J’ai reçu hier soir un message d’un ami me demandant pourquoi je ne parlais pas des otages libérés au Sahel sans « rançon » ni « assaut ». Pas de polémique politicienne. Mais, il faut avouer que ce sont les seuls otages qui ne sont pas des marchandises. Passons. On ne peut que se réjouir de cette libération sinon, ce serait triste.
Ici, nous avons toujours parlé de Pierre Legrand, Thierry Dol, Daniel Larribe et Marc Féret: ICI, LA, encore ICI. Mais, de dire qu’il y a encore sept otages français dans le monde, c’est oublier que le Qatar détient encore 4 autres Français en otage à Doha…Donc, il y en 11. Nous sommes contents de l’heureux dénouement du sahel…
Mike
Oct 31, 2013 @ 2:16
Le Qatar, le scorpion du monde!!!
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sidos
Oct 30, 2013 @ 21:03
Otages Français :
la France a sollicité la connexion Qatar _ Aqmi pour libérer ses ressortissants
C’est la connexion Qatar _ Aqmi qui a été sollicté par l’Elysée pour libérer ses ressortissants d’Areva pris en otages en 2010; la diplomatie parallèle mobilisées par le Qatar a consisté par une négociation directe ou indirecte par biais de Malien Iyad Ag Ghaly, chef d’Ansar Eddine, et l’homme d’affaire Burkinabais Mustapha Ould Chafii.
La liaison avec l’Elysée a été prise en charge par Bernard Bajolet, directeur de la DGSE
Si les otages français d’Areva –Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Féret- ont été libérés,moyennant une rançon de 20 millions d’euros, ce sont les Qataris qui ont aussi joué un rôle important dans les négociations. Surtout depuis que le dossier et ancien ambassadeur de France en Algérie, proche des services de renseignements algériens.
les Qataris, qui financent Ansar Eddine ont de bonnes relations avec les mouvements salafistes en Syrie et en Libye, sont intervenus à la demande des Français, et sont entrés en contact avec des cadres d’Ansar Eddine, affirme une source sécuritaire algérienne. Pour montrer leur bonne volonté, les autorités maliennes ont arrêté leurs recherches contre 20 combattants d’Ansar Eddine.» Cette décision a été interprétée comme un premier pas pour le chef du mouvement, Iyad Ag Ghaly, ancien leader de la rébellion touareg, qui a donc mobilisé ses réseaux, très importants dans tout le nord du Mali.
Les négociations ont été menées par Saïd Abou Moughatil, et le Tunisien Abou Mohamed, coté Aqmi ….
Cette même source avance que la libération des otages s’est faite en contrepartie de la libération de deux groupes terroristes d’Aqmi prisonniers au Mali, dans les prisons de Gao.
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Paquito
Oct 30, 2013 @ 20:57
Il y a bien eu une rançon, un peu plus de 20 boules en euros, ou comment financer le terrorisme, légalement, avec l argent de la collectivité.
Un grand merci tonton Fabius. (décidément dans tour les bons coup le lascar)
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Vénus
Oct 30, 2013 @ 20:43
Luttons contre le nucléaire. Beaucoup de gens seront sauvés du cancer et il n’y aura plus d’otage. Il n’y aura plus non plus de Fukushima ni de Tchernobyl.
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sowhat
Oct 30, 2013 @ 20:38
AFP | 30/10/2013 | 12h25
« Au moins 20 millions d’euros versés pour libérer les otages français au Sahel (source proche des négociateurs nigériens)
De 20 à 25 millions d’euros ont été versés en échange de la libération mardi des quatre otages français enlevés en septembre 2010 dans le nord du Niger par des islamistes armés, a appris mercredi l’AFP de source proche des négociateurs nigériens.
