– Arrivée de deux avions russes portant des aides à l’aéroport d’al-Bassel à Lattaquié
– Deux blessés par un obus de mortier lancé contre le quartier de Amarah à Damas
– Lavrov appelle les Etats-Unis à mener des contacts avec toutes les parties en Syrie à l’exception des terroristes
– Gatilov : Les pourparlers de Genève ne doivent pas concentrer sur une question et négliger d’autres
– Les Partis nationaux d’opposition appellent à la représentation de toutes les composantes de l’opposition à Genève
– Elimination des terroristes à Alep, à Idleb, à Deir Ezzor et à Homs
Driss
Fév 5, 2014 @ 21:10
@Djazaïri fév 5, 2014 @ 19:29
suite à votre message : « Madame Taubira: pression sur la nomination d’un haut magistrat. »
Pour une fois que la droite vociférante de Copé va nous servir à détrôner la femme laide ne boudons pas notre plaisir…!!!
C’est pas pour autant que nous ne démolirons pas cette droite nauséabonde demain !!!
Driss
J’aimeJ’aime
Driss
Fév 5, 2014 @ 21:01
« Si tu es Syrien, nous sommes alors juifs »
Les membres de la délégation médiatique syrienne ont été surpris par la visite de la mère du médecin indien Abbas Khan au siège de la conférence de Genève-2 sur la Syrie.
A son arrivée, la mère de ce médecin tué en Syrie a commencé à lancer des accusations contre le gouvernement syrien, selon lesquelles le Président syrien Bachar el-Assad et son armée ont tué son fils. Les cris et les pleurs de ladite femme ont attiré l’attention des journalistes présents sur place.
C’est ainsi qu’un journaliste syrien s’approche d’elle et lui demande : « Que faisait ton fils en Syrie ? ». Elle répondit qu’il était à la frontière turque. Le journaliste s’exclame : « Mais l’armée syrienne n’est pas présente à la frontière avec la Turquie ! »
« Il était près de Damas », ajouta-t-elle !
Ensuite il lui demanda : « Mais pourquoi portes-tu la carte de l’opposition syrienne ? ». C’est ainsi qu’une jeune femme s’approcha de la mère du médecin et la conduisit loin des caméras. Il s’est avéré ensuite que la jeune femme n’est autre que l’épouse de l’opposant Haytham el-Maleh.
Ce qui fut attirant encore c’est que lorsque le même journaliste s’approcha d’elle, les opposants lui demandèrent de s’éloigner. « Nous sommes tous des Syriens en fin de compte », dit le journaliste. Mais la réponse ne tarda pas à venir du côté du groupe de l’opposition : « Si tu es Syrien, nous sommes alors de juifs » !
source: arabi-press
J’aimeJ’aime
Djazaïri
Fév 5, 2014 @ 19:29
Madame Taubira: pression sur la nomination d’un haut magistrat.
J’aimeJ’aime
Djazaïri
Fév 5, 2014 @ 8:23
L’ambassadeur de Russie est sur France-Inter. Au menu la Syrie. Pour poser des qquestions 01 45 24 70 00
J’aimeJ’aime
Spanish Empire
Fév 4, 2014 @ 23:36
La faute de Manuel Valls
ANALYSE – Le ministre de l’intérieur utilise à tort et à travers l’adjectif « anti-républicain » pour discréditer ses opposants.
Imagine-t-on un ministre de l’intérieur britannique, italien ou allemand cherchant à intimider et à discréditer des centaines de milliers de ses concitoyens dont le seul tort est d’exercer des droits garantis par la Constitution, à savoir la liberté de manifester et d’exprimer leur opinion? Qu’on soit d’accord ou non avec la Manif pour tous, est-il concevable que l’homme chargé d’assurer la paix civile prête des arrières-pensées déshonorantes à des manifestants pacifiques dont le crime est de ne pas partager ses opinions politiques? Tels sont les questions qu’inspire l’étrange conduite de Manuel Valls ces derniers jours.
