Barack Obama l’Antéchrist et président américain est arrivé au Sénégal, hier, avec femme et enfants. La ville de Dakar, la capitale sénégalaise, a été bunkérisée ridiculement, sans oublier l’île de Gorée. On se demande bien pourquoi, d’autant plus les populations sont prises en otage. De quoi a peur Obama de débarquer au Sénégal, en Afrique donc, et se retrouver à se barricader derrière des triples murs, des vitres blindées ? Mais, ce qui m’attriste le plus dans sa visite sénégalaise, c’est la profanation de Gorée par lui, et non sa femme qui est afro-descendante et s’assume.
Comme le montre l’image, c’est son parcours en Afrique. Ce qui est un fait par ailleurs, George Bush Jr., l’ex président américain, a fait beaucoup plus pour l’Afrique, avec notamment la lutte contre le sida, que Barack Obama l »‘enfant » d’Afrique. Sa seule obsession et son seul discours quand il est en Afrique, c’est de parler de démocratie, institution, bonne gouvernance et tutti quanti. Comme si ce sont des remèdes qui apportent la richesse et le bien être.
Enfin, je soupçonne les autorités sud-africaines et les médecins de Nelson Mandela d’attendre le président américain qui arrivera demain en Afrique du sud, pour débrancher (enfin) Nelson Mandela. Ainsi, le nègre de maison aura une belle histoire à raconter, probablement, celle de dire qu’il a fermé les paupières de l’îcone des Sud-africains et des Européens, pas vraiment de l’ensemble des Africains…
André
Juin 27, 2013 @ 21:06
Curieux, il ne va pas en Libye? Il ne va pas en Egypte? Il ne va pas au Mali? Il ne va pas en Côte d’Ivoire????
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Maryam
Juin 27, 2013 @ 19:25
Il n’était pas prévu qu’Obama rencontre Nelson Mandela, qui s’en ira… quand Dieu le voudra, selon sa fille.
Par contre, la famille Obama a dû renoncer au safari prévu, parce que ça aurait vraiment fait tache vu le contexte. Les pauvres…
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Venus
Juin 28, 2013 @ 10:28
Ah ben oui tuer un lion il risque son poste…….Envoyé des drones tuer au Pakistan bof !
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Katarina
Juin 27, 2013 @ 18:50
J’ai une amie qui a vécu en Afrique du Sud et m’a assure que la mafia sud africaine noir n’attendait que la mort de Mandela pour fair un pogrom contre les blancs. Il faut savoir que la bas le racisme est à son plus haut niveau. Les noirs sont raciste des blancs, les blancs des noirs et tous les étrangers subissent le racisme des blancs et noirs sud africain. Mon amie à vécu un véritable enfer la bas, elle est d’origine française et à du y rester 5 ans à cause de son mari alcoolique et les membres horrible de sa famille qui l’a retenait en otage en confiscant les passeport de ses enfants ne la bas.
Nelson Mandela est aimé des noirs et des blancs et c’est pourquoi la mafia par respect pour lui ne s’attaque pas encore aux blanc mais après sa mort rien ne les empêchera
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sanka
Juin 27, 2013 @ 18:22
« qu’il a fermé les paupières de l’îcone des Sud-africains et des Européens, pas vraiment de l’ensemble des Africains… »??
Je ne comprend pas cette conclusion.???
Madiba(alias nelson mandela) est aimé par tous les africains,un homme extraordinnaire,un modele a suivre…alors dire qu’il est une icone pour les européens,s’est l’hopital qui se fout de la charité!!!
C’est vraiment du n’importe quoi..
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Gobel
Juin 27, 2013 @ 17:48
Plus lâche, plus menteur (oblabla), plus borné, plus hypocrite, plus servile qu’Obama tu meurs.
C’est un ambitieux et pour le pouvoir, il est capable de s’aplatir (yes I can) dans la boue devant le lobby sioniste. Un vrai cauchemar ce mec, on peut toujours rêver!! L’addition d’un big bisou du Judas Obama en Afrique et des deux Judas Qataro-wahhab au Moyen-Orient, vous obtiendrez un grand yes we can_, malheur assuré.
