Attention, c’est l’Eurogroupe qui bafoue la démocratie parce qu’il ne souhaite pas de référendum en Grèce. Le Premier ministre grec Alexis Tsipras, victime d’un déni de démocratie de la part de l’Eurogroupe, a annoncé dimanche soir à la télévision nationale la fermeture temporaire des banques grecques, et l’instauration d’un contrôle des capitaux.
Le refus de l’Eurogroupe de prolonger le programme d’assistance à la Grèce au-delà du 30 juin «a conduit la BCE à ne pas augmenter la liquidité des banques grecques et a contraint la Banque de Grèce à activer les mesures de fermeture temporaire des banques et de limitation des retraits bancaires», a déclaré M. Tsipras ce dimanche soir, tout en assurant que «les dépôts des citoyens dans les banques grecques sont absolument garantis».
Le Premier ministre grec a également redemandé à l’UE et à la BCE une prolongation du programme d’aide à son pays, qui lui avait été refusée samedi. Alexis Tsipras a indiqué avoir formulé cette demande «auprès du président du Conseil européen et des 18 dirigeants des États membres de la zone euro, ainsi qu’au président de la BCE, de la Commission et du Parlement européen. J’attends leur réponse immédiate à cette requête démocratique de base», a-t-il conclu.
L’exemple de Chypre
Le contrôle des capitaux, décidé par la Grèce dimanche, a déjà été expérimenté de manière drastique à Chypre, pour éviter une fuite d’argent lorsque l’île, au bord de la faillite, négociait en 2013 un plan de sauvetage européen. Cette mesure, qui a affecté l’île pendant deux ans, était alors une première dans l’Union européenne. Face au risque de panique bancaire avec des retraits massifs d’argent, le gouvernement chypriote avait alors fermé toutes les banques pendant près de deux semaines, interdit les virements par internet et limité les retraits par carte bancaire. A la réouverture des banques, des restrictions draconiennes régissaient les mouvements de capitaux. Le risque en cas de fuite des capitaux est en effet la faillite des banques, et par effet domino celle de l’État.
Initialement, les Chypriotes ne pouvaient plus retirer que 300 euros par jour –500 euros pour les entreprises– et ne pouvaient plus ouvrir un compte bancaire. Il était en outre interdit de quitter Chypre avec plus de 1.000 euros en liquide, une somme progressivement relevée au fil des mois. Même chose pour les paiements et virements à l’étranger, initialement limités à 5.000 euros par mois, par personne et par banque. Grâce à une amélioration de la confiance des marchés internationaux dans le système financier chypriote, les restrictions ont été levées une à une jusqu’en mai 2014.
Charles
Juin 29, 2015 @ 21:41
Pas oublier que la Grèce a baigné culturellement et intellectuellement parlant dans la Mythologie. C est al Grèce qui a inventé la Philosophie et la Démocratie.
Aujourd hui, faire un Réferendum en Grèce c est que le peuple votera ce qu il voudra, mais quand le peuple vote, il a toujours raison même s il a tort.
Ce n est pas demain que ni Hollande ni Les Cheikhs Chèques Emirs et Rois du golfe qui feraient un Réferendum.
J’aimeJ’aime
Charles
Juin 29, 2015 @ 21:46
la Grèce s est baignée…
J’aimeJ’aime
Gabriel
Juin 29, 2015 @ 21:40
HHonteux ! Alexis tsipras est en direct sur euronews.la traductrice fait l’impasse sur des moments importants, faisant passer ainsi le président grec pour un pilier de comptoir.amis grecs qui parlez français, on attend une vidéo YouTube ou rutube avec une vrai traduction !!!!!!!!!!!!
J’aimeJ’aime
sahb
Juin 29, 2015 @ 21:29
SYRIZA – PILLAGE, EFFONDREMENT PROSTERNATION :
QUAND LA «GAUCHE DURE» ÉPOUSE LES POLITIQUES DE LA DROITE DURE
par professeur James PETRAS
La Grèce a fait les manchettes de la presse financière internationale durant les cinq derniers mois, alors qu’un parti de gauche nouvellement élu, «SYRIZA», s’oppose ostensiblement aux soi-disant «mesures d’austérité» en confrontant la troïka (le Fonds monétaire international, la Commission européenne et la Banque centrale européenne).
Dès le début, les dirigeants de SYRIZA, mené par Alexis Tsipras, ont adopté plusieurs positions stratégiques aux conséquences fatales relativement à la mise en œuvre de leurs promesses électorales: d’élever le niveau de vie, de mettre fin à la vassalité envers la «troïka» et de se doter d’une politique étrangère indépendante.
Nous allons procéder en décrivant les échecs systémiques initiaux de SYRIZA et les concessions ultérieures érodant davantage le niveau de vie grec, tout en accentuant le rôle de la Grèce comme collaborateur actif de l’impérialisme étasunien et israélien.
Gagner les élections et céder le pouvoir
La gauche européenne et nord-américaine a célébré la victoire électorale de SYRIZA comme une rupture avec les programmes d’austérité néolibérale et le lancement d’une alternative radicale, laquelle mettrait en place des initiatives populaires en faveur de changements sociaux fondamentaux. Ces initiatives comprendraient des mesures pour créer des emplois, restaurer les pensions, annuler les privatisations et réorganiser les priorités du gouvernement en favorisant le paiement des salariés avant le remboursement des banques étrangères. La «preuve» de l’existence du programme de réforme radicale se trouvait dans le «Manifeste de Thessalonique», lequel, promettait SYRIZA, serait le programme guidant ses nouveaux élus.
Toutefois, avant d’avoir été élu et immédiatement après, les dirigeants de SYRIZA ont pris trois décisions fondamentales empêchant toute modification profonde. En effet, ces décisions ont établi un parcours réactionnaire.
En premier lieu, SYRIZA a accepté la dette extérieure de plus de 350 milliards de dollars comme légitime, bien qu’elle ait été approuvée par les kleptocrates du gouvernement précédent, des banques corrompues et des intérêts commerciaux, immobiliers et financiers. Pratiquement aucune partie de cette dette n’a été utilisée pour financer des activités productives ou des services cruciaux qui renforceraient l’économie et la future capacité de la Grèce à rembourser les prêts.
Des centaines de milliards d’euros ont été planqués dans des comptes bancaires et des biens immobiliers à l’étranger ou investis dans des actions et des obligations à l’étranger. Après avoir d’abord affirmé la «légitimité» de la dette illicite, SYRIZA a ensuite déclaré sa «volonté» de payer cette dette. La «troïka» a immédiatement compris que le nouveau gouvernement SYRIZA serait un otage volontaire se soumettant à plus de coercition, de chantage et de paiements de la dette.
Deuxièmement, en lien avec ce qui précède, SYRIZA a déclaré sa détermination à demeurer au sein de l’Union européenne et de la zone euro, renonçant ainsi à sa souveraineté et à sa capacité d’élaborer une politique indépendante. Le parti a exprimé sa volonté de se soumettre aux exigences de la troïka. Une fois sous l’emprise de celle-ci, la seule politique de SYRIZA consisterait à «négocier», «renégocier» et faire de nouvelles concessions aux banques étrangères de l’UE dans un processus totalement unilatéral. La soumission rapide de SYRIZA à la troïka était la deuxième trahison stratégique de son programme électoral, mais pas la dernière.
