Quand l’Occident croit en ses propres mensonges, ça déménage ! Le nouveau secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, avait dénoncé, récemment, un accroissement « très grave » des forces russes dans l’est de l’Ukraine et du côté russe de la frontière entre les deux pays, avec le déploiement des troupes, d’équipements, d’unités d’artillerie et de systèmes avancés de défense aérienne. Du côté ukrainien, les déclarations belliqueuses ne manquent pas. Pour Porochenko, il faut s’apprêter à une guerre totale.
On est en plein délire. C’est le phénomène de l’inversion. En littérature, on dirait hyperbate. Alors que Kiev multiplie les agressions, violant à chaque fois le cessez-le-feu, d’entendre Jens Stoltenberg affirmer que « C’est en violation avec l’accord de Minsk » – censé instaurer un cessez-le-feu dans les régions séparatistes du sud-est de l’Ukraine -, c’est l’hôpital qui se fout de la charité.
Le mensonge chevillé au corps, avec un aplomb diabolique, il a tenu ces propos ridicules lors de son arrivée à une réunion avec les ministres européens de la Défense à Bruxelles, en appelant Moscou à retirer ses troupes. On se demande bien quelle troupe !
« La Russie continue de déstabiliser l’Ukraine », a déclaré le successeur de M. Stoltenberg devant la presse. On se demande bien en quoi faisant.
« La Russie a le choix: la Russie peut soit participer à une solution de paix négociée ou elle peut continuer sur la voie qui mènera à son isolement », a-t-il ajouté.
« Nous voyons des mouvements de troupes, d’équipements, de tanks, d’artillerie et aussi de systèmes de défense anti-aérienne sophistiqués », a expliqué le secrétaire général de l’Alliance atlantique.
« C’est un renforcement militaire très grave (…) à la fois en Ukraine et sur le côté russe de la frontière », et il a été constaté par l’Otan, mais aussi des sources sur place, comme des « journalistes indépendants » ou les observateurs internationaux de l’OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe), a-t-il ajouté.
« Ceci est une violation de l’accord de cessez-le-feu et nous appelons la Russie à retirer ses forces de l’est de l’Ukraine et à respecter l’accord de Minsk » conclu le 5 septembre entre belligérants, prévoyant une trêve ainsi que des pourparlers de paix, a dit M. Stoltenberg. Or, c’est bel et bien leur protégé de Kiev qui a sans cesse violé ce cessez-le-feu.
Il a également appelé Moscou à « cesser d’alimenter le conflit en soutenant les « séparatistes prorusses » qui occupent des portions de territoire ukrainien dans les régions de Donetsk et de Lougansk. Dans son soliloque, bien évidemment, il ne demande pas à Kiev de négocier ou même de tenter une solution politique.
Plus de 4.000 personnes ont déjà perdu la vie dans cette zone depuis le début des hostilités, en avril. Ceci, à cause de l’intransigeance de Kiev appuyé par la politique monstrueuse et belliqueuse américano-européenne.
Nous soutenons, ici, le combat et la révolutionnaires du Donbass !
Fureteur
Nov 23, 2014 @ 16:52
Kharkov, cette nuit, la Résistance a fait sauter la voie ferrée : http://infobeez.com/2014/11/23/partisans-kharkov-cette-nuit-la-resistance-a-fait-sauter-la-voie-ferree/
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Sylvain
Nov 22, 2014 @ 23:11
Article de jacques FRERE du 22-11-2014
http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-vers-un-hiver-de-guerre#more-238021
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Marcel
Nov 22, 2014 @ 14:20
Province de Damas :
L’armée syrienne et les forces de défense nationale prennent le contrôle total de la localité de Zabdine dans le Ghoutah de l’Est à l’est de la ville de Al Malihah, de nombreux terroristes ont été tués.
Sources : Al Mayadeen TV, Manqool news, Force de la garde républicaine, Média Hussein Mortadah, sources militaires, médias de la brigade Al Baaths, médias syriens.
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nationalistedz
Nov 22, 2014 @ 13:46
Après le non, voilà le oui! Après avoir refusé notre invitation à assister à notre élection présidentielle en avril dernier, un chef de division de l’Union européenne nous rend visite. Depuis son arrivée, la semaine dernière, ce chef de division Maghreb du service européen pour l’action extérieure (Seae), auquel s’est joint l’ambassadeur de l’UE à Alger, est très actif. Pour bien comprendre ce qu’est le Seae, il faut savoir que c’est une structure qui «fonctionne de manière autonome par rapport aux autres organes de l’UE» mise en place en janvier 2011, lit-on sur l’organigramme de l’Union européenne. Que cherche, dans notre pays, M.Bernard Savage, l’un des chefs de division du Seae? Il assure qu’il n’est là que pour «des échanges standards». Mais à voir les rencontres qu’a eues le chef de division accompagné par l’ambassadeur de l’UE, ces «échanges standards» se sont concentrés sur des partis et des personnalités dits de l’opposition. A l’exception toutefois du FLN où la visite n’a pas été très conviviale. Puisque son service est «autonome» et qu’il n’est là que pour «des échanges standards», il nous faut informer M.Savage que l’UE n’a pas voulu «observer» notre élection présidentielle d’avril dernier. Non pas à cause de «l’invitation tardive» comme il a été dit, mais pour notre fichier national des électeurs qu’elle voulait emporter à Bruxelles. Comme il fallait s’y attendre, l’Etat algérien a refusé, à juste titre, de lui remettre une copie. On ne doute pas un seul instant que M.Savage sait parfaitement ce que souveraineté nationale veut dire. Aux âmes bien nées, il est impensable que le fichier qui, comprend tous les Algériens en âge de voter, puisse se trimbaler dans les couloirs de l’UE. Dans un souci de souplesse, nos autorités avaient poussé jusqu’à autoriser les membres de la mission de l’UE à consulter ledit fichier. Eh bien, non, ceux-ci voulaient le mettre dans leurs valises. Il faut croire qu’ils tenaient, mordicus, à ce fichier! «Par souci d’efficacité», avons-nous entendu dire. Si tel était le cas, la lecture sur place aurait suffi. Le «souci d’efficacité» aurait plutôt été pour M.Savage, de demander aux partis politiques et aux personnalités qu’il a rencontrés, la liste de leurs adhérents? Histoire de se faire une idée du poids de leur représentativité. Elémentaire, non? Cependant et pour pallier cette lacune, l’ambassadeur de l’UE a dû conserver les résultats des dernières élections, tant communales que législatives, qui se sont déroulées en 2012. Le «poids» de ladite opposition s’y trouve. Ceci dit et puisque vous devez mieux connaître le Sri Lanka, où vous étiez en poste, que l’Algérie, sachez M. Savage, que l’immixtion dans leurs affaires, irrite au plus haut point l’ensemble des Algériens. Pour avoir été le seul peuple au monde, avec les Vietnamiens, à se libérer par les armes. Pour avoir été le seul pays au monde à avoir vaincu le terrorisme sans aide extérieure. Vos «échanges standards» nous avaient manqué dans les années 1990. Nous étions mis «en quarantaine», par l’UE, face à la barbarie terroriste. Contentez-vous aujourd’hui de faire du tourisme. Nous avons élu, démocratiquement, notre président. Notre pays est stable. Il veut exporter cette stabilité dans toute la région. Même dans les pays, comme la Libye où l’origine des malheurs ne vous échappe guère. De plus, vous avez fort à faire avec l’Ukraine. Avec le retour de vos «djihadistes» d’Irak et de Syrie. Avec la relance de la croissance et la montée des nationalismes dans vos pays. Notre pays va bien, merci! Nous célébrons le 60e anniversaire du déclenchement du 1er Novembre 1954. Un million et demi de martyrs ont arrosé, de leur sang, ce pays. C’est pourquoi nous nous opposerons, avec la dernière énergie, à toutes les formes d’ingérence. Y compris sous forme «d’échanges standards»!
http://www.lexpressiondz.com/edito/205847-que-cherche-l-ue-a-alger.html
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régis
Nov 22, 2014 @ 2:12
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Slave un jour, Slave toujours
Nov 21, 2014 @ 23:26
La bonne video….
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régis
Nov 21, 2014 @ 23:43
La voilà.
