Le gang des barbares de l’Etat islamique n’est pas seulement constitué de terroristes, il est aussi un mouvement dans lequel sévissent des pédophiles. Une des deux Autrichiennes, parties en Syrie pour se battre aux côtés de l’État islamique, ne supporterait plus les atrocités auxquelles elle est confrontée quotidiennement.
L’histoire des deux jeunes Autrichiennes, issues de familles bosniennes et parties peu après Pâques pour faire le Jihad en Syrie, ne cesse de défrayer la chronique. Les six mois passés aux côtés de l’État islamique (EI) semblent avoir laissé des traces sur une des adolescentes. Selon le site d’informations autrichien oe24, Samra, 17 ans, souhaiterait rentrer à la maison.
Les atrocités auxquelles elle assiste au quotidien sont trop difficiles à supporter, a révélé au site autrichien un proche souhaitant rester anonyme. Selon lui, Samra, qui est mariée à un Tchétchène, doit assister régulièrement à des décapitations, des flagellations publiques, mais aussi subir des attaques aériennes.
Tant Samra que Sabina, 15 ans, seraient en contact régulier avec leur famille et amis en Autriche. Mais contrairement à Samra, Sabina ne serait «pas encore prête» à rentrer à la maison. Interrogés par oe24, des experts pensent qu’il est «quasi impossible» pour les deux filles de s’enfuir pour rejoindre leurs proches. Un lueur d’espoir persiste: une femme syrienne est parvenue dernièrement à fuir son pays et l’EI. Elle a trouvé refuge en Turquie.
Marcel
Oct 10, 2014 @ 10:08
Attention les mujahidates en action :
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Gilles Chapdelaine
Oct 10, 2014 @ 3:19
Bof!
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Gilles Chapdelaine
Oct 10, 2014 @ 3:25
Avouez, que ça, c’est du post!
Non, sérieusement, cette histoire de jadette, c’est aussi véridique que la fois ou une baleine à essayer d’enculer une mouche qui volait au ras des vagues…
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Pavel
Oct 9, 2014 @ 23:55
D’ après ce lien :
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20141004trib78cef2e9e/daesh-dispose-d-une-force-de-frappe-militaire-et-financiere-tres-tres-dangereuse.html
C’ est bien de citer des chiffres (sont-ils exacts ?)
Je remarque simplement qu’ il n’est pas fait état du « taux de disponibilité » concernant les véhicules. Quand on sait ce que demande la maintenance d’ un char lourd, ce n’ est pas gagné !
Il faut des spécialistes ayant suivi une formation en mécanique, hydraulique, électronique, informatique, etc… Un outillage spécifique qu’ on ne trouve pas au supermarché du coin… Un stock important de pièces de rechange…
L’ entretien de ces matériels, soumis à rude épreuve, n’ est pas une chose simple.
La question est : quel est le taux de disponibilité ? Sachant qu’ il dépend de 3 conditions indissociables : savoir-faire – outillage – pièces.
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salimsellami
Oct 9, 2014 @ 23:07
A reblogué ceci sur salimsellami's Blog.
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Marcel
Oct 9, 2014 @ 22:25
Province d’Alep :
L’armée syrienne et les forces de défense nationale progressent dans la région de Al Handarat au nord d’Alep, situation très critique pour les terroristes dans la province d’Alep, de nombreux terroristes ont été tués.
Sources : Al Mayadeen TV, Manqool news, Force de la garde républicaine, Média Hussein Mortadah, sources militaires, centre médiatiques d’Alep, médias syriens.
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Marcel
Oct 9, 2014 @ 22:22
Province de Damas :
Embuscade réussie contre un convoi de terroristes dans la région de Al Qalamoon.
Vidéo :
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 22:14
http://www.voltairenet.org/article185553.html.
John Mac Cain a bien rencontré Al Bagdadi par Thierry Meyssan
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ben
Oct 10, 2014 @ 2:45
la situation est la meme que pour le 11 septembre ,les media-mensonges font leurs boulots…a nous de faire le notre et d’etre vigilant a ne pas dire trop de conneries…
des mecs comme Meyssan, Soral, Colon, Hillard et d’autres dont j’oublie le non nous sont precieux @plus les filles
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 21:37
[L’ŒIL ITINÉRANT] ALLIANCE BEIJING-MOSCOU-BERLIN : LA CHINE ET LA RUSSIE PEUVENT-ELLE EXTIRPER WASHINGTON DE L’EURASIE ?
9 OCTOBRE 2014 DAN IEL LAISSER UN COMMENTAIRE
Un spectre hante le « Nouveau siècle américain » déjà sur le déclin : la perspective d’une alliance commerciale stratégique entre Pékin, Moscou et Berlin. Appelons-la l’alliance BMB.
Le président russe Vladimir Poutine rencontre le président chinois Xi Jinping à Shanghaï en mai 2014 dans l’optique de sceller un contrat de plusieurs milliars de dollars en vue de livrer du gaz russe à la Chine. (Photo : US News & World Report)
Le président russe Vladimir Poutine rencontre le président chinois Xi Jinping à Shanghaï en mai 2014 dans l’optique de sceller un contrat de plusieurs milliars de dollars en vue de livrer du gaz russe à la Chine. (Photo : US News & World Report)
Cette possibilité est abordée sérieusement au plus haut niveau à Pékin et Moscou, et considérée avec intérêt à Berlin, New Delhi et Téhéran. Inutile toutefois d’en parler dans les officines de Washington ou au quartier général de l’Otan à Bruxelles, où l’on n’en a que pour l’étoile de l’heure et de demain, le nouveau Oussama ben Laden qu’est devenu le calife Ibrahim, alias Abou Bakr al-Baghdadi, l’insaisissable prophète coupeur de têtes d’un nouveau mouvement et mini-État aux acronymes divers (EIIL, EIIS, EI, Isis, Daesh) utilisés par les hystériques de Washington et d’ailleurs.
Washington a beau remixer sa Guerre mondiale contre le terrorisme tant qu’il lui plaira, il n’en demeure pas moins que les plaques tectoniques eurasiatiques continuent de bouger et que ce mouvement ne s’arrêtera pas juste parce que les élites américaines refusent d’accepter [1] que leur petit moment unipolaire dans l’histoire du monde s’achève. Pour eux, la fin de l’ère de la domination tous azimuts, comme le Pentagone se plaît à l’appeler, est tout simplement inconcevable. Il faut dire que cette volonté du pays indispensable à vouloir contrôler tout l’espace (militaire, économique, culturel, virtuel et intersidéral) se rapproche sérieusement de la doctrine religieuse. Les missionnaires de l’exceptionnalisme n’acceptent pas l’égalité. Au mieux, ils forment des « coalitions de volontaires » pour lutter contre l’EIIL/EIIS/EI/… regroupant plus de 40 pays [2], qui applaudissent (et conspirent) en coulisse, ou qui envoient un avion ou deux en Irak ou en Syrie.
L’Otan, qui, contrairement à certains de ses membres, n’est pas officiellement en guerre contre le Djihadistan [3], demeure une structure pyramidale dominée par Washington. Elle ne s’est jamais souciée d’inclure l’Union européenne (UE) ou d’amener la Russie à se sentir européenne. Quant au calife, ce n’est qu’une diversion mineure. Un cynique postmoderne pourrait même prétendre qu’il s’agit d’un émissaire que la Chine et la Russie ont envoyé sur la scène mondiale pour faire sauter les yeux de l’hyperpuissance de la planète hors de leurs orbites.
Diviser et isoler
Comment alors la domination tous azimuts s’applique-t-elle lorsque les deux autres puissances concurrentes de l’heure, la Russie et la Chine, commencent à faire sentir leur présence ? L’approche préconisée par Washington dans chaque cas, en Ukraine et dans les eaux asiatiques, semble être de diviser et d’isoler.
Depuis déjà plusieurs années, afin que l’océan Pacifique reste un lac américain classique, l’administration Obama a réorienté son pivot vers l’Asie. Les manœuvres militaires qui en découlent sont modestes, mais la tentative d’opposer le nationalisme chinois au nationalisme japonais, tout en consolidant les alliances et les relations dans toute l’Asie du Sud-Est, en mettant l’accent sur les conflits énergétiques dans la mer de Chine méridionale, l’est beaucoup moins. Washington cherche en même temps à mettre en place un éventuel accord commercial, le Partenariat transpacifique (PTP).
Dans les zones frontalières occidentales de la Russie, l’administration Obama alimente les braises du changement de régime à Kiev (qu’attisent les meneurs de claque locaux que sont la Pologne [4] et les pays Baltes [5]), afin qu’elles prennent feu et deviennent clairement une menace existentielle pour la Russie, aux yeux de Vladimir Poutine et des dirigeants russes. Contrairement aux USA, dont la sphère d’influence (et les bases militaires) s’étend partout dans le monde, il était impensable que la Russie conserve toute influence significative auprès de ses proches voisins (sachant que Kiev n’est même pas considéré comme un voisin par la plupart des Russes).