Une fois que SYRIZA eut démontré à la troïka sa volonté de trahir son programme populaire, cette dernière s’est montrée plus exigeante et plus intransigeante. Bruxelles a considéré la rhétorique gauchiste de SYRIZA et ses gestes théâtraux radicaux comme de la poudre aux yeux de l’électorat grec. Les banquiers européens savaient que lorsqu’il serait temps de négocier de nouveaux accords de prêt, les dirigeants de SYRIZA capituleraient. Pendant ce temps, la gauche euro-étasunienne a complètement avalé la rhétorique radicale de SYRIZA sans regarder ses pratiques.
Troisièmement, dès son entrée en fonction, SYRIZA a négocié une coalition avec ANEL (Grecs indépendants), un parti d’extrême-droite, pro-OTAN, xénophobe et anti-immigration, garantissant que la Grèce continuerait à soutenir les politiques militaires de l’OTAN au Moyen-Orient, la campagne brutale de l’Ukraine et Israël contre la Palestine.
Quatrièmement, la majeure partie du Cabinet nommée par le premier ministre Tsipras n’avait aucune expérience dans la lutte des classes. Pire encore, la plupart étaient des universitaires et d’anciens conseillers du PASOK, sans aucune capacité ou volonté de rompre avec les diktats de la troïka. Leur «pratique» académique était constituée en grande partie de «combats» théoriques mal adaptés à de réelles confrontations avec des puissances impériales agressives.
De l’égratignure à la gangrène
En capitulant devant l’UE dès le début, en acceptant, entre autres, de payer la dette illégitime, en s’alliant à l’extrême droite et en se soumettant aux diktats de la troïka, la table était mise pour que SYRIZA trahisse toutes ses promesses et alourdisse le fardeau économique de ses partisans. Les pires trahisons comprennent:
1. ne pas avoir rétabli le paiement des pensions;
2. ne pas avoir réinstauré le salaire minimum;
3. ne pas avoir annulé les privatisations;
4. ne pas avoir mis fin aux programmes d’austérité;
5. ne pas avoir augmenté les fonds pour l’éducation, la santé, le logement et le développement local.
La troïka et ses publicistes de la presse financière exigent que SYRIZA fasse davantage de compression dans le régime de retraite grec, appauvrissant ainsi plus de 1,5 million de travailleurs retraités. Contrairement aux «exemples» bidon des médias sur les pensions généreuses dont jouissent moins de 5% des retraités, les Grecs ont subi les plus importantes réductions de fonds de retraite en Europe au cours du dernier siècle. La troïka a réduit les pensions grecques huit fois au cours des quatre dernières années seulement. La grande majorité des pensions ont été réduites de près de 50% depuis 2010. La pension moyenne est de 700€ par mois, mais 45% des retraités grecs reçoivent moins de 665€ par mois, un revenu se situant sous le seuil de pauvreté. Toutefois, la troïka exige des réductions encore plus importantes.
Celles-ci comprennent la fin des subventions budgétaires pour les retraités vivant dans l’extrême pauvreté, une augmentation de l’âge de la retraite à 67 ans, l’abolition des dispositions des plans de retraite liées aux travaux dangereux et favorisant les mères au travail. Les mesures régressives antérieures, imposées par la Troïka et mises en œuvre par le régime de coalition d’extrême droite précédent, ont sérieusement épuisé la caisse de retraite grecque. En 2012, le programme de «restructuration de la dette» de la troïka a mené à la perte de 25 milliards d’euros en réserves détenues par le gouvernement grec dans des obligations gouvernementales.
Les politiques d’austérité de la troïka ont veillé à ce que les réserves de la caisse de retraite ne soient pas renouvelées. Les contributions ont chuté lorsque le chômage a grimpé à près de 30% (Financial Times, 5.6.15, p4). Malgré l’assaut frontal de la troïka sur le régime de retraite grec, «l’équipe économique» de SYRIZA a exprimé sa volonté d’augmenter l’âge de la retraite, de réduire les pensions de 5% et de négocier pour trahir à nouveau les retraités qui font face à la misère. SYRIZA a non seulement manqué à sa promesse de campagne consistant à annuler les politiques régressives précédentes, mais s’est aussi engagé dans ses propres traîtrises «pragmatiques» avec la troïka.
Pire encore, SYRIZA a intensifié les politiques de ses prédécesseurs réactionnaires. SYRIZA:
1. a promis de geler les privatisations, mais le parti s’engage maintenant à les accroître de 3,2 milliards d’euros et de privatiser d’autres secteurs publics;
2. a accepté de transférer des ressources publiques limitées à l’armée, dont un investissement de 500 millions d’euros pour mettre à jour l’Armée de l’Air grecque;
3. a pillé la caisse nationale de retraite et les trésoreries municipales pour plus d’un milliard d’euros afin de payer la dette à la troïka;
4. a réduit les investissements publics pour la création d’emplois dans des projets d’infrastructure afin de respecter les délais de la troïka;
5. a accepté un excédent budgétaire de 0,6% au moment où la Grèce a un déficit de 0,7% cette année, ce qui signifie davantage de réductions plus tard cette année;
6. a promis de réduire la TVA sur les éléments essentiels comme la nourriture, mais accepte aujourd’hui un taux de taxation de 23%.
La politique étrangère de SYRIZA imite celle de ses prédécesseurs. Le ministre de la Défense de SYRIZA, Panos Kammènos, issu de l’extrême droite, était un fervent partisan des sanctions étasuniennes et européennes contre la Russie. Malgré la vague habituelle de fausse «dissidence» face aux politiques de l’OTAN, SYRIZA a totalement capitulé par la suite, afin de maintenir une bonne réputation au sein de l’OTAN. Le régime de SYRIZA a permis à tous les kleptocrates et fraudeurs fiscaux bien connus de conserver leur richesse illicite et d’augmenter leurs avoirs à l’étranger grâce au transfert massif de leurs «économies » à l’extérieur du pays. À la fin mai 2015, le Premier ministre et le ministre des Finances, Tsipras Varoufákis, ont vidé le trésor public pour effectuer des paiements sur la dette, augmentant ainsi les perspectives que les retraités et les travailleurs du secteur public ne reçoivent pas leurs prestations. Après avoir vidé le Trésor grec, SYRIZA va maintenant imposer la «solution de la troïka» à la masse grecque appauvrie: ou vous acceptez un nouveau plan d’«austérité», réduisant les pensions, augmentant l’âge de la retraite, éliminant les lois du travail protégeant la sécurité d’emploi et les droits de négociation des travailleurs ou les caisses de l’État seront vides, vous n’aurez pas de pensions, le chômage augmentera et la crise économique s’aggravera. SYRIZA a délibérément vidé le trésor public, pillé les fonds de pension et les fonds municipaux pour faire du chantage à la population et la pousser à accepter comme un «fait accompli» les politiques régressives de banquiers intransigeants de l’UE, les soi-disant «programmes d’austérité».
