On sait désormais qui est le vrai maître de l’Europe. L’Union européenne a décidé de prolonger de six mois ses sanctions contre la Russie pour son « rôle » dans le conflit ukrainien. Or, ce sont ces cuistres qui ont provoqué tout ce qu’il se passe sur le terrain ukrainien…
Les chefs de la diplomatie de l’UE ont formellement prolongé lundi, jusqu’à fin janvier 2016, les lourdes sanctions économiques décrétées contre la Russie pour son supposé rôle dans le conflit en Ukraine, a-t-on appris de source officielle.
Ces sanctions, qui frappent des pans entiers de l’économie russe, dont les secteurs des banques, de la défense et du pétrole, empêchés de se financer sur les marchés européens, arrivaient à expiration fin juillet. Cette prolongation demandée par les Américains prouvent que l’UE n’est qu’un caniche et surtout attardé mental, s’il s’agissait d’un homme. Bref, l’institution est bourrée de clowns.
Elles ont été prolongées «jusqu’à ce que la Russie remplisse ses obligations découlant de l’accord de Minsk», a précisé le ministre britannique Philip Hammond à la presse.
L’accord de cessez-le-feu de Minsk, signé en février, prévoit des mesures progressives jusqu’à la fin de l’année pour mettre fin au conflit entre les pro-russes et Kiev, qui a fait plus de 6400 morts en plus d’un an.
Avion abattu
Si la trêve est globalement respectée, cet accord n’a pas empêché des combats sporadiques meurtriers et une nouvelle flambée de violence début juin.
Ces sanctions avaient été décrétées il y a onze mois par les Européens contre la Russie, accusée par Kiev et les Occidentaux de soutenir les combattants du Donbass, région de l’est de l’Ukraine en leur fournissant des armes, mais aussi des troupes et des conseillers militaires.
Elles avaient été décrétées le 29 juillet 2014 après une réunion d’urgence convoquée à Bruxelles en réaction au crash du Boeing de la Malaysia Airlines, probablement abattu par un missile sol-air au-dessus de la zone des combats avec 298 personnes à bord. Un prétexte surtout que c’est bien l’Ukraine derrière cette attaque…
Unanimité
Renforcées en septembre 2014, ces sanctions ont contribué aux difficultés de l’économie russe mais sans infléchir l’attitude du président Vladimir Poutine. Ce dernier bénéficie d’une popularité à nulle autre pareille dans son pays…D’ailleurs, il est dans le vrai…
Elles interdisent également aux Européens de fournir des équipements dans le secteur de l’exploration pétrolière ou des biens à double usage civil et militaire.
La décision de les prolonger de six mois, qui requiert l’unanimité des 28 Etats membres, avait reçu mercredi un feu vert au niveau des ambassadeurs.
sahb
Juin 23, 2015 @ 11:22
GRÈCE : GRANDES MANIFESTATIONS AUJOURD’HUI À 18H DANS TOUTES LES VILLES DU PAYS
Grande manifestations appelée par le PAME, le KKE, le syndicat des retraités, de la Fédération de femmes de Grèce (ΟΓΕ), du Rassemblement anti-monopolistique des Artisans (ΠΑΣΕΒΕ)….. contre les accords entre SYRIZA et l’Union Européenne.
Le Parti Communiste Grec réhabilite Aris Veloukhiotis, héros légendaire de la résistance pour les 70 ans de sa mort.
Nous n’avons pas le temps de traduire pour ce soir les divers articles.
Alexandre Moumbaris
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Turner
Juin 23, 2015 @ 10:58
G.d’Estaing soutient Moscou
http://fr.sputniknews.com/international/20150622/1016658743.html
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Johndoe
Juin 22, 2015 @ 23:36
Pour ceux qui savent lire l’action savent que les sanctions dites ne sont pas contre la Russie. Il y a gang de criminal qui se sont emparee de la plupart des nations dites occidentales. Aux Etats-Unis cela dure maintenant je peux dire 50 ans. En Europe la conquete fut possible quand les pays d’Europe ont marchande leur souverainite en creant a pouvoir central en Belgique. Le Probleme aujourd’hui de cette Europe ancienne est qu’elle depassee et ces que depuis l’axile des vieilles personnes elle ne compte plus pour plusieurs raisons. D’abord sa societe est au bord le failite morale. En 2050 il aura plus d’Allemand dans les axile pour vieille quand les usines. Les populations les plus fecond dans ses pays sont des population d’origine immigrante particulierement d’origine Musulmane. Il faut donc fait peur a tout pays. Les sanctions en faite c’est la demarche de cette personne qui pense que sa mort certaine doit etre la fin de la vie de tous. Aussi la strategie montre au monde qu’eux l’occident mercantile et vieille est encore important et celui qui ne fait ce que cet occident dit aura pour son compte et de montrer qu’eux l’Europe est en train de punir la Grande Russie. Vous voyez un peu meme si l’acte est mortel en fait de compte pour leur population. Nous sommes dans la derniere bataille. Il faut faire beaucoup de bruit. Les choses vont se precipiter de plus en plus. Regardez le regard rassurant du jeune qui a tue plus de 9 noirs dans une eglise. Ce regard est un message puisque d’autre act plus horrible vont suivre. Les noirs ont deux choix.Soit ils prennent les armes soit in accepte d’etre decu l’un après l’autre par different type d’acteurs. La destruction de l’axe du mal va arriver plus vite qu’on le pense. il de grands bouleversement a l’horizon bien avant la fin de cette annee 2015. Malheureusement ces bouleversements ne seront pas a l’avantage de l’occident mercantile. Le bloque risque de perdre des membres important. L’Amerique rique de connaitre un debut de tension qui risque d’affecte les fondement de cette nations. Des Etats risquent d’instaurer des visa internes pour se preserver l’un contre l’autre. Le future proche n’est pas rassurant pour ‘occident mercantile.
