Les amis de François Hollande poursuivent dans la destruction de la Syrie, plan concocté par l’Occident, avec l’appui des frères musulmans, idiots utiles de l’Occident. La Grande Bretagne annonce qu’elle livrera à ses terroristes favoris, des protections anti-gaz. Hors de question pour ces gens d’aller à des pourparlers. Ils parlent de la Syrie sans Bachar al-Assad comme le paradis et contribuent à détruire le pays, réel et seul but car, leur demande est nulle et non avenue…
Journal de Syrie du 16-07-2013
Depêches
16 juillet 2013 21:54
16 juillet 2013 19:15
Damas: Un obus de mortier a frappé le carré de la Place des Omeyyades et causant des dommages matériels.
16 juillet 2013 19:08
16 juillet 2013 17:54
16 juillet 2013 11:38
Homs: 7 civils enlevés ont été massacrés par des terroristes à al-Khalidiah. Leurs corps ont été retrouvés près de la mosquée de Khaled Bin-al-Waleed.
16 juillet 2013 10:10
Mort en Syrie du terroriste belge, Abdul Rahman Ayachi.
africalibre
Juil 17, 2013 @ 11:06
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gilgamesh
Juil 17, 2013 @ 12:58
boycott des génériques Teva!!! labo israelien
prendre Biocaran à la place qui est un labo français
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Natacha
Juil 17, 2013 @ 14:53
Biogaran 😉
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africalibre
Juil 17, 2013 @ 11:01
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africalibre
Juil 17, 2013 @ 10:56
UNESCO ‘shocked’ at damage to World Heritage sites in Syria
http://www.presstv.ir/detail/2013/07/17/314189/unesco-chief-shocked-at-syria-damage/
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charles
Juil 17, 2013 @ 10:33
Les USA peuvent dire: Nous ne négocions pas avec les Terroristes .Pourquoi?
—Parce que nous les finançons nous-mêmes.
—Parce que parfois nous sommes nous-mêmes les terroristes (Afghanistan, Irak, Jordanie, Syrie etc…)
—En tout état de cause, nous les finançons avec l argent de L A. Saoudie, Qatar Golf…etc
—Ou avec l argent de la CIA investi à l étranger où on plante nos Terroristes et nos diplomates. ça nous rapporte gros, très gros, à long terme.
Je me rappelle qu il y a dix ans, Mr T. Meyssan a analysé le drame des Tours (Towers) du 11.9 commis par Al Qaida en parlant que la CIA n était pas si étrangère que ça dans cette « occulte » affaire au moins partiellement.. On l avait traité de fou bien qu il est quand même un visionnaire avec 10 ans d avance sur les autres…
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azouzimedblog
Juil 17, 2013 @ 4:28
Apres son debat sur la chaîne Libanaise OTV,
le Docteur Mohamed Dhrar Politicien Syrien vient d’etre assassiné prés du village « Assarfind » au Sud du Liban.il y a une heure
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Serge Charbonneau
Juil 17, 2013 @ 7:19
Vraiment triste nouvelle.
J’espère que ses assassins ne restreront pas impunis.
Serge Charbonneau
Québec
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safia
Juil 17, 2013 @ 13:16
Quelle tritesse la perte de cet grand nationaliste Syrien,il ètait le secretaire d’ètat à l’immigration .IL ètait dèja menacer,qu’il repose en paix que Dieu protège la Syrie et son peuple de ces monstres sans loi ni foi
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Marie Adélaïde
Juil 17, 2013 @ 3:57
@hussaff
Ouf enfin un internaute qui réagit … plus de 240 commentaires dans la même journée rien que sur les femens…
Il a de quoi ce poser des questions !
Marie Adélaïde
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Natacha
Juil 17, 2013 @ 2:29
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UE, LES ACCORDS FUTURS NE S’APPLIQUERONT PAS AUX COLONIES ISRAÉLIENNES
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BARAK RAVID – HAARETZ
L’UE a publié une directive obligatoire en direction des 28 membres, interdisant tout financement, coopération, attribution de bourses, de fonds pour la recherche, à toute personne résidente d’une colonie en Cisjordanie et Jérusalem-Est. Le règlement, qui prend effet vendredi 19 juillet, implique que tout accord ou contrat signé entre un pays de l’UE et Israël inclue une clause selon laquelle les colonies ne font pas partie de l’Etat d’Israël et ne font donc pas partie de l’accord.
Selon un haut fonctionnaire israélien, sous le couvert de l’anonymat, cette nouvelle règle, qui a été publiée le 30 juin, est un « tremblement de terre ». « C’est la première fois qu’une telle directive, officielle et claire, a été publiée par les organismes de l’UE ». « Jusqu’à aujourd’hui, il existait un accord implicite que l’Union ne travaillait pas au-delà de la Ligne verte, c’est maintenant devenu un politique officielle et obligatoire ».
Aux yeux de cet officiel, cette nouvelle règle a un sens à la fois pratique et politique. A partir de maintenant, si le gouvernement israélien veut signer des accords avec l’UE ou un de ses membres, il devra reconnaître par écrit que les colonies de Cisjordanie ne font pas partie d’Israël.
Il régnait une grande tension et nervosité dans les bureaux du premier ministre et au ministère des Affaires étrangères à propos de cette règle et de ce qu’elle allait impliquer dans les relations entre l’UE et Israël. Les efforts de Benjamin Netanyahu et de Zeev Zelkin (vice-ministre des Affaires étrangères) pour contrer la directive ont tous échoué. Selon des hauts fonctionnaires européens, ceux-ci auraient aimé avoir une discussion avec leurs homologues israéliens, mais comme la directive prendra effet à la fin de la semaine, les chances de l’amender étaient extrêmement minces.
“Nous devrons décider quoi faire à partir de là” a déclaré un haut fonctionnaire israélien. « Nous ne sommes pas prêts à signer avec cette clause dans nos accords avec l’UE. Nous pouvons le dire aux Européens, mais le résultat sera de mettre un terme à toute coopération économique, scientifique, culturelle, sportive et universitaire. Cela sera très dommageable pour Israël ». La nouvelle directive a été publiée par la Commission européenne, la branche exécutive de l’UE. Elle détermine les paramètres de la coopération entre l’Union, ses membres et les organismes israéliens privées et publics entre 2014 et 2020.
La partie la plus importante de la directive est sa “clause territoriale” qui pour la première fois sera obligatoire dans tous les accords entre l’UE et Israël. La nouvelle clause détermine les zones en Israël qui peuvent être sélectionnées pour une coopération avec l’UE et celles qui ne peuvent pas l’être. La clause territoriale implique que les accords ne seront valides que dans les frontières d’Israël telles que reconnues par l’UE, soit les frontières avant la guerre de 1967. La nouvelle directive interdit toute coopération entre des membres de l’UE et des organes israéliens privés ou publics, situés au-delà de la Ligne verte. Elle permet une coopération avec les agences gouvernementales israéliennes dans Jérusalem Est, comme le ministère de la Justice, mais seulement si les activités concernées sont menées dans les frontières de 1967. Les hauts fonctionnaires européens ont informé la délégation israélienne auprès de l’UE de la nouvelle directive dès sa publication et lui ont offert de discuter de son application dans les futurs accords. Par exemple, la nouvelle régulation est déjà appliquée dans les négociations entre Israël et l’UE à propos de l’accord EuroMed Youth, qui concerne des projets jeunesse communs, conventions, des classes communes et des échanges de délégations. Les négociateurs européens ont prévenu les représentants israéliens que cet accord doit inclure la clause territoriale, que son application ne peut se faire que dans les frontières de la Ligne verte. Les officiels européens ont affirmé que les nouvelles règles ont été mises en place après la décision des ministres des Affaires étrangères européens en décembre dernier selon laquelle « tous les accords entre l’Etat d’Israël et l’UE doivent indiquer de manière très claire qu’ils ne s’appliquent pas aux territoires occupés par Israël en 1967 ».
La délégation européen en Israël a jouté que “les codes de conduite sont aussi en conformité avec la position constante de l’UE selon laquelle les colonies sont illégales au regard du droit international, et avec la non reconnaissance par l’UE de la souveraineté israéliennes sur les territoires occupés, quel que soit leur statut légal dans la loi israélienne ». Selon la délégation, les nouvelles règles sont censés prévenir un boycott contre Israël, lui permettre de coopérer dans des projets européens, de bénéficier du soutien financer qu’ils apportent. L’UE veut « s’assurer que la participation d’Israël n’est pas remise en question, afin qu’il reste dans une position où il peut utiliser toutes les possibilités offertes par le nouveau cadre financier ».
Source: http://plateforme-palestine.org/spip.php?article3733
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Vénus
Juil 17, 2013 @ 9:37
Le soutien financier à ISRAEL ? Mais pourquoi ? C’est plutôt à la palestine qu’il faudrait donner son soutien.
