Recep Tayyip Erdogan a peur. Il est dans une phase de fuite en avant sans précédent. Une semaine après s’en être pris honteusement au réseau du micro-blogging Twitter, le gouvernement turc récidive. Cette fois-ci, il vient d’ordonner le blocage du site YouTube après la diffusion d’une conversation entre de hauts responsables proche d’Erdogan, et…corrompus.
La Syrie de Bachar al-Assad qu’il combat, n’a jamais interdit Twitter ou YouTube, malgré trois ans de guerre provoquée par l’extérieur…Mais, le dictateur corrompu Recep Tayyip Erdogan, a toujours la faveur de la presse mainstream occidentale. Cherchez l’erreur !
La vidéo (merci Tarik !)
CROA
Mar 29, 2014 @ 13:02
C’est ce qui va bientôt se passer ici. Internet et la liberté d’exppression sont gravement menacés. Sarkozy rêvait d’effacer la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de la Constitution, Hollande est en train de le faire.
J’aimeJ’aime
tarik
Mar 28, 2014 @ 19:13
http://www.voltairenet.org/article183019.html
Ahmet Davutoğlu (ministre des Affaires étrangères) : Le Premier ministre a déclaré que, dans la conjoncture actuelle , cette attaque [de la tombe de Suleiman Shah] doit être considérée comme une opportunité pour nous.
Hakan Fidan (chef des services secrets) : Je vais envoyer quatre Syriens, si c’est ce qu’il faut. Je vais créer un casus belli en ordonnant une attaque de missiles contre la Turquie, nous pouvons également préparer une attaque sur la tombe de Suleiman Shah si nécessaire.
Feridun Sinirlioglu (secrétaire d’État aux Affaires étrangères) : Notre sécurité nationale est devenue un outil pratique et peu cher de politique.
Yaşar Güler (chef d’état-major adjoint) : C’est un casus belli. Je veux dire, ce que nous allons faire, c’est créer un casus belli.
Ahmet Davutoğlu : […] Que doit faire notre ministère des Affaires étrangères exactement ? Je ne parle pas de la chose. Il y a d’autres choses que nous sommes censés faire. Si nous nous décidons sur ce sujet nous devons informer les Nations Unies, le consulat du régime syrien à Istanbul, non ?
Feridun Sinirlioglu : Mais si nous décidons d’une opération, il faut créer un effet choquant. Je veux dire, si nous allons le faire. Je ne sais pas ce que nous allons faire, mais peu importe ce que nous décidons, je ne pense pas qu’il serait approprié d’aviser quiconque au préalable.
Ahmet Davutoğlu : D’accord, mais nous allons devoir en quelque sorte préparer. Pour éviter les courts-circuits en ce qui concerne le droit international. Je venais juste de réaliser quand je parlais au président [Abdullah Gül], si les chars turcs vont là-bas, cela signifie que nous sommes là-bas, dans tous les cas, non ?
Yaşar Güler : Cela signifie que nous y sommes, oui.
Ahmet Davutoğlu : Oui, mais il y a une différence entre y aller avec des avions et y aller avec des chars…
Yaşar Güler : Peut-être que nous pouvons dire au consulat général syrien que l’État Islamique en Irak et au Levant travaille actuellement aux côtés du régime, et que ce lieu est une terre turque. Nous devrions certainement …
Ahmet Davutoğlu : Mais nous avons déjà dit cela et adressé plusieurs notes diplomatiques.
Yaşar Güler : Pour la Syrie …
Feridun Sinirlioglu : C’est exact.
Ahmet Davutoğlu : Oui, nous les avons envoyé de nombreuses fois. Par conséquent, je voudrais savoir quelles sont les attentes du chef d’état-major envers notre ministère.
Yaşar Güler : Peut-être que son intention était de dire que, je ne sais pas vraiment, il a rencontré Monsieur Fidan
Hakan Fidan : Eh bien, il a mentionné cette partie mais nous ne sommes pas allés dans le détail.
Yaşar Güler : Peut-être que c’était ce qu’il voulait dire … une note diplomatique vers la Syrie ?
Hakan Fidan : Peut-être que le ministère des Affaires étrangères est affecté à la coordination …
Ahmet Davutoğlu : Je veux dire, je peux coordonner la diplomatie mais la guerre civile, l’armée …
Feridun Sinirlioglu : C’est ce que j’ai abordé. D’une part, la situation est différente. Une opération sur l’ÉIIL a des bases solides en droit international. Nous allons le dépeindre comme étant Al-Qaïda, il n’y a pas d’inquiétude si c’est une question concernant Al-Qaida. Et s’il s’agit de défendre la tombe de Suleiman Shah, c’est une question de protection de notre terre.
Yaşar Güler : Nous n’avons pas de problèmes avec cela.
Hakan Fidan : Quand cela va arriver, cela va provoquer un grand émoi interne. La frontière n’est pas sous contrôle …
Feridun Sinirlioglu : Je veux dire, oui, des attentats vont se produire bien sûr. Mais je me souviens de notre conversation d’il y a 3 ans …
Yaşar Güler : M. Fidan devrait recevoir de toute urgence du soutien et nous devons l’aider à fournir des armes et des munitions aux rebelles. Nous devons parler avec le ministre. Notre ministre de l’Intérieur, notre ministre de la Défense Nous avons besoin de parler à ce sujet et de parvenir à une résolution monsieur.
Ahmet Davutoğlu : Comment étions-nous arrivés à mettre nos forces spéciales en action quand il y a eu une menace dans le nord de l’Irak ? Nous aurions du faire pareil là-bas aussi. Nous aurions du former ces gars et envoyer des hommes. Quoi qu’il en soit, nous ne pouvons pas le faire, nous ne pouvons faire uniquement ce que la diplomatie…
Feridun Sinirlioglu : Je vous l’ai dit à l’époque, pour l’amour de Dieu, en général, vous savez comment nous avons réussi à avoir ces tanks là-bas, vous y étiez.
Yaşar Güler : Quoi, vous voulez dire nos affaires ?
Feridun Sinirlioglu : Oui, comment pensez-vous que nous ayons réussi à envoyer nos chars en l’Irak ? Comment ? Comment avions nous réussi à impliquer des forces spéciales et des troupes ? J’ai été impliqué dans cela. Permettez-moi d’être clair, il n’y avait pas de décision du gouvernement à ce sujet, nous avions réussi cela avec un seul ordre.
Yaşar Güler : Eh bien, je suis d’accord avec vous. Pour une chose, nous n’avons pas à discuter de cela. Mais il y a différentes choses que la Syrie peut faire dès maintenant.
