2e partie : les mécanismes de maintien de l’ordre établi, et du désordre organisé de l’Afrique: qui sont les vrais responsables ?
QUI CONTRÔLE VRAIMENT L’AFRIQUE ?
Afin de bien évaluer les responsabilités des principaux acteurs qui maintiennent l’Afrique dans la situation peu enviable où elle se retrouve aujourd’hui, il est essentiel dans un premier temps de mettre sur pied un organigramme fiable de la structure mondiale de prédation.
Mais comme l’objectif final naturel de tout africain est de proposer des voies de sortie de notre état actuel, il est aussi nécessaire dans un deuxième temps de bien comprendre le système, ce qui bien sûr sous-entend les mécanismes qui nous maintiennent enchaînés. En effet, il est difficile de déconstruire de façon efficace et définitive un édifice dont on ne maîtrise pas à la fois l’architecture et la mise en œuvre.
Nous prendrons pour modèle, un organigramme avec 4 niveaux de responsabilités.
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Les commanditaires et sponsors c’est -à -dire ceux qui financent les opérations.
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Les architectes (c’est-à-dire ceux qui conçoivent, planifient, et recrutent les exécutants), les facilitateurs et les complices.
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Les exécutants et les organisateurs sur place.
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Les hommes de mains et les bras armés.
En tenant compte du fait que les personnes des chefs d’Etat africains monopolisent le débat politique sur notre continent, nous allons modifier l’ordre de développement de notre analyse et commencer d’entrer de jeu par le niveau 3. En effet, c’est à ce niveau (des exécutants) que se retrouve la quasi-totalité de nos présidents, et même la majorité des leaders politiques de ce monde.
Les dirigeants Africains: (des exécutants de moindre envergure)
C’est la catégorie la plus exposée et visible car c’est elle qui traite directement avec les masses africaines; il est dont logique que la plupart des critiques leur soit destinées. Il faut reconnaître qu’ils le méritent dans une très grande mesure, et à plus d’un titre. La majorité d’entres-eux est arrivée au pouvoir par usurpation et souvent au prix de l’élimination des vrais nationalistes (une élimination programmée au niveau 2 de l’organigramme, les architectes). Ce qui justifie d’une certaine façon qu’il leur soit reproché un manque de patriotisme, de vision, de force de caractère et d’engouement au travail.
L’on a également raison de mettre à leurs comptes la corruption et tous les maux qui vont avec, à savoir: la mauvaise répartition des richesses qui deviennent d’un côté la propriété privée d’un clan, alors que de l’autre, la misère et le désarroi deviennent la réalité existentielle de la majorité du peuple dans l’indifférence apparemment totale de la petite classe des privilégiés. Comment en effet comprendre qu’en 50 ans, l’on n’ait pas réussi à régler les problèmes de mortalité infantile, et d’eau potable, pour ne citer que ces deux, alors que le montant des détournements suffirait largement à couvrir les dépenses nécessaires à la résolution de ces deux problèmes, et de bien d’autres encore.
Suggérer que la situation de nos pays serait exactement la même si les nationalistes étaient au pouvoir n’est pas non plus acceptable, sinon comment justifier tout le mal que les prédateurs se donnent pour justement empêcher que ces derniers accèdent au pouvoir? N’insultons pas la mémoire de ceux qui ont préféré mourir dans le combat plutôt que de signer des accords scélérats qui donnent le contrôle de nos ressources naturelles et humaines à nos ennemis.
Nos opposants semblent ne pas valoir mieux que nos dirigeants actuels; pratiquement aucun d’entre eux n’ose dénoncer les accords de coopération inégaux, ou au moins en porter le débat sur la place publique. La société civile devra d’ailleurs montrer plus de vigilance à l’égard des personnes qui par ambition politique ou pourquoi pas, par opportunisme envisageraient de briguer un mandat électif, sans donner en contrepartie la garantie d’un patriotisme sans faille. Un test d’authenticité devrait désormais leur être imposé. Tout candidat devrait dorénavant se prononcer très clairement sur les questions cruciales de souveraineté.
