SOTCHI, Russie – Vladimir Poutine a pris part à la dernière séance plénière de la XIe session du Club International de Discussion Valdaï. Le thème de la réunion était : L’ordre mondial : de nouvelles règles ou un jeu sans règles ?
Cette année, 108 experts, historiens et analystes politiques originaires de 25 pays, dont 62 participants étrangers, ont pris part aux travaux du Club.
La réunion plénière a présenté une synthèse des travaux du Club au cours des trois journées précédentes, qui ont été consacrées à l’analyse des facteurs d’érosion du système actuel des institutions et des normes du droit international.
Discours du Président Vladimir Poutine durant la dernière séance plénière de la XIe session du Club Valdaï
Retranscription :
Chers collègues, Mesdames et Messieurs, chers amis,
C’est un plaisir de vous accueillir à la XIe réunion du Club Valdaï.
Il a déjà été mentionné que le Club a de nouveaux co-organisateurs cette année. Ils comprennent des organisations non gouvernementales russes, des groupes d’experts et de grandes universités. Il a également été suggéré d’élargir les discussions à des questions qui ne sont pas seulement liées à la Russie elle-même, mais aussi à la politique et à l’économie mondiales.
J’espère que ces changements dans l’organisation et le contenu des sessions renforceront l’influence du Club en tant que forum de discussion et d’experts de premier plan. Dans le même temps, j’espère que « l’esprit de Valdaï » sera conservé – cette atmosphère libre et ouverte, cette opportunité d’exprimer toutes sortes d’opinions très différentes et franches.
Permettez-moi de dire à cet égard que je ne vais pas vous décevoir et que je vais parler directement et franchement. Certains de mes propos pourront sembler un peu trop rudes, mais si nous ne parlons pas directement et honnêtement de ce que nous pensons vraiment, alors il est absolument inutile de tenir de telles réunions. Il serait préférable, dans ce cas, de se contenter des rencontres diplomatiques, où personne ne dit rien qui ait une véritable portée et, reprenant les paroles d’un célèbre diplomate, où vous vous rendez compte que les diplomates ont une langue faite pour ne pas dire la vérité.
Nous nous réunissons pour d’autres raisons. Nous nous réunissons pour nous parler franchement. Nous avons besoin d’être directs et francs aujourd’hui, non pas pour s’envoyer des piques, mais afin de tenter de faire la lumière sur ce qui se passe dans le monde, d’essayer de comprendre pourquoi le monde est de moins en moins sûr et de plus en plus imprévisible, et pourquoi les risques augmentent partout autour de nous.
Les débats d’aujourd’hui se sont tenus sous le thème : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? Je pense que cette formule décrit avec précision le tournant historique que nous avons atteint aujourd’hui et le choix auquel nous sommes tous confrontés. Bien sûr, il n’y a rien de nouveau dans l’idée que le monde est en train de changer très rapidement. Je sais que c’est quelque chose dont vous avez parlé durant les échanges d’aujourd’hui. Il est certainement difficile de ne pas remarquer les transformations dramatiques dans la politique mondiale et dans l’économie, dans la vie publique, dans l’industrie, l’information et les technologies sociales.
Permettez-moi de vous demander dès maintenant de me pardonner si j’en viens à répéter ce que certains des participants à la discussion ont déjà dit. C’est pratiquement inévitable. Vous avez déjà eu des discussions détaillées, mais je vais exposer mon point de vue. Il coïncidera avec le point de vue des participants sur certains points et divergera sur d’autres.
Tandis que nous analysons la situation d’aujourd’hui, n’oublions pas les leçons de l’histoire. Tout d’abord, les changements dans l’ordre mondial – et tout ce que nous voyons aujourd’hui constitue des événements de cette ampleur – ont généralement été accompagnés sinon par une guerre et des conflits à l’échelle mondiale, du moins par des chaînes de conflits locaux intenses. Deuxièmement, la politique mondiale est avant tout une question de leadership économique, de guerre et de paix, avec une dimension humanitaire, incluant les droits de l’homme.
Aujourd’hui, le monde est plein de contradictions. Nous devons être francs en nous demandant mutuellement si nous avons un filet de sécurité fiable et bien en place. Malheureusement, il n’y a aucune garantie et aucune certitude que le système actuel de sécurité mondiale et régionale soit en mesure de nous protéger des bouleversements. Ce système a été sérieusement affaibli, fragmenté et déformé. Les organisations internationales et régionales de coopération politique, économique, et culturelle traversent également des temps difficiles.
Oui, un grand nombre des mécanismes actuels visant à assurer l’ordre mondial ont été créés il y a très longtemps, y compris et surtout dans la période suivant immédiatement la Seconde Guerre mondiale. Permettez-moi de souligner que la solidité du système créé à l’époque reposait non seulement sur l’équilibre des forces et les droits des pays vainqueurs, mais aussi sur le fait que les « pères fondateurs » de ce système se respectaient mutuellement, n’essayaient pas de mettre la pression sur les autres, mais tentaient de parvenir à des accords.
L’essentiel est que ce système doit se développer, et malgré ses diverses lacunes, il doit au moins être capable de maintenir les problèmes mondiaux actuels dans certaines limites et de réguler l’intensité de la concurrence naturelle entre les nations.
Je suis convaincu que nous ne pouvions pas prendre ce mécanisme de freins et contrepoids que nous avons construit au cours des dernières décennies, parfois avec les plus grands efforts et difficultés, et tout simplement le détruire sans rien reconstruire à sa place. Sinon, nous serions laissés sans instruments autres que la force brute.
Ce que nous devions faire était de procéder à une reconstruction rationnelle et de l’adapter aux nouvelles réalités du système des relations internationales.
Mais les Etats-Unis, s’étant eux-mêmes déclarés vainqueurs de la Guerre Froide, n’en voyaient pas le besoin. Au lieu d’établir un nouvel équilibre des forces, essentiel pour maintenir l’ordre et la stabilité, ils ont pris des mesures qui ont jeté le système dans un déséquilibre marqué et profond.
La Guerre Froide a pris fin, mais elle n’a pas pris fin avec la signature d’un traité de paix comprenant des accords clairs et transparents sur le respect des règles existantes ou la création d’un nouvel ensemble de règles et de normes. Cela a créé l’impression que les soi-disant « vainqueurs » de la Guerre Froide avaient décidé de forcer les événements et de remodeler le monde afin de satisfaire leurs propres besoins et intérêts. Lorsque le système actuel des relations internationales, le droit international et les freins et contrepoids en place faisaient obstacle à ces objectifs, ce système été déclaré sans valeur, obsolète et nécessitant une démolition immédiate.
Pardonnez l’analogie, mais c’est la façon dont les nouveaux riches se comportent quand ils se retrouvent tout à coup avec une grande fortune, dans ce cas sous la forme d’un leadership et d’une domination mondiale. Au lieu de gérer leur patrimoine intelligemment, pour leur propre bénéfice aussi bien sûr, je pense qu’ils ont commis beaucoup de folies.
Nous sommes entrés dans une période de différentes interprétations et de silences délibérés dans la politique mondiale. Le droit international a maintes fois été forcé de battre en retraite, encore et encore, par l’assaut impitoyable du nihilisme légal. L’objectivité et la justice ont été sacrifiées sur l’autel de l’opportunisme politique. Des interprétations arbitraires et des évaluations biaisées ont remplacé les normes juridiques. Dans le même temps, l’emprise complète sur les médias de masse mondiaux ont rendu possible, quand on le désirait, de présenter le blanc comme noir et le noir comme blanc.
Dans une situation où vous aviez la domination d’un pays et de ses alliés, ou plutôt de ses satellites, la recherche de solutions globales s’est souvent transformée en une tentative d’imposer ses propres recettes universelles. Les ambitions de ce groupe sont devenues si grandes qu’ils ont commencé à présenter les politiques qu’ils concoctaient dans leurs corridors du pouvoir comme le point de vue de l’ensemble de la communauté internationale. Mais ce n’est pas le cas.
La notion même de « souveraineté nationale » est devenue une valeur relative pour la plupart des pays. En essence, ce qui était proposé était cette formule : plus la loyauté de tel ou tel régime en place envers le seul centre de pouvoir dans le monde est grande, plus grande sera sa légitimité.
Nous aurons une discussion libre après mon propos et je serai heureux de répondre à vos questions et je tiens également à utiliser mon droit à vous poser des questions. Que personne n’hésite à essayer de réfuter les arguments que je viens d’exposer lors de la discussion à venir.
Les mesures prises contre ceux qui refusent de se soumettre sont bien connues et ont été essayées et testées de nombreuses fois. Elles comprennent l’usage de la force, la pression économique et la propagande, l’ingérence dans les affaires intérieures, et les appels à une sorte de légitimité « supra-légale » lorsqu’ils ont besoin de justifier une intervention illégale dans tel ou tel conflit ou de renverser des régimes qui dérangent. Dernièrement, nous avons de plus en plus de preuves que le chantage pur et simple a également été utilisé en ce qui concerne un certain nombre de dirigeants. Ce n’est pas pour rien que « Big Brother » dépense des milliards de dollars pour tenir sous surveillance le monde entier, y compris ses propres alliés les plus proches.
Demandons-nous à quel point nous sommes à l’aise avec tout cela, à quel point nous sommes en sécurité, combien nous sommes heureux de vivre dans ce monde, à quel degré de justice et de rationalité il est parvenu. Peut-être n’avons-nous pas de véritables raisons de nous inquiéter, de discuter et de poser des questions embarrassantes ? Peut-être que la position exceptionnelle des États-Unis et la façon dont ils mènent leur leadership est vraiment une bénédiction pour nous tous, et que leur ingérence dans les événements du monde entier apporte la paix, la prospérité, le progrès, la croissance et la démocratie, et nous devrions peut-être seulement nous détendre et profiter de tout cela ?
Permettez-moi de dire que ce n’est pas le cas, absolument pas le cas.
Un diktat unilatéral et le fait d’imposer ses propres modèles aux autres produisent le résultat inverse. Au lieu de régler les conflits, cela conduit à leur escalade ; à la place d’États souverains et stables, nous voyons la propagation croissante du chaos ; et à la place de la démocratie, il y a un soutien pour un public très douteux allant de néo-fascistes avoués à des islamistes radicaux.
Pourquoi soutiennent-ils de tels individus ? Ils le font parce qu’ils décident de les utiliser comme instruments dans la voie de la réalisation de leurs objectifs, mais ensuite, ils se brûlent les doigts et font marche arrière. Je ne cesse jamais d’être étonné par la façon dont nos partenaires ne cessent de marcher sur le même râteau, comme on dit ici en Russie, c’est-à-dire de faire les mêmes erreurs encore et encore.
Ils ont jadis parrainé des mouvements islamistes extrémistes pour combattre l’Union soviétique. Ces groupes se sont formés au combat et aguerris en Afghanistan, et ont plus tard donné naissance aux Talibans et à Al-Qaïda. L’Occident les a sinon soutenus, du moins a fermé les yeux sur cela, et, je dirais, a fourni des informations et un soutien politique et financier à l’invasion de la Russie et des pays de la région d’Asie centrale par les terroristes internationaux (nous ne l’avons pas oublié). C’est seulement après que des attaques terroristes horribles aient été commises sur le sol américain lui-même que les États-Unis ont pris conscience de la menace collective du terrorisme. Permettez-moi de vous rappeler que nous avons été le premier pays à soutenir le peuple américain à l’époque, le premier à réagir comme des amis et partenaires après la terrible tragédie du 11 Septembre.
Au cours de mes conversations avec les dirigeants américains et européens, je parlais toujours de la nécessité de lutter ensemble contre le terrorisme, de le considérer comme un défi à l’échelle mondiale. Nous ne pouvons pas nous résigner et accepter cette menace, nous ne pouvons pas la couper en morceaux séparés à l’aide du deux poids deux mesures. Nos partenaires ont exprimé leur accord, mais après quelques temps, nous nous sommes retrouvés au point de départ. Ce fut d’abord l’opération militaire en Irak, puis en Libye, qui a été poussée au bord du gouffre. Pourquoi la Libye a-t-elle été réduite à cette situation ? Aujourd’hui, c’est un pays en danger de démantèlement et qui est devenu un terrain d’entraînement pour les terroristes.
Seule la détermination et la sagesse de la direction égyptienne actuelle a sauvé ce pays arabe clé du chaos et de l’emprise des terroristes. En Syrie, comme par le passé, les États-Unis et leurs alliés ont commencé à financer et armer directement les rebelles et leur ont permis de remplir leurs rangs de mercenaires provenant de divers pays. Permettez-moi de vous demander où ces rebelles obtiennent leur argent, leurs armes et leurs spécialistes militaires ? D’où tout cela vient-il ? Comment l’Etat Islamique notoire a-t-il réussi à devenir un groupe aussi puissant, de fait une véritable force armée ?
