L’armée ukrainienne a annoncé jeudi qu’elle suspendait pour une journée son offensive contre les séparatistes prorusses dans l’Est à la demande du secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon afin de laisser les experts internationaux accéder au site du crash du MH17.
Dans le même temps, on a appris que la junte de Kiev avait recruté de nombreuses mercenaires en provenance de plusieurs pays dont les Etats-Unis et le…Soudan. En effet, des Britanniques d’origine soudanaise ont été tués par les milices du Donbass. Sur eux, leurs passeports et les visas…ukrainiens. (photo en dessous). Ce sont quatre noirs, des mercenaires ukrainiens, supposés être des américains, qui ont donc été tués lors d’un combat à Doubrovka.
Fait marquant voire étonnant du jour, c’est la base centrale en logistique de la Garde Nationale (composé pour la plupart des membres du Secteur droit), qui a signé un contrat avec la société… russe Kamaz, pour l’achat de 29 camions pour la somme de 27,7 millions hryvnia (1,8 millions d’euros). Selon les rapports des médias ukrainiens, ce contrat d’urgence a été fait dans le cadre de la mobilisation en Ukraine et les camions seront utilisés dans la zone de combats en Donbass pour les besoins de la Garde Nationale.
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On a aussi appris la mort d’un instructeur américain dans la mer Azov à Mariupol. L’information est à confirmer. Néanmoins, ce groupe d’Américains composés d’à peu près 180 hommes est arrivé récemment en Ukraine. En pleine baignade, il a été abattu par la balle d’un sniper. C’est le troisième instructeur américain tué à Mariupol. Deux conseillers américains avaient déjà été abattus à Mariupol le 24 Juillet dernier.
Ces pertes inattendues ont conduit au fait que la moitié des conseillers ont déjà demandé de les faire revenir, et les autres ont convenu de poursuivre leurs missions que loin des lignes de front.
fredo
Août 1, 2014 @ 11:31
massacres en Ukraine.
ce que révèlent les documents secrets du président porochenko
http://reseauinternational.net/massacres-en-ukraine-ce-revelent-les-documents-secrets-du-president-porochenko/
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nanar
Août 1, 2014 @ 11:23
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bb
Août 1, 2014 @ 11:42
Pourriture de nazi. Comme au Rwanda et la radio des milles collines.
Journaliste ukrainien: « Il faut tuer les habitants inutiles du Donbass »
http://fr.ria.ru/world/20140801/202006519.html
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nanar
Août 1, 2014 @ 11:16
https://twitter.com/Karla_Tango/status/494984254586355712
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bb
Août 1, 2014 @ 9:31
Très gros bombardement hier sur le centre ville de Torez (à coté du lieu du crash). Il y aurait de nombreux mort. Pas encore d’image suite à une erreur de publication de la vidéo.
https://twitter.com/Truth_Seeker_11/status/494949473597259776
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Sylvain
Août 1, 2014 @ 8:55
Ukraine: 20 soldats tués sous les tirs rebelles
Par Lefigaro.fr avec Reuters
Mis à jour le 01/08/2014 à 08:28
Publié le 01/08/2014 à 08:25
Vingt soldats ukrainiens ont été tués dans une attaque menée par les rebelles pro-russes dans l’est du pays cette nuit.
De source militaire, on précise que des vérifications sont en cours. Une unité de parachutistes a bien été visée par une attaque au mortier, mais le bilan devrait être moins lourd, a déclaré un responsable militaire.
L’attaque s’est produite près de la ville de Chakhtarsk, dans le secteur où le vol MH17 de la Malaysia Airlines a été abattu le 17 juillet dernier.
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Fureteur
Août 1, 2014 @ 0:08
MH 17 : UN REBONDISSEMENT ?
Les preuves d’une attaque du MH 17 par un SU-25 s’accumulent:
http://www.vineyardsaker.fr/2014/07/31/mh-17-un-rebondissement/
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bb
Juil 31, 2014 @ 22:15
Kiev maintient la pression sur Donetsk
http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-kiev-maintient-la-pression-sur-donetsk
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edmond
Juil 31, 2014 @ 21:55
Pour le feu d’artifice final…il faut que les Perses aient la bombe de chez bombasse….
de maniere a vitrifier ISRAHELL…de maniere..nanometrique…….!
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Jacques de fort
Juil 31, 2014 @ 21:26
On y est ! La Chine en a assez. Les gants (diplomatiques) sont jetés. Il est temps de construire un monde « désaméricanisé ». Il est temps qu’une « nouvelle devise de réserve internationale » remplace le dollar US.
Tout est là, dans un article de Xinhua, sorti directement de la bouche du dragon. Et nous ne sommes qu’en 2013. Attachez vos ceintures ! Et cela s’applique spécialement pour les élites de Washington. Cette chevauchée va être mouvementée.
Comme elle est bien loin l’époque de Deng Xiaoping où la Chine « gardait un profil bas » ! L’éditorial de Xinhua résume la goutte d’eau qui a fait déborder le vase du dragon – le blocage actuel du gouvernement américain, le « shutdown ». Après la crise financière provoquée par Wall Street, après la guerre d’Irak, un « monde confus », et pas seulement la Chine, veut le changement.
Le paragraphe suivant ne pourrait être plus explicite :
Au lieu d’honorer ses obligations en tant puissance dominante responsable, Washington, qui ne se préoccupe que de ses intérêts, a abusé de son statut de superpuissance et introduit encore plus de chaos dans le monde en déplaçant les risques financiers vers l’étranger, en incitant les tensions régionales au beau milieu de disputes territoriales, et en livrant des guerres injustifiées à la faveur de mensonges invétérés.
La solution pour Pékin est de « désaméricaniser » les rapports géopolitiques actuels – à commencer par hausser le ton au Fonds Monétaire International et à la Banque Mondiale pour les économies émergentes et le monde en voie de développement, en conduisant à une « nouvelle devise de réserve internationale qui sera créée pour remplacer le dollar US dominant ».
Notez que Pékin ne propose pas de démanteler complètement le système de Bretton Woods – du moins pour l’instant, mais c’est pour avoir plus de pouvoir de décision. Cela semble raisonnable si l’on considère que la Chine détient un poids légèrement supérieur à celui de l’Italie au sein du FMI. La « réforme » – au sens large – du FMI est en cours depuis 2010, mais Washington, et ce n’est pas surprenant, a opposé son veto à tout ce qui pourrait avoir une portée substantielle.
Quant à la manouvre pour s’éloigner du dollar US, elle a déjà commencé, à divers degrés de vitesse, en particulier en ce qui concerne les échanges entre les pays qui forment le BRICA, le groupe des puissances émergentes (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), qui se font dans leurs devises respectives. Le dollar US est en train d’être remplacé, lentement mais sûrement, par un panier de devises.
La « désaméricanisation » est également en route. Prenez l’offensive de charme commerciale de la semaine dernière par la Chine dans tout le Sud-Est asiatique, lequel tend précisément à encore plus d’action avec son premier partenaire, la Chine. Le Président Xi Jinping a conclu tout un éventail de contrats avec l’Indonésie, la Malaisie et aussi l’Australie, une semaine seulement après avoir conclu une autre gamme de contrats avec les « stans » d’Asie Centrale.