Malgré tout ce qu’on peut dire de nos chefs d’Etat, il serait réducteur de faire d’eux les seuls responsables de nos malheurs, en effet, ceci reviendrait à minimiser le problème, ou à ne pas bien le saisir dans sa profondeur. C’est justement l’erreur que commettent en toute bonne foi beaucoup de personnes qui négligent de monter assez haut sur l’échelle des responsabilités. Ceux qui, dans la zone franc, se donnent la peine de regarder au delà de nos dirigeants corrompus, trouvent en général un coupable tout désigné : la monnaie.
Bien qu’il faille reconnaître que la monnaie constitue un gros problème en vertu duquel tous les pays de la zone franc sans exception sont entièrement hors-sujet sur les questions de souveraineté, la réalité nous apprend quand même que le problème est plus sérieux que cela. A ce niveau, il nous semble approprié d’illustrer notre pensée avec un exemple concret.
L’exemple d‘un pays qui bat sa monnaie: le Ghana
D’après les rapports du département d’Etat américain, le Ghana a connu une croissance de son PIB de 14% en 2011, et cette croissance se maintient au dessus de 7% depuis lors. D’ailleurs le FMI classe le Ghana 7e parmi les pays qui connaissent une croissance économique rapide. Le Ghana connaît également une stabilité politique, et ce pays est réputé être assez bien géré, la criminalité y est faible, les salaires compétitifs, le système éducatif parmi les meilleurs en Afrique.
Le Ghana a également sa monnaie (le cedi), et en plus l’on y a découvert d’énormes réserves de pétrole, ce qui en théorie lui offre de brillantes perspectives d’avenir. Bref côté jardin, le Ghana a tout pour réussir. Mais cela n’est vrai qu’en apparence, dès que l’on se tourne du coté cour, la réalité devient toute autre.
Bien que ce pays émette sa propre monnaie à travers sa banque centrale (Ghanaian Central Bank), les banques intermédiaires entre cette banque centrale et le peuple Ghanéen sont pour la plupart contrôlées par un capital étranger et notamment occidental, et cela a de graves implications:
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Ce sont les étrangers qui finalement décident des secteurs dans lesquels investir et à quelle hauteur le faire, et par là déterminent le niveau et les opportunités de développement du pays.
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Les Ghanéens se plaignent d’ailleurs du faible taux d’accès au crédit. Dans le secteur agricole par exemple, ce sont les Libanais et d’autres étrangers qui bénéficient des plus grands crédits donnant du même coup le contrôle du sol aux non-ghanéens.
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La majorité des bénéfices dégagés par ces banques et les entreprises étrangères s’évapore vers d’autres cieux et n’est pas réinvesti sur place, ce qui crée une balance de paiement négative pour le gouvernement ghanéen, qui finit par ne pas avoir d’autres choix que de recourir à l’emprunt auprès des institutions internationales pour financer des projets utiles à la population.
En clair, malgré l’apparente vitalité de son économie, le Ghana est en fait entrain de s’appauvrir et de s’endetter. Les déficits fiscaux battent des records, et l’économie est sous pression à cause de la menace d’inflation, c’est l’une des raisons pour laquelle l’agence de notation Fitch a revu à la baisse la note du Ghana qui se retrouve maintenant avec un ‘B’. Les 10% que le pays perçoit sur son pétrole vont bien sûr aider, mais ne parviendront certainement pas à renverser la vapeur, tant que la configuration bancaire ne sera pas entièrement modifiée, et cela est une autre paire de manches.
Changer la configuration du circuit bancaire et mettre en place un cadre réglementaire stricte qui serve en priorité nos intérêts ne sont pas que des problèmes Ghanéens, ce sont des problèmes Africains qu’il sera très difficile de résoudre, car dans l’ombre, Il y a des forces qui veillent, et ces dernières n’ont pas intérêt à ce que ce problème soit résolu. C’est en vertu de ce contrôle de nos banques que le mot d’ordre : « développement zéro pour l’Afrique » tient encore, et que tous les secteurs clés de nos économies échappent à notre contrôle.
Pourquoi les banques sont-elles aussi importantes ? Nous laissons à Henri Makow le soin de répondre à cette question: « Les banquiers contrôlent les plus grandes corporations au monde, les medias, les services de renseignement, les ‘Think tanks’, les fondations, et les Universités. » Quelqu’un serait même tenté d’ajouter aussi les « terroristes ».
