« Des cris de joie, des cris de joie, des acclamations, des acclamations « dit un cantique, biblique donc, et/ou d’adoration. A la veille de ses deux ans à l’Elysée, les amis de François Hollande vont quitter Homs, deamin au plus tard, la queue entre les jambes mais, protégés par l’ONU. Un vrai canular ! Ces terroristes, près de mille sur Homs, que s’évertuent à nommer « rebelles ou « insurgés » la presse mainstream esclavagiste et criminelle, ont la défaite amère. « Allah akbar » crient-ils encore ? De vrais clowns !
Le coup est rude pour cette horde de barbares financés par l’Occident et les pays du Golfe. Néanmoins, ce qui est terrible pour l’armée arabe syrienne, alors qu’elle pouvait exterminer ces fous à lier, c’est l’accord. Que stipulait-il ? Les terroristes quittent le centre de Homs avec leur famille en emportant leurs affaires personnelles dans des valises. Ils sont ensuite transportés dans des bus aux vitres teintées vers le nord (la Turquie, l’un de leur parrain tremble). Ils seront escortés par la police en n’ayant quand même un lance-roquettes -étonnant-, mais assisté par un membre de l’ONU et heureusement, un représentant iranien. Ils seront les garants des véhicules. Comme un marché de dupes mais, ce départ est important.
Cet accord prévoit aussi la libération de 70 otages détenus par les islamistes à Alep, ainsi que leur départ de deux villages chiites qui refusent d’obéir à leur charia. Charia à la sauce mensongère où, un clown peut décréter que demain il est interdit de manger des tomates. Et si vous le faites, c’est la condamnation à mort. L’Iran a joué un rôle prépondérant dans cette issue et, les pays du Golfe et les Occidentaux n’ont plus que leurs yeux pour pleurer.
Voilà trois ans d’effort, qui visiblement tombent à l’eau. L’internationale terroriste, dont les miasmes morbides ont détruit la Syrie, retournera dans ses émanations putrides. Qu’il pleuve ou qu’il neige, l’élection présidentielle syrienne aura bel et bien lieu le 3 juin prochain. Et ceci, n’en déplaise aux esprits chagrins et ennemis de la Syrie…
lafleurs
Mai 6, 2014 @ 22:43
AH Mais parmi les « combattants de Homs », qui doivent être évacués…. il y a une vingtaine officiers français, et d’autres mercenaires également français et c’est Guéant qui s’en occupe !
Voici l’info !
IRIB-Un cessez-le-feu est intervenu entre la Syrie et les mercenaires
qui occupent le vieux Homs pour permettre l’évacuation de ces derniers et la libération totale de la ville.
Un millier de combattants pourront quitter le centre de Homs avec leur famille, en conservant leur arme individuelle. Ils pourront aussi emporter leurs affaires personnelles dans des valises et seront transportés vers la Turquie dans des bus aux vitres teintées, escortés par des policiers. Les blessés, s’ils sont d’accord, seront transportés dans des ambulances du Croissant-Rouge syrien. Les combattants devront remettre avant de partir la carte des mines qu’ils ont posées.
Cet accord n’est pas sans rappeler celui intervenu fin février 2012 entre la Syrie et la France pour l’évacuation de l’Émirat islamique de Baba Amr. À l’époque, environ 3 000 combattants et une quarantaine de familles de civils qui les soutenaient étaient assiégés dans le quartier de Baba Amr où ils avaient proclamé un Émirat islamique et fait fuir la population après avoir égorgé plus de 150 personnes pour non respect de la Charia. Les combattants étaient encadrés par une vingtaine d’officiers français. Un accord fut conclu entre Assef Chaawkat et Claude Guéant permettant leur évacuation et la reddition des combattants. Il se poursuivit par un accord de paix entre les deux pays, la restitution d’autres prisonniers militaires français à la frontière libanaise et la conférence de Genève 1. Cependant, cet accord fut rompu par le nouveau président français, François Hollande.
Dans le cas actuel, on ignore quel État étranger encadrait les mercenaires. Toutefois l’accord a été négocié par l’intermédiaire de l’Iran. Il prévoit également la libération de 70 otages détenus par les islamistes et de deux villages chiites.
Durant les négociations de Genève, les représentants de l’opposition pro-saoudienne avaient considéré comme une priorité la fin du siège du vieux Homs, laissant à penser que des soldats d’un pays de l’Otan y étaient présents.
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lafleurs
Mai 6, 2014 @ 20:26
A s’étouffer de colère : ces ex tortionnaires des peuples arabes et autres récidivent ex mandataires : France Angleterre, ex nazis Allemagne; ex- exterminateurs du peuple libyen : l’italie ; génocidaire d’Arméniens, l’Erdogan-touraniste kémaliste ; et les bédouins aux bakchichs pétroliers ! Amis du peuple syrien ! Des voyous qui ont sur la cons,cience de millions de victimes, dans ces peuples visés par leur » amitié » mortelle ! Et pas de honte et ce Hollande écumant qui ose parler de la Syrie qu’il doit avoir de la peine à localiser sur une carte ….Ah qu’il dégage !
Info sur O le Jour « Les ministres des Affaires étrangères des onze pays membres du groupe des Amis de la Syrie vont se réunir le jeudi 15 mai à Londres, a annoncé le Foreign Office britannique mardi
Les onze pays concernés –Royaume-Uni, Allemagne, Italie, France, Arabie saoudite, Emirats arabes unis, Qatar, Egypte, Jordanie, Etats-Unis, Turquie– vont se retrouver à un peu plus de deux semaines de l’élection présidentielle du 3 juin en Syrie, qualifiée de « parodie de démocratie grotesque » par Londres.
« Cette réunion intervient avec en toile de fond la répression aveugle et massive des populations civiles par le régime (du président syrien Bachar el-Assad), le projet de tenir des élections qui seront une parodie de démocratie grotesque et l’échec total du régime d’assurer un accès humanitaire », a souligné un porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères. «
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setsae
Mai 7, 2014 @ 1:40
Merdogan kémaliste ?!
Mustapha Kémal aurait préféré la mort à intégrer l’OTAN et l’Union Européenne, c’était un pur isolationniste qui refusait toute alliance! De plus, c’était un laïque véritable, qui abhorrait l’islam. Il s’est sacrifié à 200% pour sa cause sans jamais retourner sa veste, allant jusqu’à perpétrer les crimes les plus ignobles en Arménie et au Kurdistan pour faire de la Turquie une nation moderne et indivisée. Ceci n’est pas à son honneur, certes. Mais merci tout de même de ne pas salir sa mémoire, lui qui a tenu la dragée haute aux plus hauts politiciens de son époque, au contraire de cette pourriture servile d’Erdogan.
Juste dit en passant; je suis d’accord avec le reste de votre discours, sinon. Il convenait de rendre à César ce qui est à César…
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lafleurs
Mai 7, 2014 @ 14:32
Oui très juste pour Musapha kemal mais en fait je pensais à l’affaire du mohafazat d’Alexandrette… Et à ce propos j’ai lu que les Turcs accentuèrent leur pressions sur les mandataires français juste à l’époque e la découverte de pétrole « à dix kilomètres au sud d’Alexandrette (iskanderun) .A la même époque les mandataires anglais s’emparaient des découverte petrolières en Haute djézire ;;
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lafleurs
Mai 6, 2014 @ 19:41
simone lafleuriel-zakri
18:02 (Il y a 33 minutes)
Illustrations à retrouver sur mlfcham.com Hama : avec plein de mes photos
Mais j’ignore dans quel état sont ces mangifiqiue roues qui ne peuvent rester longtemps sans eau et sans réparations !
A la descente du bus : La noria dans le jardin public
« Dans l’aimable ville de Hama, tout empêche de penser à rien. Rapide et brillant de lumière, l’’Oronte coule entre les saules, les peupliers, les grenadiers et des noyers énormes, comme je n’ai vu que là-bas. De distance en distance, d’immenses roues…vont porter leur eau en plein ciel…Une longue caresse musicale sort de ces roues gémissantes; c’est assez indéfinissable, quelque chose comme un bruit d’orgue ou de cloche lointaine, un vague meuglement de troupeau, un frelon qui bourdonne, un murmure de sirène, une harmonie continue, qui est le silence d’ici, et où chaque roue met sa note, sa vibration particulière.
Inlassablement, l’eau monte emportée par l’effort du fleuve (…). C’est un rêve oublié au bord de l’eau, une poésie musicale faite de rien, d’amour, de nonchalance, de chants d’oiseaux dans les verdures mouillées, une construction d’azur et de songe, bâtie de matériaux fragiles, on ne sait pas par qui ni pourquoi, et qui ne tient en équilibre que par la puissance d’un rêve.
Extrait tiré de l’ouvrage Le Chemin de Damas, des deux frères Jérome et Jean Tharaud.
De la Syrie et de l’Orient, ils nous firent tant de subtiles descriptions de régions où ils se promenaient mais comme des colons en terrain conquis. Nous leur devons cet essai, parmi tant d’autres et par d’autres auteurs, de définir le gémissement si particulier de la noria en travail !