Ce sont « entre 20 et 25 millions d’euros qui ont été payés pour obtenir la libération des otages français », a déclaré cette source. Elle a précisé que cette somme avait servi à payer les ravisseurs ainsi que les intermédiaires qui, sur le terrain, ont joué un rôle important pour obtenir ces libérations. »
Morale de l’histoire : l’argent que les saoudiens et les qataris versent aux prébendiers de la République a servi à payer la rançon des citoyens français enlevés par les crapules payés par les saoudiens et les qataris et naturellement, au passage, les dignes prébendiers ont prélevé leur commission … Cherchez l’erreur.
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sowhat
Oct 31, 2013 @ 1:04
toujours d’après l’Agence France Pute
« Le ministre français des Affaires étrangères a indiqué mercredi qu’aucun « argent public » n’avait été versé pour obtenir la libération des quatre otages du Niger sans se prononcer toutefois sur des versements d’argent d’un groupe privé.
« Pour ce qui dépend de l’Etat français, il n’y a pas d’argent versé », a déclaré M. Fabius sur le plateau de la chaîne de télévision TF1.
Interrogé sur une rançon payée par de l’argent « privé », il a répondu: « pas d’argent public versé ». »
on vous le disait !
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Brahilm Haddou
Oct 30, 2013 @ 17:35
plus de 20 millions d’euros de rançons qui serviront aux terroristes pour se ressourcer. la position doctrinale de l’lalgérie est un exemple intelligent à suivre, elle refuse le versement de toute rançon aux terroristes et aucunes négociations avec eux. surtout la pratique des rançons qui est céder aux chantages des assaillants et les autorisés à produire d’autres actions criminels, ouvrir la voie à d’autres prises d’otages. grâce à l’approche algérienne que l’onu a adopté une loi criminalisant le versement des rançons. mais maheureusement, elle n’est qu’au stade théorique, puisque seule l’algérie l’applique sur le terrain. et la syrie doit d’inspirer de l’algérie, mener une lutte sans merci contre les hordes fanatiques, aucunes concessions et encore moins les rançons.
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l'Emmerdeur a dit :
Oct 30, 2013 @ 17:34
Au moins 20 millions d’euros versés pour libérer les otages français au Niger
Une autre source confirme à l’AFP
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Pour mettre un terme aux trois ans de détention des quatre derniers otages français d’Arlit, Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Féret, il aura fallu une opération de récupération de huit jours, le versement d’une rançon et des mois de négociations. Les quatre hommes ont recouvré la liberté, mardi 29 octobre.
Apparemment en bonne santé, ils ont été accueillis à Niamey, la capitale duNiger, par les ministres français de la défense et des affaires étrangères, Jean-Yves le Drian et Laurent Fabius.
Les dix-huit hommes, des Français et des touaregs, qui les ont récupérés à l’extrême nord-ouest du Mali, près des frontières mauritanienne et algérienne, ont quitté, le 21 octobre, la petite ville de Kidal, au coeur du Sahel, à bord de plusieurs véhicules. Ils ont laissé derrière eux tous leurs outils de communications.
« PLUS D’UNE VINGTAINE DE MILLIONS D’EUROS »
Totalement coupés du monde, ils veulent éviter d’être traqués par les grandes oreilles américaines mais également françaises et protéger les ravisseurs de tirs de drones dès que les otages seront entre leurs mains. Pour l’aller comme pour le retour, le convoi évite les voies directes. On ne saura s’ils ont réussi leur mission qu’à leur retour à Kidal. Le plan initial prévoit un retour entre les vendredi 25 et dimanche 27 au soir.
Le trajet dans l’extrême nord désertique du Mali promet d’être tendu. Le 20 octobre, l’armée française a lancé une vaste opération de ratissage, bien plus au sud. Au nord, la zone grouille de petits groupes djihadistes incontrôlables. Selon une source française connaissant les détails de cette opération, des membres de la DGSE ont remis aux membres du convoi, la veille de leur départ de Kidal, la « contrepartie » à la libération des otages, « plus d’une vingtaine de millions d’euros ».