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LUDOVICK
Juin 22, 2015 @ 22:11
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LUDOVICK
Juin 22, 2015 @ 22:15
S-O-S Le PetroYuan est né
Gazprom règle maintenant toutes ses ventes de brut à la Chine en yuan
Les deux sujets que nous avons jugés très importants pour une compréhension approfondie de la finance mondiale, mais aussi le glissement du paysage géopolitique, sont la mort du pétrodollar et l’idée de l’hégémonie du yuan.En novembre dernier, dans l’article How The Petrodollar Quietly Died And No One Noticed, nous avons dit la chose suivante au sujet de la disparition au ralenti du système qui a servi à perpétuer des décennies de domination du dollar :Il y a deux ans, à voix basse au début, puis de plus en plus fortement, le monde financier a commencé à discuter de ce qui ne sera jamais débattu publiquement – la fin du système qui selon beaucoup a encadré et facilité le statut de monnaie de réserve du dollar américain : le pétrodollar, ou le monde dans lequel les pays exportant du pétrole devaient recycler les dollars qu’ils avaient reçus en échange de leurs exportations de pétrole, par l’achat d’actifs libellés en dollar US, augmentant la solidité financière de la monnaie de réserve, et conduisant à des prix encore plus élevés des actifs et encore plus d’achats libellés en dollars US, et ainsi de suite, dans un cercle vertueux (surtout si l’on détenait des actifs libellés en dollars américains et en monnaie US imprimée).La principale poussée pour cet éloignement du dollar, lancée dans les médias non traditionnels, venait de la Russie et de la Chine, ainsi que du reste des pays des BRICs, qui cherchaient de plus en plus à se distancier du leadership US, du statu quo du monde développé mené par le FMI. Ces pays aspirent à un commerce mondial qui aurait lieu de plus en plus grâce à des accords bilatéraux qui contournent entièrement le (petro-) dollar. Et bien sûr, cela a certainement eu lieu, avec d’abord la Russie et la Chine, puis l’Iran, et de plus en plus de pays en développement, qui traitent entre eux, en contournant entièrement le dollar US, et s’engagent dans des accords commerciaux bilatéraux.La chute des prix du pétrole brut a servi à accélérer la disparition du pétrodollar et, en 2014, les pays de l’OPEP ont drainé des liquidités depuis les marchés financiers pour la première fois en près de deux décennies :Goldman Sachs estime qu’un nouveau prix du pétrole à l’équilibre (soit un ralentissement durable) pourrait entraîner une fuite nette de pétrodollars de $24 Mds par mois soit près de $900 Mds d’ici à 2018. Les implications, comme le note Bank of America, sont considérables : «… la fin de la chaîne de recyclage des pétrodollars va avoir un impact sur tous les sujets, de la géopolitique russe, à la liquidité globale du marché des capitaux, à la demande de refuge pour les bons du trésor, aux tensions sociales dans les pays en développement, à la stratégie de sortie de la Fed.»En se projetant vers l’idée de l’hégémonie du yuan, la Chine pousse de façon agressive son fonds d’investissement de la Route de la Soie et la Banque asiatique d’investissement.Ce fonds de $40 Mds est soutenu par China’s FX reserves, par la Banque Export-Import de Chine et la Banque de développement de Chine et cherche à augmenter le ROIC [Retour sur investissement du capital] pour les entreprises publiques chinoises en investissant dans des projets d’infrastructure à travers le monde en développement, tandis que les $50 Mds de l’AIIB sont financés par les 57 pays membres fondateurs (les États-Unis et le Japon n’ont pas adhéré) et serviront à bouleverser les institutions multilatérales occidentales [FMI, entre autres] traditionnellement dominantes qui ont échoué à répondre à l’influence économique croissante de leurs membres. La Chine va pousser pour que le yuan joue un rôle de premier plan dans le règlement des transactions de l’AIIB et pourrait chercher à établir des réserves spéciales, tant dans l’AIIB que dans le fonds pour la Route de la Soie pour émettre des emprunts libellés en yuans.Si on revient à début novembre, les données SWIFT ont montré que 15 nouveaux pays ont rejoint la liste des nations réglant plus de 10% de leurs accords commerciaux avec la Chine en yuans. «C’est un bon signe pour l’adoption du yuan à l’international. En particulier, l’usage du yuan pour les paiements au Canada, qui a considérablement augmenté au cours de cette période, est très intéressant alors que nous n’avons pas vu une forte adoption du yuan en Amérique du Nord à ce jour», a dit Astrid Thorsen, qui dirige le bureau d’investigation de SWIFT.Plus tôt ce mois-ci, la Chine et la Russie ont indiqué qu’à l’avenir, une part plus importante du commerce entre les deux pays serait réglé en yuan. Sur Reuters, en novembre dernier :La Russie et la Chine ont l’intention d’augmenter le montant des échanges établis en yuans, a déclaré le président Vladimir Poutine dans un discours qui a été accueilli favorablement par les autorités chinoises, qui veulent utiliser leur monnaie plus largement dans le monde entier.Sous l’impulsion de leurs relations souvent tendues avec les États-Unis, la Russie et la Chine ont longtemps préconisé la réduction du rôle du dollar dans le commerce international.Restreindre l’influence du dollar cadre bien avec les ambitions de la Chine d’augmenter l’influence du yuan et, finalement, de le transformer en une monnaie de réserve mondiale. Avec 32% de ses $4 000 Mds de réserves de change investies dans la dette du gouvernement américain, la Chine veut réduire les risques d’investissement en dollar.La quête pour limiter la domination du dollar est devenue plus urgente pour Moscou cette année, alors que les États-Unis et les gouvernements européens ont imposé des sanctions à la Russie pour son soutien aux rebelles séparatistes en Ukraine.