Dès le tout début, SYRIZA s’est plié aux diktats de la troïka, même lorsqu’il simulait leur «résistance de principe». Ils ont d’abord menti à l’opinion publique grecque, qualifiant la troïka de «partenaires internationaux». Ensuite, ils ont menti à nouveau en qualifiant le mémorandum de la troïka pour une plus grande austérité de «document de négociation». Les tromperies de SYRIZA étaient destinées à dissimuler le fait qu’il maintenait le «cadre» très impopulaire imposé par le précédent régime discrédité de la droite dure.
Alors qu’il pillait les ressources du pays pour payer les banquiers, SYRIZA s’est davantage soumis aux puissances étrangères. Son ministre de la Défense a offert de nouvelles bases militaires pour l’OTAN, dont une base aérienne-maritime sur l’île grecque de Karpathos. Le parti a accru l’appui politique et militaire de la Grèce à l’intervention militaire des États-Unis et de l’UE au Moyen-Orient, ainsi que son soutien aux «terroriste modérés», invoquant le prétexte ridicule de «protéger les chrétiens». SYRIZA, s’attirant les bonnes grâces des sionistes européens et étasuniens, a renforcé ses liens avec Israël, évoquant une «alliance stratégique» avec l’État terroriste pratiquant l’apartheid. Dès les premiers jours de son mandat, Kammènos, le ministre de la Défense de la droite dure, a proposé la création d’un «espace de défense commun» incluant Chypre et Israël, appuyant ainsi le blocus aérien et maritime de Gaza par l’État hébreu.
Conclusion
La décision politique de SYRIZA «d’intégrer» à tout prix l’UE et la zone euro, signale que la Grèce continuera d’être un État vassal, trahissant son programme et adoptant des politiques profondément réactionnaires, tout en claironnant sa fausse rhétorique gauchiste et en feignant de «résister» à la troïka. Bien que SYRIZA ait pillé la caisse de retraite nationale et les trésoreries locales, de nombreux gauchistes égarés en Europe et aux États-Unis continuent d’accepter et de rationaliser les décisions du parti qu’ils choisissent de qualifier de «compromis réalistes et pragmatiques».
SYRIZA aurait pu confisquer et utiliser 32 milliards de dollars d’actifs immobiliers détenus par les Forces armées grecques afin de mettre en œuvre un plan d’investissement et de développement différent, soit louer ces propriétés à des ports maritimes commerciaux, des aéroports et des installations touristiques.
SYRIZA a enfoncé la Grèce encore plus profondément dans la hiérarchie dominée par la finance allemande en abandonnant son pouvoir souverain d’imposer un moratoire sur la dette, de quitter la zone euro, gérer les ressources financières, rétablir une monnaie nationale, d’imposer des contrôles de capitaux, de confisquer des milliards d’euros dans les comptes illicites à l’étranger, mobiliser des fonds locaux pour financer la reprise économique et réactiver le secteur public et privé. À plusieurs reprises, le faux «secteur gauche» au sein de SYRIZA a formulé d’impuissantes «objections», pendant que la mascarade Tsipras -Varoufákis procédait à la capitulation ultime.
En fin de compte, SYRIZA a aggravé la pauvreté et le chômage, augmenté le contrôle étranger sur l’économie, érodé davantage le secteur public, facilité le licenciement des travailleurs et réduit les indemnités de départ, tout en augmentant le rôle de l’armée grecque en resserrant ses liens avec l’OTAN et Israël.
Autre fait tout aussi important, SYRIZA a totalement vidé la phraséologie gauchiste de toute signification cognitive: pour ses membres, la souveraineté nationale se traduit par la vassalité aux puissances étrangères, et l’anti-austérité consiste à capituler de façon pragmatique devant une nouvelle forme d’austérité. Lorsque l’accord Tsipras-troïka sera finalement signé et que l’opinion publique grecque prendra conscience des ravages que fera l’austérité dans les prochaines décennies, nous espérons que les trahisons susciteront une répulsion massive. Peut-être que SYRIZA se divisera et que la «gauche» abandonnera enfin ses postes ministériels tranquilles pour aller rejoindre les millions de mécontents afin de former un autre parti.
James Petras
——————————————————
[Original: SYRIZA: Plunder, Pillage and Prostration: How the ‘Hard Left’ Embraces the Policies of the Hard Right, publié le 15 juin 2015.]
[Traduction: Julie Lévesque pour Mondialisation.ca]
J’aimeJ’aime
Phoenix
Juin 29, 2015 @ 19:42
AU BOUT D’UN MOMENT QUELQU’UN DOIT DIRE « NON ».
ET CE RÔLE NOUS EST TOMBÉ DESSUS, NOUS LA PETITE GRÈCE !
(Yanis Varoufakis, le Ministre des Finances de la Grèce, Professeur d’Economie et des Finances d’Oxoford, héros de ce bras de fer entre David et Goliath, ou la Grèce, petit Pays d’Europe, mais grand de par son illustre Histoire, ainsi que vrai berceau de la démocratie, depuis l’Antiquité, contre les Banksters Criminels Usuriers, des mafieux Patentés, dont l’Histoire ne date pas plus de 270 ans…)
https://gm1.ggpht.com/rXitPqJ7JoZM5BLKXXz7wKIHsTZ32mWOo9mPsOycXeU8x6awlGC2H7cpFD0TXsSNsNfxClxon_TIumyS6mpUVvfe58VGGS-90fmX3DFA2CqS2xmPlH3bpIyoNW3Yqm6RB17jG46oJ1Qf59e4n4KRNb2uViqFRyptNQBYLIbAdTRIXFeG1WSO5fyzWInoyWpNYyILEREtX3PWRNOA61x2Ad9Gm8fsZ0L3G91uWcZaiz__THx4B9jMFtG6j3VlzhB2rbr8iSyvzTDumP62Yv1qEToNe_9xl_jBXVBVVmN8gKYUwasah1vqTI75kQDaceFZMawRZAFx6bLtzbtAqjoMitXNwZCuPVkVVRhWGzq8r23sfbHJ2xXcUZa4fb6LmuY6vswZl6ThgVMBno-LuIuY_Gmol73mcBsyCeYekXwUyX_ITnZ47NKc84M6L5-4Kk9UhstyNXtqkfEbnHsio7-LaDbVs9Yh6khRlSJ_TC5c14jGSoVeyNNNlEgnUgdxOwyOhO6g31O3xoczQwYqZ8WW0L2FsQw1Ccxdtzm2A0rHuC94TVaQeFvjOkEbgFSCKA03bmemRaaxBpyArOuDZ7lcTlQtnAiKeqs1MmUL=w1335-h492-l75-ft
LAGARDE ET TOUS LES BANKSTERS MONDIAUX, DONT CEUX DE L’UE CONTRE LA GRÈCE, QUI TRAVAILLE AVEC LES BANQUES CONTRE LA GRÈCE, LES PAYS SOUVERAINS ET CONTRE LES PEUPLES
Ce « gotha » dont les citoyens ont toutes les raisons de se méfier
Ils sont simplement prévoyants les responsables du Gouvernement Grec, non contre le Peuple qui retirerait de maigres économies, qui ne sont pas volées par ce gouvernement, mais contre la répétiSION de ce que les Banksters de l’ue ou de l’illégal et illégitime « Euro-Groupe », une nébuleuse au sein de l’ue, responsable comme OrganisaSION IntrenaSIONale de tous les actes de toutes les organisaSION-s en son sein, dont le dit « Eurogroupe » principal nommé des Banksters InternaSIONaux dans les pourparlers de la Grèce, même si c’est une OrganisaSIOn illégale et illégitime au sein de l’UE !
