Sinistre parade des corps à Garissa ? Les autorités ont interrompu ce passage, face à la colère de la foule. Empilés à l’arrière d’un pick-up, les corps dénudés et ensanglantés de quatre membres présumés du commando islamiste shebab ont été exhibés samedi dans les rues de Garissa.
Après avoir exposé les cadavres – gonflés et très abîmés par des projectiles – à l’extérieur de l’hôpital où ils étaient entreposés depuis deux jours, des policiers les ont entassés à l’arrière d’un pick-up blanc, a constaté l’AFP. Le véhicule a parcouru environ 500 mètres sur la rue principale de Garissa.
Des centaines de personnes, dont des enfants, sont descendues dans la rue pour voir les cadavres, en dépit de l’insupportable puanteur. Certains ont jeté des pierres sur les corps au passage du véhicule, qui avançait sous les insultes et les huées.
Justification de la police
«Notre intention n’était pas de les exhiber, mais de pouvoir les identifier publiquement, de savoir si quelqu’un pouvait les reconnaître, que ce soit un proche ou quelqu’un les connaissant», s’est justifié le chef local de la police Benjamin Ong’ombe.
Mais «trop de gens se sont déplacés, nous avons dû les ramener» à l’hôpital, a-t-il ajouté. Une identification aurait toutefois été difficile: les corps étaient empilés les uns sur les autres, ceux du dessus étant en plus allongés sur le ventre.
YAH
Avr 5, 2015 @ 21:45
Avant le danger était les invasions de sauterelles, aujourd’hui c’est le terrorisme qui vient de l’occident, Turquie et des pays du Golfe.
Combien sont ils en Syrie, Irak, Liban, Yemen, Egypte, Libye, Tunisie, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Cameron, Kenya, pour faire autant de dégats depuis près de 7 ans.
Armee du Dajjal, ils seront de plus en plus nombreux. Nous vivons la prophetie de la fin des temps en live. A ce stade et à ce rythme la dépopulation mondial sera irréversible. Entre des avions qui s’écrase ou qui disparaît dans la nature, la nourriture toxique, des attentats terroriste de masse, des produits chimiques déverser dans le ciel et dans l’eau, des guerre en vue qui s’annonce catastrophique, je ne pense pas que dans les7 ans avenir, que nous dépasseront les 7 milliards d’habitants sur terre. Seul les survivants pourront ont témoigné.
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jeanot
Avr 8, 2015 @ 19:51
les terroristes sont financés et armés par les al saoud, et le qatar…la turquie est le lieu de passage de tous les terroristes se rendant en syrie..en irak en egypte et dans le moyen orient…les americains le savent tres bien mais..ils ferment les yeux….idem pour la france..et l’angleterre
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now
Avr 5, 2015 @ 13:57
Rien ne justifie le terrorisme,meme pas la pauvreté,le désespoir mais plutot la patience,la foi au seigneur,cela donne de bon résultats mais pas chez les faux dévauts.
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bebert
Avr 5, 2015 @ 12:17
Yémen attaque contre le consulat Russe.
Le terroriste Musulman l’individu qui a une image qui fait peur et qui est très dangereux d’après les médias surtout en occident.
Le terroriste Musulman n’a pas de chance comme gros minet quand il s’attaque au petit oiseau titi, lui qui déteste l’occident surtout les juifs et les usa quand il pose une bombe les victimes sont toujours .des Russes, des Chinois, des Iraniens et des Musulmans.
Ils ont aucune connaissance de la géographie pas un pétard chez les traitre de l’Islam en Arabie Saoudite ou au qatar.
Combien touche un terroriste en prime et par mois pour être aussi nul.
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bebert
Avr 5, 2015 @ 11:10
A peine 3 mois après Charlie n’existe plus pour venir en aide aux millions des Chrétiens d’Orient et d’Afrique.
Pourquoi autant de silence quand des millions de personnes ont été manifester; des enfants de moins de 10 ans arrêtés pour avoir refusés la minute de silence ainsi qu’un sportif viré de son club pour avoir refusé d’être un Charlie.
Qu’elle est la raison de cette trahison contre les Chrétiens.
http://www.dailymotion.com/video/x2lncfi_ratp-une-neutralite-coupable_news?start=0
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gilgamesh
Avr 5, 2015 @ 15:30
explication plausible: le directeur de la RATP est membre actif du crif!!! entre autres
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gilgamesh
Avr 5, 2015 @ 15:33
la raison de l’agressivité envers les chrétiens tient en un mot: le gouvernement agit en sous main car le directeur de la RATP est aussi encarté au PS
Eradiquer le christianisme en France et ailleurs est leur projet
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Patrick
Avr 6, 2015 @ 4:41
La RATP a la peur au ventre.. que vais-je faire quand d’autres me demanderont de faire pareil pour la Palestine?
https://s.yimg.com/hd/answers/i/c8fc380a224a43b3b0c90154807400ea_A.jpeg?a=answers&mr=0&x=1428295180&s=a48b77c16c24bebade89cba5a2cbcd0b
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africalibre
Avr 5, 2015 @ 10:58
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La corne de l’afrique, conflits géopolitiques du pétrole documentaire en français 2014
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africalibre
Avr 5, 2015 @ 11:20
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Toxic Somalia L’autre piraterie Documentaire Fr
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hakim
Avr 5, 2015 @ 10:40
Kenya,ouganda…..un nouveau drame qui s ajoute a la catastrophe du sida!Y a t il encore quelque chose a mettre sur le tas?
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bebert
Avr 5, 2015 @ 10:11
L’Iran la méthode de rapprochement avec les usa pour être mieux digéré, Obama après avoir reçu le prix nobel de l’hypocrisie, son voyage en Egypte avec quelques mot en Arabe pour faire croire qu’il était proche des Arabes a tenté un coup d’état contre l’Iran suite au élection de 2009.La seule cartouche qu’il lui reste après 8 ans d’échec est un rapprochement qui ne pourra pas être réalisé par les républicains.
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bebert
Avr 5, 2015 @ 9:26
L’individu est en général égoïste et ne pense qu’à lui, comment peut on devenir un terroriste, allez faire du mal à des innocents pour l’intérêt de ceux qui veulent te voir finir avec quelques balles dans la peau et t’exhiber comme un rat.
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bebert
Avr 5, 2015 @ 9:06
Avant le danger était les invasions de sauterelles, aujourd’hui c’est le terrorisme qui vient de l’occident, Turquie et des pays du Golfe.
Combien sont ils en Syrie, Irak, Liban, Yemen, Egypte, Libye, Tunisie, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Cameron, Kenya, pour faire autant de dégats depuis près de 7 ans.
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Columbo
Avr 5, 2015 @ 9:18
L’Algérie a mis dix ans pour nettoyer la gangrène .Maintenant elle ne s’y frotte plus , on tire d’abord , on discute après .