Pour Moscou, c’était comme si Washington et ses alliés de l’Otan cherchaient de plus en plus à imposer un nouveau rideau de fer sur leur pays, de la Baltique à la mer Noire, avec l’Ukraine comme fer de lance. L’alliance BMB pourrait y voir une tentative d’isoler la Russie et d’imposer un nouvel obstacle à ses relations avec l’Allemagne. L’objectif ultime serait de diviser l’Eurasie, afin d’empêcher d’éventuels progrès vers une intégration commerciale dans le cadre d’un processus n’étant pas sous l’égide de Washington.
Du point de vue de Pékin, la crise ukrainienne a démontré que Washington était prêt à dépasser toutes les lignes rouges inimaginables dans ;e but de harceler et d’isoler la Russie. Les dirigeants chinois y voient une tentative concertée de déstabiliser la région, de manière à favoriser les intérêts américains, avec l’appui de tout le spectre de l’élite à Washington, des néoconservateurs et des chantres libéraux de la Guerre froide aux interventionnistes humanitaires à la Susan Rice et Samantha Power. Il va de soi que si vous avez suivi la crise ukrainienne de Washington, pareilles perspectives paraissent aussi étranges que celle de n’importe quel Martien. Sauf que la perception du monde vue du cœur de l’Eurasie diffère de celle de Washington, en particulier le Rêve chinois (Zhongguo meng) [6] préconisé par une Chine en plein essor.
Tel qu’établi par le président Xi Jinping, ce rêve comprendrait un réseau de nouvelles routes de la soie, tissées par la Chine, qui deviendrait l’équivalent du Trans-Asia Express pour le commerce eurasiatique. Ce qui veut dire que si Pékin sent la pression de Washington et de Tokyo monter sur le front maritime, il s’emploiera notamment à privilégier le commerce sur le territoire eurasiatique, d’une part via la Sibérie, d’autre part avec les pays de l’Asie centrale.
En ce sens, on pourrait dire que nous sommes au seuil d’un monde nouveau, chose qu’ignore toutefois quiconque ne se contente que de suivre les médias américains ou les débats à Washington. Il n’y a pas si longtemps, les dirigeants à Pékin caressaient l’idée de revisiter le jeu géopolitique et économique aux côtés des USA, tandis que dans la Moscou de Poutine, on évoquait la possibilité de joindre un jour l’Otan. Plus maintenant. Aujourd’hui, la partie de l’Occident qui intéresse le plus les deux pays est une éventuelle Allemagne, qui ne serait plus dominée par la puissance américaine et par les volontés de Washington.
Moscou poursuit en fait un dialogue stratégique avec Berlin depuis rien de moins qu’un demi-siècle, qui va de pair avec une coopération industrielle et une interdépendance énergétique à la hausse. Ce qui n’est pas passé inaperçu dans le Grand Sud, où l’Allemagne commence à être perçue comme le sixième pays du BRICS (après le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud).
Au milieu de toutes ces crises mondiales, en Syrie et en Ukraine notamment, les intérêts géostratégiques de Berlin semblent s’éloigner lentement de ceux de Washington. Les industriels allemands, en particulier, semblent désirer vivement conclure des transactions commerciales illimitées avec la Russie et la Chine. C’est qu’elles pourraient ouvrir à leur pays la voie vers un pouvoir mondial dépassant les frontières de l’UE et, à long terme, mettre un terme à l’époque où l’Allemagne, malgré toute la courtoisie dont elle était capable, demeurait essentiellement un satellite américain.
La route sera longue et sinueuse. Le Bundestag, le parlement allemand, préconise encore un programme atlantiste fort et obéit aveuglément à Washington. Il y a encore des dizaines de milliers de soldats américains sur le sol allemand. Mais, pour la première fois, la chancelière allemande Angela Merkel s’est montrée hésitante à l’égard de l’imposition de sanctions plus sévères contre la Russie par rapport à la situation en Ukraine, parce que pas moins de 300 000 emplois allemands dépendent des relations avec la Russie. Les chefs d’entreprise et l’establishment financier ont déjà sonné l’alarme [7], parce qu’ils craignent que ces sanctions ne soient totalement contre-productives.
Banquet chinois de la Route de la soie
Le nouveau jeu de puissance géopolitique de la Chine en Eurasie a peu d’équivalents dans l’histoire moderne. L’époque est bien révolue, où le petit timonier Deng Xiaoping insistait pour que la Chine garde un profil bas sur la scène internationale. Il y a bien sûr des désaccords et des stratégies divergentes concernant la gestion des points chauds du pays, que sont Taiwan, Hong Kong, le Tibet et le Xinjiang [8], la mer de Chine méridionale, la concurrence indienne et japonaise, ainsi que les alliés problématiques, tels la Corée du Nord et le Pakistan. Il faut dire aussi que le soulèvement populaire dans certaines périphéries sous domination de Pékin atteint des niveaux incendiaires.
La priorité numéro un du pays demeure nationale : elle est axée sur la réalisation des réformes économiques du président Xi, tout en augmentant la transparence et en luttant contre la corruption à l’intérieur du Parti communiste au pouvoir. Loin derrière, vient la question sur la manière de contrer progressivement les plans du pivot du Pentagone dans la région, par la constitution d’une marine hauturière, d’une flotte de sous-marins nucléaires et d’une armée de l’air technologiquement avancée, sans être péremptoire au point de faire paniquer l’establishment de Washington dans sa crainte de la menace chinoise.
En attendant, comme les voies maritimes internationales resteront sous le contrôle de la U.S. Navy dans un avenir prévisible, la planification va bon train en vue de créer de nouvelles routes de la soie en Eurasie. Le résultat final devrait s’avérer [9] un triomphe d’infrastructure intégrée (routes, trains à grande vitesse, gazoducs, ports), qui reliera la Chine à l’Europe occidentale et à la mer Méditerranée, l’ancienne Mare Nostrum de la Rome impériale, de toutes les manières imaginables.
Tel un périple à la Marco Polo à l’envers, remixé au goût de la planète Google, une des principales routes de la soie partira de l’ancienne cité impériale de Xi’an jusqu’à Urumqi, dans la province du Xinjiang, pour ensuite traverser l’Asie centrale, l’Iran, l’Irak et l’Anatolie turque, jusqu’à sa destination finale à Venise. Une autre route de la soie, maritime celle-là, partira de la province du Fujian et passera par le détroit de Malacca, l’océan Indien et Nairobi, au Kenya, pour atteindre ensuite la Méditerranée via le canal de Suez. Pékin a désigné l’ensemble de ces routes comme la ceinture économique de la route de la soie.
La stratégie de la Chine est de créer un réseau d’interconnexions, avec rien de moins que cinq régions clés : la Russie (le pont essentiel entre l’Asie et l’Europe), les pays de l’Asie centrale, l’Asie du Sud-Ouest (avec des rôles majeurs attribués à l’Iran, l’Irak, la Syrie, l’Arabie saoudite et la Turquie), le Caucase et l’est de l’Europe (y compris la Biélorussie, la Moldavie et, tout dépendant de sa stabilité, l’Ukraine). Sans oublier l’Afghanistan, le Pakistan et l’Inde, qui pourraient faire partie d’une route de la soie à valeur ajoutée.
La route de la soie à valeur ajoutée relierait le couloir économique Bangladesh-Chine-Inde-Myanmar au couloir Chine-Pakistan, ce qui donnerait à Pékin un accès privilégié à l’océan Indien. Là encore, on mettrait tout le paquet (routes, trains à grande vitesse, gazoducs et réseaux de fibres optiques) pour relier la région à la Chine.
Xi en personne a donné une belle description imagée des relations Inde-Chine dans une tribune libre publiée dans The Hindu [10] avant sa visite récente à New Delhi. « La symbiose de « l’usine du monde » et du « bureau du monde », écrivait-il, va donner la base de production la plus concurrentielle et le marché de consommation le plus attrayant qui soient ».
La plaque tournante de la planification élaborée de la Chine concernant l’avenir de l’Eurasie est Urumqi, capitale de la province du Xinjiang, où se tient la plus grande foire commerciale de l’Asie centrale, l’Exposition Chine-Eurasie. Depuis 2000, l’une des grandes priorités de Pékin est d’urbaniser cette province en grande partie désertique, mais riche en pétrole, et de l’industrialiser coûte que coûte. Ce prix à payer, aux yeux de Pékin, c’est la sinisation pure et dure de la région et son corollaire, la répression de toute possibilité de contestation de la part des Ouïgours. Le général de l’Armée de libération du peuple Liu Yazhou a décrit l’Asie centrale en ces termes : « la part de gâteau la plus subtile envoyée du ciel à la Chine moderne ».