Ahmet Davutoğlu : Général, la raison pour laquelle nous disons non à cette opération est parce que nous connaissons la capacité de ces hommes.
Yaşar Güler : Regardez, Monsieur, MKE (Mechanical and Chemical Industry Corporation) n’est elle pas aux ordres du ministre ? Monsieur, je veux dire, le Qatar est à la recherche de munitions pour les acheter en cash. En liquide. Alors, pourquoi ne le faisons nous pas ? C’est sur ordre de Monsieur le ministre…
Ahmet Davutoğlu : Mais il y a l’endroit, nous ne pouvons pas agir de façon intégrée, nous ne pouvons pas coordonner.
Yaşar Güler : Alors, notre Premier ministre peut convoquer le ministre de la Défense et Monsieur le ministre au même moment. Ensuite, il peut leur parler directement.
Ahmet Davutoğlu : Nous, M. Siniroğlu et moi, avons littéralement supplié Monsieur le Premier ministre pour obtenir une réunion privée, nous avons dit que les choses n’allaient pas si bien que cela.
Yaşar Güler : En outre, il n’a pas à être surchargé de réunions. Vous-même, Monsieur le ministre de la Défense, Monsieur le ministre de l’Intérieur et notre chef d’état-major, quatre d’entre vous suffisent. Il n’est pas nécessaire d’être une foule. Parce que, Monsieur, la nécessité principale c’est qu’il y ait des armes à feu et des munitions. Pas même des armes, principalement des munitions. Nous venons juste de parler à ce sujet, Monsieur. Disons que nous mettons en place une armée là-bas, d’un millier d’hommes. Si nous les engageons dans cette guerre sans leur fournir un minimum de 6 mois de munitions alors ils vont revenir nous voir au bout de deux mois.
Ahmet Davutoğlu : Ils sont déjà de retour.
Yaşar Güler : Ils vont revenir vers nous, Monsieur
Ahmet Davutoğlu : Ils ont venir de … Comment c’était ? Çobanbey [checkpoint près de la ville turque d’Elbeyli]
Yaşar Güler : Oui, en effet, Monsieur. Cette question ne peut pas rester un fardeau sur les épaules du seul Monsieur Fidan comme elle l’est actuellement. C’est inacceptable. Je veux dire, nous ne pouvons pas comprendre cela. Pourquoi ?
***
Ahmet Davutoğlu : Ce soir là, nous avions atteint une résolution. Et je pensais que les choses prenaient un tour pour le bien. Le notre…
Feridun Sinirlioglu : Nous avions émis la résolution du MGK [Conseil national de sécurité] le lendemain. Ensuite, nous avons parlé avec le général …
Ahmet Davutoğlu : Et les autres forces faisaient vraiment un bon suivi de notre faiblesse. Vous dites que vous allez capturer cet endroit, et que les hommes là-bas constituent un facteur de risque. Vous les faites se retirer. Vous capturez la place. Vous renforcez et y envoyez vos troupes à nouveau.
Yaşar Güler : Exactement, Monsieur. Vous avez absolument raison.
Ahmet Davutoğlu : Vraiment ? C’est ainsi que je l’interprète. Mais, après l’évacuation, ce n’est pas une nécessité militaire. C’est une toute autre chose.
***
Feridun Siniroğlu : Il y a quelques changements sérieux dans la géopolitique mondiale et régionale. Cela peut maintenant se propager à d’autres endroits. Vous l’avez dit vous-même aujourd’hui, et d’autres sont d’accord… Nous nous dirigeons vers un jeu différent maintenant. Nous devrions être en mesure de les voir [les changements]. Que l’ÉIIL et tout ce cirque, toutes ces organisations sont extrêmement ouvertes à la manipulation. Avoir une région composée d’organisations de même nature constitue un risque de sécurité vital pour nous. Et quand nous sommes allés pour la première fois en Irak du Nord, il y avait toujours le risque que le PKK fasse exploser l’endroit. Si l’on considère attentivement les risques et appuyons cela… Comme le général vient de dire…
Yaşar Güler : Monsieur, lorsque vous étiez à l’intérieur il y a un moment, nous avons discuté de tout cela. Ouvertement. Je veux dire, les forces armées sont un « outil » nécessaire pour vous à chaque tour.
Ahmet Davutoğlu : Bien sûr. Je dis toujours cela au Premier ministre, en votre absence, la même chose dans un jargon universitaire, vous ne pouvez pas rester dans ces terres sans hard power. Sans hard power, il ne peut y avoir de soft power.
Yaşar Güler : Monsieur,
Feridun Sinirlioglu : La sécurité nationale a été politisée. Je ne me souviens de rien de ce genre dans l’histoire politique turque. Elle est devenue une question de politique intérieure. Tous les entretiens que nous avons faits sur la défense de nos terres, sur notre sécurité à la frontière, sur nos terres revendiquées là-bas, ils sont tous devenus un outil commode et pas cher de politique intérieure.
Yaşar Güler : Exactement
Feridun Siniroğlu : Cela n’est jamais arrivé avant. Malheureusement, mais…
Yaşar Güler : Je veux dire, n’y aurait-il pas au moins l’un des partis de l’opposition qui vous soutiendrait sur un tel point de haute sécurité nationale ? Monsieur, est-ce un sens justifiable de la sécurité nationale ?
Feridun Sinirlioglu : Je ne me souviens même pas d’une telle période.
Yaşar Güler : Dans quel domaine pouvons-nous être unis, si ce n’est par une question de sécurité nationale d’une telle ampleur. Aucun.
Ahmet Davutoğlu : […] Si seulement nous avions pris des mesures sérieuses à l’époque, même à l’été 2012.
Feridun Sinirlioglu : Ils étaient à leur plus bas en 2012
Ahmet Davutoğlu : Sur le plan interne, ils étaient exactement comme la Libye. Qui entre et sort du pouvoir n’est d’aucune importance pour nous. Mais certaines choses…
Yaşar Güler : Monsieur, pour éviter toute confusion, notre besoin en 2011 c’était des fusils et des munitions. En 2012, en 2013, et même aujourd’hui, c’est toujours le cas. Nous sommes exactement au même point. Nous avons absolument besoin de trouver cela et de sécuriser cet endroit.
Ahmet Davutoğlu : Les fusils et les munitions ne sont pas d’un grand besoin pour cet endroit.Parce que nous n’avons pas pu mettre le facteur humain en ordre…
Seconde partie
Hakan Fidan : Nous avons envoyés environ 2 000 camions chargés d’équipements.
