Un Algérien de 51 ans qui devait prendre l’avion pour être expulsé de France est mort jeudi soir d’une crise cardiaque survenue au cours de son transfert vers l’aéroport parisien de Roissy-Charles-de-Gaulle.
Parti à bord d’un fourgon jeudi peu avant 19 heures du Centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes, escorté par des policiers, «il a fait un malaise en arrivant à l’aéroport de Roissy», selon une source policière.
«En arrivant à Roissy, les policiers se sont aperçus qu’il était en train de faire un malaise dans le fourgon, et malgré les secours prodigués, il est décédé d’une crise cardiaque», a-t-elle précisé.
Selon les premiers éléments, le voyage s’est «semble-t-il» déroulé sans incident, selon cette source. Mais l’avocat de la victime, Me Sohil Boudjellal assure lui au contraire que le contexte de cette expulsion était «extrêmement tendu». «Il ne voulait pas se faire expulser, car toutes les voies de recours n’avaient pas été épuisées», a-t-il dit. «Le chef d’escorte, que j’ai eu au téléphone le jeudi soir, n’a rien voulu entendre et voulait quoi qu’il arrive procéder à l’expulsion. Il a été pris par la force. Il a probablement dû se débattre», a-t-il estimé. Cinq jours plus tôt, le 16 août, ce ressortissant algérien s’était très violemment opposé à une première tentative d’expulsion et avait dû être reconduit au CRA de Vincennes.
babjedid
Août 23, 2014 @ 10:32
On devrait pas y compter sur cet état voyou qui a fait des passations de consignes avec des Josefs abou al kheir .
PAIX À TON ÂME,REPOSE EN PAIX .
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Arabe
Août 22, 2014 @ 23:56
Interview d’une Pied-noire et d’un Algérien – 1961.
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lerebel
Août 22, 2014 @ 22:27
Puree l’info parle d’un homme decede sur le sol francais lors de son expulsion et vous, vous etes entrain de taper sur l’ALGERIE et son gouvernement,putain on sais tout ceci mais parlez de l’homme decede et ds quelles circonstances merde
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anitakhadafiste
Août 23, 2014 @ 10:26
absolument vous avez raison, on doit parler de l’homme décédé
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Mamane laouali chaibou
Août 22, 2014 @ 22:05
Vraiment je suis très deçu par les comportements des administrateur europens et surtout le statu europens, c’est une loi ou un loup qu’on nous applique. Ecoute moi vous avez volé nos terres que nous avons herité de nos ancetres, nos richesses et vous nous avions rendu la vie impossible. Et vous nous chassez comme des montres mais sacher qu’on est tous des humains
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Eleuthere Freeman
Août 22, 2014 @ 21:56
Ce matin, Bourdin de RMC recevait l’ineffable ministre français des affaires étranges. Un Bourdin obséquieux, peu pugnace, à la différence du « grand courage » dont il fait preuve lorsqu’il interviouve ce qu’il considère un moins « puissant », adhérait avec complaisance aux moues de ce clown gouvernemental qui ose dire, en se foutant du monde, « je me comprends », afin de ne rien expliquer, bref, le ci-devant Bourdin n’a même pas été fichu de lui rappeler les propos qu’il tenait il y a un an sur Al Nosra, ni même de réitérer avec insistance la question sur les sources de financements de ces djihadistes.
Or, dans Mediapart, Jean-Pierre Filiu, le servile habituel de Fabius, dit » ..Bachar al-Assad, confronté en mars 2011 au déclenchement d’une contestation pacifique en Syrie, va tout faire pour favoriser les djihadistes qu’il estime être, à juste titre, les pires ennemis des révolutionnaires. C’est pourquoi les services syriens libèrent des détenus djihadistes et laissent grandir le Front Nosra, qui n’est que le prolongement en territoire syrien de l’État islamique… ».
Ces deux-là, enragés contre la Syrie, ne sont plus à une contradiction près, puisque Filiu est en contradiction avec Fabius qui disait , il n’y a pas si longtemps, que Al Nosra faisait du bon boulot !!!
Il est évident que la décapitation de Foley va servir aux américains et aux Français de prétexte pour- enfin- bombarder la Syrie, ce qui les démange depuis plus d’un an ! alors que l’armée républicaine syrienne se bat depuis trois ans contre ces djihadistes dont les crimes à l’instar de celui contre Foley peuvent être cités par milliers. Mais cuex-là nont jamais ému « ces 2 bonnes consciences » .
Si Fabius est à la diplomatie ce qu’un étron est au chocolat, Filiu n’est plus à un mensonge près sur la Syrie, à croire qu’il s’est fait. « tagader », à l’insu de son plein gré, par le pouvoir syrien lorsqu’il était, il y a une quinzaine d’années, n° 2 à l’ambassade de France à Damas. Il a même affirmé, au cours d’une émission TV, il y a plus d’un an, que Al Assad s’apprêtait à commettre des attentats en France ! Alors précisément qu’il luttait contre ces barbares stipendiés par nos « alliées », ces grandes démocraties s’il en est, l’ Arabie sordide et le qatar.
Il n’est pas à exclure que ces deux pitoyables clowns intellectuels n’accusent prochainement « le régime syrien » de financer tous les djihadistes du Moyen Orient et que leur mensonge soit repris en chaîne sur les ondes nationales. Deux pauvres types. Mais ils ont encore le courage de se regarder dans la glace!
…
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Le Gardien du phare
Août 22, 2014 @ 21:31
Les Fils de la Liberté
Politique nationale et internationale
Épisode 130 : James Foley, la révolte de Ferguson et le putsch au Bloc québécois
Vidéo publiée le 21 août 2014
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Ruddy
Août 22, 2014 @ 19:10
http://sipm.fpip.over-blog.org/2014/08/securite-routiere-et-zones-de-non-droit-chasse-aux-motards-et-impunite-pour-les-delinquants.html
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Hamid
Août 22, 2014 @ 19:05
resistance mecanik : Nous savons tous que la situation est loin d’être parfaite en Algérie. Avec la réélection du Président Bouteflika, les algériens ont voulu la stabilité du pays, s’éloigner de toute menace et des luttes intestines, vivre en paix.
Comme vous ne l’ignorez pas, notre pays a payé un lourd tribut avec près de 200.000 morts dans les années 1990-1997. Le terrorisme frappait partout, sans distinction, créant un perpetuel climat de peur et d’insécurité. Les « printemps arabes » déclenchés en Tunisie, Libye, Syrie, Egypte, Yemen, avec leurs cortèges de morts et de destructions, suscitaient une véritable crainte au sein du peuple.
C’est pourquoi, pour une large partie des algériens, Mr Bouteflika était garant de l’unité du pays et de cette stabilité. Ils misaient essentiellement sur ce facteur plutôt que sur d’autres considérations, ils voulaient avant tout, comme on le dit chez nous « elhena ».