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Columbo
Avr 5, 2015 @ 9:33
un barbu vient de se réveiller …….
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bebert
Avr 5, 2015 @ 9:42
Elle a trop joué avec le FIS pour garder le pouvoir, le pays s’est autodétruit en quelques années et il est devenu une proie, il se passe la même chose au Venezuela le président Maduro ne peut gagner qu’avec le peuple comme pour la guerre d’Algérie.
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Charles
Avr 5, 2015 @ 8:44
German Wings et Fabiohollandovalso Wings??
Selon le bon sens de l analyse de la politique du pouvoir en France surtout les affaires étrang(èr) es dont en Syrie, Libye et anti-daech ..etc, le drame du German Wings
est le même que ce pouvoir.
Le Pilote principale n est pas là quand on a besoin de lui et quand il faudrait. Il n arrête pas d aller faire pipi tout le temps et ne frappe jamais à la porte en hurlant « ouvre cette foutue de porte nom de dieu ». Et dans le cockpit, le co-pilote Vals y est.
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Charles
Avr 5, 2015 @ 9:09
HS
Pour être sincère, nous profitons bilatéralement de ce site qui a ou qui avait eu une grande audience ce qui explique ou expliquait la présence de beaucoup de contributeurs de qualité , moi en bas de l échelle. Néanmoins, le ver est dans le fruit et si ça continue à ce qu il advienne moins fréquenté et moins fréquentable sur décision de sa direction, beaucoup et moi le premier n aurons aucun sens à y participer à un panier troué.( et des jets d oeuf et de tomate si ce n est pas pire .)
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Patrick
Avr 6, 2015 @ 5:38
Ne sois pas trop modeste Charles, tu excelles par tes textes ironiques et c’est ce qui ce qui donne à tes messages l’envie de les lire puisqu’ils sont de » haute qualité «
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Charles
Avr 5, 2015 @ 9:36
La seule différence entre le GERMAN WINGS & Le FRENCH GOVERNMENT WINGS
est que les deux derniers pilotes sont d accord sur le scénario macabre. Ils ont déjà coulé
la diversité politique de gauche en France et le pilote principal ne frappera pas à la porte du cockpit en hurlant: »Manu, ouvres cette foutue de porte ».
François dit: « Pas de problème, moi je vais bien et tout va bien. Nous allons continuer à prendre et désormais encore plus les avions Itihad Airways, Qatar Airways; ; Emirates Airlines Turkish Airlines, Saudi Arabian Airlines; Oman Air Lines, FlyDubai ……Tout va bien, moi je vais bien, dit il François..
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Charles
Avr 5, 2015 @ 10:12
Si je parle de l assassinat de la diversité intellectuelle et politique en France (notre sujet) , diversité qui aurait dû être bénéfique à mon humble avis , c est parce qu il y a eu :
–Une auto-destruction de la gauche plurielle depuis son intérieur puisque les voix de gauche n ont pas été reportées sur les autres gauches pluriels depuis celles qui fuient le PSF ( ou ce qu il reste du PSF s il en reste quelque chose…)
–Le FN est à diaboliser et à boycotter, nous disent ils. Si ce parti est illégal, il faudrait le dissoudre or à ce jour il fonctionne. Ils hurlent en nous disant: « Comment pourriez vous imaginer Marine le Pen en tant que future Mme la Présidente!! » ». Néanmoins, comment pourrions nous imaginer Sarkosy Président qui était en tête des barbares qui ont fait tuer un demi million de Libyens et qui n ont pas fait seulement la peau à Khaddafi (RIP) mais pire encore la peau à la Libye? Et comment pourriez vous imaginer Hollande revenant avec son bilan calamiteux à ce jour et tout le mal qu il a fait, au moins, en Syrie?
–On oublie que chaque parti a des adhérents, des sympathisants, des paumés ou des fuyards d ailleurs par manque de réponse à leurs problèmes et qui doivent choisir exclusivement entre les 2 ou 3 pelés ou tondus qui sont exposés dans la vitrine et à prendre ou à laisser? Ces gens doivent être respectées parce que quand le PEUPLE VOTE, IL A TOUJOURS RAISON MÈME S IL A TORT, règle No 1 de la démocratie, ne l oublions pas.
🙂 Et quand même Bon Dimanche et Bonnes fêtes de Pâques à ceux qui les célèbrent….
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Phoenix
Avr 5, 2015 @ 2:16
Alfred où es-tu ?
Tu nous boudes ?
Tu pars ainsi sans même nous dire au revoir ou Shalom à ta façon ?
C’est quoi ça ?
Juste quand je commençais à m’amuser de tes posts et persévérance à nous distraire des vrais sujets en sus de te la jouer Sioniste Juif, pire que Ariel Sharon ? 😆
Et sur moi et certains autres de mes collègues de la ré-info t’as déversé les ordures de France et de Navarre pardon de TEL qui AVIV-e le feu…
Mais bon, j’ai compris que t’avais le blues et que tu n’avais pas la patate…
Mais tu ne ne peux me tromper sur la vraie nature des choses et sur celle subliminale de tes messages, au travers des lignes et des mots…
Ce sera comme dit dans ton anagramme…
Joyeuse Pâques ou « Pessa’h »…comme on dit chez les « tiens »… 😉
Φοίνιξ
Ο ακριβής χρόνος (L’heure exacte)
02h16
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Columbo
Avr 5, 2015 @ 8:07
Oui Alfred , reviens .