Quant aux sources de financement, aujourd’hui, l’argent ne vient plus seulement de la drogue, dont la production a augmenté non pas de quelques points de pourcentage mais dans des proportions considérables depuis que les forces de la coalition internationale sont intervenues en Afghanistan. Vous êtes au courant de cela. Les terroristes obtiennent également de l’argent en vendant du pétrole. Le pétrole est produit dans le territoire contrôlé par les terroristes, qui le vendent à des prix de dumping, le produisent et le transportent. Mais d’autres achètent ce pétrole, le revendent, et font du profit, sans penser au fait qu’ils financent ainsi les terroristes qui pourraient venir tôt ou tard sur leur propre sol et semer la destruction dans leur propre pays.
Où trouvent-ils les nouvelles recrues ? En Irak, après que Saddam Hussein ait été renversé, les institutions de l’État, y compris l’armée, ont été laissés en ruines. Nous avons dit, à l’époque, soyez très, très prudents. Vous mettez les gens à la rue, et que vont-ils y faire ? N’oubliez pas que légitimement ou non, ils faisaient partie de la direction d’une grande puissance régionale, et en quoi est-ce que vous les transformez maintenant ?
Quel fut le résultat ? Des dizaines de milliers de soldats, d’officiers et d’anciens militants du parti Baas se sont retrouvé à la rue et ont aujourd’hui rejoint les rangs des rebelles. Peut-être cela explique-t-il pourquoi l’Etat islamique s’est avéré si efficace. En termes militaires, il agit très efficacement et il a certains cadres très compétents. La Russie a mis en garde à plusieurs reprises sur les dangers des actions militaires unilatérales, des interventions dans les affaires des Etats souverains, et des flirts avec les extrémistes et les radicaux. Nous avons insisté pour que les groupes luttant contre le gouvernement syrien central, surtout l’Etat islamique, soient inscrits sur les listes des organisations terroristes. Mais avons-nous vu le moindre résultat ? Nous avons lancé des appels en vain.
Nous avons parfois l’impression que nos collègues et amis sont constamment aux prises avec les conséquences de leurs propres politiques, et qu’ils dépensent tous leurs efforts dans le traitement des risques qu’ils ont eux-mêmes créés, en payant un prix de plus en plus élevé.
Chers collègues,
Cette période de domination unipolaire a démontré de manière convaincante que le fait d’avoir un seul centre de pouvoir ne rend pas les processus mondiaux plus faciles à gérer. Au contraire, ce type de construction instable a montré son incapacité à lutter contre les menaces réelles telles que les conflits régionaux, le terrorisme, le trafic de drogue, le fanatisme religieux, le chauvinisme et le néo-nazisme. Dans le même temps, il a ouvert une large voie aux fiertés nationales exacerbées, à la manipulation de l’opinion publique et à la brutalisation et à l’oppression des faibles par les forts.
Essentiellement, le monde unipolaire est tout simplement un moyen de justifier la dictature sur les individus et les nations. Le monde unipolaire s’est avéré un fardeau trop rude, trop lourd et trop ingérable même pour son chef auto-proclamé. Des commentaires ont été faits dans ce sens juste avant mon intervention, et je suis entièrement d’accord avec eux. Voilà pourquoi nous voyons, en cette nouvelle étape de l’histoire, des tentatives de recréer un semblant de monde quasi-bipolaire en tant que modèle commode pour perpétuer le leadership américain. Peu importe qui prend la place du centre du mal dans la propagande américaine, peu importe qui remplace l’ex-l’URSS en tant que principal adversaire. Cela pourrait être l’Iran, en tant que pays qui cherche à acquérir la technologie nucléaire, la Chine, en tant que plus grande économie mondiale, ou la Russie, en tant que superpuissance nucléaire.
Aujourd’hui, nous assistons à de nouveaux efforts pour fragmenter le monde, dessiner de nouvelles lignes de clivage, réunir des coalitions qui ne sont pas façonnées pour quelque chose mais dirigées contre quelqu’un, qui que ce soit, pour créer l’image d’un ennemi comme ce fut le cas pendant les années de Guerre Froide, et s’emparer du droit à ce leadership, ou diktat si vous préférez. La situation était présentée de cette façon au cours de la Guerre Froide. Nous savons tous cela et nous le comprenons bien. Les Etats-Unis ont toujours dit à leurs alliés : « Nous avons un ennemi commun, un ennemi terrible, le centre du mal, et nous vous protégeons, vous nos alliés, de cet ennemi, et nous avons donc le droit de vous donner des ordres, de vous forcer à sacrifier vos intérêts politiques et économiques et à payer votre quote-part des coûts de cette défense collective, mais nous serons les responsables de tout cela bien sûr. » En bref, nous voyons aujourd’hui des tentatives, dans un monde nouveau et changeant, de reproduire les modèles familiers de la gestion globale, et tout cela de manière à garantir aux États-Unis leur situation exceptionnelle et à récolter des dividendes politiques et économiques.
Mais ces tentatives sont de plus en plus déconnectées de la réalité et sont en contradiction avec la diversité du monde. Des mesures de ce genre créent inévitablement des confrontations et provoquent des contre-mesures, et ont pour résultat l’effet inverse de ce qui était souhaité. Nous voyons ce qui se passe quand la politique commence imprudemment à s’ingérer dans l’économie et que la logique des décisions rationnelles cède la place à la logique de confrontation, qui ne fait que nuire aux propres positions et intérêts économiques des pays en question, y compris les intérêts des entreprises nationales.
Les projets économiques communs et les investissements mutuels rapprochent objectivement les pays et contribuent à aplanir les problèmes actuels dans les relations entre Etats. Mais aujourd’hui, la communauté mondiale des affaires fait face à des pressions sans précédent de la part des gouvernements occidentaux. De quelles affaires, de quelles opportunités économiques ou de quel pragmatisme peut-on encore parler lorsque nous entendons des slogans tels que « la patrie est en danger », « le monde libre est menacé », et « la démocratie est en péril » ? Et tout le monde doit alors se mobiliser. Voilà à quoi ressemble une vraie politique de mobilisation.
Les sanctions sapent déjà les fondements du commerce mondial, les règles de l’OMC et le principe de l’inviolabilité de la propriété privée. Ils portent un coup dangereux au modèle libéral de la mondialisation fondé sur les marchés, la liberté et la concurrence, qui, permettez-moi de le souligner, est précisément un modèle qui a avant tout bénéficié aux pays occidentaux. Et maintenant, ils risquent de perdre la confiance en tant que gouvernants de la mondialisation. Nous devons nous demander, pourquoi était-ce nécessaire ? Après tout, la prospérité des États-Unis repose en grande partie sur la confiance des investisseurs et des détenteurs étrangers de dollars et de valeurs mobilières étasuniennes. Cette confiance est clairement mise à mal et des signes de désillusion quant aux fruits de la mondialisation sont maintenant visibles dans de nombreux pays.
Le précédent bien connu de Chypre et les sanctions pour des motifs politiques n’ont fait que renforcer la tendance à chercher à renforcer la souveraineté économique et financière et la volonté des pays ou de leurs groupes régionaux de trouver des moyens de se protéger contre les risques de pressions extérieures. Nous voyons déjà que de plus en plus de pays cherchent des moyens de devenir moins dépendants du dollar et mettent en place des systèmes financiers, de paiement et des monnaies de réserve alternatifs. Je pense que nos amis américains sont tout simplement en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis. On ne peut pas mélanger la politique et l’économie, mais c’est ce qui se passe maintenant. J’ai toujours pensé et je pense encore aujourd’hui que les sanctions pour des motifs politiques sont une erreur qui nuira à tous, mais je suis sûr que nous reviendrons sur ce point.
Nous savons comment ces décisions ont été prises et qui exerçait les pressions. Mais permettez-moi de souligner que la Russie ne va pas perdre son calme, s’offenser ou venir mendier à la porte de quiconque. La Russie est un pays auto-suffisant. Nous allons travailler au sein de l’environnement économique international qui a pris forme, développer la production et la technologie nationales et agir de façon plus décisive pour mener à bien notre transformation. Les pressions de l’extérieur, comme cela a été le cas à plusieurs reprises par le passé, ne feront que consolider notre société, nous maintenir en éveil et nous amener à nous concentrer sur nos principaux objectifs de développement.
Bien sûr, les sanctions constituent un obstacle. Ils essaient de nous affaiblir par ces sanctions, d’entraver notre développement et de nous pousser à l’isolement politique, économique et culturel, en d’autres termes nous forcer à prendre du retard. Mais permettez-moi de rappeler encore une fois que le monde est un endroit très différent aujourd’hui. Nous n’avons pas l’intention de nous isoler de quiconque ou de choisir une sorte de voie de développement fermée, en essayant de vivre en autarcie. Nous sommes toujours ouverts au dialogue, y compris au sujet de la normalisation de nos relations économiques et politiques. Nous comptons ici sur l’approche et la position pragmatiques des milieux d’affaires dans les principaux pays.
Certains disent aujourd’hui que la Russie tournerait le dos à l’Europe – de tels propos ont probablement été tenus ici aussi lors des discussions – et rechercherait de nouveaux partenaires commerciaux, surtout en Asie. Permettez-moi de dire que ce n’est absolument pas le cas. Notre politique active dans la région Asie-Pacifique n’a pas commencé d’hier, et non en réponse aux sanctions, mais c’est une politique que nous suivons depuis maintenant un bon nombre d’années. Comme beaucoup d’autres pays, y compris les pays occidentaux, nous avons vu que l’Asie joue un rôle de plus en plus important dans le monde, dans l’économie et dans la politique, et nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre d’ignorer ces développements.
Permettez-moi de dire encore une fois que tout le monde agit ainsi, et nous allons le faire nous aussi, d’autant plus qu’une grande partie de notre pays est géographiquement en Asie. Au nom de quoi devrions-nous ne pas faire usage de nos avantages concurrentiels dans ce domaine ? Ce serait faire preuve d’une vue extrêmement courte que de ne pas le faire.
Le développement des relations économiques avec ces pays et la réalisation de projets d’intégration communs créent aussi de grandes incitations pour notre développement national. Les tendances démographiques, économiques et culturelles actuelles suggèrent que la dépendance à une seule superpuissance va objectivement diminuer. C’est une chose que les experts européens et américains ont également évoqué dans leurs réunions et travaux.
Peut-être que l’évolution de la politique internationale sera le reflet de l’évolution que nous constatons dans l’économie mondiale, à savoir la concurrence intensive pour des niches spécifiques et des changements fréquents de dirigeants dans des domaines précis. Ceci est tout à fait possible.
Il ne fait aucun doute que des facteurs humanitaires tels que l’éducation, la science, la santé et la culture jouent un rôle plus important dans la concurrence mondiale. Cela a également un impact important sur les relations internationales, y compris parce que cette ressource douce (soft power) dépendra dans une large mesure des réalisations concrètes dans le développement du capital humain plutôt que des trucages sophistiqués de la propagande.
Dans le même temps, la formation d’un soi-disant monde polycentrique (je voudrais également attirer l’attention sur cela, chers collègues), en soi et d’elle-même, n’améliore pas la stabilité ; de fait, il est plus probable que ce soit l’inverse. L’objectif d’atteindre l’équilibre mondial est en train de devenir un casse-tête assez difficile, une équation à plusieurs inconnues.
Qu’est-ce que l’avenir nous réserve donc, si nous choisissons de ne pas respecter les règles – même si elles peuvent être strictes et peu pratiques – mais plutôt de vivre sans règles du tout ? Et ce scénario est tout à fait possible ; nous ne pouvons pas l’exclure, compte tenu des tensions dans la situation internationale. Beaucoup de prédictions peuvent déjà être faites, en tenant compte des tendances actuelles, et malheureusement, elles ne sont pas optimistes. Si nous ne créons pas un système clair d’engagements et d’accords mutuels, si nous ne construisons pas les mécanismes de gestion et de résolution des situations de crise, les symptômes de l’anarchie mondiale vont inévitablement s’accroître.
Aujourd’hui, nous voyons déjà une forte augmentation de la probabilité de tout un ensemble de conflits violents avec la participation directe ou indirecte des plus grandes puissances mondiales. Et les facteurs de risque comprennent non seulement les conflits multinationaux traditionnels, mais aussi l’instabilité interne dans différents États, surtout quand on parle de nations situées aux intersections des intérêts géopolitiques des grandes puissances, ou à la frontière de continents civilisationnels, culturels, historiques et économiques.