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Slave un jour, Slave toujours
Nov 21, 2014 @ 23:21
La présentation au drapeau de la LC brigade d’artilleurs…
A partir de 5.30, vous entendrez la célèbre marche des adieux de Slavianka, en l’honneur des femmes slaves (Bulgarie, Serbie) dont les maris partaient a la guerre avec leurs frères Russes.
En hommage a la Russie éternelle
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régis
Nov 21, 2014 @ 23:09
Coucou
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 23:21
Les Palestiniens n’ont-ils pas demandé à faire partie de la Fédération de Russie ? Eh bien, ils font déjà partie de la Fédération des états-écrabouillés-sans-que-personne-s’en-émeuve avec l’Ukraine, mais aussi avec la Libye, l’Irak, l’Afghanistan et d’autres plus lointains, sur d’autres continents. C’est pourquoi, aujourd’hui, ici, on mélange tout : Ukraine et Palestine. Mais aussi Russie et, pour rire un brin, Union Européenne.
Les loups sont entrés dans Gaza…
Lorsque Serge Reggiani a chanté que les loups avaient quitté Paris, il croyait peut-être que l’espèce s’éteindrait.
Hélas, elle a non seulement prospéré dans l’ombre, mais ses moyens et sa cruauté se sont accrus de manière exponentielle. L’impunité universelle dont elle jouit depuis des décennies a engraissé sa férocité et son arrogance. Elle a rendu la meute beaucoup plus dévastatrice que celle qui était entrée dans Paris en son temps.
Gueule béante, crocs aiguisés, yeux habités d’images de meurtre, suant la peur et la haine, la horde s’est ruée sur Gaza pour la troisième fois en moins de six ans. Elle s’y est livrée, à son habitude, et même plus sauvagement encore que lors de ses sorties précédentes, à un carnage et à une orgie de destructions qui ont transformé le petit territoire le plus densément peuplé de la planète en une morgue et un champ de ruines.
http://lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.skynetblogs.be/archive/2014/08/10/les-loups-ouh-ouh-ouh-8254644.html
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régis
Nov 22, 2014 @ 1:21
cui-cui
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Slave un jour, Slave toujours
Nov 21, 2014 @ 23:07
Nul n’est prophète en son pays.
Porochenko et Iatseniuk fraîchement accueillis par la population de Kiev lors de la célébration de Euromaidan
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LUDOCIK
Nov 21, 2014 @ 23:18
Ou sont les milliards de l’occident ; la somme promise à ce pays, qui ressemblent bien à l’histoire de la terre promise.
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croix morand
Nov 22, 2014 @ 16:30
c’est à l’entrée de l’hiver que l’on fait du pâté des cochons. Visiblement, Porochenko semble prêt…
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CROA
Nov 22, 2014 @ 21:08
Le porc au chenko ça se mange ?
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Fureteur
Nov 21, 2014 @ 23:02
La synthèse du jour de Jacques Frère – Ukraine-Donbass: combats à l’ouest de Gorlovka et au sud de Severodonetsk :
http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-combats-a-louest-de-gorlovka-et-au-sud-de-severodonetsk
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Slave un jour, Slave toujours
Nov 21, 2014 @ 22:52
Les Autorités Serbes refusent encore une fois de se joindre aux sanctions contre la Russie
http://novorossia.su/ru/node/9785
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Dcembre
Nov 21, 2014 @ 22:43
A reblogué ceci sur Chez Dcembreet a ajouté:
Sale propagande occidentale. . .
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salimsellami
Nov 21, 2014 @ 21:30
A reblogué ceci sur salimsellami's Blog.
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Fureteur
Nov 21, 2014 @ 21:16
Une très intéressante analyse : En quoi la Russie est-elle vulnérable aux sanctions ainsi qu’aux incursions militaires de l’Union européenne et des USA ? http://www.vineyardsaker.fr/2014/11/21/en-quoi-la-russie-est-elle-vulnerable-aux-sanctions-ainsi-quaux-incursions-militaires-de-lunion-europeenne-et-des-usa/
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massinissa
Nov 21, 2014 @ 21:06
Les favoris de la présidentielles 2014!
http://www.kapitalis.com/afkar-2/25926-les-5-favoris-de-la-presidentielles-2014.html?device=xhtml
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Fureteur
Nov 21, 2014 @ 20:47
Marioupol : un convoi militaire attaqué en pleine ville, un véhicule de l’occupant détruit : http://infobeez.com/2014/11/21/partisans-marioupol-un-convoi-militaire-attaque-en-pleine-ville-un-vehicule-de-loccupant-detruit/
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 20:02
Mettre la main sur l’encadrement supérieur de la sphère économique et financière et créer un large front de lobbying constitué des ONG et groupes sociaux soutenant les États-Unis à l’intérieur de la République Fédérale ;
Infiltrer des cadres aux différents échelons du système politique et dans les structures de la puissance publique ;
Dominer la télévision, l’internet et les autres éléments de l’espace des médias afin de manipuler l’opinion publique conformément aux besoins idéologiques afférents aux objectifs et missions de l’Occident ;
Emprise maximale sur le système de l’enseignement moyen et supérieur, en soutien au travail sur les jeunes générations ;
Etablir le contrôle sur les organisations sociales telles que les syndicats, les mouvements féministes, homosexuels, nationalistes et autres ;
Influencer de façon ciblée l’opinion publique des pays voisins à travers l’internet et la télévision ;
Créer et superviser des organisations terroristes chargées de fomenter des conflits de type nationaliste à la périphérie et à l’intérieur de la République Fédérale ;
Réécriture et falsification de l’histoire de Russie et formation de nouveaux modèles historiques et politiques, et d’un nouveau tableau du passé ;
Spéculation maximale sur les valeurs mondiales afin de diminuer la masse monétaire disponible et déstabiliser ainsi la situation politique en République Fédérale ;
Exacerber intentionnellement les relations de la République Fédérale avec les Etats voisins et actions visant à l’effondrement de l’union politique intérieure de la République Fédérale.
L’analyse que nous venons d’effectuer de la «guerre froide» menée par les Etats Unis et l’Occident contre la Russie à différentes étapes de l’histoire de son développement permet de tirer les conclusions suivantes :
http://russieconservatisme.org/russie-2014-lecture-de-lhistoire-a-lencre-de-la-guerre-froide/
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 20:01
Cet article d’Alexandre Nagorny, secrétaire exécutif du Club d’Izborsk est paru dans le magazine Zavtra le 16 octobre 2014 sous le titre « La Grande Glaciation.2 ». Il nous propose une grille de lecture qui fournit une cohérence particulière aux événements qui se sont déroulés pendant quasiment un siècle en Russie. Il nous permet aussi de décoder les postures, attitudes et agissements qui font l’actualité en cette fin d’année 2014 en et autour de la Russie.
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Mythes et vérités à propos de la «guerre froide» de l’Occident contre la Russie.
Source de la «guerre froide» de l’Occident contre la Russie Soviétique.
L’histoire du XXe siècle montre de façon très convaincante que la «guerre froide» de l’Occident contre l’URSS fut l’événement central des relations internationales du siècle dernier. Sa fin apparente, en 1991, lorsque fut accompli à Moscou ce qui correspondait dans les faits à un coup d’État pro-occidental, signifia la défaite totale de la Russie en tant qu’État, revêtu alors de l’habit communiste. C’est en vertu de cela que nous, citoyens de Russie, vivant en cette deuxième décade du XXIe siècle, au moment où les États-Unis et l’Occident entier entraînent notre pays dans une guerre «froide» acharnée, avec des éléments relevant clairement de la «guerre chaude», devons sans faute étudier et prendre en compte toutes les caractéristiques de la précédente «guerre froide» que l’Occident emmené par Washington a menée, avec succès, contre la Russie Soviétique.
Une objectivité maximale doit caractériser l’analyse du phénomène de la «guerre froide», sans aucune dérogation de nature idéologique ou autre. Mais il convient de préciser d’abord le contenu de ce concept. Selon l’opinion largement répandue dans les milieux scientifiques et politiques, ce dernier apparut en 1946, immédiatement après le discours de Churchill à Fulton, dans lequel furent esquissées les mesures nécessaires à l’Occident pour «contenir et repousser l’URSS» dans la période qui a suivi 1945, lorsque la Russie soviétique, grâce à son immense contribution à la Victoire sur le fascisme reçu non seulement une position idéologique et géopolitique sérieuse en Europe de l’Est, mais conquit également le soutien d’une part significative de la masse des populations des pays d’Europe occidentale et d’Amérique.