«Dans le cadre de notre coopération avec ce pays (la Chine), nous avons l’intention d’utiliser les monnaies nationales dans les transactions mutuelles. Les contrats à base de roubles et de yuans se mettent en place. Je tiens à souligner que nous sommes prêts à étendre ces possibilités dans nos transactions commerciales concernant les ressources énergétiques», a déclaré M. Poutine à l’époque, ce qui suggère qu’à l’avenir, la Russie pourrait chercher à régler les ventes de pétrole en yuan.Effectivement, Gazprom a confirmé que depuis le début de l’année, toutes les ventes de pétrole vers la Chine ont été réglées en yuan. Voici un commentaire publié sur le Financial Times:Le troisième plus grand producteur de pétrole de la Russie a maintenant libellé l’ensemble de ses ventes de brut vers la Chine en yuan, comme le signe le plus clair que les sanctions occidentales ont entraîné une augmentation de l’utilisation de la monnaie chinoise par des sociétés russes.Les dirigeants russes ont parlé de la possibilité d’un passage de la devise américaine au yuan alors que le Kremlin a lancé une politique étrangère de pivot vers l’Asie en partie en réponse aux sanctions occidentales contre Moscou quant à son intervention en Ukraine, mais jusqu’à maintenant, il y avait peu de visibilité sur l’ampleur du commerce qui serait réglé dans la monnaie chinoise.Gazprom Neft, le bras armé pétrolier du géant gazier d’état Gazprom, a déclaré vendredi que depuis le début de 2015, il avait vendu tout son pétrole exporté vers la Chine en yuans, à travers le pipeline East Siberia Pacific Ocean.Les exportations de brut des entreprises russes ont été largement faites en dollars jusqu’à l’été dernier, quand les États-Unis et l’Europe ont imposé des sanctions sur le secteur russe de l’énergie à la suite de la crise en Ukraine …Gazprom Neft a réagi plus rapidement que la plupart, Alexander Dyukov, chef de la direction, annonçant en avril de l’année dernière que la compagnie avait obtenu un accord de 95 % de ses clients pour régler des transactions en euros plutôt qu’en dollars, si le besoin s’en faisait sentir.M. Dyukov a déclaré plus tard que la compagnie avait commencé à vendre du pétrole à l’exportation en roubles et yuans, mais il n’a pas précisé le volume des ventes.Selon les résultats de Gazprom Neft du premier trimestre publiés le mois dernier, l’oléoduc East Siberian Pacific Ocean représentait 37,2 % des exportations de pétrole brut de la société avec 1,6 million de tonnes pour le premier trimestre.Avec cela, le PetroYuan est officiellement né et tandis que le Financial Timesnotait que «d’autres groupes énergétiques russes ont été plus réticents à abandonner le dollar pour le règlement des ventes de pétrole», le fait que les producteurs russes envisagent maintenant ouvertement un changement, en même temps que les officiels aux États-Unis et en Europe discutent ouvertement de l’intensification des sanctions économiques, suggère que les règlements en yuan vont devenir plus courants à l’avenir.Pour comprendre pourquoi et dans quelle mesure c’est important dans le contexte actuel, considérons l’information suivante parue sur WSJ
Les officiels de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), qui ont refusé de réduire la production de pétrole l’an dernier, ont estimé que le maintien des niveaux de production élevés permettrait de protéger leurs parts de marché dans les achats des grands pays importateurs.Mais les données des douanes chinoises publiées vendredi montrent que les importations chinoises de brut en provenance de certains grands pays de l’OPEP ont chuté, tandis que les importations en provenance de la Russie ont bondi de 36% en 2014. Pendant ce temps, les importations en provenance d’Arabie saoudite ont chuté de 8% et celles du Venezuela ont chuté de 11%.Pour résumer : les sanctions économiques occidentales contre la Russie ont poussé les producteurs de pétrole locaux à régler leurs exportations de pétrole brut vers la Chine en yuan juste au moment ou le pétrole russe est à la hausse en pourcentage du total des importations chinoises de pétrole brut. Pendant ce temps, l’effondrement des prix du brut a conduit à la première sortie nette de pétrodollars sur les marchés financiers depuis 18 ans, et si les projections de Goldman Sachs se révèlent exactes, l’offre nette de pétrodollars pourrait baisser de près de $900 Mds sur les trois prochaines années. Tout cela arrive alors que par ailleurs la Chine fait un effort concerté pour mettre en place les prêts alloués par ses fonds d’infrastructure nouvellement créés en yuan.Pour résumer, le PetroYuan est le point d’intersection d’un pétrodollar mourant et d’un yuan ascendant.
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Rose des sables
Juin 22, 2015 @ 22:33
Estelle elle est où ? ESTEEELLE PREEEMS !
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Rose des sables
Juin 22, 2015 @ 21:54
L’historien et expert, Alaya Allani, a déclaré que 2/3 des daechiens sont des mercenaires, anciens prisonniers et délinquants. Ils perçoivent entre 1000 et 3000 dollars par mois
Mais cet argent qui fait la richesse de daech provient d’où ? Le petrole et les trésors archéologiques. Il est évident que tout passe par la turquie. Mais qui sont ces etats qui financent daech en commerçant avec eux ? Jana Hybrascova, ambassadrice de l’union europeenne en Irak, a mentionné devant la commission des affaires etrangères du parlement europeen, des achats de pétrole à daech par des etats membres de l’union europeenne. Des deputes ont demandé une enquête sur la participation française sur l’achat de ce petrole. Cette demande aboutira-t-elle ? Je parie que non.