L’engagement de la Chine à améliorer la Route de la Soie sur rail était à son comble, avec les actions des compagnies chinoises de chemin de fer qui crevaient le plafond à la perspective d’un tronçon à grande vitesse, en cours de matérialisation, qui relierait la Thaïlande et la traverserait. Au Vietnam, le Premier ministre chinois Li Keqiang a conclu un protocole d’accord selon lequel les querelles frontalières entre les deux pays dans le Sud de la Mer de Chine n’interfèreraient pas avec le business toujours en augmentation. Bonjour le « pivot » asiatique !
Tous à bord du pétroyuan
Tout le monde sait que Pékin détient des montagnes de bons du Trésor américains – grâce à ses excédents commerciaux massifs accumulés au cours des trois dernières décennies, plus une politique officielle laissant le yuan s’apprécier, très lentement mais sûrement.
En même temps, Pékin agissait. Le yuan devient également, lentement mais sûrement, plus convertible sur les marchés internationaux. (Rien que la semaine dernière, la Banque centrale européenne et la Banque populaire de Chine ont passé un accord pour mettre en place une ligne d’échange entre leurs devises d’un montant de 45 à 57 milliards de dollars, qui viendra s’ajouter à la solidité internationale du yuan et améliorera l’accès aux échanges financiers dans la zone euro.)
La date officieuse pour une convertibilité complète du yuan pourrait arriver à tout moment entre 2017 et 2020. L’objectif est clair : s’éloigner de la dette US qui s’accumule, qui implique, à long terme, que Pékin se retire de ce marché – rendant ainsi plus coûteux pour les Etats-Unis d’emprunter. La direction collective à Pékin a déjà pris sa décision et agit en conséquence.
Le mouvement vers un yuan entièrement convertible est aussi inexorable que le mouvement des BRICA vers un panier de devises qui remplacera progressivement le dollar US comme devise de réserve. Jusqu’à ce que, un peu plus loin dans cette voie, le véritable évènement cataclysmique se matérialise : l’apparition du pétroyuan – destiné à surpasser le pétrodollar une fois que les pétromonarchies du Golfe verront dans quel sens tourne le vent de l’Histoire. Ensuite, nous entrerons dans un match géopolitique complètement différent.
Nous en sommes peut-être encore loin, mais ce qui est certain est que la fameuse série d’instructions de Deng Xiaoping est progressivement abandonnée ; « Observer calmement ; sécuriser notre position ; s’occuper des affaires avec calme ; cacher nos capacités et attendre le bon moment ; maintenir un profil bas avec dextérité ; et ne jamais revendiquer le leadership ».
Un mélange de prudence et de tromperie, fondé sur la confiance historique de la Chine en elle-même et prenant en considération une sérieuse ambition à long terme. Du Sun Tzu pur jus. Jusqu’à présent, Pékin gardait un profil bas, laissant l’adversaire commettre des erreurs fatales (et quelle collection d’erreurs totalisant plusieurs billions de dollars !.), en accumulant du « capital ».
Le temps de capitaliser est maintenant venu. Dès 2009, après la crise financière provoquée par Wall Street, il se murmurait déjà en Chine que le « modèle occidental était défaillant » et en fin de compte que la « culture occidentale l’était aussi ».
Pékin a écouté Bob Dylan (avec des sous-titres en mandarin ?) et a conclu que oui, the times they-are-a-changing, les temps changent. En l’absence de progrès politique, économique et social prévisible – l’arrêt du gouvernement US est une autre illustration explicite, s’il en fallait une -, le déclin des Etats-Unis est aussi inexorable que la Chine, petit à petit, déploie ses ailes pour maîtriser la post-modernité du XXIe siècle.
Ne vous y trompez pas, les élites de Washington la combattront comme la pire des pestes. Néanmoins, l’intuition d’Antonio Gramsci doit être révisée : l’ancien ordre est mort et le nouvel ordre a franchi un nouvelle étape vers sa naissance.
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Jacques de fort
Juil 31, 2014 @ 21:24
Allons droit au but ! Comme dans une course à la collection d’été de Zara, comprenant des fusils d’assaut ultramodernes, des baskets Nike blanches dernier cri et les toutes nouvelles Toyota à kilométrage illimité traversant le désert irako-syrien. J’ai nommé : les grands méchants Djihadistes en noir.
Il était une fois (tout récemment), un gouvernement aux Etats-Unis qui n’aidait que les « bons terroristes » (en Syrie) et non pas les « mauvais terroristes ». Ça rappelle une époque (moins récente) où il ne soutenait que les « bons Talibans » et non les « mauvais Talibans ».
Alors, que se passe-t-il lorsque les soi-disant « experts » de la Brookings Intitution commencent à déblatérer en disant que l’Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL) est vraiment la pire formation djihadiste de la planète (après tout, ils ont été chassés d’al-Qaïda) ? Sont-ils si méchants qu’en toute logique tordue, la langue de bois dit qu’ils sont maintenant devenus la nouvelle norme ?
Depuis la fin de l’année dernière, toujours dans la langue de bois du gouvernement américain, les « bons terroristes » en Syrie sont cette bande, dérivée d’al-Qaïda, du Jabhat al-Nosra et du Prince (tombé en disgrâce) Bandar ben Sultan, alias Bandar Bush, le Front Islamique (essentiellement un réseau à filiales multiples de Jabhat al-Nosra). Et pourtant, le Jabhat et l’EIIL avaient fait allégeance au « bon docteur » Ayman al-Zawahri, le sempiternel talent qui n’arrête pas de produire des capos d’al-Qaïda.
Cela ne répond toujours pas à la question suivante : que sont vraiment en train de faire les Hommes en Noir de l’EIIL, ces membres de sections d’assaut coupeurs de têtes et soucieux de défiler impeccablement en passant pour un assortiment de Sunnites tribaux pur et durs et de « vestiges » du parti Baas (vous rappelez-vous Rumsfeld en 2003 ?).
Nous interrompons ce défilé de mode pour annoncer qu’ils n’envahiront PAS Bagdad. D’un autre côté, ils sont très occupés à accélérer la balkanisation – et finalement la partition – de la Syrie et de l’Irak. Ce ne sont PAS des rejetons de la CIA (comment se fait-il que Langley n’y ait pas pensé ?), ce sont en fait les enfants bâtards nés des largesses de Bandar Bush (tombé en disgrâce).
Le fait que l’EIIL ne fasse PAS directement partie des effectifs de Langley n’implique pas que leur programme stratégique diffère radicalement de celui de l’Empire du Chaos. L’administration Obama peut bien envoyer quelques Marines pour protéger les piscines de la plus grande ambassade de la planète, à la dimension du Vatican, plus quelques « conseillers militaires » pour « ré-entraîner » l’armée irakienne en dissolution. Mais c’est une goutte de Coca Zéro dans le désert irakien occidental. Rien n’indique qu’Obama s’apprête à autoriser un « soutien cinétique » contre l’EIIL, même si Bagdad a déjà donné son feu vert.