Puisque les banques sont aussi importantes, l’on doit donc se poser la question de savoir à qui elles appartiennent. Tenter de répondre à cette question va nous emmener fatalement à comprendre comment le monde fonctionne réellement.
Les maitres du monde (les commanditaires et sponsors)
Le sénateur américain Dick Durban a dit : « les banques constituent le lobby le plus puissant à Capitol Hill (le Congres americain), très franchement, Ils sont les propriétaires des lieux ». Ajoutons à cela la déclaration de Zbigniew Brzezinski « les peuples, les gouvernements et les économies de toutes les nations doivent se mettre au service des besoins des banques et des corporations multinationales. »*
Or une poignée de grandes banques dominent l’économie du monde: les 4 grandes banques américaines: Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup et Wells Fargo, de concert avec d’autres grandes banques comme Goldman Sachs, et d’autres puissantes institutions européennes sont propriétaires des quatre plus puissantes compagnies pétrolières du monde à savoir Exxon Mobile, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco. Ce n’est pas tout, les familles qui possèdent ces banques contrôlent également la réserve fédérale (banque centrale des Etats-Unis) et ses 12 branches, et à ce titre sont les propriétaires du dollar (qu’elles battent et vendent au gouvernement fédéral américain).
En plus de tout ce qui a été précédemment cité, à travers leurs banques, ces mêmes familles contrôlent également toutes les places boursières qui comptent, et aussi des corporations comme Microsoft, Boeing, Caterpillar, General Electric, General Motors, Coca-Cola, McDonald.
Ce sont ces familles qui ont créé la BIS (Bank of International Settlement), la plus puissante banque du monde. Elle contrôle la quasi-totalité des banques centrales privées en Occident et des pays émergents. Rien ne peut leur échapper car comme on le sait, le dollar est la principale monnaie des échanges commerciaux.
Comprendre les intentions des vrais propriétaires de ces banques, et identifier les institutions qui leur sont associées nous permettront d’avoir une lecture plus précise des événements qui se déroulent dans le monde, et une meilleure compréhension de la structure des institutions internationales et de leur véritable raison d’être.
Que veulent au juste les propriétaires de ces banques ? En d’autres mots que veulent les Bilderberg, les Lehman, les Rockefeller, les Rothschild, les Warburg, pour citer quelques-unes de ces familles ? La réponse est simple: le contrôle complet et pour l’éternité de l’économie du monde.
Et comment comptent-ils pérenniser leur hégémonie ?
En recrutant des hommes de main de haut profil, en s’associant, créant et finançant d’autres institutions puissantes et en contrôlant de grands groupes médiatiques. D’ailleurs aux Etats-Unis 6 grands groupes contrôlent la quasi-totalité des médias. Time Warner, Walt Disney, Viacom, CBS corporation, et NBC Universal sont leurs propriétés. Sans oublier les ONG (y compris les organisations des droits de l’homme) et les fondations les plus importantes.
Les hommes de main (planificateurs et recruteurs)
Parmi les personnalités de haut profil qui sont au service de ces familles, l’on peut citer l’ancien président des Etats-Unis Georges H. Bush, l’ancien conseiller à la Sécurité nationale américaine Zbigniew Brzezinski (mentor du Président Obama), le milliardaire George Soros, et bien entendu les anciens Secrétaires d’Etat Georges Schultz et Henri Kissinger. D’ailleurs, en rapport avec problème Ivoirien, l’ancien membre du Congrès Américain Cynthia McKinney rapporte qu’elle a reçu un coup de fil d’Alassane Ouattara que son staff a identifié comme provenant du bateau d’Henri Kissinger…
Mais pour que le système puisse bien fonctionner, il faut non seulement mettre en place une logistique puissante, mais aussi s’attacher les services des complices au dessus de tout soupçon.
Les complices et les institutions du pillage
Au nombre des institutions auxquelles ces familles se sont soit associées, soit ont sponsorisé la création, l’on retrouve:
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Le Vatican qui a des actions qui s’élèvent à des milliards de dollars dans les multinationales comme Shell, General Motors, General Electric, et a massivement investi chez les Rothschild.