L’Ukraine, qui j’en suis sûr a été longuement évoquée et dont nous parlerons encore, est l’un des exemples de ces sortes de conflits qui affectent l’équilibre international des puissances, et je pense que ce ne sera certainement pas le dernier. De là émane la prochaine menace réelle de détruire le système actuel d’accords de contrôle des armements. Et ce processus dangereux a été initié par les Etats-Unis d’Amérique quand ils se sont unilatéralement retirés du Traité sur les missiles anti-balistiques (ABM) en 2002, puis se sont lancés dans la création de leur système global de défense antimissile et poursuivent aujourd’hui activement ce processus.
Chers collègues et amis,
Je tiens à souligner que nous ne sommes pas à l’origine de tout cela. Une fois de plus, nous glissons vers des temps où, au lieu de l’équilibre des intérêts et des garanties mutuelles, ce sera la peur et l’équilibre de la destruction mutuelle qui empêcheront les nations de se livrer à un conflit direct. En l’absence d’instruments juridiques et politiques, les armes deviennent encore une fois le point focal de l’ordre du jour mondial ; elles sont utilisées n’importe où et n’importe comment, sans la moindre sanction du Conseil de sécurité de l’ONU. Et si le Conseil de sécurité refuse de rendre de tels arrêts, alors on le condamne immédiatement comme un instrument dépassé et inefficace.
De nombreux États ne voient pas d’autres moyens d’assurer leur souveraineté qu’en obtenant leurs propres bombes. Cela est extrêmement dangereux. Nous insistons sur la nécessité de poursuivre les négociations ; nous ne sommes pas seulement en faveur de pourparlers, mais nous insistons sur la nécessité de poursuivre les pourparlers de réduction des arsenaux nucléaires. Moins nous aurons d’armes nucléaires dans le monde, mieux ce sera. Et nous sommes prêts à mener les discussions les plus sérieuses et les plus concrètes sur le désarmement nucléaire – mais seulement des discussions sérieuses sans aucun deux poids, deux mesures.
Qu’est-ce que je veux dire par là ? Aujourd’hui, de nombreux types d’armes de haute précision sont déjà assimilables à des armes de destruction massive en termes de capacité, et en cas de renonciation complète aux armes nucléaires ou de réduction radicale du potentiel nucléaire, les nations qui sont des leaders dans la création et la production de systèmes de haute précision auront un net avantage militaire. La parité stratégique sera perturbée, ce qui est susceptible d’entraîner de la déstabilisation. Le recours à une soi-disant première frappe préventive globale peut devenir tentant. En bref, les risques ne diminuent pas, mais s’intensifient.
La prochaine menace évidente est l’escalade plus avant de conflits ethniques, religieux et sociaux. De tels conflits sont dangereux non seulement en tant que tels, mais aussi parce qu’ils créent des zones d’anarchie, d’absence total de lois et de chaos autour d’eux, des lieux qui sont commodes pour les terroristes et les criminels, et où la piraterie, le trafic d’êtres humains et le trafic de drogue sont florissants.
D’ailleurs, nos collègues ont alors essayé de contrôler plus ou moins ces processus, d’exploiter les conflits régionaux et de concevoir des « révolutions colorées » en fonction de leurs intérêts, mais le génie s’est échappé de la lampe. Il semble que les pères de la théorie du chaos contrôlé eux-mêmes ne sachent plus quoi en faire ; il y a confusion dans leurs rangs.
Nous suivons de près les discussions à la fois au sein de l’élite dirigeante et de la communauté des experts. Il suffit de regarder les gros titres de la presse occidentale de l’année dernière. Les mêmes personnes sont appelées des combattants pour la démocratie, puis des islamistes ; d’abord, ils parlent de révolutions puis ils parlent d’émeutes et de soulèvements. Le résultat est évident : la propagation du chaos mondial.
Chers collègues,
Compte tenu de la situation mondiale, il est temps de commencer à se mettre d’accord sur des choses fondamentales. Ceci est d’une importance et d’une nécessité extrêmes ; cela vaudrait beaucoup mieux que de se retirer dans nos propres retranchements. Plus nous faisons face à des problèmes communs, plus nous nous trouvons dans le même bateau, pour ainsi dire. Et la manière sensée de trouver une issue réside dans la coopération entre les nations, les sociétés, dans le fait de trouver des réponses collectives aux défis croissants, et dans la gestion commune des risques. Certes, certains de nos partenaires, pour des raisons bien à eux, ne se remémorent cela que lorsque c’est dans leurs intérêts.
L’expérience pratique montre que les réponses communes aux défis ne sont pas toujours une panacée, et il faut que nous comprenions cela. En outre, dans la plupart des cas, elles sont difficiles à atteindre : il n’est pas facile de surmonter les différences dans les intérêts nationaux et la subjectivité de différentes approches, en particulier lorsqu’il s’agit de pays ayant des traditions culturelles et historiques différentes. Mais néanmoins, nous avons des exemples où, ayant des objectifs communs et agissant sur la base des mêmes critères, nous avons obtenu collectivement un réel succès.
Permettez-moi de vous rappeler la résolution du problème des armes chimiques en Syrie, et le dialogue de fond conséquent sur le programme nucléaire iranien, ainsi que notre travail sur les questions nord-coréennes, qui ont aussi connu des résultats positifs. Pourquoi ne pouvons-nous pas utiliser cette expérience à l’avenir pour relever les défis locaux et mondiaux ?
Quelle pourrait être la base juridique, politique, et économique pour un nouvel ordre mondial qui permettrait la stabilité et la sécurité, tout en encourageant une saine concurrence, et en ne permettant pas la formation de nouveaux monopoles qui entravent le développement ? Il est peu probable que quiconque puisse proposer dès à présent des solutions absolument exhaustives et prêtes à l’emploi. Nous aurons besoin de beaucoup de travail et de la participation d’un large éventail de gouvernements, d’entreprises mondiales, de la société civile, et de plates-formes d’experts telles que celle-ci.
Cependant, il est évident que les succès et les résultats réels ne sont possibles que si les participants clés des affaires internationales peuvent se mettre d’accord sur l’harmonisation des intérêts de base, sur le fait de s’imposer des limites raisonnables, et de donner l’exemple d’un leadership positif et responsable. Nous devons identifier clairement où se terminent les actions unilatérales et nous avons besoin de mettre en œuvre des mécanismes multilatéraux. Et dans le cadre de l’amélioration de l’efficacité du droit international, nous devons résoudre le dilemme entre les actions de la communauté internationale visant à assurer la sécurité et les droits de l’homme, et le principe de la souveraineté nationale et de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’un État, quel qu’il soit.
Ces collisions mêmes conduisent de plus en plus à une interférence extérieure arbitraire dans des processus internes complexes, et encore et encore, ils provoquent des conflits dangereux entre les principaux acteurs mondiaux. La question de la préservation de la souveraineté devient presque primordiale dans le maintien et le renforcement de la stabilité mondiale.
De toute évidence, discuter des critères de l’utilisation de la force extérieure est extrêmement difficile. Il est pratiquement impossible de la séparer des intérêts des nations particulières. Cependant, il est beaucoup plus dangereux de rester dans une situation où il n’y a pas d’accords qui soient clairs pour tout le monde, et où des conditions claires pour l’ingérence nécessaire et légale ne sont pas fixées.
J’ajouterais que les relations internationales doivent être basées sur le droit international, qui lui-même doit reposer sur des principes moraux tels que la justice, l’égalité et la vérité. Peut-être le plus important est-il le respect de ses partenaires et de leurs intérêts. C’est une formule évidente, mais le fait de la respecter, tout simplement, pourrait changer radicalement la situation mondiale.
Je suis certain qu’avec une volonté réelle, nous pouvons restaurer l’efficacité du système international et des institutions régionales. Nous n’avons même pas besoin de reconstruire quelque chose de nouveau, à partir de zéro ; ce n’est pas une « terre vierge », d’autant plus que les institutions créées après la Seconde Guerre mondiale sont relativement universelles et peuvent être dotées d’un contenu moderne et adéquat pour gérer la situation actuelle.
Cela est vrai quant à l’amélioration du travail de l’ONU, dont le rôle central est irremplaçable, ainsi que celui de l’OSCE, qui, durant 40 ans, a démontré qu’elle était un mécanisme nécessaire pour assurer la sécurité et la coopération dans la région euro-atlantique. Je dois dire que même aujourd’hui, en essayant de résoudre la crise dans le sud-est de l’Ukraine, l’OSCE joue un rôle très positif.
À la lumière des changements fondamentaux dans l’environnement international, l’augmentation des désordres incontrôlables et des diverses menaces, nous avons besoin d’un nouveau consensus mondial des forces responsables. Il ne s’agit pas de conclure certaines transactions locales ou un partage des zones d’influence dans l’esprit de la diplomatie classique, ni d’assurer la domination globale et complète de quiconque. Je pense que nous avons besoin d’une nouvelle version de l’interdépendance. Nous ne devrions pas avoir peur de cela. Au contraire, c’est un bon instrument pour harmoniser les positions.
Ceci est particulièrement pertinent étant donné le renforcement et la croissance de certaines régions de la planète, processus qui nécessite objectivement l’institutionnalisation de ces nouveaux pôles, par la création de puissantes organisations régionales et l’élaboration de règles pour leur interaction. La coopération entre ces centres contribuerait sérieusement à la stabilité de la sécurité, de la politique et de l’économie mondiales. Mais afin d’établir un tel dialogue, nous devons partir du postulat selon lequel tous les centres régionaux et projets d’intégration qui se forment autour d’eux doivent avoir les mêmes droits au développement, afin qu’ils puissent se compléter mutuellement et que personne ne puisse artificiellement les forcer à entrer en conflit ou en opposition. De telles actions destructrices briseraient les liens entre les Etats, et les Etats eux-mêmes seraient soumis à des difficultés extrêmes, voire même à une destruction totale.
Je voudrais vous rappeler les événements de l’année dernière. Nous avions prévenu nos partenaires américains et européens que les décisions hâtives prises en coulisses, par exemple, sur l’association de l’Ukraine avec l’UE, étaient emplies de risques graves pour l’économie. Nous n’avons pas même évoqué les problèmes politiques ; nous n’avons parlé que de l’économie, en disant que de telles mesures, mises en place sans arrangements préalables, nuiraient aux intérêts de nombreux autres pays, dont la Russie – en tant que principal partenaire commercial de l’Ukraine –, et qu’un large débat sur ces questions était nécessaire. D’ailleurs, à cet égard, je vous rappelle que par exemple, les négociations sur l’adhésion de la Russie à l’OMC ont duré 19 ans. Ce fut un travail très difficile, et un certain consensus a finalement été atteint.
Pourquoi est-ce que je soulève cette question ? Parce qu’en mettant en œuvre ce projet d’association avec l’Ukraine, nos partenaires seraient venus à nous avec leurs biens et services par la porte arrière, pour ainsi dire, et nous n’avons pas donné notre accord pour cela, personne ne nous a rien demandé à ce sujet. Nous avons eu des discussions sur tous les sujets liés à l’association de l’Ukraine avec l’UE, des discussions persistantes, mais je tiens à souligner que notre action a été menée d’une manière tout à fait civilisée, en indiquant des problèmes possibles, et en soulignant les raisonnements et arguments évidents. Mais personne ne voulait nous écouter et personne ne voulait discuter. Ils nous ont simplement dit : ce ne sont pas vos affaires, point, fin de la discussion. Au lieu du dialogue global mais – je le souligne – civilisé que nous proposions, ils en sont venus à un renversement de gouvernement ; ils ont plongé le pays dans le chaos, dans l’effondrement économique et social, dans une guerre civile avec des pertes considérables.
Pourquoi ? Quand je demande à mes collègues pourquoi, ils n’ont plus de réponse ; personne ne dit rien. C’est tout. Tout le monde est désemparé, disant que ça c’est juste passé comme ça. Ces actions n’auraient pas dû être encouragées – cela ne pouvait pas fonctionner. Après tout (je me suis déjà exprimé à ce sujet), l’ancien président ukrainien Viktor Ianoukovitch avait tout signé, il était d’accord avec tout. Pourquoi ont-ils fait ça ? Dans quel but ? Est-ce là une manière civilisée de résoudre les problèmes ? Apparemment, ceux qui fomentent constamment de nouvelles « révolutions colorées » se considèrent comme de « brillants artistes » et ne peuvent tout simplement pas s’arrêter.
Je suis certain que le travail des associations intégrées, la coopération des structures régionales, doivent être construits sur une base transparente et claire ; le processus de formation de l’Union économique eurasienne est un bon exemple d’une telle transparence. Les États qui font partie de ce projet ont informé leurs partenaires de leurs plans à l’avance, en précisant les paramètres de notre association et les principes de son travail, qui correspondent pleinement aux règles de l’Organisation mondiale du commerce.