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Marie-Christine
Juil 17, 2013 @ 10:51
Tellement vrai Vénus !!! Mais cela apparemment ne leur vient même pas à l’esprit…
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Marie-Christine
Juil 17, 2013 @ 9:42
Apparemment c’est un progrès ‘colossal’ de la part de l’UE, mais… comment l’interpréter et quelle application dans l’avenir ?
Jeter du lest pour sauver Israël du boycott…??
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Natacha
Juil 17, 2013 @ 14:50
Marie-Christine, votre question est pertinente. Si les israéliens signent l’accord, c’est reconnaître implicitement le tracé de leurs frontières, ce qu’ils ne veulent absolument pas, mais ont-ils le choix ?
Toutefois, tout comme vous je reste méfiante, nous ne sommes que trop habitués aux viles manipulations et contrats de dupes qui tournent toujours au désavantage des palestiniens.
J’ai envie d’y croire, l’avenir nous le dira…
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oscar
Juil 17, 2013 @ 12:19
Israel a -t-il encore besoin du fric de l’UE alors que sa diaspora est constituée majoritarement des milliardaires, sans parler des réparations gigantesques extorquées à l’Allemagne depuis 1945 et à la Suisse depuis les années 1990 ; plutot cet argent de l’UE doit aider les Palestiniens qui croupissent dans les camps de réfugiés depuis les années 1940? C’est un scandale et une honte pour cette UE de coopérer avec un Etat raciste et colonialiste!!!!!Israel=APARTHEID!!! Parions que par ses manigances de son lobby et de son pouvoir occulte, ce nième règlement de l’UE sur les colonies juives en Palestine sera contourné et dans quelques mois on n’en parlera plus!!!!L’UE pourra pondre autant de règlements sur les colonies juives, le lobby sera toujours le plus fort!!! C’est un nième baroud d’honneur sans plus quand on voit que dans le passé l’Etat juif pouvait saccager impunément des installations palestiniennes financées par l’argent des contribuables de l’UE sans encourir la moindre représaille de ce « machin » qu’est l’UE? Il y a de quoi rire ou pleurer.
L’UE a toujours baissé son frog devant USISRAEL, ce nième règlement de l’UE ne sauvera pas son honneur, bien au contraire!!!
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branka
Juil 17, 2013 @ 1:59
L’agression israélienne : une dernière carte suicidaires
Par Ghaleb Kandil
Après les défaites successives subies par l’agression impérialiste contre la Syrie, le soulèvement du peuple égyptien contre le pouvoir des Frères musulmans, en Égypte, a provoqué un grand choc au sein des milieux américano-israéliens. Cela est apparu dans les déclarations et les commentaires confus qui ont suivi la destitution du président Mohammad Morsi par une intifada sans précédent aussi bien au niveau de la mobilisation populaire que des slogans brandis par les millions d’Égyptiens qui sont descendus dans la rue. La première réaction de Washington a été d’inciter l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis à délier, hystériquement, les cordons de la bourse pour remplir de milliards de dollars les caisses du Trésor égyptien.
Les stratèges états-uniens ont pensé que la prise du pouvoir par les Frères musulmans dans certains pays arabes garantirait une nouvelle période d’hégémonie israélo-impérialiste d’au moins dix ans, sous un habit islamiste. Ces prévisions se sont basées sur la tradition religieuse des populations arabes, sur les relations organiques tissées par les Frères musulmans avec les centres de décisions occidentaux ces dernières décennies, et sur des pronostics farfelus annonçant la victoire inéluctable des « Ikhwans » en Syrie et la pérennité de leur pouvoir en Égypte. Ces gouvernements établiraient alors, en coordination avec l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie, un nouvel axe qui déclarerait la guerre à l’Iran et s’allierait ouvertement à Israël. La fitna serait son principal outil pour détruire l’axe de la résistance dans la région.
La résistance de la Syrie a constitué une puissante gifle qui a faussé les calculs occidentaux. La résilience de la Syrie à l’agression universelle qui la cible est principalement due à la convergence entre une solide volonté populaire, un commandement profondément enraciné dans ses choix nationalistes et une institution militaire idéologique et patriotique. Cette équation a permis de redessiner un nouveau paysage international sur lequel s’est brisée la domination unilatérale des États-Unis.
Après l’échec des cartes qatarie et turque dans l’agression contre la Syrie, l’Occident a jeté dans la bataille ses cartes de réserve saoudienne et jordanienne, basées sur un armement massif des terroristes. Nouvel échec. Le troisième volet du plan était construit sur l’option du déploiement en Syrie d’un contingent militaire palestino-égyptien, à travers le front jordanien.
Alors que la résistance syrienne se raffermissait et que des changements intervenaient dans les rapports de force internationaux, le soulèvement populaire égyptien a éclaté, réduisant à néant les espoirs de Washington et de ses auxiliaires de mettre en œuvre le troisième plan.
La rapidité avec laquelle les pays du Golfe ont apporté une aide financière à l’Égypte s’inscrit dans le cadre d’une mesure préventive visant à empêcher l’établissement d’un nouveau réseau de relations entre Le Caire, Moscou, Pékin et Téhéran. Mais ce n’est qu’une vaine tentative de retarder l’évolution naturelle des nouveaux rapports de force internationaux.
Les Frères musulmans sont sortis du pouvoir et ne sont pas prêts d’y revenir. En Syrie, l’Etat prend le dessus sur les terroristes, et le rôle turc crépusculaire dans le complot contre la Syrie ne sera pas remplacé par une monarchie wahhabite vacillante, minée par les rivalités au sujet de la succession. L’issue suicidaire à cette quadrature du cercle sera-t-elle une agression israélienne contre la Syrie et le Liban ?
Déclarations et prises de position
BACHAR AL-ASSAD, président de la République arabe syrienne
« Les fissures dont nous voyons les conséquences dans notre Histoire contemporaine ont commencé avec l’émergence des Frères Musulmans et se sont s’aggravées depuis l’indépendance en raison du rôle nocif qu’ils ont joué dans un certain nombre de pays arabes, dont la Syrie.
Les Frères Musulmans sont à l’origine de la première fissure, fondamentale, entre l’arabité et l’Islam. Ils ont essayé de créer deux patries : une patrie pour les Islamistes et une patrie pour les nationalistes. Ainsi, la pensée colonisatrice n’a jamais cessé de se manifester au travers de guerres successives, dont la Guerre du Liban, qui avait pour objectif la création d’une patrie pour les Musulmans et d’une autre patrie pour les Chrétiens. C’est là que les conséquences de l’activisme des Frères Musulmans sur le terrain sont devenues plus lisibles, la plus importante et la plus dangereuse d’entre toutes étant la présence d’Al-Qaïda, à laquelle l’Occident n’a pas manqué de prodiguer son soutien sur fond de révolution islamique en Iran ; révolution venue soutenir la cause palestinienne et donc le cœur même de l’identité pour les Arabes.
Cette nouvelle donne les a poussés à s’orienter vers la création d’une nouvelle discorde entre les Sunnites et les Chiites pour démolir la relation entre les Arabes et les Perses ; tandis que le 11-Septembre, l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak consacraient les fissures entre les Takfiristes et toutes les branches de l’Islam (…)
Nous avons pu leur résister jusqu’ici, parce qu’en Syrie existe la conscience d’un peuple capable d’empêcher le plein succès de telles manœuvres (…)
Il est clair que là où règne le chaos, sévit le terrorisme. Ainsi, lorsque l’État afghan s’est affaibli, le terrorisme s’y est développé ; et lorsque l’Irak a été envahi, le terrorisme s’y est propagé.
