MEXICO, Mexique – Gabriel García Márquez, l’influent auteur colombien, prix Nobel de littérature et père des bests sellers « Cent ans de Solitude » ou encore de « L’amour au temps du choléra », est décédé, ce jour. Le géant de la littérature était traité depuis le début de ce mois d’avril pour plusieurs infections dont une déshydratation, dans un hôpital mexicain. Sa famille et les autorités ont confirmé son décès.
Il avait de 87 ans
García Márquez, avait popularisé, dans son oeuvre, le «réalisme magique», un genre « dans lequel le fantastique et le réalisme sont combinés dans un monde richement composé d’imagination». C’était la description que le jury Nobel faisait de lui, lorsqu’on lui accorda le prix Nobel de littérature, en 1982.
Marie-Christine
Avr 18, 2014 @ 18:44
Reçu aujourd’hui, ce communiqué en hommage à Gagriel Garcia Marquez : un résumé essentiel et tellement mieux que je n’aurais pu le dire sur l’immense figure que la littérature mondiale et d’Amérique du Sud viennent de perdre !
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LETTRE D’INFORMATION de l’Institut du Tout-Monde – AVRIL 2014
http://www.tout-monde.com
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L’Institut du Tout-Monde tient à saluer la mémoire de Gabriel García Márquez, immense figure de la littérature mondiale qui a su par son œuvre porter haut la voix de l’Amérique latine et le roman des Amériques. Par son écriture flamboyante, l’auteur de Cent ans de solitude a su sans doute comme nul autre, exprimer avec force l’épopée des générations, les passions et les douleurs mais aussi le sentiment du merveilleux qui fondent l’empreinte caribéenne des identités sud-américaines. Aux côtés des grands noms de Fuentes, de Borges, de Carpentier et d’Amado, c’est à travers la puissance de sa poétique narrative que ce conteur hors pair couronné en 1982 par le Prix Nobel de Littérature a su dire d’un même élan la lutte et la durée, l’ancrage et l’ouverture.
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observateur francosyrien
Avr 18, 2014 @ 16:28
Qu’est-ce qu’un grand homme ?
Ecoute, petit homme,…
http://cyberquebec.ca/_layout/?uri=http://cyberquebec.ca/libresarchiveswilhelmreich/
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Driss
Avr 18, 2014 @ 13:28
Monsieur Gabriel García Márquez restera une immense découverte pour tous ceux qui découvrirons son écriture.
Paix à son âme
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Marie-Christine
Avr 18, 2014 @ 14:53
Cent ans de solitude, une lecture abolument à faire pour ceux qui ne l’on pas encore lu.
Un souvenir de lecture marquant qui reste indélébile !!
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Charles
Avr 18, 2014 @ 12:31
AVE MARIA
Fairuz prie en araméen: Langue conservée à Maaloula, Sednaya, des Assyriaques à Hassaké, Kamishli et Raqaa…Une école a été créée récemment en Syrie pour sauvegarder cette langue parlée par 10 000 syriens autant chrétiens que musulmans et qui connaissent les deux livres saints quai par coeur …)
Vidéo titrée aussi en araméen et sous titrée en anglais.
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Charles
Avr 18, 2014 @ 12:38
-N oublions pas, à cette occasion, le village de Homs qui s appelle Karm Al Zeitoun (=Jardin des Oliviers) qui a été attaqué sauvagement par les Djihadistes coupeurs de tête en janvier 2012 ainsi que tout récemment.
-N oublions pas aussi un autre village Assal Al Ward (=Le Miel ou l apiculteur des Fleurs) sauvagement attaqué par les mêmes précités.
-N oublions pas Adra où les mêms balançaient les gens vivants dans les fours industriels de fonderie.
-N oublions pas la Citadelle d alep, Sahet le patriache Farhat, le Crac des Chevaliers, Yabroud, Ghoutta….
etc…
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camilo
Avr 18, 2014 @ 12:28
Hasta siempre Gabo !