Yaşar Güler : Je pense que les armes ne sont pas nécessaires là-bas. C’est ma propre opinion. Les munitions sont nécessaires. Oui Monsieur. Monsieur Hakan [Fidan] est ici. nous pouvons fournir un général. Monsieur Fidan lui même a demandé cela en premier. Nous disions que nous pouvions. Nous avions désigné un général et le général y était allé.
Feridun Sinirlioğlu : Si nous voulons être pratique, le ministre de la Défense devrait signer pour le bien de la nation. Notre Premier ministre devrait donner l’ordre une fois de plus, clairement.
Ahmet Davutoğlu : En fait pour moi, cette nuit même…
Yaşar Güler : Monsieur, nous n’avons aucun problème pour ce soir.
Feridun Sinirlioğlu : L’ordre pour l’opération est déjà donné pour ce soir.
Yaşar Güler : Nous avons délivré l’ordre immédiat pour l’opération, peut être que Mr Fidan le sait aussi.
Ahmet Davutoğlu : Hakan, quelles sont les complications si nous décidons d’envoyer des chars ?
Hakan Fidan : Et bien, sans coordination, si nous considérons le rapport de force…
Yaşar Güler : C’est pourquoi nous demandons la coordination du MIT [services secrets] Monsieur le ministre.
Hakan Fidan : …sans la présence et la qualité d’hommes armés.
Yaşar Gülen : C’est pourquoi nous prenons la coordination du MIT pour un prérequis, Monsieur le ministre. À savoir, il n’y a rien cette nuit dont vous ayez à vous souciez Monsieur le ministre. Pas ce soir, pas plus tard. Mais nous devons régler ce problème à moyen terme.
Ahmet Davutoğlu : Je pense toujours optionnellement à cela, mais nous ne pouvons pas convaincre ces hommes. Nous les intégrerons, les renforceront avec des chars de l’intérieur. À partir de là, nous avons besoin de considérer les conditions de guerre —et entre cela et la déclaration de guerre—, nous faisons une opération.
Yaşar Güler : C’est un casus belli. Ce que nous ferons est une raison directe pour la guerre.
Hakan Fidan : Pas une raison pour faire la guerre avec la Syrie.
Yaşar Güler : Non, ces hommes…
Hakan Fidan : Là où je veux en venir c’est que nous savons que 2 + 2 = 4. Maintenant, si nous, là, cette chose-là ne signifie rien stratégiquement, si ce n’est l’image positive etc… Si nous voulons entrer en guerre, il faut le préparer et y aller. Je veux dire…
Yaşar Güler : C’est aussi ce que nous disons de puis le début.
Hakan Fidan : Ce que je ne peux pas accepter, c’est ça. Maintenant, nous considérons l’usage de la force, pour la tombe de Suleiman Shah, nous envisageons l’usage d’armes, ce qui veut dire, pour une portion de territoire de la taille de cette pièce, dix hectares de terrain, nous courrons le risque d’utiliser des armes, pour les 22 à 28 soldats là-bas. Bon, nous avons des milliers de kilomètres de frontières, et pourtant nous ne le risquons pas pour la vie de millions de personnes. Écoutez, ce n’est pas raisonnable. Laissez-moi dire cela. Si nous sommes sur le point d’utiliser des armes, laissez-nous le faire depuis le début. Si ces hommes sont une menace.
Feridun Sinirlioğlu : Bon, il y a une raison à cela…
Hakan Fidan : Utiliser cela comme une justification est une autre chose. L’autre est différente.
Yaşar Güler : Bien, notre ministre des Affaires étrangères ne pourra jamais trouver une raison à cette dernière, mais pour ça oui…
Hakan Fidan : Attendez, laissez moi vous dire ceci…
Ahmet Davutoğlu : Juste entre nous, le Premier ministre a dit que [attaquer la tombe] devrait aussi être considéré comme une opportunité dans cette conjoncture.
Hakan Fidan : Monsieur, regardez, si la justification —que nous pouvons— que je peux envoyer quatre hommes de l’autre côté et tirer huit missiles dans un territoire désert. Ce n’est pas un problème. Les justifications peuvent être créées. Le problème est qu’une telle volonté doit être invoquée. Nous formulons le souhait d’entrer dans une guerre, mais nous échouons dans le raisonnement.
Feridun Sinirlioğlu : Laissez-moi vous dire ceci, dix hectares de terrain. Dix hectares de terrain est une justification très valide concernant le droit international, de plus, en termes de légitimité, réaliser une telle opération contre l’ÉIIL, le monde entier sera derrière nous. Aucun doute la dessus.
Yaşar Güler : Non, nous n’avons aucun doute.
Feridun Sinirlioğlu : Non, je le dis à tout le monde. Sur ce point…
Yaşar Güler : Monsieur le ministre, nos forces sont prêtes depuis un an, en attente. Ce n’est pas une précaution que nous avons pris hier, ces hommes sont là depuis un an.
Hakan Fidan : Pourquoi sommes nous encore là à attendre pour la tombe de Suleyman Shah, je ne comprends pas.
Ahmet Davutoğlu : Nous avons fait, nous avons fait tout ce qui était diplomatiquement possible.
Feridun Sinirlioğlu : Nous avons besoin d’une justification, d’une bonne justification.
Hakan Fidan : Non, je peux fabriquer une justification, une justification n’est pas un problème.
Feridun Sinirlioğlu : Non, fabriquer une justification c’est autre chose, c’est une justification très solide.
Hakan Fidan : Si nécessaire nous pouvons aussi bien faire une attaque là-bas [sur la tombe], nous attaquons de manière préventive. Nous pouvons le faire, je veux dire, j’essaye de comprendre.
Feridun Sinirlioğlu : Nous aurions du faire cela avant, cela peut être fait bien sur. Nous pouvons le faire réaliser.
Hakan Fidan : Je veux dire, si nous sommes prêts à utiliser cela, en temps et lieu opportun, faisons le avec un but que nous déterminerons.
Ahmet Davutoğlu : Hakan, comme vous l’avez dit, si ce que vous entendez est un manque de stratégie dans la fabrication d’une justification, vous avez raison. Contre ces hommes…
un officier : Monsieur, sans que cela arrive…
Ahmet Davutoğlu : […] Vous ne pouvez pas dire au secrétaire d’État américain : « Nous devons prendre des mesures fortes ».