L’adjectif «anti-républicain» est devenu une arme de disqualification massive que le ministre de l’intérieur utilise pour menacer ses adversaires. On prodigue ce terme avec beaucoup de facilité. Qui est républicain, qui ne l’est pas? Manuel Valls en décide souverainement. Lui seul est habilité à délivrer un certificat d’orthodoxie, et son jugement est sans appel. En réalité, l’accusation d’«anti-républicain» n’éclaire rien, mais autorise tout: paresse intellectuelle, manichéisme, amalgames diffamatoires, comparaisons historiques hautement discutables. Cette loi des suspects fait planer un soupçon sur tous les opposants au gouvernement. Si vous ne voulez pas courir le risque d’être placé «hors du champ républicain», une seule ressource: vous taire et n’exprimer aucun dissentiment.
On voulait croire que cette rhétorique était révolue. Dans Le coup d’Etat permanent (1964), François Mitterrand qualifie de Gaulle de «dictateur». Dans les années 70, certains journaux surnommaient Jacques Chirac «facho-Chirac». Trente ans d’alternances politiques et de déceptions ont rendu ensuite les Français sceptiques envers leurs dirigeants de tous bords. Notre époque avait au moins ceci de bon, pensait-on, que nul ne pouvait plus prétendre détenir la vérité et toiser ses concitoyens. Vains espoirs, bientôt ruinés. Chassez le naturel, il revient au galop.
Par delà les hommes, leur caractère ou leurs arrières-pensées, sans doute cette intolérance s’explique-t-elle par l’histoire. Notre pays a toujours éprouvé des difficultés à admettre sincèrement le pluralisme, c’est-à-dire l’expression courtoise des désaccords politiques dans l’espace public. «Plus le concert règne dans les assemblées, c’est-à-dire plus les avis approchent de l’unanimité, plus aussi la volonté générale est dominante, écrit Rousseau dans Du contrat social (1762).Mais les longs débats, les dissensions, le tumulte annoncent l’ascendant des intérêts particuliers et le déclin de l’Etat».
Pendant la Révolution, simplifiant à l’extrême la philosophie de Rousseau, les Jacobins présentèrent toute divergence d’opinion comme criminelle. Ils qualifiaient tout désaccord de «polype», c’est-à-dire de tumeur qu’il fallait extirper du corps politique. Le Club des Jacobins était «une fabrique d’orthodoxie» qui forgeait «un unanimisme imposé d’en haut et répété par les sociétés affiliées», suivant la formule de l’historienne Mona Ozouf. Un tel héritage ne prédispose pas aux débats courtois dans un pays, la France, où la démocratie -sous sa forme institutionnelle et juridique- conserve des racines moins profondes que chez nos voisins.
En définitive, la République, qu’est-ce que c’est? Evoquant une formule fameuse de Saint-Just en 1794 – «Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé», Jules Ferry écrit dans le journal Le Temps en 1866: «Rien ne fait mieux voir, à mon sens, combien le culte de la force, et cette tradition de l’arbitraire, qui est le fond même de notre histoire, ont parmi nous pénétré les âmes». Avocat de profession, Jules Ferry délivrera l’idée républicaine de toute complaisance envers la Terreur. C’est à ce prix qu’elle parviendra à s’enraciner dans la France des années 1870 et 1880. A l’époque, la République, c’est tout bonnement le respect du suffrage universel, de la séparation des pouvoirs et des libertés individuelles, de même qu’un rôle central de l’école et de l’armée.
De surcroît, Jules Ferry a toujours reconnu le mérite d’autres familles de pensée. En 1868, il prononça un magnifique éloge funèbre du chef des légitimistes de l’époque, Berryer, qu’il admirait. Nul ne fut moins sectaire que cette haute figure de la IIIe République. Jamais il ne crut détenir le monopole de la vérité. Si l’on doit choisir un maître à penser habilité à dire ce qui est républicain, on nous permettra de préférer Jules Ferry.