Le terme «guerre froide» reçu son couronnement logique et doctrinal dans le cadre de la doctrine dite «d’endiguement et d’isolation» formulée par G. Kennan dans le mémorandum spécial de 1949 adressé par l’ambassade des États-Unis à Moscou, au Département d’État. L’auteur se trouvait en service diplomatique et occupait le poste supérieur de conseiller-chef de mission. Dans le document, devenu une sorte de « bible» de la politologie de l’Occident et des États-Unis, est examiné tout un ensemble structuré de mesures politiques et diplomatiques, militaires et idéologiques destinées à exercer depuis des pressions sur l’URSS sous des angles différents, en vue d’étrangler les zones d’influence soviétique et de porter atteinte aux États alliés de la Russie Soviétique, jusqu’à provoquer leur destruction et leur anéantissement. Dans le futur, il était prévu d’ébranler l’État soviétique lui-même, avec comme objectif final son démembrement. A la lumière de ces données un consensus très débattu dans la majorité des experts et savants s’établit autour de la dénomination «guerre froide» comprise comme l’«opposition des États-Unis et de ses alliés à l’Union soviétique et ses alliés, principalement par des méthodes non-guerrières, mais en recourant activement aux conflits régionaux dans le périmètre de leurs zones d’influences respectives». Cette formulation, teintée de nombreuses nuances, s’est enracinées, ces dernières années, tant au sein de l’opinion publique que dans les travaux de nombreux chercheurs. Dans le cadre de cette approche, on considérait, et on considère, que le cycle de la «guerre froide» commença en 1946 et se termina 45 ans plus tard, en 1991, quand l’Union Soviétique, en même temps que la Russie Soviétique, fut détruite par voie de transformation interne du modèle idéologique et de restructuration du système social achevées avec la dislocation de l’État unifié. Ce cours des événements, paraît extérieurement absolument logique et éprouvé par les faits souffre en même temps d’énormes vices de sens, de logique, et historiques.
Avant tout, la guerre «par des méthodes et moyens non-guerriers de porter atteinte à l’opposant» a caractérisé la relation mutuelle des États ou groupes d’États s’opposant les uns aux autres, et qui s’efforçaient de parvenir à la réduction essentielle de la sphère d’influence de leur ennemi jusqu’à sa destruction ou, plus largement, par son absorption définitive par le(s) vainqueur(s), depuis l’Égypte ancienne, Babylone et Rome jusqu’à la Chine. Ce n’est pas un hasard si le grand stratège chinois, SunZu a utilisé la formule selon laquelle la meilleure victoire sur l’ennemi est la victoire sans action guerrière ni victime humaine, par la ruse et la sagesse. Puisqu’il en est ainsi, la définition de «guerre froide» devrait intégrer un sens beaucoup plus large et une histoire plus profonde. Dans notre acception, la «guerre froide» est la guerre contre un ennemi sur base de l’utilisation du plus vaste éventail de moyens : économiques, financiers, culturels, etc., y compris l’influence politique, psychologique et idéologique sur les populations et les autorités de l’État ennemi. Dans ce combat pseudo-mondial, il a toujours été fait usage des instruments les plus variés, idéologiques, financiers, économiques, religieux, à l’aide desquels on parvenait, et on parvient encore, à affaiblir l’ennemi et à réaliser les objectifs répondant aux intérêts propres. Un telle «guerre» contre l’adversaire n’est pas sensée s’interrompre et faire place à une existence paisible pendant une seule minute, à aucun stade de la lutte ; quelle que soit la dénomination qu’on lui attribue : collaboration ou confrontation. Ces conflits se sont développés, et continuent à le faire, tant dans l’arène extérieure que dans l’arène intérieure. Fréquemment, l’arme centrale de cette manière de conduire le combat contre l’ennemi consiste en un système de mesures destinées à lancer contre celui-ci un autre pays ou groupe de pays. Mais l’instrument le plus important est la désintégration des structures de l’État de l’opposant principal au moyen de mouvements politiques et idéologiques qui affaiblissent et ensuite vont jusqu’à l’anéantissement de l’ennemi.
Pour autant que nous admettions cette formulation et ces caractéristiques, nous devons admettre également que la «guerre froide» en tant que type de conflit naquit quasi au même moment que les premiers États dans l’histoire de l’humanité. Concrètement, pour ce qui concerne notre pays, il a sans cesse sentit sur lui cette «guerre froide» menée par l’Europe durant toute son histoire, se renforçant évidemment pendant et après le « joug de la horde ». Pendant de nombreux siècle, ce fut avant tout la Grande Bretagne qui mena une interminable «guerre froide» contre l’Empire russe. Dans un certain sens, la Russie Soviétique reprit ce « bagage », qui ne fit que s’alourdir à cause de la présence des composants idéologiques s’exprimant à travers le système politico-idéologique et socio-économique de l’URSS. L’histoire entière de la Russie soviétique peut être identifiée comme une chaîne de la «guerre froide», s’apaisant à certains moments pour chaque fois reprendre une dimension exacerbée. Au cours de cette succession d’événements, la Russie Soviétique fut d’une part sujette à la haine de classes et de pouvoir de la part du monde capitaliste qui l’entourait, et d’autre part, elle mena une lutte active et parfois très réussie contre cet environnement, en utilisant un complet arsenal de moyens idéologiques, politiques et économiques, portant sérieusement atteinte aux fondements du monde capitaliste entier et en particulier aux États jouxtant l’URSS. On eut donc recours à cette « force douce » longtemps avant le discours de Fulton de Churchill.
Notons que la contre-attaque de la Russie Soviétique se déroula dans un rapport de force extrêmement défavorable à Moscou. Toutefois, l’inégalité des forces fut largement compensée par l’attractivité de l’idéologie communiste et le personnel excellent et talentueux des départements soviétiques impliqués et des services spéciaux. La Russie Soviétique parvint à résister longtemps, par son activité et par la propagation de sa théorie révolutionnaire attirante, reprenant parfois même l’initiative de façon significative et obtenant de sérieux succès et de grandes victoires politico-idéologiques. Bien que la propagation des idées socialistes et de la révolution dut souffrir la défaite dans les pays d’Europe dans les années ’20 et ’30, en Asie elle atteignit des progrès significatifs quand l’URSS parvint à instaurer une organisation socialiste en Mongolie et donner ensuite un puissant coup de départ à la révolution communiste chinoise. Cela fut réalisé nonobstant la résistance du monde capitaliste tout entier, à une époque où Moscou décidait à la fois de la ligne en matière de contacts interétatiques et soutenait les mouvements communistes et socialistes.
Les étapes de la «guerre froide» contre l’URSS
Globalement, le cours des 70 années de l’histoire soviétique peut être subdivisé plus ou moins clairement en trois étapes de «guerre froide» menée par les Etats occidentaux contre l’URSS. Ces étapes ont coïncidé avec les phases de développement politique et idéologique interne de l’État soviétique. L’Occident a évidemment mené la «guerre froide» contre l’URSS surtout à partir de ses propres intérêts et possibilités mais aussi en fonction de l’évolution des possibilités et caractéristiques des moments de la politique mondiale. Néanmoins, le facteur principal sur lequel furent fondées tactique et stratégie de la «guerre froide» fut la situation et le potentiel de l’État soviétique lui-même, et, donc, les événements internes qui s’y déroulaient. En fait tout au long des septante années de l’histoire de la Russie Soviétique, l’Occident a basé ses actions sur la capacité de réponse de l’URSS aux coups portés par son adversaire idéologique. Et au plus la Russie Soviétique devenait forte, au plus les actions de déstabilisation des États-Unis et de leurs alliés devenaient concentrées et précises.