Hakan Fidan : Bien, Monsieur, ce que je veux dire c’est…
Ahmet Davutoğlu : Alors, il dira, vous n’avez jamais défendu votre propre terre. Nous avons eu beaucoup de conversation amicales, principalement avec Kerry et il me disait exactement cela, vous avez décidé de frapper et…
Yaşar Güler : Monsieur, nous l’avons fait, des centaines de fois, avec les États-Unis…
Feridun Sinirlioğlu : Bien, regardez, il y a trois jours, une chose s’est produite au bureau du chef d’état major, cette affaire a été soulevée et nous avons eu une rencontre de coordination. Je le vois pour la première fois. Les Américains…
Yaşar Güler : Non, nous l’avons fait régulièrement !
Feridun Sinirlioğlu : Non, non, les Américains durant cette rencontre ont distribué des plans pour la zone de non-survol. Pour la première fois. Tu savais cela ?
Hakan Fidan : Hmm, ce que je souligne c’est que, Monsieur, si nous sommes sur le point de prendre une telle décision pour une raison de cette sorte [la tombe], si nous sommes prêts à prendre cette décision.
Feridun Sinirlioğlu : Non, pas seulement Suleyman.
Hakan Fidan : J’affirme que, si nous somme prêts pour prendre cette décision, nous aurions déjà du la prendre. À cause de la menace et des avantages que nous avons. C’est pourquoi j’essaye de dire cela. […]
Ahmet Davutoğlu : Oui, si nous avions pris cette décision sur une plus petite échelle, nous ne serions pas isolés comme aujourd’hui.
Yaşar Güler : Non attendez, nous avons pris cette décision.
Hakan Fidan : Mais elle n’a pas été mise en œuvre.
Yaşar Güler : Nous ne pouvons pas réaliser cette décision, nous sommes paralysés pour plusieurs raisons, c’est notre problème Monsieur le ministre. L’appareil de l’État ne fonctionne pas.
Ahmet Davutoğlu : Je n’accepte pas cela, laissez moi vous le dire clairement. […], dans la tradition de l’État dans laquelle j’ai été élevé ; accepteriez-vous cela, dans le ministère des Affaires étrangères que des débats politiques causent des retards dans les processus… Actuellement, une telle chose ne serait pas légitime ! Tout le monde doit prendre ses responsabilités avec détermination. Si un ambassadeur déclare, Monsieur le ministre, on m’empêche de travailler, que faites vous ? Nous disons, prenez votre retraite et nous allons trouver quelqu’un d’autre pour faire cela, n’est ce pas ? C’est la manière dont je vois les choses. C’est comme ça que la démocratie fonctionne.
Yaşar Güler : Monsieur le ministre, vous avez totalement raison.
Ahmet Davutoğlu : Actuellement, l’État fonctionne uniquement à travers quelques agences et quelques personnes qui sont capables de prendre les bonnes décisions, ce que je fais.
Yaşar Güler : Non, nous n’allons pas reculer.
Ahmet Davutoğlu : Quoi qu’il en soit, passons de l’autre côté
J’aimeJ’aime
tarik
Mar 28, 2014 @ 18:53
je ne sais pas si quelqu’un a deja mis ça sur site mais voice la traduction complete de la video en français :
lien : http://www.voltairenet.org/article183019.html
Bonne lecture
PS/ a ceux qui font leurs prieres : an’âlou hadhou Shayatine
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 11:35
J’aimeJ’aime
fredo
Mar 28, 2014 @ 9:14
28 mars 2014
IRIB-L’Allemagne est décidément le pays le plus en retrait dans la campagne antirusse du bloc BAO,
dans le cadre de l’affaire ukrainienne. La chancelière Merkel a fait son discours le plus affirmé et le plus tranchant à cet égard, à l’occasion de la réception du président sud-coréen à Berlin. Pour elle, on n’en est pas encore au stade des sanctions économiques, et elle espère fermement qu’on n’aura pas à en arriver là et qu’un compromis politique pourra être trouvé … (Russia Today, le 27 mars 2014.)
Une autre personnalité politique allemande a pris position sur la crise de Crimée et les relations avec la Russie. Il s’agit de l’ancien chancelier Schmidt, qui écrit une chronique régulière le quotidien Die Zeit. Schmidt a pris nettement position pour la Russie et contre les sanctions économiques. Pour lui, l’approche de Poutine de l’affaire criméenne est «complètement compréhensible». Les premières sanctions occidentales (contre des personnalités) sont «complètement stupides… […] alors que les sanctions économiques plus sérieuses éventuelles toucheront aussi durement l’Ouest que l’Est.» Quant à la décision de réduire le G8 au G7 pour “punir la Russie”, c’est également une erreur du bloc BAO : «Il aurait été idéal de se retrouver tous ensemble maintenant. Cela aurait certainement plus fait pour la paix que des menaces de sanctions»
D’une façon générale, la position allemande, lorsqu’on met en parallèle ces interventions et celles d’Obama le même jour, est remarquablement éloignée de celle des USA et tend plutôt à s’affirmer qu’à se nuancer. Bien entendu, cela ne constitue pas un facteur décisif, ni ne présume en aucune manière d’évolutions possibles de l’un ou l’autre. Il n’empêche, cette coïncidence antagoniste de la réaffirmation des positions allemande et US indique un point de tension non négligeable dans la crise générale développée autour de l’Ukraine, – un point de tension de plus, contribuant à la gravité et à la complexité de cette crise. C’est bien de cette façon qu’il faut considérer la position allemande, comme un facteur de complexification de la crise et nullement comme une tension spécifique, ou comme un problème spécifique des relations Allemagne-USA ; sa véritable mesure se trouve par rapport au contexte de la crise et nullement par rapport au cadre transatlantique habituel, parce que cette crise générale née de la crise ukrainienne est désormais la référence prioritaire des relations internationales.
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 8:02
Entre (…)
.
Le Netanvo… ferme ses ambassades ..
.
.
+info : http://www.redflagnews.com/headlines/something-is-about-to-happen-for-the-first-time-in-history-israel-suspiciously-closes-all-embassies-and-consulates-worldwide
.
Et c´est madame Merkel qui représentera les intérêts d´Israël dans certains territoires arabes
.
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 8:05
+info : http://translate.google.es/translate?hl=es&sl=en&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.veteranstoday.com%2F2014%2F03%2F25%2Fgermany-and-zionists-tie-the-knot-again%2F
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 7:04
Remember ! 09.11.2012
Une image vaut plus que mille mots …
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 6:43
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 7:21
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 6:34
Jaafari Accusing Turkey and Israel of Concerted Attacks
.
.