Et même si Obama choisissait l’option balistique (une « action militaire ciblée »), et/ou fabriquait une nouvelle liste de personnes à éliminer qui serait établie par ses drones, ce ne serait guère plus qu’une petite diversion. Ce qui importe est que le programme convergent EIIL/Washington reste le même : se débarrasser du Premier ministre al-Maliki (non pas par accident, comme le chantent en chour les médias dominants américains), réduire l’influence économique et politique que l’Iran exerce sur l’Irak, effacer une fois pour toutes Sykes-Picot et promouvoir « l’accouchement dans la douleur » (vous vous souvenez de Condi ?) de vastes terres désertiques contournant le pouvoir central et dirigées par des Sunnites tribaux pur et durs.
Pour l’Empire du Chaos, l’EIIL est l’agent provocateur qui est tombé du ciel (d’Allah ?) ; le parfait instrument encagoulé pour maintenir la Guerre Mondiale contre le Terrorisme (GMT) en mode Enduring Freedom Forever [opération « Liberté Immuable » éternelle].
La cerise (pourrie) sur le gâteau est que la Maison des Saoud a officiellement nié soutenir l’EIIL. Cela veut évidemment dire que c’est vrai, même par-dessus la carcasse de Bandar Bush. Selon le récit de la Maison des Thani [Qatar] et de la Maison des Saoud à propos de l’EIIL, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe en Irak. Tout est organisé par les « vestiges » baasistes.
Apportez plus de changement de régime
Regardons maintenant les choses sous l’angle iranien englobant tout, parce que tout ce théâtre, comme d’habitude, concerne surtout « l’endiguement » de l’Iran. Tout ce qui est nécessaire est de lire jusqu’au bout [l’article de Michael Doran et de Max Boot dans le Washington Post, The United States should not cooperate with Iran on Iraq (Les Etats-Unis ne devraient pas coopérer avec l’Iran à propos de l’Irak) ]: la même vieille rengaine sur la « preuve » que « l’Iran et ses alliés syriens » ont coopéré avec l’EIIL. Et n’oubliez pas cet alarmisme : ce qui nous attend est un « Iran nucléaire » contre un « monde arabe sunnite » dans lequel le grand croquemitaine reste al-Qaïda.
La propagande des néocons dénonçant le gouvernement américain qui fricoterait avec Téhéran contre l’EILL est, une fois encore, de la désinformation.
Le commandant du Bassidj (la force de résistance) iranien, le Général General Mohammed Reza Naqudi, était très proche de la vérité lorsqu’il a dit, « Les groupes takfiris et salafistes de différents Etats de la région, en particulier en Syrie et en Irak, sont soutenus par les Etats-Unis », et que « les Etats-Unis manipulent les terroristes takfiris pour ternir l’image de l’Islam et des Musulmans ». La même chose s’applique au président du Majlis (le parlement iranien), Ali Larijani : « Il est évident que les Américains et les pays de son entourage ont effectué de telles manouvres [.] Le terrorisme a grandi pour devenir un instrument des grandes puissances en vue de faire avancer leurs objectifs ».
Ce que tout cela implique est que Téhéran a identifié le défilé-parade de l’EIIL pour ce qu’il est : un piège. En outre, ils sont également convaincus que Washington ne rompra pas avec ses vassaux de la Maison des Saoud. Comprendre : Washington reste engagée dans la vieille école de la GMT. De son côté, Téhéran, en pratique, soutient déjà – aussi avec des « conseillers » sur le terrain – une myriade de milices chiites qui sont en cours de déploiement pour sécuriser Bagdad et en particulier les villes saintes chiites, Nadjaf et Karbala.
En attendant, les morts-vivants néocons qui sont de retour aux Etats-Unis insistent pour régurgiter leur thème favori : Maliki, Maliki, Maliki. Rien de ce qui se déroule en Irak n’a quelque chose à voir avec Choc et Effroi (>Shock and Awe), avec l’invasion, l’occupation et la destruction de presque tout le pays, Abou Ghraib, ou la violente guerre sectaire à l’instigation de Washington (Diviser pour Régner, encore et toujours). C’est la faute de Maliki. Par conséquent, il faut le chasser. Lorsque tout rate – pour un coût de plusieurs milliers de milliards de dollars – le répertoire des tactiques des néocons se réinitialise par défaut : changement de régime.
Nonchalamment vers un Sunnistan pur et dur
Tout ce qui se rapporte au dirigeant de l’EIIL est très, très louche. Abou Bakr al-Baghdadi, alias Abou Dua, né à Samarra (Irak) en 1971, est un « vestige » de Saddam mais, ce qui est le plus important, il est un ancien prisonnier du gouvernement américain à Camp Bocca, de 2005 à 2009, de même qu’un ancien chef d’al-Qaïda en Irak. Ce n’est un secret pour personne dans le Levant que les Hommes en Noir de l’EIIL ont été formés en 2012 par des instructeurs américains dans une base secrète située à Safawi, dans le désert septentrional de cette fiction déguisé en pays, la Jordanie, afin qu’ils puissent plus tard combattre en Syrie en tant que « rebelles » approuvés par l’Occident.
Ce fut al-Baghdadi qui envoya en Syrie un contingent d’Hommes en Noir établir le Jabhat al-Nosra (les « bons terroristes », vous vous souvenez ?). Il a peut-être quitté le Jabhat à la fin de 2013, mais il a toujours en charge une vaste étendue désertique qui s’étend du nord de la Syrie à l’ouest de l’Irak. Il est le nouvel Oussama ben Laden (le très talentueux qui continue, toujours, de produire des capos), l’Emir quasi-assuré d’un califat désertique islamiquement correct au cour du Levant.
Oubliez Oussama dans l’Hindou-Kouch, la nouvelle version est tellement plus sexy
Un Sunnistan pur et dur entre le nord de l’Irak kurde et le sud chiite, nageant dans le pétrole, s’étendant jusqu’à Alep, Raqqa et Deir ez-Zor en Syrie, entre les deux fleuves – le Tigre et l’Euphrate – et Mossoul pour capitale, retrouvant ainsi son rôle ancestral de pivot entre les deux fleuves et la Méditerranée. Sykes-Picot, souffrez en silence !
Il est évident qu’al-Bagdadi n’aurait pas pu réaliser cette impressionnante prouesse tout seul. Entre en scène son acolyte, un « vestige » de premier choix de Saddam, le théoricien extraordinaire du parti Baas, Izzaat Ibrahim al-Douri, qui se trouve être originaire de la ville stratégique de Mossoul. Et surtout, arrive le Conseil Militaire Général des Révolutionnaires irakiens – une organisation redoutablement « secrète » qui a eu l’astuce de dribbler, à l’instar d’une sorte d’hybride de Lionel Messi et de Luiz Suarez, tout l’appareil des services de renseignements occidentaux, y compris l’orwellienne-panoptique NSA.
Eh bien, pas vraiment ! Parce que cette coalition EIIL/baasiste des bonnes volontés a été négociée par nul autre que Bandar Bush, lorsqu’il était encore actif, avec l’aide cruciale et latérale du Premier ministre turc Erdogan. Impossible de retracer tout ça jusqu’à Washington.
Ce que le Conseil Militaire Général est parvenu à assembler n’était rien de moins que les « vestiges » de la bonne vieille résistance irakienne du début des années 2000, les chefs tribaux de premier rang, fusionnant avec l’EIIL, et créant ce qui pourrait être renommé une « armée de résistance » – ces impitoyables Djihadistes en noir dans leurs Toyota, désormais l’étoffe dont on fait la légende, accomplissant le miracle d’être intraçables par le dédale de satellites de la NSA. Ils sont tellement à la page qu’ils ont leur propre compte facebook, avec plus de 33.000 « mentions J’aime ».