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 19:13
Quelle politique de l’UE pour favoriser une stabilité démocratique en Algérie ?
Aujourd’hui, grâce notamment à la manne pétrolière, le régime algérien semble jouir d’une grande stabilité. Mais il s’agit d’une stabilité en trompe-l’œil, car :
– la dualité du système politique (façade démocratique fictive et pouvoir réel monopolisé par les chefs du DRS), qui fonctionne depuis vingt-cinq ans, marque des signes sérieux d’épuisement : âgés respectivement de 67 et 68 ans, les généraux Mohamed Médiène et Larbi Belkheir ne parviennent pas à organiser la transition vers un nouveau système avec de nouveaux responsables ; et, du fait de leur âge, l’hyperconcentration de leur pouvoir peut, à moyen terme, conduire à de graves conflits au sein de la coupole dirigeante, source de forte déstabilisation ;
– la situation sociale est de plus en plus tendue : avec plus du quart de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté et des classes moyennes largement paupérisées (à l’exception de ceux qui ont su s’enrichir au cours de la guerre), les « émeutes de la misère » se multiplient et pourraient déboucher sur des mouvements sociaux de beaucoup plus grande ampleur ;
– les champs d’exploitation d’hydrocarbures sont parfaitement sécurisés, au point de constituer un pays à part, mais les oléoducs et gazoducs conduisant aux côtes méditerranéennes sont beaucoup plus vulnérables à d’éventuelles émeutes du désespoir plus violentes qu’aujourd’hui ;
– l’ampleur de la corruption et la dépendance totale de l’économie à l’égard des exportations d’hydrocarbures bloquent très efficacement toute possibilité d’un développement économique endogène diversifié (l’industrie est par exemple largement sinistrée).
Des lignes d’action possibles pour l’UE
Il est donc dans l’intérêt de l’UE de favoriser l’établissement en Algérie de nouveaux fondements politiques garants d’une stabilité démocratique à long terme. Cela implique d’émettre un signal clair signifiant que l’UE est pleinement disposée à considérer les forces islamistes démocratiques comme des partenaires potentiels ; d’apporter un soutien ferme aux forces progressistes (politiques, syndicales et organisations de la société civile vraiment indépendantes), islamistes comme laïques, aujourd’hui faibles et dispersées, qui tentent d’œuvrer pour la refondation d’un authentique État de droit. Outre les personnalités islamistes indépendantes, ces forces comprennent principalement : le Front des forces socialistes (présidé par Hocine Aït-Ahmed), qui prône la nécessité d’une Assemblée constituante ; la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH, présidée par l’avocat Hocine Zérouane) ; les syndicats autonomes créés ces dernières années (et non reconnus officiellement) au sein de la fonction publique (SNAPAP, CNAPES, CENS, SNPSP, etc.). Une conjonction de ces forces, aujourd’hui relativement atomisées, est possible et doit être encouragée.
Il convient également de contribuer à accroître l’espace politique de ces forces progressistes, en particulier en obtenant du gouvernement algérien de mettre fin à l’état d’urgence (en vigueur, jusqu’à ce jour, depuis février 1992) et de pleinement respecter les conventions internationales dont l’Algérie est partie, en matière de lutte contre les violations des droits humains et contre la corruption. Cela impliquerait par exemple que l’UE et ses États membres utilisent les outils juridiques à leur disposition pour amener le gouvernement algérien à mettre fin aux violations des droits humains (comme l’article 2 de l’Accord d’association UE-Algérie entré en vigueur en mars 2005 ou l’article 41.1a du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966) et aux pratiques massives de corruption qui minent toute possibilité de développement économique.
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Vanda
Août 22, 2014 @ 20:55
« L’ UE s’interroge sur comment favoriser la stabilité démocratique en Algérie ! »
J’ai envie de répondre , c’est l’hopital qui se fout de la charité ……ou mieux , c’est le lion qui s’inquiète sur la bonne santé de sa future proie .
S’agissant de l’ Algérie , je vous trouve décidément très mal inspiré , Jacques . Serait ce l’émotionnel qui nuie au discernement ?
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touri
Août 22, 2014 @ 21:12
@Jacques de Fort
Larbi Belkhir vous salue d’ outre-tombe (mort en janvier 2010 à Alger)
Quant à Mediene, il est en pré-retraite, sur une voie de garage et n’ a plus les mêmes prérogatives qu’ il y a 4 ans.
et pour compléter Vanda, l’ Algérie c’ est de l’ or, de l’ uranium, du phosphate, du pétrole, du gaz (4800 MDS de m3) + gaz de schiste (4ème au monde) + 1200 kms de côtes+ huit mois d’ ensoleillement/an= bonne humeur, blagues à profusion et donc pas ou peu d’ anti-dépresseurs. 🙂
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 21:29
Elle est pas belle la vie !!!
Sauf que tout n’est jamais aussi simple touri !!! et non : 😉
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touri
Août 23, 2014 @ 0:03
Tout n’ est jamais simple ni rose, je vous l’ accorde. La preuve, 40 millions de pauvres aux États Unis, et des sans logis qui se comptent par millions aussi.
En Algérie, on ne meure pas de faim ; 120 millions de baguettes de pain ont été malheureusement jetées en juillet 2014 (sur 4,1 milliards d’ unités achetées)
Des milliers de logements distribués tous les trimestre (merci les ouvriers chinois).
De plus en plus de franco algériens rentrent au pays et y investissent et parmi eux de jeunes footballeurs, payés entre 7000 et 40 000 Euros/mois.
Il y a même de jeunes espagnols qui travaillent au noir à l’ Ouest du pays…
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Vanda
Août 22, 2014 @ 22:06
Touri , je l’ai déjà écrit ici en forme de cadeaux aux algériens du site , mais je vais le refaire pour montrer que si tout n’est pas rose en Algérie ( que l’on me dise où tout est rose ) , il y a des préjugés qui peuvent » sauter » lorsqu’on aborde l’ Algérie ( je ne sais pas pourquoi , mais j’ai un petit faible pour votre pays dont j’ai gravi le point culminant ….ça c’est pour me vanter un peu ou beaucoup …c’est selon !)
Je suis français d’origine flamande ( ça remonte à plus de 6 siècles pensez !) et j’ai un neveu qui a épousé une française d’origine algérienne . Ce neveu était passé chez moi il n’y a pas si longtemps( 5 ou 6 ans quand même) et comme je m’intéresse beaucoup à l’ Algérie , je questionnais son épouse pour apprendre et je voyais bien que le neveu était mal à l’aise et il nous avoua que la question d’aller en Algérie le » turlupinait « . L’été 2013 , je reçois une carte postale venant d’ Algérie et c’était mon neveu qui ne tarissait pas d’éloges sur l’ Algérie parlant d’un pays du sourire et de la générosité !