Des États étrangers en arrivent à le soutenir pour atteindre certains de leurs objectifs. C’est ce qui s’est passé lorsqu’ils ont voulu affaiblir l’État syrien en espérant qu’ils réussiraient à faire fléchir l’immunité historique de ce pays, ses prises de positions, et sa résistance (…)
Est-ce que les actions de ces wahhabites takfiristes ressemblent un tant soit peu aux comportements du Prophète Mohamad ? J’ai d’ailleurs beaucoup discuté de ce sujet avec des dignitaires religieux syriens ou issus des pays du Levant. Le Coran, le Hadith, et la vie du Prophète prêchent le contraire de ce qu’ils font. Le terrorisme est comme le cancer. Si vous lui donnez un coup de bistouri sans pratiquer une exérèse totale, il métastase. Il faut donc l’éradiquer. Mais la guerre n’est pas un moyen suffisant pour réussir son éradication. Il faut y ajouter l’éducation, la culture, la communication et même l’économie (…)
Pour nous comme pour la Résistance et pour tous ceux qui nous soutiennent, la voie est claire. L’étranger pourra continuer à manigancer autant qu’il le voudra. Nous atteindrons nos objectifs autant par notre résistance que par notre immunité intérieure. Nous y arriverons sans jamais hésiter et par nos propres moyens. Ils peuvent toujours continuer à discuter, nous ferons ce que nous jugerons bon dans l’intérêt de la Syrie (…)
L’armée syrienne se bat dans de nombreuses régions du pays, si nous avions eu besoin d’une aide étrangère nous aurions pu l’obtenir. S’agissant de la bataille de Qussair, la question relève plus de la Résistance libanaise que de la situation interne en Syrie. D’autant plus que la ville, située en zone frontalière, est considérée comme l’arrière cours de la Résistance. Une Résistance forte a nécessairement besoin d’une réelle profondeur (…)
En Égypte, il s’agit de la faillite dudit « Islam politique », faillite d’un type de gouvernance que les Frères Musulmans ont voulu vendre non seulement en Égypte… Je dis et je répète que nous n’acceptons pas que l’Islam descende au niveau de la politique. »
MICHEL SLEIMAN, président de la République libanaise
« Le fait de demander des comptes à l’armée pour les erreurs qu’elle a pu commettre dans le feu des affrontements ne doit pas aller de pair avec une mise en question du rôle national de l’armée, ni ne doit se transformer en campagne politique contre ce rôle que tous reconnaissent et sur lequel toutes les parties comptent, à l’heure où les officiers et soldats se déploient dans toutes les régions et aux frontières. Il faut laisser les erreurs individuelles à l’armée, qui saura prendre les mesures nécessaires aux niveaux judiciaire et militaire. »
CHEIKH NABIL KAOUK, vice-président du Conseil exécutif du Hezbollah
« Les événements d’Abra ont permis de dévoiler la véritable image du Courant du futur qui ne rate aucune occasion pour inciter à la discorde communautaire et dont le rôle, qui consiste à couvrir et à faciliter les projets de discorde, a été révélé au grand jour. Il est honteux que ceux qui ont brandi le slogan ‘Liban d’abord’ en arrivent à œuvrer pour la discorde d’abord. Le Moustaqbal agit de la sorte parce que son plan pour la Syrie a échoué et il essaie de compenser l’échec de ses paris par un embrasement du front libanais. Il prend pour cible l’armée et cherche à couvrir les meurtriers des militaires à Abra, Ersal et Tripoli. Pour le compte de qui essaie-t-il de dénigrer l’armée, le peuple et la Résistance ? Ce parti assume la responsabilité de chaque goutte de sang versée par un officier ou un soldat. Ceux qui font de la provocation, qui arment des individus et qui facilitent des projets de discorde sont complices du crime commis à Abra. Le plus grand péché de ce parti, depuis sa fondation jusqu’à aujourd’hui, est qu’il a recours à l’arme de l’exacerbation confessionnelle qui ne lui sera jamais utile et ne lui permettra pas d’obtenir des acquis politiques au détriment de la Résistance qui est trop forte pour se laisser entraîner sur la voie de polémiques et de provocations communautaires. »
Événements
• Certains on voulu transformer, hier, la réunion de la Commission parlementaire de la Défense et de l’Intérieur en procès contre l’Armée libanaise, voire en une occasion pour placer l’institution militaire dans le box des accusés. Mais la séance s’est transformée en « veillée documentaire » sur le terrorisme du dénommé Ahmad al-Assir et son groupe. Les représentants de l’armée ont ainsi fait visionner aux membres de la commission des enregistrements vidéos montrant clairement comment les affrontements ont éclaté et l’agression des partisans d’al-Assir contre le barrage de l’armée érigé près du périmètre de sécurité de Abra, et comment le cheikh a personnellement donné l’ordre à ses hommes de « mettre en pièce » les soldats après qu’ils eurent refusé de démanteler le check-point, comme il le leur a « ordonné ». Les enregistrements ont été pris par les caméras du périmètre de sécurité. On y voit cheikh al-Assir très nerveux et tendu, ordonnant à l’un de ses adjoints, Ahmad Hariri, de demander aux soldats de démanteler leur barrage. N’ayant pas obtenu satisfaction, Hariri revient vers al-Assir et lui raconte ce qui s’est passé. Le cheikh entre alors dans une grande colère et commence à hurler, demandant à ses partisans de prendre les armes et de se diriger vers le check point pour le démanteler de force. Effectivement, les miliciens se rendent au barrage et commencent à provoquer les militaires en poste, avant des les exécuter, tuant l’officier Samer Tanios et le soldat Rami Khabbaz. Après avoir tué et blessé tous les membres du check-point, ils reviennent vers Ahmad al-Assir, qui avait entretemps revêtu son uniforme militaire, pour lui raconter leurs faits d’armes. Le cheikh a alors hurlé à ses partisans : « Mettez-les en pièce ». Son frère Amjad lui répond : « Je l’ai déjà fais ». Une autre vidéo, filmée deux jours avant les incidents d’Abra, montre al-Assir au barrage de l’armée en train d’insulter les militaires en déclarant : « Bandes d’animaux, on va vous égorger ». Les soldats font preuve d’une grande retenue, évitant de répondre aux provocations.
• Le premier juge d’instruction près le tribunal militaire, Riad Abou Ghida, a interrogé hier neuf personnes suspectées d’être impliquées dans les affrontements entre l’armée et des partisans d’Ahmad el-Assir à Abra. Le magistrat a libéré trois des suspects et émis des mandats d’arrêt contre les six autres. Par ailleurs, le juge d’instruction près le tribunal militaire, Fadi Sawan, a interrogé hier cheikh M. Ch., accusé d’actes terroristes et de transport d’armes, de munitions et d’explosifs en Syrie. Cheikh M. Ch. accompagnait cheikh al-Assir lors de ses visites en Syrie. Un mandat d’arrêt a été émis à son encontre.
Revue de presse
AS-SAFIR (QUOTIDIEN LIBANAIS PROCHE DU 8-MARS)
GHASSEB AL-MOUKHTAR (12 JUILLET 2013)
À en juger par les détails relatifs aux contacts concernant la formation du nouveau gouvernement, les repositionnements politiques, notamment celui de Michel Aoun, ainsi que les déclarations récentes du président du Parlement, Nabih Berry, n’aplaniront pas ipso facto les obstacles qui entravent la formation du gouvernement, d’autant plus que les positions des différentes parties prenantes à cet égard n’ont pas changé d’un iota et que le Courant du futur continue à s’opposer à la participation du Hezbollah au prochain Cabinet. Selon des sources bien informées, la solidarité est toujours de mise entre les composantes de l’alliance Hezbollah-Amal-CPL sur la formation du gouvernement. À en croire les mêmes sources, Nabih Berry aurait jeté la balle dans le camp du président de la République Michel Sleiman et du Premier ministre désigné, Tammam Salam, soit pour les mettre dans l’embarras, soit pour les exhorter à mettre les bouchées doubles et à prendre la décision de mettre en place un gouvernement, soit pour limiter les divergences sur ce dossier entre Salam et Aoun. Le 14-Mars voit d’un mauvais œil les dernières déclarations de M. Berry, les mettant sur le compte d’un jeu de rôle auquel se livrent les forces du 8-Mars.
AS-SAFIR (12 JUILLET 2013)
Des sources qui suivent l’enquête sur l’attentat de Bir el-Abed ont évoqué des indices qui sont actuellement examinés et analysés, tout en refusant d’entrer dans les détails et de préciser où en sont les investigations. Ces sources se sont contentées de dire : « L’enquête se poursuit dans toutes les directions et toutes les options sont prises en compte. »
Mais des sources de sécurité ont fait état de données préliminaires qui sont en train d’être examinées. Selon ces informations, la voiture piégée aurait été garée sur le lieu de l’attentat par une femme aux cheveux blonds (ou teintés en blond) et la chargé explosive, préparée d’une manière professionnelle, dépasse de loin les 35 kg. Cependant, le souffle de l’explosion est allé à la verticale et non pas à l’horizontale. Les mêmes sources indiquent que le choix de l’endroit était de faire le plus grand nombre de victimes possible.
AS-SAFIR (12 JUILLET 2013)
MARLENE KHALIFE
Les observateurs ne sont pas optimistes quant à la capacité du Royaume uni à amener ses pairs européens à changer d’avis concernant l’inscription de l’aile militaire du Hezbollah sur la liste européenne des organisations terroristes. Tout ce que les Britanniques cherchent à obtenir consiste à marquer leur tentative d’inscrire l’aile militaire du Hezbollah sur la liste noire dans le souci de satisfaire les États-Unis et Israël. Les ministres européens des Affaires étrangères débattront de ce dossier lors de leur réunion le 22 juillet à Bruxelles, à l’heure où un revirement clair est survenu au niveau de la position bulgare. En l’absence d’éléments probants incriminant le Hezbollah, toute éventuelle inscription de son aile militaire sur la liste terroristes pourrait faire l’objet d’un recours. Il est difficile de prendre une décision européenne à cet égard sur une base politique.