J’ajouterais que nous aurions également accueilli favorablement l’initiation d’un dialogue concret entre l’Eurasie et l’Union européenne. D’ailleurs, ils nous ont presque catégoriquement refusé cela, et il est également difficile d’en comprendre les raisons. Qu’est-ce qu’il y a de si effrayant à cela ?
Et bien sûr, avec un tel travail conjoint, on pourrait penser que nous devons nous engager dans un dialogue (j’ai évoqué cela à de nombreuses reprises et j’ai entendu l’accord de plusieurs de nos partenaires occidentaux, du moins en Europe) sur la nécessité de créer un espace commun pour la coopération économique et humanitaire s’étendant depuis l’Atlantique jusqu’à l’océan Pacifique.
Chers collègues,
La Russie a fait son choix. Nos priorités sont d’améliorer encore nos institutions démocratiques et notre économie ouverte, d’accélérer notre développement interne, en tenant compte de toutes les tendances modernes positives observées dans le monde, et en consolidant notre société sur la base des valeurs traditionnelles et du patriotisme.
Nous avons un agenda pacifique et positif, tourné vers l’intégration. Nous travaillons activement avec nos collègues de l’Union économique eurasienne, de l’Organisation de coopération de Shanghai, du BRICS et avec d’autres partenaires. Ce programme vise à renforcer les liens entre les gouvernements, pas à les fragiliser. Nous ne prévoyons pas de façonner des blocs ou de participer à un échange de coups.
Les allégations et déclarations selon lesquelles la Russie essaie d’établir une sorte d’empire, empiétant sur la souveraineté de ses voisins, n’ont aucun fondement. La Russie n’a pas besoin d’un quelconque rôle spécial ou exclusif dans le monde – je tiens à le souligner. Tout en respectant les intérêts des autres, nous voulons simplement que nos propres intérêts soient pris en compte et que notre position soit respectée.
Nous sommes bien conscients du fait que le monde est entré dans une ère de changements et de transformations globales, dans laquelle nous avons tous besoin d’un degré particulier de prudence et de la capacité à éviter toutes mesures irréfléchies. Dans les années suivant la guerre froide, les acteurs politiques mondiaux ont en quelque sorte perdu ces qualités. Maintenant, nous devons nous les rappeler. Sinon, les espoirs d’un développement stable et pacifique seront une illusion dangereuse, tandis que la crise d’aujourd’hui servira simplement de prélude à l’effondrement de l’ordre mondial.
Oui, bien sûr, j’ai déjà souligné que la construction d’un ordre mondial plus stable est une tâche difficile. Nous parlons d’une tâche longue et difficile. Nous avons réussi à élaborer des règles pour l’interaction après la Seconde Guerre mondiale, et nous avons pu parvenir à un accord à Helsinki dans les années 1970. Notre devoir commun est de résoudre ce défi fondamental à cette nouvelle étape du développement.
Je vous remercie vivement pour votre attention.
___________________________________________________________________________________________________
Merci à Rose !
ben
Nov 14, 2014 @ 6:43
jacquart et jacaton tous pour un soutien a Poutine…
Les deux grosses merdes qui passent leur temps ici et ailleurs à foutre leurs bordelles en utilisant des dizaines pseudo et en volant l’identités de personnes dont certaine sont morts avec et en surfant a l’aide de Logiciel de surf anonyme…je m’adresse ici à Jean marie jacquart et Charlotte jacaton qui ont cru a leurs anonymat total pour être insultant, ce foutre de la gueules des intervenants ou faire en sorte de faire re-sortir des fausses amitiers entre bloggeurs.a l’aide de dialoques totalement bidonnés des trolleurs pro ….donc jacquart et jacaton tous ensembles contre c’est deux grosses merdes !!!
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Driss
Oct 28, 2014 @ 19:11
C’est quand même un réel plaisir pour certains français de retrouver la Voix de la » Grande Russie » qui est incarnée aujourd’hui par le Président Poutine et une fantastique puissance de l’ensemble la classe politique dirigeante russe.
Que sommes devenus, nous, les vaincus d’hier et d’avant hier ?
Comme d’habitude, nous allons encore louper le train et resterons béats sur le quai.
Comme les français sont ingouvernables, ils n’ont que les hommes politiques qu’ils méritent !
Aujourd’hui, l’Eurasie est bien engagée dans l’Avenir, l’Union européenne va se retrouver à la traine en comptant toutes les semaines la montée du chômage…
C’est pas du pessimisme ça !… C’est du réalisme !!!
Vous les voyez bouger vous les français ?…
Imaginez l’héritage qui vont laisser à leurs descendants…La dictature de l’argent !
Driss
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Ted
Oct 28, 2014 @ 0:56
Je ne sais pas si cette info est vraie, mais je la poste :
La Russie classifie comme assasinat par la CIA la mort PDG de Total :
http://stopmensonges.com/la-russie-classifie-comme-assasinat-par-la-cia-la-mort-pdg-de-total/
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venus
Oct 27, 2014 @ 21:23
Super son discours, aucune agressivité, rien à voir avec OBAMA ou CAMERON.
Ne parlons pas de Hollande…
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LUDOCIK
Oct 27, 2014 @ 21:22
Discours de Poutine : le monde avant et après Valdaï
http://french.irib.ir/analyses/commentaires/item/346387-discours-de-poutine-le-monde-avant-et-apr%C3%A8s-valda%C3%AF
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Charles
Oct 27, 2014 @ 20:14
Le Sultan de la CIA Erdogan et le Président Suiveur Hollande , copains comme cochons ou copains comme chaussons contre la Syrie .
N est pas un crime conttre l humanité ce que le sdeux (plus la Turquie) fait en Syrie?
————————————————————————————————
Extrait d Article de Thierry Meyssan, Le soutien français à la Turquie
http://www.voltairenet.org/article185716.html
Durant les guerre contre la Libye et contre la Syrie, la Turquie et la France se sont rapprochées jusqu’à forger un véritable pacte, dans la lignée de l’alliance franco-ottomane voulue par François Ier et Soliman Le Magnifique ; une alliance qui dura deux siècles et demi et ne prit fin qu’avec Napoléon Bonaparte, puis ressurgit brièvement durant la guerre de Crimée.
La nouvelle alliance fut ratifiée par le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, qui leva en février 2013 le veto français à l’adhésion de la Turquie à l’UE et s’engagea désormais à en favoriser l’entrée.
Sur ce, François Hollande et Laurent Fabius, Recep Tayyip Erdoğan et Ahmet Davutoğlu commanditèrent une opération conjointe pour faire assassiner le président Bachar el-Assad et son ministre des Affaires étrangères Walid el-Mouallem par du personnel de nettoyage du palais présidentiel, mais l’opération échoua.
À l’été 2013, la Turquie organisa le bombardement chimique de la ghoutta et en accusa la Syrie. Soutenue par la France, elle chercha à impliquer les États-Unis dans un bombardement de la capitale et un renversement de la République arabe syrienne. Les deux pays tentaient de ramener Washington à son projet initial de renversement de la République arabe syrienne.
Un document, remis au Conseil de sécurité des Nations unies, atteste qu’après le vote secret par le Congrès US, en janvier 2014, de l’armement et du financement de rebelles syriens pour nettoyer ethniquement la région, la France et la Turquie ont continué secrètement à armer ensemble le Front al-Nosra (c’est-à-dire Al-Qaïda) pour qu’il lutte contre Daesh. Il s’agissait toujours de ramener Washington à son projet initial.
On notera au passage, que ce n’est pas seulement la Turquie, mais aussi la France, qui ont armé les jihadistes ayant attaqué les villes chrétiennes de Maloula et de Kessab, violé leurs femmes, tués leurs hommes et profané leurs églises.
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 20:02
Ville d’Idleb :
Les soldats syriens mangent des suchis ce soir dans la ville d’Idleb.
Image :
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 20:04
Images (4 photos) :
http://justpaste.it/hqd0
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 20:57
Netanyahou prône « un Etat palestinien démilitarisé aux côtés d’Israël »!
TEL-AVIV, 27 octobre – RIA Novosti
Israël n’acceptera pas la création d’un Etat palestinien sans la conclusion d’un accord de paix qui garantisse la sécurité d’Israël et le reconnaisse en tant qu’Etat juif, a déclaré lundi le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
« Il n’y aura pas de paix entre les Palestiniens et les Israéliens aussi longtemps que les Palestiniens continueront de refuser de reconnaître le droit d’exister de l’Etat juif (…). Ma solution est un Etat palestinien démilitarisé et la reconnaissance de l’Etat juif. Nous sommes prêts à reconnaître un Etat palestinien mais les Palestiniens doivent aussi faire une série de concessions. L’enjeu le plus important est d’abandonner le droit au retour des Palestiniens. C’est l’Etat-nation du peuple juif », a indiqué M.Netanyahou en ouverture de la session d’hiver de la Knesset.
Et d’ajouter qu’il ne pouvait s’agir que d’un Etat palestinien démilitarisé aux côtés d’Israël dans le cadre d’une solution négociée.
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Bernard Cuny
Oct 27, 2014 @ 22:26
Et nous y voilà…En d’autres termes un « Bantoustan » officialisé…Nul doute que le message sera reçu « cinq sur cinq » par les vainqueurs de la seconde guerre mondiale dominant le « conseil de sécurité de l’ONU » et ayant parrainé l’État Juif…Le vieux serpent de mer (« Accords d’Oslo », « Quartet » (1), « feuille de route », « processus de paix », « deux états vivant côte à côte en paix ») va continuer à étreindre dans ses annaux, pendant d « ‘éventuelles » futures décennies, le Peuple Palestinien jusqu’à son extermination complète par toutes les « voies disponibles » (massacres, déportations, stérilisation…), pour permettre aux israëliens en attente, (en Stand By) en Europe et aux Amériques de faire leur ahlya (migration vers le « sanctuaire »)..Tous ensemble, sionistes « de droite » et sionistes « de gauche » pour « Le Grand Israël » avec la « bénédiction » du « Pape François » incliné Devant le tombeau du fondateur de l’État Juif, Theodor Herzl…
(1) Le Quartet est composé des États-Unis d’Amérique, de la Russie, de l’Union européenne et des Nations unies.
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 19:19
La première nouvelle ville arabe d’Israël depuis sa création pourrait voir le jour avant la semaine prochaine, rapporte le quotidien israélien Haaretz.
La ville, qui sera construite près de la communauté arabe de Jdeideh Makr (à l’est d’Acre) pourra accueuillir jusqu’à 40.000 habitants.
A l’origine de cette initiative, l’Autorité territoriale israélienne (Israel Lands Authority), le ministère du Logement et de la Construction ainsi que l’Administration de la Planification au sein du ministère de l’Intérieur.
Des travaux entre ces différentes autorités ont eu lieu depuis 4 ans mais il est toujours difficile de garantir la date à laquelle débutera la construction de la ville d’une superficie d’environ 274 hectares.
Le but de cette nouvelle ville est notamment de fournir des terrains aux citoyens, mais aussi de véhiculer un message « à la population arabe que de nouvelles constructions sont en cours pour les Juifs mais aussi pour les Arabes », indique le rapport préparé par les planificateurs de la ville cité par Haaretz.
Une nouvelle ligne de train devrait être créée pour rendre accessible la ville, qui disposera d’immeubles d’au moins 6 étages et des parcs urbains.
L’équipe de planification a rencontré de nombreux planificateurs arabes, des maires et des universitaires, dont certains ont apporté leur soutien au projet comme une solution à la crise du logement, mais d’autres s’y sont opposés, invoquant la création d’une ville pour un groupe de population spécifique, note Haaretz.
I 24 news
PUBLIÉ
27 Octobre 2014
10:23
Est ce pour que les palestiniens et la communaute internationale ferment le yeux sur les colonies juives
ou…
Genre plan de Constantine,du 3 octobre 1958 selon le general de gaule!
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 19:47
La convergeance entre juifs et musulmans c est la circoncision!
En effet,
Le Danemark réfléchit à une interdiction de la circoncision. Selon un sondage, 74% des Danois sont favorables à cette idée.
1/Dans le judaïsme, la circoncision représente la marque de l’alliance avec Dieu et doit se faire au 8ème jour de la naissance de l’enfant. La circoncision s’appelle en hébreu milah (coupure), mais l’expression complète est brith milah, brit signifiant « alliance ». Dans les faits, c’est par la circoncision qu’un enfant devient juif. Sans circoncision, il n’y a plus de judaïsme,selon les juifs!