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JULIUS
Juin 27, 2013 @ 21:37
gobama,gobama…Excellent!!!
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Gobel
Juin 28, 2013 @ 10:41
Obrigado JULIUS
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Bismuth
Juin 27, 2013 @ 17:40
Selon le dernier rapport publié pae IHS Jane’s, le commerce mondial des armes a augmenté de 30% entre 2008 et 2012, passant de 56,5 à 73,5 milliards de dollars, et pourrait même doubler d’ici 2020 si cette progression se poursuit à ce rythme.
Cette dernière étude confirme des tendances constatées par des rapports antérieurs. Ainsi, cmme le souligne Paul Burton, analyste de cabinet de consultants spécialisés dans les affaires de défense, “deux choses sont en train de se produire : les budgets de la défense se déplacent à l’est et la compétition internationale s’accroît sur le marché de l’armement. On assiste à la plus grande explosion du commerce mondial d’armes que le monde ait jamais connue.”
Confrontés à une baisse de la demande intérieur, les industriels occidentaux du secteur sont encore plus actifs pour décrocher des contrats à l’étranger. Seulement, ils doivent faire face à la concurrence de pays émergents qui, ne pouvant pas toujours compter sur la qualité et la technologie avancée, jouent sur la différence des prix. D’où cette compétition acharnée évoquée par Paul Burton.
Au niveau des exportations d’armement, la première place revient toujours aux Etats-Unis. Quant à l’Europe occidentale, ses parts de marché ont baissé sensiblement en 4 ans, passant de 34,5% à 27,5%.
http://www.opex360.com/
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karanga
Juin 27, 2013 @ 16:55
Défense russe dément le retrait de son personnel de Tartous!
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IRIB-Le ministère russe de la Défense a démenti jeudi les informations selon lesquelles le personnel russe aurait quitté le point logistique de la Marine russe à Tartous, en Syrie.
« Les informations relayées mercredi par une série de médias et faisant état du retrait du personnel russe du port syrien de Tartous ne correspondent pas à la réalité », indique le service de presse du département militaire dans un communiqué.
« Tartous reste un point officiel de stationnement et de réparation des navires russes déployés dans la Méditerranée. Il continue à fonctionner », souligne la source.
Le ministère a toutefois reconnu qu’aucun militaire russe ne se trouvait à l’heure actuelle à Tartous, l’ensemble du personnel étant des civils.
Citant une source du ministère de la Défense, le quotidien Vedomosti a écrit mercredi que le personnel militaire russe avait quitté le site logistique de la ville syrienne de Tartous et que le département militaire russe n’avait plus de personnel en Syrie.
La base de Tartous est la seule base navale russe à l’étranger, hors ex-URSS. Créée conformément à un accord intergouvernemental soviéto-syrien de 1971, elle sert actuellement de point de ravitaillement matériel et technique de la marine russe.
http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/263130-défense-russe-dément-le-retrait-de-son-personnel-de-tartous
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Venus
Juin 27, 2013 @ 17:25
Bon de toutes les façons si çà ressemble à ce qu’on a vu deux pelés et deux tondus + un marcou et un chien féroce au doux nom de Rex(roi) ………….
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Gobel
Juin 27, 2013 @ 16:52
Censure ????
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gilgamesh
Juin 27, 2013 @ 16:32
désolée du hors sujet mais le Huffington a encore frappé
ce média sioniste qui a fait la promo du mariage gay pendant des mois est adepte de l’identité de « genre » dans le droit français. Et Belkacem cette idiote utile du gouvernement fait elle aussi du battage pour ce truc délirant…ils provoquent,veulent le chaos et le n’importe quoi en France et comptent enseigner ce concept dès la maternelle….. Quand les gens ne pensent qu’au c.. c’est plus facile de faire passer leurs coups tordus.
http://www.huffingtonpost.fr/2013/06/27/identite-de-theorie-du-genre_n_3504739.html
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Venus
Juin 27, 2013 @ 17:28
Oui mais quand les gouvernements ne pensent plus qu’aux culs de leurs compatriotes c’est qu’il est temps de changer les gouvernants de cette planète. Grand temps !