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veloceexpress
Avr 18, 2014 @ 11:35
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
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Huppert Malanda
Avr 18, 2014 @ 9:23
Ne dite pas que Gabriel Garcia Marquez est mort, dites plutôt qu’il est allé au soleil. Marquez est allé déguster la fragrance du soleil…
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Spanish Empire
Avr 18, 2014 @ 5:42
Gabriel García Márquez, un des meilleurs auteur et compositeur des nos jours, d’une sensibilité sans égal et grand ami del comandante Fidel Castro.
RIP
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olka
Avr 18, 2014 @ 2:55
Paix à son âme…
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Phoenix
Avr 18, 2014 @ 2:02
★ ★ ★ ★ ★Gabriel Garcia Marquez repose en paix★ ★ ★ ★ ★
Maintenant c’est un peu nous qui serons seuls sans toi et ton roman « Cent ans de solitude » ou « Cien años de soledad », avec lequel tu t’es fait connaître Cher Gabriel Garcia Marquez, resteront à jamais dans notre patrimoine culturel et gravés dans nos mémoires….
Et comme chaque jour quelqu’un lira tes livres et en pensées sera avec toi, où que tu sois allé pour l’éternité, jamais tu ne seras tout à fait seul, nous sur cette terre ne t’oublierons pas, ni les générations qui viennent à qui tu tiendras quelque part compagnie avec la grandeur et la richesse de tes mots, emportant tes lecteurs et amis dans un monde fantasque de magie……
Je mets quelques lignes sur ta biographie en suite de mon modeste hommage au grand écrivain que tu as été et resteras à jamais, mais surtout homme libre et autre que tu fus, toi qui avec les mots côtoyait le merveilleux et le monde que seul tu avais au travers des mots créé, ton monde à toi, plein de magie…que tu nous a fait avec bonheur partager…
Merci pour ça et le monde de rêves que tu nous a offert au travers de tes lignes d’où surgissait toujours le merveilleux…
Merci de nous avoir laissé pour la postérité ton oeuvre avec laquelle tu vivras toujours parmi nous et en nous !
Une fidèle lectrice que tu as enchanté par ton oeuvre et la magie de tes mots…
Phoenix
« Il n’y a pas une seule ligne de mes livres que je ne puisse relier à une expérience réelle et au monde concret », a expliqué le conquistador des lettres colombiennes. On ajoutera qu’il a réussi à transformer le quotidien en merveilleux, le merveilleux en utopie, et l’utopie en jardin des délices, grâce à la fabuleuse alchimie d’une prose qui a la fragrance de la goyave, et la fureur luxuriante des Caraïbes.
Garcia Marquez a dit un jour à son biographe que « tout le monde a trois vies: une vie publique, une vie privée et une vie secrète ». La troisième est la plus précieuse, car elle se cache dans le gigantesque labyrinthe d’une oeuvre en perpétuelle métamorphose. Cette vie-là, Martin ne l’oublie jamais. Et, de l’indomptable Gabo, parvient à faire un personnage de ses propres romans. Afin que la littérature ait le dernier mot.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/gabriel-garcia-marquez-une-vie_823765.html#rZEqVhgMEWSTXQWM.99
Paix à ton âme Gabriel Garcia Marquez !
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Marie-Christine
Avr 18, 2014 @ 11:49
Merci chère Phoenix pour cet hommage à Gabriel Garcia Marquez.
C’est un incomparable magicien du verbe et du réel, un démiurge du réel, qui le rend plus réel dans sa dimension d’épopée d »‘humains ordinaires » du continent latino-américain. Il est né Colombien, mais il me semble qu’il traduit la force tellurique de l’âme de tout un continent !
Sa mort n’est que le passage obligé de toute vie humaine, il est et restera toujours vivant !
Oui, hommage doit lui être rendu et pas pour l’enterrer, tout au contraire !!
