Hollande a foutu le camp de l Europe et en urgence au Bénin puis au Caméroun bien qu il n y a pas ni d urgence ni de feu en Afrique ( puisque la Francafrique fonctionne à « merveille » depuis toujours, hélas,. C est Francafrique ou la France Pour le Fric de L Afrique?) .
2–Néanmoins, Hollande s est inquiété du feuilleton Tsypras et a déclaré « DEPUIS » l afrique 2 ou 3 phrases. ( 2 ou 3 phrases insignifiantes, comme d habitude. Quand on a rien à dire on
se tait.)
3–L Assemblée Nationale AN et « Bartolone » ont enfin réussi à faire maintenir les Guignoles de l Info et qui ne disparaitront pas. (Au fait, l AN n a t elle que ça à faire. Néanmoins, Halleluyia, les Français sont heureux pour cette victoire nationale: le chômage va baisser, l avenir de nos enfants est désormais garanti comme la Sécu, la retraite, la dette publique à 75% du PIB, stop à la désindustrialisation de la France…Tout baigne)
Vous voyez pourquoi les Français (et les Syriens, entre autres tant qu on y est ) aiment et apprécient François Hollande, un intello omniprésent et un HOMME ETHIQUE …(Mais non,
c est LE gag de l été et pendant cette canicule, qu il n oublie pas NOS consignes de bien se deshydrater..)
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Charles
Juil 4, 2015 @ 12:01
De même pour la presse allemande ( 2 eme degré-dérision)
/ EMMANUEL DUNAND
Après des négociations tendues avec la Grèce, l’Allemagne fait preuve d’un peu d’autodérision. Une vidéo de la ZDF, la chaîne de télévision publique allemande, circule sur Internet. Elle se moque de la façon dont la presse et l’opinion allemandes jugent les Grecs. Alors que plus d’un million d’internautes l’ont visionnée, la vidéo rencontre un certain succès à Athènes aussi.
Dans la vidéo titrée V for Varoufakis, un clin d’œil au film V for Vendetta, le personnage principal est le ministre grec des Finances. Dans cette chanson, Yanis Varoufakis est décrit comme l’enfer grec. Le col relevé, le ministre des Finances enfourche sa moto noire pour venir se venger des Allemands jusqu’ici pourtant bien tranquilles. Sa veste en cuir serait faite de peaux de chiots de bergers allemands et Yanis Varoufakis mangerait aussi des bébés humains ! Des paroles à prendre, bien entendu, au second degré.
La vidéo reprend aussi quelques stéréotypes plutôt positifs sur les Allemands, comme la ponctualité ou la fiabilité. Elle décrit aussi l’Allemagne comme un pays riche qui a bien profité des pillages des réserves d’or des pays occupés par les nazis, un sujet de discorde avec la Grèce justement.
Un festival de clichés sur les Grecs et les Allemands
Jan Böhmermann, le présentateur, se moque donc de l’image du ministre des Finances grec dans les médias allemands. Il reprend donc un peu tous les clichés sur Yanis Varoufakis, mais aussi sur les Allemands et les Grecs, car ces dernières semaines, depuis le début des négociations sur l’avenir du deuxième plan d’aide, les Grecs et les Allemands n’ont pas lésiné sur ce thème.
Les Grecs ont le sens de l’humour
Sur les réseaux sociaux, on salue le sens de l’autodérision de la chaîne allemande qui se moque aussi des clichés sur les Allemands. La vidéo est considérée comme hilarante en Grèce. Les blagues sur le ministre des Finances ne sont en effet pas nouvelles. Depuis son arrivée au gouvernement, Yanis Varoufakis a même un compte de soutien sur Twitter et sur Facebook qui les recense. Il porte le même nom que la vidéo : « V for Varoufakis ». Le ministre des Finances y est présenté comme un justicier, mais on peut aussi le voir en personnage de l’univers Star Trek ou en encore en Harry Potter.
Le lien suivra sinon mon texto sera en garde à vue à la douane (ou à la poubelle) +Canicule!
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Charles
Juil 4, 2015 @ 12:01
http://www.rfi.fr/europe/20150302-internet-video-zdf-television-allemagne-grece-reseaux-sociaux-varoufakis/
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Charles
Juil 4, 2015 @ 12:04
–C est exact ce que j ai écrit. Le lien de la vidéo V comme Varoufakis est à la douane dès 12h01.
–Merci à la @ modé quand même pour le précédent qui est passé en réglo (papier et titre de citoyenneté en ordre et sans délit de facies 🙂
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Vénus
Juil 4, 2015 @ 14:15
😉
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Strato
Juil 4, 2015 @ 11:24
Bonjour,
D’accord avec Varoufakis le problème c’est que lui même est très proche de ces gens là …
Récemment Jean-Michel Vernochet a fait une interview avec Valérie Bugault concernant la Grèce et a révelè des informations capitales.