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Bismuth
Juin 27, 2013 @ 17:41
Selon le dernier rapport publié pae IHS Jane’s, le commerce mondial des armes a augmenté de 30% entre 2008 et 2012, passant de 56,5 à 73,5 milliards de dollars, et pourrait même doubler d’ici 2020 si cette progression se poursuit à ce rythme.
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Coeur de pirate
Juin 27, 2013 @ 16:22
http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/263091-syrie-missiles-manpods-us-entre-les-mains-d-al-nosra
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Coeur de pirate
Juin 27, 2013 @ 16:25
Complètement cinglés. Ils livrent n’importe quoi à n’importe qui.
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gilgamesh
Juin 27, 2013 @ 16:38
Un avion de ligne touché par un missile donné aux déchets de l’ASL? pas sûr que cela suffise à affoler les EU mais un avion israelien qui traine touché par un missile? elle est propre cette guerre Moshe?
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Venus
Juin 27, 2013 @ 17:28
Espérons qu’ils vont fonctionner à l’envers.
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hussaff
Juin 27, 2013 @ 16:17
Washington et Cie veulent ouvrir un nouveau front du conflit syrien au Liban:
Les États-Unis et leurs alliés s’emploient à ouvrir un nouveau front du conflit syrien à l’intérieur du Liban. Ce pays vit dans l’incertitude à cause de l’absence de gouvernement et du report des élections législatives. Pour compliquer la donne, de nombreuses personnalités sécuritaires sont passés à la retraite et le gouvernement de transition n’est pas en mesure de les remplacer.
L’intervention du Hezbollah dans le conflit syrien a donné un coup de pouce au gouvernement contre les forces rebelles qui tentent d’envahir la Syrie. Cela a porté l’attention des États-Unis et de leurs alliés sur le Liban, comme nouveau champ de bataille. Des roquettes sont également tirées par les rebelles syriens contre des bastions du Hezbollah et contre des villages chiites. Le but est d’allumer les flammes de la discorde entre chiites et sunnites au Liban.
Le drapeau d’Al-Qaïda flotte au Liban depuis des années. On peut le voir à Tripoli et dans certaines zones à l’intérieur de Beyrouth. Depuis le conflit syrien, on peut apercevoir l’étendard d’Al-Qaïda flotter au vent, aux côtés du drapeau des insurgés syriens. Les États-Unis et leurs alliés ont fermé l’œil sur l’appui que le Courant du futur de Saad Hariri fournit à Al-Qaïda.
Il est intéressant de noter que l’actuel chef du Département politique de l’Onu, Jeffrey Feltmann, autrefois ambassadeur américain au Liban, a également ignoré cet appui. La famille Hariri a eu une longue alliance avec les takfiris et les partisans d’Al-Qaïda. Ils ont été les alliés politiques, au Liban, de groupes qui considèrent ouvertement ben Laden comme un grand leader.
C’est la famille Hariri et son courant qui ont introduit au pays du cèdre les combattants qui formeront, plus tard, Fatah Al-Islam. L’exploitation des milices takfiries au Liban par la famille Hariri était destinée à combattre le Hezbollah, après qu’Israël eut échoué en 2006.
La deuxième ville du Liban, Tripoli, a été le théâtre d’intenses combats entre la communauté alaouite, et les takfiris alliés des Hariri, qui se sont ouverts aux partisans d’Al-Qaïda et aux rebelles syriens. Sidon, la troisième ville du pays, a également connu des affrontements entre Ahmed Al-Assir, un allié de Hariri, et les partisans du Hezbollah. Les hommes d’Al-Assir ont même essayé de tuer l’un des principaux dignitaires sunnites de Sidon, Maher Hammoud, car il a toujours œuvré pour l’unité musulmane et libanaise et mis en garde contre la discorde entre chiites et sunnites au Liban et dans la région.
