PARIS, France – Abdelhakim Belhadj, ancien membre d’Al Qaida (et encore) qui a roulé sa bosse en Afghanistan, au Pakistan, en Turquie et au Soudan, entre autres, sous un silence complice des mainstream, était invité à Paris pour parler…des droits de l’Homme. Le maître de Tripoli, jihadiste patenté, tortionnaire et meurtrier sait qu’il est en terrain conquis. Qui s’assemblent se ressemblent. Alors qu’ils annoncent urbi et orbi qu’ils combattent les terroristes, donner un visa à un pur terroriste fait sourire. Savez-vous qu’ils ont même mis en place une ligne verte pour les jihadistes partis en Syrie ? Ces gens se moquent vraiment de nous…
Mais, le jihadiste Abdelhakim Belhadj a passé un mauvais quart d’heure lors de sa conférence au siège de la maison d’édition l’Harmattan. Néanmoins, accrochez-vous, il a été accueilli en héros au Centre d’études et de recherche informatique (CERI) de Science Po’ Paris. Si, si.
L’action contre le patron de l’intégrisme libyen a été organisée par le Comité Révolutionnaire International groupe France et l’Unité Continentale, en soutien aux victimes du bourreau Belhadj et au peuple libyen. Les vrais militants des droits de l’homme ont déployé le drapeau vert en criant « Allah O mouammar O Libya O bass ». Traité de terroriste, de criminel de guerre, et que sa place était à la CPI et en prison, il a eu le soutien de François Burgat, ex intellectuel acheté par le Qatar.
Une personne a alors lancé une boule puante dans la salle après les interventions en vidéo. Ceci a provoqué momentanément l’évacuation de la salle. A la sortie des « perturbateurs », une dizaine de policiers les attendait. Ils sont restés dans les locaux de la police avant d’être relâchés au bout d’une heure. Ils ne sont pas venus chercher Belhadj, malgré une plainte contre lui en France. Il ne s’est pas rendu chez le juge et est reparti sur Tripoli sans être inquiété.
veloceexpress
Mai 6, 2014 @ 11:52
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etoile127
Mai 5, 2014 @ 20:44
Il etait ou le sioniste va t’en guerre bhl,ce S*
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sankoukai
Mai 5, 2014 @ 15:00
Je conseille a la Isabelle Mandraud d’aller faire le djihad du sexe.Ces héros sont en manque de chair fraiche en ce moment…Parce que les chèvres elles se ressemblent toutes vous savez!
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sankoukai
Mai 5, 2014 @ 14:56
Une moufette a paris haha trop drôle!
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Vanda
Mai 5, 2014 @ 13:45
Sarkosi , Cameron Juppé ne sont toujours pas passés devant la CPI , il est assez logique que le chef lybien d’Al Quaïda soit reçu en grandes pompes à Paris .
Ce pays , la France , est devenu pitoyable : Les escrocs sont béatifiés et les résistants comme Mouammar Kadhafi mis plus bas que terre . Ce renversement des valeurs est le symptôme d’une « maffiaïsation » du pays .
Mais ,moi l’athée collabo comme certains ici m’ont qualifiés , je compte sur la justice divine pour jeter ces gens en enfer . Mon seul souhait étant de ne pas être trop mauvais et ainsi éviter d’être condamné à les y rejoindre .
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salimsellami
Mai 5, 2014 @ 12:15
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Paix Du Monde
Mai 5, 2014 @ 11:57
Le djihadiste libyen Belhadj tombe dans une embuscade à Paris
L’homme fort de la Libye post révolutionnaire, l’islamiste Abdelhakim Belhadj, était venu à Paris, le mercredi 30 avril, pour donner un prêche sur l’avenir de son pays. Avec dans le rôle de l’attachée de presse, la journaliste du Monde et petite soeur des Frères Musulmans, Isabelle Mandraud, auteur d’une biographie à sa gloire. Hélas, le dernier carré des fidèles de Kadhafi est venu perturber la réunion.