Un diplomate européen a affirmé dans ce cadre qu’« il n’est pas possible d’accuser le Hezbollah de terrorisme pour sa participation à la guerre en Syrie, vu l’implication de plusieurs autres parties libanaises dans ce conflit ». Cette question, soulevée en février dernier, refait surface aujourd’hui en raison des pressions US soutenues exercées sur l’UE, plus particulièrement sur la France, pour la conduire à adhérer à la décision britannique. Selon les informations provenant de canaux diplomatiques bien informés, les États-uniens auraient demandé aux Européens, avec insistance, l’inscription de l’aile militaire du Hezbollah sur la liste UE des organisations terroristes, y voyant une mesure plus importante que la levée de l’embargo sur les armes à destination de l’opposition syrienne. Un expert dans les affaires européennes souligne toutefois que les Européens s’interrogent sur l’utilité de l’inscription du Hezbollah sur la liste noire et sur l’intérêt de l’Europe de prendre une telle mesure. Un autre diplomate s’est demandé ce que gagnerait l’Europe à fermer des canaux de dialogue avec le Hezbollah.
AS-SAFIR (10 JUILLET 2013)
Le président du Parlement, Nabih Berry, a déclaré que l’attentat de la banlieue sud de Beyrouth doit accélérer, plus que jamais, la formation d’un gouvernement d’union nationale. Les efforts pour la formation du gouvernement se sont intensifiés, hier. Le Premier ministre désigné, Tammam Salam, a reçu l’ancien Premier ministre, Fouad Siniora, et un émissaire du président de la République, l’ancien ministre Khalil Hraoui.
Le président Berry a dit à M. Salam que le mouvement Amal et le Hezbollah négocieront avec lui la part des chiites au sein du nouveau cabinet indépendamment du chef du Courant patriotique libre (CPL), le général Michel Aoun. « Nous transmettrons à M. Salam une longue liste de candidats pour les postes ministériels dans laquelle il pourra puiser », a-t-il dit. Le président de la Chambre a indiqué qu’il existe d’importantes divergences entre M. Aoun et les autres composantes du 8-Mars, « notamment au plan interne ». « Dès aujourd’hui, chacun est libre de ses choix concernant le gouvernement ou même le Parlement, a dit M. Berry. J’ai déjà fait part de cela au ministre Gebran Bassil ». « L’accord stratégique concernant la résistance et le conflit contre Israël tient toujours », a-t-il ajouté.
AN-NAHAR (QUOTIDIEN LIBANAIS PROCHE DU 14-MARS)
(12 JUILLET 2013)
Suites aux propos faisant état d’une facilitation de la mission du Premier ministre désigné, Tammam Salam, et de la déconnexion entre le tandem chiite et le Courant patriotique libre, aucun indicateur positif ne s’est manifesté présageant la naissance du gouvernement. Des sources suivant de près le dossier gouvernemental font remarquer que M. Salam n’a toujours pas obtenu de Nabih Berry une liste de ministrables représentant le Hezbollah et le mouvement Amal, tel que convenu.
AN-NAHAR (12 JUILLET 2013)
RADWAN AKIL
Le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, a réitéré son refus de la participation du Hezbollah au nouveau gouvernement en raison de son implication en Syrie. Il a par ailleurs estimé que l’attentat qui a visé la banlieue sud nécessite la formation rapide d’un gouvernement, quitte à ce qu’il ne bénéficie pas de l’aval du Hezbollah.
AN-NAHAR (9 JUILLET 2013)
Les milieux de la commission ministérielle chargée du suivi du dossier des otages libanais détenus en Syrie ont indiqué que les négociations menées par le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, avec les ravisseurs, ont abouti à un accord quasi-définitif. L’arrangement conclu prévoit la libération des neuf otages en deux temps, en contrepartie de la libération par les autorités syriennes des détenues réclamées par le « Bataillon de la tempête du nord ». Dans un premier temps, quatre ou cinq otages libanais seront remis en liberté alors que la moitié des prisonnières syriennes seront relaxées. La deuxième phase devrait avoir lieu peu de temps après la première étape.
Les mêmes milieux n’ont pas évoqué la date de la mise en exécution de cet accord de crainte que des imprévus de dernière minute ne viennent le compromettre.
AL-AKHBAR (QUOTIDIEN LIBANAIS PROCHE DE LA RESISTANCE)
MAYSAM RIK, (12 JUILLET 2013)
La députée Bahia Hariri n’est plus la même après la bataille d’Abra et a commencé à refaire ses comptes politiques. Les personnalités du 14-Mars qui lui ont rendu visite ont été surprises de constater qu’elle n’est plus une députée au Parlement, et est devenue le véritable leader du Courant du Futur. Ces mêmes personnalités s’étonnent également de l’offensive de Bahia Hariri contre l’Armée libanaise et les Brigades de la résistance, quelques jours après les accrochages à Abra, et l’inscrivent dans le cadre d’une réaction de la députée, qui a été tenue responsable de ce qui s’est passé dans sa ville.
AL-AKHBAR (12 JUILLET 2013)
Des sources du Hezbollah assurent que la relation entre le parti et le Courant patriotique libre (CPL) est stratégique, et si des divergences peuvent apparaitre autour de dossiers libanais internes, cela est tout à fait naturel entre des « alliés libres » car cette alliance « n’est pas dirigée par une ambassade ou une partie étrangère ».
D’autres sources du 8-Mars ajoutent que le général Michel Aoun « n’est en rien différent des autres composantes de cette alliance sur le plan politique ». Concernant la Résistance, les positions du leader du CPL sont aussi stables que celles du 8-Mars et sa vision concernant « l’offensive takfiriste dans la région est claire et solide ». Une autre source souligne que le secrétaire général du Hezbollah, sayyed Hassan Nasrallah, ce cesse de répéter que « la Résistance a une dette envers le général Aoun et a confiance en lui ».
Les alliés du Hezbollah indiquent que les divergences avec le général Aoun au sujet de la prorogation du mandat du commandant en chef de l’Armée sont « vraies et naturelles. » Le chef du CPL estime que ce poste, dédié aux maronites, ne peut être pourvu sans consultations préalables avec lui. Cela est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit de ses alliés.
Pour sa part, le souci du Hezbollah est de préserver sa relation avec le général Aoun tout en sauvegardant l’unité de la scène chiite (en allusion à la relation avec le président du Parlement Nabih Berry). Concernant spécifiquement la question de Kahwaji, le Hezbollah a de nombreuses préoccupations et il n’a peut-être pas accordé à cette affaire l’importance qu’elle méritait, sa priorité étant de protéger l’institution militaire et son efficacité. De plus, le Hezbollah juge que la situation de l’armée sous le commandement de Jean Kahwaji est « bonne » et il n’est pas possible de trouver un remplaçant dans les circonstances actuelles caractérisées par de profondes divisions internes.
AL-AKHBAR (12 JUILLET 2013)
ROULA IBRAHIM
Au lendemain du tir des deux roquettes contre la banlieue sud de Beyrouth, le 26 mai dernier, le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a passé une de ses pires nuits. Il a senti l’étau de la fitna se refermer autour de son cou. Contrairement à ce qu’il croyait, il a réalisé que la sécurité de la région d’Aley n’était pas du tout sous contrôle. Aussi, a-t-il rappelé la « vieille garde », remplaçant le responsable du PSP à Aley, Wissam Kadi —qui couvre la région de Chabar al-Gharbi, Beissour, Keyfoun, Aïtate, Choueifat et Bchamoun—, par son prédécesseur, Zahi Ghosseini. Surnommé Abou Ayad, ce dernier occupait dans le passé des fonctions militaires et est susceptible de mieux tenir le terrain dans les villages délicats, limitrophes aux zones d’influence du Hezbollah.
Par ailleurs, et conformément à un arrangement conclu dans le cadre d’une commission conjointe, le PSP inspecté avec des responsables du Hezbollah la région d’Aley, notamment les collines de Ras el-Jabal, 8-8-8 et Aïtate, ainsi que toutes les localités surplombant Beyrouth. Soulignons que la coordination sur le terrain entre les deux partis avait été suspendue il y a six mois, suite à la tension provoquée par le fait que M. Joumblatt accueillait dans la montagne des opposants syriens. Mais les structures de coordination ont été rétablies. D’autre part, le PSP a repris les patrouilles dans les régions de Choueifat et Deir Qoubel, sous prétexte de vouloir protéger les villages. Après une interruption de deux ans, depuis le début de la crise syrienne, le PSP a par ailleurs repris, sous l’impulsion de M. Joumblatt, les contacts avec le Parti syrien national social (PSNS), pour discuter des questions sécuritaires dans la région. Mais le PSNS a exprimé des réserves, exigeant que les discussions portent sur toutes les questions, y compris celles des services et du développement. Le chef du PSP a accepté ces conditions et, effectivement, plusieurs réunions bilatérales ont eu lieu, notamment à Choueifat.