Il a été convenu à l’avance que les ravisseurs devaient d’abord regrouper les quatre otages qui avaient été séparés au mois de juillet. Puis de les laisser, seuls, deux ou trois jours, dans un endroit sécurisé avec de l’eau et de la nourriture. A un autre endroit, les preneurs d’otages devaient ensuite échangerl’argent contre les coordonnées GPS permettant de localiser les quatre Français. Le convoi est revenu à Kidal le mardi 29 octobre d’où les ex-otages s’envolent pour Niamey.
LUTTES ENTRE DES RÉSEAUX FRANCO-FRANÇAIS
C’est l’épilogue de six mois de tractations ponctuées de négociations parallèles, de luttes entre des réseaux franco-français et d’une volte-face du président Hollande.
Cette issue heureuse trouve son origine au mois de décembre 2012. L’Elysée ordonne alors à Erard Corbin de Mangoux, le directeur de la DGSE, de «débrancher » un négociateur français qui tient alors encore le haut du pavé après avoir fait libérer, en février 2011, les trois premiers otages d’Arlit. Jean-Marc Gadoullet, ex-DGSE reconverti dans la sécurité au Niger et au Mali, met en avant ses contacts avec le groupe de ravisseurs dirigé par l’émir Abou Zeid. Mais l’absence de résultats et le déficit croissant de confiance signent sa mise hors jeu.
Le conseil restreint de défense, à l’Elysée, le 29 décembre 2012, lui accorde un répit jusqu’au 10 janvier, la veille du lancement de l’opération militaire française « Serval » contre les groupes djihadistes au Mali qui va tout geler.
LE MINISTÈRE DE LA DÉFENSE PREND LA MAIN
Il faut attendre le mois de mai pour que des négociations soient relancées. L’opération Serval a baissé en intensité, la France compte un nouveau directeur de la DGSE, le diplomate Bernard Bajolet. Jean-Marc Gadoullet est officiellement écarté du dispositif, tout comme les entreprises qui employaient les otages.
Le ministère de la défense prend la main et promeut la solution présentée par le président de la société de sécurité Amarante, Pierre-Antoine Lorenzi, un ancien des cabinets ministériels socialistes, proche de Cédric Lewandowski, le directeur de cabinet de Jean-Yves Le Drian.
Ce « plan B » passe par le Niger. M. Lorenzi travaille avec Mohamed Akotey, homme de confiance du président nigérien, Mahamadou Issoufou. Il est également président du conseil d’administration d’Imouraren SA, la filiale Niger d’Areva et neveu de Mano Dayak, un ex-chef rebelle touareg. Intermédiaire privilégié des groupes djihadistes de la région sahélienne, Mohamed Akotey avait le contact avec Abou Zeid jusqu’à la mort de ce dernier, en février, dans des affrontements pendant l’intervention française. Il a conservé le lien avec les lieutenants d’Abou Zeid.
AU MOIS DE MAI, JEAN-YVES LE DRIAN SE REND À NIAMEY
Mohamed Akotey dirigera le convoi qui récupérera les otages. Mais avant cela, il mène les pourparlers avec Choureb, le successeur d’Abou Zeid à la tête de la Katiba qui retient les Français. Selon un membre des services de renseignement français au Mali, il a aussi le contact avec Mokhtar Belmokhtar, l’un des chefs redoutés d’AQMI. Les relations avec les ravisseurs ne sont pas aisées. Les Français ont tué leur chef mais ils veulent être payés.
Au cours du mois de mai, Jean-Yves le Drian se rend à Niamey (il y retournera discrètement au moins deux fois) pour valider l’option Lorenzi-Akotey auprès du président Issoufou. François Hollande donne son feu vert. Mais, à partir de juin, le directeur de la DGSE, entame également ses négociations avec l’Etat nigérien.