Voilà , c’est dit : Sans doute , ce n’est qu’un point de vue , mais dans le concert de coups bas que l’on peut entendre ou lire sur votre pays , je pense que cela valait aussi le coup de l’écrire .
Amicalement .
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ben
Août 23, 2014 @ 10:31
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Hamid
Août 22, 2014 @ 17:43
Jacques de Fort : Je m’étais promis de ne plus lire vos commentaires, mais avec vos propos sur l’Algérie, je vous ai fait « l’honneur » de parcourir celui-ci car il concerne mon pays, et je me sens concerné au premier degré.
Le seul constat qui pourrait se faire au vu de vos piètres interventions, est celui de votre fixation et de votre aversion morbide pour tout ce qui concerne les musulmans, les arabes et les maghrébins.
Pour l’auteur de l’article, comme pour vous, l’Algérie est un pays que vous semblez méconnaitre autant qu’il vous méconnait. A l’instar de tant d’autres, vous tentez d’apporter une pierre fort appréciable à l’édifice de l’anti-algériannisme.
Avec l’election du Président Bouteflika, la page des élections a été tournée. Les enjeux de la campagne électorale vous dépassaient de très loin, et pour y être sensibilisés, encore aurait-il fallu que vous jouissiez d’une conscience suffisamment développée et affranchie de ce parasitage permanent que la haine a insufflé en vous.
Ne vous en déplaise, nous nous sommes parfaitement adaptés, depuis de longues années, à celui que l’auteur de l’article qualifie de « zombie », sans aucun respect pour le peuple algérien, qu’il soit favorable ou défavorable au Président Bouteflika.
Il ne restait plus aux ennemis de l’Algérie de se fourvoyer en vaines litanies, persuadés de nous convaincre de l’existence d’intrigues, de complots, de conspiration, au sein des élites algériennes. Mr Benflis, cité dans votre texte, avait implicitement reconnu sa défaite, car dans le cas contraire, il aurait remué ciel et terre pour le recouvrement de son « droit », celui d’être le Président du peuple algérien.
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 18:13
Il était un petit Pied-Noir
Qui logeait dans une babouche
Tous deux faisaient plaisir à voir
Marchant du matin jusqu’au soir
La babouche autour du Pied-Noir
Et le Pied-Noir dans la babouche.
La babouche un jour dit : » Pourquoi
Traîner ce Pied-Noir avec moi ?
Marcher ensemble, quel calvaire !
Il est lourd… Moi je suis légère…
S’il voulait libérer les lieux
Seule, je marcherais bien mieux « .
Dès lors, la babouche travaille
Pour blesser le pied, le tenaille,
Le comprime, fait tant d’efforts
Que le Pied-Noir ayant un cor
Et prenant brusquement la mouche
Se retire de la babouche.
Le Pied-Noir, lui, s’est retiré,
Bien sûr dans ses petits souliers,
Mais il a poursuivi sa route.
Et la plus étonnée sans doute
Fut la babouche qui n’a pas compris, mais vu
Que sans Pied-Noir, elle ne marche plus !
Chistian Vebel
Par Gribouille
Le Pèlerin
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Vanda
Août 22, 2014 @ 19:42
Jacques ,
La babouche ne se porte pas si mal sans le pied noir :
L’Algérie de 2014 c’est 38 millions d’habitants contre 10 en 1962 ,
L’Algérie de 2014 , c’est un solde migratoire positif .
l’Algérie de 2014, c’est 3% de son Pib en dette publique contre 90% à la France ,
L’ Algérie de 2014 , c’est 200 milliards de de dollars de réseves de paiement contre à peine plus d’une centaine pour la France ,
L’ Algérie de 2014 , c’est un taux de chômage qui passe doucement sous le niveau du chômage en France .
etc….
Certes tout n’est pas rose pour la babouche , mais le gros brodequin qui a accueilli le pied noir est en train de partir en guenille et s’il veut redorer sa semelle il ferait mieux de ne pas e moquer de la babouche .
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Vanda
Août 22, 2014 @ 19:48
Il faudra , Jacques , que vous m’expliquiez un jour pourquoi Cuba trouve grâce à vos yeux et au contraire vous êtes si ironique à l’égard de l’ Algérie .
Certes il y a beaucoup de différences ,mais je pense qu’entre l’ Algérie et Cuba il existe des similitudes quant au fait que ces 2 pays sont dans le collimateur de l’impérialisme et que rien que ce lien , c’est énorme .
Oui il y a des différences de société , d’histoire , de géographie , mais cette dualité dans votre approche entre les 2 pays ne sent pas bon pour moi et pour tout vous dire je soupçonne Alain Soral d’y être pour quelque chose et ce n’est vraiment pas ce que Alain soral ( que par ailleurs je trouve plutôt bon) aie fait de mieux ;
Cordialement .
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Rose des sables
Août 22, 2014 @ 21:35
Vanda
Bonsoir, Jean de fort est un pied noir sans babouche ni brodequin
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Vanda
Août 22, 2014 @ 22:18
Rose des sables , j’ai 2 amies qui étaient pieds noires ( toutes les 2 d’origine espagnoles ) :
La première m’a avoué : » Lorsqu’il y a eu l’indépendance de l’ Algérie , nous étions tristes à en mourrir car nous aimions ce pays , mais c’était la terre des algériens et nous ne pouvions faire autre chose que de la leur laisser « ;
La seconde ….pour la seconde je ne citerai pas de phrases car elle voue aux algériens( surtout les algériens vivant en France qui sont en fait des français d’origine algérienne ) une haine quasi viscérale , mais elle aussi adorait l’ Algérie .(où elle est retournée récemment et a beaucoup apprécié l’accueil reçu , mais assez bizarrement elle semble n’avoir vu que des nostalgiques de la colonisation ???)
Avec ça je ne veux pas dire grand chose ,juste peut-être que les pieds noirs ne sont pas à mettre dans le même panier même si leurs responsables font entendre un son de cloche souvent détestable .