Les Grec ne veulent pas d’un Rapt Bancire sur leurs avoir et ceux de leurs citoyens, en Bis Repetita, comme les Banksters de l’UE l’ont fait avec Chypre en dit « défaut de paiement », où ces criminels mafieux de haut vol, dits ue et autres acronymes de la « BCE », « Eurogroupe » et Consort, se sont servis en volant tous les avoirs en milliards d’€ en Banque de l’Etat de Chypre et du Peuple Chypriote Grec et des Russes surtout, qui aidaient son économie, en déglingue, de par la dette des assassins Banksters lui imposée…
Les Grecs en ont tiré une leçon et ont été prévoyants, car Yannis Varoufakis, le Ministre des Finances de Grèce, Professeur nommé d’économie à l’Université d’Oxford n’est pas né de la dernière pluie non plus et sa dernière déclaration aux Banksters de l’ue la nuit du samedi au dimanche dans les « pourparlers » mieux dit Diktat des terroristes mafieux et Banksters de la dite ue est pleine de sens : « AU BOUT D’UN MOMENT QUELQU’UN DOIT DIRE « NON ».
ET CE RÔLE NOUS EST TOMBÉ DESSUS, NOUS LA PETITE GRÈCE ! »
Voici une très bonne analyse globale du « Grand Soir » sur la Grèce, la dette et les Banksters Usuriers et fonctionnaires InternaSION-aux,Traitres à leurs Pays et peuples, vendus au Nazi-Sionisme InternaSIONal du néo-libéralisme Colonialiste et esclavagiste décomplexé du pillage à tout va des Pays souverains et Peuples, mis en soumiSSION, Dictature et Tyrannie par USISRAËL & C°, une Mafia Criminelle Mondiale, agissant en toute impunité dépassant puissance 10 toutes les Mafias du monde, la Cosa Nostra Italienne et Américano-Italienne passant là pour des enfants de coeur en comparaison à ces prédateurs et criminels mondiaux des Banksters et criminels Nazi-Sionistes qui nous gouvernent par spoliation du Pouvoir et pillage de nos richesses, ressources et économies, de par la Dictature et la Tyrannie !
LAGARDE QUI TRAVAILLE AVEC LES BANQUES CONTRE LES PEUPLES
Ce « gotha » dont les citoyens ont toutes les raisons de se méfier
Daniel VANHOVE
http://amisdupg.blogspot.be/
Phoenix
19h41
J’aimeJ’aime
Gabriel
Juin 29, 2015 @ 22:05
Cette manie de mettre » sion » partout commence a être un peu lourde.
J’aimeJ’aime
Phoenix
Juin 30, 2015 @ 13:03
@Gabriel,
Bonjour,
Cela dépend cher collègue de la balance qu’on utilise aussi…
Mais in extenso :
Je m’exprime librement…
Tu t’exprimes librement…
Il/Elle s’exprime librement…
Nous nous exprimons librement…
Vous vous exprimez librement…
Ils/Elles s’expriment librement…
Bien à vous et aux autres Compagnons de la ré-information
Phoenix
13h03
J’aimeJ’aime
sahb
Juin 30, 2015 @ 21:23
c’est une façon de faire des rimes quand on a ni talent ni d’imagination …
après tu mets « librement » partout ça fait des rimes (riches) en « brement » !
après tu t’inscris au club des poètes ! et t’es cotencotent !
J’aimeJ’aime
Phoenix
Juil 1, 2015 @ 10:23
PAR LA TROMPERIE NOUS GAGNERONS LES GUERRES !
C’est la devise des Sionistes et du MOSSAD et des trolls en MiSSION commandée et payée de terroristes mercenaires sayanim du Web du « JIDF » (« Jew Internet Defense Force » de Tel Aviv, qui travaille avec les Sayanim (agents en hébreux, dont le singulier est « sayan ») Sionistes Juifs du monde entier, car ils parlent les langues des pays où ils représentent la 5 Colonne de Traîtres Nationaux) pour semer la zizanie, créer le polémique en utilisant l’insulte et la calomnie pour essayer de flinguer toute opposition à USISRAËL, en lieu et place d’argumentaires, comme armes contre tout contributeur de la ré-info, osant la vérité avérée, vérifié et vérifiable, sur USISRAËL & C° et empêcher le flux normal de la ré-info et de vérités à dire sur les leurs de Nazi-Sionistes & C° Traîtres Nationaux de tous bords…
Mais depuis le temps on connait la chanson, mais dommage que beaucoup de nos plus que bons collègues et Compagnons de la ré-info pour ces raisons d’empoisonnement du site par les trolls de SION, qui ici pullulent et agissent en toute liberté, faisant un Cirque, une Arène et un Ring du site et non un lieu paisible de ré-info, comme il le fut auparavant, sont partis ailleurs…, dont notre Primus…
La @Sahbinette comme d’hab regarde par le trou de la serrure et « s’invite » comme la bonne concierge qui se respecte là où personne ne l’a sonnée et dans ce qui ne le concerne pas…
L’éducation cela s’apprend dans la petite enfance…
C’est une manie de tes Maîtres on le sait…le viol des autres…et de foutre ton grain de sel partout où personne ne te l’a demandé, ni sonné…
Le foutage de merde sur ce site, semer la discorde, la polémique et la zizanie, par insultes et autres spécialité des tiens, on connait bien, mes nombreux collègues l’ayant de ta part, sous différents pseudos et AKA l’ont subi, en lieu et place de contribution positive dans la ré-info (ce n’est bien sur pas le but de ta présence et miSSION de troll du web ici de ré-informer)…
Ce site te doit en grande partie sa déglingue et la fuite de bon nombre de nos bons et anciens contributeurs, ce qui est probablement le but de ta et vos MiSSION-s de trolls, malgré tous tes efforts pour nous convaincre du contraire…
Pov’chose, imbue de son insignifiante personne, le @Cuny Bernard, qui a « emprunté » le nom d’un mort, dixit @ Ben-« Gourion » sur lui ou toi en Aka, pas si maboul que ça in fine le @ben-Gourion sur @Bernard Cuny, ton autre émanation, en décrépitude et toi sa créaSION en faux « djeuns » ça ne passe pas…
Comme je sais que tu ne crois en rien, mais une introspection sur ta misère morale te ferrait le plus grand bien, surtout concernant ton apologie du Crime contre l’Humanité par les Criminels Bolcheviques Sionistes en Russie contre le Peuple Russe génocidé de dizaines de millions de victimes dans les fameuses purges Sionistes Bolcheviques de mes 2 en URSS, car tout chez eux et chez toi in extenso est dans la tromperie sur la marchandise, les intentions et actions, par tes idoles SIONISTES JUIVES et non RUSSES du Putsch en due et bonne forme d’octobre 1917 en Russie Chrétienne Orthodoxe, ne t’en déplaise et pas du Sioniste Juif Philousophe Marx et de son pote philousophe Engels, de Moujiks ou Paysans pieux, illettrés en majorité et fidèles au Tsar de Russie Nikolaï II Romanov et non de « Prolétaires » de Dictature du Prolétariat d’Allemagne, pays Capitaliste Industrialisé avec un Prolétariat syndiqué et éduqué socialement, comprenant les structures de gouvernance capitaliste comme système…