Enfin, M. Joumblatt a opéré une ouverture vers des hommes de religion druzes qui ne tournent pas dans son orbite, mettant l’accent sur la nécessité de renforcer l’unité de la communauté.
AL-AKHBAR (11 JUILLET 2013)
HASSAN OLLEIK
Des sources sécuritaires et politiques indiquent que le directeur de l’antenne de la CIA au Liban aurait remis aux services de renseignement libanais relevant de l’armée et des FSI plusieurs rapports contenant des informations extrêmement sensibles. Selon le 1er rapport, un groupe affilié à Al-Qaïda aurait fabriqué deux charges, de 7 tonnes chacune, avant de les mettre à bord de camions afin de les faire détoner. Ces explosifs auraient été destinés à être utilisés contre des bâtiments de la banlieue sud et l’attentat aurait censé être exécuté par des kamikazes appartenant à un groupe lié à Al-Qaïda et actif en Syrie. Un 2ème rapport dû à la CIA aurait indiqué qu’un groupe rattaché à Al-Qaïda aurait fait entrer au Liban 2 tonnes d’explosif destinés à être utilisés dans des attaques contre l’Armée libanaise, le Hezbollah, les ambassadeurs saoudien et koweïtien à Beyrouth et contre des diplomates russes et chinois. Quant au 3ème rapport remis aux services de renseignement libanais par la CIA, il contiendrait des informations détaillées concernant le responsable des tirs de de roquettes menées du territoire syrien sur Baalbeck. Il s’agirait d’un ressortissant syrien, chef d’un groupe armé dans les régions situées à l’ouest du Rif de Damas.
Ces informations étaient au menu de la réunion tenue jeudi dernier au Palais de Baabda sous la présidence du chef de l’État, et en présence du Premier ministre sortant Nagib Mikati, des ministres de la Défense, de l’Intérieur et des Télécoms, ainsi que des responsables sécuritaires.
AL-AKHBAR (11 JUILLET 2013)
Selon un député aouniste « le Courant patriotique libre (CPL) ne constitue pas l’une des principales composantes du 8-Mars et n’a jamais été au cœur de ce camp pour sortir de ses rangs. Par conséquent, les déclarations de Nabih Berry faisant état de la suspension de l’alliance du 8-Mars n’ont pas de sens ». Cependant, d’autres sources politiques liées au CPL soulignent que les dernières positions de Berry ne signifient aucunement que le tandem chiite acceptera de participer à un gouvernement dont le Bloc du Changement et de la Réforme ne fera pas partie. De son côté, le député CPL Nabil Nicolas a considéré que les déclarations du chef du Législatif ont soulagé son parti qui demande à être représenté au sein du gouvernement proportionnellement à sa taille parlementaire. Il a toutefois souligné qu’il n’existe pas de dissensions au sein du 8-Mars.
AL-AKHBAR (11 JUILLET 2013)
JEAN AZIZ
Aussitôt après la désignation de Tammam Salam pour la formation du gouvernement, l’ambassadeur saoudien est apparu sur la chaîne Al-Manar, donnant l’impression qu’un printemps libanais se profile à l’horizon. Mais, très vite, Riyad a émis ses ordres : « Non à la participation du Hezbollah au gouvernement ; non à la représentation des forces politiques proportionnellement à leur taille parlementaire au sein du nouveau cabinet ». De même, à la suite de l’exploit réalisé par l’armée à Abra et de l’entente sur l’ordre du jour de la séance parlementaire, notamment le point relatif à la prorogation du mandat de Jean Kahwaji, l’Arabie saoudite a retourné sa veste, en considérant la séance en question anticonstitutionnelle. Le sentiment de peur éprouvé par les sunnites dans le contexte actuel rappelle les appréhensions similaires vécues par les chrétiens en 1975 et 1990. Riyad doit opter pour l’ouverture et le dialogue avec les autres composantes de la scène libanaise, notamment avec Michel Aoun, Walid Joumblatt et le Hezbollah, pour éviter la réédition du scénario de 1975 lorsque les chrétiens ont choisi d’avoir recours à la violence.
AL-AKHBAR (10 JUILLET 2013)
IBRAHIM AL-AMINE
La logique des choses ainsi que des données et des estimations politiques et sécuritaires ont abouti, de longue date, à la conclusion suivante : une partie déterminée, dont l’identité n’est pas tout à fait un mystère, se prépare à commettre une série de crimes au Liban, en prenant pour cible directe les zones soumises à l’influence du Hezbollah, lequel n’était pas sans savoir que des parties arabes et internationales, voire libanaises, allaient appuyer de tels actes de violence. En lisant entre les lignes des réactions libanaises à l’attentat de Bir el-Abed, on constate qu’une partie donnée au Liban prête main-forte aux ennemis de la résistance pour s’en prendre à elle. Preuve en est le discours de plus en plus véhément qui s’élève contre le Hezbollah et le présente comme source de danger aussi bien pour son public que pour le reste des Libanais. Cette charge s’accompagne d’une campagne sans précédent menée dans le but de rompre toute forme de contact social, politique, culturel et personnel entre sunnites et chiites. Cette partie libanaise ne cesse de solliciter ses partenaires extérieurs afin qu’ils la soutiennent dans cette équipée anti-Hezbollah. Il est désormais chose normale de requérir le soutien de l’Occident, d’Israël, de tous les groupes takfiristes et des gangs de tous bords. Plus encore, cette même partie se met à présent à cautionner le criminel et à justifier son acte, tout en l’encourageant à recommencer, tant que la résistance n’aura pas fait les concessions requises aux plans libanais et régional. Les composantes libanaises de la partie incriminée ont perdu tout sens des responsabilités, dans la mesure où elles ont désormais pour unique souci de rester dans les bonnes grâces de l’Occident et de s’assurer que leurs maîtres ne les accusent pas d’avoir échoué à mener à bien cette mission pour la énième fois.
Dans cette atmosphère, il serait utile de revenir au 8 mars 1985, lorsqu’une puissante explosion a secoué l’artère principale de Bir el-Abed. La charge explosive visait à l’époque feu Sayyed Mohammed Hussein Fadlallah. Mais près de 90 habitants de la région y ont péri. Quelque temps après, l’enquête a permis d’identifier les exécutants de ce massacre. Il s’agissait d’un groupe de Libanais directement liés à la CIA. Plusieurs années plus tard, un autre pan de la vérité a été dévoilé dans un ouvrage du célèbre journaliste états-unien Bob Woodward, qui a révélé que « la CIA a obtenu de la part de l’Arabie saoudite un financement pour nombre de ses opérations à l’époque » et que « le trait d’union entre le régime saoudien et les renseignements US n’était autre que l’ambassadeur du roi à Washington, Bandar Ben Sultan, qui aurait transféré 3 millions de dollars vers un compte bancaire secret en Suisse afin de financer l’opération qui aurait été convenue par les deux parties ». Un nouveau crime a été perpétré, à quelques dizaines de mètres de celui commis il y a 28 ans. Ses commanditaires et ses exécutants doivent craindre, où qu’ils se trouvent, les foudres du Hezbollah, dont la force de dissuasion n’est plus à prouver.
L’ORIENT-LE JOUR (QUOTIDIEN LIBANAIS FRANCOPHONE PROCHE DU 14-MARS)
SCARLETT HADDAD (13 JUILLET 2013)
Une source proche du Hezbollah estime que si, lors du déclenchement des événements de Syrie, la confusion régnait, aujourd’hui il est possible de voir clairement les développements. La source explique qu’il est maintenant clair que les Américains et les Européens, ainsi que les Israéliens sont derrière ce qui se passe en Syrie depuis le début. Ils considèrent en effet qu’ils ont un seul ennemi dans la région dont la tête est l’Iran, le corps la Syrie, et les bras et les jambes le Hezbollah et le Hamas. Ils ont commencé par tenter de couper les membres de cet ennemi en menant une guerre contre le Hezbollah en 2006 puis une autre contre le Hamas en 2009. En vain. Ils ont alors cru pouvoir s’en prendre à la tête en songeant à une attaque des sites nucléaires puis en multipliant les sanctions économiques. En vain. Ils ont alors décidé de porter un coup au corps, c’est-à-dire à la Syrie, dans le but de détacher la tête des membres et de les rendre ainsi inefficaces. Ils ont donc profité de ce qu’il est convenu d’appeler « le printemps arabe » en Égypte et Tunisie, et surtout après l’expérience libyenne, pour lancer un mouvement similaire en Syrie.
C’est ainsi qu’ont commencé les premières manifestations pour des revendications démocratiques. Ceux qui ont élaboré le plan ont cru que le régime de Bachar el-Assad est fragile et qu’il tomberait rapidement. Mais en voyant que les manifestations ne parvenaient pas à mobiliser une foule nombreuse, ni à se doter d’une place symbolique pour mettre la pression sur le régime, les parrains du projet ont opté pour la révolte armée. C’est dans ce contexte que l’ancien émir du Qatar avait déclaré en 2011 que le « mois de ramadan serait sanglant cette année en Syrie et que le régime sauterait à la fin du mois ».
