Le forum Davoc (Draw A vision Of Cameroon) s’est ouvert aujourd’hui à Paris. Sous l’impulsion du Réseau Casa-Net (Cameroonian Skills Abroad – Network), la diaspora a invité plusieurs participants. En cette 7ème édition, qui s’est tenue à L’hôtel MOLITOR sis au 13 Rue Nungesser et Coli, 75016 Paris, il y a eu des moments forts, avant la mise en place des travaux à proprement parler.
Cette ouverture s’est faite par trois allocutions. La première a été celle de Me Serge Bakoa, ensuite, celle de Jérôme Monteu Nana le coordonnateur du Davoc. Ces discours se sont terminés par la communication de M. Jean-Joseph Atangana, Ministre-Conseiller de l’Ambassade du Cameroun en France, représentant personnel de son excellence M. Mbella Mbella Le Jeune, ambassadeur, empêché…
Par la suite, les choses sérieuses ont commencé avec la plénière. Il y a eu présentation, par divers intervenants, de projets porteurs en relation avec le Cameroun et son agriculture à booster. Par la suite, après une pause déjeuner, les travaux ont pris place avec divers ateliers animés par les porteurs de projets.
Le tout s’est terminé aux environs de 18h, heure de Paris. Une journée enrichissante, de rencontres et surtout d’avenir. Le patriotisme chevillé au corps, les participants se sont donnés rendez-vous demain pour la suite des événements. Cette dernière aura lieu à l’Ambassade du Cameroun à Paris sis au 16, rue d’Auteuil, 75016 Paris, dès 8h30 et la clôture aura lieu dans la foulée aux environs de 14h…
Le Prof
Nov 21, 2014 @ 13:47
Une diaspora unie est une vrai atout pour ce beau pays qui est la Cameroun
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francktalk2
Nov 21, 2014 @ 10:34
Que reste-il du testament de Tonton Ruben Um Nyobe, Mpodol?
Que reste-il du testament de Tonton Ruben Um Nyobe revisté par Félix Owandje?
Que reste-il du testament de Tonton Ruben Um Nyobe revisté par Ernest Owandje revisté par Félix Moumié?
Pour parler du Cameroun, pour parler Cameroun; les Camerounais se rencontrent à Paris (France)? Les Camerounais de la diaspora? A quand la décolonisation mentale? Un Camerounais du Gabon, du Benin, du Nigeria, de l’Afrique du Sud, de deux Congo etc. ne fait-il pas partie de la diaspora camerounaise ou faudra-t-il re-inventer la définition du mot « diaspora »?
Ah, les Subsahariens et le complexe de l’Europe!
Ah, les Subsahariens dont les pays sont de membres de la Francafrique et le syndrome de la France!
A Paris, il n’y a pas de moustiques. A Paris, l’humidité de l’air n’atteint pas les 90-95%. A Paris, le vin ne coûte pas cher. A Paris, on côtoie chaque jour des vrais Français de France.
Des hôtesses aux cheveux décrepissés. Pourquoi pas? Les coiffures africaines et les tresses africaines ne font pas snob. Retour aux coiffures et modes des années 60, en Afrique
Et si ces hôtesses appartenaient à la catégories des Camerounaises, qui ont honte de leurs cheveux ?
Combien à coûter cette foire des Complexés? Associer l’Etat camerounais pour parler du Cameroun!
Edith Kahbang Walla, page vierge de la sarabande (politique) camerouno-biyaise, est une inconnue de la « diaspourie » camerounaise, raison pour laquelle elle n’est pas invitée. Lorsque la vraie diaspora camerounaise, la vraie dispora afro-camerounaise se réunira, en Afrique, elle sera invitée.
Une diaspora, qui se gêne de se réunir au Cameroun à cause des moustiques, de la poussière, d’une voirie urbaine presqu’inexistante, à cause des tranports en commun moribond ne fait pas l’honneur ni du Cameroun ni de l’Afrique ni de la diaspora noire, a fortiori celle atteinte de la psychose d’Ebola.
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sowhat
Nov 20, 2014 @ 23:27
H.S : la guerre contre la Syrie
soyons sérieux
les prébendiers de la Républqiue (*) se sont jurés de livrer une guerre à mort contre le dictateur-sanguinaire-de-Damas-qui-masssacre-son-peuple et contre une large majorité de syriens (de l’aveu même des renseignements US et de tous les observateurs impartiaux) qui ont l’outrecuidance insupportable de soutenir le président qu’ils ont élu.
Il ne faut pas sous-estimer le pouvoir de nuisance des prébendiers. Le continent africain a été longtemps et est encore jusqu’à présent (mais plus pour longtemps) le théâtre de leurs crimes et nous savons de quoi ils sont capables. Du reste on a pu voir et vérifier que cette guerre contre la Syrie est une guerre sans merci au point que toutes les lois de la guerre ont été bafouées.