La première étape couvre la période des années ’20 aux années ’40 et s’achève avec la victoire historique de la Russie Soviétique dans la Grande Guerre Patriotique, qui conditionna l’expansion de l’idéologie soviétique et l’influence politico-militaire en Europe orientale et en Asie du Nord-est. La caractéristique de cette étape réside en ce que l’URSS misa sur l’activité du Comintern et recourut à celui-ci pour ses atteindre ses propres objectifs en matière de souveraineté. L’Occident s’enfonçait vers la grande dépression ; il misa sur l’agression de l’Allemagne et du Japon contre la Russie Soviétique, ce qui aboutit, comme on le sait à un échec complet, avec les puissances de «l’axe» qui entrèrent en conflit armé contre les États de l’Entente. Cette première étape de la «guerre froide» se termina avec la création de la coalition anti-hitlérienne, dans le cadre de laquelle l’Occident s’efforça de miner les fondements de la politique intérieure de l’État soviétique.
La deuxième période fut la plus courte, et la plus réussie pour l’URSS. Elle commença avec les révolutions démocratiques-populaires pro-soviétiques qui virent le jour, avec l’aide active de l’URSS, l’appui de l’idéologie communiste et les forces pro-socialistes locales. Un objectif important fut la victoire de la révolution en Chine. Celle-ci renversa complètement les conceptions qui prévalaient dans l’establishment, tant aux États-Unis qu’en Europe occidentale, dans la mesure où pour la première fois, le danger d’une défaite totale croissait considérablement. A travers ce succès, Moscou s’était constitué autour d’elle une importante ceinture de sécurité géopolitique. La période s’acheva en 1956, lorsque la XXe session du Parti Communiste d’Union Soviétique mit un terme au mouvement d’offensive active de l’URSS et de l’idéologie communiste en général.
Finalement, la troisième étape, la plus longue et la plus importante dans notre analyse, débuta en 1956 et se termina avec la défaite finale de la Russie Soviétique en 1991.
A la fin des années ’50, les élites de Russie Soviétique empruntèrent la voie de la «coexistence pacifique», afin d’éviter la possibilité d’une guerre nucléaire, déterminée politiquement à l’époque de la crise des Caraïbes en 1962.La direction soviétique traduisit cette situation dans le principe de la «retenue» dans son approche de l’Occident et dans l’intensification de la recherche de «compromis» et de «zones d’influence» partout où cela s’avérait possible. Agissant de la sorte, le Kremlin renonçait en fait à la doctrine de l’offensive idéologique dans la perspective de la victoire de «l’idéologie communiste», tant sur le plan mondial que régional. Cela signifiait, tant en pratique qu’en théorie, l’amenuisement et puis l’abandon de l’idée même «d’offensive idéologique rouge». de même, après le coup d’arrêt au «culte de la personnalité» se développa une évolution progressive de la vision du monde par la direction de l’URSS, en suite de quoi cessa dans les faits la propagation de l’influence de l’URSS au moyen d’incursions idéologiques actives dans les pays occidentaux et aux États-Unis, on limita les mesures d’assistance aux révolutions populaires du «Tiers Monde», on réduisit la «propagande» révolutionnaire, on diminua, jusqu’à les faire disparaître, les autres activités «anticapitalistes», en premier lieu le travail sur les marchés financiers mondiaux, et le volume de l’aide économique aux États des pays du «Tiers Monde». Il restait évidemment des exceptions, telles les révolutions cubaines et en Afrique du Sud, ainsi que les activités anti-occidentales dans les pays du Proche Orient. Mais il s’agissait là seulement de mécanismes auxiliaires de pression sur les États-Unis et leurs alliés. Dans les moments décisifs de confrontation, le Kremlin fit le choix de la « retenue » et de la « non-provocation » à l’égard des États-Unis et de l’Occident en général. Ce fut le cas lors des révolutions au Portugal et au Chili, au début des années ’70. Moscou adopta la même ligne de conduite en 1981-1982, lors de la guerre argentino-britannique à propos des Falklands, l’invasion des États-Unis à Grenade, etc. En même temps, les États-Unis et l’Occident intensifiaient leurs activités dans le cadre de la «guerre froide», préparant et ensuite réalisant leurs révolutions de couleur en Pologne et dans d’autres pays du Pacte de Varsovie. Pratiquement toute «l’opposition pro-démocratique» fut construite avec l’argent des services spéciaux des États-Unis. Il servit également à déployer des mouvements de masse sur base du concept des «droits de l’homme», préparant en même temps les révolutions de couleur, qui rencontrèrent un succès limité en 1968 en Tchécoslovaquie, et en 1980-1982 en Pologne. Il est facile de trouver des exemples de situations dans lesquelles l’URSS, recevant des coups en Europe de l’Est (Hongrie, Pologne, etc.) préféra néanmoins préserver le statu-quo dans d’autres sphères et d’autres lieux. Cela se concrétisa avec l’aide aux mouvements anti-américains et aux révolutions en Afrique, en Asie, et en Amérique Latine. En outre, le cadre de la théorie de la «préservation de la paix»supposait une répartition des zones d’influence et la non-intervention dans les sphères les plus importantes et les plus vulnérables des systèmes s‘affrontant En premier lieu, cela concernait l’économie mondiale et le système financier mondial.
La direction soviétique, de Khrouchtchev à Gorbatchev, dont l’action atteignit son sommet avec la «désidéologisation» du système communiste, se convainquirent progressivement des intentions «positives» des dirigeants du système politico-financier des États-Unis. Dans ce domaine le concept de «coexistence pacifique» joua un rôle important. Il signifiait pour le Kremlin la volonté des États-Unis et de l’Occident en général de ne pas franchir la «ligne géopolitique des sphères d’influence » et d’avancer fermement sur la voie de la coexistence dans la paix et la «convergence des deux systèmes». Depuis le début des années ’60, le Kremlin s’en était très strictement tenu à ce principe et au principe de la démarcation des zones d’influence. Les élites soviétiques n’ont jamais rien reçu en échange de leur «attachement» à ce schéma. La signature des accords d’Helsinki en 1975 ouvrirent la porte à l’intervention étrangère directe dans les affaires de l’URSS et des autres pays socialistes. La conjoncture économique mondiale, le développement des processus sociaux et politiques dans différents secteurs du monde mirent à plusieurs reprises la possibilité de victoire entre les mains de la direction soviétique, mais jamais elle ne fut menée à bien.
Succès et échecs de l’URSS au cours de la «guerre froide».
Les succès et les échecs de la Russie Soviétique dans la «guerre froide» qu’elle a mené contre les États-Unis et l’Occident en général sont aisés à évaluer en fonctions des pics d’élargissement de la zone d’influence géopolitique et idéologique dans l’arène mondiale. Ils sont toujours fondés sur deux orientations de l’activité de l’État soviétique, d’une part l’offensive idéologique en termes de propagande en politique extérieure, et d’autre part des victoires militaro-stratégiques marquantes et la volonté de recourir au déploiement maximum de force pour contrer l’Occident. Les augmentations significatives des démarches offensives de l’idéologie soviétiques se fondaient sur des succès scientifico-techniques et économiques. Il s’agit des essais d’armes atomiques, du lancement de satellites et finalement, du tempo élevé de croissance économique. Cela a permis d’élargir la sphère d’influence dans las pays du «Tiers Monde», depuis la fin de la seconde guerre mondiale jusqu’à celle des années ’60.
De nombreux experts ramènent tout à la composante militaire. Mais cela ne correspond pas à la réalité. Après la guerre civile, le «projet rouge» s’exprima avant tout par l’aide à la naissance et au développement de la révolution communiste chinoise. Malgré les énormes difficultés internes et externes éprouvées par l’URSS, Moscou parvint à créer et à préparer en Chine un mouvement communiste qui atteignit sa pleine réalisation en 1949, avec la proclamation de la République Populaire de Chine. La deuxième poussée, non moins réussie, fut accomplie au cours de la période qui suivit la fin de la seconde guerre mondiale. Elle visait à renforcer rapidement, à l’aide de l’armée soviétique, le mouvement communiste dans les pays d’Europe orientale, où les révolutions populaires furent victorieuses et où s’érigèrent des régimes socialistes. Bien que le soutien de l’URSS et la présence de l’armée soviétique jouèrent un rôle significatif, l’idée de «l’offensive rouge», impulsion idéologique inspirant la construction communiste mondiale, n’en eut pas moins de signification dans la période postfasciste.