Le patrimoine irakien a ete pillé en 2003 par les armées occidentales qui s’en sont donné à coeur joie, déclenchant le courroux d’archéologues et historiens dans le monde entier. Maintenant, daech prend la relève et les trésors syriens et irakiens sont pillés et finissent dans les salons de collectionneurs d’où ils ne sortiront jamais.
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Chose
Juin 23, 2015 @ 0:48
Le trésor Syrien, c’est le peuple.
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LUDOVICK
Juin 22, 2015 @ 20:55
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LUDOVICK
Juin 22, 2015 @ 21:32
On prend les mêmes et on recommence, c’est d’un ridicule ces exercices de l’otan, ça manque vraiment!!
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LUDOVICK
Juin 22, 2015 @ 21:34
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sahb
Juin 22, 2015 @ 23:06
Y pourraient pas s’envoyer un tsunami comme ils savent si bien le faire !?!
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alexandre
Juin 22, 2015 @ 18:49
En revanche, la Russie vient de prolonger d’un an les sanctions contre l’Union Européenne.
Bravo Poutine. Envoie-leur des quenelles rugueuses à ces chefs d’état monstrueux. Dommage que cette belle Europe soit devenue un gros bout de merde à l’image de son grand frère.
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Phoenix
Juin 22, 2015 @ 19:10
Bonjour Alexandre,
Je souscris à vos propos dans leur entièreté…
Si je peux me permettre la question : Etes vous notre assez ancien contributeur du Canada, qui une fois ici avait montré ses compétences en suivi des vols aériens in vivo, quand Edward Snowden devait brouiller les pistes de sa vraie destination, de façon a atterrir en Russie sain et sauf après avoir pris un vol de Hong Kong et les sbires de la NSA à sa poursuite et trousses ?
Bien à vous
Phoenix
19h10
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alexandre
Juin 22, 2015 @ 19:44
Non ce n’est pas moi. Je n’y comprend rien en « suivi des vols aériens » détestant moi-même prendre l’avion. Bonne fin de journée à vous et aux autres.
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Phoenix
Juin 22, 2015 @ 20:22
Ok pas de souci
Bonne fin de soirée
Phoenix
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CULLIOIDES ZANZARA
Juin 22, 2015 @ 18:25
LA HIPOCRESIE DE LA U.E. N’à PAS DE LIMITE
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raimanet
Juin 22, 2015 @ 17:33
A reblogué ceci sur Raimanetet a ajouté:
les « cons » ça osent tout … d’ ailleurs c’ est en cela qu’ on peut les identifier
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Vanda
Juin 22, 2015 @ 17:02
A qui tout ça profite :
http://reseauinternational.net/lembargo-impose-a-la-russie-par-lue-profite-aux-entreprises-israeliennes/
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Galsen
Juin 22, 2015 @ 16:17
L’Europe refuse d’accueillir des missiles américains
Les partenaires européens des USA au sein de l’Otan refusent de soutenir l’intention des autorités américaines de déployer des missiles de croisière capables de porter des têtes nucléaires, rapporte le magazine allemand Der Spiegel.
D’après l’édition, la France et l’Allemagne se sont opposées à la proposition de Washington, soumise à la discussion lors d’une réunion des ministres de la Défense des pays de l’Otan en février.
Der Spiegel indique que les États-Unis expliquent cette mesure par la violation présumée du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) de la part de la Russie. Cependant, l’Europe considère que la violation du Traité n’est pas prouvée.
D’après le Spiegel, Berlin redoute que l’Europe ne se retrouve au cœur du nouveau conflit entre l’Est et l’Ouest. Les dirigeants allemands sont également préoccupés par l’intention des États-Unis d’installer de nouvelles unités militaires américaines sur le territoire de l’Europe de l’Est pour se protéger contre une éventuelle agression russe.
Le Spiegel rapporte également que Service fédéral allemand de renseignement (BND) ne constate pas d’accroissement du niveau de menace de la part de Moscou. Guido Müller, le chef adjoint du BND, a même qualifié les déclarations du président russe Vladimir Poutine sur la reconstitution de l’arsenal nucléaire du pays de « show propagandiste ». M. Müller aurait également affirmé que le BND était informé des projets de Moscou visant à moderniser ses forces militaires et doutait de leur réussite.
La revue estime que Washington n’est pas prêt à un affrontement ouvert avec Moscou, c’est pourquoi seules quelques unités seront envoyées dans les pays situés aux frontières de l’Otan. Le gros des troupes et quelques centaines de chars seront déployés près de Grafenwöh, en Bavière.
Début juin, Associated Press a dévoilé l’intention de l’administration US de déployer des missiles terrestres en Europe afin de contrer le potentiel nucléaire russe.
Peu après, le président russe a déclaré que la Russie allait se doter cette année de 40 missiles intercontinentaux (ICBM) supplémentaires « capables de franchir les systèmes antimissiles les plus sophistiqués ».
Pourtant, lors du Forum économique de Saint-Pétersbourg, M. Poutine a souligné, que « la rhétorique hostile entre la Russie et les États-Unis ne signifie pas que le monde fait face à la menace croissante d’un conflit nucléaire »
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sahb
Juin 22, 2015 @ 15:49
LA FIN DE L’EMPIRE VACCINAL ?