2/ En islam ,*Abû Hurayra(RA) rapporte : j’ai entendu le Prophète (paix et salut sur lui) dire : « cinq pratiques sont caractéristiques de la Fitra (nature primordiale): la circoncision, le rasage du poil pubien, le coupage court des moustaches, le coupage des ongles et l’épilation des cheveux des aisselles »[2]
Si le danemark arrive a executer son projet ,il n est pas impossible qu on assiste a une manif reunissant juifs et musulmans comme ce fut le cas a berlin en septembre 2013!!
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Saida
Oct 28, 2014 @ 12:01
Jamais, on ne s’alliera au sionisme, je suis certaine que c’est pour que les musulmans voit les juifs comme amis que ça a été fait, musulmans ne tombez pas dans le piege roumi.
Les esclaves des juifs roulent pour leurs maitres.
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Sophiane
Oct 29, 2014 @ 0:17
Saida, ne confonds pas judaïsme et sionisme stp. Je rappelle que le judaïsme authentique est le pire ennemi des sionistes !
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 19:05
Bataille de Jobar, banlieue de Damas. Parti 3
Les tanks Syriens ont dû tiré 10 millions d’ obus, depuis 2011 😉
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 18:51
L’ UNESCO appelle à la protection du patrimoine Syrien. Ils se réveillent 3 ans et demie après.
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 18:34
H/S
« Le club a tout fait et continuera de faire le maximum pour me défendre. Je n’ai aucun regret sur le fait d’avoir passé mes diplômes en France. C’est quand même hallucinant qu’il y ait aussi peu de monde pour me défendre et expliquer que je n’ai pas eu de passe-droit. Je ne contourne pas la difficulté et certains en profitent pour me cracher dessus », a-t-il indiqué dans Le Figaro. (Aps)
’ancien meneur de jeu de l’équipe de France de football, et actuel entraîneur de la réserve du Real Madrid (division 3), Zineddine Zidane, a été suspendu de banc pour trois mois, rapporte lundi le site de l’Equipe.
Visé par une enquête du comité de la compétition suite à une plainte d’un réseau d’écoles privées d’entraîneurs dénonçant le fait qu’il soit l’entraîneur de la réserve du Real Madrid (D3) sans disposer de tous les modules du diplôme d’entraîneur, Zidane risquait six mois de suspension.
https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSlDDVOpSuiB-CAOTpbTWsURAuBcT1orYy1Sk6-33xq7iS_G-iu
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Algerien
Oct 27, 2014 @ 18:48
j’aime bien le joueur Zidane mais entre nous cette affaire ne va pas l appauvrir…
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 18:34
Olympique Lyonnais : Vue aérienne de l’expropriation de Philippe Layat.
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 18:31
Timsit / Dieudonné : Le 2 poids 2 mesures.
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Lydia
Oct 27, 2014 @ 20:23
Les humoristes du système ont la rage.. ils savent très bien qu’ils n’ont pas le niveau de Dieudonné, c’est aussi pour ça qu’ils veulent sa mort (médiatique et artistique)… Eux ils sont pathétiques, ils n’ont pas l’équivalent en talent, c’est pour ça qu’ils aboient tous comme des chiens dans toutes les émissions ou ils passent, malgré la promo, le rabattage insistant, ça ne marche pas, le public est devenu plus exigent, il veut de la qualité et aussi que ça lui parle… Les comiques de l’humour des chiottes ça devrait justement disparaitre par là.!
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Lydia
Oct 27, 2014 @ 20:27
A nous de tirer sur la chasse d’eau…
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croix morand
Oct 28, 2014 @ 11:26
un timsit n’a plus d’autre existence que celle que lui autorise le combat contre Dieudonné.
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venus
Oct 31, 2014 @ 21:33
Bizarre la façon dont il dit « Comment vous dites, un noir, un black » il ne s’est pas parler français ? Il a pas étudié la langue française ? Il préfère utiliser l’anglais pour parler d’un homme noir, bizarre, très bizarre cette façon de parler.
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venus
Oct 31, 2014 @ 21:35
Oh la la il ne sait pas parler français. Moi à peine l’écrire.
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Saida
Oct 27, 2014 @ 18:29
Valdai, je ne comprend, c’est certainement du yidich ou de l’hébreux, ce doit être pour cela.
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 20:57
Toujours brillantissime ma chère !!!
Je vous informe plus prosaïquement que :
« Valdaï (en russe : Валдай) est une ville de l’oblast de Novgorod, en Russie, et le centre administratif du raïon Valdaïski. Sa population s’élevait à 15 152 habitants en 2013.
Géographie
Valdaï est situé dans le sud de l’oblast de Novgorod, près de la limite administrative de l’oblast de Tver. Elle se trouve sur la route fédérale M10 reliant Moscou et Saint-Pétersbourg, à 386 km de la première et à 140 km de Novgorod. La ville la plus proche de Valdaï est Okoulovka, à 46 km au nord de Valdaï. La situation de la ville est très pittoresque, sur les collines boisées de Valdaï et immédiatement à l’ouest du lac Valdaï.
Histoire
On retrouve mentionné pour la première fois Valdaï en 1495 et l’endroit reçut le statut de ville en 1770 par Catherine II de Russie, alors que sa population était d’environ 2 000 habitants. La ville devint célèbre pour ses artisans fondeurs de cloches, les plus réputés de toute la Russie. Le monastère Iverski (1653) et la cathédrale Ouspenski (1656) se trouvent sur l’une des îles du lac Valdaï. » – Wikipédia
En m’excusant à l’avance si ce bref cours vous a barbé…
Au fait, est-ce moi que vous appelez Myriam ? J’ai jamais bien compris…
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 21:33
A l image de saida ,je me demande bien ou sont passes nos comperes COACH et PSG? que amazigh (mathieu) a fait son apparition ,je n exclues pas qu ils reapparaissent!!
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Charles
Oct 27, 2014 @ 22:41
Chère @Marie Christine
Quand on fait des salades, ils mélangent tout jusqu au point qu un chat ne retrouve plus sas chattons..Procédé de guerre sale…A force de mentir et de répéter la même ânnerie, ils oublient ce qu ils ont dit ou pas dit encore…A la poubelle… Même une étoile négative est une perte de temps…
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Saida
Oct 27, 2014 @ 23:14
Marie-Christine, je n’ai pas affirmé, j’ai dit certainement, de toute façon en Russie tout est proche de la juiverie, c’est un fait, pour cause les Kashar y étaient.
Et Poutine a largement judaiser encore ce pays.
Vous ne nierez pas qu’une partie de la Sibérie est déjà officiellement juive?
Le yidich est déjà une langue officiel en Russie, des panneaux sont en cette langue, même des paneau indiquant la frontière avec la Chine, et vous savez quoi, il y a plus de surface officiellement juive en Russie qu’en Israel.
Quant à Myriam la sioniste, il s’agit de celle qui se fait appeler Hezbollah, cela vient du fait qu’elle m’a appellé shlomo.
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 23:43
Quant à Myriam la sioniste. LOOOOOOOL
Pourquoi Myriam ?
Bon Karim, arrête de jouer au con 😉 Je reconnais ton style, même si tu essaye de le maquiller un peu 😉
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Marie-Christine
Oct 28, 2014 @ 0:06
Lol, grâce à moi, l’histoire a éré tirée au clair :
je suis aussi surprise que toi Hezbo 😆
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Saida
Oct 28, 2014 @ 0:15
Et pourquoi Shlomo?
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Hezbollah
Oct 28, 2014 @ 0:22
Parce que, tu te comporte comme un Shlomo 😉
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Hezbollah
Oct 28, 2014 @ 0:26
Marie-Christine,
Il aime bien jouer au con le Karim 😉
Mais j’ aime bien son style 😉
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venus
Oct 31, 2014 @ 21:43
Oh la la je croyais pas que Hezbo était une femme, moi qui le trouvait séduisant, on comprend plus rien et voilà comment on fini par des mariages homo ;-))
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Saida
Oct 28, 2014 @ 1:22
Et toi comme une myriam.
Enfin Myriam, quand deviendra tu une vrai musulmane, dans la voix de l’islam, loin du chiisme (que je respecte mais qui doit être éviter par les personnes).
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Rose
Oct 28, 2014 @ 0:40
@Saida.. Karim ?
Les symptômes de la schizophrénie
La schizophrénie est un trouble cérébral qui résulte d’un déséquilibre des systèmes chimiques du cerveau. La schizophrénie est synonyme d’un dédoublement de la personnalité.
Les symptômes se développent généralement progressivement, bien qu’ils puissent apparaître soudainement…
Parmi les symptômes, citons:
les idées délirantes: le fait de croire que des gens complotent contre nous
les hallucinations: entendre ou voir des choses qui ne sont pas là
le comportement désorganisé
des changements sur la façon de réagir au milieu environnant
l’absence d’expressions ou d’émotions
des problèmes de concentration
un discours abrégé dénué de détails
la difficulté de planifier en vue d’atteindre des objectifs
des problèmes de mémoire
de la confusion sur le plan de la réflexion et du discours
de la difficulté à tenir une conversation
des mouvements répétitifs (va-et-vient) ainsi que des comportements insensés.
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Rose des sables
Oct 28, 2014 @ 2:04
Non, vous vous trompez. Je suis a peu pres sure de reconnaitre le style d’une personne qui intervenait sous un autre pseudo. A vous de trouver.
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Gog
Oct 27, 2014 @ 21:24
Ca se voit tu es tellement ignorant, et surtout un provocateur. Avant d’écrire que c’est hébreux ou yiddish, il fallait s’informer. C’est pas honte ne pas savoir, mais c’est honte de ne pas s’infomer et rester l’ignorant que tu es.
Ceci dit, Valdai est le nom du lac se trouvant à coté de Novgorod où a pris place la premiére reunion du Club de discussion.
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Gog
Oct 27, 2014 @ 21:26
C’etait pour Saida
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Charles
Oct 27, 2014 @ 22:31
Merci gog
Comme si on pourrait douter que votre texto n est destiné qu à une inculte barbouillée portant le nom de Saida, quoique belle région de l Algérie (Hélas pour cette région…) .
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 18:20
Originaire de la ville libyenne d’ Agedabia (nord-est de la Libye), Abou Al-Walid Al-Liby, membre de la milice d’Al-Qaîda en Syrie, le Front d’Al-Nosra, a trouvé la mort dans la nuit de dimanche à lundi durant les combats qui ont opposé les forces de l’armée Arabe Syrienne aux milices TALMUDIQUES armées aux portes de la ville d’Idleb au nord*-ouest du pays.
SYRIAN DOCUMENTS confirme sa mort dans le lien ci-joint:
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 18:17
Les médias américains ont parlé ce lundi de l’exécution de l’ingénieur russe Sergueï Gorbounov par les membres du groupe Etat islamique. Selon les médias américains, le Russe, ensemble avec les otages des autres pays, se trouvait dans la ville de Rakka en Syrie.
Les hommes armés ont abattu Gorbounov en filmant son exécution. Plus tard, les terroristes ont montré l’enregistrement vidéo aux autres otages pour les intimider.
La vidéo remonte au printemps de cette année, mais les terroristes n’ont pas donné la date précise de l’exécution de l’ingénieur russe.
Les rebelles syriens déclarent avoir pris en otage un Russe
Ce lundi, d’autres vidéos des exécutions des citoyens étrangers ont été diffusées sur Internet, et notamment la vidéo du journaliste américain James Foley.
Les experts signalent que des enlèvements de gens pour obtenir une rançon figurent parmi les principales sources de revenus de l’EI.
Par la Voix de la Russie
aujourdhui 18h39
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 18:12
Graves propos d’une Directrice régionale du Tourisme tunisien sur l’Algérie 24 oct 2014.
Texte de la vidéo
Ce soir du 24 octobre 2014, la rédaction de France 3 a consacré un reportage du 19/20 au tourisme en Tunisie, en berne depuis la révolution du 14 janvier 2011.
Pour Mme Besma Zine Elabidine, Directrice régionale du Tourisme, « il ne faut pas faire la confusion avec l’Algérie ou avec la Libye ». Une comparaison qui, au-delà d’être étrange, se sert de l’image d’un pays, l’Algérie, auprès d’un public français.
La Libye sort d’une guerre dont elle se remet plus que difficilement, et Tunis a vécu ce 24 octobre même des échanges de tirs entre terroristes et forces de l’ordre.
A côté de cela, Alger est une capitale sûre.
Pourquoi dénigrer votre grand voisin, Mme Zine Elabidine ?
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 18:16
https://fbcdn-sphotos-a-a.akamaihd.net/hphotos-ak-xaf1/v/t1.0-9/10256814_1536537989921709_3692104740826995021_n.jpg?oh=5a71e204e279579f3e9c8101d218ab81&oe=54DDB393&__gda__=1424596260_92c63260cb735bd2b98ce341e9adb595
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 18:46
Si c est premedite,et par dessus le marche directrice regionale du tourisme,elle n a qu a jeter un coup d oeil sur ses registres et se rendre compte des rentes des algeriens dans le tourisme tunisien!