Ou faut il attendre que l »infirmière en culotte rouge te requinque pour la semaine » ? 🙂
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Phoenix
Avr 5, 2015 @ 12:45
Columbo,
J’ai répondu à ton post sur Alfred par juste un mini texte de 2, 3 lignes…
Mais c’est parti mon kiki en Prison…illico presto… ❓
Tiens, moi qui pensais qu’Alfred avait quelque influence sur ceux-ci, je me suis probablement plantée, quand à son importance dans ces instances de la modération…enfin de ceux qui donnent ou pas le sésame de naissance ou mort de nos posts… 🙄
J’ai pondu mon texte ou pavé sur les États Unis, avec « accouchement » difficile cette nuit…
Mais le « petit » est né quand même après quelques heures pour sa sortie…
Mais il faut dire que c’était un gros « bébé »… et on a dû attendre Allain Jules, pour le faire sortir et par lui le parrainer, car c’est du lourd mon « bébé »… 😆
Entre nous soit dit, mes enfants n’étaient pas des confettis, mais plutôt bien en forme et avec un super bon poids à la naissance, mais je lai ai tous accouchés en rigolade et même musique installée pour l’occasion dans la salle d’accpouchement, une équipe médicale de dingues avec moi, le toubib en premier, la même équipe pour tous mes accouchements (3), à décalage horaire quand même, le temps que les autres soient en gestation après le premier… 😆
Pas de péridurale, mais tout naturel et pas un seul cri de douleur(maitrisée par la technique et le mental) je n’ai poussé, car je voyais tout en rose…
Mon mari lui par contre est tombé dans les pommes d’émotion… 😉 et a du recevoir des soins… 😆
Les texte sur les États Unis, accouché cette nuit…C’est publié sur la page : « Rétropédalage Nucléaire Iranien Obama bla bla bla… »
Mais dommage pour les nombreux liens que j’avais pour corroborer avec les docus et preuves historiques et d’actualité avérés, out le contenu de mon texte de mise en perspective historique imbriqué dans le présent, car on ne peut plus le faire sur ce site de ré-info, ni avons encore la possibilité de sourcer nos textes et contenus de ceux-ci…
Mais bon, si on « google », avec les infos que j’y ai mise, avec les mots clés, on peut retrouver tout cela, surtout sur le génocide systématique des Amérindiens, avec la variole leur inoculée entre autres spécialités mortifères de nos zamis. TOR-dus…et psychopathes grave atteints depuis le début de la ConstrucSION de ce pays volé aux Amérindiens d’Amérique du Nord…
En fait c’est du par cœur, mais j’aurais aimé le documenter pour les autres qui s’y intéressent, qu’ils enregistrent ou s’informent par eux-même, avec les liens y attachés normalement, mais bon , on fait avec… 🙂
À guerre…comme à la guerre… 😉
Φοίνιξ
Ο ακριβής χρόνος (L’heure exacte)
12h45
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Columbo
Avr 6, 2015 @ 10:44
Une petite note en passant sur la péridurale .L’OMS (officielment ) autorisent les accouchements par péridurale pour un taux de 15 % par cliniques et hôpitaux .Hors la plupart des cliniques et hôpitaux (officieusement ) appliquent la péridurale avec un taux de 45 %.
Une façon de réduire la population mondiale ? Car au dessus de deux trois enfants , c’est au risque et péril de la mère .
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Columbo
Avr 5, 2015 @ 8:37
une phrase de deux lignes au Cheikh point 🙂
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Columbo
Avr 5, 2015 @ 9:07
Bon , je retente ?Oui reviens , ou faut-il attendre que tu te fasse « » » requinquer par l’infirmière en culotte rouge » » » ? 🙂
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Phoenix
Avr 5, 2015 @ 11:42
Salut Columbo,
Je te le jure que j’allais le lui dire, mais statut de femme oblige je me suis abstenue, concernant le dessous, j’allais le faire aussi, dans le même style hi hi hi 😆
Mais bon je ne l’ai pas fait pour les raisons que je viens d’évoquer… , pensant que venant d’un mec…ça passe mieux… 😉
Bien à toi, aux autres , ainsi qu’à Alfred…requinqué par les dessous et la couleur, le mieux c’est en rose, ainsi il voit la vie en rose…et pas en bleu blanc rayé…, qui comme couleur ne lui sied pas tant car ça raye son disque dur grave de grave ces 2 couleurs entachées de sang des innocents…
Et lui je ne sais pourquoi, ou si je le sais je pense, aime à se noircir, puisque on en est déjà à la palette colorée…:
Un peu mazo quand même notre Alfredo….« SÉMIIIIITE »…, à nous faire comme ses « ancêtres » à Massada un BYE BYE collectif… 😆
Bonne Pâques à tous les Chrétiens qui fêtent aujourd’hui
Phoenix
11h342
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Phoenix
Avr 5, 2015 @ 13:00
Columbo,
En 3 essai de réponse pour t’aviser juste des 2 premiers partis en flop…
2 posts courts en modération et c’est pas du lourd mais du court, ainsi que du léger, pas de SION dedans, le reproche précédent de la modé, venant pointé sur ça…
J’ai tué SION dans ces textes, Pchiiiiiiiiiit plus de SION, avec qui on ne rigole pas, alors j’ai changé de registre et de « poids » aussi…
Il faut savoir sur quel pied ici danser, le rythme étant si changeant, où d’un coup le « pas » de danse…change de direction et le « corps »…pardon l’esprit perd pied. et ne suit pas la nouvelle direcsion de dysharmonie.. 🙄 ❓
Cela doit être une nouvelle vague… 😉 et à nous le temps de s’y habituer…
Φοίνιξ
Ο ακριβής χρόνος (L’heure exacte)
13h00
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Lydia
Avr 6, 2015 @ 1:35
Charles et Phoenix,
Vous incarnez les derniers résistants de ce navire qui sombre chaque jour un peu plus…
Bravo et merci pour la justesse et la pertinence de vos propos..
Longue vie à vous…
Et bonne fête de Pâques
Bien a vous..
Lydia
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Phoenix
Avr 6, 2015 @ 2:23
Coucou Lydia,
Juste avant de refermer le PC je vous salue, ayant vu votre post nous adressé et je vous retourne la gentillesse de vos propos dans le même sens et je pense déjà vous l’avoir dit à moult reprises que vous êtes une belle âme, une personne de bien et dans la résistance contre l’Injustice d’un système global prédateur, multicéphale et multiforme, versatile, perfide et in fine inhumain…
J’ai une absolue conscience de la situation je pense, en toute modestie dit, mais non moins conscience de la réalité et de la nature des choses, autant dans le monde que de celle peu enviable et peu honorable dans laquelle se trouve ce site, qui était un bon site de ré-information pourtant…
Mais, tout fout le camp et va à va l’eau…
La majorité d’entre nous des compagnons de la résistance au NOM USISRAËL & Co Traîtres Nationaux de tous bords, comme dit par notre ami et collègue @Fredo, le sait et ressent ce malaise et ce changement de cap du site Allain Jules…
Dommage qu’on nous aie ici dans sa direction, pris pour ce que nous ne sommes pas, en laissant pourrir les choses et en laissant le site être envahi par les trolls et malfaisants de SION et de ceux des traîtres de tous bords y affiliés à cet Empire du Mal USISRAËL & Co…
Ici ça pullule de sayanims de Sion & Co, qui comme la vermine ont envahi le site et ne le lâchent pas jusqu’à ce qu’il trépasse !
C’est devenu autant le bordel de bas niveau de caniveau, qu’une arène de gladiateurs et de pugilat et ça vole bas et les insultes, calomnies, diffamations, allusions, supputations, allusions nauséabondes, pestilentielles, puantes à mort, sexistes quand les pédés sans c*****es et les lâches de SION n’ont que le mensonge immonde sur la personne et non le contenu à opposer aux arguments et textes de vérité des contributeurs de la ré-info et résistance au NOM USISRAËL & Co…
La direction, soit a quitté le bateau, soit elle compte les points…
Bon, j’arrête là, car je ne veux pas avoir la nausée avant d’aller dormir…
Bien à vous Lydia et aux autres compagnons de la ré-info et résistance au NOM USISRAËL & Co Traîtres Nationaux de tous bords et niveaux, même ceux de celui de caniveau et ils se reconnaîtront les pov’cons et hères d’insignifiance…, mais non moins abjects pour ça, car au plus con on est, au plus on ose…, le ridicule ne tue pas les imbéciles et les traîtres…
Φοίνιξ
Ο ακριβής χρόνος (L’heure exacte)
02h23
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aras
Avr 5, 2015 @ 1:49
Un état qui fait de la surenchère dans l’horreur, c’est horrible et honteux.