Mahdi Darius Nazemroaya, sociologue et chercheur associé
Global Research (Centre de recherche sur la mondialisation)-Traduit par Médiarama
Source: Sites web
27-06-2013 – 09:34 Dernière mise à jour 27-06-2013 – 09:34 | 699 vus
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=18&frid=18&eid=118089
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Venus
Juin 27, 2013 @ 17:30
Hariri c’était et la famille sans doute aussi un ami de Chirac, ils ne vivent pas dans un de ces appart ?
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Abdessamad Zoubiri
Juin 27, 2013 @ 18:40
ci, ces des traître a leur nations les hariri!!
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gilgamesh
Juin 28, 2013 @ 6:09
bah oui face à la tour Eifel avec un flic en faction en bas…c’est l’appart de ce traitre d’Hariri
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EMA
Juin 27, 2013 @ 16:04
La France, la France, la France et ses mauvais conseillers… voilà vos amis américains en Afrique, qui commencent déjà à lorgner sur vos valises françafricaines….
On dit des gens qui disent qu’il faut respecter l’Afrique, qu’ils sont anti-français; moi je ne crois pas au regard de l’histoire d’une Chine qui s’y est facilement implantée et d’une Amérique du Brésil aux USA qui veut combler le laisser aller de l’Europe de l’ouest.
Et ce n’est pas finit, la compétition ne fait que commencer, à l’Afrique de savoir en tirer profit.
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Gobel
Juin 27, 2013 @ 16:02
Nelson Mandela, un révolutionnaire au pays de la révolution du 1er novembre
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La victoire en Syrie, question de vie ou de mort pour la monarchie saoudienne?
juin 26, 2013
http://mounadil.wordpress.com/
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Cheikh Si Mimoun
Juin 27, 2013 @ 17:24
Et oui. Quand l’ANC était classée organisation terroriste et Mandela chef terroriste et que 99,9999 % de la population occidentale n’en avait jamais entendu parler, il était l’invité d’honneur du président (Ben Bella à l’époque) chaque vendredi au palais du peuple pour le couscous. (Rapporté par Ben Bella).
Dans ses mémoires, Mandela parle avec élégance et amitié de cette époque et notamment des exercices de tir et maniement d’armes.
« 3lamnahoum eslat, seb9ouna lel 7sira ». 😉
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Gobel
Juin 27, 2013 @ 18:03
Sahi Cheikh
Mandela c’est quelqu’un, un grand, autrement l’khrayn c’est du 9achi rachi_ twakal’houm 3am i3hachouk ldjaja. Cot cot cooot. biti biti.
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Gobel
Juin 27, 2013 @ 18:03
Sa7it
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Bismuth
Juin 27, 2013 @ 15:58
En attendant, de nombreux Sud-Africains patientent devant l’hôpital. « Nous devons le garder dans nos prières et laisser le Tout-Puissant décider du reste, et espérer qu’il va continuer à nous bénir de sa présence parmi nous…
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Bismuth
Juin 27, 2013 @ 15:57
En attendant, de nombreux Sud-Africains patientent devant l’hôpital. « Nous devons le garder dans nos prières et laisser le Tout-Puissant décider du reste, et espérer qu’il va continuer à nous bénir de sa présence parmi nous, et bien sûr chercher à l’imiter dans ce qu’il a fait de mieux », a de son côté déclaré à la radio le vice-président Kgalema Motlanthe.
http://www.atlantico.fr/pepites/nelson-mandela-famille-est-reunie-dans-village-enfance-767825.html
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Coeur de pirate
Juin 27, 2013 @ 15:49
A lire absolument :
http://www.voltairenet.org/article179151.html Russie-USA : la fin du reset ?