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Christian Coalition dont Georges W. Bush fut Président d’honneur. Ils ne sont pas étrangers à la prolifération des églises dites de « réveil » en Afrique.
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Des sectes et sociétés secrètes comme le club de Rome, Illuminati, the Chatham House, the Pilgrims Society, the Club of the Isles et surtout le Committee 300, qui d’après le Dr. John Coleman est la plus puissante société secrète au monde et qui compte parmi ses membres la Reine de Grande Bretagne, et presque toutes les têtes couronnées d’Europe.
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Le très puissant CFR (Council of Foreign Relations) qui d’après G. Edward Griffin est plus puissant que le gouvernement américain. C’est d’ailleurs de ce conseil que sont issus non seulement ceux qui dans tous les gouvernements américains occupent les postes les plus importants, mais aussi la quasi-totalité des présidents de la banque mondiale.
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La Trilateral Commission qui est organisée de la même manière que le CFR, à la différence que l’adhésion à ce groupe est étendue à l’Europe de l’Ouest et au Japon.
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The Round Table Groups qui contrôle les Universités d’élite, la presse, et les institutions internationales comme les Nations Unies, le FMI, la banque Mondiale, et la Banque Centrale Européenne, sans oublier l’OMC et la dernière trouvaille, la CPI.
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Les très familières officines de recrutement de l’élite africaine que sont Rose-Croix et Franc-maçonnerie viennent compléter le tableau.
Une fois le décor planté, l’on peut commencer à comprendre comment la scène se joue en Afrique, et à en tirer des conséquences. Il convient tout de même de préciser que ces groupes opèrent avec des règles très strictes, l’une d’entre-elles étant la répartition des zones d’influence, c’est d’ailleurs la violation de ces règles qui a souvent été la source des grands conflits.
La mécanique en Afrique (le déploiement de la machine)
D’aucun diront et à juste titre que l’Afrique n’est pas la seule cible, et se poseront par la suite la question de savoir pourquoi nous sommes ceux qui semblent le plus à en souffrir. La réponse à cette question a plusieurs volets.
Premièrement, il faut déjà remarquer que l’Afrique est le continent qui regorge le plus de matières premières, et à ce titre, sera toujours au cœur de toutes les convoitises. Deuxièmement, que les maîtres du monde se sont déjà frottés aux prolétaires européens, et savent très bien que ces derniers ne badinent pas avec leur bien être matériel, et que par conséquent, trop les acculer peut troubler l’ordre public dont ils ont besoin pour la bonne marche de leurs affaires, et même devenir mortel : des têtes de plusieurs familles royales ont été coupées pour avoir poussé leurs peuples à bout. Troisièmement, l’africain de part sa culture est comme prédisposé à la chose spirituelle, ce qui le rend vulnérable au langage religieux. Ajouter à cela le lavage de cerveau historique qu’il a subi en plus du matraquage médiatique et éducatif quotidien, l’Africain est d’une indolence et d’une passivité incroyable face à ses vrais ennemis, mais doté d’une violence extrême face à ses propres frères.
En Afrique les scénarios sont bien connus; l’on recrute aux travers des officines bien rodées des pions que l’on installe au pouvoir et dont la mission consiste entre autres choses à brader toutes les matières premières et les terres arables.
Les prédateurs prennent alors le contrôle des banques, et si d’aventure il venait à l’esprit d’un sous-fifre l’idée saugrenue d’opposer la moindre résistance à leur voracité insatiable, ils vont immédiatement lui créer des problèmes de trésorerie. Le rebelle est donc poussé de force dans les bras des bailleurs de fonds, qui exigent des privatisations qui ciblent des secteurs productifs et des compagnies rentables. Le têtu n’a en général pas beaucoup de choix, car sans privatisation point d’argent, et connaissant le désordre que cela peut générer, il finit par se plier.
D’ailleurs, les pays très appréciés des prédateurs internationaux sont ceux qui pour la plupart maintiennent un « climat favorable aux affaires », ce qui signifie surtout que ceux-ci bradent les sociétés d’état rentables par voie de privatisation et les font avaler dans le processus par les grandes firmes qui appartiennent à ces mêmes prédateurs, une vieille recette que nos dirigeants connaissent pourtant.