Les événements n’ont pas évolué dans ce sens et les ennemis du régime ont alors décidé d’utiliser la carte du Conseil de sécurité pour couvrir une opération militaire limitée ou la création d’une zone d’exclusion aérienne. Mais ils se sont heurtés à l’opposition ferme de la Russie et de son alliée la Chine. Ils ont alors eu recours à la fibre religieuse et confessionnelle, la seule en mesure de mobiliser les foules et d’attirer les combattants. C’est ainsi qu’à la suite des appels au jihad lancés par plusieurs ulémas extrémistes, dont cheikh Youssef Qardaoui, les jihadistes de l’islam ont afflué vers la Syrie, venus de tous les coins du monde, grossissant les rangs de l’opposition au point de devenir le véritable noyau dur sur le terrain. Ce dernier plan a réussi puisque les jihadistes se sont montrés des combattants féroces, ne craignant pas la mort, puisqu’elle est la porte vers le paradis. Toutefois, leur mode de vie et leurs pratiques ont rapidement commencé à choquer la population syrienne elle-même qui a vite déchanté de l’opposition, ainsi que les parrains occidentaux qui ne peuvent pas couvrir de tels actes, ni une opposition islamiste que par ailleurs, ils combattent au Mali et qui a multiplié les attentats contre eux en Libye et en Afghanistan. Il y a bien une tentative de rectifier le tir et de pousser l’Armée syrienne libre à reprendre l’initiative et à chasser les islamistes, mais pour l’instant, il n’y a eu aucun développement significatif sur le terrain dans ce sens.
Au contraire. Les reportages et les analyses se multiplient dans les médias occidentaux pour évoquer l’affaiblissement de l’opposition, ses divergences internes et son incapacité à reprendre l’initiative, face aux forces du régime qui sont en train de gagner du terrain. D’ailleurs, après avoir exigé le départ du président syrien Bachar el-Assad, l’Occident se fait aujourd’hui plus discret sur la question, tout en se déclarant prêt à une solution politique négociée. C’est ainsi qu’a été lancée l’idée de la conférence de Genève 2. Mais le problème, comme l’a déclaré le nouveau chef de la CNS, Ahmad al-Jarba, c’est que l’opposition ne souhaite pas participer à cette conférence dans cet état de faiblesse. Il faut donc lui permettre de remporter une victoire sur le terrain pour qu’elle puisse y participer. Mais comment ? L’afflux d’armes et de fonds est surtout en train de profiter aux extrémistes d’al-Nosra, qu’aucun pays occidental ne peut couvrir officiellement.
Dans ce contexte, la source proche du Hezbollah précise que le principal souci de l’Occident est aujourd’hui d’empêcher le régime syrien de remporter une victoire éclatante. Le compromis devrait donc reposer sur l’équation suivante : pas de grande victoire ni de grande défaite pour amener le régime et l’opposition à conclure un accord. Mais pour l’instant, rien n’indique qu’on s’approche d’une telle situation. C’est pourquoi le sang continue de couler, le régime voulant écraser l’opposition et celle-ci espérant encore changer la donne sur le terrain. La prochaine échéance politique sérieuse devrait avoir lieu en septembre, lors du sommet du G20. D’ici là, la violence devrait donc continuer…
Pierre Khalaf
Source
New Orient News (Liban)
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Pierre Khalaf
Chercheur au Centre d’Etudes Stratégiques Arabes et Internationales de Beyrouth.
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http://www.voltairenet.org/article179417.html
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hussaff
Juil 17, 2013 @ 1:32
Merci AJ d’être passé à autre chose que ces femens, qui ne valent pas la peine de s’attarder sur elles, car complètement vide de sens.
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veloceexpress
Juil 17, 2013 @ 0:29
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
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Marcel
Juil 17, 2013 @ 0:22
Ville de Deir Ezzor :
L’armée syrienne progresse dans le quartier de Al Jabeilah dans la ville de Deir Ezzor.
Sur place la télévision syrienne :
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Marcel
Juil 16, 2013 @ 23:49
Province de Al Qouneitrah :
L’armée syrienne contrôle totalement la ville de Al Qahtaniyeh après une offensive des terroristes qui a échoué, les terroristes ont lancé une offensive sur la ville de Al Qahtaniyeh par le Golan occupé, ils auraient été aidés par les forces Israéliennes mais leur offensive a échoué après l’arrivée des renforts de l’armée syrienne, les autorités Israéliennes ont confirmé avoir évacué des « syriens » vers les hôpitaux israéliens après la bataille.
Sources : Manqool news, médias syriens.
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Marcel
Juil 16, 2013 @ 23:51
http://www.champress.net/index.php?q=ar/Article/view/23591
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Hezbollah
Juil 16, 2013 @ 23:48
Le célèbre journaliste « israélien », Gideon Levy, appelle au boycott d’Israël.
Dans un article que vient de publier le quotidien Haaretz, Gideon Levy écrit : « Quiconque s’inquiète réellement de l’avenir du pays doit maintenant être en faveur du boycott économique ».
« Le refuge ultime du patriote israélien : le boycott
Quiconque s’inquiète réellement de l’avenir du pays doit maintenant être en faveur du boycott économique.
Une contradiction dans les termes ? On a examiné les alternatives. Le boycott est le moindre mal et il pourrait avoir des effets bénéfiques de portée historique. C’est l’option la moins violente et celle qui a le moins de chances d’aboutir à un bain de sang. Elle serait douloureuse, comme les autres, mais les autres seraient pires.
Avec l’entrée d’Israël dans une nouvelle série d’inertie diplomatique, l’appel au boycott économique devient une exigence patriotique.
Si l’on convient que le statu quo actuel ne peut durer toujours, c’est l’option la plus raisonnable pour convaincre Israël de changer. Son efficacité a déjà été prouvée. De plus en plus d’Israéliens ont pris conscience récemment de la menace que représente le boycott. Lorsque la ministre de la justice, Tzipi Livni alerte sur son développement et appelle, en conséquence, à sortir de l’impasse diplomatique, elle apporte une preuve de la nécessité du boycott. Elle et d’autres rejoignent ainsi le mouvement boycott, désinvestissement, sanctions. Bienvenue au club !
Le changement ne viendra pas de l’intérieur. C’est clair depuis longtemps. Tant que les Israéliens ne paient pas le prix de l’occupation, ou tout du moins ne font pas le lien entre la cause et l’effet, ils n’ont aucune raison d’y mettre fin. Et pourquoi le résidant lambda de Tel Aviv devrait-il se soucier de ce qui arrive dans la ville de Jénine en Cisjordanie ou dans la bande de Gaza ? Ces endroits sont très éloignés et pas particulièrement intéressants. Tant que l’arrogance et l’auto-victimisation continuent au sein du Peuple Elu, le plus élu du monde, toujours la seule victime, la situation réelle du monde n’y changera rien.
Nous disons que c’est de l’antisémitisme. Le monde entier est contre nous, sans que nous ne soyons responsables de son attitude à notre égard. Et par dessus le marché, en dépit de tout, le chanteur anglais Cliff Richard est venu se produire ici. L’opinion publique israélienne est pour l’essentiel coupée de la réalité – la réalité dans les territoires et à l’étranger. Et il y a ceux qui veillent à ce que cette déconnection dangereuse se maintienne. Parallèlement à la déshumanisation et à la diabolisation des Palestiniens et des Arabes, les gens ici sont trop soumis à un lavage de cerveau nationaliste pour retrouver leurs esprits.
Le changement ne viendra que de l’extérieur. Personne – y compris bien sûr l’auteur de ces lignes- ne souhaite un nouveau cycle sanguinaire. Un soulèvement palestinien non-violent est une possibilité mais il est peu probable à court terme. Ensuite, il y a la pression diplomatique américaine et le boycott économique européen. Mais les Etats Unis ne vont faire aucune pression. Si l’administration Obama n’en a pas fait, aucune autre Administration n‘en fera. Et puis l’Europe. La ministre de la justice Tzipi Livni dit que le discours en Europe est devenu idéologique. Elle sait de quoi elle parle. Elle a aussi dit qu’un boycott européen ne s’arrêterait pas aux produits des colonies de Cisjordanie.
Il n’y a aucune raison qu’il s’y arrête. La distinction entre les produits de l’occupation et des produits israéliens est une création artificielle. Ce ne sont pas les colons qui sont les principaux coupables, mais plutôt ceux qui cultivent leur existence. Tout Israël est immergé dans l’entreprise de colonisation, alors tout Israël doit en assumer la responsabilité et payer le prix pour cela. Tout le monde est impliqué dans l’occupation, y compris ceux qui ont envie de regarder ailleurs. Nous sommes tous des colons.