Vía : http://www.syrianperspective.com/2014/03/bashar-jaafari-accuses-turkey-and-israel-of-concerted-attacks.html
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 6:31
Tombe de Solimán Schah : http://es.wikipedia.org/wiki/Tumba_de_Solimán_Schah
J’aimeJ’aime
meduze
Mar 28, 2014 @ 4:09
Plus de Ytube ?! pas grave, il leur reste Dailymotion
J’aimeJ’aime
dogan
Mar 28, 2014 @ 0:34
celui qui a mis cette vidéo est un patriote turc qui ne veut pas voir son pays detruit a cause de sioniste qui le dirige et de mouton qui le compose car avec une video ou erdogan est pris en flagrant délit de vol y a belle lurette qu’un peuple éveiller l’aurait deja pendu par les couilles et avec cette video c est l armée qui aurait du pendre par les couilles ses sionistes mais le souci est que la majorité du peuple ne vaut guère mieux que ceux qui les gouvernes
si avec cette video le gouvernement syrien n’a pas gain de cause ou une resolution sur la turquie au pres des instance de l onu alors je ne sais plus ce qu’il faut
J’aimeJ’aime
alexandre
Mar 28, 2014 @ 0:41
L’ONU c’est du caca et Ban Ki-Moon a le nez dedans.
J’aimeJ’aime
lafleurs
Mar 28, 2014 @ 0:03
Bahrein et ses jihadistes en Syrie
Ultimatum pour qu’ils rentrent au pays avant quinze jours :
ultimatum de deux semaines pour le retour de ses ressortissants engagés dans des combats à l’étranger, faute de quoi ils seront poursuivis en vertu des lois sur la lutte contre le terrorisme.
Dans un communiqué, le ministère de l’Intérieur appelle les Bahreïnis, « se trouvant actuellement dans des zones de conflit » où ils se sont engagés « sous prétexte de jihad », à prendre l’initiative de « rentrer au pays dans un délai de deux semaines ».
A l’expiration de cet ultimatum, les récalcitrants « seront poursuivis en justice selon le code pénal et la loi sur la protection de la société des actes terroristes », ajoute le ministère, qui prévient qu' »ils pourraient être déchus de leur nationalité ».
Fin février, le ministère avait averti qu’il allait durcir la loi, prévoyant actuellement jusqu’à 5 ans de prison, contre ses ressortissants engagés dans des combats à l’étranger, dont la Syrie.
……..;
Le pire est que tous ces pays fixent un ultimatum pour que ces barbares sanguinaires rentrent à la maison mais en vitesse et comme les Saoudiens ou les Turcs qui ne veulent plus que leur vermine retourne en Syrie sauf « blessés »et repassent la frontière sains et saufs ! .Mais alors ce qui leur plait y compris à Vals et autre Fafa à propos des voyous franco belges c’est qu’ils continuent à dépecer et violer en Syrie car comme le proclamait fafa …
La vidéo BFMTV est annoncée un peu partout et alors que décident les copains fabius-Vals
pour ces « rebelles immondes » ? Silence assourdissant…
Bon je pense qu’il faut faire passer la vidéo ( je n’ai pas voulu fois regarder ! ) et se remettre à faire des lettres hurlantes de colère aux partis et dans les ministères et quai d’Orsay. On a tous les adresses et contacts maintenant et en plus c’est le moment avec la nouvelle gifle énorme qui se prépare !
A mon avis aussi la » brillante » politique étrangère et tous les mensonges et couacs qui ont suivi et suivent n’ont pas laissé pas non plus les Français indifférents : les merdias n’en parlent pas mais cela aussi compte !
J’aimeJ’aime
Le Dessous Des Cartes
Mar 27, 2014 @ 23:40
Boeing malaisien : Une réplique de l’avion est garé à l’aéroport de Tel Aviv, la piste du false flag se précise…?
http://www.alterinfo.net/Boeing-malaisien-Une-replique-de-l-avion-est-gare-a-l-aeroport-de-Tel-Aviv-la-piste-du-false-flag-se-precise_a101114.html
J’aimeJ’aime
Nazareth
Mar 27, 2014 @ 23:24
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article4420
» Les plans terroristes du régime d’Erdogan en Syrie »
Bahar Kimyongür
J’aimeJ’aime
dhamiro
Mar 27, 2014 @ 23:10
DIMANCHE 30 MARS DE 15h à 18h à PARIS.
MANIFESTATION POUR LA SYRIE, CONTRE LE RÉGIME D’ERDOGAN, CONTRE LE MASSACRE DES ARMÉNIENS ET DES SYRIENS ET DE TOUTES LES AUTRES CONFESSIONS A KASSAB.
AMBASSADE DE TURQUIE A PARIS : 16 AVENUE LAMBALLE PARIS 75016.
STATION DE METRO : PASSY – LIGNE 6 – DIRECTION CHARLES DE GAULLE ETOILE.
SOYEZ NOMBREUX !
http://jacques.tourtaux.over-blog.com.over-blog.com/article-paris-dimanche-30-mars-devant-l-ambassade-de-turquie-16-avenue-de-lamballe-de-15-a-18h-manifestati-123116627.html
J’aimeJ’aime
dhamiro
Mar 27, 2014 @ 23:06
« Recep Tayyip Erdogan, a toujours la faveur de la presse mainstream occidentale »
Logique, puisqu’ ils sont tout 2 impliqués dans l’effusion de sang syrien depuis 2011 et se partagent les rôles (macabres) Er dog Ane déverse tout le terrorisme international en Syrie pour massacrer le peuple syrien, puis les Merdias propagandistes occidentaux prènent la relève pour accuser non pas les terroristes qui massacrent, mais le pouvoir légitime syrien (sic) il n’ y a donc pas d’erreur mais des connivences délibérées.
J’aimeJ’aime
dhamiro
Mar 27, 2014 @ 23:13
Journal de Syrie.
– Jaafari: La couverture turque des opérations terroristes à Kassab constitue une escalade dangereuse
– Les services compétents saisissent des pièces antiques volées par les terroristes
– L’armée a trouvé un tunnel creusé par des terroristes pour le servir dans leurs actes criminels, Le correspondant de la chaîne al-Ikhbaria blessé à Homs
– L’armée syrienne cible des terroristes dans la banlieue nord de Lattaquié
– Bogdanov affirme que Moscou aspire à la reprise des pourparlers entre les parties syriennes
– Le président Bachar al-Assad a reçu aujourd’hui un message de son homologue arménien Serge Sarkissian
– Irak: L’armée irakienne procède à la liquidation d’un grand nombre de terroristes dans différentes régions
– Liban: un soldat de l’armée libanaise tué des inconnus armés à Tripoli
J’aimeJ’aime
dhamiro
Mar 27, 2014 @ 23:44
Un avion de chasse syrien lance un missile en direct sur les terroristes wahabo-sionistes.