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Rose des sables
Août 23, 2014 @ 1:50
Vanda
D’apres ce que l’on entend dire ou ce que l’on peut trouver dans certains documents,Il y avait les pieds noirs partisans de l’Algerie française et de l’oas. D’ailleurs on dit que ce sont eux qui ont fait courir l’expression » la valise ou le cercueil » la prêtant au FLN pour qu’aucun francais ne reste dans une Algerie algérienne. Même a présent, des pieds noirs de France reprochent encore aux pieds noirs d’Algerie d’être restés la-bas. Et il y a les autres qui sont partis parce qu’ils avaient peur mais qui retournent de temps en temps et il y a ceux qui ne sont jamais partis meme pendant les annees noires. Ils sont la-bas et vivent leur vie d’algériens comme leurs compatriotes et ça, moi,ça me fait chaud au cœur. Non, il ne faut pas mettre tous les pieds noirs dans le même panier. Je ne pense pas que les algeriens de cette époque soient nostalgiques de la colonisation mais plutôt des liens d’ amitiés qu’ils ont perdu avec le départ des francais. Voici un lien qui pourrait etre plus éloquent que moi car ce sont des gens qui ont vécu tout ça qui en parlent.
http://www.monde.diplomatique.fr/2008/05/DAUM/15870
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Gigelli
Août 23, 2014 @ 2:57
Vanda ;
Parmi les français d’Algérie il y a certes des Français de souche, mais ils faut dire aussi qu’il étainet très peu nombreux, la plupart d’entre eux étaient des descendants d’Alsaciens et de Lorrains qui ont préféré rester français après la défaite de 1870, le reste des Français n’était pas intéressés par la colonisation, ils étaient très bien chez eux, et n’avaient aucune raison d’émigrer, d’ailleurs les Français en général n’étaient pas du tout consultés sur les aventures coloniales de la France de l’époque, la colonisation est une entreprise purement Maçonnique, il faut le souligner.
Les Français ne se bousculant pas pour aller coloniser les terres Algériennes, les autorités de l’époque ont fait donc appel principalement à des Italiens, des espagnoles, et des Maltais, qui pour la grande majorité fuyaient la misère et l’oppression dans leurs pays respectifs, et ce à différentes périodes, entre 1870 et la deuxième guerre mondiale.
Ces derniers qui sont devenus citoyens Français, à l’instar de tous les Juifs d’Algérie après le décret Crémieux, se sont affirmé comme étant maîtres absolus et incontestés de ce pays, c’est-à-dire ils se sont emparé des terres les plus fertiles des Algériens qu’ils ont asservi, d’ailleurs ile ne les appelaient pas les Algériens, mais plutôt les Arabes, « Indigènes » ou les « Bougnoules », ces dérniers étaient des citoyens de seconde zone, et c’est de là que découlent tous les ressentiments, le mépris et la haine parfois de ce qu’on appelle aujourd’hui les « Pieds Noirs », envers les autochtones, qu´ils considéraient comme des sous –hommes, entièrement à leur disposition.
Ils leur était inconcevable de rester en Algérie au lendemain de l’indépendance, et être les égaux de ceux qu’il méprisaient tant, c’était un sacrilège pour eux de vivre au même pied d’égalité avec des êtres qu’il considéraient comme étant inférieurs.
Se sentant doublement trahis par la France, et De Gaulle pour leur avoir fait perdre ce paradis où il sont nés et où ils étaient les maîtres absolus, et pour les avoir mal accueillis lors de leur rapatriement, ils se sont installés donc pour la plupart dans le Midi, qui leur rappelait un peu leur pays perdu, et manque de pot, ils se sont trouvés en France entourés d’immigrés Maghrébins, et surtout Algériens, ce qui n’a pas apaisé leur haine envers ces gens-là xcomme ils les apellent toujours….Il ne faut pas oublier de souligner que toutes ces vagues successive d’immigration sont aussi une œuvre maçonnique.
Voilà donc les raisons principales de cette amertume qui ronge certains de ces pieds Noirs même un demi-siècle après leur départ d’Algérie.
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tarik
Août 23, 2014 @ 1:22
@Vanda
difference entre Cuba et l’Algerie
– Cuba : est restée stoique face a l’imperalisme yankée et sont plus developpés que l’algerie malgré leurs maigres ressources et l’impitoyable embargo americain
Cuba n’a pas été manger a la Table du Diable
-Algerie : pays croûlant sous la richesse, incapable de construire ne serait qu’une route , sous developpementchronique malgré le blabla que certains continuent toujours a emettre sur les sites cachant mal la mal-vie qui sevit en algerie ( si ce n’etait le cas ce monsieur décedé serait reparti vers son pays de son plein gré )
L’Algerie se noie dans le petrole mais MANQUE cruellement d’idées et D’IDEAL , collaborre activement avec l’Otan et les usa , malgré les divers dementis de toute la smala des ministres ( ex: affaire du Mali – affaire recente du crash d’avion ( incompetence totale , par manque de cadres valables pour decortiquer les boites noires ) l’algerie ETAIT et RESTE une colonie Française
bon j’arrete la liste est longue !
Non Cuba est plus digne que l’algerie et ce n’est pas le periple touristique de votre gentil neveu qui contredira ce que j’ecris !
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Rose des sables
Août 23, 2014 @ 1:59
tarik
Ça y est vous avez craché votre bile ? Vous êtes satisfait ? Tant mieux pour vous. Alors a la prochaine !
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yaz.dz
Août 23, 2014 @ 18:25
Salut Rose des sables , Tarik est une vermine qui passe sont temps a cracher sur Djazair sur X sites sociaux ..A boycotter comme les produits sioniste , ou bien du goudron et des plumes comme au temps du far-West..
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Rose des sables
Août 24, 2014 @ 11:46
Bonjour yaz.dz, on ne peut pas ne pas remarquer cet énergumène. C’est vrai que le mieux est de l’ignorer mais toute cette haine gratuite est insupportable
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Sniper
Août 23, 2014 @ 2:31
Elle te pisse à la raie l’Algérie !
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 19:55
A la demande de certains voici des babouches
S’agissant de cette paire si vous vous essayer au foot, pour vos adversaires fini les contre pied, car elle assure des déplacements éclairs,
par un procédé de réflexologie ( cartographie des énergies de la voute plantaire).
Ces babouches une fois portées c’est faire un pied de nez aux conventions ( adidas, nike, prada, converse, puma, weston, etc.)
Avec ces babouches plus personne ne vous coupera l’herbe sous le pied, vous avancez votre pied et hop! il est déjà dans la babouche.
la version chromée réflectrice de lumière, vous permet en plein soleil de garder vos pieds frais, adieu mauvaises odeurs ( n’est ce pas monsieur.. je me tais).
Vous foulerez aux pieds vos adversaires et retrouver vigueur et santé,comme tout le monde vous repartirez les pieds devant mais plus tard que les autres car dès qu’on vous proposera d’aller quelque part vous direz: » à pied ».
Avec la babouche chromée plus personne ne dira de vous « il s’habille comme un pied ».
Si vous avez les pieds sur terre nul doute que ces babouches sont faites pour vous.
Ce n’est pas le soulier de Cendrillon, ni des bottes de sept lieux, c’est une autre histoire pour trouver babouche à son pied il
faut se lever du bon pied.