On peut considérer l’adhésion pacifique des pays Baltes à l’URSS en 1940 comme le troisième succès de la période. La direction soviétique et les services spéciaux firent état d’un travail de grande classe en matière de recours à la «puissance douce» au milieu de la société, des forces armées et des autorités des États précités. Comme on le sait aujourd’hui, les autorités des trois pays furent «enrôlées» et exécutaient en fait les ordres de Moscou. Les mouvements sociaux de gauche agissaient sur base de l’idéologie communiste et utilisaient la rhétorique de la propagande soviétique. Les forces armées et leur commandement furent paralysés par les partis communistes locaux et les agents des services spéciaux soviétiques. Concrètement, cela servit d’exemple pour les services spéciaux occidentaux qui agiront de façon similaire dans leurs «révolutions de couleur» ultérieures.
En ce qui concerne les défaites de l’URSS dans le cadre de la «guerre froide», il convient de désigner en premier lieu les erreurs stratégiques internes de la direction communiste soviétique. Il s’agit d’abord du résultat de la XXe session et la «déstalinisation» qui ruina la supériorité morale des mouvements de gauche dans le monde entier. Survint ensuite la rupture au sein du mouvement communiste international entre le Kremlin et le parti communiste chinois. Finalement, le troisième échec fut l’incapacité idéologique et économique de déjouer les insurrections en Hongrie et en Tchécoslovaquie. Tant le premier que le second furent des conséquences de la XXe session, et de la dénonciation du «culte de la personnalité», qui fournirent des armes idéologiques puissantes aux États-Unis et à l’Occident en général dans le cadre de la «guerre froide». L’exploitation idéologique et diplomatique de ces facteurs provoqua l’affaiblissement radical de l’URSS et du mouvement communiste international. Mais un échec encore plus important dans le cadre de la «guerre froide» fut l’apparition à des postes supérieurs de la direction du Parti Communiste de l’Union Soviétique et de l’URSS des agents directs des réseaux de l’Occident, tels Gorbatchev et Iakovlev, Chevernadze et autres «architectes de la perestroïka», qui déployèrent en fait le schéma de démontage de l’État soviétique édicté par les États-Unis, sous couvert «d’amélioration du socialisme», et même ‘d’accélération du progrès économique et scientifico-technique». Ainsi, l’introduction des mesures de décentralisation économique et financière accompagnées du passage à la «démocratie élective» plongea le système dans une paralysie complète qui conduisit rapidement à l’effondrement complet de l’économie, à la chute tout aussi rapide du niveau de vie et au démembrement du pays. Ce fut l’apothéose de l’usage de la «puissance douce» de la part de l’Occident, et avant tout des États-Unis, qui accédèrent, pratiquement sans recourir à l’usage de forces armées, à l’hégémonie moniale absolue. On semblait réellement être arrivé à la «fin de l’histoire», à la suite de laquelle était entamée la formation d’un «gouvernement mondial». La «guerre froide» en tant que telle était alors terminée en conséquence du statut colonial de la Russie.
La Russie de la période post-soviétique et la nouvelle étape de la «guerre froide»….
Suite .
http://russieconservatisme.org/russie-2014-lecture-de-lhistoire-a-lencre-de-la-guerre-froide/
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Sylvain
Nov 21, 2014 @ 19:36
Compte-rendu des combats le 20 novembre 2014
(numéros cerclés sur la carte)
20 novembre 2014
Frappes de lance-roquettes multiple et d’artillerie à Donetsk (arrondissement Kievskiy, Kouybyschevskiy, Oktiabrsiy).
Poursuite des combats et échanges de tirs d’artillerie à l’aéroport de Donetsk, Avdéevka, Peski, Karlovka.
Poursuite de tirs d’artillerie et des combats avec participation de chars dans la région de Mariinka.
Le véhicule des observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a été pris pour cible par les tirs de l’armée ukrainienne à Mariinka.
Echanges de tirs d’artillerie et de mortier à Gorlovka et Novobachmoutka.
Tirs d’artillerie à Enakievo (arrondissement Pholtrovalnaya).
Poursuite des combats avec utilisation d’artillerie et de mortier dans la région de Débalzevo, Tchernouchino, Mious, Nikischino.
Frappes d’artillerie à Fatchevka : 1 mort civil.
Echanges de tirs d’artillerie à Pérvomaiysk, Gorskoyé.
Poursuite des combats avec utilisation d’artillerie et de mortier sur la voie Lougansk-Sévérodonetsk, dans les régions de Frounzé, Sméloyé, Triechizbienka, Krymskoyé. Frappes de lance-roquettes multiple sur le poste de contrôle ukrainien n° 31.
Tirs d’artillerie à Sméloyé.
Poursuite des combats et tirs d’artillerie sur les positions ukrainiennes à Stchastié.
Poursuite des combats visant l’encerclement des unités ukrainiennes, échanges de tirs d’artillerie et de mortier à Staniza Louganskaya. Sortie des unités de Novorussie au nord-est de Staniza Louganskaya.
Echanges de tirs d’artillerie à Dokoutchaevsk, Stépnoyé, Novotroizkoyé.
Explosion d’un véhicule de l’armée ukrainienne à Marioupol (rue Golovina).
Reconfiguration des unités de l’armée ukrainienne dans la région Krasnoarmeysk (équivalant d’une rota de l’ancien 40ème bataillon TerO).
Reconfiguration des unités ukrainiennes (non identifiées) dans la région de Rozovka (environ 300 hommes, 2 TR, 2 lance-roquettes multiples).
Reconfiguration de l’armée ukrainienne (1 bataillon mécanisé, non identifié) dans la région de Kourachovo (près de 400 hommes et 40 véhicules blindés).
Poursuite des travaux de collecte et d’évacuation des fragments du Boeing-777 assurant le vol MH 17.
Sources :le saker, slavyangrad, kot-ivanov et ic.pics.livejournal.com
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 22:20
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allouche
Nov 22, 2014 @ 20:26
LES ETATS UNIS ONT-ILS DÉCOUVERT DES ARMES DE DESTRUCTION MASSIVES EN RUSSIE , D’OÙ CETTE ACHARNEMENT ? VONT-ILS SE FROTTER A NOUNOURS DE SIBÉRIE ?
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observateur francosyrien
Nov 21, 2014 @ 19:20
Gagner la guerre qui vient…
http://www.dedefensa.org/article-le_double_jeu_de_poutine_21_11_2014.html
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 18:29
« La Chine n’est pas la seule à mettre en place une alternative au TPP. L’Union Européenne amorce son propre rééquilibrage en direction de l’Asie, remettant ainsi en question les initiatives U.S.
Nicola Casarini
Le président Obama a profité de son dernier voyage en Asie pour faire avancer le Traité Trans-Pacifique (TPP, Trans-Pacific Partnership), accord commercial massif qui englobe douze pays au total, mais exclut la Chine. Le TPP constitue le pivot économique du rééquilibrage U.S. en direction de l’Asie, et la Chine réplique par la promotion du Regional Comprehensive Economic Partnership (RCEP) (Partenariat économique global régional), méga-accord commercial régional qui englobe l’ASEAN, le Japon, la Corée du Sud, l’Inde, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, mais exclut les États-Unis. Pékin met également la pression en vue de mettre en place un contrat de libre échange pour toute la région Asie-Pacifique, le FTAAP, manière de diluer le TPP et de continuer à bénéficier d’un accès préférentiel à certains de ses plus importants partenaires commerciaux.
Pourtant, la Chine n’est pas la seule à proposer une alternative au TPP. L’Union Européenne amorce son propre rééquilibrage en faisant pencher la balance du côté de l’Asie, remettant ainsi en question les initiatives U.S. et donnant aux pays asiatiques, dont la Chine, plus de poids dans les négociations commerciales avec les États-Unis.
La présence économique européenne en Asie se remarque en particulier dans les domaines du commerce et de la politique monétaire. Par exemple, Bruxelles est le premier partenaire commercial de Pékin, le volume des échanges dépassant les deux milliards d’euros par jour. L’UE est le troisième partenaire commercial de l’ASEAN, après la Chine et le Japon, mais devant les États-Unis. Globalement, près d’un tiers des exportations de l’UE est destiné aux marchés asiatiques. En outre, ceux-ci représentent des marchés en pleine expansion pour les entreprises européennes, qui font partie des plus gros investisseurs étrangers directs de la région. Dans le cas de l’ASEAN, l’Europe est, de loin, le plus gros investisseur. Depuis une décennie, les sociétés de l’UE investissent en moyenne 13,6 milliards d’euros dans la région.