En envahissant la Somalie le Kenya à créer le terrorisme sur son territoire.
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hakim
Avr 5, 2015 @ 1:58
kenya,ouganda,somalie face aux shebabs
syrie,irak,lybie face a l ei
cameroune,tchad,nigeria, face a boko haram
En realite tous ces pays combattent l ei,les shebabs quand a eux ne vont pas tarder a preter allegence a l ei comme boko haram et la boucle est bouclee!! parole!!
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africalibre
Avr 5, 2015 @ 1:42
Depuis le fameux « printemps arabe » et surtout la destruction de la Libye par les néo-colons, le terrorisme islamiste en Afrique a pris des proportions terrifiantes. De Tombouctou à Dakar, c’est quasiment tout le Continent qui est menacé. Dans cet article, l’accent est mis sur l’Afrique Subsaharienne et sur les différents groupes terroristes qui s’y sont implantés. Leurs sources de financement, le kidnapping et les rançons qu’il génère, le narcotrafic, les collectes d’argents d’organisations « légales » installés en Occident, les dollars de certains richissimes wahhabites et, bien évidemment de l’émirat islamo-mafieux du Qatar, dont la télévision Al-Jazeera n’a pas cessé depuis des années de faire la promotion de ces groupes terroristes.
L’Afrique subsaharienne est depuis longtemps un terrain fertile pour la prolifération des activités illicites, et le terrorisme n’y fait pas exception. Guerres ouvertes, luttes intestines, instabilité politique, corruption, ingérences extérieures, le terrorisme qui touche particulièrement la région s’étendant de Somalie jusqu’au Nigeria vient aggraver une situation déjà très délicate sur le plan sécuritaire. Les attaques, attentats et enlèvements se multiplient partout sur la bande Sahélienne, de Somalie au Niger en passant par le Mali, les frontières Kenyanes, l’Ouganda ou encore jusqu’au Burkina Faso.
En effet, si l’Afrique dans son intégralité connaît une forte hausse des actes terroristes depuis les années 1990, l’Afrique subsaharienne et particulièrement la zone du Sahel sont au cœur de ce mouvement. Les États locaux se révèlent souvent impuissants pour empêcher la recrudescence récente des mouvements violents. Les Groupes Armés Terroristes (GAT) comme on les nomme depuis peu, sont donc devenus un acteur à part entière du jeu politique africain, profitant de l’érosion du pouvoir des États locaux. Dans ce contexte de crise qui ne peut à l’heure actuelle que s’aggraver, il devient d’autant plus important de faire preuve de discernement et de distinguer qui sont ces groupes, quelles sont leurs spécificités et modes d’actions, et quelles pourraient être les solutions envisageables pour contrer leurs menées en territoire africain.
Etat des lieux
On appelle Afrique Subsaharienne la majeure partie de l’Afrique située au sud du désert du Sahara. Elle englobe de très nombreux États (dit d’Afrique Noire). La bande du Sahel (de l’arabe ساحل pour « frontière ») forme son extrémité nord, de l’Atlantique à la mer Rouge. Le terme de Sahel proprement dit renvoie cependant, dans son usage normal, à sa partie méridionale.
La zone du Sahel, de par ses particularités géographiques, est le cœur du terrorisme en Afrique subsaharienne. Elle est en effet aride, pauvre, peu peuplée (et principalement par des peuplades nomades par nature hostiles aux gouvernements centraux : Touaregs, Peuls, Afar, Somali…) en plus d’offrir de nombreuses cachettes potentielles. C’est également le passage obligé des groupes opérant plus au nord et/ou se cachant dans le Sahara (AQMI, bandes armées en provenance de Lybie, groupes touaregs) lorsqu’elles mènent des actions vers les États subsahariens.
Dramatis Personae
Les différents mouvements terroristes dans le Sahel sont nombreux, même s’ils partagent la plupart de leurs éléments (motivations, fonctionnement). Il s’agit en majorité de mouvements opérant sur une base idéologique islamique salafiste (Al-Qaïda et ses « filiales » AQMI, Al-Shabaab et MUJAO, Boko Haram) bien qu’on compte également des mouvements laïcs, principalement touaregs autonomistes (MNLA) et parfois des groupes à la fois autonomistes et salafistes (Ansar Dine).
Des connexions, des alliances et des guerres entre ces mouvements ont régulièrement lieu, mais la tendance actuelle est au rapprochement entre les principaux groupes terroristes salafistes. Depuis 2012, il a notamment été prouvé que des moyens matériels et financiers avaient été mis en commun entre les trois principales organisations terroristes du Sahel : AQMI, Boko Haram et Al Shabaab.
Al Qaïda et AQMI
En 2007 déjà, la plus célèbre organisation terroriste islamiste du monde avait fait connaître publiquement son intention d’intensifier ses activités en Afrique. C’est cette annonce, couplée à la constatation du manque de moyens des services de renseignements et de contre-terrorisme locaux, qui a conduit les États-Unis à renforcer leurs activités sur place et à créer l’AFRICOM (United States Africa Command) pour les coordonner, dans le but implicite de protéger ses approvisionnements de pétrole africain des troubles terroristes.
Mais la genèse d’Al Qaïda dans la région est plus ancienne : issu des sanglantes insurrections islamiques en Algérie des années 1990, le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), affaibli par les dissensions internes et malmené par l’armée algérienne, a trouvé un second souffle en 2006 en s’associant à Al-Qaïda, devenant ainsi Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI).
Basé sur la même structure que son illustre modèle, AQMI est issue de plusieurs « branches » agissant plus ou moins de concert, assez faiblement reliées et fortement décentralisées, de sorte que la destruction d’un de ses foyers ou la mort d’un de ses commandants ne signifie pas la désorganisation de l’ensemble. Bien qu’implantée historiquement dans la partie saharienne de l’Algérie, l’organisation opère dans toute la zone du Sahel, couvrant la Mauritanie, le Nigeria et le Mali. Son mode opératoire inclut l’arsenal habituel des groupes islamistes terroristes : attentats à la bombe (dont des attentats suicides), assassinats ciblés (par balle, le plus souvent) et enlèvements avec demande de rançon, permettant de lever des fonds.