« Je m’insurge contre la médecine de troupeau qui asservit le malade aux appétits mercantiles des grands laboratoires et le bien-portant aux appétits plus meurtriers encore des fabricants de vaccins. » (Pie XII … ou quelqu’un d’autre)
Le constat d’une pédiatre suisse : les enfants non vaccinés ne sont pratiquement JAMAIS malades ! Les politiciens vaccinalistes devraient se demander pourquoi…
voir, outre la vidéo du Dr Françoise Berthoud, celle du Dr Bernard Montain :
http://www.info-vaccination.be/?-Dr-Francoise-BERTHOUD-
et une vidéo du Docteur Schaller : VACCINS LA FIN DE L’EMPIRE :
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sahb
Juin 22, 2015 @ 15:53
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régis
Juin 22, 2015 @ 15:49
Intervenant vendredi 19 juin dans le cadre du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, le dirigeant russe Vladimir Poutine a affirmé que les pertes économiques subies par les pays européens en raison de l’embargo russe s’étaient chiffrées à 100 milliards de dollars.
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Galsen
Juin 22, 2015 @ 15:07
Sanctions antirusses prolongées: Moscou dévoile sa riposte
Le premier ministre russe Dmitri Medvedev a proposé de proroger l’embargo sur les produits alimentaires en provenance des pays ayant imposé des sanctions contre Moscou sur fond de crise ukrainienne.
Plus tôt dans la journée de lundi, les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne ont pris la décision de prolonger les sanctions contre la Russie jusqu’au 31 janvier 2016.
euro
© SPUTNIK. EYETRONIC
Rapport choc: les sanctions antirusses coûteraient 100 mds EUR à l’UE
Selon la porte-parole du Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères, Maja Kocijancic, cette décision a pour objectif de pousser la Russie « à respecter les accords de Minsk » destinés à mettre fin aux hostilités dans le Donbass ukrainien.
Le premier ministre russe a également ordonné de définir les catégories de marchandises et d’objets de transactions commerciales visés par les mesures restrictives russes.
Dans une interview accordée la semaine dernière au Wall Street Journal, le conseiller du président russe Andreï Belooussov a déclaré que Moscou et l’Occident avaient atteint un « équilibre » concernant les sanctions, et que cet équilibre serait « maintenu » dans un avenir proche.
Les drapeaux des pays de l’Union Européenne
© AP PHOTO/ CHRISTIAN LUTZ
La prolongation des sanctions prévue par la Russie
D’après le conseiller du Kremlin, la Russie n’a pas l’intention d’adopter de nouvelles mesures de riposte face aux sanctions occidentales.
Auparavant, Moscou a à plusieurs reprises menacé d’étendre son embargo sur les produits alimentaires occidentaux, introduit en août 2014 en réponse aux sanctions imposées à l’encontre de Moscou en réaction à la crise ukrainienne et à l’intégration de la Crimée à la Fédération de Russie.
Intervenant vendredi 19 juin dans le cadre du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, le dirigeant russe Vladimir Poutine a affirmé que les pertes économiques subies par les pays européens en raison de l’embargo russe s’étaient chiffrées à 100 milliards de dollars.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150622/1016655582.html#ixzz3dnAa3Zmd
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Galsen
Juin 22, 2015 @ 14:44
La Belgique débloque une partie des comptes diplomatiques russes
La diplomatie belge a annoncé un déblocage partiel des comptes des représentations diplomatiques russes en Belgique
.
Le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, a annoncé le « déblocage », partiel dans un premier temps, des comptes des ambassades russes en Belgique qui avaient été gelés en application d’une décision de justice, annoncent les médias internationaux, citant le porte-parole de la diplomatie belge Henrik Van de Velde.
Selon ce dernier, le déblocage concerne dans un premier temps les comptes détenus par l’ambassade de Russie et les représentations permanentes russes auprès de l’UE et de l’Otan dans la banque ING.
« Une solution a été trouvée pour débloquer en priorité ces comptes-là, qui sont les comptes de fonctionnement des ambassades, et le reste va suivre », a poursuivi le porte-parole.
Le ministère belge des Affaires étrangères, a-t-il souligné, a « joué les rôles de bons offices entre les cabinets d’huissiers de justice (qui avaient exécuté la décision de gel, ndlr) et les créditeurs », actionnaires de l’ex-groupe pétrolier Ioukos qui réclament cette saisine d’avoirs du gouvernement russe.
Le blocage des actifs de la Russie a été imposé sur la base de la décision de la Cour permanente d’arbitrage de La Haye du 28 juillet dernier, suite aux actions de trois compagnies, représentant les intérêts d’anciens actionnaires de la compagnie pétrolière Ioukos Universal Limited. Selon la décision, la Russie doit rembourser aux actionnaires de Ioukos 50,2 milliards de dollars. Sergueï Stortchak, le ministre russe des Finances, avait alors souligné que cette décision comportait des « lacunes importantes ».
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150622/1016647998.html#ixzz3dn4X132H
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Phoenix
Juin 22, 2015 @ 14:12
CE DITES « SANCTIONS » CONTRE LA RUSSIE SONT DES SANCTIONS CONTRE TOUS LES PAYS D’EUROPE ET TOUS LES PEUPLES D’EUROPE POUR LA RÉDUIRE À UN ASSERVISSEMENT TOTAL D’USISRAËL ET LEUR TERRAIN DE FUTURES GUERRES SUR NOTRE CONTINENT, AVEC L’OTAN À LA CLÉ, CONTRE LA RUSSIE QUI N’A JAMAIS AGRESSE UN SEUL PAYS D’EUROPE, SURTOUT PAS L’UKRAINE QUI A SUBI UN VRAI PUTSCH SANGLANT CRIMINEL DE LA PART DE CE MÊME USISRAËL, AVEC LES TRAÎTRES NATIONAUX DE LA DITE ue , DU FAIT D’UNE BANDE DE PIEDS NICKELÉS CRIMINELS MAFIEUX, À LA TÊTE DE CETTE ORGANISA-SION, DITE ue, NON MOINS CRIMINELLE DU NAZI-SIONISTE USISRAËL, CETTE ENTITÉ BICEPHALE, LES USA COMME ETAT LIBRE ET INDÉPENDANT AYANT CESSÉ D’EXISTER EN JANVIER 1913 ET LE RAPT PAR LES BANSTERS CRIMINELS ET USURIERS SIONISTES JUIFS ROTHSCHILD & C° DE LA BANQUE FÉDÉRALE DES ETATS UNIS, DEVENUE DEPUIS BANQUE PRIVÉE ROTHSCHILD & C°…
« Combien de Divisions ? »,
pour paraphraser Joseph Staline, tous ces chantres de la Liberté et « Indépendance » de la France vis à vis d’USISRAËL, in extenso de l’Europe ?