Le boycott économique a prouvé son efficacité en Afrique du Sud. Quand les milieux d’affaires du régime d’apartheid ont interpellé les dirigeants du pays en leur disant que la situation ne pouvait pas continuer comme cela, le sort en a été jeté. Le soulèvement, la stature de leaders tels Nelson Mandela et Frédérik de Klerk, le boycott des sportifs sud-africains et l’isolement diplomatique du pays ont bien sûr contribué à la chute de l’odieux régime. Mais le ton a été donné par les milieux d’affaires.
Et cela peut arriver ici aussi. L’économie israélienne ne résistera pas au boycott. Il est vrai qu’au début cela va accroître le sentiment de victimisation, d’isolement et le nationalisme, mais ce ne sera pas le cas à long terme. Le boycott pourrait donner lieu à un changement majeur d’attitude. Lorsque les milieux d’affaires s’adresseront au gouvernement, le gouvernement écoutera et peut-être agira. Quand la détérioration touchera le porte-monnaie de chaque citoyen, davantage d’Israéliens se demanderont, peut-être pour la première fois, de quoi il s’agit et pourquoi cela arrive.
Il est difficile et douloureux, presque impossible pour un Israélien qui a passé toute sa vie ici, qui n’a pas boycotté le pays, qui n’a jamais envisagé d’émigrer et qui se sent de tout son être attaché à son pays, d’appeler à un tel boycott. Je ne l’ai jamais fait. J’ai compris ce qui motive le boycott et j’ai pu y trouver des justifications. Mais je n’ai jamais appelé d’autres à faire ce pas. Néanmoins, Israël s’engageant dans une nouvelle phase de paralysie profonde tant diplomatique qu’idéologique, l’appel au boycott est une exigence, dernier refuge d’un patriote. »
http://www.europalestine.com/spip.php?article8470
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sowhat
Juil 17, 2013 @ 3:54
volià un étrange paradoxe : le boycott envisagé comme étant la solution pour les israéliens et pour eux et dans leur intérêt de la conservation d’Israel . Mais qu’en est-il des millions de non israéliens victimes d’Israel qui ne voient aucun intérêt dans le maintien d’Israel ?
Pour que le boycott fonctionne il faut qu’il ne nuise qu’aux seuls israéliens et ne touche pas les arabes résidents en Israel. Or cela est matériellement impossible et la situation des palestiniens se dégrade déjà de manière dramatique. Le boycott achèvera les palestiniens car ils en seront les premières victimes.
Il n’y a qu’une seule solution pour en finir avec Israel sans effusion de sang : que tous les palestiniens se retirent provisoirement de l’ensemble des territoires occupés. Ce retrait provisoire ne durera pas plus de cinq ans, durée minime comparée aux 60 ans écoulés dans l’humiliation et les concessions continues. Privé des palestiniens et soumis à un blocus strict de la part de ses voisins arabes, Israel ne tiendra pas plus de 5 ans. La solution ne viendra pas de l’intérieur comme le prétend Levy car Israel n’est plus capable de se réformer et tout le monde sait que les milieux d’affaires influents sont étroitement liés aux intérêts de l’establishment militaro-industriel lui même organiquement allié avec les Etats-Unis.
« Tout Israël est immergé dans l’entreprise de colonisation, alors tout Israël doit en assumer la responsabilité et payer le prix pour cela »
Ah là oui, l’hypocrite Levy peut jouer les cassandres à loisir .et se gargariser de mea culpa … Le prix de la colonisation c’est la fin de l’entité colonisatrice. Qu’il pousse donc plus loin le parallèle avec le régime apartheid
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Marie-Christine
Juil 17, 2013 @ 10:11
Sowhat, votre raisonnement est proprement incompréhensible !! 😮
D’une part, les Palestiniens de 48, c’est à dire toujours sur le territoire « d’Israël » soutiennent le boycott ;
D’autre part, si j’ai bien compris, vous préconisez que, « pour gagner », les Palestiniens ‘disparaissent’ d’eux-mêmes de tous les territoires de la Palestine : comme auto-sabordage et réalisation ‘volontaire’ du rêve d’épuration ethnique totale que les sionistes n’ont pas réussi à faire depuis + de 65 ans, on ne fait pas mieux !!!!! 🙄
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sowhat
Juil 17, 2013 @ 16:04
1) « du rêve d’épuration ethnique »
c’est juste un rêve. Les israéliens savent très bien que sans la population palestinienne Israel disparaîtra. Pour Israel les palestiniens représentent :
– l’ennemi intérieur indispensable pour justifier tous leurs problèmes
– une main-d’oeuvre très bon marché
– une masse de consommateurs dont le poids est non négligeable dans l’économie
– le trait d’union avec le monde arabe qui sous un forme ou une autre continue de commercer avec Israel
2) les palestiniens même s’ils soutiennent le boycott seront les premiers à en souffrir de sorte que leur sort dans les territoires occupés devra invivable et qu’ils seront contraints à l’exil forcé si le boycott est appliqué
3) les israéliens ont suffisamment d’appui dans le monde pour contourner le boycott
4) je ne préconise pas que les palestiniens disparaissent et renoncent à leurs droits mais qu’ils se retirent provisoirement le temps qu’Israel s’effondre de lui-même
5) pour que ce plan fonctionne il faut une entente sans faille de la part des voisins arabes pour qu’ils imposent un blocus strict et total sur Israel
enfin, essayez d’évoquer ce plan devant des israéliens, vous verrez à leur réaction que c’est leur pire cauchemar. Israel a besoin des palestiniens.
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sowhat
Juil 17, 2013 @ 16:07
enfin dernière chose :
les pays qui attaqueront Israel n’auront plus de scrupules concernant les victimes arabes puisqu’il n’y en aura pas.
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africalibre
Juil 16, 2013 @ 23:45
FSA chief accuses UK of betraying Syrian opposition
http://english.ruvr.ru/news/2013_07_16/FSA-chief-accuses-UK-of-betraying-Syrian-opposition-9285/
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gilgamesh
Juil 17, 2013 @ 6:30
la pleurniche habituelle au niveau d’un chefaillon ASL.
« Vous allez nous laisser nous faire tuer » dit-il en apprenant qu’à la suite de rapports d’experts militaires Cameron a abandonné l’idée ( officielle ) d’armer les terroristes. Un comble que des terroristes s’aperçoivent seulement aujourd’hui qu’ils peuvent se faire tuer en attaquant des civils et une armée d’un pays souverain. Le sempiternel refrain « plus d’armes!!! » de cette supposée opposition est lassant: s’ils veulent rester en vie il ne tient qu’à eux de se rendre plutôt que de quémander des armes à leurs souteneurs européens.
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Marie-Christine
Juil 17, 2013 @ 10:18
En réponse au pleurnicheur : »Mais qu’alliez-vous faire dans cette galère ? Et que faîtes-vous d’y être encore !? »
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Hezbollah
Juil 16, 2013 @ 23:45
CHAQUE PARTAGE EST UN SOUTIEN ET ON VOUS REMERCIE D’AVANCE
Chers amis,
L’union National des Étudiants syriens, en collaboration avec la communauté syrienne, organise une manifestation ce samedi 20 juillet 2013 au parvis des droits de l’homme – Trocadéro – de 16h à 19h. Ceci aura pour but de dénoncer les crimes commis par ces terroristes en Syrie. Mais également de soutenir le peuple syrien et notre valeureuse armée arabe syrienne qui combat depuis 28 mois maintenant les terroristes venant du monde entier puis financés par les occidentaux et USraël.
Venez nombreux chers amis.
Vive la Syrie souveraine, le peuple syrien, notre valeureuse armée arabe syrienne et le Président Bachar AL ASSAD.
LOUBNA AL ASSAD
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Hezbollah
Juil 16, 2013 @ 23:55
New-York / Le délégué permanant de la Syrie auprès de l’ONU, Bachar al-Jaafari, a affirmé que le gouvernement syrien qui assume ses responsabilités et ses devoirs à l’égard de son peuple, fait son maximum pour assurer les besoins humanitaires à ses citoyens en dépit des pressions politiques, économiques et médiatiques exercées contre lui. Lire la suite http://sana.sy/fra/51/2013/07/16/492701.htm
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 0:00
Le Conseil des ministres approuve un projet de loi pour contrôler les prix des marchandises.
Damas / Le président du Conseil des ministres, Dr Waël al-Halaqi, a affirmé que le gouvernement continue à élargir la liste des matières de première nécessité subventionnées. Lire la suite http://sana.sy/fra/51/2013/07/16/492709.htm
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 0:12
L’arrivée des convois d’aide alimentaire.
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 0:19
Les frères musulmans, soit le retour Morsi où la destruction de l’Egypte.
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 0:36
Ali Khamenei rend hommage à Ahmadinejad et a son gouvernement après 8 années de quenelle aux sionistes. 😉
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 0:44
Bateau de guerre sioniste détruit par le Hezbollah en 2006.