Plainte lancinante ou caresse chantante : la Voix des norias :
Noria…Le mot est dit inspiré du bruit que fait la roue quand elle se meut. Le dictionnaire semble le confirmer qui donne d’abord pour ce mot une signification hésitante entre divers bruits à vrai dire plutôt désagréables : nasillard, criard ou grincement ….
Au singulier, la roue se dit naour. C’est une très ancienne structure hydraulique conçue pour puiser et distribuer l’eau en utilisant la seule force du courant ! Mais est-il si discordant ce son que chacun des illustres visiteurs qui firent halte en la ville tente de décrire à sa façon : son agréable, attachant et même mélodieux, longue caresse musicale ou crissement des roues d’un char tiré par des bœufs, murmure de sirène ou plainte lancinante, grincement plaintif, vague beuglement ou harmonie continue ?
Et qui des deux protagonistes rendit en France l’autre célèbre : Maurice Barrès qui chanta la noria, ou la noria qui fit connaître le « Jardin sur l’Oronte » et la naour de son jardin oriental d’un temps sublimé des kan ya ma kan…Il était une fois ?
Noria… Barrès : Ces deux sont désormais très souvent liés par ce texte qui évoque ces « roues ruisselantes qui tournent jour et nuit, au fil du fleuve, pour en élever l’eau bienfaisante et qui remplissent le ciel de leurs gémissements… »
Même s’il n’avait pas lu Barrès, tout voyageur en Syrie s’arrête saisi, lorsque, à sa descente du taxi ou de l’autobus sur la grand-place de Hama toute proche du jardin public central ou sur l’une des rives bordées de végétation de l’Oronte qui baigne la ville, ce son étrange, indéfinissable, si touchant et inoubliable l’atteint. Ce gémissement ne ressemble, il est vrai, à aucun autre, mais comme aussi le passage d’un godet à l’autre de ces filets d’eau à peine captés et qui semblent déjà, vouloir s’évader. Le précieux liquide, à peine recueilli au niveau des berges, s’échappe en s’élevant, pour rejoindre plus bas le lit de son Assi ! Il fuit en mille filets d’eau qui dans le soleil brille en une longue chevelure coulant d’un axe à l’autre de la roue. Tout visiteur contemple sans se lasser, cette bruissante élévation de l’eau, intrigué aussi par la complexité de l assemblage de bois sombre, à première vue hétéroclite. Cette haute roue paraît si usée, si fragile ! L’ensemble plonge à grand peine, et en geignant beaucoup, ses roues dans l’étroit chenal où est conduit le courant du fleuve rebelle. Le mouvement semble s’arrêter, s’attarder. Il semble vouloir refuser de monter jusqu’à l’aqueduc, là-haut, sa charge d’eau. Mais ce n’est qu’hésitation d’un instant. Le mouvement repart, jamais lassé, et la vieille roue, impassible, accomplit son tour, plonge à nouveau et se relève et c’est sans fin !
Tout cela semble ne tenir que du bricolage d’artisans certes ingénieux mais en mal de matériaux sophistiqués !
Pourtant il ne faut que peu de temps à l’admirateur figé d’étonnement en bas de la roue pour se rendre compte de la perfection du système.
Il lui est facile de comprendre aussi que dans sa complexité si ingénieuse, cette roue appartient au patrimoine du pays au même titre que ces architectures prestigieuses qui passionnent les spécialistes des savoirs et savoir-faire de Syrie.
Ces roues et les techniques qui présidèrent à leur fabrication, les savoir- faire des charpentiers d’aujourd’hui comme toute cette somme d’expériences accumulées au fil des millénaires sont ces temps menacés. Ils ont pourtant abouti à cet engin parfait, infatigable et qui n’a besoin d’aucune aide pour accomplir sa tâche. Mais des centaines de roues qui alimentaient les maisons, les hammams et les jardins des villages et de Hama et de la région, seules quelques-unes continuent à tourner, anxieuses d’atteindre, au jour le jour, le niveau trop souvent bas du fleuve. Il leur faut pourtant à ces roues trouver l’exacte charge d’eau à élever car c’est elle aussi qui humidifie la structure, condition Sine qua non de sa survie. Il n’est pas question pour ces bois de se dessécher !
Ces dernières années mieux protégées, préservées, les norias risquent toutefois de ne plus faire partie du paysage des Syriens de demain !
Les populations locales leur restent encore très attachées. L’absence de leur bruit qui berce le sommeil du tout petit à l’ancêtre les empêche de dormir lorsque , pour cause de réparation ou par retenue d’eau au barrage, la noria s’immobilise !. La roue est comme une présence humaine, comme une géante bienfaisante dont le bruit atteste qu’elle veille sur la ville, qu’elle ne s’endort pas non plus quand la nuit a envahi les jardins ou que les besoins jamais satisfaits des humains affaiblissent le cours du fleuve et ralentissent dangereusement sa rotation.
La noria une chevelure d’eau qui baigne l’axe
Noyer, peuplier, abricotier, mûrier même …
L’efficacité de la noria dépend de constructions en pierre : de l’aqueduc qui reçoit l’eau dans le canal porté haut par ses arches et du petit barrage qui contrôle le niveau de l’eau. L’eau est conduite par un réceptacle parallèle à la roue et aussi large que possible. Le long aqueduc repose lui sur une enfilade d’arcs et il distribue l’eau du plus près au plus loin pour les constructions proches plus ou moins privées : palais, mosquées bains publics et usages domestiques. Enfin le très précieux liquide est distribué dans les jardins par les canaux d’irrigation. Une petite noria solitaire encore en état fonctionne encore tout en bas de la forteresse assez ruinée de Shaizar. Ce fort qui ne fut que musulman est situé à une vingtaine de kilomètres de Hama et semble surveiller le cours à cet endroit très encaissé de l’Oronte. Du donjon, il domine la plaine du Ghab qui, vers l’ouest, et du nord au sud s’étend au pied des murs. Haut perchées sur un éperon rocheux, ses longues murailles en ceinturent toute la cime et protègent encore quelques habitations. Nous, dans le jardin public, découvrons la roue plutôt modeste mais encore vaillante qui s’élève un peu en retrait de la route… S’élevant à proximité de deux ou trois gros mûriers qui semblent très prospères sur la rive humide, la noria reçoit du fleuve ce qui semble n’être plus qu’un modeste cours d’eau mais, par son aqueduc assez délabré et fissuré elle continue à irriguer les champs alentours.
: Hama la mosquée vue des norias…
La construction et l’entretien constant des norias fournissent depuis des siècles, du travail à une corporation de maîtres charpentiers – des mouallem renommés. Par longue expérience transmise depuis toujours, ils savent choisir, dans les arbres des vergers de l’Oronte, l’exact bois nécessaire à chaque partie de l’engin : noyer, mûrier, peuplier, abricotier, chêne vert. Tous ces arbres sont conviés pour participer à l’élaboration de chacune des pièces : mûrier ou noyer pour l’arbre ou l’essieu principal et horizontal et pour le double coussinet – le kitf- sur lequel il repose. C’est du frottement de ses pièces que provient le bruit si caractéristique!
L’abricotier intervient pour leur assemblage ; le noyer est choisi pour les a’atab ou morceaux de bois reliés à l’arbre. Ces a’tab – a’tabe au singulier- ne sont jamais plus de seize, quelle que soit la hauteur de la roue. Le noyer, encore lui, sert pour les cercles ou jantes externes ou internes et pour les bras reliant le a’tab de la roue- à la jante.
À l’exception d’un morceau en fer forgé, toutes les parties de la roue : les pales rayonnant à la périphérie, les caisses avec le bec verseur ou les godets- sanadiq- sont en bois et sont assemblés par des coins et des chevilles en bois. La longévité de ces bois est variable ; leur usure est surveillée avec attention. Les parties en bois sont continuellement entretenues et les pièces usées sont régulièrement changées, mais seul l’axe est changé tous les vingt-cinq ans.
Si toutes les roues à eau sont désignées par l’appellation générique de « noria » de l’Indonésie à la Méditerranée, les nawahirs de l’Oronte sont de machines hydrauliques mises en rotation par la seule force du courant et sans aucune aide ni effort d’origine animale ou humaine. C’est la solution retenue par ces norias hamayotes et elles portent pales et godets sur un support unique : la roue.
