ESCROQUERIE. Ebola: Comment l’antéchrist Barack Obama veut re-coloniser l’Afrique

Posted on Sep 8, 2014 @ 17:04

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ObamaLe président américain Barack Obama, fils d’Afrique, est le plus grand prédateur…Africain-américain mais, contre l’Afrique. Entre géopolitique et géostratégie, les Américains sautent sur tout ce qui bouge pour consolider leurs intérêts en Afrique, même sur des drames humains. Alors que le virus Ebola est en train de décimer les Africains, notamment en Afrique de l’Ouest, ce dernier a refusé que l’expérimentation d’un vaccin anti-Ebola, qui a sauvé deux Américains, soit envoyé en Afrique. Pour lui qui prend les Africains pour des guignols, il vient de décider de l’envoi de l’armée américaine. Une manoeuvre Africom (United States Africa Command) ? Sans aucun doute.

Il faut noter qu’Africom, le commandement militaire américain pour Afrique, n’a jamais eu l’aval de l’ONU et n’a même pas cherché à s’associer à l’Union Africaine avant son implantation en Afrique. C’est vrai que son siège reste toujours à Stuttgart, en Allemagne. Un impérialisme violent sans le consentement même des Africains. Africom est l’expression même de la volonté américaine d’établir des bases militaires sur ce continent, avec bien sûr en ligne de mire la sécurisation des ressources (gemmes, pétrole, gaz, etc) que regorgent l’Afrique.

Le Conseil exécutif de l’Union africaine (UA) tient ce lundi une réunion d’urgence à Addis Abeba pour discuter d’une stratégie commune face à Ebola, au lendemain de l’annonce par les Etats-Unis d’une mobilisation de leurs moyens militaires en Afrique pour lutter contre l’épidémie. L’UA discutera notamment de l’utilité des mesures de suspensions de vols et de fermetures de frontières à l’encontre des pays les plus touchés. La couardise des Africains est abyssale. Toujours à la traîne, ils attendent d’abord des initiatives extérieures…

Malgré une avancée prometteuse dans la recherche pour créer un vaccin et l’expérimentation de plusieurs traitements pour lutter contre le virus Ebola, essentiellement réservé aux Occidentaux mais pas aux Africains, les premiers remèdes ne sont pas attendus en Afrique de l’Ouest avant au mieux la fin de…l’année. Cherchez l’erreur ! Face à l’urgence de la situation, l’OMS a autorisé des « traitements à base de sang ». La fièvre hémorragique a déjà tué plus de 2000 personnes et l’ONU estime que 20 000 personnes au total pourraient être infectées. En somme, ces traitements passeront pas l’utilisation du sang des…survivants. De qui se moque-t-on ?

Le président américain Barack Obama, face à l’extrême urgence de la situation a donc annoncé dans une interview diffusée dimanche, sur la chaîne NBC News, que les Etats-Unis enverraient des moyens militaires, dont des unités de mise en quarantaine, pour aider les pays d’Afrique à lutter contre le virus. Il y a encore pourtant des Africains qui donnent du crédit à ce nègre de maison. Il renforce la présence américaine en Afrique en surfant sur un drame humain. A gerber ! Avant cette annonce, le 2 septembre dernier, Obama avait pourtant déclaré (vidéo) qu’il travaillait avec les Gouvernements nigerian, guinéen, sierra-leonnais et libérien pour tenter de trouver des solutions…Enfumage…

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