« Le NON n’est pas un simple slogan »: intervention télévisée du Premier ministre sur le référendum.
Allocution télévisée prononcée à Athènes le 1er juillet 2015 par le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, en prévision du référendum du dimanche 5 juillet.
Grecques, Grecs,
Nous nous trouvons aujourd’hui à un tournant de notre histoire, à un moment crucial pour l’avenir de notre pays.
Dimanche, ce n’est pas entre le maintien de notre pays dans l’euro et la sortie de la monnaie unique que nous serons appelés à choisir ― l’appartenance de la Grèce à la zone euro ne peut être contestée par personne ―, mais entre l’acceptation de l’accord proposé par les Institutions et la revendication d’une solution viable ― une revendication renforcée par le verdict des urnes.
Le peuple grec doit savoir que le gouvernement a la ferme intention de parvenir à un accord durable, ouvert sur l’avenir.
Dès l’annonce de la tenue du référendum, nous avons de fait reçu de meilleures propositions sur la dette et sa nécessaire restructuration que celles que nous avions en mains jusqu’à vendredi. Ces propositions ne sont pas restées lettre morte ; nous avons sans délai adressé aux Institutions nos contre-propositions, guidées par la recherche d’une solution viable ; c’est dans ce but que s’est tenue hier une réunion extraordinaire de l’Eurogroupe qui reprendra cet après-midi. Si cette réunion aboutit à un résultat positif, nous ne nous défausserons pas, nous y répondrons sans attendre. Le gouvernement grec demeure en tout état de cause à la table des négociations et y restera jusqu’au bout. Ce gouvernement sera là, lundi, et sortira renforcé de la consultation populaire. Car le verdict du peuple a toujours plus de force que la volonté d’un gouvernement.
Je veux redire que le choix démocratique est au cœur des traditions européennes.
Les peuples européens ont eu recours au référendum à plusieurs moments-clé de leur histoire. Cela a été le cas de la France, notamment, lors du référendum sur la Constitution européenne. Cela a eu lieu en Irlande : le référendum a permis de suspendre l’application du Traité de Lisbonne et a conduit à une renégociation à la faveur de laquelle des termes plus favorables ont été obtenus.
Malheureusement, dans le cas de la Grèce, d’autres poids et d’autres mesures ont été appliqués.
Je n’aurais pour ma part jamais imaginé que l’Europe démocratique refuserait à un peuple le temps et l’espace dont ce peuple a besoin pour décider souverainement de son avenir.
Le leadership exercé par des cercles conservateurs extrêmes a conduit à la décision d’asphyxier les banques grecques, dans un but évident : intimider non seulement le gouvernement mais aussi, désormais, chacun des citoyens de ce pays.
Dans une Europe de la solidarité et du respect mutuel, il est inacceptable que les banques soient fermées pour la seule et unique raison que le gouvernement a décidé de donner la parole au peuple.
Il est inacceptable que des milliers de personnes âgées ― dont les pensions, malgré l’asphyxie financière, ont cependant pu être versées ― se retrouvent ainsi dans la tourmente.
À ces milliers de citoyens, nous devons une explication.
C’est pour protéger vos retraites que nous nous battons depuis des mois, pour défendre votre droit à une retraite digne de ce nom et non à un vulgaire pourboire.
Les propositions que nous avons été sommés de signer auraient entraîné une réduction drastique des pensions de retraite. C’est la raison pour laquelle nous les avons rejetées et c’est pour cela que nous nous trouvons aujourd’hui en butte à des mesures de rétorsion.
Le gouvernement grec a été confronté à un ultimatum, sommé de mettre en œuvre à l’identique les politiques d’austérité et de faire passer l’ensemble des dispositions du mémorandum en attente d’application, sans le moindre volet concernant la dette et le financement.
Cet ultimatum a été rejeté.
Le moyen le plus évident de sortir de cette voie sans issue était d’en appeler au peuple, car la démocratie ne connaît pas d’impasses.
Et c’est ce que nous faisons aujourd’hui.
Je sais parfaitement qu’en ce moment même les sirènes hurlent à la catastrophe.
Elles vous soumettent au chantage et vous appellent à voter «oui» à toutes les mesures demandées par les créanciers ― des mesures qui ne sont accompagnées d’aucune perspective de sortie de la crise.
Elles vous appellent à dire à votre tour, à l’instar des députés de ces journées parlementaires de sinistre mémoire, «oui» à tout.
Elles vous appellent à vous rallier à eux et à vous faire les complices de la perpétuation des mémorandums.
Le «non», de son côté, n’est pas un simple slogan.
Le «non» est un pas décisif vers un meilleur accord, un accord que nous pourrons signer aussitôt après la consultation de dimanche.
Le «non» reflétera le choix très clair du peuple sur la façon dont il entend vivre dès le jour suivant.
Le «non» ne signifie pas rupture avec l’Europe mais retour à l’Europe des principes.
Voter «non», c’est faire pression en faveur d’un accord économiquement viable qui apportera une solution à la dette au lieu de la faire exploser ; d’un accord qui ne sapera pas indéfiniment les efforts que nous accomplissons afin de redresser la société et l’économie grecques ; d’un accord socialement juste transférant sur les possédants les charges qui pesaient jusqu’alors sur les salariés et les retraités.
Un accord qui ramènera à brève échéance le pays sur les marchés internationaux et permettra à la Grèce de s’affranchir du contrôle et de la mise sous tutelle.
Un accord sur des réformes portant un coup définitif à l’enchevêtrement d’intérêts et à la corruption qui alimentent le système politique grec depuis des décennies.
Un accord permettant enfin de répondre à la crise humanitaire, de créer un vaste filet de sûreté pour tous ceux qui se trouvent aujourd’hui en marge, précisément à cause des politiques appliquées dans notre pays au cours de ces longues années de crise.
Grecques, Grecs,
J’ai pleinement conscience des difficultés présentes et je m’engage auprès de vous à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’elles ne durent pas.
Certains s’évertuent à lier le résultat de la consultation de dimanche au maintien de la Grèce dans la zone euro ; ils prétendent même que j’ai le projet secret, si le «non» l’emporte, de sortir le pays de l’Union Européenne. Mais ils mentent de façon éhontée.
Ces mensonges nous ont déjà été servis, par les mêmes, au cours de la période précédente, et ceux qui les propagent rendent aujourd’hui un bien mauvais service au peuple et à l’Europe.
Vous n’ignorez pas que je m’étais porté candidat il y a un an, lors des dernières élections européennes, à la présidence de la Commission. J’avais alors eu l’occasion de dire aux Européens qu’un terme devait être mis aux politiques d’austérité, que les mémorandums ne nous permettaient pas de sortir de la crise, que le programme mis en œuvre en Grèce avait échoué, que l’Europe devait cesser de se comporter de manière antidémocratique.
Quelques mois plus tard, en janvier 2015, cette analyse a été validée par le peuple.
Malheureusement, certains s’obstinent en Europe à refuser de le comprendre, de l’admettre.
Ceux qui veulent une Europe cramponnée à des logiques autoritaires, à des logiques de non-respect de la démocratie, ceux qui veulent que l’Europe ne soit qu’une union superficielle au sein de laquelle le FMI ferait office de liant ne proposent aucune véritable vision pour l’Europe. Ce sont des hommes politiques sans audace, incapables de penser en Européens.