Dans le coeur de la roue et autre détail l’escalier de pierre
5: Détails de la roue les godets
Presque toutes les roues de la région étaient installées sur moins de cent kilomètres qui séparent la région de Rastan, au sud, à celles de Shaizar, au nord, quand le torrent impétueux, le Nahr al Assi : l’Oronte, se fait fleuve assagi, régulier et exempt de grosses crues. Il insinue alors, à cet endroit de sa vallée, entre des berges solides, des bonnes eaux constantes, nourries des eaux souterraines réserves des massifs et des jebels voisins. Son cours se ralentit, se divise en branches, s’étale. Autrefois, il se perdait un peu cherchant alors son chemin dans les marécages de la plaine
Images intégrées 2
Photo prise par les Etablissements ARDO, avenue Baron Alep : Kan ya ma kan
Plainte lancinante ou caresse chantante : la Voix des norias
Les norias sont certainement la principale attraction de Hama. C’est aussi le symbole de la ville située à plus de deux cents kilomètres au nord de Damas et en bordure du fleuve Oronte. Hama se visite surtout pour son ensemble de roues toujours en activité. Pourtant la ville a son histoire et une antique présence même si l’origine des roues est, elle aussi, très ancienne. Le tell de la citadelle compte treize niveaux archéologiques, le plus ancien datant du néolithique. L’utilisation de roues à eau en Syrie remonte aux périodes classique et hellénistique, peut-être même à celle des Nabatéens au deuxième siècle av. J.-C. La première mosaïque, datée de 469 avant notre ère et trouvée à Apamée, figure un engin aux dispositifs assez proches du modèle encore en action. Hama est la Hamath araméenne et l’Ephiphania séleucide embellie par Antiochus IV Epiphane. Les roues à eau fonctionnaient, nombreuses, à l’époque de l’Emathe byzantine. Certaines norias comme en témoignent les dates portées sur l’écusson du fondateur ont plusieurs siècles !
Devenue musulmane au VIIe siècle, la période de prospérité ayyoubide à partir du 12e s. plonge Hama au centre des rivalités Syrie-Egypte. Et, tout comme à Homs, la ville et ses émirs doivent souvent choisir leur camp entre le sultan du Caire, le malik de Damas et les petits princes des environs pourtant tous de même sang !
Si Alep et Damas sont les centres les plus prestigieux du grand Bilad Cham que se disputent de façon récurrente les descendants de Saladin aux prises, de plus, avec les Franjs, Hama avec ses propres provinces joue également un rôle politique et économique important. La région est riche et bien située à un carrefour de routes millénaires. Aussi les récurrentes luttes internes à la famille des Ayyoubides, sur le point d’ailleurs de s’éteindre au cours du XIIIe siècle, ne semblent pas avoir trop nui à l’activité de ses marchands et de ses artisans.
Au XIIe siècle, Ibn Jobaïr : célèbre voyageur andalou qui revient de son premier pèlerinage à La Mecque et en Arabie, va de l’Irak vers la Syrie et Damas. Il se propose de retourner chez lui en Andalousie en se dirigeant vers la Méditerranée et retrouver la terre ferme en Sicile… Au cours de l’été 1184, et par avoir quitté Alep à la mi-juin, il passe par Hama et décrit la région dans sa Rihla machrekiyya : son « Voyage oriental ». Il arrive à Hama par sa plaine couverte de vergers et de vignobles, riche en terres labourables de cultures diverses et de jardins qui se succèdent tout le long des deux rives de cet Al-‘Açi « rebelle » . Ce nom fait croire, explique -t-il, que l’Oronte « coule de bas en haut alors que son cours réel est dirigé du sud au nord… » Il poursuit :
« Que Dieu la conserve ! Cité illustre entre les cités, depuis longtemps en coquetterie avec le temps, elle n’est point étendue ni en surface ni magnifique par ses bâtiments … »
Le pèlerin andalou explique que la ville cache ses charmes et mérite, pour être découverte, de consacrer du temps à l’explorer. Lui n’y restera qu’une journée avant de gagner Homs. Bien sûr il décrit, très poétiquement à défaut d’être précis, les norias de ce fleuve qu’il découvre à l’est et qui s’étale dans la dispersion de ses rameaux :
« Sur ses deux rives, les roues d’irrigation se font signe, et sur les deux bords se serrent des jardins dont les branches les recouvrent et dont la sombre verdure y apparaît comme le duvet sur de jeunes joues. Le fleuve se glisse sous leurs ombrages et coule au rythme de leur harmonie… »
Ibn Jobaïr remarque aussi et avec plus de détails précis l’arrivée de l’eau dans les habitations.
« Sur l’une des rives qui bordent le faubourg des lieux de purification s’ordonnent en une rangée de chambres bien aménagées ; l’eau élevée par l’une de norias en traverse toutes les parties ; le fidèle y fait ses ablutions sans subir aucune gêne…
Il décrit la Ville basse avec son pont qui la relie à son faubourg la Ville haute, ses souks admirablement agencés et très fournis et ses mosquées, ses madrassa et son hôpital…
: Hama :une autre ancienne carte postale, elle, destinée aux touristes de Beyrouth kan ya ma kan !
Toutes les roues ont leur nom propre rappelant le village ou la terre ou le champ arrosé, ou le propriétaire fondateur, ou le donateur. Les plus anciennes norias subsistantes sont attribuées aux seuls propriétaires du lieu. L’une des deux plus grandes norias domine la ville avec ses vingt et un mètres de diamètre et plus de dix-sept mètres de haut et de son aqueduc. Particulièrement long, le canal sur arches alimente le quartier de la Grande Mosquée, à près d’un kilomètre de l’Oronte.
La plus connue : la Mohamadiyah porte une inscription la datant de la période mamelouke en 1361. Elle est située dans Hama. Elle a un diamètre de vingt et un mètres et porte cent vingt godets. Bien religieux, elle appartient à la Grande Mosquée. À cette époque, l’eau court par l’aqueduc vers le bain public : Al Zahab, puis au jardin de la mosquée et à ses propriétaires.
La Mamouriyyah est la deuxième plus grande noria. Elle a également vingt et un mètres de diamètre. Elle date des débuts de la période ottomane (867 H / 1453 J.-C.). Son eau alimentait autrefois neuf mosquées, quatre bains, des entrepôts ou khans, puis irriguait de nombreux champs. En outre, par deux canaux, elle entretenait deux cent cinquante puits et fontaines.
La noria Jabbariyyah proche du musée de Hama et du bimaristan al Nouri fut reconstruite de toutes pièces en 1980. Propriété de la famille Kilani, elle irriguait avec deux autres norias, les champs alentour.
On donne à ces champs le nom de zour et aux terres bordant les rives du fleuve. Chaque zour possédait une ou plusieurs roues arrosant une ou deux parcelles ou boustan.
Sans ces roues, le développement de toute cette région n’aurait pas été possible, pas plus que le travail des petites industries ou le ravitaillement en eau de ces villes prospères. Les palais et les demeures au décor raffiné étaient dotés depuis des siècles de toutes les commodités. Ainsi le chauffage des maisons et l’eau des bains privés se faisait par une conduite d’eau incluse dans la maçonnerie.
Promenade d’Apamée à Hama
« De hautes murailles de pierres , alternativement noires et jaunes, réflètent leurs damiers déformés dans la rivère qui fuit …des vieux ponts en dos d’ânes, eux aussi noirs et dorés se cassent brusquement au milieu de la rivière…Et des coupoles de palais…entre les cimes des peupliers ou les dômes puissants des noyers, semblent des bulles de savon prêtes à s’envoler dans l’air chaud.
J.et J. Tharaud
Notre arrivée à Hama se faisait le plus souvent en fin d’après-midi. Nous revenions alors d’un long tour qui, d’Alep, nous avait conduit dans les villes byzantines du jebel Zawihé à Apamée. Et comme d’habitude, en matinée, nous avions longuement vagabondé dans les ruines de ces villes figées dans leur corset de pierre intact et que l’on découvre à Al Bara, sous les oliviers et les mûriers ou comme à Sergilla baignée de soleil sur le haut d’un petit oued ! Puis nous avions une fois encore longé, en aller et retour, la longue Colonnade d’Apamée à partir de la petite cafétéria installée, sans se soucier de l’importance d’un emplacement très stratégique, au croisement du cardo et du décumanus ! Et en tentant de fuir, en été, un soleil très ardent, en suivant l’ombre portée du haut portique, nous avions parcouru en visiteurs les plus souvent solitaires, les deux côtés du site, des remparts du sud aux thermes du nord ! Vers l’ouest se découpait à quelques centaines de mètres la colline surmontée par
Qal’aat al Mudiq et son village serré tout autour de l’enceinte ou bien abrité à l’intérieur même du site toujours habité ! Les vestiges d’Apamée étaient souvent, au printemps, baignés d’herbe haute dans de longues parcelles encore en partie cultivées et dominées en leur centre par l’enfilade de ces colonnes diversement torsadées . Les enfants y découvraient à cette époque encore propice à de longues explorations du site assez vierge, de minuscules tortues qu’ils devaient, à très grand regret, laisser vaquer à leurs affaires parmi les pierres et les chapiteaux écroulés.
La route la plus courte pour Alep était de rejoindre Khan Sheikoun sur l’autoroute, à l’est, mais le plus souvent nous revenions au bercail en prenant la direction de la plaine et vers Hama, à une cinquantaine de kilomètres plus au sud.
L’arrivée dans la ville se faisait par les quartiers très neufs et très modernes de l’ouest. Par une longue rue, nous descendions au centre de la ville vers le quartier des norias !
La visite pouvait commencer par le petit pont qui enjambe l’Oronte près d’un terre-plein ou place qui nous permettait habituellement de garer le véhicule qui nous ramenait de la visite à Apamée, mais aussi de la découverte des régions du Ghab.