Pour de vrais récalcitrants, l’on fabrique une rébellion que l’on arme jusqu’aux dents, l’ONU que ces maîtres du monde ont infiltré et maîtrisent, se charge de la légitimer et entérine une intervention militaire et le « rebelle, antidémocrate, et bourreau de son propre peuple» est balayé ou alors coffré à la CPI.
Comme résultat, les prédateurs contrôlent au moins 80% de nos économies. Il est donc logiquement impossible de penser qu’un groupe qui se taille la part de lion de nos économies puisse être ignoré lorsqu’on cherche la source de notre misère, ce d’autant plus que ce groupe ne réinvesti surplace qu’une très infime partie des gros bénéfices dégagés.
A la vue de l’ampleur du problème, l’on aurait tendance à se décourager et à penser qu’il n’y aurait pas de solution, que l’adversaire est trop fort. C’est vrai que l’adversaire est puissant, et c’est la raison pour laquelle il faudrait déjà s’accorder sur le fait qu’il n’y aura pas de solution facile, et qu’une bonne connaissance de l’organisation du monde est nécessaire.
Mais l’histoire nous apprend que des empires en apparence inébranlables ont fini par tomber, à l’instar de l’empire romain qui a reçu son coup de grâce des mains des barbares, et l’ironie de l’histoire voudrait que ces derniers aient réussi ce coup de maître parce qu’ils étaient des illettrés et ne sont donc pas tombés dans le piège de la propagande romaine qui exigeait que l’on sache au moins lire.
Prochain article : Afrique, comment briser les chaînes de la domination étrangère.
3e partie : Proposition de solutions
Pour le Sphinx Hebdo, Paul Daniel Bekima
Django
Mai 21, 2014 @ 21:43
President Rawlings challenges religions for truth … – YouTube
► 2:50► 2:50
http://www.youtube.com/watch?v=hvTXCMTf_4g
25 mars 2014 – Ajouté par Nzwamba
President Rawlings challenges religions for truth and lies. Nzwamba·554 videos …
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Socratedukamer
Mai 21, 2014 @ 19:57
Au nom de quoi les juifs doivent être les grands argentiers du monde ?
Lorsqu’une assemblée d’homme venant de différents horizons sont réunis et qu’ils entreprennent de former une nouvelle nation avec à sa tête un gouvernement, lorsqu’il s’agit de former un nouveau gouvernement , celui qu’on retiens comme chargé des affaires économique est invariablement un type ayant comme patronyme « cohen » ou « Ben XXX » bref vous l’avez compris pour s’occuper des affaires économiques on se dit toujours que celui qui saura le mieux s’en charger est un juif.
Il en va ainsi avec jospin et strauss kahn , Chirac et Sarkozy,Balladur et Sarkozy,etc…. ;
Bref il ne viendrait jamais à l’idée de responsable politique de nommer par exemple un arabe ministre de l’économie (sauf dans des pays arabes) fusse t’il brillant et ultra compétent, bref les ignares et les imbéciles préfèrent rester sur le vieux poncif du juif grand manipulateur d’argent, et donc forcément habile pour toutes les affaires touchant l’argent, la monnaie, l’activité économique.
D’abord spontanément il nous faut répondre à plusieurs questions ?
1) Pourquoi le poncif du juif grand manipulateur d’argent ?
2) Es ce que le fait de brasser beaucoup d’argent est un critère de compétence en matière de gestion financière ?
3) La finance et l’économie sont ils des notions équivalentes ?
4) Comment s’est implantée l’idée fausse selon laquelle les juifs sont les plus grands argentiers du monde (en terme qualificatif et non quantitatif)
5) Que peut on faire pour combattre la crise économique et vaincre le chômage (sans aucune prétentions quelques idées)
1) Pourquoi le poncif du juif grand manipulateur d’argent ?
Pendant tous le moyen age dans l’occident le prêt d’argent et les activités liés à l’argent étaient interdit aux chrétiens par l’église, aussi les juifs qui ne pouvaient pas travailler la terre , ni posséder la terre ou être artisan se spécialisèrent dans les activités de prêt d’argent.