À leurs côtés, l’establishment politique grec, après avoir mis le pays en faillite, projette aujourd’hui d’en rejeter la responsabilité sur nous alors que nous nous efforçons d’arrêter cette marche vers la catastrophe.
Ils rêvent de revenir aux affaires comme s’il ne s’était rien passé. Ils s’y préparaient il y a quelques jours encore, croyant que nous accepterions l’ultimatum, et demandaient publiquement la nomination d’un Premier ministre de paille pour l’appliquer ; ils s’y préparent aujourd’hui alors que nous donnons la parole au peuple.
Ils parlent de coup d’État. Mais une consultation démocratique n’est pas un coup d’État ; le coup d’État serait la mise en place d’un gouvernement imposé.
Grecques, Grecs,
Je veux de tout cœur vous remercier de la lucidité et du sang-froid dont vous faites preuve à chaque heure de cette difficile semaine et vous assurer que cette situation ne durera pas longtemps. Elle sera de courte durée. Les salaires et les retraites ne s’évanouiront pas. Les dépôts des citoyens qui ont choisi de ne pas transférer leur argent à l’étranger ne seront pas sacrifiés aux calculs des uns et des autres, ni au chantage.
Je m’engage personnellement à trouver une solution immédiate dès la fin du référendum.
Dans le même temps, je vous appelle à soutenir cet effort de négociation ; je vous appelle à dire «non» à la poursuite de ces mémorandums qui sont en train de détruire l’Europe.
Je vous appelle à répondre par l’affirmative à la perspective d’une solution viable.
À ouvrir une page nouvelle, une page démocratique, pour un meilleur accord.
C’est la responsabilité que nous avons envers nos parents, nos enfants et nous-mêmes, et c’est notre dette à l’égard de l’Histoire.
Je vous remercie.
Transmis par Sayed Hasan
Traduit par Dimitris Alexakis
(source)
Charles
Juil 3, 2015 @ 22:32
Referendum , Referendum, Referendum en Grèce
Et pour quand un Referendum en France, une fois n est pas de trop!
1–Faudrait il virer les lobbys du volant de la Voiture qui dirige la France et libérer ou pas le Soldat François qui se couche pénard dans le coffre de cette voiture et lui dire éventuellement dans quel département la voiture se trouve à condition qu il reconnaisse « ses » départements.?
2–Faudrait il continuer l agression lamentable fabiohollandienne contre la Syrie ou pas?
3–Faudrait il recycler un criminel de guerre de la Libye comme Sarkosy pour revenir au pouvoir en 2017 surtout que quand il est parti il y a 2 1/2 ans , il est sorti par où personne ne connaît mais il est rentré par la fenêtre.
4–Faudrait il reprendre un Hollande , ancien député de la Corrèze mais Secretaire General du PSF. Déjà PSF, c est quoi, un menu ou une marque de pneus? Si on le sait pas , faisons la traçabilité :Qui l a succédé pour comprendre l importance du jeu de ce poste au PSF? Un certain crétin mono neurone qui s appelle Harlem Désir succédant à un autre mono neurone pourri.
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sergio
Juil 3, 2015 @ 14:02
On ne « sauve » pas un pays surendetté en lui proposant plus de dette. Ç’est au contraire vouloir le réduire au servage. On l’aide en réduisant la dette et en différant son remboursement pour la rendre supportable; ensuite on met en place les mesures qui permettent de réduire ses dépenses (c’est fait puisque le solde primaire de la Grèce est désormais positif, contrairement à celui de la France par exemple) et d’accroître ses revenus par des investissements productifs. Emprunter pour rembourser de la dette ne résout rien et ne fait que repousser et aggraver le problème. Malheureusement pour la Grèce, le « oui » risque de l’emporter, permettant que tout ce qui compte en Grèce soit privatisé à brève échéance, et que le pays soit livré pied et poings liés au capitalisme financier, au détriment de la population qui n’a bénéficié en rien ni des prêts anciens ni des prêts nouveaux.
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Chose
Juil 3, 2015 @ 13:45
Ça, ça ressemble à de la vraie démocratie!
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Charles
Juil 3, 2015 @ 14:09
Exact!!
Le peuple grec s est baigné toujours dans la Mythologie et la Philosophie. Ils les ont dans le « Sang » . De surcroît, c est la Grèce qui a été la première à avoir inventé la Démocratie.
En règle génèrale, et en écoutant toutes les critiques hystériques occidentales contre le Vote grecque de ce Dimanche, ne dit on pas que « Quand le peuple vote, il a toujours raison même s il a tort! » ?
99% des misères dans ce monde inclus non pas celle d avoir aidé la Grèce à sauver son économie et non pas pour sauver le peuple greque bien au contraire ainsi que des pires qui donnent un Ultimatum à la Syrie, par exemple, :A SE SOUMETTRE AU PAS OU A ETRE DETRUITE, DESTRUCTION EST CE QUI SE PASSE ACTUELLEMENT en Syrie…TOUT CELA. NE SONT ILS PAS LES GRANDS LOBBYS qui SONT LES NOUVEAUX GOUVERNANTS depusi la ffaire de l Afghnaistan ou el Vietnam d avant à ce jour en Afrique, Syrie, Sinai, gaza…etc…:..
Regardez en France, les Lobbys n ont ils pris le volant de l « Etat » etne le pilotent.ils pas à leur gré comme un supermarché capitaliste ne souhaitent ils que la mort de ses concurrents, coute que coute, c est la LOI … Le Président élu, Hollande, ils l ont foutu dans le coffre de la voiture dite La France et lui il est content, très content d y être dans ce coffre « ombragé » vu la canicule en cours. De temps à autre, le pilote donc les Lobbys lui ouvrent le coffre et ils le laissent sortir se dégourdir les jambes et pour aller faire une petite commémoration par ici ou par là ou aller faire deux trois Salam Alek+Deux danses du ventre chez les Emirs Rois pour quils lui tirent les ficelels de marionnette ou lui tirer les bretelles (rafales contre faire suppalnter Air france par qatar Airwas, à prendre ou à laicher puis Allo Hollande recouche toi dans le coffre…Il faut être un con torsioniste pour se faire plier en trois dans le coffre…et lui, il en est capable, il n a que ça à faire..
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Chose
Juil 3, 2015 @ 14:25
Charles,
Il y a une faute dans ton texte, ce n’est pas con torsioniste, c’est, Con tort sioniste…
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Charles
Juil 3, 2015 @ 16:01
Bingo 🙂 ! @Chose
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Claude
Juil 3, 2015 @ 13:24
Il n’y a que les Grecs qui ne savent pas encore que le « OUI » va l’emporter dimanche !
D’ailleurs, le « OUI » est discrètement suggéré par leur Premier Ministre qui déclare ne pas remettre en cause l’appartenance de la Grèce à l’euro et à l’Union Européenne.
Or, comment peut-on d’un côté rejeter les décisions de l’UE et de l’autre prétendre vouloir y rester ?
Enfin, j’espère me tromper.
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Rensk
Juil 3, 2015 @ 13:36
Il est pourtant clair. Voici un autre « truc et astuce » des riches du nord germanophones !
Le 1er juillet, les principaux médias grecs ont publié les résultats d’un faux sondage soi-disant réalisé par l’institut Greek public opinion. La GPO dénonce la publication et déclare qu’elle n’a rien à voir avec cette étude.