Balkanisez ou dégagez !
Pendant ce temps, le programme de l’Empire du Chaos s’est poursuivi sans répit. La balkanisation est déjà un fait. Le ministre irakien des Affaires étrangères, Hoshyar Zebari, fondamentalement kurde, a promis la « coopération » des Peshmergas kurdes avec l’armée irakienne pour maintenir Kirkuk, riche en pétrole, hors de portée de l’EIIL. Les Peshmergas, pour toutes les raisons pratiques, ont annexé Kirkuk les doigts dans le nez. Le Grand Kurdistan se profile.
De son côté, le Grand Ayatollah Sistani, lui aussi pour toutes sortes de raisons pratiques, a lancé un djihad chiite contre l’EIIL. Pour sa part, le chef du Conseil Suprême Islamique d’Irak, Sayyid Ammar al-Hakim, a presque fini de ressusciter le Corps Badr – très proche du Corps des Gardiens de la Révolution Iranienne. Ce sont de vrais durs à cuire, contre lesquels l’EIIL n’a pas la moindre chance. Et Muqtada al-Sadr lance les « Brigades de la Paix » pour protéger les villes saintes chiites et également les églises chrétiennes. La guerre civile règne.
En attendant, en Australie, le Pentagone sera certainement capable de soutirer des fonds supplémentaires pour son éternelle croisade visant à sauver la civilisation occidentale de la terreur islamiste. Après tout, il y a un néo-Oussama ben Laden (encagoulé) qui rôde dans les bois.
Bien que la majorité des Irakiens rejettent la balkanisation, les Sunnites continueront d’accuser les Chiites d’êtres les pions des Iraniens, et les Chiites continueront d’accuser les Sunnites d’être la cinquième colonne de la Maison des Saoud. L’EIIL continuera d’obtenir des montagnes de cash de la part de riches « donateurs » saoudiens. Le gouvernement américain continuera d’armer les Sunnites contre les Chiites en Syrie et conduira (peut-être) des « frappes militaires ciblées » modérées contre les Sunnites en Irak pour le compte des Chiites. Bienvenue au Diviser pour Régner devenu complètement dingue.
http://questionscritiques.free.fr/edito/AsiaTimesOnline/Pepe_Escobar/Hommes_en_Noir_Irak_EIIL_200614.htm
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Jacques de fort
Juil 31, 2014 @ 20:49
La Russie a de moins en moins d’autre choix que de « déclassifier » l’information privilégiée qui se trouve en sa possession concernant l’opération des services secrets occidentaux qui a poussé à la prise de pouvoir à Kiev. Il est extraordinaire que la Russie ait remis cette information au Conseil de Sécurité de l’ONU, avec la requête de mener une enquête internationale impartiale.
Bien sûr, toute mesure de la sorte fera l’objet d’un veto de la part des Etats-Unis. La Russie le sait aussi, mais une guerre de l’information se déroule aujourd’hui vis-à-vis de la situation qui entoure l’Ukraine et, selon le point de vue de Moscou, à mesure que les tensions continuent de monter, il est devenu impératif de démontrer que la présentation faite par les Etats-Unis est du pur pipeau.
Manifestement, la Pologne et la Lituanie ne se seraient pas aventurées sans le feu vert de Washington dans cette opération où elles ont entraîné des extrémistes pour renverser Yanoukovitch. C’est-à-dire que la Russie a posé sur la table du Conseil de Sécurité les informations relative à une quête du Graal qui relève de la Maison Blanche.
C’est du très lourd parce que cela présente le Président Obama sous un jour entièrement nouveau en tant que « partisan de la Guerre Froide » lui-même, alors que la propagande officielle américaine voudrait nous faire croire que le président est un homme d’Etat impuissant agissant largement sous la contrainte politique nationale. En gros, ce qui ressort est qu’il n’y a aucun moyen de restaurer les liens désormais en miette entre les Etats-Unis et la Russie durant le temps restant du mandat d’Obama. De la même manière, il est hors de question que la Russie baisse la garde vis-à-vis des activités d’espionnage américaines dans son « proche voisinage ».
Par conséquent, la vie ne continue pas comme avant en Afghanistan et en Asie Centrale, qui représentaient un modèle important de ce que l’on a appelé la réinitialisation américano-russe. Au cas où on l’aurait oublié, le Président Vladimir Poutine a joué un rôle essentiel dans l’établissement des bases militaires américaines dans la région de l’Asie Centrale à la suite des attaques du 11 septembre 2001.
Une fois encore, la Russie a jusqu’à maintenant adopté une position ambivalente dans l’établissement de bases militaires en Afghanistan par les Etats-Unis et l’OTAN. Mais toute cette affaire poussera dorénavant à être très prudent quant aux implications d’une présence militaire occidentale de long terme et à durée indéterminée dans cette région.
En effet, le faux-semblant de l’administration Obama, selon lequel les Etats-Unis rendraient service au peuple afghan et à la stabilité régionale – et en particulier pour contenir le conflit territorial entre l’Inde et le Pakistan dans l’Hindou-kouch – en maintenant une présence militaire à long terme, sera désormais pris par Moscou autrement qu’à la légère.
Les intentions de mauvaise foi de Washington envers l’Ukraine devraient alerter Moscou sur le grand potentiel de la CIA d’utiliser le sol afghan pour amener à des « changements de régime » en Asie Centrale et fomenter des troubles dans le Nord du Caucase.
En fait, l’attaque récente contre les gardes frontières du Turkménistan de la part d’éléments afghans aux origines obscures est un signe avant-coureur de ce à quoi il faut s’attendre. Bien sûr, la responsabilité doit être rejetée sur les Talibans (bien que Achgabat garde ses réflexions pour elle-même sur l’incident dans lequel trois gardes turkmènes ont été tués).
Mais pourquoi les Talibans devraient-ils attaquer le Turkménistan et importuner Achgabat, qui a été la seule et unique capitale d’Asie Centrale véritablement amicale qui a particulièrement maintenu de bons rapports avec Kaboul, même sous le régime Taliban à la fin des années 1990 ?
Dit autrement, il semble que quelqu’un présente de bons arguments pour convaincre Achgabat (dont la politique étrangère est rivée sur le principe de la « neutralité positive ») que le Turkménistan a besoin d’un peu d’aide de la part des Etats-Unis et de l’OTAN en tant que fournisseurs de sécurité.
Par coïncidence, l’incident du 1er mars à la frontière turkméno-afghane arrive au beau milieu de rapports disant que les services secrets américains cherchent activement à établir des installations en Asie Centrale pour soutenir les opérations de surveillance par drones interposés.
Certes, les régimes d’Asie Centrale observeront attentivement les développements qui se déroulent en Ukraine. Ils devraient savoir, à la lumière des rapports de renseignements que Moscou a « déclassifiés » que le glas sonne également pour eux. Symptomatique des craintes latentes dans cette région, il y a cette décision prise par Douchanbe de bloquer la diffusion de Radio Free Europe/Radio Liberty, financée par le gouvernement américain.