Toute proche, s’élève la mosquée an Nouri à la longue façade basse et au sommet coiffé de trois petites coupoles blanches, Elle fut édifiée au XIIe siècle par Nour-ed-Din Zengi. Son minaret carré, à faces rectangulaires, joue de ce contraste de basalte noir si souvent présent dans l’architecture de Hama et, là, tressé en deux larges bandeaux sur fond de calcaire ocre. L’intérieur conserve un Minbar orné de bois précieux et délicatement sculpté, un présent du sultan !
À gauche, nous suivions une fois encore la ruelle qui longe le fleuve à notre gauche. Elle nous conduisait, après un passage voûté assez bas sous l’édifice, aux deux norias couplées dont on peut très bien approcher l’imposante structure maçonnée. Cette base porte les roues et l’aqueduc. De la petite cour qui donne juste au bas de la grande roue, il est facile de détailler l’assemblage en triangles décentrés : les ‘at’ab. On peut y observer, au plus près et en fin de course de la plus petite des norias, le canal où la roue s’insinue et le déversement de l’eau dans les auges de pierre.
Des adolescents étaient là, à la belle saison, nageurs rieurs et intrépides qui, pour les touristes s’accrochent à la roue et s’élèvent avec elle pour ensuite plonger dans le fleuve. Les derniers temps, le propriétaire avait décidé de monnayer la vue au plus près de la noria et en surveillait l’entrée !
La même ruelle sinueuse, bordée des hauts murs à appareillage de pierres noires et blanches alternées, nous conduisait ensuite au musée installé dans le très fermé mais très élégant palais Azem. Il fut en partie détruit lors des affrontements en 1982 de l’armée syrienne et des frères musulmans.
Un palais sur l’Oronte :
Palais Azem :vue sur les jardins et l’Oronte en contrebas
le Le palais domine l’Oronte : le salon d’honneur
Le palais fut longtemps en rénovation. À nos derniers passages à Hama il était, enfin, ouvert au public. Il vaut mieux avant d’aller admirer les collections, aller visiter l’agencement du palais, typique du luxe des grandes demeures syriennes du XIIIe siècle ottoman.
Dans le haremlik, autrefois interdit au visiteur étranger, et accessible seulement par un étroit couloir en chicane, le visiteur s’arrête tout d’abord dans la cour intérieure ombragée d’orangers ou de citronniers vigoureux. Le bassin central sous le feuillage d’un très vieux et très imposant magnolia remplit toujours par de très jolis robinets ouvragés. Une partie est dévolue au musée. Le très haut iwan, à l’étage, served comme toujours de salon d’été. Le selamlik destiné aux visiteurs du maître de maison se trouvait à l’étage comme les autres pièces de réception. La grande salle protégée du soleil par portique à fines colonnes, s’ouvre sur la terrasse ornée par un joli bassin, et qui domine le fleuve ! Le décor en était très raffiné : porte de bois ciselé ; fenêtres à encadrements de stuc finement gravé et ajouré ; rangées de muquarnas portant sur une parfaite et élégante coupole peinte et éclairée de vantaux et portée par des arcs en pierres des habituelles couleurs alternées : noir blanc ocre ; murs ajourés de motifs entrelacés et de bandeaux de pierre colorée où dominent les tons des couleurs habituelles : Blanc, ocre, noir…Les plafonds sont de cyprès incrusté de nacre, ivoire et autres matériaux précieux. Le palais disposait en outre d’un bain et, dans la cour, d’écuries pour les chevaux nombreux du seigneur de Hama ! Dans le musée proprement dit une très unique mosaïque est conservée à l’entrée. Retrouvée à Homs, elle représente une scène rare : un groupe de musiciennes et leurs instruments très reconnaissables : cymbales, flûtes lyre, castagnettes…Deux enfants joufflus actionnent la soufflerie de ce qui semble être un org
Après avoir quitté le palais, nous nous rendions par la rue circulaire qui longe la partie sud de la citadelle au jardin public. Envahi par les promeneurs, bordé de cafés, il est dominé par la noria la plus visitée de la ville ! Il nous restait peu de temps pour la mosquée d’Abu’l- Fida sur les vestiges d’un temple romain et d’une église byzantine ; Les deux princes de la ville reposent dans deux mausolées aux bois d’ébène incrustés de nacre. Mais plus que le souvenir du zengide Nour ed Din, c’est celui de l’émir d’origine ayyoubide du 14e siècle mamelouk : Abou al Fida imad ad Din, fin poète et historien et surtout connu comme géographe sous le nom d’Abulfeda qui imprègne le lieu !
Il nous restait pourtant toujours le temps d’une courte promenade le long du fleuve. Les berges occupées par des restaurants et jardins d’été dépassées, plus loin, nous nous arrêtions près d’un petit barrage dont les larges dalles plates émergentes à peine permettent de franchir au courant l’eau qui,lui, se glisse et tombe en bouillonnant juste en bas. Un très ancien moulin était encore en état de fonctionner. le propriétaire s’empressait à chaque visite de nous en faire visiter toutes les parties. En face, sur l’autre rive, s’étendaient déjà les jardins un peu isolés du centre ville. Un chemin y serpentait dans les carreaux plantés. Bordé de figuiers de barbarie vigoureux, de grenadiers déjà parés de fleurs très rouges, et des touffes de grands roseaux qui semblaient vouloir en défendre l’accès il se perdait dans la végétation dense.
Quand notre voyage se limitait à Hama et la région toute proche alors nous faisions de longues visites aux souks : les deux grands khans ottomans au centre de la ville, et nous allions nous fournir chez leurs tisseurs, en linge de coton tissé avec filets d’argent ou d’or pour le bain ; une spécialité réputée de la ville et depuis de siècles. Mais nous n’oublions jamais l’arrêt au souk bédouin plus modeste du nord de la ville en direction d’Alep. Comme dans celui du bas nous pouvions y choisir de ces nattes colorées en roseaux liés par un tissage géométrique de fils de laine et d’autres objets traditionnels, encore destinés aux paysans de la région !
De Hama il nous reste aujourd’hui le souvenir inoubliable de ce bruit si émouvant et si reconnaissable qui nous guidait inévitablement vers ces incroyables roues.
Invariablement je me souvenais aussi de la première fois où, alors jeune maman et avec ma fille toute petite, j’étais arrivée tard le soir, avec un groupe d’amis syriens, dans un endroit un peu à l’écart du centre ville que je pourrais aujourd’hui localiser ! Intriguée par ce bruit si particulier qui semblait venir d’un bosquet dense d’arbres, je m’étais avancée au plus près, portant l’enfant et soudain nous avions découvert dans la nuit cette roue immense, sans doute la grande Mohammadiya. Plaintive et gémissante, elle montait vers le ciel syrien toujours si étoilé, sa charge fuyante d’eau sombre qui semblait en tombant l’envelopper d’une transparente draperie bleutée, la la noyer dans une brume de mille et une gouttelettes …
Ce serait de nouveau insoutenable d’apprendre que les norias de Hama se sont arrêtées de tourner.
« Est-ce d’avoir jeté les yeux sur les réalités que recouvre la poésie flottante de l’Oronte, il me semble maintenant que la musique de tout cela n’est plus exactement la même, et qu’avec la fin du jour elle a pris je ne sais quoi de sévère et d’un peu triste, qu’elle n’avait pas alors ..JetJ Tharaud,
le chemin de Damas, Plon 1922
Mission Laïque Française Cham – mlfcham.com
Pour d’ autres récents et suivis de mes hommages patrimoine syrien sur mlfcham.com et à mon nom sur internet !
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azouzi & Maha
Mai 6, 2014 @ 21:07
@lafleurs, bonsoir
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lafleurs
Mai 6, 2014 @ 22:02
Ah merci ! Oui et les enfants s’amusaient à s’accrochaient à la roue et plongeaient ! j’espère que cet texte vous a fait plaisir
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azouzi & Maha
Mai 6, 2014 @ 22:52
@lafleurs,
Vos articles m’attirent tjrs;ils sont riches et sublimes à la fois, j’adore vous lire
Mes Respects
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lafleurs
Mai 7, 2014 @ 14:00
Pas de quoi c’est pour la Syrie ! ce ne sont pas ces minables,incultes élevés en France et pas en banlieue nord mais à St Cloud ou ailleurs dans les quartiers aisés et qui se prétendent représentants du peuple syrien qui sont capables de faire ce travail !
Dans son bouquin « Syrie promise » que son copain Farouk Mardam Bey lui a publié, à Sindbad-Actes sud imprimeries, la dame Hala Kodmani raconte à son père et toute contente, qu’elle l est en train d’apprendre l’histoire de la Syrie (mail !) ! sic ! Il était temps non ? !