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farid l'Algérien
Juin 27, 2013 @ 15:27
Un terroriste éliminé par les de sécurité durant la nuit de mardi a Tizi-Ouzou en Algérie
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Bismuth
Juin 27, 2013 @ 16:06
Pour comprendre les relations internationales, il suffit parfois d’avoir bien suivi ses cours de science au lycée. Le site de l’hebdomadaire britannique The Economist vient de publier une vidéo intitulée le «compteur de la fin du monde», qui ressemble effectivement à un cours de physique plein de schémas pour mieux comprendre l’enjeu central des très fortes tensions entre l’Iran et l’Israël: l’avancée programme nucléaire iranien.
http://www.slate.fr/lien/74501/nucleaire-iranien-compteur-fin-monde
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veloceexpress
Juin 27, 2013 @ 15:20
A reblogué ceci sur Veloce Express Transport.
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Natacha
Juin 27, 2013 @ 15:16
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Affaire al-Durah : le journaliste Charles Enderlin remporte une nouvelle victoire judiciaire
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La cour d’appel de Paris a confirmé ce mercredi la condamnation pour diffamation de Philippe Karsenty, qui accusait France Télévisions et le journaliste Charles Enderlin d’avoir truqué un reportage diffusé en 2000…
Près de treize ans après la diffusion d’un reportage de France 2 sur l’assassinat en direct d’un enfant palestinien par les soldats israéliens à Gaza, la cour d’appel de Paris a confirmé le jugement du tribunal correctionnel du 19 octobre 2006, qui condamnait Philippe Karsenty pour diffamation.
Le directeur de l’agence Media Ratings avait accusé France 2 d’avoir « truqué » un reportage de Charles Enderlin, correspondant permanent de la chaîne, diffusé le 30 septembre 2000. Celui-ci montrait la mort en direct de Mohammed al-Durah, un enfant palestinien, tué par des balles israéliennes, dans les bras de son père blessé.
Ces images, qui ont fait le tour du monde, ont suscité l’émoi des spectateurs et ont dévoilé la réalité du conflit israélo-palestinien mal couvert par les médias occidentaux. Philippe Karsenty dénonçait alors « une supercherie » et une « imposture », allant jusqu’à évoquer « la fausse mort » de l’enfant. Pour ces propos, il est attaqué en diffamation par Charles Enderlin en 2005. Le tribunal correctionnel donne raison au journaliste en 2006. Philippe Karsenty fait appel.
Après l’annonce de la confirmation de sa condamnation ce mercredi, Charles Enderlin et France Télévisions « se félicitent », dans un communiqué envoyé par le groupe, « de cette décision qui après des années de procès vient sanctionner une atteinte grave à l’honneur d’un journaliste ».
Source: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Affaire-al-Durah-le-journaliste-Charles-Enderlin-remporte-une-nouvelle-victoire-judiciaire-18837.html
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l'emmerdeur
Juin 27, 2013 @ 15:03
Aaron Russo : le but du Nouvel ordre mondial. (ex ami de rockefeller)
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Cheikh Si Mimoun
Juin 27, 2013 @ 14:34
Tout ça, c’est la faute à Sarko et son porte-plume Guaino.
« L’Afrique n’est pas entrée dans l’histoire » qu’il a dit.
Ben le Sénégal va leur expliquer le sens de l’histoire : China et/ou USA.
A mon avis, ce matin, il y a épidémie de jaunisse à Paris dans les milieux de l’Afrique à papa.
Tant qu’à faire, il vaut mieux avoir à faire au bon dieu qu’à ses saints et encore moins à ses diablotins.
Quand on pense que Balkany, un repris de justice franco-hongrois, lui aussi, est devenu un temps le « Monsieur Afrique » de la 5ème république, qu’on refuse un visa pour un voyage d’études à un prof de l’université de Dakar, et que la France-Afrique est devenue synonyme de valises de billets, il y a de quoi se décider à regarder ailleurs, à l’est, à l’ouest ou au sud.