Le 1er juillet les principaux médias grecs ont publié les résultats d’un faux sondage soi-disant effectué par une institution nommée Greek public opinion. Cette dernière dément tout lien avec le sondage et a l’intention de défendre ses intérêts devant la justice. Selon des experts politiques, il s’agit de « jeux politiques suspects ».
D’après les résultats de ce sondage, 43,3% des personnes interrogées voteront oui au plan d’aide européenne, le « non » atteignant 39,9%. Ce sondage a été publié par les médias grecs, mais aussi relayé par de grandes agences d’information étrangères.
Dans le même temps, les résultats d’autres sondages, eux dignes de foi, ont été rendu publics. 86% des Grecs ont l’intention de participer au référendum, 54% d’entre eux comptant voter contre la politique d’austérité, selon un sondage réalisé pour le quotidien Efimerida ton Syntakton. Les résultats du scrutin restent néanmoins encore imprévisibles dans la mesure où l’attitude des Grecs à l’égard du référendum change rapidement.
D’après un sondage d’Alco, publié par un quotidien grec Ethnos, 41,5% des sondés voteront oui tandis que 40,2% diront « non » à l’ultimatum de la Troïka.
Le 5 juillet, les Grecs se rendront aux urnes dans le cadre d’une consultation populaire sur l’accord avec les créanciers internationaux. Le FMI, la BCE et l’UE proposent une aide financière à la Grèce en échange de l’application de mesures d’austérité.
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Socratedukamer
Juil 3, 2015 @ 11:21
C’était donc ça l’union européenne?
Le depouillement contraint et forcé des petits pays comme le Grèce au bénéfice de gros pays comme la France,le royaume unis, l’Allemagne.
L’union européenne ce n’est ni plus ni moins une union de prédateurs et d’agneaux érigés en marchés captifs.
Les merkels,Sarkozy et Goldman Sach ont bousillé l’Europe.
Les dirigeants grecques sont des incompétents ou des fripons d’avoir ainsi sacrifié leur pays au sionnisme international.
Elle est bien loin le Grèce du temps des Socrates,des Platon , des thucydide, des aristote , des anaxagore des militiade, des periclès,des demosthenes.
Elle est oû cette fière race de Doriens et d’achéen:
Je parle de cette race de géants qui a construit Mycenes, l’acropole, le Parthenon avec des paramètre architecturaux basés sur le nombre d’or, les théâtres les stades, Olympie Delphes et beaucoup d’autres merveilles.
Aujourd’hui ce sont des rastapopoulos avec des gros nez de requin.
Fripouilles et adorateurs de Mamon.
Et vous voulez me dire que de cette fange il peut sortir encore un Homere et les chefs d’œuvre de l’humanité comme l’Iliade et l’odyssée, je n’en croit rien.
« C’est aimez vous les uns les autres et non les uns par dessus les autres »
On traîne dans les cafés et au bordel.
Voilà les résultats du grand remplacement de population d’albert Camus,la Grèce est un symptôme bien visible du métissage contraint et forcé des populations, on détruit le génie propre â chaque peuple, pour les convertir au Nike Reebook et Mac Donald au FMi et au sionisme international.
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sahb
Juil 3, 2015 @ 13:17
c’est pas albert ! c’est l’autre !
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Socratedukamer
Juil 3, 2015 @ 14:38
@ socratedukamer
Erratum je voulais dire Renaud Camus.
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Phoenix
Juil 3, 2015 @ 11:20
PAR LA TROMPERIE, NOUS GAGNERONS LES GUERRES ! »
Est l’éternelle maussade devise des Sionistes Juifs, mais aussi des associés et sayanim ou agents, aussi des trolls terroristes du Web, ainsi que la devise du fameux MOSSAD agence de meurtriers patentés d’Israël et de l’entité Sioniste en terre volée de Palestine, au Peuple Palestinien Musulman et Chrétien
Une solide compréhension de l’histoire a toujours été le meilleur guide pour comprendre le présent et anticiper le futur.
Plus besoin ici de la Propagande du journaleux néo-Bolchevique (juste pour la forme et la tromperie, mais c’est d’une et même cuisine nauséabonde et mortifère Nazi-Sioniste Globaliste anti Pays souverains et anti Peuples libres de disposer d’eux-même qu’il s’agit et d’où que ça vient) Alexandre Sivov, le Propagandiste CIA Globaliste anti-Russie et anti-Orthodoxie Chrétienne, Russe ou Grecque, pour les Nazi-Sionistes d’USISRAËL & C° Traîtres Nationaux pourris et vendus, c’est Kif, Kif, car les 2 pays, Russie Nationale et Grèce Nationale et démocratique sont à abattre…
Le relais a été pris par certains trolls de la même engeance et obédience de la tromperie et de l’esbroufe, dont la @Sahbinette, qui n’en finit pas de taper sur la Grèce, avec des supputaSions, des allégaSION-s, des mensonges à tout va, qui dépassent souvent ceux des Merdias de Masse, des criminels Presstitués en Service commandé pour le NOM USISRAËL !
La @Sahbinnette ne supporte ni la vérité factuelle, ni l’ombre d’un quelconque autre contributeur de la ré-info et tire ici sur tout ce qui bouge, pardon qui écrit, avec en sus de ses autres tares une misogynie avérée plus que pathologique…
Pov’con de SION, la Grèce n’en a rien à cirer de ton avis et propagande à 2 balles, elle vit des millénaires, sans avoir eu besoin de pov’cons qui se prennent pour Socrate perso, malgré toute leur insignifiance abyssale…
Tu peux te rouler de rage, mais la mentalité des Grecs, je connais très bien, leur esprit Chrétien Orthodoxe ancré dans chaque Grec aussi, qui est une Philosophie de vie et pas seulement religion… n’a a rien à foutre de pov’hères, qui propagent le néo-Bolchevisme Sioniste mortifère de mes 2…
Les Grecs sont NATIONALISTES, ainsi que Patriotes dans le sens noble du terme, tout comme les Russes et d’autres Peuples Slaves et Orthodoxes Chrétiens et leur Eglise, n’est pas une Histoire ou question de bigoterie, pov’inculte, qui n’a pas mis son nez hors de son bled, fût il en France, enfin ce qui était avant la France, mais une question de valeurs, d’Institution imbriquée dans l’Histoire de nos Peuples, toujours près et avec le Peuple, Jamais comme ceux du Vatican, Etat, en sus qu’institution de la Foi Chrétienne Catholique, lui (le Vatican) toujours Impérial et près des Oligarchies pilleuses et non des Peuples et des croyants…
Chez nous JAMAIS de Croisades ou massacre des Musulmans, ainsi que des Chrétiens Orthodoxes de Constantinople, lors de la 2 Croisade de 1202 à 1204 contre les Chrétiens Orthodoxes, lors de leur siège contre Constantinople où ils ont massacré les Chrétiens Orthodoxes à tout va et mis à sac leurs Eglises, dont la plus Grande Cathédrale Orthodoxe du Monde Sainte Sophie, bien avant les Ottomans en 1453, leurs alliés historiques objectifs et toujours soutenus !
T’es tellement moche de l’intérieur, dans la pourriture de ton âme, que le mal est ta motivation première et non le bien des Peuples et ta merde de Propagande sur de dite « Dictature du Prolétariat », une méga tromperie Globale Sioniste, du Juif Sioniste et Philousophe Karl Marx et de son comparse aussi Philousophe Friedrich Engels !