J’aimeJ’aime
Phoenix
Mar 28, 2014 @ 1:12
@Dhamiro
merci de ce lien et quel courage ont ce vrais héros que sont les pilotes Syriens, maintenant que les terros ont tout l’équipement pour les descendre et honte aux criminels auto-proclamés « Communauté-Internationale », mieux et plus exactement dit : « Communauté Internationale de Criminels de Guerre et Criminels contre l’Humanité », ainsi que les financiers criminels que sont les « Chameliers du Désert du Golfe Persique Saouds, Al Thani & Co » agissant en toute impunité !
Mais les choses risquent de changer pour ces malfaisants sataniques et possible que ce soit bien plus vite qu’on ne le pense, en pensant sans cesse au crash économique qui seul peut les arrêter dans leurs entreprises de destructions massives…
La Russie et la Chine ensemble peuvent réussir dans ce sens en quelques jours au besoin…
Alors on se torchera vraiment le c..avec leurs $ dollars…, qui déjà aujourd’hui de fait ne valent rien, car jamais ils ne pourront rembourser leur dette colossale ou abyssale dans sa non valeur et non couverture en or ou une quelconque valeur…
Tout est virtuel et son économie jamais ne couvre quoi que ce soit, même pas le payement des intérêts de la dette…
Tout est faux ces ces gens là, même le fric, que la Banque Privée Rothschild émet sur sa planche à billet à la Fed,qui lui appartient depuis 1913 et non à l »Etat Américain, tout comme la Banque Nationale d’Angleterre, qui est la banque Privée des Rotschild et pas la Banque nationale de Grande Bretagne depuis le début du 19 s…
Tout est tromperie et basé sur le faux chez Sion
Cordialement
Phoeniix
J’aimeJ’aime
dhamiro
Mar 28, 2014 @ 2:06
Je t’en prie phoenix@ tiens, pour la route, voici un lien ci dessous.. où un des terroristes (qui sont en réalité les mercenaires de l’OTAN et du régime sioniste) demande l’aide de la maison mère, à savoir le régime sioniste d’Israël. On observe que plus le temps passe et plus les rats sortent de leurs terriers comme l’autre larbin Er dog Ane dont lui aussi est en pleine hystérie après que la Syrie ai su résister et rester debout malgré le chaos et les carnages fomentés par ces mêmes terroristes qu’il (er dog Ane) déverse sur la Syrie depuis plus de 3 ans.
« Un milicien syrien à Netanyahu: « Aidez-nous, frappez la Syrie »
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=162941&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1
@+
J’aimeJ’aime
veloceexpress
Mar 27, 2014 @ 22:25
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
J’aimeJ’aime
Estelle
Mar 27, 2014 @ 22:25
Ah, la Turquie, une grande démocratie !
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 27, 2014 @ 22:19
Tony Cartalucci :
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 27, 2014 @ 22:20
+info:
http://www.microsofttranslator.com/bv.aspx?from=en&to=fr&a=http%3A%2F%2Fjournal-neo.org%2F2014%2F03%2F26%2Fturkey-vs-syria-nato-s-last-gasp%2F
J’aimeJ’aime
Karim
Mar 27, 2014 @ 22:18
Ordogan, Fabius et BHL ne méritent pas d’etre sur terre : le TPI et pendaison publique ….de vrais voyous sionistes criminels destructeurs de nations
J’aimeJ’aime
Thierry46
Mar 27, 2014 @ 22:13
Je sais pas qui a balancé la vidéo, mais on peut tous le remercier, il sera difficile maintenant pour Merdedane de lancer son armée en Syrie.
Pourvu que les turcs le foutent dehors, ce gros connard!
J’aimeJ’aime
charles
Mar 27, 2014 @ 22:12
Dans la même veine de l article principal ci dessus, merci à AJ.:
————————-
URGENT
Source :Bahar KIMYONGUR,
Merci à Bahar
______________________________________
Les plans terroristes du régime d’Erdogan en Syrie
De nouveaux ENTREGISTREMENTS FUITéS cette nuit par les hommes de la Confrérie de Fethullah Gülen, nouveau frère ennemi d’Erdogan, établissent la responsabilité flagrante du régime d’Ankara dans la guerre et le terrorisme en Syrie.
Ces « AKP-Leaks » impliquent directement le ministre turc des affaires étrangères Ahmet Davutoglu, le directeur des services secrets de la MIT Hakan Fidan, le conseiller du ministère des affaires étrangères Feridun Sinirlioglu et le chef-ajdoint de l’état-major turc Yasar Güler.
L’une de ces conversations compromettantes porte sur l’enclave turque en territoire syrien appelée » Suleyman Shah » où se trouve le mausolée éponyme du grand-père du fondateur de l’empire ottoman Osman Ier.
Les quatre conspirateurs invoquent le menace que fait peser le réseau terroriste Daech (EIIL) sur l’enclave comme prétexte à un assaut contre la Syrie. Le chef adjoint de l’état-major Yasar Güler évoque l’option de l’armement de 1000 djihadistes pour mener une opération en territoire syrien.
Dans un autre enregistrement, le même Yasar Güler martèle : « Nous avons besoin d’un casus belli ».
Mais le directeur du renseignement Hakan Fidan s’inquiète du risque de représailles, avouant que le frontière turco-syrienne échappe à tout contrôle.
Cela ne l’empêche pas de proposer une opération sous fausse bannière en territoire syrien: « S’il le faut, je peux envoyer quatre hommes en Syrie. Ces hommes pourraient lancer 8 missiles en direction du territoire turc. J’aurai ainsi suscité un casus belli. Nous pourrions même attaquer le mausolée de Suleyman Shah. »
Comme nous l’évoquions dans un précédent article, à la veille des municipales prévues ce dimanche 30 mars, Erdogan tente de redorer son blason avec le sang syrien.
L’assaut des djihadistes syriens contre le village arménien de Kassab dans le Nord de la Syrie à partir du territoire turc n’est donc pas tombée pas du ciel.
La destruction du MIG syrien en territoire syrien par l’aviation turque fait partied’une stratégie globale orchestré par Erdogan avec le soutien d’Al Nosra, la branche syrienne d’Al Qaïda, des Turkmènes syriens pro-AKP, des agents turcs comme Selami Aynur abattu lundi par l’armée syrienne et des médias à sa solde comme Habertürk.
Cette formidable campagne médiatique, politique et militaire du gouvernement AKP à la veille des élections municipales survient au moment où il se trouve confronté à un scandale de corruption et une fronde populaire sans précédent.