Pour construire les cathédrales, les églises, faire des expéditions militaires notamment des croisades, assurer le faste de la cours des grands princes roi et seigneurs occidentaux il fallait mobiliser des sommes colossales que seuls les juifs qui avaient amassés des sommes considérables en pratiquant l’usure étaient seuls en mesure de fournir.
On rappelle que l’usure consiste à prêter de l’argent à un tiers à des taux d’intérêt prohibitif ce qu’ interdisait formellement la religion chrétienne au chrétiens.
Dès lors les juifs avaient amassés des sommes considérables en garantissant leur prêt sur des biens immobiliers du préteur.
Les juifs étaient ils donc des grands financiers ? non ! car ayant le monopole de l’activité de prêt ,il est normal qu’ayant l’exclusivité de cette profession pendant des siècles, les juifs aient fini par en avoir l’expérience et par acquérir des sommes colossales, des arabes ou tout autres peuple dans des mêmes conditions que les juifs pendant des siècles auraient fini par être des grands argentiers.
2) Es ce que le fait de brasser beaucoup d’argent est un critère de compétence en matière de gestion financière ?
Savoir accumuler de l’argent est une chose, mais savoir le conserver , l’entretenir, le répartir, savoir en faire un usage qui ne soit pas futile en est une autre.
Donc la question est celle-ci es ce que parce que je sais bombarder la Lybie en massacrant le colonel Kadhafi d’une balle dans la tête et bombarder le palais présidentiel du président légitime de cote d’ivoire Laurent Gbagbo et le déporter à la Haye pour opérer le pillage de la cote d’ivoire et de la Lybie et amasser des fortunes considérables, es ce que cela fait de moi un brillant économiste, en d’autre terme es ce que le plus grand voleur du fait qu’il à les caisses le plus rempli d’argent volé es ce que cela fait de lui un bon gestionnaire ?
Je dis que non.
Un bon gestionnaire est celui qui est capable de faire fructifier l’argent acquis par ses propres efforts, de l’investir judicieusement pour créer des emplois d’avenir.
Un bon gestionnaire n’est pas endetté, un bon gestionnaire mets une partie de ses ressources en réserve pour faire face aux temps durs.
Nul ne peut prétendre être un bon gestionnaire si l’endettement s’est aggravé pendant sa mandature.
3) La finance et l’économie sont ils des notions équivalentes ?
Finance et économie bien que très proches ne sont absolument pas des termes équivalents.
La finance c’est l’activité de prêt d’argent, de ventes et d’achats de titre, c’est la bourse, c’est aussi la gestion de la trésorerie dans le temps ; la finance c’est la monnaie c’est l’argent.
L’économie étymologiquement signifie l’art de bien gérer sa maison, l’économie c’est donc essentiellement l’emploi, les entreprises, les investissements à l’intérieur et à l’extérieur du pays, les importations et les exportations.
L’économie c’est l’activité humaine.
Un bon financier et un bon économiste c’est différent.
Il n’est pas certain du tout qu’un bon financier juif qui ne cherche que son intérêt personnel en bourse, soit aussi un bon économiste qui cherche à répondre aux problème de la collectivité comme John maynard Keynes et sa loi générale sur la richesse et la monnaie.
4) Comment s’est implantée l’idée fausse selon laquelle les juifs sont les plus grands argentiers du monde ? (en terme qualificatif et non quantitatif)
D’abord si l’on regarde bien la télévision et si on cherche à analyser les idées qui y sont véhiculées on constate que L’arabe et le noirs y sont représentées comme des délinquants ignares et consuméristes de banlieue.
A chaque fois qu’il y’est question d’économie on invitera le grand spécialiste juif dixit évidemment le grand économiste juif Elie Cohen, Fitoussi et consorts.
L’intellectuel est forcément juif dixit Finkelkraut,BHL,Elisabeth Lévy et consors du peuple élu évidemment.
Le goyim blanc français est le chômeur fainéant ou fonctionnaire toujours en grève.
Le Juif est le grand pacificateur qui trône sous son arbre tel Saint Louis pour rendre la justice du peuple élu aux goyims blancs, bougnouls et négros.