Alors du vent le troll, qui est ici venu parachuté de nulle part et se donne des droits que personne ici ne lui a conféré…
Mais chez vous, dixit les tiens c’est génétique et éducatif depuis le berceau je pense, où la haine de l’autre vous est inoculée comme un virus dès le biberon…
Quant à mon talent perso et compétences, j’ai déjà fait mon beurre et ce n’est pas toi que j’ai attendu pour quoi que ce soit et en donneur de leçon, avec une « écriture » qui est à ton image, pas grand chose à être inspiré par quoi que ce soit de la petite chose que tu es, mais bon au plus con qu’on est au plus on ose, toute honte bue…
Mais bon, je sais que tu souffres de toutes tes tares et manques frustrants, la misogynie à max en faisant aussi partie, mais que veux tu, aucune femme ne peut s’intéresser à la chose hideuse que tu représentes…, malgré toutes tes esbroufes et essais…
Tu t’es en consolaSION retourné « ailleurs » chez tes pairs et semblables, ça aussi je le sais…
Mais bon en ce monde, vous avez les « autres » et différents des hétéro, tous les droits, dont celui de vous marier ensemble, en lot de consolaSION…
Shalom le troll, concierge et faussaire et bien sur n’oublie pas de t’encenser pour tes salmigondis par tromperie de TOR et également de flinguer par tromperie et TOR et les fausses étoiles jaunes tous ceux qui oseraient te faire de l’ombre, dixit tout le monde, ou TOUS, car exercice trop facile pour la majorité des contributeurs, par rapport à ton « talent » perso et compétences bas de gamme, ou des bas fonds des canalisations…
Phoenix
10h23
J’aimeJ’aime
Phoenix
Juil 1, 2015 @ 14:26
Ah oui j’oubliais le troll @Sahbinette encore de te dire : Laisse le Peuple Grec tranquille, ainsi que son Eglise Chrétienne Orthodoxe et se prêtres tranquilles, au même titre que celle de Russie et d’ailleurs !
L’Orthodoxie Chrétienne chez les Peuples qui ont cette Foi et religion, est pour eux, pour moi aussi, car tu sais parfaitement que je le suis Chrétienne Orthodoxe, est aussi en sus du fait religieux, chez nous une Philosophie de vie et une Culture, ainsi que représente nos racines profondes Chrétiennes, qui sont une attitude aussi envers le monde et son prochain !
Nous sommes très attachés, autant que nous sommes à nos valeurs et à notre Eglise, qui représnete toutes ces valeurs et tu ne trouveras pas un seul Grec ou Russe qui dira autre chose que moi…
Et les Propriétés de l’Eglise Orthodoxe, lui appartiennet de Droit, car ça appartient à son Peuple aussi…
Mais un crétin, Staliniste, néo-Bolchevique qui fait l’apologie des sanguinaires génocidaires de Russie, du Putsch Bolchevique Sionistes, des Lénine, Béria Lavrenti et Nokolas Jéjov, qui ont massacré 36 millions de Russes, bien sur que il ne peut qu’être aux côtés des sanguinaires et pas de l’Eglise Orthodoxe Chrétienne !
Et ton Bolchevisme sanguinaire Sioniste tu peux te le foutre où je pense, pov’chose, qui se rêve d’être quelqu’un au travers du sang des innocents…
Beeeeeeeerk, j’ai toujours pensé que ceux des « hommes » qui abominent les les femmes sont des psychopathes cachés et attendent le moment de pouvoir exprimer leurs morbides pulsions…
C’est à l’image de tes potes Sionistes tout ça…, malgré ta tromperie éternelle pour essayer minablement de cacher ce côté noir obscur de ta vraie nature, qui suinte là haine à tout va…
Lydia, notre collègue en connait un bout de ce côté pervers et haineux de ta misérable et insignifiante personne, qui est envieuse ici de quiconque qui est capable d’écrire et de contribuer positivement…
Qui est-tu in fine ici pov’chose de PD qui ne s’assume pas comme tel et non personne ?!
J’aimeJ’aime
Turner
Juin 29, 2015 @ 17:34
Banques fermées jusqu’à samedi
J’aimeJ’aime
sahb
Juin 29, 2015 @ 12:27
Je n’arrive pas à croire que tout ceci ne soit pas QUE DU CIRQUE !
Tsipras est un vieux routard de la politique ! de plus il est associé au parti de droite ANEL (car SYRISA n’avait pas la majorité absolue) et ils ont fait toutes les concessions à l’oligarchie depuis leur installation au pourvoir ! ils n’ont supprimé AUCUNE des mesures CRIMINELLES prises de « »plans d’aide » » en « »plan d’aide » » qui font toujours CREVER la population et ENRICHISSENT les banques « »aideuses » » sans oublier les richards et l’église du pays (le bataillon des Kollabos indispensable à toute agression, toute invasion d’un pays ) !!!
J’aimeJ’aime
sahb
Juin 29, 2015 @ 12:58
J’aimeJ’aime
allouche
Juin 29, 2015 @ 10:15
ÉTUDIEZ LE CURSUS DE DSK ET VOUS SAUREZ TOUT SUR LES FINANCIERS , FMI OU BCE ! LA LIBYE A ÉTÉ RASÉE POUR DES RAISONS SIMILAIRES A LA GRECE , REFUS D’OBTEMPÉRER .
J’aimeJ’aime
Rensk
Juin 29, 2015 @ 9:11
Jacques Sapir
Le coup de force de l’Eurogroupe et la Tyrannie européenne
La réaction de l’Eurogroupe, qui se réunissait ce samedi à Bruxelles, a en effet consisté en un acte qui conjugue l’illégalité la plus criante avec la volonté d’imposer ses vues à un Etat souverain. En décidant de tenir une réunion en l’absence d’un représentant de l’Etat grec l’Eurogroupe vient de décider d’exclure de fait la Grèce de l’Euro. Ceci constitue à l’évidence un abus de pouvoir. Et il faut ici rappeler plusieurs points qui ne sont pas sans conséquences tant juridiquement que politiquement.
Aucune procédure permettant d’exclure un pays de l’Union Economique et Monétaire (non réel de la « zone Euro ») n’existe actuellement. S’il peut y avoir une séparation, elle ne peut avoir lieu que d’un commun accord et à l’amiable.
L’Eurogroupe n’a pas d’existence légale. Ce n’est qu’un « club » qui opère sous couvert de la Commission Européenne et du Conseil européen. Cela signifie que si l’Eurogroupe a commis un acte illégal – et il semble bien qu’il en soit ainsi – la responsabilité en incombe à ces deux institutions. Le gouvernement grec serait donc fondé d’attaquer la Commission et le Conseil à la fois devant la Cour Européenne de Justice mais aussi devant la Cour Internationale siégeant à La Haye. En effet, l’Union Européenne est à la base une organisation internationale. On le constate par exemple dans le statut, et les exemptions fiscales, des fonctionnaires européens. Or, la règle dans toute organisation internationale est celle de l’unanimité. Le traité de Lisbonne a bien prévu des mécanismes de majorité qualifiée, mais ces mécanismes ne s’appliquent pas à l’Euro ni aux questions des relations fondamentales entre les Etats.