Deux voies s’opposent sur des questions de personnes mais aussi sur des points de doctrine. Selon une source au sein du ministère de la défense, M. Bajolet, fidèle à la ligne fixée par le chef de l’Etat début 2013, défend une ligne de discussions sans versement de rançon pour la libération d’otages.
L’ARGENT A ÉTÉ PRÉLEVÉ SUR LES FONDS SECRETS
D’après plusieurs intervenants, la situation se tend fin juin entre le président nigérien et la DGSE. Visiblement contrarié par la volonté de M. Bajolet decontrôler le processus engagé, M. Issoufou décide de mettre ses moyens aériens au service du duo Lorenzi-Akotey pour poursuivre les négociations financières avec les ravisseurs.
Lorsque la partie nigérienne estime que la négociation est ficelée, le président Issoufou appelle son homologue français et lui présente les termes d’un accord. On peut les sortir mais il faut payer, dit-il en substance. François Hollande donne son accord, contredisant ses déclarations devant les familles des otages d’Arlit en janvier auxquelles il assurait que la France ne paierait plus.
Il reviendra au secrétaire général de l’Elysée, Pierre-René Lemas, de prévenirle directeur de la DGSE de la solution retenue. Selon nos informations, l’argent a été prélevé sur les fonds secrets alloués aux services de renseignement. La somme a été acheminée par la DGSE jusqu’à Kidal puis remise à Mohamed Akotey et aux hommes d’Amarante. Les services français apportent la logistique (voitures, armes, hélicoptères, avion). Amarante fournit les contacts locaux.
L’ELYSÉE A DÉMENTI TOUT VERSEMENT DE RANÇON
La gestion du dossier d’Arlit n’a pas été exempte de sous-entendus. Le ministère de la défense qui regrette, en privé, que le nouveau patron de la DGSE privilégie sa relation avec l’Elysée plutôt qu’avec son ministère de tutelle a soutenu sans faille le duo Lorenzi-Akotey. Pour sa part, le président nigérien a rappelé, lors d’un entretien avec M. Hollande, que son aide pourrait lui valoir, en retour, un coup de pouce dans ses négociations avec Areva. L’entreprise publique française refuse en effet les termes financiers proposés par Niamey pour renouveler sa concession d’exploitation d’uranium avant la fin de l’année.
Sollicité par Le Monde, MM. Bajolet et Lewandowski ont refusé de s’exprimersur cette affaire. L’Elysée a démenti tout versement de rançon.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/10/30/otages-d-arlit-les-dessous-d-une-libera_3505240_3212.html
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A2N
Oct 30, 2013 @ 14:55
Bonjour,
Une bonne nouvelle que cette libération des » otages d’Areva » au Sahel. Pourvu que les autres captifs retrouvent, eux aussi, la liberté. 3 ans en compagnie d’idiots qui insultent l’Islam et commettent des atrocités au nom d’Allah, c’est un cauchemar XXXXLLLL. Billet à lire http://0z.fr/Pe4QR
A2N
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Columbo
Oct 30, 2013 @ 17:02
Au premier abord c’est une une bonne nouvelle .Mais combien d’armes vont être achetées avec ces 25 millions d’euros et …peut être + ?
Une bouée de sauvetage provisoire pour Hollande ,qui dans les sondages atteint le fond .23 % !
du jamais vu depuis la création des sondages .
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veloceexpress
Oct 30, 2013 @ 14:36
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
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Julien
Oct 30, 2013 @ 14:30
Je n’arrive pas à croire que se sont des vrais otages, kidnappés par de vrais terroristes. Sinon ils ne seraient pas restés tous ce temps qui a permis à François Hollande de mettre les pieds au Mali et le Niger. Fakou!!!