Conséquence du développement exponentiel des relations commerciales, l’Asie est devenue le premier acquéreur d’actifs en euros. La part de l’euro dans les opérations de change des grandes banques centrales d’Asie représente, en moyenne 25 à 27 % des avoirs des principales économies asiatiques, ce pourcentage atteignant ou dépassant les 30 % en Chine (le plus gros détenteur mondial). Cela fait de l’euro la deuxième devise de réserve d’Asie, après le dollar mais devant le yen.
Le rééquilibrage économique de l’Europe en direction de l’Asie est enraciné – comme dans le cas des États-Unis – dans la prise de conscience du fait que l’Asie est désormais au cœur de la prospérité mondiale et des perspectives de croissance des puissances occidentales. Depuis 2011, l’UE a signé des accords de libre échange avec la Corée du Sud et Singapour ; elle en négocie un actuellement avec le Japon, le Vietnam, la Malaisie et la Thaïlande ; enfin, des pourparlers sont en cours autour d’un accord commercial et d’investissement avec l’ensemble de l’ASEAN.
La Chine et l’UE négocient en ce moment un traité d’investissement bilatéral qui, s’il aboutit, pourrait ouvrir la voie à un accord bilatéral de libre échange. Au dernier sommet de l’ASEM (Asia-Europe Meeting) – forum de dialogue interrégional entre leaders européens et asiatiques (Forum euroasiatique) – qui s’est tenu en octobre à Milan, le Premier Ministre italien Matteo Renzi a exprimé son soutien à l’ouverture de négociations autour d’un traité de libre échange avec la Chine. Si certains dirigeants européens tels que David Cameron, premier ministre britannique, ont déjà déclaré leur soutien d’un accord de libre échange entre l’UE et la Chine, la position de l’Italie – qui occupe actuellement la présidence du Conseil de l’Europe – est quelque peu surprenante lorsque l’on sait que les PME italiennes ont été durement touchées par la concurrence chinoise au cours de la décennie écoulée. Pourtant, la croissance léthargique de nombreux pays de la zone euro et l’augmentation des investissements chinois en Europe jouent en faveur d’une adoption rapide d’un accord UE-Chine.
Parallèlement aux relations sino-européennes, les dirigeants de l’UE et de l’Asie d’Extrême-Orient examinent des projets d’investissement interrégional et d’accord commercial. Cette initiative n’est pas sans rappeler les événements des années 90, lorsque la création du Forum euroasiatique a permis de contrebalancer l’APEC (Asia-Pacific Economic Cooperation). Le Forum euroasiatique a offert aux Européens un forum leur permettant de s’impliquer dans le dynamisme économique de l’Orient, tandis que les élites asiatiques se félicitaient de ce processus interrégional dans la mesure où il permettait une intégration régionale exclusivement asiatique à laquelle les États-Unis ont souvent opposé de la résistance. C’est, par exemple, dans le contexte du premier sommet du Forum euroasiatique en 1996 que les consultations entre l’ASEAN plus la Chine, le Japon et la Corée du Sud ont conduit à la création de l’ASEAN+3, c’est-à-dire du même groupe de pays constituant aujourd’hui l’épine dorsale de nombreuses initiatives régionales, dont la RCEP dirigée par la Chine.
Le rééquilibrage de l’UE en direction de l’Asie s’appuie sur ce soutien de longue date à l’intégration régionale. L’UE n’a pas de troupes ni d’alliances militaires contraignantes en Asie, ce qui donne à Bruxelles les coudées franches pour s’impliquer dans la région sans être entravée par les considérations de sécurité et stratégiques qui pénalisent les États-Unis. Si, sur le plan politique, la présence de l’UE en Asie est globalement complémentaire de celle des États-Unis, les alliés transatlantiques sont en concurrence sur le plan économique. À mesure que les négociations autour du TPP avancent et que l’UE examine une alternative, une discussion transatlantique sur les priorités et intérêts économiques en Asie s’impose. La nouvelle Commission Européenne prenant ses fonctions ce mois-ci, et le voyage du président Obama en Asie étant terminé, c’est peut être le bon moment.
http://nationalinterest.org/feature/western-competition-asian-markets-heating-11706
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Marcel
Nov 21, 2014 @ 17:33
Province de Homs :
Les forces de défense nationale font tomber les têtes des terroristes de l’EII dans la montagne Al Chaer à l’est de la province de Homs.
Image :
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Marcel
Nov 21, 2014 @ 17:35
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Marcel
Nov 21, 2014 @ 17:40
Je ressaie :
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Marcel
Nov 21, 2014 @ 17:41
https://www.facebook.com/media/set/?set=p.806353376077791
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régis
Nov 21, 2014 @ 18:07
Merci Marcel
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régis
Nov 21, 2014 @ 19:19
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 22:00
La croissance c’est possible ! dans les votes du moins ! un record . ( à noter dans le livre ) 😉
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 22:30
De la mata ( Jean Paul ) a enfin trouvé plus fort que lui ) incroyable !!!
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régis
Nov 21, 2014 @ 23:28
J’avais un peu peur que mon lien hypertexte passe inaperçu, noyé dans un flux incessant, je suis sauvé!
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Jacques de Fort
Nov 21, 2014 @ 23:35
Trop fort . 😉
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LE TEMPLIER
Nov 21, 2014 @ 15:54
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Roger-Cukierman-Il-y-a-deux-groupes-qui-posent-probleme-les-musulmans-et-le-Front-national-29167.html
A méditer..
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Halima
Nov 21, 2014 @ 14:46
🙂 🙂 🙂
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massinissa
Nov 21, 2014 @ 14:06
VIDEO. Photos Hollande-Gayet à l’Elysée: Ni drone, ni complot!
La rédactrice en chef de «Voici» nie avoir eu recours à un drone ou à une «taupe» à l’Elysée pour réaliser les photos de François Hollande et Julie Gayet dans les jardins de l’Elysée…
Les photos du président François Hollande et de l’actrice Julie Gayet, publiées vendredi dans Voici, n’ont «pas été prises de l’intérieur» du palais de l’Elysée «ni par un drone», a assuré sur BFMTV/RMC Marion Alombert, la rédactrice en chef de l’hebdomadaire.
Dès la diffusion de ces clichés qui montrent le président de la République et sa compagne présumée dans les jardins privés de l’Elysée, s’est posée la question de la sécurité de François Hollande. Certains affirment déjà que le photographe a forcément eu un accès privilégié à l’intérieur du palais de l’Elysée.
20 mn.fr
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massinissa
Nov 21, 2014 @ 13:58
Les musulmans de tous âges ont répondu par milliers à l’appel à la grande prière du vendredi sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, sans que la levée des restrictions israéliennes leur fasse oublier leur rancoeur et leur crainte d’une nouvelle escalade des violences.
Entre 37 et 40.000 fidèles se sont pressés à travers les rues de la Vieille ville, placée sous la surveillance de centaines de policiers israéliens, pour franchir les portes de l’esplanade et remplir la mosquée Al-Aqsa pour les hommes, et le dôme du Rocher pour les femmes!
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massinissa
Nov 21, 2014 @ 12:36
Après l’Ukraine, la Moldavie elle aussi déchirée entre l’UE et la Russie!
Le président ukrainien s’est rendu à Chisinau pour encourager les aspirations pro-européennes des Moldaves, qui éliront leurs députés le 30 novembre. A l’instar de l’Ukraine, la Moldavie est coupée en deux, entre aspirations pro-européennes et prorusses.
En Moldavie, les Ukrainiens sont prorusses
Lors de la conférence de presse commune à Chisinau, le président ukrainien s’est félicité du fait que les communistes n’aient désormais plus de sièges à la Rada (le parlement ukrainien) et a déclaré aux Moldaves : « Nous avons beaucoup d’objectifs communs au-delà de l’intégration européenne, comme le règlement du conflit avec la Transdniestrie [la région moldave séparatiste prorusse, autoproclamée indépendante depuis 1991], et la coopération frontalière”.