Il parait que le remord c’est un coup de pied que donne l’âme, alors n’hésitez plus, pour un prix dérisoire elles sont à vous, et ne remettez pas à demain ce que vous pouvez faire avec vos pieds.
🙂
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Vénus
Août 23, 2014 @ 1:14
lol Vanda je me demande si le pied noir et son soulier n’était pas synonyme de botte allemande. L’Algérie n’était-elle pas sous le joug de la botte française.
Je ne comprend pas ces français qui pensent et sont certains que la colonisation de l’Algérie c’était apporter la civilisation, je me suis entreprise avec qqun du FN là-dessus et franchement çà me fait reculer, si l’Allemagne avait gagné la guerre aurions nous aimé être sous la botte Allemande ?
Déjà 4 ans les anciens en ont encore plein la bouche des Chleus alors………….imaginez.
Ce n’est pas en distillant toutes ces vieilles rancoeurs que le monde va aller mieux et s’apaiser bien au contraire c’est les entretenir comme toutes ces commémorations qui entretiennent l’idée de la guerre. Ces commémorations entretiennent la peur des peuples.
Il faut s’affranchir des guerres aller vers la paix, la paix sur cette belle planète.
Tout notre esprit doit tendre vers la paix, la paix avec soit avec sa famille ses amis et le monde. Eviter les querelles comme le fait si bien Poutine.
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Vanda
Août 23, 2014 @ 8:55
oui Vénus et merci pour ce beau commentaire .
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resistance mecanik
Août 22, 2014 @ 18:22
Allain Jules que je suis depuis environ plus d’un an m’a toujours semblé objectif et honnête.
Cependant, il est vrai que ça ne m’a pas du tout plu, l’insulte par rapport a la santé de notre très cher président Bouteflicka.Et par la même, envers ses électeurs. C’est un secret de polichinelle que l’Algérie est gouverne par les généraux, et qu’il y a beaucoup de népotisme. Mais ce qu’Alain n’a je pense pas saisi est que quel qu’aurait été le president , les généraux n’auraient pas pour autant lâché la prise. Donc dans ce cas, autant que ce soit Bouteflicka, au mois on le connait. D’ailleurs, j’en était même ravi. Je craignais trop le fameux printemps arabes des américains. Ré donc, pour moi ce fut un succès vu ce qui se passe ailleurs chez nos voisins.
maintenant, je voulais savoir s’il te plait Hamid, quelques exemples de la méprise de ce site pour tout ce qui est…hum,hum. Merci d’avance.
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 18:24
Dans une passionnante enquête historique, « Ni valise, ni cercueil », publiée chez Actes sud, le journaliste Pierre Daum déconstruit le mythe d’un départ de tous les Européens d’Algérie en 1962. En retraçant les parcours des pieds noirs restés dans le pays après l’indépendance, il esquisse une histoire singulière de l’Algérie algérienne.
Vous avancez dans votre ouvrage, « Ni valise, ni cercueil. Les pieds noirs restés en Algérie », le chiffre de 200.000 pieds-noirs encore présents sur le sol algérien en 1963. Pourquoi le mythe d’un départ de tous les pieds-noirs en 1962 est-il si enraciné ?
Pierre Daum. J’ai établi ce chiffre de 200.000 pieds-noirs encore présents en Algérie en janvier 1963 en confrontant plusieurs sources d’archives. Je précise que le 5 juillet 1962, jour de la fête de l’indépendance, 400.000 pieds-noirs se trouvaient encore en Algérie. Je n’ai pas voulu mettre en avant ce chiffre, car la situation à cette date était encore très confuse et tendue : c’était encore une phase de départs.
La présence de pieds-noirs dans l’Algérie indépendante est un fait historique largement ignoré depuis 50 ans. En fait, dès la fin de la guerre d’Algérie, les Français, soulagés, ont voulu tourner radicalement la page. D’où l’enfouissement brutal du passé colonial dans les mémoires. Mais surtout, depuis 50 ans, le discours médiatique sur les pieds-noirs est monopolisé par une poignée de responsables d’associations de rapatriés. Ceux-là ne sont pas du tout représentatifs de l’ensemble des pieds-noirs, car seuls les nostalgiques, héritiers des ultras de l’Algérie française, se sont véritablement organisés. Ils ne représentent pas la diversité des pieds-noirs, qui ne constituent pas du tout un groupe social et politique monolithique. Or ces responsables d’associations assènent depuis 50 ans le même discours : « Nous sommes tous partis en 1962, nous n’avions pas le choix, c’était la valise ou le cercueil ». Sous-entendu : « Nous étions tous des victimes pures et innocentes et ceux d’en face, c’est à dire le FLN, voire l’ensemble des Arabes étaient des assassins en puissance dont la seule idée fixe était de massacrer les Français jusqu’au dernier ».
Quels rôles tiennent, dans ce raisonnement, la fusillade de la rue d’Isly le 26 mars 1962 et le massacre d’Européens à Oran le 5 juillet 1962 ? En quoi ces évènements ont-ils été instrumentalisés, selon vous ?
Pierre Daum. Dans le discours de ces représentants autoproclamés des rapatriés, trois événements historiques sont sans cesse invoqués et instrumentalisés : la fusillade de la rue de Isly le 26 mars 1962, le massacre d’Européens à Oran le 5 juillet 1962 et enfin les enlèvements et assassinats d’environ 3000 Européens et Juifs.
Dans la construction de ce discours sur « la valise ou le cercueil », le massacre de la rue d’Isly a un statut un peu particulier, puisque c’est l’armée française, et non des Algériens, qui sont en cause. L’armée, dans ce discours victimaire, est accusée non seulement de ne pas avoir protégé les Européens, mais aussi de s’être en quelque sorte retournée contre eux.
Le massacre du 5 juillet à Oran est l’évènement le plus instrumentalisé. En effet, ce jour-là, une foule algérienne complètement incontrôlée s’est lancée pendant quelques heures à une chasse à l’Européen. Mais l’étude précise de ces évènements révèle que ces agissements étaient circonscrits à la ville d’Oran. Ils s’expliquent par les massacres quotidiens d’Algériens perpétrés par l’OAS pendant les six mois qui avaient précédé. l’OAS, soutenue par la population oranaise, a semé la terreur, tuant en moyenne cinq personnes par jour. Ce que les gens qui instrumentalisent cette journée oublient systématiquement de rappeler. D’autre part, ce n’est qu’une partie de la foule qui a plongé dans une hystérie meurtrière, alors que la plupart des Algériens sont rentrés chez eux. D’autres encore, et parmi eux des soldats et officiers de l’ALN, se sont organisés pour sauver les vies de dizaines d’Européens. Même ce fait-là est présenté dans les mémoires de certains pieds-noirs comme une exception miraculeuse. Dans certains récits, des Européens qui ont eu la vie sauve vont même jusqu’à oublier qu’ils ont été sauvés par des Algériens. L’instrumentalisation des événements du 5 juillet 1962 à Oran est typique : on part d’un fait très localisé, où seule une partie des Algériens s’est trouvée impliquée, pour l’extrapoler et mettre ainsi en accusation toute la population algérienne.