Un tour curieux de l’actuelle « révolution de couleur » en Ukraine est que les services secrets américains ont organisé les ultra-nationalistes en fantassins pour monter ce coup d’Etat. Il se trouve que les régimes post-soviétiques en Asie Centrale, en particulier l’Ouzbékistan et le Kazakhstan, ont également encouragé (pour diverses raisons) les sentiments nationalistes à prendre racine dans leurs sociétés, et cela pourrait venir les hanter si des puissances étrangères cooptent les ultra-nationalistes comme cela s’est produit en Ukraine.
Les événements en Ukraine soulignent la facilité avec laquelle des sentiments populaires refoulés peuvent être exploités par des puissances étrangères pour pousser à un « changement de régime ». A la surface, la région de l’Asie Centrale reste calme mais presque tous les éléments qui ont fait de l’Ukraine un volcan prêt à entrer en éruption y sont présents.
Par conséquent, le renforcement de la présence militaire russe en Asie Centrale se produit dans un énorme arrière-plan géopolitique. Jusqu’à présent, la pensée russe a été que la Russie d’un côté et les Etats-Unis et l’OTAN de l’autre auraient une convergence d’intérêt à minimiser, voire éliminer, les facteurs d’instabilité affectant la sécurité et la stabilité de l’Asie Centrale et de l’Afghanistan.
Cependant, à mesure que se déroulent les développements en Ukraine, un changement de paradigme est prévisible. Il suffit de dire qu’il serait trop risqué pour le Kremlin de continuer à considérer les Etats-Unis et l’OTAN comme des partenaires bienveillants. Il ne peut échapper à Moscou que l’auteur du célèbre livre Le Grand Echiquier, Zbigniew Brzezinski, parle aujourd’hui ouvertement de la mobilisation de l’OTAN, « déployer des forces en Europe Centrale afin d’être en position de riposter si la guerre devait éclater et s’étendre ».
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Jacques de fort
Juil 31, 2014 @ 20:45
Le premier sur le terrain remporte la mise et une personne comme le président Barack Obama qui a grandi sous les tropiques d’Hawaï et d’Indonésie devrait le savoir bien mieux que son homologue russe, Vladimir Poutine de Leningrad. L’empressement avec lequel Obama s’est rué pour prendre très tôt la tête de la guerre de propagande sur l’Ukraine par rapport à Moscou donne presque l’impression qu’il espérait qu’une telle tragédie se produise. Jusqu’à présent, il n’a eu aucune conversation téléphonique avec Poutine – pas même pour établir certains faits avant toute chose.
C’est tout le contraire pour la Chancelière allemande Angela Merkel et les deux chefs d’Etats les plus affectés par la tragédie de ce malheureux avion malais – le Premier ministre néerlandais Mark Rutt et le Premier ministre malais Najib Razak. En fait, Rutt a déjà discuté à deux reprises de cette tragédie avec Poutine et ils se sont mis d’accord sur la suggestion de ce dernier d’ouvrir une « enquête indépendante et équitable » sur le tragique événement de Donetsk, menée par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale avec la participation de « toutes les parties concernées », et, dans l’attente, d’exiger « un cessez-le-feu inconditionnel et immédiat » en Ukraine de l’Est.
Obama acceptera-t-il une telle approche ? Merkel et Razak ont tout deux été immédiatement d’accord avec Poutine. Or, un cessez-le-feu en Ukraine est la dernière chose qu’Obama a en tête, avec le vive-président Joe Biden qui presse constamment le Président Petro Porochenko d’aller de l’avant dans la répression militaire contre la région rétive et rebelle de Donetsk, afin que d’une manière ou d’une autre un point de non-retour soit atteint dans les relations entre la Russie et l’Europe, dont l’équilibre est pour le moins délicat.
Certes, Moscou a perdu la guerre de propagande vis-à-vis de Washington. On en revient à la période de la Guerre Froide. Les USA ont toujours eu des kilomètres d’avance sur l’Union Soviétique en matière d’opportunisme – que ce soit durant la crise des missiles à Cuba, en Afghanistan ou le Dr Jivago de Boris Pasternak.
Pour moi, la Russie est à la faute ici. C’est ce qui arrive à une maison divisée. Tout observateur chevronné a pu s’apercevoir que Moscou a été tiraillé dans des directions opposées par ceux que l’on appelle les « occidentalistes » et ceux que l’on appelle les « orientalistes », ces derniers étant en retrait. La crise ukrainienne devrait être un signal d’alarme. Le fait est que l’histoire n’est pas finie et que la Russie ne pourra jamais faire partie du monde occidental. Elle est trop grande, trop différente, trop puissante et ingérable. La présence de la Russie dans la maison européenne serait un défi au leadership transatlantique des Etats-Unis et remettrait en cause la raison d’être de l’Otan, et avec elle l’euro-atlantisme comme leitmotiv des stratégies mondiales des USA.
Il est grand temps que les « occidentalistes » au sein des élites moscovites réalisent que ce à quoi ils s’accrochent n’est qu’une chimère. Il n’y a aucun précédent dans l’Histoire où les USA ont jamais traité un autre pays – y compris la Grande-Bretagne – sur un pied d’égalité. Par conséquent, le destin de la Russie est dicté par le besoin de consolider sa position en tant qu’acteur mondial indépendant. Elle a la capacité de le faire, mais, hélas, la volonté et l’intérêt de discerner qui est un allié potentiel et qui ne l’est pas lui fait trop souvent défaut.
Cela fait de l’appel téléphonique, [samedi dernier], du Président iranien Hassan Rouhani à Poutine une chose des plus intéressantes pour un observateur de la Russie. Bien sûr, Rouhani n’a pas abordé l’Ukraine. Il aurait été surprenant qu’il le fasse.
Certes, c’est un moment poignant dans les relations russo-iraniennes. Le Kremlin a dû coopérer avec l’administration Obama dans l’esprit de la (tristement) célèbre « réinitialisation » américano-russe pour faire pression sur l’Iran et isoler ce pays à un moment où Téhéran avait le dos au mur. Bien sûr, c’était à un moment où les « occidentalistes » à Moscou faisaient la loi et qu’ils débordaient de confiance, pensant qu’ils avaient un accord avec Obama, en montrant sans retenue qu’ils partageaient les valeurs américaines. Pour eux le monde entier semblait tourner à l’heure américaine.
A présent, la roue a fait tour un complet. La réinitialisation s’est avérée être une farce macabre que l’administration Obama a jouée à ceux du Kremlin. Et la plus grande ironie de toutes est que la Russie est aujourd’hui traitée avec une avalanche de sanctions par les Etats-Unis, à moins qu’elle n’agisse de façon appropriée vis-à-vis de l’Ukraine, de façon très similaire au traitement subi par l’Iran jusqu’à l’année dernière.
Et pourtant Rouhani n’a pas abordé l’Ukraine avec Poutine. Mais il a laissé à Moscou de quoi réfléchir. Le fait est que la Russie est tout simplement un ami sincère et un partenaire stratégique de l’Iran à ce moment précis où les discussions entre les Etats-Unis et l’Iran sont finalement prêtes à avancer. Moscou peut prendre l’avantage sur les Etats-Unis et rendre des coups aux partisans de la guerre froide à Washington là où ça fait le plus mal.