5) Que peut on faire pour combattre la crise économique et vaincre le chômage (pistes).
a) Tout le monde sait que la concentration le monopole est l’ennemi de l’emploi, au contraire plus une activité sera divisé plus cela sera propice à l’emploi ; en d’autres termes par exemple il est plus avantageux économiquement que pour l’activité de canne à sucre, que ce soit une personne qui plante la canne à sucre la récolte et la revends, une autre personne va transformer la canne à sucre dans les usines et en faire des produits finis qui seront vendus manufacturés, une troisième le commerçant sera chargé de sa commercialisation dans la grande distribution ;que ce soit la même personne qui réalise la plantation et la récolte, la manufacturation et la commercialisation dans la grande distribution.
A chaque fois que l’activité sera divisé ainsi cela sera bénéfique à l’emploi, à chaque fois que l’activité sera concentré cela sera nuisible à l’emploi.
B) Il ne faut pas que les forces vives d’une nation soient laissés en jachère même en temps de crise au contraire il faut s’efforcer de toujours mettre en œuvre tous les talents et les compétences d’une nations : les artisans, les ingénieurs, les techniciens, les manœuvres (ouvriers spécialisés et ouvriers qualifiés).
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Afrique
Mai 21, 2014 @ 18:28
http://negronews.fr/2014/04/11/documentaire-laurent-gbagbo-dans-le-tourbillon-du-golf-de-guinee/
a voir et a voir merci a tous
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allouche
Mai 21, 2014 @ 18:16
L’ Afrique ne peut être libre ! voyez les dirigeants, tous formatés par les anciens maitres.
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Django
Mai 21, 2014 @ 16:20
Sawubona Julius ! grand frère dit nous stp – YouTube
► 5:01► 5:01
http://www.youtube.com/watch?v=Oy2eW1ma7ac
10 avr. 2011 – Ajouté par commandovisible
grand frère dit nous stp. commandovisible·13 videos …. grand frère parle de GBAGBOby commandovisible2,027 …
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Django
Mai 21, 2014 @ 16:22
Grand frère et les chefs d’état Africains – YouTube
► 3:05► 3:05
http://www.youtube.com/watch?v=c1kHLuKNGMs
10 avr. 2011 – Ajouté par commandovisible
il nous parle des marionnettes de l’occident en Afrique. des pseudo … 3:58 grand frère parle de GBAGBO by …
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seydou
Mai 21, 2014 @ 15:18
L’intervention kemi seba reflète exactement le cas Malien. Un pays, le mien, qui n’a jamais connu en réalité de problème ethnique se voit imposé aujourd’hui une guerre sous prétexte de guerre Touaregs et en terme diplomatique le problème Nord Mali.
Le monde doit savoir que le MNLA qui joue les « i diots Utiles » des puissances étrangères car protégé et financé par ces « grands pays » est un tout petit groupe de la communauté Touaregs qui elle aussi ne représente que 10 % population du NORD MALI.
A ce jour, la France a déjà sa base militaire installée dans la zone qui regorge de ressources minières et pétrolières
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fredo
Mai 21, 2014 @ 10:45
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Etoile
Mai 21, 2014 @ 13:15
Le franc CFA ,une monnaie raciste de type nazi imposée par la France ,tous ceux qui voudront s’en débarrasser trouveront l’OTAN sur leur chemin,ils seront assassinés,emprisonnés ou destitués.Exemple : Modibo Kéita,Mathieu Kérékou,Thomas Sankara,Laurent Gbagbo,…Etc.Le Guide Mouammar Kadhafi voulait créer une monnaie africaine, on peut constater le résultat !
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veloceexpress
Mai 21, 2014 @ 10:04
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
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salim
Mai 21, 2014 @ 9:47
A lire ce texte bien explicite on arrive à la conclusion que les juifs sont bien une race qui n’a aucune racine pour ne pas dire autre chose.
Un ramassis hétéroclite qui veut se donner une consistance, à partir de rien. Ils ont été dispersé il y a de cela plus de 5000 ans. A l’origine brun et yeux marrons ou noirs. Maintenant ils sont blonds aux yeux bleus. Et ils ont le culot de dire que nous sommes une race pure.