Le coup de force, car il faut l’appeler par son nom, que vient de faire l’Eurogroupe ne concerne pas seulement la Grèce. D’autres pays membres de l’Union Européenne, et l’on pense au Royaume-Uni ou à l’Autriche, pourraient eux-aussi attaquer devant la justice tant européenne qu’internationale la décision de fait prise par l’Eurogroupe. En effet, l’Union Européenne repose sur des règles de droit qui s’appliquent à tous. Toute décision de violer ces règles contre un pays particulier constitue une menace pour l’ensemble des membres de l’Union Européenne.
Il faut donc ici être clair. La décision prise par l’Eurogroupe pourrait bien signifier, à terme, la mort de l’Union Européenne. Soit les dirigeants européens, mesurant l’abus de pouvoir qui vient d’être commis, se décident à l’annuler soit, s’ils persévèrent dans cette direction ils doivent s’attendre à une insurrection des peuples mais aussi des gouvernants de certains Etats contre l’Union Européenne. On voit ainsi mal comment des Etats qui ont juste recouvré leur souveraineté, comme la Hongrie, la République Tchèque ou la Slovaquie, vont accepter de telles pratiques.
Il est alors symptomatique que la crise induite par un pays ne représentant pas plus de 2% du PIB de l’UE ait pris cette tournure. En fait, cela révèle au grand jour la nature fondamentalement antidémocratique des institutions de l’UE et le fait que cette dernière soit en train de se constituer en Tyrannie.
J’aimeJ’aime
Phoenix
Juin 29, 2015 @ 14:06
Merci @Rensk pour ce texte et éclairage juridique…
En tant que Juriste Suisse que vous êtes, j’ai cru depuis InfoSyrie le comprendre, vous devez mieux que quiconque comprendre ces mécanismes de Juridiction Internationale bafouée par des autoproclamés « Euro-Groupe », au sein de l’UE, sans aucune légalité Juridique, puisque l’UE est aussi une Organisation Internationale, donc responsable des décisions prises en son sein, même et surtout par des groupes mafieux ou Banksters mieux dit, en son sein contre des Pays membres de l’UE !
Espérons à un dénouement Juridique, si la Grèce entame une procédure contre l’UE et unj Jugement qui fera Jurisprudence pour les autres Pays de l’UE, qui ont mis leur souveraineté en cadeau pour du vent, auprès d’une vraie OrganisaSION mafieuse de Banksters et Pieds nickelés criminels non élue, qui sévit contre les Pays membres pas soumis ou à son gout de vrais Dictature et Tyrans, car pas d’autres mots pour les qualifier et cette fameuse dette, ainsi que l’Usure pratiquée par les dits créanciers Internationaux, il faudrait la décortiquer un peu et voir ses tenants et aboutissants…
Car étonnement, la Grèce a commencé à s’endetter en 2010, après une audit bidonnée par Goldman Sachs, quand en 2009 des énormes quantités de Gaz en Méditerranée Orientale, ont été découverts par satellites US, dont en Grèce, Syrie, Turquie, Chypre et Liban et dans ce bout de territoire qui appartient à la Palestine, de la bande à Gaza, qui appartient au Peuple Palestinien, mais bloqué comme un Camp de ConcentraSION par l’Etat d’Israël (non pour des raisons de sécurité, mais par mercantilisme et pillage des ressources en énergie appartenant au Peuple Palestinien et déjà en pétrole exploité par Zion Oil et une Joint Venture Israélo Égyptienne jusqu’en 2012 et ce pendant 30 ans à 50%/50%…, sans avoir rétrocédé aux Palestiniens 1 seul $, malgré que ces richesses se trouvent sur son territoire, dixit eaux territoriales…
Les Sherpas ou ces Messieurs/Dames Bons Offices des Multinationales de Pétrole et Gaz, dixit d’énergie USISRAËL, dont Madame Killary Clinton Perso est la représentante de Noble Energy et a directement entrepris des pourparlesr avec la Grèce, pour leur « racheter »=voler, la dites « dette » (Usurière et fictuve, où pas un seul Grec n’en a vu la couleur, hormis le Complexe Militaire Industriel Américain, qui a pour cet argent « prêté » par les mafieux criminels Banksters refourgué des armes à la Grèce pour se « défendre » contre une potentielle « agression » de la Turquie, pourtant les 2 membres de l’Otan…
Donc, le but de la dette imposée et concoctée pour la Grèce était afin de l’éttouffer économiquement par les assassins financiers, comme dit par Perkins dans son livre : »Je suis un assassin financier »;, pour avoir pour pea-nuts ou cacahuètes de la Grèce et de Chypre aussi endetté par les Banksters pour les mêmes raisons de pillage de leurs richesses et ressources et d’avoir une concession totale de la Grèce sur son Gaz en énormes quantités, « payés » en monnaie de singe ou pure escroquerie sur le « rachat » de cette dite « dette », exprès fabriquée par ces mafieux Internationaux de haut vol et en col blanc, avec blanc seing de piller qui ils ont ciblé pour les déposséder des leurs richesses et ressources…
La guerre faite à la Syrie, qui aussi regorge d’énormes quantités de Gaz en Méditerranée Orientale a été faite par les Banksters criminels et mafieux d’USISRAËL pour les même raisons que celle par la dette à la Grèce et à Chypre…
Étonnement le ballet des sherpas de Compagnies d’énergie USISRAËL a commencé vers ces pays convoités pour leurs richesses en sous sol maritime juste après qu’ils aient entubé ces pays par les assassins de la dette !
Hillary Rodhamsky Clkinton est la représentante de « Noble Energy » désireuse de s’emparer du Gaz de Grèce, Chypre, Syrie et Liban…
Elle est venue pour ça à plusieurs reprises en Grèce et au Moyen Orient !
Ces monstres et criminels contre l’Humanité, à son image, ont toutes les casquettes, économiques, financières et Politiques et mangent à tous les râteliers !
Bien à vous
Phoenix
14h06
J’aimeJ’aime
sahb
Juin 28, 2015 @ 23:20
Proposition du groupe parlementaire du KKE (Parti Communiste Grec) concernant le contenu du référendum
27 juin, 2015
Le gouvernement propose au peuple grec un référendum avec comme question l’approbation ou de rejet de la proposition d’accord de l’Union européenne, du Fond monétaire international et de la Banque centrale européenne.
Le groupe parlementaire du KKE estime que les questions qui doivent être soumises au peuple grec sont les suivantes:
1. NON aux propositions d’accord de l’UE-FMI-BCE, et NON à celles du gouvernement grec
2. Rupture avec l’Union européenne – Suppression de memoranda et de tous leurs décrets d’application antipopulaires
Athènes 27 Juin, 2015
Le Groupe parlementaire du KKE
KOUTSOUMBAS Dimitrios
PAPARIGA Alexandra
VARDALIS Sakis
J’aimeJ’aime
sahb
Juin 28, 2015 @ 23:19
Contre le Maïdan grec par kseeath.