L’essentiel de la vision de la Chine à l’égard d’une nouvelle Eurasie rattachée à Pékin, par tous les moyens de transport et de communication imaginables, est énoncée de manière saisissante dans En marchant vers l’ouest : Le rééquilibrage de la géostratégie chinoise (Marching Westwards: The Rebalancing of China’s Geostrategy), un essai éloquent publié en 2012 par Wang Jisi, du Centre des études internationales et stratégiques de l’Université de Pékin. Tout ce que l’administration Obama a trouvé de mieux pour répondre à cette série de connexions eurasiatiques à venir, c’est une sorte de confinement maritime s’étendant de l’océan Indien à la mer de Chine méridionale, tout en envenimant les conflits avec la Chine et en créant des alliances stratégiques autour de la Chine avec des pays comme le Japon et l’Inde (l’Otan s’est vu évidemment confier la tâche de contenir la Russie dans l’est de l’Europe).
Rideau de fer contre routes de la soie
Le contrat gazier du siècle [11] s’élevant à 400 milliards de dollars, que Poutine et le président chinois ont signé en mai dernier [2014], a donné le coup d’envoi à la construction du gazoduc Force de la Sibérie, qui a déjà commencé à Iakoutsk. Ce gazoduc inondera le marché chinois de gaz naturel russe. Ce n’est évidemment que le début d’une alliance stratégique turbopropulsée entre les deux pays [12] dans le domaine de l’énergie. Pendant ce temps, les hommes d’affaires et les industriels allemands prennent conscience d’une autre nouvelle réalité, à savoir que la destination finale des produits fabriqués en Chine, qui transiteront par les nouvelles routes de la soie, sera l’Europe, et que ces routes vont dans les deux sens. Selon un possible scénario commercial, la Chine pourrait devenir le principal partenaire commercial [13] de l’Allemagne d’ici 2018, dépassant à la fois les USA et la France.
Un obstacle potentiel à pareilles réalisations, que l’on préconise à Washington, est la Guerre froide 2.0, qui déchire déjà non seulement l’Otan, mais également l’Union européenne. À l’heure actuelle, au sein de l’Union européenne, le camp antirusse regroupe la Grande-Bretagne, la Suède, la Pologne, la Roumanie et les pays baltes. Pour leur part, l’Italie et la Hongrie peuvent être considérées comme faisant partie du camp prorusse. Toujours imprévisible, l’Allemagne tient la clé de ce qui deviendra, soit un nouveau rideau de fer, soit un virage vers l’est. Tout dépend de l’Ukraine. Si sa finlandisation fonctionne, en laissant une autonomie substantielle aux régions, comme Moscou le propose (un anathème aux yeux de Washington), un virage vers l’est sera encore possible. Sinon, l’avenir de l’alliance BMB sera loin d’être assuré.
Mais une autre vision de l’avenir économique de l’Eurasie pointe à l’horizon : Washington cherche à imposer un Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) en Europe et un Partenariat transpacifique (PTP) similaire en Asie. Les deux partenariats favorisent la mondialisation des sociétés américaines, et leur but est visiblement d’empêcher la montée des économies des pays du BRICS et des autres marchés émergents, tout en consolidant l’hégémonie économique mondiale des USA.
Moscou, Pékin et Berlin ont pris bonne note de deux constats qui se dégagent de la volonté géopolitique pure et dure qu’expriment ces deux pactes commerciaux, à savoir que le PTP exclut la Chine et que le TTIP exclut la Russie. Ces pactes représentent, de façon à peine voilée, le nerf de la guerre commerciale et monétaire qui se profile. Lors de mes récents voyages, des producteurs agricoles espagnols, italiens et français de produits de qualité m’ont répété que le TTIP n’est rien d’autre qu’une version économique de l’Otan, cette alliance militaire que Xi Jinping de la Chine qualifie, en prenant peut-être un peu ses désirs pour des réalités, de structure obsolète.
Le TTIP est confronté à beaucoup de résistance dans bien des pays de l’Union européenne (en particulier dans les pays du Club Med, au sud de l’Europe), tout comme le PTP parmi les pays asiatiques (notamment le Japon et la Malaisie). Cela donne de l’espoir aux Chinois et aux Russes pour leurs nouvelles routes de la soie et leur nouveau style de commerce proposé au cœur de l’Eurasie, avec le soutien de l’Union eurasiatique que prône la Russie [14]. Les personnes qui comptent dans les milieux financiers et industriels allemands, pour qui les relations avec la Russie [15] demeurent vitales, suivent tout cela avec beaucoup d’intérêt.
Il faut dire que Berlin ne s’est pas préoccupé outre mesure du reste de l’Union européenne, plongé dans la crise (trois récessions en cinq ans). Par le truchement d’une troïka très méprisée (la Banque centrale européenne, le Fonds monétaire international et la Commission européenne), Berlin est déjà, à toutes fins pratiques, à la barre de l’Europe, prospère et tourné vers l’Est, pour en obtenir encore plus.
Angela Merkel et Li Keqiang, Premier ministre de la République populaire de Chine, à Pékin début juillet 2014. © REUTERS/ Kim Kyung-Hoon
Angela Merkel et Li Keqiang, Premier ministre de la République populaire de Chine, à Pékin début juillet 2014. © REUTERS/ Kim Kyung-Hoon
Il y a trois mois, la chancelière allemande Angela Merkel s’est rendue à Pékin [16]. Ce qui est pratiquement passé sous silence dans les médias est l’accélération, sur le plan politique, d’un projet potentiellement révolutionnaire : une connexion par train à grande vitesse reliant Pékin et Berlin. Une fois réalisée, elle constituera un pôle d’attraction en matière de transport et de commerce pour des dizaines de pays, le long de son parcours de l’Asie à l’Europe. Passant par Moscou, elle pourrait devenir l’élément intégrateur de la route de la soie en Europe, peut-être aussi le cauchemar ultime de Washington.
La perte de la Russie
Sous les feux de la rampe médiatique, le dernier sommet de l’Otan au pays de Galles n’a accouché que d’une force de réaction rapide pouvant être déployée dans de futures situations, similaires à ce qui se passe en Ukraine. Au même moment, les membres de l’Organisation de coopération de Shanghai, l’éventuelle contrepartie asiatique à l’Otan, qui est en pleine expansion, se sont réunis à Douchanbé, au Tadjikistan. À Washington et en Europe de l’Ouest, pratiquement personne ne l’a remarqué. Ils auraient dû. À cette occasion, la Chine, la Russie et quatre pays de l’Asie centrale ont convenu [17] d’accueillir des nouveaux membres, et non les moindres : l’Inde, le Pakistan et l’Iran. Les conséquences pourraient être d’une portée considérable. Après tout, l’Inde du Premier ministre Narendra Modi est sur le point de présenter sa propre version de la route de la soie [18]. Derrière cela, on voit poindre la possibilité d’un rapprochement économique [19] Chine-Inde, qui pourrait changer la carte géopolitique de l’Eurasie. L’Iran aussi est en passe de glisser sous le giron Chine-Inde.
Lentement mais sûrement, l’Organisation de coopération de Shanghai est en train de devenir la principale organisation internationale en Asie. Il en ressort déjà que l’un de ses principaux objectifs à long terme est de cesser de transiger en dollars US, tout en préconisant l’utilisation du pétroyuan et du pétrorouble [20] dans le commerce de l’énergie. Les USA ne seront évidemment pas invités à se joindre à l’Organisation.
C’est ce que l’avenir nous réserve. Pour le moment, le Kremlin continue de montrer qu’il est encore prêt à reprendre le dialogue avec Washington, ce que Pékin n’a jamais voulu cesser de faire. Pourtant, l’administration Obama continue de s’ancrer dans sa version à courte vue d’un jeu à somme nulle, en se fiant à sa puissance technologique et militaire pour maintenir une position avantageuse en Eurasie. Sauf que Pékin a accès aux marchés et dispose de plein d’argent, tandis que Moscou regorge d’énergie. Washington, Pékin et Moscou sortiraient sans aucun doute tous gagnants s’ils coopéraient, comme le voient les Chinois, mais il ne faut pas y compter.
Il faut plutôt s’attendre à ce que la Chine et la Russie consolident leur partenariat stratégique, tout en attirant d’autres puissances régionales eurasiatiques. Pékin a fait le pari que la confrontation USA/Otan contre la Russie, par rapport à l’Ukraine, amènerait Vladimir Poutine à se tourner vers l’est. De son côté, Moscou prend le temps d’évaluer soigneusement ce qui ressortira de sa réorientation en cours aux côtés d’une telle puissance économique. Un jour, peut-être, la voix de la raison à Washington se demandera haut et fort comment les USA ont pu perdre la Russie et la laisser passer aux mains de la Chine.