Où sont nos Généraux et Patriotes de quelconque décision et pouvoir, d’Europe pour coffrer et passer par les armes ces Criminels et Mafieux de haut vol et rang de cette dite ue, non représentative d’un quelconque Pays ou Peuple d’Europe ?
Toutes leurs belles paroles, comme celle du Général Didier Tauzin et de son livre dernièrement écrit de « Refonder la France » et d’autres, comme Fillon qui s’offusque à Saint Petersbourg au ‘Davos » Russe de rencontre des entrepreneurs mondiaux en Russie, que la France serrait trop Atlantiste et attachée aux Etats Unis contre ses propres intérêts économiques et Géo-stratégiques etc…etc… et bla bla bla et bla bla bla…
« Combien de Divisions ? », pour paraphraser Joseph Staline tous ces chantres de la Liberté et « Indépendance » de la France vis à vis d’USISRAËL, in extenso de l’Europe ?
L’Europe, avec cette brochette criminelle mafieuse de pieds nickelés, dans cette organisaSION qu’est l’UE, un appendice d’USISRAËL et de l’OTAN se prépare à la boucherie générale et à l’auto-suicide collectif de tous nos Pays et peuples !
Ce sera pour nous malheureusement et pas pour ces criminels seulement la Bérézina de 1812 et Stalingrad du 3 février 1943 couplés, dans une apothéose majestueuse de nos pays transformés en poussière d’une civilisation qui fut et qui ne sera plus !
Lot de consolation : Outre Atlantique, en Yéhoudie-Siono-Wahhabite et dans l’autre entité et non Pays mais Camp Militaire depuis sa créaSION au Moyen Orient, sur les terres volées de Palestine au Peuple Palestinien Musulman et Chrétien, les dévastations ne seront pas moindres…
Mais une fois disparus (nous tous) de la surface de la terre, ça nous fera une belle jambe…
Phoenix
14h12
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LUDOVICK
Juin 22, 2015 @ 14:08
LA RUSSIE A VRAIMENT L INTENTION DE FAIRE PASSER LES USA POUR DES MENTEURS NÉS.
Le chef de la NASA, Charles F. Bolden, a déclaré qu’il n’avait aucun doute sur le fait que l’expédition des Américains sur la Lune avait bien eu lieu.
Vladimir Markine, représentant officiel du Comité d’enquête russe, a réagi à la déclaration du directeur de la NASA Charles F. Bolden sur une proposition ironique de lancer une enquête sur une pellicule disparue de l’expédition de Neil Armstrong sur la Lune.Si notre partenaire américain répond sérieusement à une déclaration facétieuse, on va commencer à douter malgré nous, soit de leur sens de l’humour, soit du caractère bien réel de l’expédition lunaire », estime le porte-parole.Le dirigeant de la NASA a répondu vendredi dernier sur la chaîne télévisée Sky News à la proposition de M. Markine: « Je comprends que les gens puissent douter. Personnellement, je n’ai aucun doute sur le fait qu’on a été sur la Lune, comme je n’en ai d’ailleurs pas non plus sur celui qu’on compte débarquer sur Mars ».
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sahb
Juin 22, 2015 @ 15:31
« personnellement, je n’ai aucun doute »
constitue pour les dirigeants de ce pays né décadent ET sur le déclin une … preuve !
tout le monde est plié en quatre !
donc ils sont mal barrés point de vue « capital confiance » !!!
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sowhat
Juin 22, 2015 @ 17:04
ce qui est important c’est qu’on nom de la course à l’espace et pour un simple enjeu de prestige l’Union Soviétique et ensuite la Russie ont fait dépenser les américains énormément d’argent … pour des résultats plutôt médiocres. Pendant ce temps les russes ont consacré leurs efforts à des objectifs plus sérieux et sur ce plan ils conservent quand même une bonne longueur d’avance.
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Vanda
Juin 22, 2015 @ 14:07
Si de Gaulle était aujourd’hui à la tête de l’état français , il se serait empressé de dénoncer ces sanctions stupides imposés par les USA ( que bien entendu , ils évitent de s’imposer à eux mêmes : A savoir qu’ils continuent de commercer avec les russes ) . Pour un de Gaulle ç’aurait été une formidable occasion de damer le pion des USA et de leur montrer de quel bois se chauffait une France indépendante , une France qui voulait contribuer à un équilibre entre les 2 pôles du moment .
A l’inverse , nos politiques de Fabius à Juppé et de Sarkosi à Hollande se pressent pour lêcher les bottes d’ Obama , Nettaniahu et Saoud quitte à faire souffrir un peu plus le peuple français qui commence à avoir le nez dans le chaos . Ces personnes montrent si besoin était qu’elles sont les valets servils des cliques secrètes qui dirigent ce monde . De ces personnalités politiques , il n’ y a strictement rien à attendre . Le spectacle de leur asservissement serait comique si nous n’en faisions pas les frais tant du point de vue matériel que du plan mental .
Hollande à côté de Bachar el Assad est ni plus ni moins qu’une serpière tout juste bonne à ramasser les vomissures de ces richissimes impérialo sionistes devant lesquels il se prosterne à longueur de journée et ce pour notre plus grand désespoir !