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hitek
Oct 30, 2013 @ 16:33
des otages ? oui … mais des otages barbouzes aux ordres de la france Afrique …
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amazigh
Oct 30, 2013 @ 14:24
Comme par hasard, ils sont libérés en pleine crise de l’Ecotaxe et au moment ou les sondages sont au plus bas pour Hollande et son gouvernement d’incompétents qui ne pensent qu’a conserver leur poste et leurs privilèges. Curieuse coïncidence!
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lotfi
Oct 30, 2013 @ 14:10
De 20 à 25 millions d’euros ont été versés en échange de la libération mardi des quatre otages français enlevés en septembre 2010 dans le nord du Niger par des islamistes armés, a appris mercredi l’AFP de source proche des négociateurs nigériens.
Ce sont « entre 20 et 25 millions d’euros qui ont été payés pour obtenir la libération des otages français », a déclaré cette source. Elle a précisé que cette somme avait servi à payer les ravisseurs ainsi que les intermédiaires qui, sur le terrain, ont joué un rôle important pour obtenir ces libérations.
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skoblar
Oct 30, 2013 @ 13:42
re ????????
http://www.lepoint.fr/societe/otages-francais-au-niger-au-moins-20-millions-d-euros-auraient-ete-verses-30-10-2013-1749801_23.php
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skoblar
Oct 30, 2013 @ 12:49
?????????
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/30/97001-20131030FILWWW00338-liberation-des-otages-au-niger-au-moins-20-millions-d-euros-ont-ete-verses.php?m_i=oNnoVneqrYz0T92EFJIMKj8gBM0K5SfERaAGTJkVATcG1Snob#xtor=EPR-31-%5Bliberation-des-otages-au-niger-au-moins-20-millions-d-euros-ont-ete-verses%5D-20131030-%5Btitre%5D
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Vénus
Oct 30, 2013 @ 17:51
Versés à qui ? Areva ?
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Accentaigu
Oct 30, 2013 @ 22:31
Possible,pour enrichir le pauvre uranium !! cette histoire sent le piège à cons !
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albator
Oct 30, 2013 @ 12:27
Hier soir le ministre Ledriant avait bien stipulé qu’il avait eu aucune contrepartie plus menteur qu’eux tu meurs!
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katalizeur
Oct 30, 2013 @ 12:22
une imposture de plus..!
ce gouvernement est dans une passe difficile, il relâche les soit disant « otages » et conseillers militaires des groupes dit islamistes….
ces « otages » seront très rapidement remplacés par d’autres conseillers-otages dans les jours qui viennent….ainsi va la vie en absurdie
pour mémoire :
vous remarquerez que tous ont eu leurs otages que cela soit la miterrandie , la chiraquie la sarkodzie ou la hollandie…!
un mouton isolé est toujours en danger….donc restons bien dans le troupeau.
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Vénus
Oct 30, 2013 @ 17:52
Comme c’est bizarre vous avez dit bizarre, un moyen de s’en mettre dans la poche je suppose.
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Un pote @ Biquette
Oct 30, 2013 @ 12:20
Otages? Ce n’en était pas! Prisonnier oui.
Ce sont des soldats d’AREVA & du lobby nucléaire.
Combien de mort ce lobby a-t-il engendré?
Je rappel pour ceux qui ont oublier ou font juste de s’enterrer la tete comme une autruche:
« Un taux de leucémie infantile anormalement élevé autour de 10 centrales nucléaires francaises » – INSERM – juste un exemple du bonheur radioactif!
Quand je pense à tous ces enfants mort… ces traitre a l’humanité aurait pu crever égorger que ca m’aurait pas ému…
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Fred
Oct 30, 2013 @ 12:09
Reblogged this on fredtroy and commented:
Viva timing !
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Khier
Oct 30, 2013 @ 11:58
Ce sont les groupes « islamistes » affiliés à la DGSE qui les gardaient en otages.
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albator
Oct 30, 2013 @ 11:50
Selon le monde une rançon aurait bien était versé
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Estelle
Oct 30, 2013 @ 11:04
Prem’s !
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