Légende de la photo 1 :
Erdogan, sponsor officiel d’Al Qaïda en Syrie. Des terroristes syriens aux couleurs de la gendarmerie turque !
Légende de la photo 2 :
Selami Aynur, agent turc, président de l’association fasciste des Loups Gris à Giresun, abattu par l’armée syrienne
————————-
URGENT
D’autres enregistrements vont arriver sous peu. Nous avons besoin de traducteurs turc/français, turc/anglais etc.
Pour la paix en Turquie, en Syrie et dans le monde, il faut que la vérité explose à la figure des terroristes en col blanc de l’AKP et des terroristes en uniforme de l’OTAN.
Voici les enregistrements:
J’aimeJ’aime
FB
Mar 28, 2014 @ 0:03
Traduction en anglais de la vidéo :
Turkey war room secrets revealed: Turkish authorities wants to create a casus belli for Syria intervention.
In the leaked tape,
Foreign Minister Ahmet Davudoğlu
Head of Turkish Intelligence MIT Hakan Fidan
Undersecretary of Foreign Ministry Feridun Sinirlioğlu
General Yaşar Güler
search for a reason (and wants to create one if the search is not fruitful) to declare war against Syria. The leakage has two parts, the latter is yet to be translated to English. Here is the first part.
Başçalanın Seçim Güdümlü Savaş Planı 1-1
ELECTION DRIVEN WAR PLANS – I PART 1 Ahmet Davutoğlu: “Prime Minister said that in current conjuncture, this attack (on Suleiman Shah Tomb) must be seen as an opportunity for us.”
Hakan Fidan: “I’ll send 4 men from Syria, if that’s what it takes. I’ll make up a cause of war by ordering a missile attack on Turkey; we can also prepare an attack on Suleiman Shah Tomb if necessary.”
Feridun Sinirlioğlu: “Our national security has become a common, cheap domestic policy outfit.”
Yaşar Güler: “It’s a direct cause of war. I mean, what’re going to do is a direct cause of war.”
FIRST SCREEN:
Ahmet Davutoğlu: I couldn’t entirely understand the other thing; what exactly does our foreign ministry supposed to do? No, I’m not talking about the thing. There are other things we’re supposed to do. If we decide on this, we are to notify the United Nations, the Istanbul Consulate of the Syrian regime, right?
Feridun Sinirlioğlu: But if we decide on an operation in there, it should create a shocking effect. I mean, if we are going to do so. I don’t know what we’re going to do, but regardless of what we decide, I don’t think it’d be appropriate to notify anyone beforehand.
Ahmet Davutoğlu: OK, but we’re gonna have to prepare somehow. To avoid any shorts on regarding international law. I just realized when I was talking to the president (Abdullah Gül), if the Turkish tanks go in there, it means we’re in there in any case, right?
Yaşar Güler: It means we’re in, yes.
Ahmet Davutoğlu: Yeah, but there’s a difference between going in with aircraft and going in with tanks…
SECOND SCREEN:
Yaşar Güler: Maybe we can tell the Syrian consulate general that, ISIL is currently working alongside the regime, and that place is Turkish land. We should definitely…
Ahmet Davutoğlu: But we have already said that, sent them several diplomatic notes.
Yaşar Güler: To Syria…
Feridun Sinirlioğlu: That’s right.
Ahmet Davutoğlu: Yes, we’ve sent them countless times. Therefore, I’d like to know what our Chief of Staff’s expectations from our ministry.
Yaşar Güler: Maybe his intent was to say that, I don’t really know, he met with Mr. Fidan.
Hakan Fidan: Well, he did mention that part but we didn’t go into any further details.
Yaşar Güler: Maybe that was what he meant… A diplomatic note to Syria?
Hakan Fidan: Maybe the Foreign Ministry is assigned with coordination…
THIRD SCREEN:
Ahmet Davutoğlu: I mean, I could coordinate the diplomacy but civil war, the military…
Feridun Sinirlioğlu: That’s what I told back there. For one thing, the situation is different. An operation on ISIL has solid ground on international law. We’re going to portray this is Al-Qaeda, there’s no distress there if it’s a matter regarding Al-Qaeda. And if it comes to defending Suleiman Shah Tomb, that’s a matter of protecting our land.
Yaşar Güler: We don’t have any problems with that.
Hakan Fidan: Second after it happens, it’ll cause a great internal commotion (several bombing events is bound to happen within). The border is not under control…
Feridun Sinirlioğlu: I mean, yes, the bombings are of course going to happen. But I remember our talk from 3 years ago…
Yaşar Güler: Mr. Fidan should urgently receive back-up and we need to help him supply guns and ammo to rebels. We need to speak with the minister. Our Interior Minister, our Defense Minister. We need to talk about this and reach a resolution sir.
Ahmet Davutoğlu: How did we get specials forces into action when there was a threat in Northern Iraq? We should have done so in there, too. We should have trained those men. We should have sent men. Anyway, we can’t do that, we can only do what diplomacy…
Feridun Sinirlioğlu: I told you back then, for God’s sake, general, you know how we managed to get those tanks in, you were there.
Yaşar Güler: What, you mean our stuff?
Feridun Sinirlioğlu: Yes, how do you think we’ve managed to rally our tanks into Iraq? How? How did manage to get special forces, the battalions in? I was involved in that. Let me be clear, there was no government decision on that, we have managed that just with a single order.
FOURTH SCREEN:
Yaşar Güler: Well, I agree with you. For one thing, we’re not even discussing that. But there are different things that Syria can do right now.
Ahmet Davutoğlu: General, the reason we’re saying no this operation is because we know about the capacity of those men.
Yaşar Güler: Look, sir, isn’t MKE (Mechanical and Chemical Industry Corporation) at minister’s bidding? Sir, I mean, Qatar is looking for ammo to buy in cash. Ready cash. So, why don’t they just get it done? It’s at Mr. Minister’s command.
Ahmet Davutoğlu: But there’s the spot we can’t act integratedly, we can’t coordinate.
Yaşar Güler: Then, our Prime Minister can summon both Mr. Defence Minister and Mr. Minister at the same time. Then he can directly talk to them.
Ahmet Davutoğlu: We, Mr. Siniroğlu and I, have literally begged Mr. Prime Minster for a private meeting, we said that things were not looking so bright.