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Natacha
Juin 27, 2013 @ 14:22
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L’humanitarisme d’Obama sert de façade aux objectifs stratégiques de l’État profond US : le cas de la Syrie
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Le vaste programme d’espionnage PRISM de la NSA récemment révélé par le lanceur d’alertes Edward Snowden, qui aurait débuté dès février 2001, soit six mois avant le 11/9, pourrait-il expliquer en partie l’uniformisation du positionnement des grands médias américains, voire occidentaux, sur les attentats terroristes de New York et Washington ? A-t-il permis de fournir à certains les moyens indiscrets de faire pression sur les personnages clefs du monde journalistique, politique, judiciaire US, et d’établir cette hallucinante « voix unique » sur les grands enjeux de notre époque, dont le 11/9, mais aussi le cas du président syrien Bashar al-Assad, font partie ? Voici l’analyse qu’en donne la co-fondatrice (avec David Ray Griffin) du 9/11 Consensus.
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Cet article étudie les liens entre les différentes interventions étrangères en Syrie, le programme de surveillance généralisé de la NSA dévoilé récemment, et toute la série d’événements qui débute par les nouveaux programmes [de surveillance] de la NSA en février 2001 – six mois avant le 11-Septembre. Ces liens sont tout à fait révélateurs.
À la mi-juin 2013, l’administration Obama a annoncé qu’elle allait armer les rebelles qui se battent contre le gouvernement syrien, expliquant que le régime de Bashar al-Assad avait « franchi la ligne rouge » en utilisant des armes chimiques – qui auraient, selon certaines estimations, fait entre 100 et 150 victimes parmi les rebelles.[1]
Mais ce que l’on ne nous dit pas, c’est qui est Bashar al-Assad, pas plus qu’on ne lui donne la parole dans les médias américains.
Assad est un médecin à la personnalité plutôt affable, diplômé à Damas en 1988, qui a par la suite suivi une formation de quatre ans en ophtalmologie à Londres. Lorsque son père, le président syrien Hafez al-Assad, meurt en 2000, Bashar est à son tour élu président par une large majorité de la population, et est largement réélu en 2007.
Les médias de masse ne nous expliquent pas qui est l’homme qui se cache derrière le président Bashar al-Assad.
Il est marié à Asma al-Assad, née à Londres et qui a suivi une éducation toute britannique avant de travailler dans une grande banque d’investissement. « Elle a été décorée de la médaille d’Or de la République italienne pour son œuvre humanitaire en 2008, et a reçu un diplôme d’honneur en archéologie de l’Université La Sapienza à Rome. »[2]
Bien que ses interviews par des journalistes indépendants montrent un Bashar al-Assad poli, rationnel, affable et parlant couramment l’anglais, il n’apparait pratiquement jamais sur les grandes chaines de télévision US.
Dans ce contexte, il est assez émouvant de regarder son interview de 18 minutes faite par le reporter allemand Jürgen Todenhöfe et datant de juillet 2012, et d’entendre la description qu’il fait des rebelles soutenus par l’étranger, et dont la violence a provoqué la mort de milliers de Syriens qui soutenaient l’État syrien.[3]
De même, il faut écouter son interview de cinq minutes par le Sunday Times, faite le 3 mars dernier, où il explique que tant que les Britanniques fourniront des armes aux rebelles pour sauver la Syrie de la « dictature répressive », « les pyromanes ne pourront pas être considérés comme des pompiers. »
Lors d’une récente interview à la télévision allemande, Bashar al-Assad (dont nous savons qu’il est médecin) évoque le sujet controversé des armes chimiques – qualifiées d’ « armes de destruction massive » – dans les combats au sol. Il poursuit en expliquant que l’aide financière extérieure reçue par les rebelles ne fait que « mettre de l’huile sur le feu. » [4]
De fait, Aron Lund, un observateur suédois de l’opposition syrienne, a dressé la liste d’une dizaine de groupes rebelles, dont les plus importants sont financés par l’Occident, les États du Golfe, ou encore la Turquie. L’armée syrienne libre forte de 80 000 hommes (aussi appelée « Conseil militaire suprême) « a été créée en décembre 2012 après que l’Occident et les États du Golfe eurent fait pression pour qu’elle devienne la branche militaire du groupe des exilés syriens, aussi appelée « Coalition nationale. »[5]
Pour comprendre pourquoi les médias occidentaux, sous l’influence écrasante du Pentagone, ont cherché à diaboliser M. Assad, le faisant passer pour un dangereux criminel assassinant son propre peuple,[6] il faut revenir à une entrevue de 2006 du Général Wesley Clark, ancien commandant suprême des Forces armées de l’OTAN en Europe (1997-2000).