« Le prochain scrutin sera géopolitique. S’y affronteront deux courants intégrationnistes : le courant européen et le courant eurasiatique », poursuit Barbarosie. Or, selon le titre, le pays (hors Transdniestrie) est littéralement divisé en deux : une moitié, représentée par l’alliance pro-européenne au pouvoir, est tournée vers l’UE ; l’autre moitié, représentée par le parti communiste, le parti socialiste et le parti populiste Patria, vers l’Union économique eurasiatique (regroupant la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan, et l’Arménie à partir du 1er janvier 2015).
De quel côté les 30% d’indécis à ce jour feront-ils pencher la balance ?
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WESTTERRORIZES
Nov 21, 2014 @ 12:25
ALLAIN, EST-CE BIEN CA QUI IL A DIT: QUE DES SEPARATISTES PRORUSSES OCCUPENT DES PORTIONS DU TERRITOIRE UKRAINIEN DANS LES REGIONS DE DONETSK ET DE LOUGANSK? SI C EST, CA, IL EST CONSCIENT QU IL S ADRESSE A DES VRAIS IMBICILES, CAR, CA NE FAIT PAS DE SENS. PIRE, IL DEMONTRE CLAIREMENT QU IL EST RUSSOPHOBE. LES SEPARATISTES ECOSSAIS, OCCUPENT-ILS UNE PORTION DU TERRITOIRE DE L ANGLETERRE? iLS DEMANDENT LE DROIT A LEUR TERRE QUAND ILS SE SENTENT DISCRIMINER. JE SUIS SUR QUE SELON LUI, LES TERRORISTES N OCCUPENT PAS RAQAA ET ALEP, CAR CEUX QU IL REPRESENTE LEUR ONT DESIGNES DES ZONES POUR S INSTALLER.
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A2N
Nov 21, 2014 @ 11:58
Bonjour,
Pendant que les choses sérieuses se déroulent à l’Est de l’Europe, où les nazis et leurs amis boivent la tasse, les pornographes de l’info mettent le curseur sur les soirées » BUNGA BUNGA » à l’Elysée. Cherchez l’erreur ! Billet à lire http://0z.fr/fmrIB
A2N
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Lander
Nov 21, 2014 @ 11:36
Un gros mensonge celui de biquette qui se fait attaqué.
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Karim
Nov 21, 2014 @ 11:01
HS mais important: Stérilisation des populations non-sionistes : alors que l’inde compte plus d’un milliards d’habitants et ou les femmes sont mutilées et maltraitées avec la stérilisation a 20 euros, l’Australie et le Canada deux pays gigantesques sont occupés par un petit groupe de racaille sionistes racistes et égoïstes qui ne font que créer des tensions et des guerres sur la planète.
Au lieu de mutiler sa propre population l’Inde doit envahir l’Australie.
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stylame
Nov 21, 2014 @ 12:47
ET ? mdr ! va au bout !
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charles
Nov 21, 2014 @ 11:00
C est plutôt quand les citoyens occidentaux continueraient à croire de plus en plus aux mensonges de leurs Gouvernants qui mentent et plus c est gros plus ça passe et ça marche.
Souvenez vous qu au tout début des incidents de l Ukraine une communication tlélephonique à ce sujet a été interceptée et divulguée , communication entre Mme ASTHON et le ministre norvégien des AE qui évoquaient une « bizzarerie » des morts autant des manifestants de Maidan que de la Police et les Forces de l ordre car ils étaient tous tués d une balle dans le dos et du même calibre ….Késako…Aucune suite..
Souvenez vous que la NSA a réussi à espionner et à écouter les coms privées entre le tél mobile privé de Joachim qui parle avec sa douce Angie Merkel mais cette NSA n a pas pu voir les Toyota Flambant neufs et les chars du califa machin de Daech arriver en irak…Mais non c est un « martien ou une soucoupe volante…sacrés extra terrestres. » Ni que le Sultan Erdogan est le Sultan de la CIA..pas au courant….
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lafleurs
Nov 21, 2014 @ 10:37
Bon attendez-vous à avoir de nouveau les oreilles pleines de cette nouvelle c..nnerie ! Marine n le Pen doit s’étouffer de rire de plaisir et es torchons de torchons vont se remplir les poches ! Français vous aurez enfin de saines lectures : Hollando alimente la filière et tant que la place est chaude dans le lit du mobilier national de Elysée les « dames » se pressent pour s’y allonger !
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lafleurs
Nov 21, 2014 @ 10:38
Hollande-Gayet : premières photos à l’Élysée
Le Point – Publié le 21/11/2014 à 06:53 – Modifié le 21/11/2014 à 07:24
L’hebdomadaire « Voici » publie vendredi matin des photos du président et de la comédienne ensemble sur la terrasse des appartements privés de l’Élysée.
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stylame
Nov 21, 2014 @ 12:49
Français ? Et toi tu es qui pour donner des conseils ? Un naturalisée qui ne l’assume pas ?
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charles
Nov 21, 2014 @ 13:20
@stylame
Non c est Voici qui est dénaturalisée et qui n assume pas le non ethique de ses paparazzis . Même Hollande n assume ni ses amours privés ni rien du tout par ailleurs…Souvenez vous combien de français (naturalisés ou dénaturalisés 🙂 ) se sont gargarisés avec les photos de Gayet-Hollande.Sccoter à l aube publiées dans le prospectus Ikea ou Intermarché financé par la Fille de Berlusconi et qui voulait montrer que même Hollande se berlusconise même très soft, toute proportion gardée..
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raimanet
Nov 21, 2014 @ 10:28
A reblogué ceci sur raimanet.
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massinissa
Nov 21, 2014 @ 10:00
Washington insuffle à l’Europe la peur de la Russie!
MOSCOU, 21 novembre – RIA Novosti
L’Europe exagère sciemment les craintes de la population face à une prétendue menace russe, écrit vendredi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
Et il ne s’agit pas que des élucubrations de certains politiciens russophobes, mais une tendance stable appelée à inculquer à la population du Vieux Continent le frisson de « l’arrivée des Russes ».
L’amplification de la psychose est à la charge des médias. De la même manière que le fameux chien de Pavlov bave en entendant la cloche, la direction de l’Otan inculque aux Européens le réflexe tout aussi persistant de la « russophobie – rien qu’en mentionnant Moscou les Européens se serrent conter les USA et sont prêts à satisfaire tout caprice de Washington ».
La Suède est un parfait exemple. Ce pays a d’abord cherché un sous-marin russe qui se serait rendu près de ses côtes. L’agitation des recherches ressemblaient à celle autour du monstre du Loch Ness. Après presque une semaine de « signalements » provenant de citoyens vigilants qui auraient vu en mer quelque chose ressemblant à un sous-marin, les militaires suédois ont reconnu que toutes les informations sur un sous-marin russe étaient des suppositions. Mais à peine le public suédois s’était calmé qu’une autre menace apparaissait. Cette fois, Stockholm était menacé par les airs. Selon la revue suédoise Expressen, un avion russe avait pénétré dans l’espace aérien du pays et l’avait quitté seulement après l’intervention d’un chasseur suédois. Mais il s’est avéré – même si l’information est passée inaperçue – que l’avion en question n’était pas russe mais français, comme l’a rapporté Newsweek. Les militaires suédois connaissaient son appartenance à l’armée de l’air française mais n’ont pas pour autant démenti le « scoop » d’Expressen.
Les chefs d’armée d’Europe racontent en chœur à la population des « histoires d’horreur » selon lesquelles leurs troupes ne seraient pas prêtes à parer une attaque russe. Les plaintes sont innombrables – manque d’argent, manque de matériel moderne, manque de personnel.
La Suède, les pays baltes et la Pologne ne sont pas les seuls à exprimer leurs craintes face à Moscou. L’anxiété s’entend également dans les discours des chefs militaires autrichiens et allemands.
Washington semble avoir atteint son objectif: si auparavant les pays du Vieux Continent réduisaient volontiers leur budget militaire, aujourd’hui la population de l’UE, effrayée par les spéculations sur les avions, les sous-marins et les « guerres hybrides » russes, est prête à casser sa tirelire pour les besoins accrus de l’Otan.