FIFTH SCREEN:
Yaşar Güler: Also, it doesn’t have to be crowded meeting. Yourself, Mr. Defence Minister, Mr. Interior Minister and our Chief of Staff, the four of you are enough. There’s no need for a crowd. Because, sir, the main need there is guns and ammo. Not even guns, mainly ammo. We’ve just talked about this, sir. Let’s say we’re building an army down there, 1000 strong. If we get them into that war without previously storing a minimum of 6-months’ worth of ammo, these men will return to us after two months.
Ahmet Davutoğlu: They’re back already.
Yaşar Güler: They’ll return to us, sir.
Ahmet Davutoğlu: They’ve came back from… What was it? Çobanbey.
Yaşar Güler: Yes, indeed, sir. This matter can’t be just a burden on Mr. Fidan’s shoulders as it is now. It’s unacceptable. I mean, we can’t understand this. Why?
SIXTH SCREEN:
Ahmet Davutoğlu: That evening we’d reached a resolution. And I thought that things were taking a turn for the good. Our…
Feridun Sinirlioğlu: We issued the MGK (National Security Council) resolution the day after. Then we talked with the general…
Ahmet Davutoğlu: And the other forces really do a good follow up on this weakness of ours. You say that you’re going to capture this place, and that men being there constitutes a risk factor. You pull them back. You capture the place. You reinforce it and send in your troops again.
Yaşar Güler: Exactly, sir. You’re absolutely right.
Ahmet Davutoğlu: Right? That’s how I interpret it. But after the evacuation, this is not a military necessity. It’s a whole other thing.
SEVENTH SCREEN
Feridun Siniroğlu: There are some serious shifts in global and regional geopolitics. It now can spread to other places. You said it yourself today, and others agreed… We’re headed to a different game now. We should be able to see those. That ISIL and all that jazz, all those organizations are extremely open to manipulation. Having a region made up of organizations of similar nature will constitute a vital security risk for us. And when we first went into Northern Iraq, there was always the risk of PKK blowing up the place. If we thoroughly consider the risks and substantiate… As the general just said…
Yaşar Güler: Sir, when you were inside a moment ago, we were discussing just that. Openly. I mean, armed forces are a “tool” necessary for you in every turn.
Ahmet Davutoğlu: Of course. I always tell the Prime Minister, in your absence, the same thing in academic jargon, you can’t stay in those lands without hard power. Without hard power, there can be no soft power.
EIGTH SCREEN
Yaşar Güler: Sir.
Feridun Sinirlioğlu: The national security has been politicized. I don’t remember anything like this in Turkish political history. It has become a matter of domestic policy. All talks we’ve done on defending our lands, our border security, our sovereign lands in there, they’ve all become a common, cheap domestic policy outfit.
Yaşar Güler: Exactly.
Feridun Siniroğlu: That has never happened before. Unfortunately but…
Yaşar Güler: I mean, do even one of the opposition parties support you in such a high point of national security? Sir, is this a justifiable sense of national security?
Feridun Sinirlioğlu: I don’t even remember such a period.
NINTH SCREEN:
Yaşar Güler: In what matter can we be unified, if not a matter of national security of such importance? None.
Ahmet Davutoğlu: The year 2012, we didn’t do it 2011. If only we’d took serious action back then, even in the summer of 2012.
Feridun Sinirlioğlu: They were at their lowest back in 2012.
Ahmet Davutoğlu: Internally, they were just like Libya. Who comes in and goes from power is not of any importance to us. But some things…
Yaşar Güler: Sir, to avoid any confusion, our need in 2011 was guns and ammo. In 2012, 2013 and today also. We’re in the exact same point. We absolutely need to find this and secure that place.
Ahmet Davutoğlu: Guns and ammo are not a big need for that place. Because we couldn’t get the human factor in order…
source :
http://en.reddit.com/r/syriancivilwar/comments/21i6pe/new_leaks_reveal_turkey_head_of_intelligence/cgd8zew
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 28, 2014 @ 6:25
Quelqu´un pourrait faire parvenir une copie à monsieur Bang ! Bang ! Ki Moon !??
J’aimeJ’aime
adalia
Mar 28, 2014 @ 12:42
je remets pour la manif, dommage que ce ne soit pas samedi, dimlanche c’est deja les election
l’article aussi publie sur investigaction et silviacattori
une manif dimanche 30 mars devant l’ambassade de Turquie 16 avenue de Lamballe a Paris 16eme de 15 a 18h.
« contre Erdogan et contre le genocide commis par les troupes ottomanes avec l’aide d’al qaida a l’encontre de Kassab; des armeniens y ont ete assassines ainsi que des syriens de toutes confessions »
http://www.silviacattori.net/article5491.html
Youtube censuré ? Trop tard Erdogan, on a tout vu, tout entendu !
Les plans terroristes du régime d’Erdogan en Syrie
28 MARS 2014 De nouveaux enregistrements fuités cette nuit par les hommes de la Confrérie de Fethullah Gülen, nouveau frère ennemi d’Erdogan, établissent la responsabilité flagrante du régime d’Ankara dans la guerre et le terrorisme en Syrie.
J’aimeJ’aime
raimanet
Mar 27, 2014 @ 22:11
A reblogué ceci sur raimanet.
J’aimeJ’aime
tarik
Mar 27, 2014 @ 21:58
içi la video compromettante
lien avec video et traduction : http://www.zerohedge.com/news/2014-03-27/here-youtube-false-flag-attack-syria-clip-erdogan-wanted-banned
les sales traitres de vrais judas
J’aimeJ’aime
africalibre
Mar 27, 2014 @ 22:15
.
Turkey bans YouTube after Syria security talk leaked
http://www.dailystar.com.lb/News/Middle-East/2014/Mar-27/251455-turkey-bans-youtube-after-syria-war-leak.ashx#axzz2x4EGr4kW
.
« Ils ont filtré quelque chose sur YouTube aujourd’hui », a déclaré en meeting de campagne dans la province sud-est de Diyarbakir. « Il s’agissait d’une réunion sur la sécurité nationale. C’est un acte, lâche, vil immoral. Nous irons dans leurs grottes. Qui servez-vous par l’écoute? »
(…).
+info :
http://translate.google.es/translate?hl=es&sl=en&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.channelnewsasia.com%2Fnews%2Fworld%2Fturkey-bans-youtube-after%2F1050970.html
J’aimeJ’aime
B-H
Mar 27, 2014 @ 22:17
toi aussi maudit fils dignoble harki
J’aimeJ’aime
charles
Mar 27, 2014 @ 22:23
C est quoi ces salades, @B-H?
Pourquoi sabordez vous la sérénité des info et des débats sur ce site?
Sans autre
charles
J’aimeJ’aime
Estelle
Mar 27, 2014 @ 21:55
Prem’s !
J’aimeJ’aime