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Crédit photo: Tous droits réservés Google Image
Dans une rue de Paris, si courte que pour peu elle n’existait pas, assis au fond d’une salle avare de mètres carré, coincé entre un mur et une journaliste du Monde, Isabelle Mandraud, qui joue la meneuse de revue, on sent qu’Abdelhakim Belhadj n’est pas à sa place dans ces coulisses de l’éditeur l’Harmattan. Belhadj, vous le savez, c’est le sphinx libyen, l’avenir du pays, le héros promis par l’Amérique à devenir calife à la place du Colonel, à remplacer Kadhafi sur son trône vert.
Voilà le sauveur d’une nation en lambeaux, héros d’une comédie du bonheur écrite au fil des jours par des journalistes, politologues, hommes d’affaires et politiques. Voilà un barbu appelé au zénith de la destinée et qui s’exprime dans un endroit si minable. Devant un parterre quelconque fait de quelques fans en espérance de scoops, ou prébendes, et de chaisières que l’orientalisme émoustille.
Salut Belhadj, welcome to Paris
On attendait mieux de vous, le « De Gaulle » de Tripoli, pour une première visite dans cette France qui, par la grâce de Nicolas Sarkozy, a « libéré » votre terre. A « Mondafrique », il y a longtemps que nous avons observé ce Napoléon pousser sous Bonaparte. Résumons quelques chapitres d’une vie bien plus agitée qu’un roman russe. Né Barbu, ou presque, Belhadj a 24 ans en 1980, quand en Afghanistan, avec ses amis du djihad,
comme Ben Laden, il se bat contre l’empire soviétique avec la bénédiction de la CIA. Les enfants de Marx disparus, Belhadj reste dans le chemin divin, celui du djihad. En Pakistan, en Turquie, au Soudan il occupe des postes stratégiques dans la stratégie des guerriers d’Allah.
Son baroud d’honneur est en Irak où il se bat aux côtés d’Abou Moussa Al-Zarkaoui, le patron de la succursale locale d’Al-Qaïda. La guerre perdue, c’est le repli stratégique vers l’Asie où des millions de paisibles musulmans, en Indonésie et Malaisie par exemple, ont bien besoin que des prêcheurs comme l’imam Belhadj les éclairent sur la nécessité du jihad.
Accroc fatal, en 2003 c’est en Malaisie qu’Abdelhakim est arrêté par la CIA. Transféré, et torturé à Bangkok par des supplétifs de la Central américaine qui n’hésite pas à faire confiance à la sous-traitance, Belhadj soufre mille morts. Mais ne dit rien. Finalement, comme on jette un corps aux chiens, l’imam est renvoyé chez lui, en Libye où une exécution annoncée l’attend. On mesure ici le degré d’humanité de l’exemplaire Amérique, celle du distingué Georges Bush.
A Tripoli, Belhadj change de tortionnaires ce qui ne change pas sa douleur. Finalement les coups et sévices se calment le joueur d’échecs Kadhafi s’imagine que, le jour venu et sa dictature fragilisée, Belhadj peut être un fer au feu pour amadouer les islamistes. Fait incroyable l’imam est rendu à la liberté.
Quand ses frères religieux de Benghazi déclenchent le « printemps libyen », Belhadj est le premier à sauter dans ses rangers. Il a son plan.
Son destin (celui du moment) est devenir le pion, l’homme clé et lige du Qatar. Avec des dollars de Doha plein les poches, avec des hommes et des fusils, avec l’aide d’officiers français et de stratèges de la DGSE, Abdelhakim devient Leclercq, le libérateur de Paris. Bien connu ici, surtout dans la région du Fezzan dont il a arpenté les sables en 1943. Belhadj prend une envergure de généralissime. Selon un scénario imposé par le Qatar, il sera sacré le « libérateur de Tripoli ». La « Révolution » faite, il a la puissance, avec des centaines de miliciens sous les ordres, des armes à plus soif et de l’argent à pleins coffres.
Des fous de Dieu et des fous tout court
Installé dans sa forteresse, c’est maintenant à Belhadj de jouer, à lui de mener à bien le programme dessiné à Washington : devenir le maître. Pas facile. La Libye est un chaos avec un mélange de miliciens cruels et de fous de Dieu. Où les gens raisonnable, et amoureux de la liberté, sont priés d’aller vivre ailleurs ou de ne parler qu’à voix basse. Dans ce contexte, où le Parlement se retrouve régulièrement sous la mitraille avec des Premier ministres kleenex, le malin Belhadj n’a pas une vie politique facile. Il n’est pas seul à vouloir la plus belle part du gâteau libyen. Intelligent et bien conseillé, Abdelhakim a donc jeté la bure du jihadiste pour le costume-cravate et le discours de violence pour celui de raison. D’où l’intérêt de l’entendre à Paris, dans celle salle qui n’est pas à la taille de ses ambitions.