Si t’es si calé dans cette Philosophie et système Politique à ériger pour et par la tromperie des Peuples, pour amener les Sionistes prédateurs au Pouvoir, réponds moi à la question précise :
Comment se fait-il que cette dite « RévoluSION » de la Dictature du Prolétariat n’aie pas eu lieu en Allemagne, où un Prolétariat ouvrier lettré et syndiqué existait, mais en Russie Chrétienne Orthodoxe, majoritairement, quasi à 100% composée de Moujiks, ou Paysans Chrétiens Orthodoxes et non de Prolétaires, illettrés et fidèles au Tsar de Russie ???
Car justement de grandes réformes de l’Economie en Russie Impériale étaient en cours, du fait du Ministre des Finances, de Witte, un Juif honnête et intègre, ainsi que génie de l’économie et des Finances, qui avait foutu à la Porte Théodore Hertzl, le 1er Président du Mouvement Sioniste Politique Juif International, venu en Russie négocier la reddition des perturbateurs terroristes « révolutionnaires » Sionistes Juifs, mais il n’y avait pas d’Industrie développée encore en Russie, mais seulement en projet ???
Cette esbroufe et tromperie de dit Communisme et Dictature du Prolétariat, créé par les escrocs et philousophes Juifs Allemands élitistes, travaillant justement pour les Banksters Juifs Rotschild et même financés dans leurs écritures et propagande par ces Banksters criminels et prédateurs, en Allemagne, premier pays Industrailisé du Capitalisme Industriel, pourquoi n’as t’elle pas été mise en application en Allemagne Capitaliste et Industrielle par une vraie Révolution, les condition y étaient prérequises, mais en Russie Orthodoxe Chrétienne, pour la détruire et mettre en soumiSSION Juive Sioniste couplée avec celles des Capitalistes Anglo-Saxons d’Allemagne et de Grande Bretagne ???
Bien sur le massacre et génocide en due et bonne forme des Russes Chrétiens Orthodoxes en dizaines de millions, perpétré par les Sanguinaire Juif Sioniste Lavrenti Béria, Chef du NKVD et son créateur, le sanguinaire nain boucher Nikola Jéjov, Juif Sioniste, ainsi que Iagoda, Juif Sioniste et leur Clique d’assassin criminels qui par Putsch sanglant et non « Révolution de Dictature de Prolétariat », dixit ouvriers de l’industrie, qui n’existaient pas encore en Russie et non Paysans…, ont pris le Pouvoir en Russie et semé terreur et désolaSION, en se garantissant tous les Privilèges de Dictateurs et Tyrans au Pouvoir en dite URSS, siur le compte de 36 millions de Russes Chrétiens Orthodoxes génocidés dans les famleuses Purges et dès le début du Pouvoir de ces sanguinaires Criminels Sionistes Juifs et pas Russes ou Martiens !
Je sais pertinemment que tu n’es pas Français, mais une 5 Colonne en France, si tu es en France, ce qui n’est pas sur non plus…
Car le Français, le vrai est attaché à sa terre et à son Pays et ne va pas foutre son nez ailleurs, ni le bordel et est attaché à ses valeurs et traditions, très proches de celle des Russes et des Grecs et Chrétiens Orthodoxes, car nous avons un passé très proche et une culture semblable, ainsi que Philosophie de vie et valeurs…, ne reposant sur l’unique mercantilisme propres à ceux que tu défens, envers et contre tout, en faisant l’apologie du Crime contre l’Humanité !
C’est fou, que tout fout le Camp et que même les putes ne sont plus ce qu’elles étaient, même celles qui se vendent pour « hommes » et les ressources humaines de USISRAËL, avec leurs trolls, ça craint grave, car on va les chercher les sayanim dans les bas fonds des canalisation, qui comme des rats qui se respectent prolifèrent et rongent en l’empoisonnant tout milieu auxquels ils touchent et ce à mauvais escient…
Tu peux le troll néo-bolchevique @Sahbinette insulter et essayer de flinguer à tout va tout ce qui bouge et te te fait de l’ombre par les vérités dites sur les tiens, malgré que tu t’en caches par la tromperie comme d’hab, rien à cirer en ce me concerne, car t’es dans l’affaire Globale de totale insignifiance, au vu de tes propres « textes, mieux dit torchons d’insultes en lieu et place d’argumentaire valable…
Mais je peux te comprendre que le mensonge et la tromperie à terme sont difficilement défendables…
Tiens instruis toi connard de troll, qui ne s’assume pas comme tel en sus de misogyne à mort, la caractéristique de tous les PD qui ne s’assument pas comme tels aussi :
Le rôle des juifs dans la révolution bolchevique et les débuts du régime soviétique
Mark Weber*
Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918, une équipe de la police secrète bolchevik assassina le dernier empereur de Russie, le Tsar Nicolas II, en même temps que sa femme, la tsarine Alexandra, leur fils de 14 ans, le tsarevitch Alexis, et leurs quatre filles. Ils furent abattus par une grêle de balles dans une pièce de la maison Ipatiev à Ekaterinburg, une ville dans la région montagneuse de l’Oural, où ils étaient retenus prisonniers. Les filles furent achevées à la baïonnette. Pour empêcher un culte pour le défunt Tsar, les corps furent transportés à la campagne et hâtivement brûlés dans un endroit secret. [Photo : le Tsar Nicolas, le bébé Olga, la tsarine Alexandra.]
Les autorités bolchevik racontèrent d’abord que l’empereur Romanov avait été abattu après la découverte d’un complot pour le libérer. Pendant quelque temps, la mort de l’impératrice et des enfants fut tenue secrète. Les historiens soviétiques prétendirent pendant des années que les Bolcheviks locaux avaient agi de leur propre initiative en accomplissant les meurtres, et que Lénine, fondateur de l’Etat soviétique, n’avait rien à voir avec le crime.
En 1990, le dramaturge et historien moscovite Edvard Radzinsky annonça le résultat de ses investigations détaillées à propos des meurtres. Il retrouva les mémoires du garde du corps de Lénine, Alexei Akimov, qui racontait comment il transmit personnellement l’ordre d’exécution de [signé par] Lénine au bureau du télégraphe. Le télégramme était également signé par le chef du gouvernement soviétique, Yakov Sverdlov. Akimov avait sauvé le bulletin télégraphique original comme archive de l’ordre secret.
La recherche de Radzinsky confirma ce que la première évidence avait déjà indiqué. Léon Trotsky — l’un des plus proches collègues de Lénine — avait révélé des années plus tôt que Lénine et Sverdlov avaient pris ensemble la décision de mettre à mort le Tsar et sa famille. Se remémorant une conversation en 1918, Trotsky écrivait :
Ma visite suivante à Moscou prit place après la chute [temporaire] de Ekaterinburg [aux mains des forces anti-communistes]. Discutant avec Sverdlov, je demandai au passage : «Au fait, où est le Tsar ?»
«Terminé», répondit-il, «il a été exécuté».
«Et où est sa famille ?»
«La famille en même temps que lui».
«Tous ?», demandais-je, apparemment avec quelque surprise.
«Tous», répondit Sverdlov. «Et alors ?». Il attendait de voir ma réaction. Je ne répondis pas.
«Et qui a pris la décision ?», demandais-je.