Pour le moment, il faut voir la Chine comme le pôle d’attraction du nouvel ordre mondial d’un futur siècle eurasiatique. Le même processus d’intégration que connaît la Russie, par exemple, semble de plus en plus s’appliquer [21] à l’Inde et à d’autres pays eurasiatiques, et finira tôt ou tard par s’appliquer aussi à une Allemagne neutre. En fin de partie de ce processus, les USA pourraient bien être progressivement extirpés de l’Eurasie, dont les règles seront changées par l’alliance BMB. Faites vos paris bientôt, car ils seront clos d’ici 2025.
Pepe Escobar
Traduit par Daniel pour vineyardsaker.fr
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Bardamu
Oct 9, 2014 @ 23:05
Pourquoi ne pas simplement le lien avec un petit mot explicatif au lieu d’importer toute la tartine que j’avais d’ailleurs déjà lue ?
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ben
Oct 10, 2014 @ 2:49
parce que vanda aime les commentaires long comme un port avions…L’intelligence, c’est comme de la confiture : moins on en a plus on l’étale.
jacquart et jacaton tous pour un monde meilleur…
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Vanda
Oct 10, 2014 @ 9:34
Ben , j’étale d’autant plus l’intelligence de Pépé Escobar que ce n’est pas la mienne !
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Vanda
Oct 10, 2014 @ 9:33
Désolé Bardamu , la prochaine fois j’y penserai
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Kafir Haram
Oct 11, 2014 @ 11:28
massinissa
Oct 9, 2014 @ 20:58
Le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour la Libye et chef de la Mission d’appui des Nations unies en Libye (MANUL), Bernardino Léon a salué, mercredi à Alger, le rôle de l’Algérie et sa vision dans le règlement de la crise libyenne!
Le même représentant onusien a indiqué que « l’Algérie a une vision, une connaissance et une initiative qui sont les meilleures pour (une solution) en Libye ».
« Nous sommes persuadés à l’ONU que de cette coopération avec l’Algérie, nous pouvons faire une différence en Libye ».
Mieux vaut tard que jamais!Si on avait ecoute l algerie des le depart pour la non intervention,la lybie serait toujours la lybie de maamar!!
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massinissa
Oct 9, 2014 @ 21:28
«Je tiens à exprimer la gratitude constante du gouvernement et du peuple des États-Unis d’Amérique pour le rôle joué par l’Algérie dans la libération des 52 otages américains en 1981», a souligné l ambassadrice Mme Joan Polaschik dans un communiqué .
Pour rappel ces otages detenus a lambassade a teheran ont ete liberes grace a la mediation dirigee par feu BENYAHIA dans le temps et ont ete directement rapatries a alger.
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momo
Oct 9, 2014 @ 20:45
tout les média, journalistes occidentaux payés et travaillent pour la cia, une bome qui ne sera reprise par aucun média c’est certain
en tout cas bravo pour ce courageur ex redacteur en chef allemand
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momo
Oct 9, 2014 @ 21:10
lire »une bombe »
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lafleurs
Oct 9, 2014 @ 20:25
A mon avis, il faudrait bien dénoncer la responsabilité des médias et des opposants qui ont multiplié les photos et les vidéos sur les massacres en Syrie, tous attribuées, alors et jusqu’à ces jours à l’Armée syrienne et toutes, tournant en boucle et qui ont monté le crâne fragile de ces gosses dont on dit en refrain qu’ils sont partis par humanisme et pour aider les pauvres Syriens ( pas tous bien sûr sont partis pour ça !) avec toute cette insupportable manipulation de l’info que nous avons bien connue et tenté de contrecarrer !
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massinissa
Oct 9, 2014 @ 19:41
Un Strasbourgeois de 54 ans a été condamné à six mois de prison ferme pour avoir crié « Vive l’Etat islamique! » dans les locaux d’une Caisse d’allocations familiales et menacé d’y revenir « avec une arme », a-t-on appris jeudi auprès du parquet.
Le prévenu, qui a été incarcéré, a été reconnu coupable mercredi par le tribunal correctionnel de Strasbourg d' »apologie publique d’un acte de terrorisme » et d' »outrage », a précisé à l’AFP la substitut du procureur, Stéphanie Breton, qui avait requis contre lui huit mois de prison ferme en raison du « trouble à l’ordre public ». L’homme n’est « absolument pas connu par les services de renseignement, ce n’est pas quelqu’un qui serait susceptible de partir en Syrie », a commenté Mme Breton.
afp
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massinissa
Oct 9, 2014 @ 19:51
Moscou: Le conseil de sécurité est le seul à décider de la création des zones tampons!
Sacre poutine ,quand il a senti qu il y a du flou dans cette affaire,il veut la faire passer par l onu pour opposer son veto!
C est une facon a la poutine,vous demandez ca(coalition en syrie sans passer par l onu) on vous donne ,vous demandez plus on vous donne CA!!
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Sylvain
Oct 9, 2014 @ 20:09
la zone tampon , version Hollande, c’est une zone tampon qui doit permettre aux rebelles modérés de s’y installer pour renforcer leurs positions contre Bachar el-Assad.
http://www.lefigaro.fr/international/2014/10/08/01003-20141008ARTFIG00334-la-france-favorable-a-une-zone-tampon.php
inutile de dire qu’Assad la bombardera dès que possible, puisque c’est de facto une zone ennemie
Hollande et Fabius, de vrais cons au service des USA
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massinissa
Oct 9, 2014 @ 21:45
Ankara,par cette zone tampon, cherche surtout à empêcher l’émergence d’une région autonome kurde à ses frontières, selon le directeur de l’Institut kurde de Paris Kendal Nezan.
et affirme..
Si Kobané tombe, les jihadistes s’attaqueront ensuite à un autre objectif, la région d’Afrin, une enclave kurde au nord d’Alep, qu’on appelle la « montagne kurde ». Et personne ne fera rien, car les Kurdes syriens sont considérés comme des dommages collatéraux.
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Sylvain
Oct 9, 2014 @ 20:04
il aurait dû crier Vive l’Otan, c’était pareil , ou Vive le Qatar, le pays le plus pourri du monde
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Marie-Christine
Oct 9, 2014 @ 22:00
Cela devient presque une farce !!! Les deux psychoses chez nous et qui se développent (que l’on développe) dans tous les pays occidentaux, l’EI et Ebola !! On va les voir ou croire les voir à tous les coins de rue !
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massinissa
Oct 9, 2014 @ 22:28
Pour l ebola, les 750 militaires britanniques envoyes en sierra leonne vont la stopper!!
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Marie-Christine
Oct 10, 2014 @ 9:08
Des bombardements aériens, peut-être !? J’adorerais si le terroriste Ebola les liquidait tous !! Pas gentil, certes, mais que viennent faire ces militaires britanniques en Sierra Leonne !?
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Freiheit
Oct 9, 2014 @ 19:13
Bonne nouvelle sur le plan militaire détaillées par Almanar.
« Echecs accablants des rebelles à Qalamoune et Alep: la vengeance du Hezbollah
L’équipe du site
Aussi bien dans le Qalamoune, à la frontière avec le Liban, qu’à Safira, au sud-est d’Alep, les rebelles ont subi des revers importants ces derniers jours en Syrie.
La vengeance du Hezbollah
Selon le journal libanais al-Akhbar, c’est finalement le retour au calme dans le Qalamoune, après d’âpres combats depuis le dimanche dernier, lorsque les miliciens ont réalisé deux infiltrations, au Liban puis en Syrie.
« Ce fut une vraie tuerie », que le front al-Nosra, Daesh et leurs alliés les reliques de l’Armée syrienne libre (ASL) ont subie, rapporte le journal, selon lequel ces milices ont eu de lourdes pertes humaines.
Il s’agit de la vengeance du Hezbollah au lendemain de l’attaque contre une de ses positions à Britale, au cours de laquelle il a perdu 8 de ses combattants.
Sans tarder, les miliciens takfiristes ont vite été contraints de quitter les positions libanaises qu’ils avaient conquises. Dont celle d’Oum Kharaj, lieu de l‘attaque.
Nouvelle infiltration
En voulant faire de même contre les positions de l’armée en Syrie, en l’occurrence le jurd de Flita, Assale al-Ward et Jebbé, ils ont essuyé le même échec. Et ce malgré le grand nombre de miliciens qu’ils avaient investis.
A peine s’était-ils emparés mardi matin d’une position qui surplombe Assale al-Wared, et en ont diffusé les images, qu’ils ont été délogés dans une opération de grande envergure. Ils ont par la suite été traqués et des dizaines d’entre eux ont péri, dont dix ont été abandonnés sur place. Sachant que les rebelles s’obstinent avant de quitter leurs positions à évacuer les cadavres de leurs tués.