Boko Haram
Boko Haram est une organisation terroriste/secte créée en 2002 au Nigeria, dans l’optique d’appliquer la Charia dans sa version stricte (voire moyenâgeuse) dans tout le pays. Sa création même a fortement été influencée par le modèle d’Al-Qaïda en Afghanistan durant l’invasion américaine et il se positionne sur le même créneau idéologique que son modèle, dont il reprend la stratégie. Le but de la secte est d’instaurer un État Islamiste basé sur le modèle des Talibans au Nigeria. Elle s’est illustrée par des attentats à l’encontre du gouvernement Nigérian, des combats ouverts avec son armée et des actions de persécutions de la population catholique du pays.
Ses actions comprennent un recours à la violence de masse bien plus décomplexé que chez les autres organisations islamistes (massacres de Mamudo, Benisheik, Gujba…), privilégiant les attaques armées de grande envergure aux traditionnels attentats-suicides et assassinats ciblés. Les fidèles de Boko Haram pratiquent depuis 2012 des raids de grande envergure sur des villages entiers, ciblant particulièrement les lieux d’éducation (Boko Haram signifiant grossièrement « l’éducation [occidentale] est un péché ») et les lieux de cultes chrétiens.
Boko Haram est ainsi responsable de nombreuses attaques contre des lycées impliquant, outre le massacre des professeurs et des élèves, l’enlèvement de jeunes filles afin de les revendre comme esclave ou de les « marier » à ses soldats. Boko Haram est récemment devenu tristement célèbre après le rapt de plus de 276 lycéennes à Chibok, le 11 avril 2014.
Al-Chebab
Le « Ḥarakat ash-Shabāb al-Mujāhidīn » (« mouvement des jeunes mujahidin »), est une organisation terroriste salafiste somalienne. Comme AQMI, sa structure et ses objectifs sont sensiblement la même que celle d’Al-Qaïda. Crée en 2006 au plus fort de la guerre en Somalie entre les nombreuses factions somaliennes incluant les célèbres Tribunaux Islamiques, Al-Chebab est aujourd’hui le principal mouvement terroriste opposé au gouvernement Somalien.
Après une série d’actions militaires ouvertes couronnées de succès lors de la guerre civile somalienne dès 2008, les Chebabs contrôlaient plusieurs villes importantes dans le sud du pays. Délogés par l’armée Somalienne appuyée par l’Union Africaine, ils sont chassés de Mogadiscio en 2011 et rentrent dans la clandestinité en 2012. Aux abois, ne pouvant plus mener de guerre conventionnelle, ils se tournent vers les stratégies terroristes standards à partir de cette date (attentats suicides, enlèvements, assassinats ciblés). Leur théâtre d’opération s’est déplacé en réponse à l’action de l’Union Africaine, puisque leur dernière action d’envergure fut la tuerie du centre commercial Westgate à Nairobi, capitale du Kenya, durant laquelle des miliciens Chebabs ont tué au moins 60 personnes.
Avec l’intensification des assassinats ciblés menés par le gouvernement Obama et mettant en danger les sanctuaires d’Al-Qaïda au Pakistan, les planques d’Al-Chebab en Somalie sont considérées comme le plus probable lieu de repli de la chaîne de commande d’Al-Qaïda.
Le nerf de la guerre
Aucune lutte armée ne saurait être menée sans un solide apport financier et une logistique adaptée. Cette règle d’or s’applique aussi bien aux conflits « normaux » qu’aux affrontements asymétriques issus d’activités terroristes. En effet ces organisations, bien que très flexibles, ont des besoins financiers considérables ne serait-ce que pour s’armer et survivre. La pauvreté du Sahel ne permettant pas de s’approvisionner uniquement via des raids de pillage, l’argent doit venir d’autres sources.
C’est pourquoi la principale source de revenu de ces organisations vient des prises d’otages et de leurs rançons. Si les autorités de certains pays comme l’Algérie ont pour ordre absolu d’éviter toute négociation au détriment des otages (voir les évènements de la crise d’In-Anemas en Algérie), la stratégie de la majeure partie des pays occidentaux demeure sous le signe de la protection des otages : en conséquence, les prises d’otages représentent d’après les estimations de Jean-Charles Brisard (consultant en terrorisme et intelligence économique) près de 90% des ressources d’AQMI.
A coté de cette source majeure, divers trafics permettent d’augmenter les ressources de ces organisations : le trafic d’armes via les bandes armées descendant de Lybie et les mercenaires du Front Polisario dans le Sahara, le trafic de drogue dures, principalement de l’héroïne dans l’est et de la cocaïne dans l’ouest, ou même le trafic d’esclaves (dans le cas de Boko Haram) et la prise d’intérêts dans les réseaux de passeurs clandestins, particulièrement lucratifs.
Ces organisations sont également alimentées par des flux d’argent « propre » émanant d’organisations légales installées en occident et procédant à des « collectes de fond » régulières.
Des solutions futures ?
Malgré une résistance effective de la part des États locaux (armée Algérienne, armée Nigériane, armée Somalienne, Union Africaine) et un investissement non-négligeable des puissances occidentales (services secrets, intervention militaire, formation par les occidentaux des cadres locaux), les menaces terroristes sur le Sahel ne sont pas prêtes d’êtres maitrisées. La faute en revient au caractère flexible et difficile à neutraliser de ces organisations, mais aussi et surtout au contexte chaotique dans lequel elles évoluent.
Le terrorisme, en effet, a tendance à fleurir sur les terrains laissés à l’abandon. Le manque de contrôle des États centraux, les rivalités ethniques et religieuses et la précarité économique font du terrorisme dans le Sahel le symptôme d’un désordre plus profond. Ainsi, aucun progrès autre que temporaire ne pourra être envisagé dans la lutte contre cette menace sans un meilleur contrôle des transferts d’armes conventionnelles sur le continent africain et la résolution des impasses géopolitiques paralysant toute action en Afrique subsaharienne (Mali, Somalie, Nigéria).
Galilée News, initialement publié sous le titre de « Les Groupes Armés Terroristes en Afrique subsaharienne ».
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Un nouveau fléau menace l’Afrique, celui du terrorisme islamiste
tunisie-secret.
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Amazigh__
Avr 5, 2015 @ 1:41
L’occident donneur de leçon, très peu toucher, par ces abrutis islamisés, font tout pour que leurs jouets soient pris vivants pour les remettre en scelle à travers des grâces et des libérations forcées via les succursales de la CIA sous sobriquets humanitaires Amnesty, Human Right etc..
L’Afrique, les pays maghrébins, et arabes que ces abrutis saignent tous les jours eux savent que ces types ne sont pas mieux que des animaux qu’on peut tout à fait exhiber (déjà histoire de faire réfléchir ceux qui seraient tenté de les rejoindre) mais surtout que le meilleur état dans lequel il faut les prendre c’est à l’horizontale et criblés de balles. Ensuite les foutres dans un trou pour ne pas avoir à supporter leur odeurs.