«Nous l’avons décidé ici. Illitch [Lénine] croyait que nous ne devions pas laisser aux Blancs [les forces anti-communistes] une bannière pour se rallier, spécialement dans les circonstances difficiles du moment».
Je ne posai pas d’autres questions et considérai le sujet comme clos.
SverdlovDe récentes recherches et investigations de Radzinsky et d’autres corroborent aussi le récit fourni des années plus tôt par Robert Wilton, correspondant du London Times en Russie pendant dix-sept années. Son récit, Les derniers jours des Romanov — publié pour la première fois en 1920, et récemment réédité par le Institute for Historical Review (IHR) — est basé en grande partie sur les découvertes de l’enquête détaillée menée en 1919 par le procureur Nikolaï Sokolov, sous l’autorité du chef «Blanc» Alexandre Koltchak. Le livre de Wilton demeure l’un des récits les plus exacts et complets du meurtre de la famille impériale de Russie. [Photo : Yakov Sverdlov (Yankel Solomon), président de l’Exécutif Central des Soviets, premier dirigeant communiste de l’Etat.]
Une solide compréhension de l’histoire a toujours été le meilleur guide pour comprendre le présent et anticiper le futur.
En conséquence, c’est pendant les temps de crise que les gens sont le plus intéressés par les questions historiques, quand l’avenir semble le plus incertain. Avec l’effondrement du pouvoir communiste en Union Soviétique en 1989-91, et avec le combat des Russes pour construire un nouvel ordre sur les ruines de l’ancien, les questions historiques sont redevenues d’actualité. Par exemple, beaucoup se demandent : comment les Bolcheviks, un petit mouvement guidé par les enseignements du philosophe social, le Juif allemand Karl Marx, réussirent-ils à prendre le contrôle de la Russie, et à imposer un régime cruel et despotique à son peuple ?
Pendant les dernières années, les Juifs dans le monde ont exprimé de grandes inquiétudes à propos du spectre de l’antisémitisme dans les pays de l’ex-Union Soviétique. Dans cette ère nouvelle et incertaine, nous disait-on, les sentiments assoupis de haine et de rage contre les Juifs sont à présent de nouveau exprimés. Selon un sondage d’opinion réalisé en 1991, par exemple, la plupart des Russes voudraient que tous les Juifs quittent le pays. Mais précisément, pourquoi ce sentiment anti-juif est-il si largement répandu parmi les peuples de l’ex-Union Soviétique ? Pourquoi autant de Russes, d’Ukrainiens, de Lithuaniens et d’autres, blâment-ils «les Juifs» pour leur infortune ?
Un sujet tabou
Bien qu’officiellement les Juifs n’aient jamais représenté plus de 5% de la population totale du pays, ils jouèrent un rôle hautement disproportionné et probablement décisif dans les débuts du régime bolchevik, en dominant effectivement le gouvernement soviétique pendant ses premières années. Les historiens soviétiques, de même que la plupart de leurs collègues occidentaux, préfèrent ignorer ce sujet, depuis des décennies. Les faits, cependant, ne peuvent être niés.
A l’exception notable de Lénine (Vladimir Oulyanov), la plupart des dirigeants communistes qui prirent le contrôle de la Russie en 1917-1920 étaient des Juifs. Léon Trotsky (Lev Bronstein) fut le chef de l’Armée Rouge, et pendant un temps, fut le responsable des Affaires Etrangères des Soviets. Yakov Sverdlov (Yankel Solomon) était à la fois le Secrétaire de l’Exécutif du Parti Bolchevik et — en tant que président du Comité Central Exécutif — chef du gouvernement des Soviets. Grigory Zinoviev (Radomylsky) dirigeait l’Internationale Communiste (Komintern), l’agence centrale pour répandre la révolution dans les pays étrangers. D’autres Juifs importants étaient le Commissaire [ = Ministre] à la Presse, Karl Radek (Sobelsohn), le Commissaire aux Affaires Etrangères Maxim Litvinov (Wallach), Lev Kamenev (Rosenfeld) et Moisei Uritsky.
Lénine lui-même était principalement d’ascendance russe et kalmouk, mais il était aussi à un quart juif. Son grand-père maternel, Israël (Alexandre) Blank, était un Juif ukrainien qui fut plus tard baptisé dans l’Eglise Orthodoxe Russe.
En parfait internationaliste, Lénine regardait tout loyalisme ethnique ou culturel avec mépris. Il avait peu de respect pour ses propres compatriotes : «un Russe intelligent», remarquait-il alors, «est presque toujours un Juif ou quelqu’un avec du sang juif dans les veines».
Rencontres décisives
Pendant la prise du pouvoir par les Communistes en Russie, le rôle des Juifs fut probablement décisif.
Deux semaines avant la «Révolution d’Octobre» bolchevik de 1917, Lénine convoqua une réunion ultra-secrète à St-Petersbourg (Petrograd) au cours de laquelle les principaux dirigeants du Comité Central du Parti Bolchevik prirent la décision fatale de prendre le pouvoir par la violence. Parmi les douze personnes qui prirent part à cette réunion décisive, il y avait quatre Russes (dont Lénine), un Géorgien (Staline), un polonais (Dzerdjinski) et six Juifs.
Pour diriger l’opération [de prise du pouvoir], un «Bureau Politique» de sept hommes fut choisi. Il était composé de deux Russes (Lénine et Bubnov), un Géorgien (Staline), et quatre Juifs (Trotsky, Sokolnikov, Zinoviev et Kamenev). En même temps, le Soviet de St-Petersbourg (Petrograd) — dont le président était Trotsky — établit un « Comité Révolutionnaire Militaire» de dix-huit membres, pour mener à bien la prise du pouvoir. Il comprenait huit (ou neuf) Russes, un Ukrainien, un Polonais, un Caucasien, et six Juifs. Finalement, pour superviser l’organisation du soulèvement, le Comité Central bolchevik établit un «Centre Révolutionnaire Militaire» pour le commandement des opérations du Parti. Il était composé d’un Russe (Bubnov), un Géorgien (Staline), un Polonais (Djerdjinski), et deux Juifs (Sverdlov et Uritsky).
Mises en garde des contemporains
Les observateurs bien informés, à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de la Russie, prirent note à l’époque du rôle crucial des Juifs dans le Bolchevisme. Winston Churchill, par exemple, avertit dans un article publié dans l’édition du 8 février 1920 de l’Illustrated Sunday Herald que le Bolchevisme était «une conspiration à l’échelle mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base de l’arrêt du développement [économique], de la malveillance envieuse, et de l’impossible égalité». L’éminent dirigeant politique et historien britannique poursuivait :
Il n’y a pas de raison d’exagérer la part jouée dans la création du Bolchevisme et l’apport réel à la Révolution Russe par ces Juifs internationaux, et pour la plupart, athées. Elle est certainement très grande ; elle dépasse probablement en importance toutes les autres. A l’exception notable de Lénine, la majorité des personnages dirigeants sont des Juifs. Ainsi Tchitcherin, un pur Russe, est éclipsé par son subordonné nominal Litvinov, et l’influence des Russes comme Boukharine ou Lunacharsky ne peut pas être comparée au pouvoir de Trotsky, ou de Zinoviev, le Dictateur de la Citadelle Rouge (Petrograd), ou de Krassine ou de Radek — tous des Juifs. Dans les institutions soviétiques la prédominance des Juifs est encore plus stupéfiante. Et la part la plus marquante, sinon la principale, dans le système de terrorisme appliqué par les Commissions Extraordinaires pour Combattre la Contre-Révolution [Tchéka] a été prise par les Juifs, et en quelques cas notables, par des Juives.