Usant d’interdictions, et de lois répressives, ils veulent forcer le monde à reconnaitre ce peuple qui est venu des 4 coins du monde. Et si une analyse d’ADN est faite, rares sont ceux qui pourront prétendre et se targuer d’avoir réellement des origines d’Israël.
https://www.facebook.com/pages/Le-nouveau-d%C3%A9sordre-mondial/161850650627979
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Monsieur Netanyahu est antisémite !
http://www.info-palestine.net/spip.php?article14561
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algerien
Mai 21, 2014 @ 9:29
20 mns entre deux attentats au nigeria,et le resultat un carnage sans precedent de 118 morts!!!!!!
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algerien
Mai 21, 2014 @ 10:35
Israël accusé d’avoir « exécuté » deux adolescents (vidéo)!!
http://www.algerie1.com/actualite/israel-accuse-davoir-execute-deux-adolescents-video/
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algerien
Mai 21, 2014 @ 9:24
Quand les etats unis decident ,alors on passe a l action secretment,en une operation eclaire!Encore un signal fort flagrant de qui seme le desordre.
En effet,Le chef terroriste algérien Mokhtar Belmokhtar plus connu sous le sobriquet Belaouer( le borgne) aurait été arrêté avant hier par des forces spéciales américaines en Libye.
Son arrestation ainsi que celle de ses lieutenants est intervenue après l’assaut donné contre les groupes armés terroristes par le général libyen Khalifa Haftar.
Selon des sources sécuritaires libyennes citées par plusieurs médias, l’émir de la phalange Al Mourabitoune ainsi que ses acolytes ont été neutralisés à la suite d’une opération lancée conjointement entre des forces spéciales US et les fidèles du général Haftar.
Depuis Belmokhtar est entre les mains des Américains dont certaines sources n’écartent pas son transfert vers les Etats-Unis d’autant plus qu’il figure sur sa liste des recherchés dans le monde.
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Estelle
Mai 21, 2014 @ 8:44
C’est un texte d’une profondeur indicible.
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fc
Mai 21, 2014 @ 9:25
Je sais maintenant que vous savez lire,mais vous n’êtes pas la première malheureusement !!!
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de maistre
Mai 21, 2014 @ 8:42
juste pour rire
L’UE “très préoccupée” par la situation en Libye
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algerien
Mai 21, 2014 @ 9:33
Avec le general sissi,et le soutien total au general khalifa haftar en lybie ,les etats unis semblent ,avec la france mettre une fois pour toute le paquet pour stabiliser le nord afrique!!!
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algerien
Mai 21, 2014 @ 14:30
Le parti Ennahdha condamne la «tentative d’un coup d’Etat en Libye» et soutient ses «frères» islamistes à la tête du gouvernement et du parlement à Tripoli.
Dans un communiqué publié lundi 19 mai, le parti de Rached Ghannouchi a dénoncé «le recours aux armes pour exprimer une position politique», ajoutant que toutes les parties engagées en Libye «doivent assumer leurs responsabilités, oeuvrer à la mise en place d’un Etat de droit avec des institutions stables et parachever ainsi la période de transition.»
Ennahdha a notamment mis en garde contre la prolifération des armes en Libye, un pays aujourd’hui au bord de la guerre civile.
Après avoir bombardé, vendredi 16 mai 2014, un camp du groupe jihadiste Ansar Charia à Benghazi (ouest), Khalifa Haftar, général à la retraite, soutenu par l’armée et plusieurs groupes politiques et tribaux influents, poursuit une offensive contre les islamistes radicaux, appuyés selon lui par Al-Qaïda et des membres du Congrès général national (CGN). Khalifa Haftar semble décidé d’aller jusqu’au bout dans ce qu’il appelle «le nettoyage de la Libye de tous les islamistes radicaux».
Ce général à la retraite, proche des Américains, une sorte de Sissi libyen, a donc tout pour déplaire à Ennahdha, qui ne souhaite pas que ses alliés, les Frères musulmans, chutent en Libye après avoir perdu le pouvoir en Egypte.
Kapitalis l actualite autrement
21/05/2014
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Estelle
Mai 21, 2014 @ 8:16
Prem’s !
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