Il est assez évident que l’avantage américain dans les négociations avec l’Iran faiblit. Un retour en arrière (avant que les pourparlers directs n’aient commencé) est impossible ; une frappe militaire contre l’Iran n’est pas réaliste ; si les pourparlers n’aboutissent pas, Téhéran reprendra son programme nucléaire à pleins gaz. En somme, l’Iran a rompu l’encerclement par les Etats-Unis. C’est la signification de la date limite du 20 juillet pour trouver un accord sur le nucléaire. Il n’y a rien d’autre à dire.
A présent, ce que la Russie peut faire est de faire des confettis avec le régime des sanctions américaines contre l’Iran en procédant simplement à étendre à leur pleine capacité ses relations avec ce pays – que ce soit dans le domaine de l’énergie ou en matière de coopération de défense. Après tout, l’argument de la Russie a tout du long été qu’elle se conforme uniquement aux sanctions des Nations Unies. Pour le dire simplement, mettre en pratique ce que prêche Moscou. Par ailleurs, ce sera également la chose correcte à faire vu sous l’angle des relations d’affaires – être à Téhéran avant les entreprises américaines.
On peut le dire autrement : obliger les Etats-Unis à négocier dans l’urgence avec l’Iran qui a le soutien total de la Russie. Il n’y a aucune confrontation ici avec les Etats-Unis de la part de la Russie, d’autant plus que la Russie ne fera que renforcer et élargir ses relations avec un pays ami.
Le fait est que les Iraniens donneront du fil à retordre aux Américains. Il n’y a aucune chance pour que Téhéran renonce à ses énormes actifs qui représentent des centaines de milliards de dollars, que les Etats-Unis ont confisqués dans le sillage de la chute du Shah ; c’était un vol manifeste. Les Iraniens n’oublieront jamais non plus que les Américains ont délibérément abattu un avion civil iranien en 1988 – sachant parfaitement bien qu’il s’agissait d’un avion civil – tuant 300 personnes à bord.
J’ai commencé à m’occuper de l’Iran pour la première fois en 1989, lorsque j’étais un diplomate de carrière, et je me suis rendu dans ce pays de si nombreuses fois que je suis incapable de dresser toute la liste de mes visites dans ce pays. Si je connais bien l’Iran, je peux aller jusqu’à affirmer : Rouhani est venu en aide à Poutine à un moment capital de la politique mondiale de notre époque.
http://reseauinternational.net/poutine-temps-revanche-venu/
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LUDOCIK
Juil 31, 2014 @ 23:43
En effet, mais durant la guerre froide, l’humain ne connaissait pas grand chose, était plus manipulable, aujourd’hui avec le net la guerre froid d’Obama se défait et retourne à sa figure, car l’info court à la vitesse grand V
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Jacques de fort
Juil 31, 2014 @ 20:41
Malgré l’intensification de la présence de l’OTAN pour l’entrainement des forces ukrainiennes avec un financement des Etats-Unis de 33 millions de dollars, l’armée de Kiev prend des coups de plus en plus meurtriers. Vus les dégâts qu’ils subissent quotidiennement, il est évident qu’ils ont en face d’eux des hommes plus que déterminés et de mieux en mieux organisés. Les dégâts matériels montrés dans la vidéo ci-après, à eux seuls, peuvent nous expliquer pourquoi tant de soldats ukrainiens préfèrent se rendre ou fuir vers la Russie où ils sont reçus à bras ouverts.
Les américains, conseillers actifs dans les combats, commencent à goûter à ce qu’est une vraie guerre et doivent revivre de vieux souvenirs leur rappelant les rizières du Vietnam. En effet, une colonne dans laquelle il y avait des instructeurs de l’armée américaine a été attaquée le 29 juillet par les forces d’autodéfense du Donbass. 3 officiers-instructeurs ont été tués et, parmi les blessés, il y avait le général américain Randy Alan Key qui dirigeait l’opération punitive dans le Sud-Est de l’Ukraine. Ils faisaient partie des 180 Rangers débarqués récemment à Kiev. En une semaine, 10 des 180 instructeurs sont déjà morts, le dernier en date ayant été abattu à Marioupol dans la journée du 30 juillet.
On comprend mieux pourquoi le Secrétaire d’Etat américain John Kerry a demandé une trêve.
http://reseauinternational.net/larmee-americano-ukrainienne-nest-pas-fete/
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LUDOCIK
Juil 31, 2014 @ 23:51
Ne pas comparer les soldats slave qui bouffent tous les soirs de la bonne soupe rempli aux légumes divers qui les tiennent solide par rapport aux soldats de L’OTAN lourdement drogué aux vaccins avec de la bouffe quasiment artificiel,
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l'helvète
Juil 31, 2014 @ 20:31
Cantona interpelle François Hollande sur Gaza (vidéo)
http://oumma.com/202798/cantona-interpelle-francois-hollande-gaza-video
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l'helvète
Juil 31, 2014 @ 20:28
Des israéliens chantent: il n’y auras pas d’école demain en Palestine, on a tués tous les enfants
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l'helvète
Juil 31, 2014 @ 20:26
question embarrassante au nobel de paix . reponse: bla bla bla bla
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croix morand
Juil 31, 2014 @ 20:44
brillant! aussi à l’aise que si sa femme l’avait surpris en string bas résilles.
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LUDOCIK
Juil 31, 2014 @ 20:13
L’UE dirigé par Babylone Washington impose des sanctions économique contre la Russie, c’est le projet du calendrier couper les relations bilatérales UE/RUSSIE. Avec comme monnaie d’échange l’euro. D’après mon analyste, Obama, vient de remordre à deux hameçons, et c’était cru un moment tenir le crachoir. Car l’Allemagne de Meckel joue un double jeu depuis la création de l’UE qu’il ne veut pas son but c’est de récupérer son stock d’or de la Fed qui est de 3000t, Pendant que l’ensemble des pays ont abandonné leur monnaie et adopté l’euro, le Deushmark en Allemagne serait toujours utilisé, donc des échange avec la Russie se feront car y aura sanction de l’UE, dans le but de se rapprocher du Brics, Quand Babylone sera occuper par Poutine dans le bourbier Ukrainien et tombera.
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l'helvète
Juil 31, 2014 @ 20:09
les sionistes deviennent insupportables partout où ils sont
Drapeau israélien déployé sur un balcon d’Amsterdam visé par une bombe incendiaire
Une femme juive qui a étendu un drapeau israélien à son balcon à Amsterdam a été visée par une bombe incendiaire et des menaces de mort.
La bombe a atterri sur le balcon des voisins de Leah Rabinovitch, une juive née à Mexico qui a brandi le drapeau israélien sur la place Kruger d’Amsterdam, située dans un quartier de l’est largement peuplé d’immigrants Marocains, rapporte mercredi le quotidien Het Parool.
Les rapports n’ont pas dit si la bombe a explosé et si cela a causé des dégâts mais selon le site internet FokNews, elle a atterri sur le balcon d’un voisin. Fok a également rapporté qu’une pierre qui a été lancée sur l’appartement de Rabinovitch a écrasé une fenêtre et qu’une des menaces de mort envoyée à Rabinovitch disait : « Heil Hitler, Hitler revient, les juifs doivent mourir ».