J’ai été agréablement surpris d’entendre enfin de l’info pertinente délivré au citoyen car souvent c’est de l’info secondaire voir même de la désinformation afin d’enfumer le peuple.
Un repenti de la maffia américano-sioniste financière John Perkins nous a expliqué assez bien le processus d’étranglement et d’étouffement que mettent en place les gangsters de la finance mondiale lorsqu’ils décident d’attaquer un pays qui possède des hydrocarbures dans son sol.
Lorsque j’ai vu les 2 premières minutes du reportage qui suit ,je pensais qu’il parlait de la situation en Grèce .J’ai appris ensuite que Perkins avait écrit son livre en 2004 ,donc, bien avant la crise grècque.
Néanmoins le processus décrit dans le reportage est celui que subit actuellement la Grèce et a déjà été « rodé » sur d’autres pays comme l’Iran et l’Irak.
Beaucoup me rétorquerons qu’il n’y pas de pétrole en Grèce et que de plus que même si il y en avait cela se serait que depuis peu ….
Je vais essayer de démontrer que
a) d’une part il y a des réserves de pétrole et de gaz dans de grandes proportions en Grèce et que si elles étaient exploitées correctement cela pourrait rapporter au bas mot 300 Milliards d’Euros soit l’équivalent de la dette totale de la Grèce !!!! (+/- 284 Milliars d’Euros )
b) d’autre part que les réserves pétrolières et gazières de la Grèce sont connues depuis des dizaines d’années par de nombreuses compagnies américaines, françaises,norvégiennes etc..
Pour revenir à la dette il est intéressant d’observer sur le graphe qui suit (voir lien ci-dessous) qu’en 1995 la Grèce empruntait à des taux prohibitifs jusqu’à 11 % lorsque sa dette se situait autour de 90 % de son PIB !
A partir de 1995 jusqu’en 2005 le taux pour emprunter sur les marchés est redescendu à 4 % et ce pendant quelques années et remonta lègerement à 5 % vers 2008. La dette se situait toujours aux alentours des 90% du PIB.
Techniquement si toutes choses étaient égales par ailleurs et que les grecs ne commençaient pas à faire des déficits budgétaires importants (pas plus de 3 % comme recommandé par Maastricht ) la dette aurait même pu baisser puisqu’ils suffisait de se refinancer à des taux plus intéressants autour de 4 % sur des emprunts contractés dans le passé avec des taux autour de 10 %.
http://www.les-crises.fr/dette-de-la-grece/
On voit donc qu’en 2008 que la situation de la dette en Grèce pouvait s’améliorer sans effort
du fait des taux d’intérets bas auquels la Grèce pouvait emprunter.
Comme on le voit sur le graphe qui suit ,le PIB grec commença a faire une première chute fin 2008 et puis un plongeon à partir du début 2010.
Fin 2008 fut la période d’émeutes provoquées en Grèce suite à la mort d’un jeune étudiant par un policier
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89meute_de_2008_en_Gr%C3%A8ce
En début de l’année 2010 Soros and Friends se réunissait dans un restaurant de Manhattan afin d’attaquer la dette grecque via une action concerté de gérants de hedge funds
http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE61P05320100226
On remarque une parfaite corrélation entre ces deux évenements et la baisse du PIB grecque!
J’ai toujours pensé que la mort de ce jeune étudiant fut provoqué par des puissances extérieures et que les manifestations qui suivirent n’étaient pas spontanées mais provoquées.
Comme l’indiqua Thierry Meyssan , il y avait dans le noyeau dur des manifestants des « mercenaires kossovares » qui avaient été amenés par bus afin de tout casser en ville et provoquer la panique générale dans les villes mais aussi les marchés !
Ce sont ces mêmes marchés qui furent dérégulés par des hedges fund de Soros and Friends 1 an plus tard comme nous l’a indiqué Reuters ?
Alors y a-t-il une connection entre les manifestants et Soros ?
Disons que pour le moment je préferre surtout poser la question même si je me suis déjà positionné dans le passé sur ce sujet ;mais bizzarement tous « mes commentaires » se sont effacés du net ….
Peut-être que certains ont exercé leur droit à l’oubli ….
Ce qui est sur c’est que l’assassinat par balles du jeune journaliste Socratis Giolias (papa de 2 enfants ) qui tenait le premier blog de réinformation de Grèce ne provoqua aucun remous contrairement au jeune étudiant ….
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Grece-Un-journaliste-abattu-3751.html
Bizzare non ?
D’un côté la mort d’un inconnu provoque le chaos durant des mois;de l’autre côté l’équivalent d’un Panamza, d’un Soral d’un Dieudo et Allain Jules réunis en terme d’audience internet n’a fait aucune vague !!!
Je suis sur que Socratis aurait eu un tas de choses à dire sur les rapaces qui attaquent la Grèce !….
(suite à venir)
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Estelle
Juil 4, 2015 @ 11:20
Prem’s !
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