S’exprimant le 2 mars 2007 face à Amy Goodman, de Democracy Now, Wesley Clark explique qu’environ dix jours après le 11-Septembre, il a rendu visite aux membres de son ancienne équipe au Pentagone. Ces derniers lui ont alors dit, à mots couverts, que les US s’apprêtaient à entrer en guerre contre l’Irak – pays qui n’avait pourtant, selon eux, aucun lien avec le 11/9 – et qu’ils ne connaissaient absolument pas les raisons de cette volonté guerrière.[7]
Quelques semaines plus tard, Wesley revint au Pentagone et apprit que les USA projetaient d’envahir sept pays du Moyen-Orient dans les prochaines cinq années : l’Irak, la Syrie, le Liban, la Somalie, le Soudan, la Libye et l’Iran. Il a ajouté : « S’il n’y avait pas de pétrole là-bas, ça serait comme pour l’Afrique. Personne ne menace d’intervenir en Afrique. » [8]
Ces objectifs précoces de guerres d’invasion, qui selon Clarke auraient été avancés au lendemain du 11/9, soulèvent un certain nombre de questions au sujet des attaques à l’anthrax survenues le 18 septembre 2001.
Les lettres contenant les spores mortelles avaient été adressées, entre autres, aux sénateurs démocrates Tom Daschle (leader de la majorité démocrate au Sénat) et Patrick Leahy [fervents opposants au PATRIOT ACT – NdT]. Durant cette période de panique générale à Washington, le PATRIOT ACT, un document de 342 pages, fut promptement soumis au Congrès et approuvé le lendemain.[9]
Il a été amplement démontré depuis, que les spores extrêmement élaborées contenues dans les lettres à l’anthrax provenaient d’un laboratoire militaire US et étaient bien trop sophistiquées pour avoir été produites par un laboratoire non militaire ou par un individu isolé.
Mais si nous revenons au début du super-programme de surveillance de la NSA, que beaucoup placent souvent juste après le 11-Septembre, comme un avant-goût du PATRIOT ACT, nous allons voir qu’en réalité il a commencé en février 2001, quelques semaines après l’arrivée au pouvoir de l’administration Bush.
M. William Binney, retraité de la NSA qui a passé 40 ans dans cette agence, explique que toutes les compagnies de télécommunications ont eu l’obligation à cette époque de collecter des données sur leurs clients. L’une de ces compagnies, Qwest Communications, a refusé d’obtempérer, et son PDG, Joe Nacchio, est toujours en prison pour de fausses accusations de délits d’initiés.[11]
M. Binney a bien insisté sur le fait que personne aux USA n’était à l’abri de ce programme. Même les juges étaient enregistrés à leur insu, et cela permettait de faire chanter n’importe qui, il suffisait de sortir quelques informations personnelles à leur sujet.[12] Les implications sont effrayantes. Combien d’élus ou d’officiels de l’administration ont été, ou peuvent être – ainsi menacés de chantage ?
Ainsi, le jour du 11 septembre 2001, l’ « État profond » était armé et pouvait faire pression sur la population US d’une façon que Binney lui-même qualifie de « J. Edgar Hoover puissance 10 ».[13]
A partir de là, les médias grand public ont progressivement adopté la position US selon laquelle il fallait sauver les pays du Moyen-Orient ravagés par les guerres civiles causées par des dictatures répressives, au nom de critères humanitaires énoncés par les démocraties éclairées de l’Occident.