Mais je ne crois pas qu elle l ait fait avec intention !
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 21:05
Oui, le tourisme tunisien est en chute libre et elle ne sait plus quoi utiliser comme argument vendeur !
Optons pour une maladresse, mais c’est une maladresse très regrettable et je pense qu’elle va se le faire dire !!
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amazigh A
Oct 27, 2014 @ 19:10
Oui il n’y a pas de comparaisons avec l’Algérie vu le nombre de terroristes tunisiens et de tunisiennes parties faire le djihad sexuel partis en Syrie et en Irak.
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Rose des sables
Oct 28, 2014 @ 2:20
Comme Massinissa, je ne pense pas qu’ elle l’ait dit avec quelque intention que ce soit mais plutot par bêtise. La pauvre, elle doit ignorer ce qui se passe hors de ses frontières et peut etre même hors de la ville de Tunis.
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Lander
Oct 27, 2014 @ 18:07
Quand l’ours Russe fait du piano er chante.
http://www.dailymotion.com/video/xg3k7j_poutine-chante-devant-delon-depardieu-sharon-stone_webcam?start=13
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Janvier
Oct 27, 2014 @ 19:13
Merci Länder . Bon moment …
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 21:13
On dirait un jeune-homme ! 🙂
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 18:06
Quand l ingratitude et le devouement aveugle ,peut etre avec du chantage de la part des turcs,s eprend du copresident du PYD !
En effet ,
« Le soutien du gouvernement aux Kurdes syriens est connu, attesté et global, y compris sur le plan militaire », écrit l’agence( Sana) dans une dépêche diffusée dimanche, sans préciser quel mouvement bénéficie de cette aide, ni la date à laquelle elle a été fournie pour la dernière fois.
Pour Saleh Moslem, coprésident du Parti de l’Union démocratique (PYD) dont l’aile militaire se trouve en première ligne à Kobané, ville du nord de la Syrie assiégée depuis la mi-septembre par l’Etat islamique, il ne s’agit que de propagande. « Ils n’ont jamais rien fait pour Kobané », a-t-il déclaré à Reuters.
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Spanish Empire
Oct 27, 2014 @ 17:57
Merci AJ
Un peu long mais ça vaut le coup ʚϊɞ
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Gilles Chapdelaine
Oct 27, 2014 @ 17:22
Je n’ai pas fini de lire, mais ce paragraphe me fait douter de sa « total » sincérité. Serais-ce de l’ignorance ?
« C’est seulement après que des attaques terroristes horribles aient été commises sur le sol américain lui-même que les États-Unis ont pris conscience de la menace collective du terrorisme. Permettez-moi de vous rappeler que nous avons été le premier pays à soutenir le peuple américain à l’époque, le premier à réagir comme des amis et partenaires après la terrible tragédie du 11 Septembre.»
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Alan Horus
Oct 27, 2014 @ 18:01
y en a encore combien qui n’ont rien compris ?
le 11 septembre pour les nuls , c’est un complot sioniste, de même qu’il y a de fortes chances que Christophe de Margerie et son équipage ait été abattu froidement par le mossad .
http://truthsector.net/2014/10/22/jim-stone-oil-tycoon-de-margerie-was-murdered/
http://www.dailymail.co.uk/news/article-2801007/controversial-ceo-oil-giant-total-killed-private-jet-plane-crash-aircraft-hit-snow-plough-moscow-airport.html
Et n’en déplaise à certains sur ce site, il est autant victime que les victimes des ukrainiens nazis ou que les victimes des pseudo djihadistes du quatar des usa ue et d’israel.
Il refusait l’embargo contre la Russie c’est pour cela qu’ils l’ont tué.
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Janvier
Oct 27, 2014 @ 19:16
Et il éliminait le $ de ses échanges av la Russie.
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Liberté
Oct 27, 2014 @ 18:37
Non, pas du tout, c’est de la sincérité doublée d’ironie.
Je m’explique: dés l’annonce des attentats sur le W.T.C alors que la poussière n’était pas encore retombée, la Russie à été l’un des premiers pays a présenter ces condoléances
au peuple Américain, tout en offrant aide et coopération au gouvernement Américain dans la lutte contre le terrorisme.
Cette annonce à été faite alors que l’on ne savait pas ce que l’on sait aujourd’hui; c’est à dire: que c’était une opération sous fausse bannière!
Si la majorité d’entre nous le sait aujourd’hui, pensez-vous que cela ait pu échapper à Poutine, évidemment non!
Mais il ne peut également les accuser d’avoir assassiner froidement des milliers de leurs compatriotes afin de donner lieu à la fameuse guerre contre le terrorisme.
Ironie, parce qu’il met en évidence les contradictions de la politique Américaine, qui dit lutter contre le terrorisme et qui en réalité le porte à bout de bras; ce qui n’est pas le cas de la Russie qui maintient effectivement la ligne directrice de sa politique de lutte contre le terrorisme.
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observateur francosyrien
Oct 27, 2014 @ 20:41
Les attentats du WTC servent à légitimer l’impérialisme américain. Poutine le sait bien, mais essaie de démontrer que même ce « traumatisme » américain ne doit pas exclure un partenariat avec d’autres nations, dont la Russie, et surtout ne justifie pas de passer outre le droit international.
Si les américains, au nom de ce traumatisme, veulent vraiment lutter contre le terrorisme, ils ne peuvent le faire qu’en coordination avec les nouvelles puissances émergentes, car ils ne peuvent contrôler tous seuls le « chaos » provoqué.
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venus
Oct 27, 2014 @ 21:19
Je pense même me rappeler qu’il avait dit que les satellites n’avaient vu aucun avion.
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Janvier
Oct 27, 2014 @ 19:08
@Gilles vous dites, Avec Al Qaïda , les américains ont compris ce qu’était le terrorisme sur leur territoire .
Après avoir créé eux-même Al Qaïda ???
Le 11 septembre, grand moment de solidarité en France ? Oui, c’est vrai
Ensuite, les incohérences nous ont sauté aux yeux, les rapports de scientifiques, la fuite de la famille de Ben Laden (seul avion autorisé à décoller ) l’accaparement des ressources pétrolières irakiennes par la famille Bush et la famille Saoudienne, Ben Laden lui-même dont nous avions l’impression qu’il n’était qu’un pantin formé par la CIA (pas un scoop, c’était contre l’URSS) ça a permis le Patriot Act (dictature ). Il reste quoi ? De notre pitié ? Solidarité humaine avec les malheureux américains assassinés par leur gouvernement, oui. Mais on ne se fera plus avoir.
Je vous signale que qd j’écris que les terroristes sont entraînés par les Ricains dans des camps jordaniens , on ne me croit pas toujours. Leur vice-Prez vient de le dire lui-même
L’Empire du Bien est l’empire du mal. « Un monde unipolaire » (Poutine) qui est la négation de la démocratie (il a raison ).
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Annie Zette
Oct 27, 2014 @ 23:41
je pense au contraire qu’il est sincère… la Russie a soutenue les US en Afganisthan… c’est par la suite que la Russie a été trahie par les US.. et qu’ils ont compris à qui ils avaient à faire…
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Gilles Chapdelaine
Oct 28, 2014 @ 2:32
Difficile d’être objectif quand on a un parti pris… 🙂 Le gars veut sa part du gâteau et dans c’est cas là, toutes vérités n’est pas bonne à dire…
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 17:19
Province d’Idleb : Le goûter est servi
Les terroristes massacrés par les forces de sécurité dans la ville d’Idleb.
Images (12 photos) :
http://justpaste.it/hqc0
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 17:20
Images (12 photos) :
http://justpaste.it/hqc0
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fredo
Oct 27, 2014 @ 17:03
EI.un otage russe exécuté par les djihadistes(media US)
les mendias americain on rapporté lundi l’exécution de l’ingénieur russe sergei gorbounov par les djihadistes de L’EI,la dernière vide de l’otage ayant été publié par les ravisseurs en octobre 2013.
http://fr.ria.ru/world/20141027/202831663.html
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Ted
Oct 27, 2014 @ 16:32
L’Esprit du Clun de Valdai – discussion directe, franche, ouverte et sans langue de bois- contracte avec les réunions secrètes de Bilderberg, où le secret, le mensonge et la conspiration sont les règles.
Le logiciel du cerveau de l’occident fonctionne avec une logique binaire ( 0 ou 1) alors que le logiciel du cerveau de Poutine fonctionne avec une logique quantique ( 0 et 1). Il n’est pas étonnant que l’occident soit incapable de s’adapter à cette révolution quantique du cerveau humain. L’occident est obligé d’évoluer rapidement ou sombrer dans les poubelles de l’histoire.
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Janvier
Oct 27, 2014 @ 18:00
Qu’il sombre, Ted, qu’il sombre !
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Saida
Oct 27, 2014 @ 16:05
A tout les idiots utile de la marionnette judeomoscovit d’Israel:
http://franckblod.canalblog.com/archives/2014/09/01/30567649.html
Pour voir plus claire dans le jeu de nos ennemis.
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 15:48
Autrefois ,au temps de la guerre froide c etait un combat et un equilibre entre 2 blocs.
Le bloc URSS etait gere par une ideologie communiste qui a ete longtemps assimilee par le peuple russe sur de nombreuses decenies et qui a ete detruite comme un chateau carte par gorbatchev.
Aujourdhui on assiste a un combat entre un homme et un bloc occidental ,toujours aussi soude autour des etats unis.
Si poutine arrivait a disparaitre un jour,la russie maintiendra t elle cette cadence antioccidentale ,y aura t il une autre chute ,les russes suivront ils l homme qui remplacera poutine?
C est possible! on a deja vu cela en amerique du sud(venezuela,cuba)
Pour peu que les occidentaux n attierent pas les russe par des « sucreries »!
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fredo
Oct 27, 2014 @ 15:33
Le chef de la diplomatie syrienne attendu à Moscou
Walid Mouallem, ministre des Affaires étrangères de la Syrie
© RIA Novosti. Vladimir Astapkovich
27/10/2014
MOSCOU, 27 octobre – RIA Novosti
Le chef de la diplomatie syrienne Walid Mouallem est attendu à Moscou, a annoncé lundi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov.
« Nous sommes en train de préparer la visite de votre ministre des Affaires étrangères Walid Mouallem qui est attendu à Moscou », a déclaré M.Bogdanov lors d’un entretien avec le grand mufti de Syrie Ahmad Badr el-Dine Hassoun.
« La Russie travaille avec ses amis de Damas sur plusieurs volets, y compris avec les dignitaires religieux », a indiqué M.Bogdanov.
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raimanet
Oct 27, 2014 @ 15:27
A reblogué ceci sur raimanet.
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raimanet
Oct 27, 2014 @ 15:26
.
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fredo
Oct 27, 2014 @ 15:21
chine,Russie le grand pivotement(par jacques sapir)
un projet majeur pour le gouvernement ruse et Vladimir poutine!
http://french.irib.ir/info/international/item/346269-chine,-russie-le-grand-pivotement,-par-jacques-sapir
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 15:02
Algérie: le Venezuela commande une deuxième cargaison.
IRIB- La compagnie pétrolière de l’Etat du Venezuela, PDVSA,
vient d’acheter une deuxième cargaison de 2 millions de barils de brut, auprès du groupe algérien Sonatrach, afin de le mélanger à son propre pétrole extra-lourd, a rapporté, tout récemment, le site spécialisé Argus, citant le ministère de l’Energie du Venezuela.
Le chargement à partir d’un terminal d’exportation algérien est prévu avant fin octobre, tandis que la livraison est prévue pour le mois de novembre, a ajouté la même source. La compagnie pétrolière n’a pas révélé le montant de ses achats. Il y a quelques jours, le Venezuela, cinquième producteur de pétrole de l’Opep, avait acheté sa première cargaison de brut algérien. Transportant plus de 2 millions de barils en soute, un porte-conteneurs, a quitté le port de Béjaïa et devrait accoster aujourd’hui au terminal pétrolier de Jose, sur la côte nord du Venezuela.
En début de semaine, la compagnie pétrolière de l’Etat du Venezuela a souligné que le premier achat de pétrole brut algérien était occasionnel. Contrairement à ce qui a été rapporté, la compagnie pétrolière a également dit qu’elle n’a pas signé de contrat de fourniture à long terme «avec Sonatrach ou quelqu’un d’autre». En revanche, le ministère de l’Energie a indiqué que PDVSA prévoit d’acheter «plus de bruts algérien et russe sur une base régulière à l’avenir». Le même responsable a refusé de dire si la compagnie étatique et Sonatrach ont signé un contrat à long terme.