Il y est question que le Hezbollah a tué un dirigeant important de l’ASL connu sous le nom de Mohammad Dawida.
Selon certains observateurs, la bataille du Qalamoune rappelle celle de Qousseir. Chaque fois que les rebelles réalisaient une infiltration, ils subissaient vite un échec ce qui a accéléré leur défaite finale.
Mais il ne faut pas s’attendre à ce qu’ils soient intimidés pour autant et d’autres attaques sont à prévoir.
Les « Ahrar » repoussés à Alep
Du côté d’Alep, la bataille de la milice Ahrar ach-Cham pour s’emparer des usines de défense de l’armée syrienne au sud-est d’Alep s’est elle aussi soldée par un échec.
Baptisée « Rugissement des Ahrar », l’opération avait été lancée à l’aube de mercredi par cette milice qui constitue une composante importante de la coalition du Front islamique (soutenu par l’Arabie saoudite) et visait aussi à frapper trois régions contrôlées par les forces gouvernementales.
A peine les miliciens s’étaient emparés de 5 villages dans la province de Safira, et s’étaient mis à bombarder les positions de l’armée régulière, qu’ils ont été obligés de s’en retirer sous les ripostes de cette dernière. Des dizaines d’entre eux ont été tués et blessés.
Un de leurs commandants figure parmi les tués. Selon une source questionnée par le journal assafir, il est très difficile de prendre la zone des usines de défense où sont stationnés un grand nombre de soldats réguliers. Il était impossible de le faire lorsque Safira était entre les mains des miliciens et l’est encore plus alors qu’elle est entre celle des forces gouvernementales, commente assafir.
A travers cette opération Ahrar esh-Cham visait à divertir l’armée et à alléger le blocus imposé par l’armée syrienne contre les quartiers des rebelles à l’est d’Alep. Le blocus a été facilité par la prise du village Handarate, et risque d’être encore plus hermétique si l’armée parvient à s’emparer de Castello.
Un père franciscain, enlevé puis relaché
Un père franciscain et 20 chrétiens capturés en Syrie par le Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda ont été relâchés, a indiqué l’ordre franciscain jeudi.
Ils avaient été enlevés dans la nuit de dimanche à lundi à Qounya (nord-ouest de la Syrie), un village chrétien proche de la frontière turque sous contrôle d’Al-Nosra.
Le père Hanna Jallouf, Syrien de 62 ans, « a été placé en résidence surveillée dans le couvent de Qounya », dont il est responsable, a indiqué sur son site internet la Custodie de Terre sainte (division de l’ordre franciscain pour le Proche-Orient).
Les raisons exactes de leur capture sont inconnues. Selon différentes versions, des tentatives de la part d’Al-Nosra de s’approprier un bâtiment ou une partie de la récolte d’olives du couvent en seraient à l’origine.
Selon l’AFP, environ 1.500 chrétiens vivaient à Qounya avant la guerre, selon la Custodie de Terre Sainte. Ils ne sont plus que quelques centaines à présent, essentiellement des personnes âgées vivant de la terre.
Les Franciscains comptent 19 membres basés en Syrie, où cet ordre de l’Eglise catholique romaine est présent depuis 800 ans.
En Syrie, on est toujours sans nouvelles de deux évêques d’Alep enlevés en avril 2013 –Gregorius Yohanna Ibrahim de l’église syriaque orthodoxe et Boulos Yazigi de l’église grecque orthodoxe– ainsi que du père jésuite italien Paolo Dall’Oglio, porté disparu depuis juillet 2013. »
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=196227&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1
Par contre, l’AAS rencontre toujours des difficultés à Daraa. Le site « Oryx Blog » fait état de la prise de la base de Al Hara le 5 Octobre. Les terroristes ont fait main basse sur un centre de renseignements et d’espionnage des communications « rebelles » dirigé selon le site conjointement par l’agencement de renseignements Russe Oznaz et les renseignements Syriens.
http://spioenkop.blogspot.ru/
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africalibre
Oct 9, 2014 @ 19:12
Oui ou oui !?
https://twitter.com/Kimyongur/status/520229849177530370
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 19:05
Alors que les vaccins sont mis en cause dans un grand nombre d’affections ( exemple : l’incicende que pourrait avoir dans la maladie d’ Alzheimer , le vaccin contre la grippe systématique chez les séniors ) :
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Juges-pour-avoir-refuse-de-faire-vacciner-leurs-enfants-28412.html
Pour ma part , mon épouse et moi venons de recevoir un bon gratuit de vaccin contre la grippe : Direction la poubelle .
1- Je ne me plains pas trop de ma mémoire et je n’ai pas envie de commencer .
2- Une bonne grippe me mettra peut-être à plat , mais me fera faire un gros travail de détoxination qui reculera peut – être le début d’un cancer .
3 -Je soignerai ma grippe en restant bien au chaud , boirait beaucoup d’eau et jeûnerai . Peu de chance que la grippe me flingue .
4 -Et si j’y reste , ma descendance héritera et se félicitera de mon esprit de résistance à toutes ces conneries de vaccins .
De toute manière , je ne me souviens plus de ma dernière prise de médicament . Ah si des anti inflammatoires avant un trekk en 2008 . 6 ans déjà !
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 19:06
Pas l’incicende , mais l’incidence ! ……On ne vaccine pas contre la dislexie ??
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 18:54
http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Russie-souhaite-un-eclaircissement-au-sujet-de-la-livraison-des-Mistral-francais-28416.html
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 18:49
Un point de vue qui en vaut d’autres ( il y a un certain tri à faire ) :
Malaise, anxiété, déprime
Chère lectrice, cher lecteur,
Il peut être dangereux d’aller voir un psychologue ou un psychiatre pour des problèmes de malaise, d’anxiété, de déprime.
Il existe des cas de malaise extrême (dépression profonde) et d’anxiété (crises de panique) qui relèvent de la médecine.
Mais actuellement, dans de nombreux cas, ce n’est pas vous qui êtes malade et qui devez changer. C’est le monde qui vous entoure qui est malade et qui devrait changer.
Méfiez-vous des solutions toutes faites de la psychiatrie
La formation, la fonction des psychiatres et psychologues, est de vous aider à changer votre vision du monde pour vous aider à vous sentir plus heureux, que ce soit par des médicaments, la psychanalyse ou les thérapies cognitives et comportementales.
Mais ce n’est pas toujours une bonne idée.
La fille d’une de mes amies a fait le mois dernier une tentative de suicide. Elle a été hospitalisée à l’hôpital Necker, à Paris, où des psychiatres se sont occupés d’elle pendant une semaine, interdisant à sa famille tout contact avec elle. Ils ont essayé de l’aider à changer sa vision de l’existence, à avoir une meilleure perception d’elle-même. Ils lui ont aussi donné des médicaments pour éliminer ses angoisses (anxiolytiques).
Le problème est que cette jeune fille n’avait aucun problème psychologique. Si elle avait envie d’en finir, c’est parce qu’elle était victime depuis des mois, dans son collège, d’agressions et d’humiliations insupportables (liées à son physique). Mais la direction de l’école n’intervenait pas pour la protéger.
Les psychiatres de l’hôpital ne pouvaient rien pour changer cela. Ils n’ont aucune autorité sur la direction du collège. C’est ainsi qu’il fut décidé à leur niveau de lui donner des médicaments, des séances de psychanalyse, puis de la renvoyer dans son collège, en croisant les doigts. (Je vous rassure, après discussion avec mes amis, cette jeune fille n’est pas retournée auprès de ses tortionnaires).
Une société paumée
Dans son livre « La société saine » (1955), le psychanalyste Eric Fromm écrivait :
« Pourtant, beaucoup de psychiatres et psychologues refusent l’idée que la société dans son ensemble pourrait être malade. Ils maintiennent que le problème de la santé mentale dans la société ne concerne qu’une minorité d’individus “inadaptés”, et non pas la culture en elle-même, qui devrait être adaptée aux individus. [1] »
Notre société est elle en bonne santé, et ceux qui ont du mal à s’y adapter sont-ils des malades qu’il faut traiter ? Ou bien notre société est-elle elle-même paumée ? Dans ce cas, il serait logique que beaucoup de nos contemporains aient des difficultés émotionnelles à supporter les conditions de vie :
« Une société malade est une société qui crée de l’hostilité mutuelle, de la méfiance, et qui transforme l’homme en un instrument exploité par les autres, qui le prive du sentiment d’avoir de la valeur, sauf dans la mesure où il se soumet aux autres et devient un automate [2] », disait Fromm.