Cette nouvelle tendance imprimée par Washington, destinée à protéger l’Europe de l’influence russe et à rompre les liens qui existaient depuis des décennies, a été parfaitement captée en Ukraine. Le premier ministre Arseni Iatseniouk a récemment visité la région de Kharkov où il a assisté à la construction d’un mur à la frontière russe. A l’issue de son voyage, il a proposé de renommer son « œuvre » en « rempart européen » séparant l’Europe de la Russie. Mais le plus inquiétant est qu’aucun politicien du Vieux Continent de l’a remis à sa place en apprenant ses plans.
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massinissa
Nov 21, 2014 @ 9:41
Le président ukrainien Petro Porochenko a signé le 14 novembre un décret gouvernemental ordonnant l’interruption du fonctionnement de toutes les institutions étatiques dans les républiques de Donetsk et Lougansk. Une décision accueillie avec stupeur par Moscou et effroi par les populations de ces deux régions.
Le 19 novembre, le ministre russe des affaires étrangères Sergueï Lavrov a évoqué la possibilité qu’en se retirant du Donbass, Kiev se prépare en réalité à mener une nouvelle opération militaire dans cette région. « Il existe une école de pensée qui soutient que derrière ce décret du 14 novembre, il y a une volonté de préparer le terrain pour une nouvelle intervention militaire et une nouvelle tentative de résoudre le problème par la force », a-t-il déclaré.
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massinissa
Nov 21, 2014 @ 9:28
Enigme secrete de russie!
les fans de mots croises rencontrent souvent un mot de chevalier travesti « eon »
Qui était le chevalier d’Eon ?
Le 5 octobre 1728, Françoise de Charanton donne un enfant à son époux, Louis d’Éon de Beaumont –qui est directeur des domaines du roi. L’enfant est baptisé Charles-Geneviève-Louise-Auguste-Andrée-Thimothée. Chose étrange pour un garçon d’avoir trois prénoms masculins et trois féminins ! Car pour tout le monde, il s’agit bien d’un fils. Le jeune Charles-Geneviève commence ses études en 1743 à Tonnerre dans sa Bourgogne natale avant d’intégrer le collège Mazarin à Paris. Diplômé de droit en 1749, Charles-Geneviève devient avocat au Parlement de Paris. Remarqué par Louis XV après ses écrits « Considérations Historiques et Politiques », il est nommé censeur royal pour l’Histoire et les belles lettres. Parallèlement, le jeune d’Eon de Beaumont apprend l’escrime et devient un bon cavalier. En 1755, le prince Louis-François de Bourbon-Conti, cousin du roi, charge le chevalier d’Eon d’une mission secrète auprès de la Tsarine de Russie Elisabeth Ire. La France souhaite une alliance avec la Russie et Charles-Geneviève a pour rôle de séduire et de gagner la confiance de la Tsarine. Afin qu’Elisabeth Ire se sente plus proche de son espion, le prince de Conti décide de travestir le chevalier d’Eon qui devient Mlle Lya de Beaumont. Gagnant la confiance la Tsarine, Mlle de Beaumont devient l’une de ses intimes et sa lectrice.
C’est à son retour en France que les gens commencent à se poser des questions sur le chevalier : Charles-Geneviève a trop bien joué son rôle de femme pour n’être qu’un travesti. De plus, on ne connaît au jeune Beaumont aucune amourette ni fiancée alors qu’il passe pour être un fort bel homme. Il s’appelle Charles, certes, mais également Geneviève ! De 1758 à 1760, le chevalier est de nouveau en Russie où il passe pour une femme. Il parcourt l’Europe pour mener à bien des missions confiées par Louis XV mais il est tantôt habillé en homme, tantôt en femme. A son retour à Paris en 1760, Charles-Geneviève devient capitaine des Dragons et reçoit la croix du Saint-Esprit. Durant deux ans, il s’illustre au combat et les rumeurs sur sa féminité cessent : une femme ne peut se battre de la sorte et recevoir des commandements de la part du roi. En 1762, le chevalier d’Eon quitte l’armée pour reprendre son rôle d’agent secret en Angleterre à Londres où il travaille pour la politique de Louis XV. Selon les intrigues qu’il doit mener, le chevalier d’Eon se présente en homme ou en femme. Les anglais, perplexes face à cet étrange chevalier d’Eon, se mettent à parier sur son sexe si bien qu’en 1771, le montant parié atteint 300.000 livres sterling ! Louis XV demande alors en 1774 à Charles-Geneviève de mettre un terme aux rumeurs et de déclarer s’il est de sexe masculin ou féminin. Le chevalier signe alors une proclamation dans laquelle il annonce être une femme. Cette constatation est établie, et approuvée, par plusieurs médecins. Dés lors, le roi ordonne à Charles-Geneviève de conserver ses vêtements féminins et de ne plus apparaître travesti en homme. Le chevalier d’Eon devient donc officiellement Mlle d’Eon de Beaumont. Il aura fallu des négociations de quatorze mois pour faire admettre au chevalier son sexe, moyennant une rente. Etant une femme, Charles-Geneviève n’a plus accès à l’armée, aux affaires politiques et à la diplomatie. Devenant inactive, la jeune femme demande à Louis XV la permission de pouvoir à nouveau porter des vêtements d’homme. Louis XV n’a pas envie que Mlle d’Eon de Beaumont soit de nouveau au milieu des rumeurs concernant son sexe et refuse. Après la mort de Louis XV, Mlle d’Eon de Beaumont renouvelle sa requête auprès de Louis XVI. C’est ainsi qu’en 1777, vêtue de son uniforme de capitaine des dragons, Charles-Geneviève supplie le roi de lui permettre d’user de nouveau de sa personnalité masculine. Mais Louis XVI soutenu par son ministre Maurepas campe sur les positions de son prédécesseur. Après un exil en Tonnerre, Charles-Geneviève repart pour Londres en 1785 où elle mène une vie de lady avant de perdre sa rente octroyé par le roi de France. Même après la révolution française et la mort de Louis XVI, la vieille Mlle d’Eon de Beaumont ne reprendra pas l’habit d’homme, sans doute résignée à être ce qu’elle a toujours été : une femme. Son père, déçu de ne pas avoir eu de fils avait-il dés la naissance de la petite Charles-Geneviève fait de sa fille un garçon ? Cette hypothèse est retenue et on imagine que Mlle d’Eon, qui avait été habituée et élevée en tant qu’homme, avait voulu revenir à cette personnalité après 1774
Le 21 mai 1810, l’ex chevalier d’Eon s’éteint à Londres, à l’âge avancé de 81 ans. Oubliée de tous, Charles-Geneviève était morte dans la misère. Lors de la toilette funéraire, les médecins, et une quinzaine de personnes, s’aperçoivent que la vieille dame était en fait…un homme ! Retournement incroyable de situation ! En 1774, le chevalier d’Eon avait pourtant affirmé être une femme et plusieurs médecins avaient confirmé ses dires. Pourquoi donc Charles-Geneviève a-t-il accepté d’être une femme durant quarante années ? Louis XV et Louis XVI étaient-ils au courant que « Mlle d’Eon » était en fait de sexe masculin ? Dans ce cas, pourquoi ont-ils refusé qu’elle redevienne un homme ? Après la mort de Louis XVI, pourquoi donc le chevalier d’Eon n’a-t-il pas reprit sa véritable identité ? Le 23 mai, un des membres de la faculté d’Angleterre déclare : « Par la présente, je certifie que j’ai examiné et disséqué le corps du chevalier d’Éon et que j’ai trouvé sur ce corps les organes mâles de la génération parfaitement formés sous tous les rapports ». Mais qui sait….si ces quelques personnes présentes autour de la dépouille de Charles-Geneviève s’étaient mises d’accord pour affirmer qu’il était un homme alors que c’était en réalité une femme ? Car pourquoi le chevalier d’Eon aurait-il menti sur son sexe féminin ? Le mystère demeure…
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francktalk2
Nov 21, 2014 @ 9:19
Le bonnet de l’âne? Ce sont les leaders politiques et les medias occidentaux, qui le portent.
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Grandloup74
Nov 21, 2014 @ 10:50
Oui, il s’agit bien d’ânes qui vont à l’encontre des interets de leurs peuples ! Mais certains sont plutôt des ordures de la même trempe que ceux qui les ont mis en place et les manipulent !
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Estelle
Nov 21, 2014 @ 9:06
Prem’s !
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