La compagnie pétrolière du Venezuela a déclaré cette semaine avoir acheté le Sahara blend d’Algérie à 30 dollars le bl, un prix inferieur à celui payé pour le naphta importé et utilisé comme diluant dans ses activités de production de brut extra-lourd de l’Orénoque. Si le Venezuela dispose des plus importantes réserves de pétrole prouvées au monde, soit quasiment 300 milliards de barils et 20% des réserves mondiales, ce pays d’Amérique latine a été contraint d’importer, au cours de ces dernières années, une grande quantité de produits raffinés, tel que le naphta lourd dans le but de le mélanger à sa production de brut.
Ce produit est actuellement importé à des prix élevés et impacte la trésorerie de PDVSA, qui fournit la majeure partie des ressources financières de l’Etat vénézuélien. Le Venezuela produit 2,4 millions de barils par jour, représentant 96% des recettes en devises de l’Etat. L’ancien ministre vénézuélien de l’Energie, Rafael Ramirez, a affirmé qu’au cours de cette année, la compagnie étatique pouvait importer du brut comme «dernier recours» dans le but de trouver des diluants pour ses bruts lourds. Pour le Venezuela, l’importation de pétrole brut léger, comme le Sahara blend d’Algérie, dans le cadre d’un contrat d’approvisionnement, demeure une option moins coûteuse que les achats de naphta lourd.
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opex180
Oct 27, 2014 @ 15:47
Bonjour, allez directement à la 52eme minute 17 » et cela vous permettra de connaitre l’opinion de Soral sur Zemmour et l’islam.
http://www.dailymotion.com/video/x28n9t4_alain-soral-video-du-mois-conseils-de-lecture-octobre-2014_news?start=3470
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 14:58
L’Armée algérienne se dote d’une usine de fabrication de systèmes électroniques.
IRIB- L’Algérie vient de se doter d’une usine de fabrication de systèmes électroniques, inaugurée, dimanche, à Sidi Bel Abbes, par le chef chef d’état-major de l’Armée, le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah.
Cette usine est une joint-venture algéro-allemande avec un capital réparti à hauteur de 51% pour la partie algérienne et de 49% pour la partie étrangère partenaire.
La SCAFSE a pour objectif essentiel de répondre aux besoins de l’ANP en matière de systèmes électroniques. La cérémonie d’inauguration a été marquée par une séance de présentation des missions et activités de la nouvelle Société de production, spécialisée notamment dans les radars de surveillance des frontières et les radios tactiques.
Les responsables de la SCAFSE ont précisé à ce titre que la production couvre trois principaux domaines, à savoir «la surveillance et la détection terrestres» (radars), «les systèmes et capteurs de surveillance» (systèmes opto-électroniques) et « les moyens de radio-communication ».
Le vice-ministre de la Défense nationale a mis en avant le caractère stratégique de la SCAFSE tout en insistant sur l’importance de la formation au profit des compétences algériennes et ce, a-t-il souligné, «tant au niveau de la chaîne de production que dans la phase préalable qu’est la conception».
Le chef d’état-major de l’ANP a également visité les différents ateliers de production où il a assisté à des démonstrations illustrant la performance des équipements. Auparavant, il avait procédé à l’inauguration de l’Entreprise de développement de la fabrication des véhicules à Aïn Bouchekif (Tiaret).
Dans la matinée, le vice-ministre de la défense nationale et chef d’etat-major de l’ANP avait inauguré l’usine de la Société algérienne pour la fabrication des véhicules ½ Mercedes Benz, (SAFAV-MB) d’Aïn Bouchekif, dans la wilaya de Tiaret et assisté à la sortie des chaînes des deux premiers véhicules de cette marque allemande.
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 21:09
L’Algérie se dote du nec plus ultra de la défense anti-aérienne, le S400!
L’Algérie va se doter du nec plus ultra de la défense anti-aérienne, le S400 Triumf, successeur du S300 PMU2, à partir de mars 2015, selon des sources russes citant des responsables du complexe d’armement « Almaz- Antej », fabricant de ces nouveaux modèles de DCA.
L’Algérie a commandé deux régiments de S400, chaque régiment comporte huit véhicules lanceurs, avec quatre missiles par lanceur, des véhicules de rechargement et des radars.
Le S-400 Triumph est un système de défense antiaérienne et antimissile mobile, développé par la société Almaz-Antei. Sa désignation OTAN est SA-21 Growler. ces systèmes sont composés de missiles de défense aérienne de moyenne portée qui peuvent être déployés à une large échelle. Ils sont capables de guider 72 missiles engagés contre 36 cibles simultanées dans un rayon de 400 km et d’abattre toutes cibles aériennes, avions, missiles de croisières ou drones jusqu’à une altitude de 30 km.
Commande de systèmes TOR-M2 et BUK-M2
La défense anti-aérienne recevra également des systèmes de courte et moyenne portée TOR-M2 et des BUK-M2. Le système tactique Tor assure la protection de sites d’importance contre les frappes de missiles antiradars, de croisière, de drones, de bombes guidées, d’avions et d’hélicoptères. Le système TOR-M2 n’a pas d’équivalent au monde.
Une batterie de missiles TOR-M2 comprend quatre rampes de lancement mobiles capables d’abattre 16 cibles évoluant de tous côtés à une vitesse de 700 m/s, à une distance de 12 km et à une altitude de 10 km. Ce système est opérationnel par tout temps, de jour comme de nuit.
Avec les systèmes S400, TOR-M2 et BUK-M2, tout le territoire national, villes et sites stratégiques, sera complètement à l’abri de toute attaque aérienne maritime ou terrestre d’où qu’elle vienne.
Pour rappel, l’Algérie avait commandé huit systèmes de missiles S-300 à la Russie dans le cadre des contrats d’armements conclus en mars 2006, lors de la visite à Alger du président Vladimir Poutine et livrés avec beaucoup de retard en 2011 en raison de surcharge dans le cahier de commandes selon les mêmes sources.
Par Khidr Omar | 21/08/2014 | 10:00
algerie 1.com
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 14:55
Israël est inquiet du contrôle iranien sur l’entrée de la Mer Rouge.
IRIB- le régime sioniste est inquiet du contrôle d’un groupe, soutenant l’Iran ( c’ est plutôt l’ Iran qui soutien ce groupe 😉 , sur le détroit de Bab al-Mandeb dans la Mer Rouge.
Les Houthis qui mènent leurs activés dans le cadre du groupe Ansarallah, au Yémen, se sont dirigés, après avoir exercé leur contrôle sur la Capitale, en direction du port al-Hadida et du détroit de Bab al-Mandeb. A présent, le port al-Hadida est sous le contrôle total des Houthis. Le détroit de Bab al-Mandeb est l’unique point de jonction reliant la Mer Rouge à l’Océan indien. Les Houthis vivent dans les provinces septentrionales du Yémen. Pourtant, ils ont su s’emparer, ces derniers mois, de la capitale et de certaines villes portuaires du pays sur les côtes de la Mer Rouge. Ce groupe soutient l’Iran. Dans un rapport consacré à ce sujet, le quotidien égyptien al-Wafad écrit : « Les Israéliens ont compris vite que le détroit de Bab al-Mandeb est d’une importance cruelle pour eux, car ce détroit est le plus important passage pour la circulation des bateaux israéliens. En 1949, David Ben Gourion, premier ministre israélien a parlé des visées du régime israélien pour exercer son contrôle sur la Mer Rouge. A ce propos, il a dit « Nous sommes assiégés depuis la terre. La mer est notre unique passage de fréquentation avec le monde et d’accès aux continents ». Israël est situé sur la côte Est de la Méditerranée. Il est frontalier du Liban, de la Palestine, de la Syrie et de l’Egypte. Mais, les citoyens et les marchandises israéliens ne sont pas capables de se déplacer, par des voies terrestres. La frontalière d’Israël avec l’Egypte est fermée, et il n’y a aucun passage terrestre entre les deux parties bien qu’elles entretiennent des relations officielles diplomatiques. Israël considère le Liban et la Syrie comme des pays hostiles. Les forces de l’ONU se trouvent à la frontalière terrestre commune entre l’Egypte et Israël. Israël n’a du passage frontalier terrestre qu’avec la Jordanie. Mais, les Israéliens ne sont pas capables de traverser la Jordanie pour aller dans d’autres pays, car l’entrée des marchandises et des citoyens israéliens vers tous les pays voisins de la Jordanie, est interdite. Les Israéliens ont été, toujours, inquiets de la domination des pays arabes sur les détroits maritimes et de l’exercice des restrictions sur la fréquentation maritime des Israéliens. En 1950, l’Egypte a su, avec la coopération de l’Arabie Saoudite, prendre le contrôle militaire de la Mer Rouge. En cette année, l’armée égyptienne s’emparé de l’entrée du Golfe d’Aqaba et de deux îles de Tiran et de Sanfir, et elle arriva à restreindre le mouvement maritime israélien. Ce fut l’une des raisons de l’attaque contre l’Egypte en 1956.
En l’état actuel, les analystes estiment qu’Israël est inquiet de la chute des villes du Yémen, les unes après les autres, des villes qui tombent entre les mains des Houthis, groupe chiite soutenu par l’Iran, un groupe qui ira s’emparer sur le détroit maritime de Bab el-Mandeb. Compte tenu des liens des Houthis du Yémen avec les Iraniens, indiquent les analystes israéliens, la main mise sur ce passage maritime ( le détroit de Bab el-Mandeb), représente une menace pour l’économie israélienne, ce qui empêche Israël d’avoir accès à l’Iran, autrement dit, empêche la circulation des sous-marins israéliens pour menacer la sécurité nationale iranienne. Ces sous-marins peuvent se déployer dans le Golfe persique, dans la Mer d’Oman ou dans l’Océan indien pour menacer l’Iran. le quotidien israélien, Times Of Israël a mis en garde contre l’accès par les Houthis et leurs protecteurs, à savoir les Iraniens, au détroit de Bab el-Mandeb, a écrit ; « Cela peut constituer une menace pour les intérêts stratégiques ».
C’ est des grands stratèges les Iraniens, ils rendent fous les sionistes.
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 14:43
Gaza: Al Sissi va-t-il venger la défaite d’Israël?
IRIB- Sur le site israélien Walla, l’écrivain israélien et analyste militaire, Avi Sakharov ,
trace une feuille de route. Lisons-le attentivement : » Tel-aviv vient de donner son feu vert au déploiement des forces spéciales égyptiennes à Rafah et à Al Arich bien que cette démarche aille à rebours de l’accord de paix israélo-égyptien. le récent attentat contre les militaires égyptiens au Sinaï implique en effet cette armée dans une longue guerre contre les extrémistes terroristes . et au contraire de ce que d’aucuns semblent croire, cette guerre ne sera pas courte et elle ne s’achèvera pas en quelques jours ou en quelques semaines ou encore en quelques mois »!! » Tel-aviv a donné son feu vert à ce que les unités spéciales de l’armée égyptienne à savoir les bataillons 777 et 999 prennent position à Rafah et à Al Arich et que les parachutistes aient aussi la possibilité de participer à ces opérations. Certes, cette autorisation va l’encontre des accords passés avec l’Egypte mais Tel-aviv juge ce déploiement positif car il souhaite que la stabilisation soit de retour en Egypte ». » Le plus gros dossier qui perturbe la lune de miel égypto-israélienne reste la question palestinienne mais Tel-aviv devra accepter une reprise des pourparlers avec les palestiniens en présence de l’Egypte et ce, dans l’objectif de la stabilisation des villes d’Egypte ». Pour cet analyste sioniste, qui voit à travers Mahmoud Abbas une clés pour le retour de la stabilité et la fin de la crise à Gaza, Al Sissi est la seule personne sur qui on peut compter pour la reconstruction de Gaza et l’affaiblissement du Hamas »! A la lecture de ces lignes, la question qui se pose à tout observateur politique est la suivante: Que cherche Israël dans cette affaire? Quel intérêt a-t-il à pousser Al Sissi dans une guerre » de longue durée avec les extrémistes qui désigne le Hamas dans la jargon sioniste »? Les terroristes takfiris du Sinaï semble très curieusement agir dans le sens des intérêts d’Israël . Comment? leurs liens supposés avec le Hamas – cette force qui est parvenue en dépit de son « erreur syrienne » à mettre en échec l’armée sioniste à Gaza en juillet et août 2014- justifieraient dans la foulée de l’attentat du Sinaï , une attaque en règle de l’armée égyptienne contre le Hamas et partant contre Gaza. D’ores et déjà Al Sissi a à son actif la destruction des centaines de tunnels sous terrains reliant Gaza à l’Egypte et ce facteur ajouté à l’établissement d’une zone tampon sur les frontières gazaouies que le Caire vient de décider renforcerait le siège anti Gaza et resserrer l’étau autour du Hamas. la manœuvre pourraient encore aller plus loin : l’armée égyptienne pourrait être amenée à intervenir militairement à Gaza pour achever le travail là où « Tsahal » a lamentablement échoué! dès lors les rampes de missiles du Hamas et du Jihad islamique, ce sera Sissi, le super général qui sera chargé de les détruire et pas Netanyahu. Mais une intervention militaire égyptienne contre Gaza ne sera pas une partie de plaisir : le Hamas et ses partisans ne comptent pas capituler aussi facilement. L’Egypte se mettra dès lors sur le dos la Turquie – le super sponsor des Frères musulmans – et pourquoi pas l’Iran qui reste aux côtés de toute force palestinienne dès lors qui a pour la finalité la lutte contre Israël. la perspective d’une guerre égypto-gazaoui est bien claire pour les Etats Unis et Israël dans la mesure où elle ouvrirait un nouveau front de combat au cœur d’une Moyen Orient plongé dans le spiral des violences avec en corollaire : l’épuisement d’une nouvelle arabe , celle d’Egypte et la disparition souhaitée de l’une des composantes « militairement efficace » de la Résistance Hamas/Jihad islamique. Dans la foulée, l’Egypte vient de lancer un appel d’aide à tous ses alliés (occidentaux et arabes du golfe Persique) dans la guerre contre le terrorisme, les Etats unis viennent de lui octroyer une aide de 200 millions de dollars (ce qu’ils refusaient jusqu’ici), et le départ du chef de la marine égyptienne à Paris.