Au fond, vous suggérez, dans ce livre, l’idée selon laquelle de nombreux Européens ne se voyaient pas vivre dans une société non ségrégationniste, à égalité de droits avec les Algériens, sentiment qui les aurait poussé au départ…
Pierre Daum. Je ne veux surtout pas substituer un discours monolithique, caricatural et faux à un autre. Je ne prétends pas que les pieds-noirs sont tous partis par racisme. Par ailleurs, mon livre ne porte pas sur les 800.000 partis en 1962. Mon objectif n’était pas du tout de travailler sur les raisons de leurs départs. Cependant la déconstruction du discours sur « la valise ou le cercueil » crée un vide qui me conduit à dégager des pistes de recherche. Je propose de remplacer cette thèse monolithique par un éventail de raisons possibles à l’exode de 1962. Dans cet éventail, il y a en effet la peur de mourir. Il faut questionner cette peur, forcément subjective. Et il y a aussi cette question du racisme, sur laquelle il faudrait enfin travailler de façon sérieuse.
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Un passant
Août 22, 2014 @ 20:07
C’est un copié-collé datant de 2007 (paragraphe 30). Un des 2 hommes cités est décédé depuis plus de 4 ans (janvier 2010).
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Ruddy
Août 22, 2014 @ 17:42
plus de dix condamnations depuis 2000 et toujours en France ???
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Ruddy
Août 22, 2014 @ 17:39
c’est vendeur. Le citoyen lambda qui meut d’une crise cardiaque, ça ne mobilise pas les associations…
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régis
Août 22, 2014 @ 17:13
Fabius préfère les Irakiens…..chrétiens!
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Vanda
Août 22, 2014 @ 21:03
D’une part , sans doute , mais concernant la Syrie , les dirigeants occidentaux avaient fait bien peu de cas des chrétiens syriens . Mais comme les occidentaux semblent vouloir s’en prendre à leur création l’EIIL , il leur faut des raisons valables aux yeux de l’ opinion ;
Donc pas de chance pour les musulmans irakiens et les chrétiens syriens . Avec les médias occidentaux et les dirigeants politiques il faut être très réactif pour les comprendre et les suivre .
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Estelle
Août 22, 2014 @ 16:29
Quelle tristesse !
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 16:36
Élection présidentielle fictive de l’Algérie est venu et reparti. Mon dernier commentaire dans » Dead Man Walking de l’Algérie » était que les deux ou trois jours après la clôture du scrutin pourraient être décisifs. Il semble maintenant que si elles ont peut-être été, mais pour une toute autre raison.
Je parlais de ce qui pourrait arriver si le haut rival présidentielle Ali Benflis a obtenu plus de votes « vrais » que le président sortant Abdelaziz Bouteflika. Serait-il se déclarer «président élu» et de mobiliser les manifestations populaires, ou succomber, comme en 2004?
Le résultat officiel a donné 81,49 pour cent des votes qui auraient été exprimés 10468848 à Bouteflika et 12,30 pour cent à Benflis. Les chiffres sont basés sur un taux de participation 50,70 pour cent de; des chiffres qui sont, bien sûr, incroyable.
Indications, cependant, ne sont que Benflis a peut-être eu plus de votes de «vrais» que Bouteflika. Benflis se dit que seuls six millions de votes ont été enregistrés et que il a obtenu quatre millions d’entre eux. En fait, il a également dit qu’il a obtenu quelque 50 pour cent d’entre eux, ce qui ne correspond pas. Mais, les choses font rarement en Algérie. Six millions pourrait être à peu près juste, car il inclurait tous les votes frauduleux.
La plupart des partis d’opposition et les mouvements de la société civile estiment, le vrai taux de participation était d’environ 15 pour cent. Sur la feuille de route bien établie du gouvernement d’utiliser un multiplicateur triple pour masser taux de participation électorale, le vrai taux de participation serait de 16,9 pour cent.
Mais, Benflis n’a pas combattu. Outre de déclarer l’élection frauduleuse et disant qu’il ne reconnaissait pas les résultats, l’ancien premier ministre a dit qu’il allait maintenant travailler à la construction d’une coalition de l’opposition pour contester la prochaine élection, chaque fois que ce sera.
Cela ne va pas donner les camps Bouteflika nuits blanches, surtout avec Benflis devenir la cible de la colère de la rue pour avoir donné de la crédibilité de l’élection. Beaucoup voient en lui soit naïf pour penser qu’il pouvait gagner une élection qu’il savait truquées, ou un « faire-valoir » du régime. Le samedi, la politique algérienne étaient passés, dans une grande manière.
Autour de 22 heures le samedi 19 Avril, comme l’élite dirigeante célébré la réélection de leur «virtuel» ou «zombie» président, comme les médias sociaux lui a surnommé, une troupe de soldats a été de rentrer à Alger.
Certains rapports ont dit qu’ils revenaient de la sécurisation des bureaux de vote, d’autres qu’ils avaient été la recherche de militants. Près du village de Iboudraren (Tizi Ouzou province), le bus militaire a couru dans une embuscade. Selon les autorités locales, un grand groupe de «insurgés islamistes», aurait Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), a ouvert le feu sur le bus. Au moins 14 soldats ont été tués et plusieurs blessés. C’était la pire attaque contre l’armée algérienne pendant une longue période.
Si AQMI était responsable, il marque une grave escalade de «terroriste» l’activité en Algérie. Cependant, Robert Fisk The Independent, l’un des journalistes les plus expérimentés de la région, se demande si dans un article récent de l’attaque a marqué le retour de la «guerre civile» de l’Algérie des années 1990. « Est-al-Qaïda revient? » Demandé Fisk.
« Ou était – pensée hérétique -, les agents de sécurité qui opéraient au sein des mouvements rebelles islamistes, de retour au travail, l’ancien gouvernement » exterminateurs « de la guerre civile » at-il ajouté. « Serait-uns, branche secrète dangereuse de la« État profond »ont abattu propres soldats du pays à injecter crainte de nouveau dans le cœur des Algériens? »
http://www.middleeasteye.net/columns/algeria-enters-new-era-violence-
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roc
Août 22, 2014 @ 17:28
@Jacques de Fort
le raciste cherchera toujours a détourner l’attention vers un autre sujet cette mort est un crime quoi que puisse dire Jacques de Fort et la police
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 17:35
?