( … ) Inutile de le dire, les plus intenses passions de vengeance ont été excitées au sein du peuple russe.
David R. Francis, ambassadeur des Etats-Unis en Russie, avertit dans une dépêche à Washington en janvier 1918 : «Les dirigeants bolcheviks ici, dont la plupart sont des Juifs et dont 90% sont des exilés de retour [en Russie], font peu de cas de la Russie ou de tout autre pays, mais sont des internationalistes et ils essayent de déclencher une révolution sociale à l’échelle mondiale.»
L’ambassadeur des Pays-Bas en Russie, Oudendyke, fit à peu près le même constat quelques mois plus tard : «A moins que le Bolchevisme ne soit tué dans l’oeuf immédiatement, il est destiné à se répandre sous une forme ou sous une autre en Europe et dans le monde entier, car il est organisé et conduit par des Juifs qui n’ont pas de nationalité, et dont le premier objectif est de détruire pour leur propre bénéfice l’ordre de choses existant.»
«La Révolution bolchevik», déclara un important journal de la communauté juive américaine en 1920, «fut en grande partie le produit de la pensée juive, du mécontentement juif, de l’effort juif pour reconstruire.»
Comme expression de son caractère radicalement anti-nationaliste, le gouvernement soviétique émit un décret après la prise du pouvoir, qui faisait de l’antisémitisme un crime en Russie. Le nouveau régime communiste devint ainsi le premier dans le monde à punir toutes les expressions du sentiment anti-juif. Les dirigeants soviétiques considéraient apparemment de telles mesures comme indispensables. Se basant sur une observation prudente pendant un séjour prolongé en Russie, l’universitaire juif américain Franck Golder raconta en 1925 que «parce que tant de dirigeants soviétiques sont des Juifs, l’antisémitisme se développe [en Russie], particulièrement dans l’Armée, [et] parmi l’ancienne et la nouvelle intelligentsia qui se sont alliées contre les fils d’Israël.»
La vision des historiens
Résumant la situation à cette époque, l’historien israélien Louis Rapoport écrit :
Immédiatement après la Révolution, beaucoup de Juifs étaient euphoriques à propos de leur haute représentation dans le nouveau gouvernement. Le premier Politburo de Lénine était dominé par des hommes d’origine juive.
Sous Lénine, les Juifs furent impliqués dans tous les aspects de la Révolution, y compris son plus sale travail. Malgré les voeux communistes d’éradiquer l’antisémitisme, il se répandit largement après la Révolution — en partie à cause de la domination de tant de Juifs dans l’administration soviétique, et aussi dans la campagne de soviétisation traumatisante et inhumaine qui suivit. L’historien Salo Baron a noté qu’un nombre immensément disproportionné de Juifs s’engagea dans la nouvelle police secrète soviétique, la Tchéka. Et beaucoup de ceux qui tombèrent sous les coups de la Tchéka furent abattus par des enquêteurs juifs.
La direction collective qui émergea pendant les jours de l’agonie deLénine était dirigée par le Juif Zinoviev, un Adonis aux cheveux frisés, loquace, d’esprit médiocre, dont la vanité ne connaissait pas de bornes.
«Quiconque avait l’infortune de tomber dans les mains de la Tchéka», écrivit l’historien juif Leonhard Shapiro, «avait une très bonne chance de se trouver confronté, ou même d’être exécuté, par un enquêteur juif.». En Ukraine, «les Juifs formaient à peu près 80% des agents de base de la Tchéka», raconte W.Bruce Lincoln, un professeur américain d’Histoire russe. (D’abord connue sous le nom de Tcheka, ou Vetcheka, la police secrète soviétique fut plus tard connue sous le nom de GPU, OGPU, NKVD, MVD et KGB.)
YurovskyA la lumière de tout cela, il ne faut pas être surpris que Yakov M. Yurovsky, le chef de l’équipe bolchevik qui réalisa le meurtre du Tsar et de sa famille, ait été un Juif, tout comme Sverdlov, le chef soviétique qui co-signa l’ordre d’exécution de Lénine. [Photo : Yakov Yurovsky, dernier commandant de la maison Ipatiev, lieu des meurtres. Dans son journal, le Tsar Nicolas l’appelait par euphémisme «l’homme sombre», un acte de politesse ethnique bien mal récompensé : Yurovsky tira personnellement le coup de feu qui tua le Tsar, et tira deux balles dans l’oreille de son fils.]
Igor Shafarevitch, un mathématicien russe d’envergure mondiale, a sévèrement critiqué le rôle des Juifs dans le renversement de la monarchie des Romanov et l’établissement de la domination communiste dans son pays. Shafarevitch fut un dissident de premier plan pendant les dernières décennies du règne soviétique. Eminent activiste des droits de l’homme, il fut membre fondateur du Comité de Défense des Droits de l’Homme en URSS.
Dans Russophobia, un livre écrit dix ans après l’effondrement du régime soviétique, il notait que les Juifs étaient «étonnamment» nombreux parmi le personnel de la police secrète bolchevik. L’identité juive des exécuteurs bolcheviks, continuait Shafarevitch, est évidente pour l’exécution de Nicolas II :
Cette action rituelle symbolisa la fin de siècles d’histoire russe, de telle manière qu’elle peut être comparée seulement à l’exécution de Charles 1er en Angleterre et Louis XVI en France. On s’attendrait à ce que les représentants d’une minorité ethnique insignifiante se tiendraient aussi loin que possible de cette action cruelle, qui se répercuterait dans toute l’Histoire. Or quels noms découvrons-nous ? L’exécution fut personnellement surveillée par Yakov Yurovsky qui abattit le Tsar, le président du Soviet local était Beloborodov (Vaisbart) ; la personne responsable pour l’administration générale à Ekaterinburg était Shaya Goloshtchekin. Pour compléter le tableau, sur le mur de la pièce où eut lieu l’exécution se trouvait une citation d’un poème de Heinrich Heine (écrit en allemand) sur le Roi Balthazar, qui offensa Jehovah et fut tué pour cette offense.
Dans son livre en 1920, le journaliste britannique expérimenté Robert Wilton portait un jugement aussi sévère :
Toute l’histoire du Bolchevisme en Russie est marquée de manière indélébile du sceau de l’invasion étrangère. Le meurtre du Tsar, délibérément planifié par le Juif Sverdlov (qui vint en Russie en tant qu’agent rétribué de l’Allemagne) et exécuté par les Juifs Goloshtchekin, Syromolotov, Safarov, Voikov et Yurovsky, n’est pas l’action du peuple russe, mais de cet envahisseur hostile.
Pendant le combat pour le pouvoir qui suivit la mort de Lénine en 1924, Staline sortit victorieux de ses rivaux, réussissant finalement à mettre à mort presque tous les plus éminents dirigeants bolcheviks — y compris Trotsky, Zinoviev, Radek, et Kamenev. Avec le passage du temps, et particulièrement après 1928, le rôle des Juifs dans la haute direction de l’Etat soviétique et du Parti Communiste diminua nettement.