Rabinovitch et son conjoint ont sorti le drapeau il y a quelques semaines en signe de solidarité avec l’assaut d’Israël contre le Hamas à Gaza. Ses voisins d’en dessous ont eux accroché sur leur balcon le drapeau palestinien, et exigé que Rabinovitch retire son drapeau.
Des plaintes venant des voisins d’en dessous a conduit l’association de logement Rochdale, qui gère les appartements, à envoyé des lettres aux deux appartements, leur enjoignant de retirer les drapeaux et les avertissant qu’il seraient tenus responsables pour les dommages résultant du vandalisme, a rapporté Het Parool. Rochdale a parlé du conflit comme d’une « querelle de voisins en cours ».
Rabinovitch a confié à Het Parool qu’elle n’a jamais eu de conflits avec les voisins jusqu’à ce qu’elle accroche le drapeau.
« Ils présentent cela comme si j’essayais de provoquer avec mon drapeau mais ce n’est pas pour faire une déclaration », a-t-elle expliqué.
« Nous trouvons difficile à comprendre pourquoi Rochdale, la police et les voisins veulent que nous retirions notre drapeau. Dois-je avoir peur dans ma propre maison ? Si je retire le drapeau cela signifie tolérer l’antisémitisme ».
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croix morand
Août 1, 2014 @ 0:39
Netanyaou a fait ressortir l’antisémitisme du néant. Quel génie ce mec! la punition des juifs, hélas pour eux, est d’avoir choisi ou toléré des tarés comme guides. Voilà où ils en sont. le feu se répand. A Gaza se joue beaucoup plus que le sort de Gaza.
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l'helvète
Juil 31, 2014 @ 19:58
le nobel de paix après avoir gavé les criminels de toutes sortes de munitions conventionnels et non conventionnels déclare toute honte bue: » l’attaque par Israël de l’école de L’ONU est injustifiable et indéfendable »
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l'helvète
Juil 31, 2014 @ 19:54
Un docteur belge refuse de traiter une femme juive
Un médecin belge qui a refusé de traiter une femme juive avec une côte fracturée a suggéré qu’elle visite Gaza pour faire disparaître sa douleur.
Le médecin a fait la remarque mercredi alors qu’il équipait en personnel une hotline médicale dans les Flandres, région flamande de Belgique, dont la capitale Anvers, contient une importante population juive orthodoxe, a rapporté jeudi le mensuel juif local Joods Actueel.
Le fils de la dame Bertha Klein, qui est Américain, a appelé la hotline à 23 heures.
« Je ne viens pas » aurait dit le docteur au fils avant de raccrocher. Quand le fils a rappelé, le docteur a dit : « emmenez-là à Gaza pour quelques heures, alors elle sera débarrassée de sa douleur » Selon Joods Actueel, le docteur a confirmé l’échange, affirmant avoir eu une réaction émotionnelle.
Des responsables du ministère de la santé se sont penchés sur l’incident, selon l’édition en ligne du mensuel. Selon Joods Actueel, le docteur a su que le patient était juif à cause de l’accent américain du fils de Klein.
La famille a appelé un ami, Samuel Markowitz, qui est échevin au conseil du district d’Anvers et infirmier bénévole. Il a appelé le docteur pour confirmer l’échange et a enregistré leur conversation.
Hershy Taffel, le petit fils de Bertha Klein, a porté plainte auprès de la police pour discrimination.
« Ca me rappelle ce qui s’est passé en Europe il y a 70 ans » confie Taffel à Joods Actueel. « Je n’ai jamais imaginé que ces jours puissent se répéter une nouvelle fois ».
Michael Freilich, l’éditeur-en-chef de Joods Actueel a déclaré que l’incident était particulièrement alarmant car il intervient au milieu d’une série de récents incidents qui ont impliqué le boycott des juifs en Belgique depuis le début de l’attaque d’Israël contre le Hamas à Gaza, le 8 juillet.
Depuis lors, une juive orthodoxe s’est vue refuser un service dans un magasin de vêtements d’Anvers, et la police a dû retirer un symbole en français et en turc d’un café près de Liège disant « les chiens sont autorisés mais pas les sionistes ni les juifs ».
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jce
Juil 31, 2014 @ 19:34
Que sont devenues les boites noires du vol MH??
Celle du vol Air Algérie ont déjà été analyser…
Cela prend autant de temps pour les « reconfigurer »???
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sowhat
Juil 31, 2014 @ 22:00
« Celle du vol Air Algérie ont déjà été analyser » (sic)
quelles sont vos sources s.v.p ?
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gutknecht
Juil 31, 2014 @ 18:15
http://colonelcassad.livejournal.com/1703451.html
Alerte « Attaque chimique »
Selon les informations reçues par les Dirigeant de Novorossia, les fascistes de Kiev, s’apprêteraient à déclenche une attaque chimique, en tirant des missiles balistiques Tochka
sur l’usine de traitement des eaux usées, contenant des réserves très importantes de chlore
Ils auraient déjà déplacé leurs unités de lancement vers Kramators’k .
31/07/2014, Donetsk, Government House.
Rifle Igor Appel Urgent et Vladimir Antyufeeva.
Kiev prêt à frapper les missiles « Tochka-U » sur les installations industrielles Donbass afin de provoquer une catastrophe écologique
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Alkali
Juil 31, 2014 @ 19:07
Votre info est trop tardive. 4 missiles balistiques SS21 tochka ont été tiré il y a 2 jours.
Ils ont été interceptés par les russes.(source CNN) suivre les liens:
http://www.lecontrarien.com/flash-special-4-missiles-balistiques-ukrainiens-tires-vers-les-zones-des-separatistes-31-07-2014-scoop
http://gaideclin.blogspot.fr/2014/07/ukrainenovorossia-quatre-missiles-ss-21.html
http://www.activistpost.com/2014/07/kiev-deploys-wmds-against-eastern.html#!bseuxK
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gutknecht
Juil 31, 2014 @ 22:31
Il ne faut pas confondre, les missiles interceptés avaient été tiré sur Saur Moglia le 29 Juillet sur les positions stratégiques tenues par les forces d’autodéfenses, afin de tenter d’ouvrir le passage aux nazis bloqués dans le « chaudron » .
Aujourd’hui il s’agit de tout autre chose, et l’alerte lancée par les dirigeants de Novorossia
est toujours en vigueur, les lanceurs de missiles tactiques se déplaçaient vers Kramators’k
pour tenter de provoquer une catastrophe écologique en atteignant les réserves de chlore
dans cette usine, et en faire porter la responsabilité aux forces d’autodéfenses .
La révélation au grand jour de leur projet d’attentat, ne pourra que leur nuire .
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Cassandra Vermeulen
Août 1, 2014 @ 1:56
pour tenter de provoquer une catastrophe écologique en atteignant les réserves de chlore
il faut vraiment être complétement fou et cinglé ,pour mettre en oeuvre un truc pareil
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nanar
Août 1, 2014 @ 11:20
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gutknecht
Juil 31, 2014 @ 17:15
Combat dans le Donbass
Redéploiement, apparemment, des MLR Grad des « forces d’autodéfenses »
Attaque d’une position de la garde nationale
Shahtersk coup direct sur BMP, 25 ème brigade (attention vidéo choquante)
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P.N.03
Juil 31, 2014 @ 19:37
Lorsque je pense à tous ces civiles qui meurent ou sont mutilés à cause des bombardements effectués par l’armée de Kiev poussée par un gouvernement de néo-nazis à la botte de l’OTAN, cela m’enlève tout esprit de compassion envers ces militaires. Ceux qui servent inconsciemment dans cette armée ne comprennent pas les enjeux géopolitique qui se joue en ce moment même, et ils en payent le prix.