Par ailleurs et au début du bouquin elle reproche à son père devenu français dès 1962: « mails novembre -décembre 2010 :
» je me demande comment tu t’es précipité pour demander la nationalité française pour toi et et maman, quelques semaines après ta retraite ( Son père Nazem était diplomate et ensuite fonctionnaire à l’Unesco et elle ajoute qu’il n’était pas poursuivi par le régime syrien)) Cette nationalité » Vous l’aviez obtenu très vite après ta retraite. » d’autant que
comme il lu i répond » ma famille et mes amis me disaient qu’avec ma retraite de fonctionnaire international je pourrais vivre comme un roi tout en faisant des voyages en Europe régulièrement »
Effectivement la famille et très aisée car très ami de AKKram Ojjeh le papa raconte dans un autre mail qu’il entra ensuite devenu retraité à 60 ans, aux services de son ami le milliardaire comme conseiller juridique ! il raconte à sa fille : qu’il s’est précipité sur l’offre de son vieil ami : » mon maitre bien vivant m’a initié aux subtilités de la vie parisienne » mail du 15dec.2010, page 43.
Un peu plus loin on apprend que la famille dispose d’une cave de très bon vins précieux, des Bordeaux dont il faisait partager la dégustation à Mahmoud Darwich; L’auteure et sa famille ont toujours la charge de ces « précieux crus reçus en héritage » citation et les dégustent en pensant à ce père récemment décédé » à ta santé et en bonne compagnie ( aut; cité » !)
Et donc c’est dans ce contexte de vie parisienne très agréable que les opposants ont appris à aimer la Syrie et à la parcourir et à bien connaître le peuple syrien sur son terrain ; à Alep , Raqqa, Hama et ailleurs par exemple Lol !
C’est parce que en historienne de la Syrie je m’intéresse beaucoup au contexte des mandats et la suite actuelle avec les enfants de cette époque franco-syrienne (sic) que je prends toutes ces notes..Il y a dans Syrie promise de très intéressantes explications que je vais mettre en ordre et par écrit dans mes actuelles notes de lecture;On y retrouve d’ailleurs le rôle de ce pseudo ambassadeur salarié de Fabius !
.
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azouzi & Maha
Mai 7, 2014 @ 21:13
@lafleurs,bonsoir et pardonnez moi le retard d’y répondre
J’ attends vos articles et ils me passionnent.
Je suis entrain de préparer mon premier livre sur ses traîtres,un livre qui serait accompagné d’un DVD; ,.
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Freiheit
Mai 6, 2014 @ 14:22
Encore un tunnel piégé….
L’OSDH annonce la mort de 30 soldats de l’AAS dans l’explosion d’un tunnel piégé sous un poste militaire Syrien prés de Marat Al Numan (Idlib). Les rats n’ont pas lésiné sur la quantité d’explosif. Un rat çà creuse et ils n’arrêtent pas de creuser partout et à pièger tout ce qu’ils peuvent. Si l’armée Syrienne ne parvient pas à trouver une parade efficace il va falloir nous attendre à d’autres nouvelles de ce genre. Nombreuses vidéos sur le net datées du 6 Mai….
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algerien
Mai 6, 2014 @ 15:09
L arroseur arrose…
L’Arabie saoudite annonce le démantèlement d’un groupe « terroriste »
AFP06/05/2014
http://www.lorientlejour.com/article/866047/larabie-saoudite-annonce-le-demantelement-dun-groupe-terroriste.html
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algerien
Mai 6, 2014 @ 16:24
AQMI tente de se redéployer vers l’Algérie et le Sahara occidental
http://www.algerie1.com/actualite/aqmi-tente-de-se-redeployer-vers-lalgerie-et-le-sahara-occidental/
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Amazigh__
Mai 6, 2014 @ 18:22
Une bombe cette nouvelle … Je jubile…. Qu’est ce que je peux être heureux !!!!
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Amazigh__
Mai 6, 2014 @ 18:26
Si seulement ces bédouins avaient connu la guerre … mis à part quelques petits heurts entre tributs pour un ptit lot de terrain ou un chameau qui aurait pissé sur les terres d’un tel, qu’est ce qu’ils savent de ce qu’est une guerre? savent-t-ils ce que c’est qu’un bombardement sur une capitale, sur une ville remplie de civile.. niet, nothing, walou… ils seraient un peu plus conscient de ses effets s’ils avaient vécu ca… De toute leur histoire ils n’ont fait que baisser leurs pantalons devant tous ceux qui sont passé par chez eux …
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azouzi & Maha
Mai 6, 2014 @ 18:29
L’AAS dément catégoriquement ce que l’AFP a publié concernant la mort de Soldats AAS à Marat Al Numan (Idlib)
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camilo
Mai 6, 2014 @ 18:51
La parade a été trouvée à Jobar, inonder le sous-sol près des positions fixes de l’AAS, ainsi les tunnels sont inutilisables :
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lafleurs
Mai 6, 2014 @ 20:05
les vermines d’ al jazeera et les merdias montraient un de ces tunnels et les voyous en action… Mais il doit être possible de les observer ; quand même ou d’avoir des renseignements …ils se baladent avec des brouettes, des marteaux piqueurs et transportent des colonnes qu’ils ont dù arracher et voler dans les sites antiques proches : des vraies taupes (pas du tout gentil pour les taupes)…et qui creusent et creusent i sur des centaines de mètres Ill parait qu’ils ont creusé pendant un mois, à Idlib ou Maarat et après ils font sauter : des immondes voyous ! Et il faut dire que dans la région de Maarat al Noman comme dans beaucoup d’ endroits en Syrie et comme à Alep sous la maison de l’industrie ou peut être sous la citadelle c’est du dur, pas du sable :des rochers et un sol pierreux !
Il faut que ce soit repéré …impossible de ne pas les voir ou les entendre ces barbares ! c’était connu le travail de sape autrefois mais à ce point c’est impensable qu’ils ne soietnt pas repérés !
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Freiheit
Mai 6, 2014 @ 14:10
Les USA toujours en pointe dans la destruction de la Syrie….
Article du site d’Almanar.
1 – Washington va donner aux bureaux de l’opposition syrienne aux Etats-Unis le statut de mission diplomatique étrangère,
2 – Livraison d’armes sophistiquées à l’ASL pour une valeur de 28 millions de dollars. Ahmad Jarba (président de la Coalition nationale des forces de l’opposition et de la révolution) accompagné du nouveau chef d’état-major de l’Armée syrienne libre (ASL), le général de brigade Abdelilah al-Bachir, qui a remplacé Idriss, se rendra à Washington pour rencontrer notamment le secrétaire d’Etat John Kerry, la conseillère à la sécurité nationale Susan Rice, des membres du Congrès et du Sénat et des dirigeants des partis républicain et démocrate.
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=18&frid=18&eid=170509
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Freiheit
Mai 6, 2014 @ 13:55
Article tiré du site AlManar.
« Le «juif de la Ghouta» tué à Douma, «l’émir de Bosra-cham» tué à Deraa. »
Nouvel épisode des combats fratricides qui ravagent les milices qui veulent combattre le pouvoir syrien : ils se livrent à des liquidations mutuelles de leurs chefs de milices.
Au bonheur de la Syrie, leurs divergences s’exacerbent sans limite.
1 – Le « Juif de la Ghouta »
Lundi, c’est le « Juif » de la Ghouta qui a été tué, en allusion à l’un des chefs de milices les plus importants de la Ghouta orientale, Adnane Khaïbat.
Celui-ci dirige la brigade Jaïch al-Islam -Bataillon des martyrs de Douma », colonne vertébrale de la milice pro saoudienne Front islamique, commandée par le wahhabite Zahrane Allouche.
Il a été abattu à Douma, le fief des miliciens de la Ghouta, dans des circonstances plutôt louches, alors que les divergences battent leur plein sur la position à adopter face à l’avancée des forces régulières à Mliha. Le front al-Nosra et l’Armée syrienne libre (ASL) d’un côté, voudraient se retirer de cette ville, pourtant stratégique, pour donner la priorité à la ville de Zibdine, où se retranchent la plupart des miliciens qui ont fui le Qalamoune.
Alors que les autres, dont le Jaïch al-Islam et le bataillon des martyrs de Douma optent pour un engagement de toutes les forces de l’insurrection à Mliha en raison de sa position stratégique pour le front de la Ghouta orientale.
Connu pour avoir été l’un des premiers à réclamer la militarisation de la rébellion, il a été surnommé « le juif de la Ghouta», tellement il faisait preuve de brutalité sans merci avec les Syriens loyalistes. En 2012, il a liquidé 36 recrus syriens dans un barrage à Douma. en 2013, il a aussi exécuté 9 jeunes miliciens, au motif qu’ils collaborent avec l’Etat syrien.
Quoique les auteurs de l’exécution de Khaïbat qui l’ont abattu de trois balles demeurent toujours inconnus, mais les doigts d’accusation sont pointés sur le Nosra et l’ASL.
Durant ses obsèques, un de ses compagnons Abou Sobhi Taha a fustigé la désunion de l’opposition à Douma, menaçant de quitter ses rangs si elle perdure.
2 – Confinés à Mliha :
Or, à Mliha, le nombre des miliciens tués se chiffrent en centaines. A l’aube de ce mardi, 200 rebelles qui tentaient de s’infiltrer dans cette ville à partir de Jesrine ont été bombardés par l’aviation syrienne. 20 personnes ont aussi été tuées dans le quartier Jobar, à l’est de la Ghouta dans un pilonnage contre un attroupement de rebelles armés.