L’inscription sur le mur : la citation de Heine
Des lignes dues au poète juif allemand Heinrich Heine (1797-1856) fut trouvées écrites sur le mur, près de la fenêtre, dans la cave de la maison Ipatiev, où les Romanov furent abattus et achevés à la baïonnette. La citation dit : «Belsatzar ward in selbiger Nacht / Von seinen Knechten umgebracht», c’est-à-dire «Belsatzar fut, la même nuit, tué par ses esclaves.»
Citation de Heine
Belshazzar — le Roi non-juif de Babylone, qui dans l’histoire bien connue de l’Ancien Testament, vit «l’inscription sur le mur» annonçant sa mort (Livre de Daniel, 5) — fut tué en punition de ses offenses au Dieu d’Israël. En jouant habilement de la citation de Heine, l’auteur inconnu de l’inscription, presque certainement l’un des tueurs, a substitué «Belsatzar» à l’orthographe de Heine «Belsazar», pour signaler encore plus clairement son intention symbolique. Cette inscription de Heine révèle l’inspiration raciale et ethnique des meurtres : un roi non-juif venait d’être tué, en un acte de vengeance juive.
–Irmin
Suite
http://library.flawlesslogic.com/1tsar_fr.htm
* Mark Weber, Professeur d’Histoire de l’Université d’Oxford, est un des plus grand spécialistes au monde de la dite « RévoluSION » Bolchevique de la « Dictature du Prolétariat » d’octobre 1917, de fait un vrai Putsch sanguinaire contre l’Empire Chrétien Orthodoxe de Russie et son Peuple de Moujiks, dixit Paysans et non Prolétaires ou ouvriers de l’Industrie du capitalisme, comme en Allemagne industrialisée et développée par exemple…
Ce Putsch sanguinaire était, planifié, concocté et financé de l’extérieur à la Russie, par les Banksters Rothschild & C°, par la Grande Bretagne et par le Mouvement Politique Sioniste Juif International des Etats Unis, d’Allemagne et de Grande Bretagne, avec les Oligarchies Capitalistes d’Occident et on sait parfaitement qui elles furent pour détruire la Russie et la piller par leur clique de ses richesses et ressources comme le plus grand Pays du Monde et détruire ses racines Chrétiennes Orthodoxes et Slaves Russes…
Cette étude du Professeur Marc Weber est extraordinaire de vérités dites et témoinages historiques recoupés et assemblés…
Phoenix
11h20
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africalibre
Juil 3, 2015 @ 11:08
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africalibre
Juil 3, 2015 @ 11:09
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africalibre
Juil 3, 2015 @ 11:10
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africalibre
Juil 3, 2015 @ 11:10
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allouche
Juil 3, 2015 @ 10:07
MERKEL VA-T-ELLE REMBOURSER LES MILLIARDS DE DETTE DE SON PAYS A LA GRECE ? ETOUFE , LE PEUPLE GREC VA-T-IL RESISTER ET REDONNER UNE AUTRE IMAGE DE LA DEMOCRATIE ( celle du peuple ? )
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Elpida
Juil 3, 2015 @ 10:04
J’ai constaté que même dans ce bloc -ci ; les deux partis gauchistes ne trouvent aucun point commun. C’est dommage. Je pense que le gouvernement affrontera dans peu de temps un coup d’état télévisé et il se mettra au coin après un brin d’espoir de quelques mois.
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sahb
Juil 3, 2015 @ 8:34
REFERENDUM DU 5 JUILLET EN GRECE

par Comager
Quel que soit le résultat du vote, sa présentation médiatique a toutes les chances de donner lui à de grandes envolées politiques et journalistiques sur la démocratie, la dignité, l’Europe …
Pour mieux éclairer le choix des électeurs grecs qui ne se fera pas simplement sur ces grands mots car il est question concrètement de niveau de (sur)vie, de chômage, de soins, d’éducation et de rapports de classe …nous mettons en circulation la traduction du texte de la PAME, courant syndical de classe en Grèce.
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Athènes, le 30 juin 2015
La position de classe du mouvement syndical de la Grèce (PAME) face au référendum
Chers camarades,
Nous vous faisons parvenir 13 des deux propositions de mesures anti travailleurs et anti populaires, préparées d’une part par l’Union européenne-FMI-BCE, d’autre part par le Gouvernement grec de SYRIZA.
Lors du référendum du 5 juillet, le gouvernement grec appelle la population à rejeter uniquement le mémorandum de l’EU-FMI-BCE. De cette façon, le gouvernement de SYRIZA veut promouvoir la proposition de ses propres travailleurs anti, d’être accepté par la population comme une alternative.
Le mouvement syndical de classe de la Grèce, PAME, rejette ces deux options
Nous appelons la classe ouvrière à réclamer ses droits. Nous ne rejetons pas seulement un mémorandum, pour en accepter un autre. Nous appelons les travailleurs à mettre dans l’urne le bulletin de vote avec leurs exigences et pas les bulletins du gouvernement SYRIZA.
Comparez les deux propositions
Le mémorandum UE-FMI-BCE :
1. âge de la retraite à 67 pour tous les travailleurs, imposée pour 2022
2. augmentation des cotisations des retraités pour soins de santé (qui seront prises sur leur pension) de 4 à 6 %
3. augmentation des cotisations des salariés actifs pour les soins de santé (qui seront prises sur leur salaire) de 4 à 5 % même POSITION du gouvernement SYRIZA-ANEL
4. coupes dans le Budget de l’Etat pour les retraites : 0,5 % du PIB en 2015, 1 % du PIB pour2016 * la même POSITION
5. pénalité pour préretraite relevée de 10 % – même POSITION
6. réduction du « Coût du travail » dans le secteur Public à partir du 01/01/2016 – même POSITION
7. continuer l’imposition de la soi-disant « taxe de solidarité » – même POSITION
8. salaire Minimum qui sera formé conformément aux règles du mémorandum – même POSITION
9. continuer de perception de la taxe « immobilière unifiée »-ENFIA jusqu’en 2016 – même POSITION
10. augmenter les revenus de la TVA pour atteindre 1 % du PIB
11.TVA à 23 % pour les aliments en conserve et emballés, 13 % pour les aliments de base, électricité et les Hôtels, 6 % pour les médicaments, les livres, 23 % pour tout le reste- même POSITION
12.fiscalité des armateurs à imposer
13. privatisations des Ports, aéroports, des infrastructures et des propriétés publiques – même POSITION
Le mémorandum de SYRIZA
1. âge de la retraite à 67 pour tous les travailleurs, institué en 2025
2. relèvement de la cotisation des retraités pour soins de santé (qui seront prises de leur pension) de 4 à 5 %
3. augmentation des cotisations des salariés pour les soins de santé (qui seront prises sur leur salaire) de 4 à 5 % même POSITION
4. coupes dans le Budget de l’Etat pour les retraites : 0,5 % du PIB en 2015, 1 % du PIB pour
2016 même POSITION
5. pénalité pour préretraite relevée de 10 % même POSITION
6. réduction du « Coût du travail » dans le secteur Public à partir du 01/01/2016 même POSITION
7. continuer l’imposition de la soi-disant « taxe de solidarité » même POSITION
8. salaire Minimum qui sera formé conformément aux règles du mémorandum même POSITION
9. continuer de perception de la taxe « immobilière unifiée »-ENFIA jusqu’en 2016 même POSITION
10. augmenter les revenus de l’Etat par le biais de TVA à 0,93 % du PIB
11. TVA à 23 % pour les aliments en conserve et emballés, 13 % pour les aliments de base, électricité et Hôtels, 6 % pour les médicaments, les livres, 23 % pour tout le reste même POSITION
12. fiscalité des armateurs à imposer
13. privatisations des Ports, aéroports, des infrastructures et des propriétés publiques même POSITION
NON au référendum se traduira par Oui au mémorandum de SYRIZA
Nous rejetons les deux options !