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LUDOVICK
Juin 22, 2015 @ 14:04
Solidarité civile
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silbershark110
Juin 22, 2015 @ 13:52
A reblogué ceci sur My Blog.
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sahb
Juin 22, 2015 @ 13:48
LA HABANA, Organe Officiel du Comité Central du Parti Communiste Cubain
21 juin 2015
L’OCCIDENT NÉGOCIE EN SECRET UN NOUVEAU TRAITÉ ANTI-DÉMOCRATIQUE ET NÉOLIBÉRAL
WILILEAKS est en train de filtrer le contenu des négociations clandestines entre une cinquantaine de gouvernements visant à conclure un accord secret en matière de commerce international de services, qui opèrera en dehors de toutes les dispositions et normes étatiques et parlementaires, au profit des grandes entreprises.
Auteur: Carlos Enrique Bayo | informacion@granma.cu
Le Traité secret de libre-échange TTIP entre les États-Unis et l’Union européenne semblait le meilleur cheval de Troie des multinationales. Mais en réalité, c’est pratiquement une sorte de rideau de fumée pour dissimuler la véritable alliance néolibérale planétaire : le Trade in Services Agreement (TiSA), un accord encore plus anti-démocratique d’échange de services entre une cinquantaine de pays, y compris l’Espagne, lequel, non seulement est négocié dans le secret le plus absolu, mais que l’on prétend maintenir classifié, caché au public, pendant encore 5 ans jusqu’à ce qu’il soit entré en vigueur et conditionne 68,2% du commerce mondial des services.
Le niveau de confidentialité avec lequel sont élaborés les articles et les annexes du TiSA – qui couvrent tous les domaines depuis les télécommunications et le commerce électronique jusqu’aux services financiers, les assurances et les transports – est encore plus élevé que celui du Trans-Pacific Partnership Agreement (TPPA) entre Washington et ses partenaires asiatiques, pour lequel il est prévu quatre ans de fonctionnement dans la clandestinité.
Cependant, grâce à sa collaboration avec Wikileaks, Publico.es a eu accès, en exclusivité pour l’Espagne, aux documents originaux réservés de la négociation en cours, où il apparaît clairement que l’on est en train de tisser un système complexe de normes et de règlements conçus pour éviter les règlementations d’État et passer au travers des contrôles parlementaires en matière de marché international.
Les partenaires de la presse de Wikileaks associés à Publico pour cette exclusivité mondiale sont : The Age (Australie), Süddeutsche Zeitung (Allemagne), Kathimerini (Grèce), Kjarninn (Islande), l’Espresso(Italie), La Jornada (Mexique), Point24 (Turquie), OWINFS (États-Unis) et Brecha (Uruguay).
Par ailleurs, le TiSA est impulsé par les mêmes gouvernements (États-Unis et Union européenne) qui ont imposé le modèle financier dérégulé et en échec de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC), et qui ont provoqué la crise financière mondiale de 2007-2008 (le crash du casino boursier mondial symbolisé par l’effondrement de la banque d’investissements Lehman Brothers), qui entraîna dans sa chute les économies occidentales, alors que nous en subissons encore les conséquences après environ dix ans d’austérité appauvrissante, de réductions sociales et de sauvetages bancaires.
Ce que tente précisément d’imposer ce nouveau pacte néolibéral mondial, c’est la continuité et le renforcement de ce système, au profit exorbitant des grandes sociétés privées transnationales, en contraignant les gouvernements et les institutions publiques.
Ces objectifs sont évidents dans l’intention de maintenir le secret sur le traité durant des années. Ainsi, on empêche les gouvernements qui les exécutent de rendre des comptes devant leurs parlements et leurs citoyens.
Évidentes également sont les visées frauduleuses de cette négociation clandestine menée en violation honteuse de la Convention de Vienne sur la Loi des Traités, qui exige des travaux préparatoires et des débats préalables entre experts et universitaires, agences non gouvernementales, partis politiques et autres acteurs… quelque chose d’absolument impossible lorsque l’élaboration d’un accord s’effectue dans le plus stricte secret et à l’écart de la connaissance du public.
Pour l’instant, les gouvernements impliqués dans la négociation secrète du TiSA sont l’Australie, le Canada, le Chili, la Colombie, la Corée du Sud, le Costa Rica, les États-Unis, Hong Kong, l’Islande, Israël, le Japon, le Liechtenstein, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, le Pakistan, le Panama, le Paraguay, le Pérou, la Suisse, Taiwan, la Turquie et la Commission européenne, en représentation des 28 pays membres de l’Union européenne, bien qu’il s’agisse d’un organisme non élu au suffrage universelle.
Par ailleurs, trois paradis fiscaux déclarés, qui participent activement à l’élaboration des articles, notamment la Suisse, figurent parmi les partenaires.
Selon les textes de la négociation secrète du TiSA publiés par Wikileaks, il est prévu d’éliminer tous les contrôles et les obstacles à la libération mondiale des services financiers, en supprimant toute limite à leurs institutions et toute restriction à leurs produits innovateurs, bien que ce furent précisément ces inventions financières, comme les dérivés ou les CDS (crédit default swaps) – authentiques paris sur de possibles faillites –, qui furent à l’origine de la bulle boursière mondiale dont l’éclatement, en 2007-2008, a détruit les fondements économiques des puissances occidentales et imposé le sauvetage de ces entités par le biais de centaines de milliers de millions de fonds publics.