Pour ma part, il me semble en effet que l’agressivité, l’indifférence, la mauvaise foi sont devenues omniprésentes. En l’espace de 24 heures, j’ai été personnellement témoin des scènes suivantes :
* un jeune automobiliste qui s’arrête au milieu de la rue et sort de sa voiture pour injurier et menacer physiquement une vieille dame qui le suivait ;
* un policier qui met une amende à un monsieur pendant que celui-ci prend son ticket à l’horodateur, et refuse de l’annuler ;
* un restaurateur qui explose de colère parce qu’un client demande une carafe d’eau plutôt qu’une bouteille d’eau ;
* une nourrice qui menace le petit garçon dont elle a la garde parce que celui-ci panique du fait que sa maman soit partie.
« C’était mieux avant » ?
Je n’ai aucune idée de ce qu’il faudrait faire pour changer tout cela. Mais une chose est sûre : si vous dites aujourd’hui en public que, pour certaines choses, « c’était mieux avant », il se trouvera systématiquement quelqu’un qui vous traitera de ringard et de passéiste.
Et pourtant, ouvrons les yeux.
Les personnes confortablement installées au sommet de la hiérarchie sociale peinent à reconnaître le degré de détresse, de passivité, d’ennui, d’isolement et de déshumanisation qui règne dans le reste dans la société. Les incivilités qui se multiplient, les écoles qui ne proposent qu’un moule unique pour tous les enfants, le travail dans des bureaucraties énormes et impotentes (qu’elles soient publiques ou privées), les administrations qui vous traitent comme un numéro… Tout ceci transforme les rapports normaux entre les gens en favorisant la crainte plutôt que la bienveillance, la manipulation plutôt que le respect, l’efficacité des machines plutôt que les besoins émotionnels des êtres humains, la dépendance plutôt que la liberté.
Peut-on considérer comme maladivement nostalgiques les personnes qui souffrent d’un monde où :
* le système de santé exploite la maladie plutôt que de promouvoir la santé ;
* la solitude prend des allures d’épidémie, avec maintenant une personne de 75 ans sur quatre qui n’a plus aucun contact avec personne, ni ami, ni famille, ni voisins, ni connaissances quelles qu’elles soient, avec un nombre de personnes seules en augmentation de 1 million depuis 2010 [3] ;
* des catastrophes écologiques sont annoncées de toutes parts ;
* des dirigeants politiques mettent toute leur énergie à mentir sur la situation (« La croissance revient ! », « Le chômage va baisser ! ») ;
* des conflits armés éclatent aux quatre coins du globe ?
Je ne le crois pas.
Alors oui à la psychiatrie et aux médicaments pour les personnes qui souffrent réellement de problèmes psychiques.
Mais pour tous les autres ? Ne demandons pas à la médecine de nous aider à fermer les yeux et à nous boucher les oreilles grâce à des « pilules du bonheur ». Il y a bien mieux à faire.
Survivre – et atteindre le bonheur – en milieu hostile
Voici ce que je recommande pour non seulement survivre, mais même atteindre le bonheur, quand vous avez l’impression que ça va objectivement mal autour de vous :
1. Limitez la lecture et l’écoute des « infos ». Les infos, c’est un peu comme si elles étaient faites pour vous déprimer , ou au moins vous faire peur. Car la peur fait vendre. Les journalistes savent que plus une histoire est incroyable, affligeante, désolante, plus elle attirera l’attention – même si elle ne concerne pas le lecteur. Ils ont donc une tendance naturelle à sélectionner des histoires terribles. Et à force de les lire, vous finissez par avoir l’impression que tout va mal autour de vous. De plus, la plupart des informations n’ont que très peu d’utilité pratique. Elles concernent des problèmes sur lesquels vous n’avez aucune prise. Cela accroît votre sentiment d’impuissance. Plusieurs études ont montré que les personnes qui ne suivent pas les infos ne s’en sortent pas moins bien que les autres dans la vie, mais sont par contre plus sereines et plus heureuses [4]. Lire des livres contribue mieux à la réflexion qu’un flux constant de flashs d’infos.
2. Luttez contre le stress chronique par des aliments anti-stress : une alimentation riche en magnésium, des plantes comme le millepertuis et la rhodiola, des tisanes apaisantes (il y en a une multitude), du chocolat noir (70 % de cacao) contribueront à vous sentir plus détendu et à avoir meilleur moral.
3. Faites régulièrement de l’exercice, si possible en plein air : le sport libère des endorphines qui donnent une sensation de bien-être et améliorent l’humeur sur le long terme ; la sensation du grand air sur le visage, de l’eau fraîche sur le corps, le vert des forêts et des prairies, le ciel bleu et le soleil ont un puissant effet anti-dépresseur.
4. La méditation, la relaxation, le yoga, les massages rendent plus heureux. Des études ont également montré que les personnes qui prient et qui ont une vie religieuse font plus confiance à la vie et ont moins de risque de dépression [5].
5. Changez votre environnement pour l’améliorer si c’est possible : déménagez, évitez les fréquentations « toxiques », changez de travail si votre métier vous impose trop de souffrances.
6. Luttez contre l’anxiété en prenant vos précautions : adoptez un mode de vie sain qui diminuera votre risque de maladie ; réduisez votre train de vie si vous angoissez que votre compte en banque soit dans le rouge, et faites des économies ; soignez vos relations avec votre entourage (famille, amis, voisins) : se sentir bien entouré socialement donne plus de confiance et plus de forces dans l’épreuve ; améliorez votre sommeil, cela vous aidera à vous sentir plus serein.
7. Si vous essayez ces mesures et qu’elles ne suffisent pas, je vous recommande alors une psychothérapie comme les TCC (thérapies cognitives et comportementales). Elles sont particulièrement efficaces en cas de stress post-traumatique, c’est-à-dire lorsque vous éprouvez une angoisse provoquée par un événement perturbant (accident, agression, deuil).
Un bon équilibre intérieur rejaillira sur toute votre santé. Non seulement se sentir bien permet d’épargner à notre organisme un stress qui le ronge, de mieux dormir, de mieux manger et mieux assimiler les nutriments, mais on sait depuis peu que le système immunitaire se détruit quand on se sent « mal dans sa peau » [6].
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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CROA
Oct 10, 2014 @ 1:41
ne prenez pas de viagra ou autre saleté, fuyez les scènes de ménage, changez de partenaire !
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mag
Oct 10, 2014 @ 14:27
Wanda@Je recois les informations de JM Dupuis de « santé et nutrition « ,c’est très bien ! Nous avons beaucoup d’information santé vraie! Il nous a depuis longtemps éclairé aussi sur L’UE qui veut petit à petit supprimer les compléments alimentaires , efficacité prouvée ,pour nous obliger tous à n’acheter qu’aux labos !Il ont été les premiers à prévenir contre le vaccin du cancer de l’utérus et contre d’autres !Que de bons conseils ! Si cela peut aider des lecteurs …
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 18:40
Un article long , très long de « The Saker » qui vaut vraiment le coup d’être lu et qui permet de comprendre beaucoup de choses . C’est un point de vue qu’on peut parfaitement ne pas partager , mais qui doit impérativement pris en compte à propos de Poutine pour l’essentiel , L’Ukraine , la NovoRussie , la 5ème colonne en Russie , les anglo sionistes ,etc ….
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/09/reponse-russe-double-declaration-guerre/
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Sylvain
Oct 9, 2014 @ 20:10
article trop long… un roman à lire, pas le temps
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Vanda
Oct 9, 2014 @ 20:23
Oui Sylvain , c’est vraiment long , mais comme avec le Saker , j’ai rarement été déçu , je m’y suis attelé et le regrette pas .
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Bardamu
Oct 9, 2014 @ 23:12
Moi non plus, et je l’ai sauvegardé dans mon dossier politique Ukraine-Syrie-Russie.
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adalia
Oct 9, 2014 @ 23:53
Cher Vanda
je suis en train de le lire ( demain il y aura autre chose !!!)
et suis tres etonnee de ceci:
…exiger une résolution de l’ONU tout en regardant tranquillement comment l’Oncle Sam se retourne contre sa propre progéniture et tente maintenant de la détruire.
et
Pourquoi risquer la mort d’un seul soldat russe ou syrien alors que l’US Air Force est prête à faire les choses à leur place ?
Bien qu’il y ait une douce ironie dans le fait que les États-Unis ont maintenant à bombarder leur propre création, laissons-les faire ça
a mon humble avis, la progeniture en question n’est pas si bombardee que ca, elle execute les plans US a la lettre, ce n’est qu’une distribution de roles, tout comme l’autre sale progeniture ainee al qaida.
et c e n’est pas un detail mineur cette divergence.
qu’en pensez-vous?
evidemment , je serai tres heureuse de me tromper, et de voir la progeniture ecrabouillée par son createur.