« Alors Jésus lui dit: Remets ton épée à sa place; car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée. »
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THOMAS
Juil 31, 2014 @ 17:08
Sur les 180 instructeurs américains « mercenaires » envoyés en Ukraine dix ont été abattus par la résistance . Obama qui reproche a la Russie de s’impliquer dans ce conflit . Cherchez l’erreur .
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francktalk2
Juil 31, 2014 @ 16:23
Ces Black british mercenaires d’origine soudanaise sont des extra-terrestres! Quel est leur niveau de culture générale, pour qu’ils puissent s’associer avec une des plus radicales des extrèmes-droites européennes contre une minorité?
Pourquoi les a-t-on envoyés en Ukraine combattre les Ukrainiens, dans une guerre, qui ne peut en aucune façon être la leur? Les services occidentaux savent que les Africains et les Black en Russie soutiennent Poutine, la Russie et la cause la République du Donbass, alors pour l’opinion publique russe se lève contre les Black de Russie: quoi de mieux, que de Black avec l’extrème-droite ukarinienne?
Les Black en Ukraine ont toujours été malmenés et parfois lynchés. Les queques pros dans les équipes de foot de l’Ukraine sont la cible des pires injures racistes et sont en train de chercher des autres équipes dans de plays moins racistes.
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diomalay
Août 3, 2014 @ 21:43
Eh mec, c’est sans conviction aucune, juste pour le pognon!
Des mercenaires qui.
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diomalay
Août 3, 2014 @ 21:47
Pardon, je voulais dire quoi à la place de qui!
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salim
Juil 31, 2014 @ 16:10
Aux citoyens algérien, muselez vos ventre bandes d’affamés.
Qu’attendez vous pour boycotter les produits qui soutiennent Israël.
Il y a plus de 75 produits qui sont en vente en Algérie.
Vous achetez sans réfléchir.
La boulimie et votre ventre ont fait que vous devenez des esclaves.
Et d’autre sont en train de mourir car vous mangez plus qu’il n’en faut des produits qui doivent être boycottés.
==========
Qu’attendez vous pour passer aux actes – BOYCOTTEZ –
Pour abattre ces sionistes d’Israël -il faut abattre l’occident -Tapez dans leurs poches.
Vous êtes en train de critiquer le Qatar, l’Arabie Saoudite ou l’Égypte et vous êtes en train de faire pire en Algérie.
L’arme est entre vos mains et vous dormez. BOYCOTTEZ
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salim
Juil 31, 2014 @ 16:23
Vous avez une autre arme entre vos main les sites Internet et Facebook – Utilisez les à fond. Là ou vous allez sur n’importe quel site à n’importe quelle page que vous visitez appelez au BOYCOTTE –
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babjedid
Juil 31, 2014 @ 17:07
@salim
75 produits font partie du programme !
Il y à des hopitaux devenus aujourd’hui mouroirs
En Algerie on achete la mort a tres bon prix et c est grace a Val-de-Grâce
C est tout le monde qui trouve son compte , »selon certains intelects »
vive l import-import et vive la mort « .
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Sophiane
Juil 31, 2014 @ 17:25
Recadrons un peu, l’Algérie n’a aucun rapport à l’entité sioniste contrairement au Maroc, par exemple qui est le pays arabe qui commerce le plus avec l’entité sioniste scélérate !
Je sui d’accord avec le boycott citoyen puisque je le promeut moi-même, mais ça ne veut pas dire que je dois arrêter de critiquer ce qui est critiquable !
http://www.lemag.ma/Rapport-Le-commerce-du-Maroc-avec-Israel-a-cru-depuis-l-arrivee-au-pouvoir-du-PJD_a65305.html
http://www.slateafrique.com/37555/economie-maroc-le-partenaire-discret-d-israel
http://www.legrandsoir.info/les-relations-tres-particulieres-entre-le-maroc-et-israel.html
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bb
Juil 31, 2014 @ 16:08
Un Soudanais ?
Pas très discret en Ukraine en plein pays Slave.
.
Les mouvements sociaux commencent. La Rada vient de voter une taxe de 1,5% pour financer la guerre. Kiev dépensent 6M$ par mois pour sa guerre
Manifestation contre l’augmentation du prix des services publiques dans la ville de Chernigov Sokolov
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fredo
Juil 31, 2014 @ 16:05
HS quoi que!11 avions entre les mains des miliciens lybiens
le spectre du 11 septembre au Maghreb!
face a la situation catastrophique en lybie,l’algerie a prit l’initiative et appeler la communauté internationale a se mobiliser et a prendre conscience du contexte actuel!
http://www.lexpressiondz.com/actualite/199361-le-spectre-d-un-11-septembre-au-maghreb.html
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Kodet
Juil 31, 2014 @ 15:53
Sisov, Sisov ah Sisov, aahhh AJ !
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africalibre
Juil 31, 2014 @ 15:18
L’horrible, dans ces Deux Minutes de la Haine, était, non qu’on fût obligé d’y jouer un rôle, mais que l’on ne pouvait, au contraire, éviter de s’y joindre. Au bout de trente secondes, toute feinte, toute dérobade devenait inutile. Une hideuse extase, faite de frayeur et de rancune, un désir de tuer, de torturer, d’écraser des visages sous un marteau, semblait se répandre dans l’assistance comme un courant électrique et transformer chacun, même contre sa volonté, en un fou vociférant et grimaçant.
George Orwell, 1984
.
Donc, Obama, Merkel, Cameron, Hollande et le Premier ministre italien Matteo Renzi – appelons-les le Club des Cinq – s’organisent une petite conférence pour rassembler leur courage et « augmenter la pression » pour demander un cessez-le-feu à Gaza. Plus tard dans la journée, Benjamin « Bibi » Netanyahu expédie sa réponse, dans un langage clair : il reste inflexible sur son projet d’achever sa version d’une solution finale à Gaza. [1] Avec ou sans « pression ».
Alors, que font le Club des Cinq après avoir eu leurs illustres fesses collectives occidentales bottées avec application ? Ils décident de laisser tomber Gaza et de sanctionner la Russie – encore ! Quelle brillante stratégie de sortie,
(…).
.
Crime (Israël) et Châtiment (Russie)
http://reseauinternational.net/crime-israel-chatiment-russie/
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salim
Juil 31, 2014 @ 15:25
Il y a 4 ou 5 pays d’Amérique latine qui donnent l’exemple et humilient les pays occidentaux. Ils viennent de rappeler leurs ambassadeurs d’Israël.
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croix morand
Juil 31, 2014 @ 17:48
vive le soldat Moralès!
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africalibre
Juil 31, 2014 @ 15:16
HS, mais …
.
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africalibre
Juil 31, 2014 @ 15:15
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Estelle
Juil 31, 2014 @ 14:57
Prem’s !
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