Avec mon amitié,
Marie-Christine
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Charles
Avr 18, 2014 @ 12:06
Je rejoins @Marie-Christine dans les remerciements à @Phoenix
Je me permets d « imiter Phoenix » 🙂 en mettant aussi cette vidéo :
(en espagnole et sous titrée en anglais, traduction française suivra)
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Charles
Avr 18, 2014 @ 12:12
Et pour les italophones et les espanaphones, une magnifique poésie de GGM
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Charles
Avr 18, 2014 @ 12:13
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ElisaB
Avr 18, 2014 @ 14:14
Il était de ces hommes dont la beauté intérieure se reflète de plus en plus sur le physique avec le temps. Merci, merci Gabriel pour tous ces personnages qui sont restés des amis : le Colonel, l’ange Remédios, la reine Fernanda.
N’ayez par peur du titre « Cent ans de solitude » n’est pas un livre sur la solitude, tout du moins pas de celle à laquelle on pourrait croire. Lisez-le.
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Marie-Christine
Avr 18, 2014 @ 14:57
Absolument ! Si vous ne lisiez qu’un seul livre de Gabriel Garcia Marquez, lisez Cent ans de solitude !!
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moycorner
Avr 18, 2014 @ 1:56
A reblogué ceci sur moycorner.
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Dcembre
Avr 18, 2014 @ 0:26
Mourir au Mexique, au soleil, cé bien!
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nasser
Avr 18, 2014 @ 0:04
TAUX DE PARTICIPATION OFFICIEL = 51,70 %
Bouteflika l’emporte sur une large majorité (chiffres officiels non communiqués)
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Serge Charbonneau
Avr 17, 2014 @ 23:45
C’est toujours triste de voir une personne de talent nous quitter.
Surtout un homme qui a su reconnaître les mérites de la révolution cubaine.
Qu’il repose en Paix.
Son oeuvre lui survivra.
http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-Garcia-Marquez-Un-homme-d-une-bonte-d-enfant-et-d-un-talent-cosmique-selon-Fidel-Castro.htm?&rub=5&xml=140417205743.3ox4lrbr.xml
Serge Charbonneau
Québec
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CROA
Avr 18, 2014 @ 11:26
Notez dans l’article cité par Serge Charbonneau le passage démontrant la perversité absolue du gouvernement étasunien. C’est cette même perversité qui a permis d’éliminer les Amérindiens, laquelle est décrite dans « Un siècle de déshonneur » de H H Jackson.
» En 1997, « Gabo » [Gabriel Garcia Marquez] présente à Bill Clinton – qui lui avait affirmé que « Cent ans de Solitude » était son roman favori – un message de Fidel Castro proposant aux Etats-Unis de coopérer en matière de lutte contre le terrorisme.
La coopération américano-cubaine fut éphémère. Washington a profité des informations transmises par les Cubains sur les plans des anti-castristes contre Cuba pour arrêter en septembre 1998 le réseau d’agents cubains opérant clandestinement en Floride. «
C’est depuis ce temps que les « Cinq de Miami » purgent des peines de prison de plusieurs dizaines d’années pour avoir mené une lutte non armée, contre le terrorisme en provenance de Floride.
Est-ce une opération clandestine que de s’informer auprès de réseaux criminels pour les désigner aux autorités du pays où ils opèrent ? Cuba n’a pas eu l’intention d’éliminer les terroristes qui opéraient sur le territoire cubain depuis Miami et les cinq n’ont commis aucune action illégale au sens des pays normaux.
Conclusion
Il ne faut en aucun cas croire en la parole (ou la signature) d’un dirigeant étasunien et ne jamais lui faire confiance : dès que tu as le dos tourné, il te poignarde.
Bonne chance avec le grand marché, faites des provisions de livres de Gabriel Garcia Marquez et de pièces de trois euros, ça va servir !
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Estelle
Avr 17, 2014 @ 23:40
Prem’s !
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