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2014/02/03/31001-20140203ARTFIG00326-la-faute-de-manuel-valls.php
J’aimeJ’aime
ripoux
Fév 4, 2014 @ 23:29
Le Jour de l’indépendance d’Israël est un jour de deuil pour les Juifs fidèles à la Torah
Classé dans : — Tzadik @ 18:35
Ni par la puissance, ni par la force, mais bien par mon esprit…
Zacharie 4 :6
Lorsque les sionistes fêtent l’anniversaire de la fondation de l’État d’Israël, la communauté mondiale de(s) juifs fidèles à la Torah marque l’anniversaire comme un jour de douleur et de tragédie. Nous manifestons notre chagrin en faisant pénitence avec le sac et le cendre et en hissant des drapeaux noirs de deuil.
La fondation de l’État sioniste est en contradiction flagrante avec l’enseignement de la Torah qui interdit toute proclamation d’un État juif. La Torah nous contraint à rester en exil jusqu’à la délivrance divine qui annoncera la paix éternelle parmi toutes les nations du monde.
Le Talmud babylonien (Traité Ketoubot 111a) rapporte qu’il y a deux mille ans, lorsque le Temple de Jérusalem fut détruit, les juifs prêtèrent serment à D-eu:
de ne jamais immigrer en masse en Terre d’Israël,
de ne jamais (se) rebeller contre les autres nations et
de ne jamais tenter de terminer l’exil.
Les juifs fidèles à la Torah doivent se comporter d’une manière responsable, honnête et reconnaissante à l’égard de toutes les nations du monde qui leur offrent lieu de séjour.
L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.
Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les juifs, notamment l’oubli du précepte fondamental de la Torah d’agir avec compassion.
Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation.
Nous déplorons le gaspillage de milliers de vies humaines dans les conflits futiles et cruels qu’ont provoqués la proclamation et le maintien de l’État sioniste.
Ce jour tragique, nous jeûnons et nous nous assemblons dans des synagogues à travers le monde et nous prions pour un démantèlement prompt et pacifique de l’État d’Israël. Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souveraineté divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen.
Offert par Netouré Karta International : http://www.nkusa.org
J’aimeJ’aime
fredo
Fév 4, 2014 @ 23:07
a revoir la propagande sioniste demasqué**
J’aimeJ’aime
fredo
Fév 4, 2014 @ 23:07
J’aimeJ’aime
fredo
Fév 4, 2014 @ 23:02
J’aimeJ’aime
veloceexpress
Fév 4, 2014 @ 22:58
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
J’aimeJ’aime
charles84
Fév 4, 2014 @ 22:32
Arabie Saoudite : 12 ans de prison pour un journaliste
Au cours d’une audience tenue ce mardi, le tribunal pénal spécialisé de la capitale saoudienne Riyad a condamné un journaliste présentateur et propriétaire d’une chaîne satellitaire à 12 ans de prison et interdit de voyage pendant 20 ans, pour avoir semé la discorde entre les membres de la communauté et son affirmation selon laquelle Al-Qaïda est une fabrication de l’Arabie saoudite.
source al Arabiya TV
J’aimeJ’aime
fredo
Fév 4, 2014 @ 22:52
http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/313259-pourquoi-isra%C3%ABl-%C3%A9choue-%C3%A0-espionner-le-hezbollah
J’aimeJ’aime
charles
Fév 5, 2014 @ 14:55
12 ans de prison en saoudie pour un journaliste…
S il avait fait une poésie d amour ou des louanges à une conductrice de voiture—>15 ans de prison et sur la démocratie—–> au sabre..
C est ça ce bô pays duquel l Elysée avait déclaré le 30.12.13 au retour de Mr Hollande de Riyad après avoir patienté dehors en faisant jojo avec le sabre: » »La saoudie est un Pays mondialement respecté » » »
C est dans la même teneur et dans la même veine de ce que Mme Benguigui minsitre de la Francophonie et du cirage des pompes présidentielles avait dit: » »Il y du Mandela en Hollande » »
J’aimeJ’aime
skoblar37
Fév 4, 2014 @ 22:04
Prem’s
J’aimeJ’aime
Estelle
Fév 4, 2014 @ 22:02
Prem’s !
J’aimeJ’aime