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africalibre
Avr 5, 2015 @ 1:36
ll le dit très clairement en réponse à la question du journaliste du Figaro. Il disait aussi qu’ils sont les enfants de la Tunisie et que l’Etat a fait l’erreur de ne pas les reconnaitre. Ce chef local de la secte des Frères musulmans dont le quotidien « qatari » Le Monde est devenu le porte-parole, c’est Bourguiba et Ben Ali qui portent la responsabilité de la situation actuelle. Dans cette interview pas très remarquée à l’époque (2013), le journaliste du Figaro, à l’inverse des propagandistes du Monde, pose au gourou d’Ennahdha les vraies questions, dont les réponses laissent échapper la pensée profonde et souvent dissimulée de ce chef obscurantiste et terroriste.a
Interview de Rached Ghannouchi.
LE FIGARO. – Quel est votre sentiment après cette journée de violences?
Rached GHANNOUCHI. – C’était un test sur l’application de la loi et c’est une victoire pour l’État. Je félicite la police et l’armée d’avoir réussi à récupérer leur autorité.
Faut-il éradiquer les djihadistes?
Non, je pense qu’un tri se fera entre les franges modérées qui refusent de s’opposer à l’État et les autres. Ces derniers iront vers l’isolement, comme ceux qui l’ont précédé – que ce soient les mouvements gauchistes, nationalistes et islamistes dans les années 1970. Tous, au début, ils se rebellaient contre l’État. Et finalement ils ont accepté son principe. Le problème c’est que l’État n’a pas reconnu ces mouvements. C’est pourquoi il a chuté.
Ne craignez-vous pas une réponse violente à cette répression?
Peut-être. Mais ils se mettraient encore plus en difficulté. Et cela remonterait le peuple contre eux et augmenterait leur marginalisation. Pour éviter d’en arriver là, il faudrait résoudre des problèmes de développement. Le phénomène djihadiste se développe dans les zones les plus pauvres, au développement desquelles l’État devrait donner plus d’importance.
Quel est le programme d’Ennahda pour cela?
Le programme du gouvernement sous Ben Ali était tourné à 80 % vers le développement des zones côtières et 20 % vers l’intérieur. Aujourd’hui c’est l’inverse. On s’oriente vers une économie sociale. Il ne faut pas se contenter des efforts de l’État: l’argent des familles Trabelsi-Ben Ali doit être investi dans ces régions.
Vous dites développer l’intérieur des terres mais, sur place, beaucoup se plaignent de ne rien voir.
C’est vrai. Mais ce qui a été détruit en 50 ans ne peut pas être réparé en 2 ans. Il y a un projet de réaliser une infrastructure de base. De construire une autoroute de la capitale vers Kasserine, Kairouan, Sidi Bouzid, Gafsa.
Deux enregistrements prouvent que vous tenez un double discours entre ce que vous affirmez en public et ce que vous dites aux salafistes…
Il n’y a pas de double discours. Moi j’essayais de convaincre les salafistes pour qu’ils travaillent au sein de la société civile. Je leur ai dit que l’État est fort et qu’il allait les écraser. Ils n’ont pas entendu.
Allez-vous toujours appeler les salafistes «mes enfants»?
Je considère qu’ils sont les enfants de la Tunisie. Et certains de vos enfants sont droits, d’autres pas. On doit essayer de les récupérer. Pour cela il faut dialoguer. Ce que l’on vit aujourd’hui, ça n’est pas le fruit de la Révolution mais celui de Ben Ali. La Tunisie est devenue une destination pour des vagues de salafistes de l’étranger parce que les régimes de Bourguiba et de Ben Ali ont fait du pays un terrain fragile.
Le Figaro du 22 mai 2013
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africalibre
Avr 5, 2015 @ 0:57
Contrairement à BHL qui a été renvoyé de Tunisie comme un malpropre, la visite de George Soros au pays du jasmin n’a suscité aucune critique. Il a été au contraire accueilli comme un chef d’Etat et reçu par les deux têtes de l’exécutif tunisien : Béji Caïd Essebsi et Rached Ghannouchi. Il mérite bien un tel accueil. Avec son organisation « Open Society Institute », n’a-t-il pas été le véritable chef « spirituel » de la « révolution du jasmin » ? Comme nous l’avons démontré plusieurs fois, cette organisation subversive a formé à la « démocratie et à liberté » plusieurs mercenaires tunisiens dont, certains occupent aujourd’hui des postes stratégiques. Elle a aussi financé, dès 2008, plusieurs « ONG » et sites tunisiens, principalement Nawaat.org, le site arabe de l’Open Society Institute, que dirigeaient à l’époque Sami Ben Gharbia, les frères Guerfali et Malek Khadhraoui. C’est qu’à l’inverse de BHL qui veut jouer le même rôle universel que George Soros, ce dernier est bien « généreux » avec ses mercenaires. Avec sa fortune colossale acquise à la sueur de son front, il peut se le permettre. Le plus risible est que cet agent britannique le plus corrompu et le plus corrupteur a fait du combat contre la corruption son fer de lance. Qu’est-il allé faire en Tunisie ? Pourquoi a-t-il été reçu comme un chef d’Etat ? Quelle serait sa part du gâteau dans cette Tunisie déjà saignée par quatre années de corruption sans précédent dans l’histoire de ce pays ? Pour répondre à ces interrogations, il suffit de lire l’article d’investigation qui va suivre.
Depuis fort longtemps, l’action et l’argent de George Soros sont devenus des instruments pour démanteler la souveraineté nationale des Etats, en remplissant les caisses d’organisations « philanthropiques » ou « droitdelhommistes ». Nous examinons brièvement ici un des aspects de cette opération.
Au moment de la première enquête au pénal intentée contre lui pour manipulation des cours boursiers en 1979, George Soros lança le Open Society Fund, destiné à « ouvrir des sociétés fermées ». Aujourd’hui, il est actif dans 29 pays. Affirmant que « les Etats ont des intérêts, mais pas de principes », Soros explique qu’une société ouverte idéale supprimerait les intérêts nationaux spécifiques, tandis qu’une structure politique et financière internationale prendrait la responsabilité de la défense du bien des gens. [1]
Plutôt misanthrope que philanthrope
Dans ce but, Soros dote ses organisations philanthropiques de liquidités financières, qui « achètent » ensuite d’importants secteurs de la population, qui se déchaîne à son tour pour faire tomber tout gouvernement qui essaie de maintenir une « société fermée ». [2]
Si une nation souhaite contrôler ses propres ressources naturelles, c’est une société fermée. Si une nation souhaite développer son économie et sa force de travail à l’aide de tarifs douaniers et de régulations, c’est une société fermée. Toute nation qui rejette la mondialisation (c’est-à-dire l’impérialisme du libre-échange) est condamnée au même titre et fera l’objet d’attaques de la part des organisations de Soros et de son organisation secrète.