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 19:09
Au terme de la très longue colonisation française (1830-1962), c’est d’abord au nom du combat national que le Front de libération nationale (FLN) a engagé en 1954 la lutte armée pour l’indépendance. Celle-ci est obtenue en 1962, après sept ans d’une guerre particulièrement meurtrière (plus de 500 000 morts et 2,5 millions de personnes déplacées). Dans le régime autoritaire qui se met alors en place, si l’islam est proclamé religion d’État, le FLN, parti unique, revendique ouvertement une option « socialiste », où la religion tient peu de place dans le discours de mobilisation.
2À partir des années 1970, l’opposition nourrit sa capacité de mobilisation dans les contradictions du modèle de développement (caractérisé par la priorité accordée au secteur public, à l’industrie lourde et à une réforme agraire très volontariste) et ensuite dans le verrouillage (plus strict encore que dans la Tunisie ou le Maroc voisins) du champ politique par le parti unique. Le contrôle du parti FLN s’opérait moins toutefois par une structure partisane populaire – à l’image des partis communistes du bloc soviétique – que, de façon très centralisée, par les puissants et omniprésents services secrets de l’armée, la Sécurité militaire (SM). En 1978, à la mort du président Houari Boumediene, le système politique franchit une étape importante : les centres de pouvoir de l’armée ne parvenant pas à s’entendre sur la désignation d’un successeur, ils nomment à la tête de l’État un homme écran (le colonel Chadli Bendjedid). Ainsi s’instaure une dichotomie entre le titulaire formel du pouvoir institutionnel et les décideurs militaires de l’arrière-scène, détenteurs du pouvoir réel.
Un régime militaire à façade civile
3Ce dualisme reste jusqu’à ce jour une clef de lecture essentielle du système politique algérien. Depuis, chaque chef de l’État « élu » a certes tenté de reprendre une part du pouvoir aux militaires. Mais à ce jour, aucun n’y est parvenu. Et, depuis 1990, l’emprise des services secrets de l’armée, le Département de renseignement et de sécurité (DRS, nouvelle appellation de la SM), n’a cessé de s’accentuer, jusqu’à devenir hégémonique au sein du pouvoir réel. Le blocage progressif du système a en effet débouché, au mois de janvier 1992, sur un coup d’État militaire et sur une guerre civile sanglante (200 000 morts), marquée par des formes inédites de terrorisme d’État, méthodiquement organisées, dans le plus grand secret, par les chefs du DRS. Conjointement, ces derniers ont conduit avec succès une politique de désinformation systématique, à l’échelle nationale et internationale, visant à attribuer ces violences exclusivement à l’« intégrisme islamique ». Les effets de cette double politique (terrorisme d’État et désinformation) continuent aujourd’hui à structurer les principales dynamiques politiques algériennes.
4Derrière la façade civile dirigée par le président Abdelaziz Bouteflika (élu en 1999 et réélu en 2004), le véritable maître du pouvoir est désormais le général Mohamed Médiène, dit « Tewfik », chef du DRS depuis septembre 1990. Avec ses alliés civils et militaires, il contrôle totalement la scène politique, l’activité économique et l’administration. Surtout, il contrôle les puissants circuits de corruption nourris par la rente pétrolière et gazière : la maîtrise de ces circuits constitue le cœur même et la raison d’être du pouvoir occulte des « décideurs » militaires.
5Ce n’est que dans ce cadre historique que peuvent être comprises les formes et les évolutions très particulières qu’ont connues les mouvements politiques islamistes en Algérie, depuis leur apparition dans les années 1980. Auparavant, leur expression était rigoureusement interdite : le pouvoir contrôlait toute opposition grâce à une politique de redistribution des revenus pétroliers assurant plus ou moins la paix sociale, mais aussi par une répression sophistiquée et par un encadrement rigoureux de l’islam, dont les structures proprement religieuses étaient domestiquées selon des méthodes directement inspirées de celles du colonisateur français.
L’« ouverture » politique des années 1989-1991
6Au début des années 1980, dans une conjoncture économique difficile (reflux des cours du pétrole, échec évident du modèle industriel), le président Bendjedid lance une politique de libéralisation économique. En octobre 1988, les tensions sociales et les divisions internes du pouvoir se traduisent par de violentes émeutes populaires. Avant de les réprimer très violemment (au prix de 500 morts), un clan du pouvoir les encourage, espérant en faire une arme contre ses concurrents. En février 1989, une Constitution relativement pluraliste est adoptée, scellant la fin du régime de parti unique. En ouvrant la scène politique légale à toutes les forces politiques, les différents clans du pouvoir militaire prennent acte de l’épuisement du modèle antérieur. Et ils font le pari qu’un tournant plus libéral, sur le plan politique comme sur le plan économique, sera plus favorable au développement de leurs filières d’enrichissement illégal. Mais il s’agit d’une ouverture « contrôlée » : les « décideurs » comptent toujours sur la puissance intouchée de la Sécurité militaire pour maîtriser le champ politique.
anneemaghreb.revues.org/411
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Estelle
Août 22, 2014 @ 16:17
Prem’s !
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 16:24
Des hommes armés ont ouvert le feu sur des fidèles lors de la prière du vendredi dans une mosquée sunnite dans la ville de l’Imam Wais, au nord-est de Bagdad, tuant au moins 68 personnes, a rapporté Reuters.
Comptes de l’attaque, qui a également blessé des dizaines, fortement varié, avec des sources de blâmer miliciens chiites et d’autres pointant vers des militants de l’État islamique (IS), un groupe militant sunnite.
Un résident de la ville dit que l’attaque a été menée par des miliciens chiites en représailles pour un attentat à la bombe qui a frappé un de leurs patrouilles, un compte sauvegardés par MP Nahida al-Daini.
Mais un capitaine de l’armée et un agent de police dit que l’attaque était l’œuvre de quatre militants EST – un kamikaze qui a fait exploser à l’intérieur de la mosquée et trois hommes armés qui ont tiré sur les fidèles fuyant.
EST militants le fer de lance d’une offensive des insurgés de balayage qui a été lancé en Juin et a depuis de vastes zones de dépassement de cinq provinces.
La première attaque a balayé les forces de sécurité de côté, et le gouvernement a répondu en se tournant vers miliciens chiites, il a combattu au cours des dernières années pour renforcer ses troupes sous pavillon de complaisance.
http://www.middleeasteye.net/news/breaking-gunmen-kill-least-32-attack-
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eclaireur-citoyen
Août 22, 2014 @ 16:41
On peut difficilement prévenir et éviter ce genre d’attaque qui peuvent être perpétrées par un individu isolé.
C’est d’ailleurs mentionné dans les protocoles de Sion… » l’homme seul est le plus redoutable » En effet, s’il ne fait partie d’aucune organisation, impossible d’intercepter la moindre des décisions qu’il prendra de lui même.