Au 42ème jour de la bataille, l’armée régulière est parvenue à investir les quartiers sud de cette ville. « Quelques heures et la ville de Mliha sera dans sa totalité entre les mains de l’armée syrienne », a affirmé une source militaire pour le journal libanais al-Akhbar. Les forces gouvernementales avaient auparavant détruit le réseau de tunnels édifiés dans les quartiers centraux. Les insurgés se trouvent désormais confinés au nord de la Ghouta.
3 – Deraa : Nouaymi contre Nehmeh :
Au sud de la Syrie aussi, le face à face entre les milices s’illustre par les assassinats et enlèvements mutuels de chefs.
Après l’enlèvement de Ahmad Nehmeh, le chef du Conseil militaire qui encadre l’ASL, et revendiqué par le front al-Nosra, ce mardi c’est au tour d’un dirigeant de ce dernier d’être visé.
Celui qu’on appelle l’émir de Bosra-cham, Ali Nouaymi (Photo à droite) a péri dans l’explosion d’un engin piégé dans sa voiture, ainsi que son épouse.
Taxé de « traitre », Nehmeh est accusé d’avoir voulu exécuter un plan pour affaiblir le front al-Nosra au sud de la Syrie, après les avancées que ce dernier a réalisées ces derniers jours.
Le Nosra s’est entre autre emparé d’un dépôt d’armements de l’armée règulière.
4 – Alep : révélations tchétchènes et « hypocrise saoudienne » :
Alors que les combats fratricides ne connaissent pas de répit à Deir Ezzor en particulier, les nouvelles révélations de la milice tchétchène des Mouhajirines et Ansars devraient creuser encore plus l’écart entre les deux frères ennemis d’Al-Qaïda.
Elles concernent surtout les réelles intentions de religieux saoudiens wahhabites pro jihadistes, dont cheikh Abdallah Mohaysni, l’un des parrains du front islamique et du front al-Nosra et cheikh Abdel Aziz al-Tarifi.
Selon cheikh Abou Walid al-Mouhajir le bras droit du chef de la milice de Mouhajirines et Ansars, Tourkhane Paterchavell, (connu sous le nom de guerre d’Omar al-Chichani), « Mohaysni est le projet d’une perfidie ».
Sur son compte Twitter, il dit l’avoir rencontré lors d’une réunion à Alep, à sa demande, en tête a tête avec Omar al-Chichani, dans le but affiché d’offrir ses bons offices à sa brigade. Il s’agissait entre autre de lui fournir des machines importées de Turquie pour fabriquer des munitions.
Lors de la deuxième rencontre, il s’est avéré que l’objectif du religieux saoudien se résumait à vouloir écarter la brigade des Mouhajirines et Ansar de l’EIIL et de l’approcher du front al-Nosra.
Le religieux wahhabite Tarifi (photo à droite) soupçonné par Abou Walid de diriger Mohaysni, a fait de même dans un contact téléphonique avec le commandant tchétchène. Omar le tchécthène l’avait qualifié « d’hypcrites », rapporte abou Walid.
«Il voulait profiter de l’aide qu’il procurait pour orienter l’action des combattants à la lumière de directives dictées de l’extérieur,…, et pour que tous les projets soient concentrés entre ses mains , de sorte qu’il devienne une référence pour tous aussi bien sur le plan religieux que logistique et autre », conclut-il
Abou Walid a également accusé un plan mis au point en Turquie sous le parrainage des monarchies du Golfe et qui consiste à diviser le pays du Levant en trois régions : une zone verte pour le Conseil militaire et l’Etat-major (qui encadre les milices de l’ASL), une zone orange pour certaines brigades islamistes, et enfin une zone rouge pour l’EIIL.
Le but de ce partage étant de « regrouper tous les groupuscules contre l’EIIL et de proposer un projet islamiste qui n’effraie pas l’Occident », suspecte Abou Walid. Ce projet a vu le jour avec la création du Front islamique qui comprend entre autre la brigade des Ahrar al-Cham.
C’est la brigade des Sokour du Levant qui a révélé ce plan aux tchétchènes. Elle s’est démarquée depuis le mois de février dernier du Front islamique et s’est réconciliée avec l’EIIL. »
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sowhat
Mai 6, 2014 @ 21:27
le diable lui-même ne s’y retrouverait pas. On dirait que toute la vermine du monde s’est donnée rendez-vous en Syrie.
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fuilopte
Mai 6, 2014 @ 13:35
Dommage dans le sens que les terroristes combatrons encore l’AAS mais ailleurs.
Tant mieux dans le sens que le gouvernement de Al Assad ainsi que l’armée vont sécurisé la région entre Damas et Homs. Sans oublier que de nombreux terroristes ce sont rendu.
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silbershark110
Mai 6, 2014 @ 12:57
A reblogué ceci sur silbershark110neverdie.
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veloceexpress
Mai 6, 2014 @ 11:50
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
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lafleurs
Mai 6, 2014 @ 10:26
Les Jordaniens se rebiffent et pour cause ; voir l’article de J.Borde sur Irib et ce qui est arrivé en vérité à cette bande de « takfiristes » qui paradaient en 4=4 rentrant au bercail dans leur base de base US°CIA, en Jordanie et alors ils se croient chez eux en terre jordanienne sous CIA US
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lafleurs
Mai 6, 2014 @ 10:32
à ajouter à cette lecture cet extrait toujours tiré de irib:
Syrie: Que se passe-t-il dans le ;Centcom jordanien ?!
IRIB- Depuis 2011, La Jordanie sert d’arrière -cours à la guerre acharnée
que mènent l’Occident, les régimes arabes et la Turquie contre Damas. selon une source arabe bien informée, les dernières instructions adaptées par le QG de la CIA, du Mossad, de MI6 et des renseignements arabes sont les suivantes : la suite sur Irib :
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Vanda
Mai 6, 2014 @ 8:57
Protégés par l’ONU ,ils vont pouvoir ensuite revenir gentiment qui faire un attentat ,qui décapiter des syriens qui leur résistent , qui prendre des orages ……
Enfin ne boudons pas notre plaisir de voir l’armée syrienne remporter au nom du peuple syrien sur cette internationale du crime soutenue par nos dirigeants français qui se bouchent le nez , se voilent les yeux pour ne surtout pas voir la réalité de leur politique internationale abominable .
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Marie-Christine
Mai 6, 2014 @ 10:57
Ce serait bien si nous pouvions avoir tous le détails, car il y aurait quand même un certain nombre à ce que je sache qui ont préféré arrêter là leur « prometteuse » carrière de terroristes et se rendre à l’armée syrienne…
La ville de Homs enfin, totalement libérée de ce cancer !!! Dans la conjoncture actuelle, même si le résidu de cette cellule cancéreuse a été protégée et déplacée sous les bons offices de l’ONU, prêt à reprendre son service mortifère (pour certains, car je suppose qu’un certain nombre va tenter de s' »échapper » complètement) à partir d’autres théâtres d’opération, l’assainissement total de la ville de Homs (enfin !!!!?) a dû être jugé plus important ! Notamment pour libérer des forces de l’armée syrienne qui pourront se concentrer plus massivement sur la bataille d’alep !!
Comme vous dîtes Vanda, ne « boudons pas » cette étape importante (même si victoire en partie volée), mais la longue guerre contre les abjects terroristes de l’OTAN continue !!
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Marie-Christine
Mai 6, 2014 @ 11:22
Cette évacuation sous protection des terroristes, fait partie de la conception de l' »humanitaire » selon l’ONU-OTAN et de la guerre qu’ils mènent contre le peuple syrien !!
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Vanda
Mai 6, 2014 @ 13:24
Sur un clavier le r est juste à coté du t , mais en un éclair vous aurez compris qu’il fallait transformer l’orage en otage .
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lerebel
Mai 6, 2014 @ 7:34
bonjour,ne pensez vous pas que cette histoire de reddition et de dhawahri qui veux la paix en syrie,qu’il y a anguille sous roche??? ne vont t’il pas le envoyez en ukraine pour contrer la russie??? je me le demande
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Marie-Christine
Mai 6, 2014 @ 11:06
Tout est possible lerebel… Ce sont les mercenaires allaouakbar (exprès s’il n’y a pas de majuscules)-blackwater-lowcost de l’otanosionisme criminel.
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Syrienne et fière de l'être !
Mai 6, 2014 @ 13:27
@lerebel
En effet !
TRANSFERT DE TERRORISTES TAKFIRISTES DE SYRIE VERS L’UKRAINE SOUS LES BONS AUSPICES DE L’ARABIE SAOUDITE
Par JP News, d’après de nombreuses autres sources qui se recouperaient
http://www.jpnews-sy.com/ar/news.php?id=73097
Le régime saoudien aurait transporté, à bord de plusieurs avions, un grand nombre de terroristes de nationalité saoudienne et tchétchène qui sévissaient en Syrie vers Kiev. De là, ils auraient été déployés immédiatement dans la ville de Kramatorsk, ville de l’Est de l’Ukraine où ils combattraient au côté de l’armée ukrainienne en tant que « milices pro-gouvernementales opposées aux pro-fédéraux ».