Au moyen des efforts conjugués des ci-devant prébendiers et de leurs partenaires au sein de cette coalition de voyous et dont ils forment l’avant-garde (et au passage on peut faire le parallèle avec la fameuse avant-garde du digne Valls), des hordes de milliers de vermines de la pire espèce (la racaille islamiste n’en déplaise aux chatouilleux de l’islamophobie **) acheminés de tous les coins de la planète se sont abattus sur la Syrie comme des nuages de frelons et ont
massacré
égorgé
brûlé
crucifié
violé
pietiné
affamé
des dizaines de milliers de syriens
provoqué l’exode de millions d’autres
usé envers la population civile de toutes les atrocités possibles et imaginables, d’une barbarie qu’on croyait disparue
détruit et pillé plus de la moitié des infrastructures du pays
détruit systématiquement les hôpitaux et les écoles, les mosquées et les églises, tous les monuments et les symboles de la culture …
Et les prébendiers ricanaient depuis 4 ans à ce jeu ignoble et continuaient de ricaner et ne faisaient que ricaner quand on leur objectait la justice la raison humaine la pitié. Ils ricanaient tels le digne Fabius et notre « philosophe national » BHL et tous les autres … FINI DE RIRE VOUS ALLEZ PLEURER
*) la République des fripouilles
**) « antisémite ! » , « islamophobe ! » : c’est la même fabrique. Ceux qui crient « antisémite » et « islamophobe » sont complices.
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venus
Nov 20, 2014 @ 20:57
http://www.capital.fr/enquetes/derapages/l-incroyable-derive-financiere-de-la-mairie-de-paris-549730
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Jacques de Fort
Nov 20, 2014 @ 20:27
Dans le numéro d’avril du Monde diplomatique était publié « Les guerres africaines de Vincent Bolloré » et sur le site, au même moment, « Port, rail, plantations : le triste bilan de Bolloré au Cameroun ». Thomas Deltombe y décortiquait la présence de l’industriel Bolloré en Afrique et notamment au Cameroun. La photographe Isabelle Alexandra Ricq, avec la journaliste Nomba Danielle, ont rencontré les laissés-pour-compte et les bénéficiaires de l’un des théâtres d’opérations camerounais de Bolloré. Voici leur reportage, deuxième partie d’un travail photographique, intitulé « The men who sold the world » (« Les hommes qui ont vendu le monde »), commencé en Indonésie sous le titre « Détruire ». Ce second volet s’appelle « Soumettre ».
La Socapalm (Société camerounaise de palmeraies), principal producteur d’huile de palme du Cameroun, contrôle 80 % du marché du pays. Cette ancienne société d’Etat a été privatisée en l’an 2000 au profit du groupe belge Socfinal, dont le groupe français Bolloré détient 38,75 %.
Loin d’apaiser les relations entre ces gigantesques plantations et les populations riveraines, la privatisation a exacerbé les conflits et la nouvelle direction durcit les méthodes d’antan ; destruction massive des forêts alentours, confiscations de terres, expulsions de villageois, pollution des cours d’eau ou encore recours généralisé à la sous-traitance.
En avril 2009, la Socapalm recherchait des actionnaires en vue de son lancement sur le marché boursier : « Devenez actionnaire d’un fleuron de l’agro-industrie au Cameroun, devenez actionnaire de Socapalm – Cameroun », disait la brochure. Parole est donnée aux acteurs de ce conflit.
blog.mondediplo.net/2009-06-16-Bollore-au-Cameroun-un-bilan-en-images
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Jacques de Fort
Nov 20, 2014 @ 20:07
H.S
Le Nigéria, pays le plus peuplé d’Afrique avec ses 170 millions d’habitants, est aussi une grande puissance économique. C’est un pays riche avec le pétrole comme principale richesse mais cette ressource est aussi une malédiction, responsable de nombreux dégâts environnementaux et de corruption généralisée. La manne pétrolière est en effet l’objet de la compétition entre les élites politiques, alimentant un système très clientéliste.
Malgré cette richesse, la majorité des Nigérians vivent dans une très grande pauvreté. Le pays manque de structures éducatives, les services de santé sont de mauvaise qualité et les services de base sont mal assurés.
Depuis l’indépendance en 1960, le pays a subi de nombreux coups d’État militaires (28 années sous régime militaire), une guerre civile entre 1967 et 1970 qui a fait un million de victimes et, depuis 1999, la transition démocratique reste chaotique. La gouvernance est rendue difficile par la politisation des clivages ethniques, régionaux, religieux et par des élites politiciennes souvent corrompues. Le Nigéria est traversé régulièrement par des conflits violents, comme actuellement la lutte entre l’État central et la secte Boko Haram.
Le Nigéria est aussi un pays d’un très grand dynamisme culturel. C’est la deuxième industrie de fabrication de films au monde, derrière l’Inde et devant les États-Unis. Les studios de Nollywood sont aussi réputés que ceux de Bollywood. De même, la littérature nigériane est l’une des plus créatives, non seulement à travers ses auteurs les plus connus comme Chinua Achebe ou Wole Soyinka, mais aussi grâce à toute une jeune génération qui a pris le relais et dont les œuvres sont aujourd’hui internationalement reconnues.
Cette créativité culturelle, sa presse dynamique et ses associations très actives montrent la vitalité de la société civile nigériane.
Le Nigéria reste néanmoins une puissance fragile qui a les potentialités pour assurer à ses habitants des services de base mais dont le vivre-ensemble reste à construire.
http://www.ritimo.org/article5219.html
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Sylvain
Nov 20, 2014 @ 19:38
Moi, j »aime bien dans le titre les termes solennelle compétences …
merci à AJ d’utiliser les mots qu’il faut.
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Estelle
Nov 20, 2014 @ 19:15
Prem’s !
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