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 16:45
Indépendamment de la façon dont on se sent sur la direction prise par diverses révolutions arabes dans les trois dernières années, quelques faits demeurent incontestables. Révoltes arabes a commencé dans les rues de villes arabes, désespérés pauvres, et les Arabes avait parfaitement le droit de se rebeller compte tenu de la situation lamentable dans laquelle ils vivent.
Peu en désaccord avec ces deux notions. Cependant, la querelle, en partie, est préoccupé par l’analyse coûts-avantages de certains de ces révolutions, la Syrie étant le premier exemple. Est-il utile de détruire un pays, à plusieurs reprises et victimiser millions de parvenir à un avenir démocratique incertain?
Le coût pour l’Egypte a été élevé ainsi, mais pas aussi élevé par rapport à la Syrie. Le casse-tête que les Egyptiens ont été contraints de composer avec est celui de la « stabilité » – basé sur le même vieux paradigme des élites puissantes et un combat à la majorité des miettes pour survivre sur – par rapport à « l’instabilité » dans un système relativement démocratique.
Bien que l’on doit insister sur l’appréciation du caractère unique de chaque expérience collective arabe, on peut difficilement nier les parallèles qui ont commencé à émerger au cours des mois et des années.
Liens historiques, religieux, culturels et linguistiques réunissent des millions d’Arabes, même si ce n’est à un niveau émotionnel, et ils font partie de la similitude entre les différentes expériences arabes. Mais l’autre partie qui importe aussi, et qui a à voir avec les stratégies comparables appliquées par les gouvernements arabes pour contrôler leurs peuples – la manipulation psychologique, l’escalade de la peur, le degré intense de la violence et de l’oppression, de la volonté d’aller jusqu’au bout pour s’assurer totale contrôle, et ainsi de suite. Il ya eu d’autres exemples de cette répression dans les trois dernières années qu’il n’y en a eu depuis des décennies. Le printemps soi-disant arabe s’est transformé en un modèle de la violence d’Etat sans égal dans l’histoire arabe moderne.
Alors que pour les journalistes et reporters, l’histoire laisse perplexe et trop impliqué pour expliquer avec un certain degré d’intégrité intellectuelle, les historiens futurs sont susceptibles d’avoir moins de difficulté à déchiffrer les événements apparemment stupéfiante. Certains d’entre nous ont écrit avec une mesure de clarté dès les premières années des révolutions, avertissant de la possibilité de mélanger les récits complexes à partir de la Tunisie et du Maroc au Yémen et à Bahreïn. Nous prétendions que si le «printemps arabe» devait être un triomphe de tout type, cela voudrait dire qu’il a ramené le facteur «peuple» à l’équation politique du Moyen-Orient, qui a été constamment dominé par deux concurrents, et parfois harmonieuses les parties: la section locale, les élites au pouvoir et les puissances étrangères régionales et internationales.
Certes, le «peuple» étaient enfin de retour en tant que partie intégrante de cette équation, mais que seul ne suffit pas à garantir que la roue de l’histoire ne commence à tourner dans la direction souhaitée, basée sur une vitesse préférée. Il signifiait simplement que la nature future des conflits au Moyen-Orient et Afrique du Nord serait plus multiforme que jamais.
D’un point de vue historique, le conflit actuel au Moyen-Orient – la guerre dévastatrice en Syrie, le chaos et les coups récurrents en Libye, la poussée et de traction impliquant l’armée en Egypte et l’état de pagaille au Yémen, etc – sont pas dans les résultats les moins imprévus d’une conversion historique sans précédent dans une région associée à la stagnation sans espoir.
Mais les historiens ont l’avantage de temps. Ils peuvent s’asseoir dans leurs bureaux solitaires et de réfléchir sur des phénomènes importants, de comparer et de contraste à leur guise et ne considèrent leurs conclusions comme grave lorsque le temps témoigne de leurs réalisations académiques.
http://www.middleeasteye.net/columns/lost-voices-arab-revolutions-
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Jacques de Fort
Août 22, 2014 @ 16:46
D’un point de vue historique, le conflit actuel au Moyen-Orient – la guerre dévastatrice en Syrie, le chaos et les coups récurrents en Libye, la poussée et de traction impliquant l’armée en Egypte et l’état de pagaille au Yémen, etc – sont pas dans les résultats les moins imprévus d’une conversion historique sans précédent dans une région associée à la stagnation sans espoir.
Mais les historiens ont l’avantage de temps. Ils peuvent s’asseoir dans leurs bureaux solitaires et de réfléchir sur des phénomènes importants, de comparer et de contraste à leur guise et ne considèrent leurs conclusions comme grave lorsque le temps témoigne de leurs réalisations académiques.
Reporters sur le terrain et commentateurs de médias ont à peine cet effet de levier. Ils sont obligés de réagir instantanément aux événements en développement, et d’en tirer rapidement des conclusions. Compte tenu du manque de profondeur et de compréhension du Moyen-Orient que de nombreux journalistes occidentaux devait commencer – leurs intérêts dans la région ont été la plupart du temps augmentée et entouré par l’intervention américano-occidentale en Irak et ailleurs – des rapports sur le «printemps arabe» a été grandement défaut , sinon parfois carrément embarrassant.
Certes, de nombreux journalistes ont convenu que tout a commencé quand un vendeur de rue tunisien désespéré, Mohamed Bouazizi, s’est immolé le 17 Décembre, 2010, ce qui aurait pu être le début d’une discussion intelligente si elle avait été associée à une compréhension authentique de la culture arabe, langue, l’histoire et les dynamiques politiques propres à chaque société. Malheureusement, il y avait peu de cela.
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roc
Août 24, 2014 @ 21:38
insupportable et illisible ;
il vas vraiment falloir limiter les commentaires a 10 ou 15 ligne pour éviter a certain de noyer le poisson .et a faire concis
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Amazigh__
Août 22, 2014 @ 17:23
Les sunnites wahabites (et ils sont plus nombreux qu’on ne le pense, puisque beaucoup n’en sont même pas conscient) considèrent les « chiites plus dangereux que les sionistes ». Dixit Qaradaoui et bien d’autres. Et les connaissant et connaissant le peu de cas qu’ils ont pour la vie ne serait-ce que des leurs, je ne serais pas surpris que ce soit des sunnites qui ont zigouiller d’autres sunnites juste pour accuser les chiites…
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Vanda
Août 22, 2014 @ 21:08
Et un petit coup de sunnite contre chiite ….pour alimenter la querelle . Les bleus contre les rouges comme le dit si bien Dieudonné .
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Amazigh__
Août 23, 2014 @ 0:50
ce n’est pas en faisant comme si ca n’existait pas que les choses changerons… du coup moi qui suit du coté sunnite culturellement (le mauvais malheureusement) je suis d’autant à l’aise pour le dire…
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