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D
Mai 6, 2014 @ 6:21
Il est sur qu’à présent il faut passer de la défensive à l’offensive pour libérer Alep
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:41
Ukraine – Slaviansk :
Des combats entre les forces d’auto-défense pro-russe et l’armée ukrainienne près de la ville de Slaviansk à l’est de l’Ukraine.
Vidéo :
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:37
Ukraine – Front est :
Raid aérien de l’armée ukrainienne près de Raygorodka à l’est de l’Ukraine.
Vidéo :
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Kodet
Mai 6, 2014 @ 10:18
@Marcel
Sauf erreur de ma part, j’ai l’impression que c’est un hélicoptère qui est abattu en plein vol !
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Marie-Christine
Mai 6, 2014 @ 0:32
UN HISTORIQUE; DES TEMOIGNAGES ET DES PHOTOS QUI FONT FREMIR
_________________________________________________________________________
La prison de Khiam :
Visite sur le lieu d’un crime israélien
Gilles Devers
http://www.palestine-solidarite.org/analyses.gilles_devers.050514.htm
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:29
Province de Deir Ezzor :
Les terroristes de l’EII progressent à l’ouest de la province de Deir Ezzor et ont pris le contrôle de nombreux villages face aux terroristes du Front Al Nosra (pro-sioniste), les combats continuent entre les deux groupes rivaux malgré l’appel de Ayman Al Zawahiri (pro-sioniste) pour un cessez le feu et l’acceptation de cet appel par le Front Al Nosra.
Sources : Manqool news, Média Hussein Mortadah, Deir Ezzor news, médias jihadistes, médias syriens.
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:33
Le chef d’Al Qaida Ayman Al Zawahiri est maintenant considéré comme un islamiste modérée par les occidentaux qui est pour l’unité et la paix en Syrie, il va bientôt venir à l’Elysée pour rencontrer le président Hollande et s’entretenir de la question syrienne et du printemps arabe.
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algerien
Mai 6, 2014 @ 0:50
installe en lybie,et avec la prochaine installation de qaradaoui en tunisie,que se trame t il dans la region du maghreb?
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algerien
Mai 6, 2014 @ 0:55
Un mythe jihadiste : L’établissement d’un califat au Maghreb.
http://www.kapitalis.com/afkar-2/21924-un-mythe-jihadiste-l-etablissement-d-un-califat-au-maghreb.html
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amazigh
Mai 6, 2014 @ 10:58
On les mettra un gros bâton dans le cul à ces djihadistes ….avant qu’ils ne réalisent quoi que ça soit en tamazgha……parole d’amazigh
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Nowar
Mai 6, 2014 @ 5:27
Il a propose a l otan l envoi d un division d alqaida pour participer aux exercices en pologne, aux cotes des americains, des candiens, des polonais..
Maintenants les terroristes d alqaida commencent a avoir de missions diplomatiques aux etats unis comme l arabie saoudite et le qatar.
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lafleurs
Mai 6, 2014 @ 11:33
Et il y aura , à l’Elysée et au ministère des affaires étrangères en groupe autour de lui pour faire la traduction et le protéger des jets de boules puantes éventuelles, la bande dits « des opposants’ et fidèles de la coordination habitués du cercle des « amis du peuple syrien «
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magdibek
Mai 6, 2014 @ 18:44
Il est mis à prix 25 millions de Dollars, Hollande n’a qu’à le capturer et le livrer à ses amis US, et l’argent pourra servir à éponger un peu le déficit, c’est toujours bon à prendre.
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Nowar
Mai 6, 2014 @ 5:28
Il a propose a l otan l envoi d un division d alqaida pour participer aux exercices en pologne, aux cotes des americains, des candiens, des polonais..
Maintenants les terroristes d alqaida commencent a avoir de missions diplomatiques aux etats unis comme l arabie saoudite et le qatar . LOL 🙂
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Kodet
Mai 6, 2014 @ 10:35
@Nowar
Ce n’est pas nouveau, Al qaida est formé et entrainé par les USA et affidés alors, pour les exercices côte à côte….ils ont même déjà fait des exercices corps à corps, au Kosovo, pour ne citer que cela, alors c’est pas nouveau !
Plus près de nous en Syrie aujourd’hui, c’est ensemble qu’ils agissent. Je peux te citer pêle-mêle, la première grande bataille de Damas qui a vue la sécurisation de l’aéroport de la capitale, la bataille de qussair…Il y a eu des gros poissons occidentaux (officiers de renseignement) tombés soit au champs d’honneur (je dirais plutôt de déshonneur dans ce cas particulier) soit dans les nasses de l’AAS !
Comme dirait quelqu’un: » Il y a quand même une boite sérieuse dans ce secteur, Al qaida, c’est une boite américaine ! » 🙂
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Freiheit
Mai 6, 2014 @ 11:59
Cela fait 3 ans que le lis des post faisant état de gradés militaires étrangers tombés entre les mains de l’AAS. Je pense que la prise ou la mort de ces « gros poissons » agents et militaires français, américains, turcs, anglais, saoudiens ou quatari relève de la légende urbaine. Qui a vu la moindre photo ? Si la Syrie avait pu s’emparer d’un de ces agents étrangers elle les aurait traîné par les pieds jusque dans l’enceinte de l’ONU. Mais je crois qu’ils existent bien. Gageons qu’ils se tiennent prudemment près des frontières, et que si cela commence à chauffer dans leur zone, ils doivent être très vite exfiltrés.
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Kodet
Mai 6, 2014 @ 15:00
@Feiheit
Concernant les gros poissons, tu te trompes hélas très lourdement, y a pas de légende urbaine à ce sujet, désolé !
On ne traine pas ce genre de bêtes devant l’ONU, mon bon ami !
Ce sont des moyens d’échange ou des sources d’information !
Moins ils sont exposés à la lumière plus on peut en tirer quelque chose !
Le ballet diplomatique des chefs de renseignement des pays occidentaux vers Damas ou encore de her-dog-ane vers Téhéran, penses-tu réellement que c’est au fin de s’enquérir des nouvelles de leur compatriotes venus « en jihad » en Syrie ?!
Les renseignements syriens, ce ne sont pas des amateurs, ils savent se la jouer fine.
Pour mémoire, ils ont déjoué bien d’attentats terroristes, dans le passé, en faveur de ses ingrats d’occidentaux !
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Freiheit
Mai 7, 2014 @ 12:42
Je ne serai jamais désolé de savoir que la Syrie a effectivement arrêté ce genre de parasites. Ce que tu dis se défends parfaitement et je ne demande qu’à être convaincu. Mais je rêve de voir enfin un de ces minables exposé sur toutes les Télés du Monde. Juste un petit, un tout petit….un français par exemple….
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oubda franc
Mai 6, 2014 @ 0:27
Mr allainjules ou va notre monde dans ce désordre international qui termine toujours par le sauve-qui-peut. Le directeur général de l’ONU qui est le garant de la paix pour l’humanité n’ayant pas lui-même le droit de veto ne peut sauver que lui-même . Les agents du droit de l’homme qui n’ont jamais dénoncé la conduite malveillant des pays occidentaux et le laisser-faire des Nations-Unies qui n’ont jamais réussi a empêcher l’otan et ses alliés dans leur destructions massive des pays faible.la cpi a toujours la capacité ligoté un dirigent africain affaiblis dans son pays,mais pourtant la cpi n’a jamais poursuivi un pays de sa mauvaise politique étrangère qui tues et fait souffrir l’humanité que n’importe quel dictateur au monde. La politique étrangère des américains, de l’ONU et de l’OTAN a tué les irakiens plus Saddam Hussein, des afghans plus que ben Laden, des libyens plus que kadafi et fait souffrir la Palestine plus la mort. L’agence qui donne le prix Nobel de la paix est selon moi inutile , cette somme devrait servir a recruter des meilleurs avocats au monde pour rédigé le mode de fonctionnement de l’ONU ,de la cpi de l’OTAN et mauvaise conduite de la politique étrangère des pays occidentaux qui tues l’humanité plus le sida et paludisme
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:22
Dernière mise à jour :
Province d’Idleb :
L’armée syrienne et les forces de défense nationale ont pris le contrôle de nombreux positions autour de la ville de Al Faouah ainsi que les fermes de la ville de Al Bennesh au nord de la province d’Idleb.
Sur place la télévision syrienne :
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:21
Dernière mise à jour :
Province d’Alep :
L’armée syrienne continue de progresser près de la prison centrale d’Alep, les combats se déroulent maintenant dans la zone de l’usine de pierre ou carrière (région de Aouijah) située tout près de la prison centrale.
Sources : Manqool news, Centre médiatiques d’Alep, médias de la brigade Al Baaths, médias syriens.
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pierredelacraudetoulon
Mai 6, 2014 @ 16:13
En gros le collet ou noeud coulant est à deux doigts de se refermer au nord-est d’Alep.