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 22:58
Pouah… c’est quand même bien du méli-melo tout ça ! et arrêtons de nous « fier » aux « analystes israéliens » qui pullulent concernant Al-Sissi, l’Egypte, le Hamas etc… je dirais même qu’il n’y a même que cela et ce depuis quasiment la prise de pouvoir d’al-Sissi ! (j’ajouterai, ce que j’ai déjà exprimé, que je suis de plus en plus persuadée que c’est Israël qui domine et / ou alimente la propagande « anti-Al-Sissi » en fournissant les arguments, les prédictions et pistes alarmistes ++ et parfois-souvent jusqu’à l’extravagance !). Il serait peut-être temps de retrouver nos propres capacités de jugement et d’analyse comme pour la Syrie : non pas que je veuille comparer absolument et dans les détails les deux situations, mais soyez sûrs qu’Israël est l’ennemi de l’Egypte comme de la Syrie et qu’en plus elle est dans un double jeu de proximité et d’implication beaucoup plus directe concernant la question palestinienne de la bande de Gaza et du Sinaï, entre autres.
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 23:24
Al-Sissi qui ferait le « boulot » à Gaza à la place de tsahal : le rêve d’Israël et en couleurs de ce « brave homme ». C’est essentiellement cela que cet article nous permet d’appréhender, mais pas de la réalité, à moins de prendre les désirs d’Israël pour la réalité… et à l’avance. Ce n’est pas la première fois : on nous avait prédit dès l’arrivée d’Al-Sissi qu’il allait incessamment bombarder Gaza en commun avec l’aviation israélienne et régulièrement autres billevesées d’agression de l’armée égyptienne avec comparses palestiniens (Dalhan) contre Gaza, qui jusqu’à présent ont toutes fait flop !!
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Saida
Oct 27, 2014 @ 23:36
Non mais attend, là la Roumi va carrement defendre le juif sioniste du Caire. Même Myriam la sioniste n’a pas été jusque là.
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 23:45
Ah, ce n’est donc pas moi Myriam !! Je croyais que c’était moi ! Je suis la Roumi OK…
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Saida
Oct 28, 2014 @ 0:19
Y a vraiment pas de quoi être fière.
Tu sais ses façile de devenir musulmane… et tu te sentira plus tranquille, àprès tu pourra aller au paradis avec toutes les musulmanes.
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 23:39
Tiens, et pour compléter je vais piquer une citation à Massinissa :
« Ce qui importe ce n’est pas la vérité, a un jour dit Henry Kissinger, mais « ce qui est perçu comme vrai ». »
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Rose des sables
Oct 28, 2014 @ 4:06
Marie-Christine
J’adhere completement a ce que vous dites et comme par hasard tout ce qui se dit d’Al Sissi contre les palestiniens vient de sources israéliennes
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 14:39
Super discours de Poutine. Merci Rose.
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 23:00
Oui, Rose, merci 🙂
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 14:30
Ville d’Alep :
Des enfants tués par les terroristes qui ont visé une école dans le quartier de Al Hamdaniyeh.
Image :
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 14:31
Image :
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 14:34
Ville d’Alep
Des terroristes tuent des enfants en visant une école par des tirs de mortiers.
Image :
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 14:35
Image :
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 14:06
Le maire de la ville de Béziers Robert Ménard en direct pour un entretien à la télévision syrienne :
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 14:06
Entièrement en Français.
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Bardamu
Oct 27, 2014 @ 20:50
Je mets cinq étoiles au moment où il est annoncé 19 votes, et brusquement ça passe à 28 votes: cherchez l’erreur…
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 23:31
Oui apparemment les étoiles sont « folles » ❓
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Marie-Christine
Oct 27, 2014 @ 23:34
Et inutile de vouloir augmenter le score de Marcel : elles s’y refusent !!
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Hezbollah
Oct 27, 2014 @ 23:57
Concernant les étoiles négatives, ce ne sont pas les habitués ( qui sont tous où presque pro Assad ) qui mettent des étoiles négatives, mais les trolls pro Daesh et pro Sioniste qui visitent le site.
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Hezbollah
Oct 28, 2014 @ 0:05
Et puis comme je l’ ai déjà dit, on s’ en fous des étoiles. Le principal c’ est la réinformation.
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Marie-Christine
Oct 28, 2014 @ 0:27
Je suis bien d’accord !!! Mais je ne voudrais pas que Marcel monte de nouveau sur « ses grands chevaux » (!), car ses posts étaient tous excellents…
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Marie-Christine
Oct 28, 2014 @ 0:22
Oui, mais là il y a plus que cela, car lorsque l’on veut mettre un score positif, il devient négatif : toujours le fameux intrus TOR qui se fixe momentanément ou durablement sur les posts d’un intervenant ? Je me demande bien comment on peut manipuler (de l’intérieur ou de l’extérieur ?) un tel système.
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Claude
Oct 28, 2014 @ 12:15
Merci Marcel pour cette excellente vidéo.
J’espère que l’initiative courageuse du Maire de Bézier soit suivie par d’autres hommes politiques de notre pays.
Cordialement.
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ben
Oct 27, 2014 @ 14:01
jacquart et jacaton tous pour un soutien a Poutine.
Les deux grosses merdes qui passent leur temps ici et ailleurs à foutre leurs bordelles en utilisant des dizaines pseudo et en volant l’identités de personnes dont certaine sont morts avec et en surfant a l’aide de Logiciel de surf anonyme…je m’adresse ici à Jean marie jacquart et Charlotte jacaton qui ont cru a leurs anonymat total pour être insultant, ce foutre de la gueules des intervenants ou faire en sorte de faire re-sortir des fausses amitiers entre bloggeurs.a l’aide de dialoques totalement bidonnés des trolleurs pro ….donc jacquart et jacaton tous ensembles contre c’est deux grosses merdes !!!
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massinissa
Oct 27, 2014 @ 13:42
Depuis 1945, les Etats-Unis ont tenté de renversé plus de 50 gouvernements, la plupart démocratiquement élus ; ont grossièrement interféré dans les élections de 30 pays ; bombardé la population civile de 30 pays ; utilisé des armes chimiques et biologiques ; et tenté d’assassiner des dirigeants étrangers.
. Ce qui importe ce n’est pas la vérité, a un jour dit Henry Kissinger, mais « ce qui est perçu comme vrai ».
Le pentagone dirige en ce moment des « opérations spéciales » – des guerres secrètes – dans 124 pays.
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Halima
Oct 27, 2014 @ 13:32
Le choc des civilisations selon Vladimir Poutine (VOSTFR)
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Saida
Oct 27, 2014 @ 14:14
Poutine est un juif qui soutient le juif Assad et Israel.
Il n’a rien a voir avec la dissidence, un Jour Soral le comprendra peut être. Sait il qu’il a été en Israel. Et au mémorial de la Shoah.
Il y a mieux non comme dissident?
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Insaisissable
Oct 27, 2014 @ 14:18
Le disque commence à rouiller. Quelle conne cette dégénérée.
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babjedid
Oct 27, 2014 @ 16:14
plutot c est toi
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babjedid
Oct 27, 2014 @ 16:15
je parle de saida
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Saida
Oct 27, 2014 @ 18:18
Donc vous approuvez ouvertement un homme qui a fait avoir a son pays des relation à son pays et va en Israel faire l’apologie du sionisme et se rend carrément au mémorial des juifs.
Il critique peut être les USA, mais il ne critique pas son maitre il se couche devant.
En fait on peut inverser le propos, les USA critique la Russie mais pas son maitre.
Dans les deux cas un seul maitre….Israel.
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amazigh A
Oct 27, 2014 @ 19:32
Va te faire soigner. Tu n’es qu’une trolle psychopathe. Tu n’es bonne qu’a faire le djihad sexuel. Inutile d’argumenter avec des énergumènes de ton espèce.
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Saida
Oct 27, 2014 @ 23:28
Forcement vous n’avez pas d’argument, impossible de justifier les actes de votre juif Poutine, le sioniste fanatique de façon a en faire un dissident
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Claude
Oct 28, 2014 @ 12:25
Pour ton information Saida, ou Sida, Carrefour organise pour les fêtes de fin d’année, une grande promotion de cerveaux à des prix défiants toute concurrence. Tu devrais en profiter.
Tu pourras aussi, si tes moyens financiers sont insuffisants, acquérir un cerveau d’occasion à moitié prix du neuf. Vu l’état désespéré du tien, je pense que cela devrait te suffire… pour commencer.
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venus
Oct 27, 2014 @ 16:31
Poutine est notre héros, celui du peuple éveillé bien sûr. Pas nos gouvernements satanistes ou leurs suiveurs.
Pour ceux qui lisent l’anglais j’ai un lien de David Wilcock, n’oubliez pas qu’il a rencontré Le Président Poutine et lui a parlé de la situation en Amérique. A la suite de cela il a eu droit à plusieurs heures d’antenne sur une chaîne public pour parler de notre mise en esclavage par la dette, des illuminatis et ce qui se passe derrière les rideaux. Il a parlé aussi me semble t-il des E.T. Enfin des millions de Russes aujourd’hui sont plus éveillés que la majorité d’entre nous. Sans doute pour cela un moment qu’on a cru que les Russes et les Chinois allaient venir délivrer le peuple Américain.
Apparemment çà ne s’est pas fait mais il semble que les Américains vont peut-être prendre leurs destins en main, déjà cela commencerait par les chanteurs esclaves des illuminatis.
ETC ETC
La défaite de la cabale.
http://divinecosmos.com/start-here/davids-blog/1170-cabal-defeat
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 13:30
Ville d’Idleb :
L’offensive des terroristes sur la ville d’Idleb échoue, des centaines de terroristes ont été tués par les forces de sécurité, 5 membres de la police d’Idleb (des infiltrés terroristes) ont aidé ce matin les terroristes du Front Al Nosra à s’infiltrer dans la ville, les terroristes ont pu atteindre la préfecture d’Idleb dans la ville mais les forces de sécurité déjà nombreux dans la ville ont réagi rapidement et ont repoussé totalement l’offensive des terroristes, des centaines de terroristes ont été tués dont des kamikazes à la ceinture d’explosifs, tous les quartiers de la ville sont sous le contrôle total des forces de sécurité, le nettoyage continue autour de la ville, de nombreux terroristes ont été tués.
Sources : Al Mayadeen TV, Manqool news, Force de la garde républicaine, TV syrienne, Média Hussein Mortadah, Idleb news, sources militaires, médias syriens.
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 13:31
Le chef de la police d’Idleb en directe de la ville d’Idleb, l’offensive terroriste sur la ville échoue :
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Marcel
Oct 27, 2014 @ 13:31
Deux des kamikazes à la ceinture d’explosifs tués dans la ville d’Idleb :
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Halima
Oct 27, 2014 @ 13:28
Выступление Владимира Путина на пленарной сессии дискуссионного клуба «Валдай»
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Ted
Oct 27, 2014 @ 13:43
Dominique De Villipin a participé au discussion, il est assis à droite de Poutine.
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Peineto
Oct 27, 2014 @ 13:27
Toc-toc…, y en a personne…
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Estelle
Oct 27, 2014 @ 13:12
Prem’s !
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