Parmi les organisations de renseignement de style britannique sous la supervision de Soros, on trouve l’Open Society Institute (OSI), Human Rights Watch, la Fondation Soros, et l’Initiative relative à la transparence des industries extractives.
En 2002, Soros reconnut avoir déboursé plus de 2,1 milliards de dollars en cinq ans dans ces entreprises philanthropiques. Il écrit à leur propos : « Elles travaillent avec le gouvernement lorsqu’elles le peuvent et indépendamment du gouvernement lorsqu’elles ne le peuvent pas ; parfois elles sont carrément dans l’opposition. Lorsque les fondations peuvent coopérer avec le gouvernement, elles peuvent être plus efficaces ; lorsqu’elles ne le peuvent pas, leur travail est d’autant plus nécessaire et apprécié, car elles offrent une source de financement alternative pour la société civile. En règle générale, pire est le gouvernement, mieux est la fondation car elle jouit de l’engagement et du soutien de la société civile. »
C’est aussi cette année-là, que George Soros et le libéral-impérialiste (limp) Tony Blair lancent l’Initiative relative à la transparence des industries extractives (EITI) afin d’établir une norme internationale suivant laquelle les nations riches en pétrole, en gaz naturel ou en métaux stratégiques déclarent les recettes de leurs entreprises publiques.
De cette manière, l’EITI a la possibilité d’examiner les recettes des industries stratégiques. Tout ce que ces messieurs considèrent comme un comportement « sociétal fermé » est mis devant le tribunal de manifestations orchestrées et financées, ou si ce comportement pose une menace sérieuse aux intérêts impériaux, les Nations unies, la Banque mondiale, le FMI ou l’OMC peuvent être mobilisés pour imposer des sanctions. Le processus de soumission d’un pays souverain à une norme de comportement internationale fixe s’appelle la « transparence ». La relation fixe entre ces pays soumis s’appelle l’empire.
Tony Blair a explicitement formulé sa vision de ce genre d’institutions dans un discours devant le Sommet mondial de l’ONU, en septembre 2005 : « A l’occasion de ce sommet, pour la première fois, nous nous mettons d’accord que les Etats n’ont pas le droit de faire ce qu’ils veulent au sein de leurs propres frontières, mais que nous, au nom de l’humanité, avons le devoir commun de protéger les peuples là où leur gouvernement refuse de le faire. » [3]
L’EITI a déjà dans le collimateur une liste de 23 pays destinés au pillage au profit du Commonwealth, la majorité situés en Afrique, mais certains aux frontières de la Russie et de la Chine. Pourtant, beaucoup de gens bien intentionnés, aux Etats-Unis et ailleurs, soutiennent George Soros pour sa « défense des droits de l’homme » et sont inspirés par l’appel à mettre fin aux « régimes autoritaires » et à accroître la « transparence » démocratique.
La lutte pour l’Eurasie
Dans sa prévision économique de 1983, Lyndon LaRouche avertissait que si l’Union soviétique devait rejeter son Initiative de défense stratégique (IDS), adoptée par le président Reagan, « les difficultés de l’économie du Comecon mèneraient à l’effondrement du système d’ici environ cinq ans ».
Lors de son discours en 1988 à l’Hôtel Kempinski de Berlin, LaRouche lança un avertissement semblable : « Tous ceux qui appartiennent au cercle de ce qu’on appelle les hommes politiques de classe mondiale savent que le monde est entré dans la fin de l’ère de l’après-guerre. (…) Ce que feront les gouvernements au cours des deux prochaines années décidera du sort de toute l’humanité pour un siècle, voire plus. (…) Le moment est venu de prendre une décision audacieuse quant à la politique américaine envers l’Europe centrale. »
A l’époque, le mouvement de LaRouche recrutait parmi d’influents cercles eurasiatiques autour de la perspective du Triangle productif et, plus tard, du Pont terrestre eurasiatique, afin de transformer la région en une communauté d’Etats-nations prospères. A l’opposé, l’establishment britannique voyait dans la crise en Allemagne et en Union soviétique un tournant potentiellement désastreux pour son système.
C’est alors que George Soros lance ses fondations dans toute l’Europe de l’Est. En Pologne, la Fondation Stephan Batory est le laboratoire pilote du modèle de « thérapie de choc » de Jeffrey Sachs, assortie d’austérité monétaire et de néo-libéralisme prédateur.
De ce programme Polonais, Soros déclare : « Le FMI donna son feu vert et le programme fut mis en œuvre à partir du 1er janvier 1990. C’était très dur pour la population, mais les gens étaient prêts à accepter de souffrir afin d’obtenir un vrai changement. (…) L’inflation fut réduite, mais le verdict n’est pas encore posé car l’ajustement structurel se fait attendre. La production a baissé de 30%, mais l’emploi de seulement 3%. Cela veut dire que la direction des entreprises d’Etat, retranchée, s’est servie du répit gagné sur les revendications salariales pour améliorer ses marges de profit et maintenir l’emploi des travailleurs. Il existe une alliance peu sainte entre la direction et les salariés qui sera difficile à briser. » En d’autres termes, il fallait de l’austérité monétaire digne d’un Hjalmar Schacht, du travail esclavagiste et le démantèlement des acquis sociaux.
Ce même modèle sera utilisé pour conduire la Russie à la ruine ; là, Soros appuie le Plan Chataline pour démonter l’économie militaro-industrielle soviétique et pour imposer la « discipline budgétaire ». Ce programme de Soros se traduit par un désastre : privatisation de l’industrie public, contrats douteux sur les stocks militaires soviétiques, trafic de matières premières, d’armes et de drogue. En cinq ans, un nombre alarmant de travailleurs passe de l’économie productive à une activité criminelle et la Russie connait la plus grande expansion du trafic et de consommation de stupéfiants de la région. [4]
Au cours des années suivant la dissolution de l’Union soviétique, Soros met sur pied des fondations dans 23 pays. Lors du lancement de la guerre des Balkans en 1991, il verse des millions de dollars dans la région, réservant 15 millions à la seule subversion politique de la Croatie.
En décembre 1996, le président croate Franjo Tudjman note son influence : « Avec l’aide de Soros, [les organisations] ont complètement infiltré la société. (…) Ils ont impliqué dans leur projet 290 institutions différentes, ainsi que des centaines de personnes. (…) A travers le soutien financier, ils ont attiré des membres de tous les âges et de toutes les classes, depuis des lycéens jusqu’aux journalistes, professeurs et académiciens, venant de tous les milieux, la culture, l’économie, la science, la santé, le droit et la littérature. (…) Ils disent ouvertement que leur devoir consiste à changer les structures de propriété et de gouvernement à travers des donations. (…) Pour créer des conditions favorables à la subversion de l’autorité et à la situation actuelles en Croatie, pour exercer un contrôle sur toutes les sphères de la vie, ils entendent concentrer leurs énergies et leur influence sur les médias et le monde de la culture. »
A la même époque, Soros crée l’International Science Foundation pour offrir des subventions intéressantes aux scientifiques russes. Les Russes, alors appauvris, cherchent à gagner leur vie et Soros arrive avec des projets et de l’argent. Beaucoup ont confié qu’ils « se sentaient mal dans leur peau », mais avaient besoin de l’argent pour survivre. Bien que les salaires aient été versés, les investissements de l’ISF en recherche et développement n’étaient guère suffisants pour permettre de vrais travaux en recherche fondamentale.