La classe ouvrière doit relancer ses propres exigences !
Nous votons avec nos propres exigences !
Pas avec les bulletins de vote établis par les forces politiques pro-UE !
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ahura
Juil 3, 2015 @ 8:30
Que Dieu lui prête vie !!!!
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sahb
Juil 3, 2015 @ 8:29
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sahb
Juil 3, 2015 @ 8:28
Le résistant grec Manolis Glezos, député de SYRIZA, demande « PARDON AU PEUPLE GREC D’AVOIR CONTRIBUÉ À CETTE ILLUSION »
Article-Traduction pour http://www.solidarite-internationale-pcf.fr/
Manolis Glezos est un héros en Grèce, une légende vivante de la Résistance, 92 ans. Elu sur les listes de SYRIZA en 2014, c’est lui qui – avec un ami – le 30 mai 1941 avait inspiré les résistances grecs et d’Europe en détachant à 18 ans le drapeau nazi du haut de l’Acropole.
Glezos a connu les prisons de l’occupant nazi allemand, celles de l’occupant fasciste italien puis celle des collaborateurs grecs, et encore celle de la dictature grecque après la guerre, à deux reprises. Il n’est pas d’autre figure en Grèce qui ne soit plus écoutée.
Les 80 ans passés, il s’était engagé dans le mouvement SYNAPSISMOS, puis SYRIZA – tout en gardant son indépendance de pensée et d’action, avec son « Mouvement des citoyens engagés » qu’il a fondé au début des années 2000.
Il avait critiqué en 2013, lors de la Conférence fondatrice de SYRIZA, la mise au pas imposé par Alexis Tsipras imposant la transition de la « Coalition de gauche radicale » en « parti unique de la gauche de gouvernement », avec la dissolution des courants et la suppression es voix internes critiques envers l’Union européenne et l’euro.
Manolis Glezos a exprimé sa désillusion hier sur le site de son « Mouvement des citoyens engagés ». Désillusion face à la capitulation du gouvernement mené par SYRIZA face aux décideurs européens. Voici notre traduction :
« Vous pouvez changer le nom de Troika pour le remplacer par le nom des « institutions » prises séparément, celui de mémorandum par « accord », et celui des créanciers par « partenaires » : cela ne change rien à la situation antérieure, comme si il suffisait de dire que le « poisson » est de la « viande » [NdT : référence à la pratique du clergé grec à l’époque médiévale consistant à dissimuler la pauvreté, en changeant le nom des aliments. Le KKE a pris exactement la même métaphore dans sa critique du gouvernement actuel]
Bien entendu, on ne peut pas changer le vote du peuple grec aux élections du 25 janvier 2015.
Le peuple a voté pour ce que SYRIZA a promis : en finir avec l’austérité qui n’est pas seulement la stratégie de l’oligarchie allemande et des autres pays de l’UE, mais aussi la stratégie de l’oligarchie grecque.
En finir avec les mémorandums et la Troika, abolir toutes les lois d’austérité.
Le lendemain des élections, nous devions mettre un terme légal à la Troïka et ses conséquences.
Un mois a passé désormais, et les promesses ne se sont pas matérialisées.
C’est fâcheux, très fâcheux même.
Pour ma part, je veux m’excuser auprès du peuple grec car j’ai contribué à cette illusion.
Avant qu’il ne soit trop tard, toutefois, il nous faut réagir.
D’abord, les adhérents, amis et partisans de SYRIZA, à tous les niveaux de leurs organisations, devrait décider dans des rencontres extraordinaire si ils acceptent cette situation.
Certains prétendent que pour parvenir à un accord, il nous faut d’abord battre en retraite. Avant toute chose : il ne peut pas y avoir de compromis entre l’oppresseur et l’opprimé. Entre l’esclave et l’occupant, la seule solution, c’est la Liberté.
Mais même si nous acceptions cette chose absurde, les concessions déjà faites par les précédents gouvernements pro-austérité en termes d’emploi, d’austérité, de pauvreté, de suicides sont allés bien trop loin. »
Manolis Glezos, Bruxelles, 22 février
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Rensk
Juil 3, 2015 @ 11:49
A voir si il ne « s’excuse » pas un peu trop tôt !??
02 juillet 2015 à 08h27
C’est un mystère que le FMI n’a pas réussi à percer: dans sa tentative désespérée d’éviter un défaut de paiement, la Grèce a su dénicher dans les textes du Fonds des clauses dont l’institution elle-même avait oublié l’existence.
Ces astuces de dernière minute n’ont pas empêché la Grèce de faire défaut mardi sur sa dette vis-à-vis du Fonds mais elles montrent qu’Athènes scrute avec soin une institution qu’elle honnit et accuse de « comportements criminels ».
Le premier coup d’éclat grec s’est noué début juin: à court de liquidités, Athènes doit alors rembourser quelque 300 millions d’euros et entretient le flou sur sa volonté et sa capacité à le faire.
A la veille de la date-limite, fixée au 5 juin, la directrice générale du FMI Christine Lagarde se dit pourtant « confiante » que la Grèce va payer en temps et en heure.
Mais quelques instants plus tard, coup de théâtre: la Grèce fait jouer une clause lui permettant de regrouper les quatre paiements attendus en juin et d’obtenir un sursis jusqu’à la fin du mois, sans même que le FMI n’ait à donner son feu vert.
L’effet de surprise est total. De hauts responsables du Fonds confessent en privé n’avoir jamais entendu parler de cet obscur mécanisme qui n’a été utilisé qu’une seule fois, au milieu des années 1980 par la Zambie, pour réduire les coûts des transactions.
Un scénario à peu près similaire s’est rejoué mardi. La Grèce n’a alors plus que quelques heures pour rembourser 1,5 milliard d’euros au FMI, qui répète inlassablement qu’aucun délai de paiement n’est envisageable. Mi-juin, Mme Lagarde avait elle-même clamé qu’il n’y aurait « pas de période de grâce ».
La Grèce ne l’entend pas de cette oreille et, à quelques heures de la fin du délai, fait à nouveau preuve de sa fine connaissance des règles du Fonds: Athènes va ainsi faire jouer une clause de la charte fondatrice du FMI -la provision G, section 7, article 5- qui permet à un pays de demander le report d’un remboursement pour échapper à « une épreuve exceptionnelle ».
Là encore, la demande grecque prend par surprise les hautes sphères du FMI. Cette clause totalement méconnue n’a été utilisée qu’à deux reprises dans l’histoire du FMI, les deux fois en 1982, par le Nicaragua et le Guyana.
La requête n’a pour l’heure pas été approuvée par le FMI mais elle pourrait ouvrir une possible boîte de Pandore en révélant aux pays emprunteurs qu’un report est légalement envisageable.
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Estelle
Juil 3, 2015 @ 8:24
Bravo Tsipras !
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Carolo25
Juil 3, 2015 @ 8:19
bien dit!
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Estelle
Juil 3, 2015 @ 8:00
Prem’s !
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