Permettez-nous une petite intervention: Nous espérons que l’ancien Premier ministre et chef de l’opposition, Antonis Samaras, qui est intervenu hier à la Vouli (Chambre des députés) ne se référait pas à la guerre, au génocide, au régime fasciste imposé en Ukraine avec l’appui de l’UE, quand il disait «… aujourd’hui il y a des peuples qui angoissent, luttent et livrent des batailles (!) pour entrer dans l’Union européenne.»
Si c’était bien le cas, nous rétorquerons, que dans le passé un peuple frère a été conduit à la guerre civile, ses villages et ses villes bombardés, ses citoyens emprisonnés et tués pour leurs opinions, le fascisme et le nationalisme émergeant comme idéologie officielle et leur économie plongée dans le chaos, précisément pour avancer les desseins de l’UE. Nous lui rappelons également que son gouvernement démocratiquement élu a été renversé par un coup d’état au début de 2014 et que l’UE n’a pas dit mot, comme elle n’a dit un mot pour les 50 antifascistes assassinés à Odessa, comme elle n’a dit mot pour la violation systématique des droits de l’homme par le gouvernement ukrainien actuel qui «bataille», pour entrer dans l’UE. Pour finir, nous notons que si M. Samaras rêve d’un «Maïdan» grec, il ferait bien de réfléchir à nouveau parce que le mouvement antifasciste en Grèce, ayant l’expérience des événements en Ukraine ne permettra pas la mise en place de plans criminels de ce type. L’alliance des néolibéraux/fascistes qui prend une raclée au Donbass aura le même sort partout.
Campagne antifasciste pour l’Ukraine
J’aimeJ’aime
LUDOVICK
Juin 28, 2015 @ 22:35
ARMÉNIE ATTAQUEE
Depuis plus d’une semaine, des manifestants bloquent un carrefour en plein cœur d’Erevan, la capitale de l’Arménie. Les contestataires exigent que le gouvernement annule sa décision d’augmenter les tarifs pour l’électricité, pour la troisième fois en moins de deux ans. Le président arménien a proposé un compromis, tandis que la police a lancé un ultimatum aux manifestants : ils ont jusqu’à ce dimanche soir pour lever le camp.Quelques centaines la nuit, des milliers le soir. Dans une ambiance de fête foraine, les contestataires de ce que les médias arméniens surnomment « Erevan électrique » continuent de manifester à quelques pas du palais présidentiel arménien, a constaté la correspondante de RFI à Erevan, Veronika Dorman. La mobilisation ne semble pas s’essouffler, sept jours après le début de ce mouvement que Moscou dit suivre de près, craignant une nouvelle révolution de couleur à l’image du Maïdan ukrainien.
Un mouvement « citoyen », selon les contestataires
L’unique slogan du mouvement est simple : « Non au pillage ». En cause, la hausse de 16 % du prix de l’électricité à partir du 1er août prochain, annoncée par le gouvernement. Selon les protestataires, le gouvernement a décidé de taxer la population afin de combler un déficit provoqué par la corruption.« Inacceptable », pour Amik Maelian, un designer de 37 ans venu manifester. « Je suis ici à cause de l’injustice et du culot avec lequel cette injustice nous est infligée, vitupère-t-il. Bien sûr que ça fait mal à tous les portefeuilles, mais ce n’est pas non plus la ruine. Mais quand tu vois le nombre de gens qui vivent sous le seuil de pauvreté, officiellement 30%, ça fait de la peine. »Décidés à tenir tête au pouvoir jusqu’à ce qu’ils obtiennent gain de cause, les manifestants insistent sur le caractère exclusivement social de leur revendication. « Je suis très loin de la politique et je ne crois pas à toutes ces manigances. Je n’ai pas envie de participer à ce type de meetings », explique Ashot Sarkissian, agent de casting venu manifester lui aussi. « Ici, il n’y a que des citoyens arméniens, même pas un leader qui donnerait l’ordre d’avancer. Les gens se sont simplement réunis pour manifester leur mécontentement. »
Proposition présidentielle et ultimatum policier
Au dixième jour du mouvement, la contestation reste pacifique et bon enfant, même si les moments de tension avec la police adviennent de plus en plus souvent. Sous la pression de la rue, samedi, après que plus de 10 000 manifestants se soient rassemblés près du palais présidentiel, le président arménien Serge Sarkissian a proposé un premier compromis. Il a promis que l’Etat allait « porter le poids » de la hausse du prix de l’électricité.Cette hausse, réclamée par la société Réseaux d’électricité d’Arménie (ENA), serait rendue nécessaire par la forte dévaluation du dram, la monnaie arménienne. Le président arménien a également précisé dans son intervention à destination des manifestants qu’un audit serait lancé prochainement pour juger de la légitimité de cette hausse et que « si l’audit confirme que la hausse du tarif est justifiée, les consommateurs commenceront à payer en accord avec le nouveau tarif ».La proposition a été rejetée par les milliers de contestataires rassemblés à quelques pas du palais présidentiel. Leurs exigences restent inchangées : ils ne quitteront pas la rue tant que la hausse des prix ne sera pas annulée dans son ensemble. Les coordinateurs du mouvement ont lancé un nouvel appel à manifester, ce dimanche en fin d’après-midi, pour « formuler une réponse collective » au pouvoir et un plan d’action. La police a, de son côté, lancé un ultimatum : si la foule ne s’est pas dispersé d’elle-même en fin de soirée, les forces de l’ordre devront intervenir.
J’aimeJ’aime
sahb
Juin 29, 2015 @ 12:16
EI : La rébellion néo-islamiste du Caucase prête allégeance à Abou Bakr al-Baghdadi
L’ensemble des organisations néo-islamistes rebelles du Caucase – Tchétchénie, Daguestan, Ingouchie et Kabardino-Balkarie – vient de prêter allégeance au Calife Ibrahim – Abou Bakr al-Baghdadi – qui a nommé pour le représenter le cheikh Abou Mohammad al-Qadari, wali du Caucase.
Revue de presse : L’Orient-Le Jour (interview de Nikolay Kozhanov, par Caroline Hayek – 26/6/15)*
Caroline Hayek : Que sait-on de ces jihadistes venus de l’Est ?
Nikolay Kozhanov : Moscou ne dissimule pas le fait que, actuellement, ses préoccupations principales dans la situation de crise au Moyen-Orient sont directement liées à ces ressortissants russophones qui ont rejoint les insurgés en Syrie et en Irak. Pendant les deux dernières années, le nombre de ces personnes a augmenté au fur et à mesure. Si, début 2013, il y avait environ 200 ou 250 combattants russophones en Syrie, en 2015 ce chiffre a drastiquement augmenté. En somme, en 2015, ils seraient environ 1 500 ou 2 000 ressortissants russophones du Caucase du Nord, de Russie, de la communauté tchétchène de Géorgie, de Turquie et de l’UE ayant rejoint des groupes islamistes divers (comme l’organisation État islamique, le Front al-Nosra, Ahrar el-Cham et d’autres) en Irak et en Syrie.