Des sources du renseignement américain étaient alors convaincues que Soros voulait simplement exploiter leur savoir. Au départ, l’ISF offrait des subventions importantes, mais elle réduisait ensuite constamment les financements, amenant de jeunes scientifiques à quitter leur pays, privant ainsi la Russie de sa ressource la plus vitale.
En 2003, Soros annonça qu’il retirait son soutien à la Russie afin de se concentrer davantage sur les Etats-Unis, se disant « préoccupé par les problèmes de la mondialisation » et, depuis le 11 septembre, « par le rôle que les Etats-Unis jouent dans le monde ».
Le 12 juin de cette même année, l’OSI lance une initiative pour débourser 800 millions de dollars sur dix ans, « afin de faire avancer la démocratie et la réforme progressiste aux Etats-Unis ». Des études seront financées, entre autres, sur la manière dont des institutions comme l’UE ou l’ONU peuvent être utilisées pour « influencer ou restreindre le comportement non libéral » mais aussi maintenir la stabilité et l’ordre après l’effondrement d’un « régime autoritaire ». Les attaques lancées par les troupes de Soros dans les pays de l’Est devraient mettre la puce à l’oreille des Américains qui continuent de soutenir ses projets.
Pas de transparence off-shore
Contrairement à son image faussement héroïque du superman de la finance, George Soros n’a jamais agi seul dans ses opérations, sachant que son intérêt premier a toujours consisté à tirer son épingle du jeu face à ses sponsors.
Une décennie avant de lancer l’Open Society Fund, Soros quitte son poste chez Arnhold and S. Blechroeder Inc. [5] , qui lui offre les fonds de départ pour créer le Quantum Fund NV, un fonds off-shore qui gère, en 2001, entre 11 et 14 milliards de dollars.
Le Quantum Fund et le Soros Fund Management servent de sources de financement pour les projets internationaux cités ci-dessus. Soros a choisi de créer son fonds dans les Antilles néerlandaises, un protectorat de la monarchie des Pays-Bas, et d’exclure tout américain du Conseil d’administration et d’investissements du fond, afin d’échapper aux regards des autorités américaines, ainsi qu’aux régulations et aux impôts américains. Tout en demandant de la transparence chez les autres, bien évidemment.
Soros s’est tellement efforcé de contourner les lois américaines qu’il ne siège même pas au Conseil de son propre fonds, mais sert officiellement de « conseiller aux investissements » par le biais du Soros Fund Management, sis à New York. Par contre, les investisseurs et le Conseil du Quantum Fund abondent en financiers britanniques, italiens et suisses, la Reine ElisabethII détenant une position spéciale sur la liste des clients.
Richard Katz siège aussi au Conseil d’administration de la banque NM Rothschild Sons de Londres et dirige Rothschild Italia SpA. Nils O. Taube est directeur de St. James Palace, un groupe d’investissement de Londres et important partenaire de lord Rothschild. George Karlweiss vient de la Banca Privata suisse d’Edmond de Rothschild. Selon différentes interviews et publications, Karlweiss contribua lui aussi à fournir du capital pour le lancement du Quantum Fund.
L’un des membres du Conseil du Quantum Fund, Edgar de Picciotto, un financier suisse, est impliqué à la fin des années 80 dans des attaques contre l’organisation européenne de Lyndon LaRouche, alors qu’il faisait transiter de l’argent à travers l’institut suisse Geo-Pol de Laurent Murawiec, actuellement membre du Hudson Institute néoconservateur. [6]
De Picciotto est, lui, président de l’Union Bancaire Privée, née d’une fusion avec la Trade Development Bank d’Edmund Safra, dont le nom est mentionné à plusieurs reprises dans l’affaire Iran-Contra. Selon d’anciens officiers de renseignement, connaissant bien le cas Soros, le Quantum Fund amassa ses milliards à partir d’« investisseurs silencieux » tel Marc Rich, homme d’affaires véreux, ainsi que par l’intermédiaire d’opérateurs du Mossad comme Shaul Eisenberg et Rafi Eytan. Lors de la dissolution de l’Union soviétique, Marc Rich joue un rôle important dans le trafic de matières premières. [7]
Il convainc des dirigeants corrompus et désespérés, russes et soviétiques, de brader les richesses du pays sur les marchés mondiaux. L’argent est ensuite investi dans des comptes off-shore. Rich, recherché par la justice américaine depuis 1984, organise le pillage depuis ses bureaux de Londres, d’où il aide ses contacts russes à vendre les biens normalement destinés à la consommation intérieure russe.
Pendant 17 ans, Rich est réfugié à Londres, accusé de fraude fiscale, de fraude et d’entente avec l’ennemi (l’Iran). S’offrant des protections au plus haut niveau, Rich a pris comme avocat, celui qui deviendra par la suite chef de cabinet du vice-Président Dick Cheney : Lewis Libby. En 2001, dans les dernières heures du mandat présidentiel de Bill Clinton, Al Gore a convaincu le Président d’accorder le pardon à Marc Rich. Dans un témoignage ultérieur devant le Congrès, Lewis Libby reconnut avoir obtenu le pardon en collaboration avec l’ancien chef de cabinet d’Al Gore, Jack Quinn.
Un conseil
L’économie mondiale subit actuellement un processus hyperinflationniste. Les institutions internationales et les réseaux financiers esquissés ci-dessus, dont les activités sont illégales en vertu de la Constitution des Etats-Unis, se positionnent depuis des décennies pour s’emparer du pouvoir. Il est urgent de neutraliser, dès maintenant, les sales opérations de George Soros et de lancer le type de reprise préconisé par LaRouche dans ses « Trois pas vers la survie ».
Il serait sage que tous ceux qui défendent actuellement George Soros en acceptant son argent réfléchissent sur la réalité des faits : car, quoiqu’il arrive, le dessein impérial britannique est condamné à une défaite totale et honteuse. Reste à savoir si sa chute entraînera le reste de l’Europe dans un nouvel âge des ténèbres sans fin. Veulent-ils vraiment cet argent ?
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Le reste sur :
George Soros et sa nouvelle conquête tunisienne
tunisie-secret.
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Estelle
Avr 4, 2015 @ 23:57
Prem’s !
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africalibre
Avr 5, 2015 @ 1:12
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