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Vanda
Oct 10, 2014 @ 9:31
Adalia , j’ai trouvé l’article intéressant , ce qui ne veut pas dire que j’approuve Poutine ou Assad en toute occasion . Et je comprends vos réserves d’autant plus que je les partage .
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Marie-Christine
Oct 10, 2014 @ 9:35
Oui, Adalia, cela reste ambigü : « les prendre aux mots » et gagner du temps jusqu’au « faux pas » flagrant, en espérant qu’il feront quand même un certain boulot contre leur « progéniture » ; mais en même temps ce sont eux qui empêchent objectivement l’AAS (par air et par terre) et le Hezbollah d’intervenir pour Kobané, car s’il y a une armée et des combattants qui auraient des chances (et l’expérience) d’écrabouiller les terroristes de l’EI, ce sont eux !!
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mag
Oct 10, 2014 @ 14:29
Je l’ai lu, excellent !
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sirex
Oct 9, 2014 @ 18:39
Les militants de l’Etat islamique cherchent des informations sur leurs cibles grâce aux réseaux sociaux
http://fr.novopress.info/176318/les-militants-de-l-etat-islamique-cherchent-des-informations-sur-leurs-cibles-grace-aux-reseaux-sociaux/
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sirex
Oct 9, 2014 @ 18:36
http://fr.novopress.info/176311/partis-faire-djihad-continuent-toucher-jusqua-2200e-d-allocations-mois/
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fredo
Oct 9, 2014 @ 18:15
jeudi, 09 octobre 2014
Seul le Conseil de sécurité de l’Onu peut décider d’une zone tampon à la frontière entre la Turquie et la Syrie( Moscou)
IRIB- Seul le Conseil de sécurité de l’Onu peut décréter la mise en place d’une zone tampon
à la frontière entre la Turquie et la Syrie, a déclaré jeudi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch. « Toute décision concernant la création de telles zones doit être adoptée par le Conseil de sécurité de l’Onu. Vous vous rappelez comment cela s’est passé en Irak et en Syrie, et ce qui en a résulté. Les décisions unilatérales de différents États ou coalitions ne sont pas légitimes », a indiqué M. Loukachevitch interrogé sur l’attitude de Moscou envers une telle initiative. Selon le diplomate, toute décision concernant les actions à lancer contre les terroristes « sur le territoire d’un État étranger doit être adoptée sur une base juridique saine et compte tenu de l’avis et des intérêts de l’état dont le territoire est utilisé pour ce genre d’actions ». « Rien de tout cela n’est respecté en l’occurrence », a conclu le porte-parole de la diplomatie russe.
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fredo
Oct 9, 2014 @ 18:04
HS
Les sanctions occidentales renforceront Poutine (magazine US)
Les sanctions décrétées contre Moscou sur fond de crise ukrainienne n’empêchent pas Vladimir Poutine de bénéficier d’un soutien sans précédent parmi la population russe, écrit la journaliste du magazine américain The Fortune Vivienne Walt.
Bien qu’aujourd’hui Moscou et Washington ne se trouvent pas au seuil d’un conflit nucléaire, les tensions actuelles entre les deux pays mettent en danger la réalisation de contrats s’élevant à plusieurs milliards de dollars et risquent de détruire les liens d’affaires bilatéraux « pour les années à venir », estime l’analyste.
« La guerre des sanctions » exerce selon Mme Walt un impact négatif sur les deux parties: alors que le rouble établit des records de faiblesse face au dollar et que le FMI abaisse ses prévisions de croissance de l’économie russe, les entreprises américaines essuient pour leur part d’importantes pertes sur le marché russe.
L’observateur rappelle que la Banque centrale de Russie dispose de réserves de change suffisantes pour que l’économie nationale résiste bien aux sanctions occidentales pendant un certain temps. Pourtant, la situation actuelle pourrait se poursuivre « pendant des années ». En fin de compte, le président russe en sortira « plus fort », en prouvant au monde entier qu’il ne redoutait pas une confrontation avec l’Occident, explique Mme Walt.
Source: Ria Novosti
Dernière mise à jour 09-10-2014 –
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fredo
Oct 9, 2014 @ 18:20
mistral,pour moscou paris dois livrer les navires
« ou rendre l’argent »
http://fr.ria.ru/world/20141009/202662806.html
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Ted
Oct 9, 2014 @ 20:26
Si Paris ne livre pas les navires, il doit non seulement rendre l’argent, mais aussi la proue des navires qui a été fabriquée en Russie. Autant dire que la France ne gardera que la moitié des navires, et ne pourra rien en faire. Donc, on comprend pourquoi Paris souffle le chaud et le froid coincé entre sa soumission aux américains et ses obligations commerciales envers Moscou.
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CROA
Oct 10, 2014 @ 1:49
Si il manque l’avant il sufffit de souder les deux derrières pour avoir le premier navire capable d’aller de l’avant à reculon.
Cette invention pourrait équiper rapidement l’OTAN qui va en avoir besoin.
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raimanet
Oct 9, 2014 @ 17:56
A reblogué ceci sur raimanet.
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raimanet
Oct 9, 2014 @ 17:56
.
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elcaid
Oct 9, 2014 @ 17:55
Voilà ce qui arrive lorsqu’on regarde trop la télévision…
Pauvres adolescentes, elles croyaient vraiment qu’elles allaient aider les « gentils » rebelles soi-disant en lutte contre le « bourreau » Bashar Al Assad.
Si seulement elles avaient consulté des blogs citoyens comme celui d’AJ et bien d’autres, elles n’en seraient pas là aujourd’hui !
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martes
Oct 9, 2014 @ 17:35
Je constate depuis quelques jours une réhabilitation timide mais progressive du pouvoir Syrien par les médias, notamment sur arte (Frédéric Pichon ), bfm (Malbrunot ) et la lcp (un gars du renseignement français). J’ai bien dis « timide » car les hystériques anti-assad n’ont pas encore abdiqué ( Filiu…)
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Freiheit
Oct 9, 2014 @ 18:41
Effectivement. J’ai rédigé un post en ce sens. Le problème des hystériques et qu’ils apparaissent de plus en plus comme ce qu’ils sont : des « hystériques » obsessionnels, complètement bornés et imperméables à toutes nuances. Ils vont se décrédibiliser peu à peu.
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yaz.dz
Oct 9, 2014 @ 17:09
Elle veullent jouer aux jeunes vierges effarouchées maintenant..!
Un mur une rafale c’est tous ce qu’elles méritent , car les laisser revenir en occident ,…….,c’est des bombes a retardement..et sans jeux de mots..!.
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le moine obscur
Oct 9, 2014 @ 17:07
A ces adolescents, toujours en quête de sensations fortes ! J’espère pour elle que les daeshistes ne vont pas avoir vent de ses intentions, sinon !
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vénus
Oct 9, 2014 @ 17:55
Mouais enfin de toutes les façons elles n’ont que leurs yeux pour pleurer, personne n’est venu les chercher, elles sont allées là-bas je dirais presque en connaissance de cause, elles sont comme tout le monde aujourd’hui elles avaient internet.
ALORS QUE LES SYRIENS eux n’ont rien demandé, et surtout pas à ce que ces filles imbéciles viennent les tuer.
Donc si elles y passent c’est tant pis pour elles ainsi que pour ceux qui sont allés chercher des sensations fortes.
Bien au contraire que les avions passent au-dessus des têtes de tous ces connards qui veulent faire des cartons sur les syriens.
Ce qui risque de se passer c’est que tous ces djihadistes risquent de prendre en otage ces femmes venues d’occident pour mieux s’échapper. Elles vont devenir des boucliers.
On a assez dit que les femmes étaient utilisées pour le repos du djihadiste.
Alors tant pis pour elles, moi je pense à tous ces enfants syriens qui n’avaient rien demandé à personne et qui aspiraient à grandir et s’amuser, tous ces enfants kurdes traumatisés par cette fuite en avant sous les bruits des avions.
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Marie-Christine
Oct 9, 2014 @ 19:52
Bien sûr que si, ils ne peuvent que le savoir avec tout cette publicité (en plus ils lisent peut-être le site d’AJ 😆 ) !! Plaisanterie mise à part, cette évidence m’intrigue : soit c’est très imprudent de la part de la djihadette et de son réseau, soit c’est voulu… ? Soit encore, tout cela, ne sont que des bobards, mais alors là…!!!?
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Marie-Christine
Oct 10, 2014 @ 9:45
Cela dit, m’étonnerait pas qu’ils lisent aussi le site d’AJ (informateurs) ; ce n’est peut-être pas tant que cela une plaisanterie… La rançon du succès !?
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CROA
Oct 10, 2014 @ 2:00
Après avoir passé des chaude-pisse de daeshistes à daeshistes, elles peuvent légitimement vouloir valser à Vienne dans les bras d’un bon aryen.