Le contingent assiégé dans la prison centrale est à portée de voix ou presque des avant gardes de l’armée syriennes;
l’hôpital Al Kindi de nouveau en vue.
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:21
Dernière mise à jour :
Ville d’Alep :
L’armée syrienne et les forces de sécurité ont pris le contrôle de l’école Al Malaki près de la place Al Naanaïe dans le quartier de Al Zahrah dans le nord-ouest de la ville.
Sources : Centre médiatiques d’Alep, médias syriens.
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Marcel
Mai 6, 2014 @ 0:20
Ville d’Alep :
L’armée syrienne et les forces de sécurité progressent au nord-ouest du quartier de Al Zahrah près de Al Leyarmoune.
Sources : Manqool news, Force de la garde républicaine, centre médiatiques d’Alep, Média Hussein Mortadah, médias syriens.
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Martin
Mai 6, 2014 @ 0:19
VIVE BACHAR EL ASSAD L HOMME FORT SYRIEN ABATS LES MECREANTS SIONISTES NAZIS ISRAELO AMERICAINS ET EUROPEENS BARBARES ASSASSINS DES PEUPLES DANS LEMONDE ENTIER VOLEURS DE TERRE ET DE PAYS LA PUISSANCE UNIVERSELLE VA TOUS VOUS MONTRER QUE NUL SUR CETTE TERRE NE POURRA ATTEINDRE SA PUISSANCE !!! LE JUGEMENT DERNIER POUR LES IMPIES ET TRACE POUR TOUS LES ELIMINES DEFINITIVEMENT ALORS SOUFFLERA DANS LE MONDE ENTIER HUMANITE AMOUR PARTAGE PAIX ET SERENITE !!! VIVE LA SYRIE VIVE LA RUSSIE VIVE L IRAN LES PAYS DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE ABAT SATAN DEMON DU TORCHE CUL ARGENT DICTATEUR INFAME ASSOIFFE DE POUVOIR DE SANG VAMPIRE INHUMAIN TERMINEEEE BIENTOT JETE DANS SA BOITE DE PANDORE ET AU OUBLIETTE DEFINITIVEMENT C EST LA VOLONTE DE LA TOUTE PUISSANCE QUE NUL NE POURRA EVINCE!!! VIVE LA PALESTINE TOUTE LA PALESTINE ICHA ALLAH !!! ALLAH OUAKBAR !
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Paix Du Monde
Mai 6, 2014 @ 0:14
Joli…
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Marie-Christine
Mai 5, 2014 @ 23:58
Mensonges occidentaux et élections syriennes
Ghaleb Kandil
Lundi 5 mai 2014
Les Etats-Unis, les pays de l’Otan et leurs vassaux turcs et arabes continuent leur guerre d’usure contre la Syrie. Ils s’efforcent de saper la crédibilité des prochaines élections présidentielles, prévues le 3 juin, avant le scrutin, tandis que l’Etat syrien poursuit ses préparatifs pour assurer le succès de cette consultation populaire, au cours de laquelle trois candidats s’affronteront, ce qui constitue une première dans l’histoire contemporaine de la Syrie. Parmi les prétextes invoqués par les Occidentaux et leurs alliés pour mettre en doute la légitimité des élections figure la poursuite de la guerre. Mais ce sont eux qui déploient d’intenses efforts pour prolonger le conflit et, par conséquent, la souffrance des Syriens. L’argent du Golfe continue de couler à flots pour financer les groupes terroristes, y compris Al-Qaïda, les arsenaux turcs et jordaniens sont grands ouverts, alors que Washington, Paris et Londres fournissent une assistance technique et un entrainement aux extrémistes. En alimentant la guerre, les Etats-Unis veulent torpiller toute solution politique à la crise, en empêchant l’Etat de renouveler et de moderniser ses institutions sur la base du pluralisme et de la démocratie. L’opposition occidentale à l’organisation des élections présidentielles est bâtie sur un tas de mensonges. Ce même Occident n’a pas manqué d’encourager certains pays à tenir des élections en temps de crise (comme en Ukraine par exemple), et a distribuer des certificats de bonne conduite, lorsque ces processus électoraux servaient ses intérêts. Barak Obama a été l’un des premiers dirigeants à féliciter le gouvernement irakien pour l’organisation, la semaine dernière, des élections législatives, alors que la guerre contre Al-Qaïda déchire plusieurs provinces du pays. L’Irak avait même tenue des élections sous occupation américaine et les grands défenseurs des libertés politiques avaient avalé leur langue à l’époque. La colère de l’Occident vient du fait que les élections en Syrie sont organisées par un Etat indépendant et souverain, qui a résisté à l’une des guerres les plus féroces des dernières décennies, dans le but de recoloniser le pays. Si l’Occident avait réellement voulu mettre un terme à la guerre, il aurait asséché les sources de financement des groupes terroristes et aurait suspendu leur armement par l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie. L’autre prétexte occidental selon lequel les élections présidentielles syriennes compromettraient la solution politique est un mensonge. Les élections qui ont eu lieu en Irak sous occupation américaine se sont déroulées en parallèle avec le processus politique. Même cas pour les élections présidentielles en Afghanistan, qui ont eu lieu alors que les négociations se poursuivaient entre Kaboul et les Taliban. En vérité, lorsque l’Occident parle de solution politique en Syrie, il fait allusion à son plan, qui consiste à provoquer un vide au niveau de la présidence, dans l’espoir de placer le pays sous tutelle, conformément à une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies. Enfin, l’Occident prétend que le résultat des présidentielles syriennes est connu d’avance et que la victoire du président Bachar al-Assad est acquise. En réalité, ces pronostics sont basés sur les sondages effectués par les services de renseignements américains, britanniques et français, y compris dans les camps de réfugiés à l’extérieur de la Syrie, qui ont montré la grande popularité dont jouit le leader syrien. Les rapports des services de renseignements assurent que le président Assad obtiendrait les trois quarts des voix lors de n’importe quelle élection libre et intègre.
Source : New Orient News
http://www.neworientnews.com/…
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lafleurs
Mai 5, 2014 @ 23:48
Certainement nous allons avoir des vidéos et pus d’informations sur cet événement mais je crois que cette vermine taupière a encore creusé un tunnel et a fait exploser un barrage près de Maarat al Noman au sud d’Alep, entre Halep et Hama, et où se tenaient des soldats ! mais pas plus d’information ! Qui peut nous en donner ?
Mais quel soulagement de voir réapparaître le vignette Syrie
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algerien
Mai 6, 2014 @ 0:12
Il n est pas exclus que d autres accords similaires surviendront les prochains jours.
Cet accord a ete etablit avec ces terroristes qui se sont rendus qu ils n ont plus rien a faire en syrie.
Les etats unis ,toujours en fouteurs de merde viennent d octroyer aux bureaux de jerba le statut de mission diplomatique etrangere aux etats unis.
Les pays occidentaux se rendent de plus en plus compte que la presentation de bachar al assad aux elections est une evidence qu il faudrait accepter.
D un autre cote,S’exprimant lors d’une visite au Krak des Chevaliers et à Wadi al-Nasara, la célèbre Vallée des Chrétiens, le ministre du Tourisme, Bachir Yazigi a affirmé très sérieusement que « diverses activités seront prévues sur ces deux sites touristiques au cours de la saison d’été »
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Marie-Christine
Mai 5, 2014 @ 23:46
Les Palestiniens en Europe appellent à activer l’OLP
http://www.enfantsdepalestine.org/article/les-palestiniens-en-europe-appellent-a-activer-l-olp
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Bouzman
Mai 5, 2014 @ 23:37
Ah ah !!chui content !!! :)))
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camilo (@camilobayardo)
Mai 5, 2014 @ 23:36
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Abdel
Mai 5, 2014 @ 23:33
Bravo AAS, Hezbollah et autres combattants de la liberte. Bravo au Hezbollah qui a compris les enormes enjeux de ce conflit et a pris son courage a deux mains ce qui a fait echouer un complot mondial qui aurait pu mettre a genoux tout le front de
la resistance au sionisme et a la
domination occidentale. Il est des
moments ou hesiter n’est que lachete et trahison. Brava Sayyed Nasrallah.
M
moments ou hesiter est
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Djazaïri.
Mai 6, 2014 @ 21:34
Hezbollah est la gloire des arabes épris de justice.
Gloire à ses valeureux combattants!
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Sylvain
Mai 5, 2014 @ 23:31
Je présume qu’il y en a qui reviendront en France ….Les enfants de Fabius qui mettront notre pays à feu et à sang
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camilo
Mai 5, 2014 @ 23:31
Les bus pour transporter les terroristes sont arrivée ce soir, l’operation d’evacuation pourrais commencer dans quelques heures.
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camilo
Mai 6, 2014 @ 0:07
Visite guidee a Bureij
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Galsen
Mai 5, 2014 @ 23:28
AL HAMDOULILLAH
Bon débarras aux Talmudistes et sans reget
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Estelle
Mai 5, 2014 @ 23:21
Cool !
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Estelle
Mai 5, 2014 @ 23:06
Prem’s !
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