Le discours est parfait. Belhadj a toutes les qualités requises pour diriger un État. Il ment avec l’assurance que réclame le job, il répond aux questions avec calme et intelligence dans une langue de chêne. Cet homme est un roc impossible à dynamiter. Il a, dit-il dans sa besace de chef militaire de Tripoli et de patron du partie Al Watan (le Pays), tous les outils pour réparer la Libye : intégration des miliciens dans l’armée ou la police, et mise en route d’un « dialogue national » qui tienne compte des « toutes les opinions et différences ». Ce Belhdaj, prince de la charia, c’est à la fois, s’il faut le croire, une synthèse du Dalaï Lama et de Gandhi.
Boules puantes
Son calme, nous en sommes les témoins quand deux hommes en colère, des libyens, se lèvent pour hurler leur rage : « Cet homme que vous avez devant vous est un criminel contre l’humanité, un bourreau tortionnaire qui à régné sur un abattoir humain installé dans un hôtel désaffecté lors de la chute de Kadhafi. Assassin ! Assassin ! Criminel ! ». Belhadj, habitué à la mitraille, ne bouge pas un cil, mais on sent qu’il aurait souhaité un autre accueil. En fin de compte les contestateurs du héros quittent la salle. En faisant part de leurs regrets de Kadhafi et en laissant sous leurs chaises un paquet fumant.
Une dame hurle « Attention, ils ont lancé des gaz. » Plein de sang froid, moi aussi, je fais remarquer à quelques voisins que nous ne risquons rien puisqu’une journaliste du Monde et dans la salle et que les collaborateurs de ce quotidien ont été formés au dépistage du sarin… Dans la panique je ne fais rire personne… même si, en fait de gaz, il ne s’agit que de boules puantes ? Puis, honte pour les démocrates, les libyens chahuteurs sont confiés à la police, tels de simples djihadistes. Cette fois la visite du héros tourne à la farce, mais l’acteur reprend son rôle, répond aux dernières questions lancées par la consœur du Monde qui, fait bizarre, joue les attachées de presse du stoïque barbu.
Avec Abdelhakim, la Libye va bientôt gagner l’obscur de l’hiver sans avoir même connu les lumières du printemps.
POLITIQUE – MONDAFRIQUE – Publié le 02 Mai, 2014
http://mondafrique.com/lire/politique/2014/05/02/le-jihadiste-libyen-belhadj-tombe-dans-une-embuscade-a-paris
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Marie-Christine
Mai 6, 2014 @ 1:06
Pour compléter l’information, l’article a été écrit par
Jacques-Marie Bourget
2/05/14
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Grand reporter et écrivain, Jacques-Marie Bourget commence sa carrière chez Gallimard à la NRF puis enchaine l’ORTF, L’Aurore, Le Canard Enchainé, L’Express, VSD, le Sunday Times, Paris-Match et Bakchich. En 1986, il a obtenu le Prix Scoop pour avoir révélé l’affaire Greenpeace.
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Et on peut le retrouver également sur le site de Sylvia Cattori
http://www.silviacattori.net/article5556.html
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Ouallonsnous ?
Mai 5, 2014 @ 11:39
Qu’attendre de mieux de ce gouvernement corrompu commanditaire du terrorisme anglo-americano-sioniste ?
Une seiule solution, s’en débarasser !!!
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africalibre
Mai 5, 2014 @ 11:07
Ça l´air d´une capture avec camera (ou smartphone ) caché …
Chapeau bas.
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La France exhibe ses terro-assassins de cirque …
Je suppose qu´il a diné avec les Sarko (!?)
Une honte.
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J-P Voyer
Mai 5, 2014 @ 10:50
Deuz !
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Estelle
Mai 5, 2014 @ 10:47
Prem’s !
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