Il y a un an, Wikileaks a déjà filtré une petite partie des informations sur la négociation du TiSA (annexe relative aux Services financiers, le 19 juin 2014), mais à ce jour on n’avait pas eu accès aux actes des négociations secrètes sur tous les aspects que couvrira le futur accord : Finances (accord du 23 février), Télécommunications, Commerce électronique, Transport aérien et maritime, Distribution et envois, Services professionnels, Transparence, Mouvements des personnes physiques, Régulations nationales internes, Services postaux universels…
Publico.es a même eu accès aux notes internes sur les négociations avec Israël et la Turquie pour amener ces pays à adhérer au traité secret. Par contre, cette proposition a été refusée à la Chine et à l’Uruguay quand ces pays l’ont demandé, probablement par crainte qu’ils ne filtrent les contenus du pacte lorsqu’ils réaliseraient la portée de ce traité.
La liste des pays latino-américains qui participent au TiSA est révélatrice, de même que l’exclusion non seulement des pays bolivariens mais aussi du Brésil et d’autres puissances régionales, en lesquelles Washington n’a pas confiance.
En réalité, toutes les puissances émergentes du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) ont été écartées du traité secret, précisément parce que ce seront celles qui perdront le plus à l’application des conditions fixées.
Il ne fait pas de doute que l’on cherche à empêcher le débat que réclament de nombreux pays, surtout l’Équateur, après la crise financière, sur les raisons qui l’ont provoquée et les solutions pour qu’elle ne se reproduise pas. Les États-Unis, le Canada, l’Australie, la Suisse et l’Union européenne s’y sont résolument opposés, y compris aux conclusions de la Commission Stiglitz de l’ONU, en 2009, en refusant d’accepter la relation évidente entre la dérégulation bancaire/boursière et la crise. Ils ont même, en 2013, bloqué toute tentative d’en discuter au sein de l’OMC.
Parmi les points les plus ironiques du contenu du TiSA qui est révélé aujourd’hui, figure l’exigence de transparence totale imposée aux autorités nationales, qui devront annoncer à l’avance et ouvrir un débat préalable sur toutes les réglementations et les normes qu’elles entendent appliquer, ce qui donnera ainsi aux grandes compagnies et aux lobbies commerciaux internationaux le temps et les moyens pour les contrecarrer, les modifier, voire empêcher ces décisions souveraines en fonction de leurs intérêts.
Une contrainte aux secteurs publics exigée par ceux qui non seulement décident en secret leur propre mode opératoire, mais qui prétendent également que leurs accords déjà en vigueur soient maintenus au secret durant des années, en empêchent les organes de la souveraineté populaire de connaître des règles que les gouvernements de chaque pays vont appliquer dans leurs relations internationales.
Par contre, les accords du TiSA – qui se négicient en marge de l’Accord général de Commerce en Services (GATS) et de la OMC – prennent en compte toutes les exigences de l’industrie financière de Wall Street et de la City londonienne, ainsi que les intérêts des grandes corporations multinationales, pour lesquelles le traité non seulement n’est pas secret, mais sa propre construction.
« Le plus grand danger, c’est que le TiSA empêchera les gouvernements de renforcer les règles du secteur financier », a mis en garde Jane Kelsey, professeure de Droit de l’Université d’Auckland (Nouvelle Zélande), il y a quelques mois.
Conçu en consultation étroite avec ce secteur financier mondial, le TiSA obligera les gouvernements signataires à renforcer et à élargir la dérégulation et la libéralisation boursière, responsables de la crise ; il les privera du droit de maintenir et de contrôler les données financières dans leur pays ; il les forcera à accepter des dérivés de crédits toxiques et ils auront les mains liées au cas où ils tenteraient d’adopter des mesures pour empêcher ou répondre à une autre récession induite par le néolibéralisme.
Pour conclure, le tout sera imposé par des accords secrets, sans que l’opinion publique ne puisse connaître les véritables raisons qui entraînent leur société à la ruine. À moins que les organes de la souveraineté populaire n’empêchent ce coup d’État économique mondial. (Tiré de Other News/Publico.es)
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Galsen
Juin 22, 2015 @ 13:00
Un ex-diplomate français accuse Washington d’être à l’origine de la crise ukrainienne
Ambassadeur de France à Moscou jusqu’en 2013, Jean de Gliniasty estime que les Européens auraient dû «donner» Sébastopol à la Crimée et juge que la Crimée a «toujours été russe».
Envoyé spécial à Saint-Pétersbourg
Jean de Gliniasty est en colère, très en colère. Rencontré en marge du forum de Saint-Pétersbourg, l’ex-ambassadeur de France à Moscou, qui ne cache pas ses vues pro-russes, s’emporte contre les «erreurs» de la diplomatie européenne et française à l’égard du dossier ukrainien. «C’est cinq ans de travail qui ont été ruinés», regrette celui qui représenta les intérêts de la France à Moscou de mai 2009 à octobre 2013, quittant la capitale russe au moment des grandes manifestations ukrainiennes de Maïdan qui débouchèrent sur un changement de régime, puis sur l’annexion de la Crimée et la guerre dans le Donbass.
Durant ces cinq années, il s’est fait l’avocat infatigable des chefs d’entreprises françaises en Russie, qui l’appréciaient en retour, quitte à minimiser les conséquences du tour de vis imposé par Vladimir Poutine à la société civile après son retour au Kremlin en 2012. Des vue qui lui ont été reprochées parfois au quai d’Orsay. «Ce n’était pas compliqué», dit-il: «il fallait notamment donner Sébastopol à la Russie et garantir le statut de la langue russe en Crimée». Et l’avis de Kiev dans tout cela? «Mais la Crimée n’a jamais appartenu à l’Ukraine, elle a toujours été russe», s’emporte Jean de Gliniasty, négligeant le fait que la péninsule a été offerte en cadeau par Nikita Khrouchtchev à l’Ukraine en 1954.
Figaro.fr
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