C’est là l’sort de la Marine,
on acoste et on devine
que ça s’ra pas l’paradis
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Chô_Ben_Hower
Oct 9, 2014 @ 16:49
Après les 72 vierges pour les jeunes adolescents, voici le Tchétchène ou le Pakistanais pour les jeunes adolescentes et sans attendre de se faire exploser.
Ils ont toutes sortes d’experts ces criminels, experts en explosifs, experts du couteau, experts youtube et médias, psy experts en sexologie chez l’adolescent.
Un vrai fléau ces mutants fabriqués dans les labos wahhabo-sionistes.
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Marie-Christine
Oct 10, 2014 @ 9:50
Dans ce cas là, je dirais : « experts youtube et médias » ; des deux côtés et en coordination !?
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saladin
Oct 9, 2014 @ 16:36
Nouveau ! un nouveau mouvement est né en Europe, le F.A.S, Front Anti Sioniste, découvrez le site mis en ligne tout récemment, apportez vos articles et commentaires ! Rejoignez le mouvement !
http://www.frontantisioniste.hol.es/
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tolbourg
Oct 9, 2014 @ 15:50
Qu’elles crèvent.
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vénus
Oct 9, 2014 @ 16:05
Elles vont revenir avec un petit dans le tiroir. Un petit d’un salopard qui ne pourra sans doute n’être qu’un salopard, les gênes sont là.
Aie quelle misère…. … Une aussi jolie jeune fille.
A force d’entendre à la télé que Baschar est responsable elles y ont cru comme nombre d’imbéciles heureux. Et voilà le travail….
J’espère qu’au moins elles n’ont tué personne.
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Fred
Oct 9, 2014 @ 17:33
@ ces gros cons de Vénus et Tolbourg,
Tu vois connasse de Vénus(ou connard), la mauvaise foie et l’ignorance sont sont les pires armes que l’on puisse porter d’autant plus quand les intentions sont mauvaises a la base ….. tes histoires de gênes, tes histoires tout court d’ailleurs, ne les écrit pas met les simplement dans ton cul et ferme donc ta sale gueule! C’est la connerie des gens comme toi qui assassine pauvre merde …. les Pro-Assad comme les anti n’ont pas besoin de tes commentaires minables et exclamations de caissière.
Ensuite, Tolbourg, argumente, … trouduc, et souhaite plutôt la mort aux connards en costard qui organisent tout ça, plutôt qu’à leurs victimes . ça ressemblerait plus à du courage et de la liberté d’esprit …
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vénus
Oct 9, 2014 @ 17:39
? Connard toi même, bizarre d’ailleurs normalement le pseudo Fred est plutôt normal qu’est-ce à dire ? Soit tu es un bâtard et tu n’apprécie pas que je dise que les gênes de salopards vont se retrouver dans le bâtard soit t’es un tricheur, un vendu un trou duc, un con.
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vénus
Oct 9, 2014 @ 17:40
Effectivement je vois que tu as un mauvais foie, prend de l’hepatum avant qu’il n’éclate.
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vénus
Oct 9, 2014 @ 17:42
Ouais je vois que çà le Fred est un bâtard….Pas de ma faute moi.
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vénus
Oct 9, 2014 @ 17:46
En tous les cas garder cette graine là dans le ventre c’est une vipère il vaudra mieux qu’elle les fasse passer car c’est certain qu’un bâstard d’une telle vermine ne peut que se transformer en bombe plus tard et puis comment aimer ces bébés là ? Déjà pour une mère reprendre ces filles là, merci beaucoup. Je n’arrive même pas à imaginer comment çà a pu arriver, il a fallu qu’elle rencontre des hommes qui les ont fait miroiter je ne sais pas quoi ? Où alors je vais être vulgaire mais elles avaient le f….au cul.
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Dcembre
Oct 10, 2014 @ 14:53
…. c’est certain qu’un bâstard d’une telle vermine ne peut que se transformer en bombe plus tard et puis comment aimer ces bébés là ? ….venus
J’espère que vous avez eu le temps de vous calmer et de réfléchir à ce que vous avez écrit. Au nom des bébés des hommes, je vous demande de vous excuser…svp!
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Fred
Oct 9, 2014 @ 17:49
Désolé pour l’orthographe, pour le reste mange tout c’est gratuit 🙂 !
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Melia
Oct 9, 2014 @ 19:50
100% d’accord avec Venus et Tolbourg ! N’en déplaise aux idiots qui défendent ces p*tes parties en Syrie : qu’elles crèvent et leurs défenseurs avec ! Les innocents syriens n’en seront que vengés.
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Marcel
Oct 9, 2014 @ 22:20
+1 pour Vénus et tolbourg.
Ces pétasses ne méritent que des bites dans le cul, qu’elles souffrent et crèvent.
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Marcel
Oct 10, 2014 @ 10:09
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Marie-Christine
Oct 10, 2014 @ 10:12
Toujours l’extrême délicatesse de vos propos, Marcel !!!
En fait, s’il ne s’agissait pas juste d’une histoire bidonnée que l’on nous sert en pâture, histoire de nous faire gerber !!!?
Aucun reproche en l’occurrence à faire à AJ : il transmet juste l’information qui est donnée.
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Marie-Christine
Oct 10, 2014 @ 9:54
Pourquoi on n’arrive pas à faire descendre le score d’étoiles de « Fred » ? 😦
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Albert
Oct 9, 2014 @ 20:40
Et le sida aussi !
30à 40 % de sidaiques parmi ces gens. Et comme ils se montent tous dessus…
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Bernard Cuny
Oct 9, 2014 @ 23:57
Ah non vénus, pas ça, pas vous !…
Vous allez me faire douter de la Déesse de l’Amour avec un grand A…Avez-vous conscience de l’horreur de vos propos lorsque vous écrivez : « elles vont revenir avec un petit dans le tiroir. Un petit d’un salopard qui ne pourra sans doute n’être qu’un salopard, les gênes sont là » ?…Des propos dignes « du gang des barbares »…
L’utérus d’une femme est peut-être autre chose qu’un « tiroir »…Quant « aux gènes » de « salopard »…Brrr !..Cela n’est pas sans rappeler « les heures les plus sombres de notre histoire » !…
Dans une « Europe » attribuant « un grand prix de l’Euro-Vision à « une », (« un » ?) Conchita Wurtz autrichien(ne) en Transit Sexuel, expression de la domination du lobby Lesbien-Gay-Bi-Trans, on peut comprendre que nombre de jeunes filles et jeunes gens en perte de repères de conduite dans nos sociétés en marche forcée régressive vers Sodome et Gomorrhe et le Veau d’Or, se tournent vers les religions dans leurs expressions les plus radicales, pas seulement celle de l’ Islam et son Jihad, ce dernier pouvant être conçu comme un effort sur soi-même pour « plaire à Dieu », ou une activité conquérante les armes à la main…
En aucun cas, on ne saurait faire preuve de compassion envers le massacre d’innocents, en « justifiant » le massacre d’autres innocents, dans tous les sens de cette expression, comme vous le faîtes semble-t-il…
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CROA
Oct 10, 2014 @ 2:05
d’abord on dit pas « un petit dans dans le tiroir » mais « un polichinel dans le tiroir » c’est-y pas plus parlant ?
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Marie-Christine
Oct 10, 2014 @ 9:58
Oui, effectivement CROA, l’expression consacrée est bien « un polichinelle dans le tiroir ». Je me souviens que la première fois que j’ai entendu cette expression, je n’ai rien compris !!!
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Dcembre
Oct 10, 2014 @ 14:49
…. Cela n’est pas sans rappeler « les heures les plus sombres de notre histoire »
À quoi référez-vous svp?
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Bernard Cuny
Oct 10, 2014 @ 15:29
Pas nécessairement ou exclusivement à celles auxquelles font références les CRIF et Cie, les politiciens tels un Valls, et leur Doxa Médiatique propagandiste pour marginaliser toute contestation de l’Idéologie Sioniste et de sa concrétisation en Terre de Palestine…
Des heures très sombres, il y en eut de très nombreuses au cours de notre Histoire de France…
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Gilles Chapdelaine
Oct 10, 2014 @ 12:56
Propos racistes et insignifiant.
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Mil@
Oct 9, 2014 @ 16:30
C’est des gamines insouciantes! et c’est pas bien de souhaiter la mort
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Sylvain
Oct 9, 2014 @ 20:16
parce que tu crois que ces gamines, une arme dans les mains, sont des anges.
Moi aussi je suis pour « Bye,Bye » un billet Aller sans Retour
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CROA
Oct 10, 2014 @ 2:08
mais non, elles croyaient que c’était des vibromasseurs, pas des kalachnikov. Le bruit est pareil, non ?
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Estelle
Oct 9, 2014 @ 15:29
Prem’s !
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