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 1:11
Le monde sans le Qatar par Thierry Meyssan.
http://www.voltairenet.org/article179417.html
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 1:23
Les services de renseignements Algériens et leurs homologues Russes seraient à l’origine du revirement Américain dans le soutien aux dirigeants islamistes du Qatar et de l’Egypte ainsi que dans les pays qui ont connu des événements du printemps Arabe.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-services-de-renseignements-algeriens-et-russes-ont-pousse-Obama-a-lacher-les-islamistes-19115.html
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 1:26
Anonymous répond à Alain Soral sur ses accusations concernant le CRIF et le sionisme (Dieudonné).
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 1:35
Les pulsions de Damas.
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Hezbollah
Juil 17, 2013 @ 1:57
La colère d’un indien d’Amérique : « Vous ne voulez pas entendre la vérité ! »
Il a raison.
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Marie-Christine
Juil 17, 2013 @ 10:27
De toute façon, ils étaient entrain consciemment (Morsi exécuteur des basses œuvres) de détruire l’Egypte et de la vendre au projet du « Grand Moyen-Orient Unifié » de l’USraël et l’Otanosionisme.
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Marie-Christine
Juil 17, 2013 @ 10:35
A propos des ‘Indiens’, bien sûr qu’il a raison et voici qu’ils s’appellent des ‘Indiens’ juste parce que, un imbécile s’était trompé d’itinéraire et qu’il voulait qu’il soit dit qu’ils avaient débarqué aux Indes !
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PierredelacraudeToulon
Juil 17, 2013 @ 17:21
C’est pourquoi Amérindien est moins équivoque
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africalibre
Juil 16, 2013 @ 23:42
Russia’s initiative to request Libya, Qatar and Turkey to provide more information about the cases of illegal arms deliveries to Syria mentioned in the press was not supported by the UN Security Council Sanctions Committee.
(…).
UN did not support Russia’s initiative to investigate illegal arms deliveries to Syria
http://english.ruvr.ru/news/2013_07_16/UN-did-not-support-Russia-s-initiative-to-investigate-illegal-arms-deliveries-to-Syria-5885/
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africalibre
Juil 16, 2013 @ 23:39
A prendre ou à laisser …
—————————–
(…).
Quoi qu’il en soit, l’inattendue accession légale de la Confrérie au pouvoir, en juin 2012, en Égypte, laissait entendre le véritable objectif du « printemps arabe » : une nouvelle ère de colonisation fondée sur l’accord secret des Frères, des États-Unis et d’Israël. Pour la Confrérie, l’islamisation forcée des sociétés d’Afrique du Nord et du Levant ; pour Washington, la globalisation économique, incluant des privatisations massives ; et pour Tel-Aviv, la continuation de la paix séparée de Camp David.
Il importe de bien comprendre que, ce faisant, « La Confrérie est devenue le fer de lance du sionisme arabe », selon l’expression du penseur libanais Hassan Hamade. Ce que confirme à sa manière le « conseiller spirituel » de la chaîne qatarie Al-Jazeera, cheikh Yusuf al-Qaradawi lorsqu’il prêche que si Mahomet était parmi nous aujourd’hui, il vivrait en paix avec les Israéliens et soutiendrait l’Otan.
(…).
En définitive, le retrait du Qatar correspond à un rééquilibrage des forces dans le monde anglo-saxon. Successivement, les commissions de contrôle des services secrets au Congrès des États-Unis et à la Chambre britannique des Communes se sont opposées à l’envoi d’armes aux « rebelles » en Syrie.
La chute des Frères musulmans n’est donc pas seulement l’échec d’une Confrérie, mais aussi celui de ceux qui, à Londres et Washington, ont pensé pouvoir remodeler l’Afrique du Nord et le Proche-Orient, puis à défaut y faire régner le chaos plutôt que d’y perdre la main.
Le monde sans le Qatar
http://www.voltairenet.org/article179417.html
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africalibre
Juil 17, 2013 @ 0:45
Et qui dit chaos, dit Al Qaida …
–Syrian rebels fear ‘side war’ as infighting spirals
http://www.washingtonpost.com/world/middle_east/syrian-rebels-fear-side-war-as-infighting-spirals/2013/07/13/d765def2-ebf8-11e2-818e-aa29e855f3ab_story.html?wpisrc=nl_headlines
.
–Rebels clash with Qaeda-linked opposition group in Syria
http://www.reuters.com/article/2013/07/06/us-syria-crisis-infighting-idUSBRE96506Z20130706?feedName=topNews&feedType=RSS
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cherif
Juil 16, 2013 @ 23:35
ONU: 5.000 morts par mois dans le conflit syrien
AFP | 16/07/2013 | 17h59
Cinq mille personnes meurent chaque mois dans le conflit syrien, a affirmé mardi le secrétaire général adjoint de l’ONU Ivan Simonovic au Conseil de sécurité.
« Le nombre extrêmement élevé de morts aujourd’hui – environ 5.000 par mois – montre la totale détérioration de ce conflit », a affirmé M. Simonovic au Conseil.
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alexandre
Juil 17, 2013 @ 0:51
Faudrait peut-être lui rappeler que c’est son boss qui a laissé faire. Tout cela est de la faute de l’ONU comme en Libye, Irak et Afghanistan. Voilà pour cet organisme corrompu et inefficace. Organisation à être désintégrée le plus tôt possible.
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Marie-Christine
Juil 17, 2013 @ 10:41
De toute façon, en plus, ils disent n’importe quoi avec les chiffres !
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Marcel
Juil 16, 2013 @ 23:35
Province d’Idleb :
L’armée syrienne prend le contrôle de l’autoroute Ariha – Lattakieh dans la province d’Idleb et continue de nettoyer les dernières cachettes des terroristes.
Sur place la télévision syrienne :
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lander
Juil 16, 2013 @ 23:28
Les pays du Golfe qatar et arabie sahoudite qui finances un retour en arrière du monde Musulmans.
Faut il boycotter la Mecque pour éviter de financer leurs guerres
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christian huet
Juil 16, 2013 @ 23:27
dans les années a venir Bachar aura le prix Nobel de la deratisation, pour avoir éliminé un nombre impressionant de terroristes venu du monde entier
un hommage lui sera rendu, j’espère que ce ne sera pas a titre posthume
Christian Huet
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Bouzman
Juil 16, 2013 @ 23:21
Ça va,bonnes nouvelles comme d hab,merci Mr julles ,Marcel et Estelle la « nombeur ouane »…au faite ,c en est fini de cricri??
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sanka
Juil 17, 2013 @ 2:50
tu es ou cricri?
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Marcel
Juil 16, 2013 @ 23:18
Dernière mise à jour :
Province d’Idleb :
L’armée syrienne prend le contrôle des localités de Sankarah et de Baklide dans la province d’Idleb, de nombreux matériels militaires saisis.
Sur place la télévision syrienne :
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Marcel
Juil 16, 2013 @ 23:16
Dernière mise à jour :
Province de Homs :
L’armée syrienne prend le contrôle de nombreux régions dans le sud-est de la ville de Palmyre.
Sur place la télévision syrienne :
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cherif
Juil 16, 2013 @ 23:15
reprise post
Libye: un parc d’attraction sur les ruines de la résidence de Kadhafi
AFP | 16/07/2013 | 22h24
Un parc d’attraction sera construit à Bab al-Aziziya, résidence de l’ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi rasée lors du conflit de 2011, a annoncé mardi la ministre du Tourisme au cours d’une conférence de presse à Tripoli.
Le site est actuellement occupé par des familles sans abri mais la ministre, Ikram Bacha Iman, a indiqué que le ministère des Affaires sociales avait entamé leur recensement et qu’elles seraient relogées.
« Les travaux de déblayage des gravats des ruines de Bab al-Aziziya, qui fût un point noir à Tripoli et une source d’inquiétudes pour les riverains, ont débuté », a-t-elle indiqué, annonçant que « cet espace sera transformé en une zone verte et un parc d’attraction, un lieu de divertissement pour les familles ».
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Marcel
Juil 16, 2013 @ 23:14
Dernière mise à jour :
Province d’Idleb :
L’armée syrienne prend le contrôle des localités de Sankarah et de Baklid situées entre les villes de Jisr Choughour et de Ariha dans la province d’Idleb, de nombreux terroristes ont été éliminés et de grandes quantités de matérielles militaires saisis, avec ces nouvelles prises après la sécurisation de l’autoroute Ariha – Lattakieh l’armée syrienne enregistre une avancée assez importante dans la province d’Idleb, une place forte des terroristes.
Sources : Manqool news, Force de la garde républicaine.
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Estelle
Juil 16, 2013 @ 23:09
Prem’s !
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D'Aladin
Juil 16, 2013 @ 23:09
Estelle ou es-tu?
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