Une autre préoccupation de Moscou est liée cette fois au nombre croissant de combattants étrangers du sud du Caucase et d’Asie centrale postsoviétique qui s’engagent volontairement auprès des jihadistes en Syrie et en Irak. En 2015, il y aurait jusqu’à 500 Ouzbeks, 360 Turkmènes, 100 Kirghizes et 190 Tadjiks en Syrie. Selon le gouvernement, des Kazakhs combattraient également aux côtés des insurgés en Syrie.
Caroline Hayek : Qu’est-ce qui pousse ces étrangers à venir combattre sur le front syrien ou irakien ?
Nikolay Kozhanov : Il y a plusieurs raisons qui poussent des combattants russophones à partir en Syrie et en Irak. Jusqu’à un certain degré, la situation est semblable à celle des pays européens, dont certains ressortissants ont essayé de rejoindre l’EI et d’autres groupes radicaux pour fuir les problèmes d’ordre socioéconomique, politique ou personnel. Ainsi, le conflit civil en Syrie a créé des occasions multiples pour l’accomplissement social permettant à de simples citoyens sans perspectives de devenir « quelqu’un », en devenant membres de haut rang dans un mouvement jihadiste. Quelques combattants rejoignent aussi la lutte en raison de leurs croyances « romantiques » quant à une possibilité de changer le monde, en protégeant les opprimés et en créant une société nouvelle.
Caroline Hayek : Représentent-ils une menace sérieuse pour Moscou ?
Nikolay Kozhanov : Des combattants russes sont bien représentés, tant aux côtés d’al-Nosra (branche syrienne d’el-Qaëda) qu’aux côtés de son rival, l’EI. Ils se sont avérés être très efficaces sur les champs de bataille et ont même formé leurs propres unités. Cependant, les experts russes sont unanimes dans leur croyance que ces russophones ne voient pas la cause de l’EI ou d’al-Nosra comme la leur. Pour eux, cette lutte est juste une étape préparatoire avant leur retour en Russie où ils pourront déclencher leur propre bataille. En 2013, sur certains bâtiments ravagés en zone de guerre, en Syrie, il était gravé « Mort à la Russie » ou « Aujourd’hui la Syrie, demain la Russie ».
En 2014, Abou Omar al-Chichani (le jihadiste géorgien, chef militaire de l’EI) avait déjà menacé de libérer le Caucase. Prétendument, la trace syrienne a été trouvée par les autorités russes lors de leur enquête sur l’attaque terroriste à Grozny en décembre 2014.
Caroline Hayek : Les combattants russophones sont-ils unis ?
Nikolay Kozhanov : Dans un sens, la Syrie et l’Irak sont devenus les terrains d’un regroupement entre les différentes factions extrémistes russophones. Auparavant dispersés et séparés, ils sont progressivement apparus comme un front uni. De plus, ils ont établi des liens avec des organisations terroristes internationales et font désormais ainsi partie intégrante du réseau extrémiste mondial. Il semblerait que ce processus est en train de prendre deux directions. D’une part, les jihadistes russophones créent, voire dans certains cas restaurent, des liens avec des organisations islamistes internationales ainsi qu’avec leurs sponsors, comme le Qatar. D’autre part, ils profitent de cette situation pour établir un front uni en tissant un réseau de nationalités différentes issues de l’ex Union soviétique. Le fait que, selon certains observateurs des droits de l’homme, tous les combattants russophones soient souvent appelés « combattants tchétchènes », sans prendre en compte les différentes nationalités, car ce sont ces derniers qui prédominent, sert en quelque sorte de symbole pour cette nouvelle émergence jihadiste internationale.
Caroline Hayek : Le président tchétchène Ramzan Kadyrov, qui a appelé dans le passé à l’élimination des musulmans radicaux, sert-il d’une certaine manière de rempart contre l’expansion de l’EI ?
Nikolay Kozhanov : Les experts russes aussi bien que les membres du gouvernement n’ont pas de doutes sur le fait que, une fois ces radicaux de retour en Russie ou dans d’autres pays de l’ex-URSS, leurs connexions renforcées, ajoutées à leur expérience sur le terrain, seront utilisées contre les autorités centrales. Ce sera à ce moment que l’expérience des forces de sécurité russes entrées en Tchétchénie dans les années 1990 – 2000 pourra être extrêmement utile. Cependant, je ne dirais pas que Ramzan Kadirov va être le principal rempart russe contre les jihadistes. La responsabilité de se battre contre les jihadistes revient au gouvernement russe dans son ensemble et aux forces de sécurité.
*Nikolay Kozhanov est chercheur associé au Centre Carnegie de Moscou
J’aimeJ’aime
gutknecht
Juin 28, 2015 @ 21:58
Grèce: vague de contagion attendue sur les marchés financiers
https://fr.finance.yahoo.com/actualites/gr-ce-vague-contagion-attendue-180312470.html
LONDRES (Reuters) – Les marchés financiers européens se préparent lundi à une vague de contagion du nouveau blocage du dossier grec, les investisseurs allant devoir prendre en compte l’éventualité d’un « Grexit » à laquelle personne ne croyait vraiment avant le coup de théâtre de vendredi.
Ce jour-là, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a pris tout le monde de court en décidant de soumettre à référendum dimanche prochain, le 5 juillet, les propositions de réformes réclamées par ses créanciers.
Piqués au vif par cette décision, les partenaires européens de la Grèce ont refusé, samedi, de prolonger l’actuel programme de renflouement, qui expire mardi, le jour où le pays, à court de liquidités, est censée rembourser 1,6 milliard d’euros au FMI.
Même si certains responsables continuent de croire qu’un accord reste possible entre les deux parties, Alexis Tsipras a annoncé dimanche dans la soirée un contrôle des capitaux et une fermeture temporaire des établissements bancaires.
La rupture des négociations entre Athènes et ses créanciers a en effet conduit les épargnants à se précipiter sur les distributeurs de billets ce week-end pour retirer leurs avoirs.
Une source financière a de son côté déclaré que la Bourse d’Athènes resterait également fermée lundi.
A suixre
J’aimeJ’aime
LUDOVICK
Juin 28, 2015 @ 22:43
En effet F.Hollande fera une réunion de Crise sur la Grèce demain. C’est à croire l’Attentat d’y a 3 jours est passé inaperçue et vite oublié par le problème de l’éclatement de l’UE si la BCE et ses créanciers arrête de prêter C’est comme refuser de mettre du carburant dans sa voiture qui consomme trop et croire qu’elle roulera après sans .
J’aimeJ’aime
Alios
Juin 28, 2015 @ 21:45
Il y a une petite confusion entre démocratie et libéralisme ! La démocratie est bafouée quand on interdit un référendum, quand c’est l’accès a son argent qui est bloqué c’est le libéralisme qui est bafoué !
J’aimeJ’aime
karl marx
Juin 28, 2015 @ 22:39
bravo , exellente réponse, tout est dit
J’aimeJ’aime
Dcembre
Juin 28, 2015 @ 21:43
La Grèce vaincra…
J’aimeJ’aime
lejournaldepersonne
Juin 28, 2015 @ 21:32
GREXIT
http://www.lejournaldepersonne.com/2015/06/grexit/
« Les tristes ont deux raisons de l’être : ils ignorent ou ils espèrent » – Camus
#Grexit
J’aimeJ’aime
Estelle
Juin 28, 2015 @ 21:30
Prem’s !
J’aimeJ’aime