De fait, le correspondant Mark Hosenball de l’agence Reuters écrivait en août dernier que « le président Obama a signé un décret autorisant le soutien US aux rebelles dans le but de faire tomber le président syrien Bashar al-Assad et son gouvernement. »[14]
Le journaliste de Reuters poursuit : « De récents rapports sur la région indiquent que l’influence et le nombre de militants islamistes, dont certains sont liés à al-Qaïda ou à des organisations connexes, sont de plus en plus importants parmi les opposants à Assad. »[15]
Le 17 juin 2013, CNN confirmait la présence d’al-Qaïda :
Un analyste spécialiste de la région a déclaré à CNN que « les militants liés à al-Qaïda sont désormais les groupes terroristes les mieux armés sur le sol syrien, selon les propres termes employés officieusement par les agences de renseignement US et du Moyen-Orient. »[16]
En mai 2013, l’ancienne traductrice du FBI et célèbre lanceuse d’alertes Sibel Edmonds a affirmé que « Ben Laden, ainsi que son lieutenant, numéro deux d’al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, avaient tous deux travaillé pour le gouvernement US pendant les trois mois qui ont suivi le 11-Septembre dans le but de coordonner la déstabilisation de la région du Caucase. »[18]
À la lumière des faits énoncés ci-dessus, liant al-Qaïda au gouvernement US, il est impératif de réexaminer le 11-Septembre, qui fut l’événement déclencheur de l’actuelle guerre contre la terreur.
En réalité, certains ont déjà commencé à faire ce nouvel examen du 11/9.
De nouvelles recherches factuelles sont menées par un groupe académique composé de 24 membres et dénommé le 9/11 Consensus Panel. [19] Celui-ci a développé 32 Points de Consensus remettant en cause les déclarations officielles sur la façon dont les choses se sont passées ce jour-là. Le Panel fait appel à un modèle standard d’évaluation d’indices très utilisé dans le milieu de la médecine, le but étant de fournir les éléments probants les plus solides à destination des médias et du public concernant la remise en cause de la version officielle du 11/9.
Les coûts gigantesques des guerres au Moyen-Orient, ajoutés à l’espionnage de plus en plus intrusif et généralisé des citoyens, devraient pousser tous ceux attachés à la démocratie à étudier ces éléments accablants mis en évidence par le 9/11 Consensus.
En ce qui concerne la Syrie, posons-nous la question : en quoi cela relève-t-il de la responsabilité des États-Unis d’intervenir dans une guerre civile interne à un pays souverain ?
Si le motif de l’intervention humanitaire est avancé, alors pourquoi cela ne fait-il pas l’objet d’une mission de maintien de la paix supervisée par les Nations-Unies ?
Elizabeth Woodworth
Source: http://www.mondialisation.ca/lhumanitarisme-dobama-sert-de-facade-aux-objectifs-strategiques-de-letat-profond-us-le-cas-de-la-syrie/5340385
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de maistre
Juin 27, 2013 @ 14:16
L’aventure syrienne du président Morsi
EXCELLENT ARTICLE DE Mr AHMED BENSAADA
http://www.reporters.dz/index.php?option=com_content&view=article&id=2368:laventure-syrienne-du-president-morsi&catid=5:grand-angle&Itemid=6
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kawa
Juin 27, 2013 @ 14:00
Je reposte ici, dans l’espoir d’une réponse sourcée… la visite d’une délégation de l’Aipac en Tunisie. Y’a t’il un lien selon toi, entre l’entité sioniste et le gouvernement actuel ?
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charles
Juin 27, 2013 @ 13:37
Obama va finir sa visite au continent Africain ( 3 sur 54 pays) en Afrique du sud de Mandela!!
Ce jour, il visitera la maison des Esclaves au Sénégal, Bravo. Mais il y a aussi des mêmes au
21 ème siècle, exemples: la Maison de Guantanamo et La Grande Prison à ciel ouvert dit Gaza…etc
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FORCEDUCIEL
Juin 27, 2013 @ 13:34
SALUT A TOUS,
J’ai très mal quand je vois que tout le monde a tendance à oublier la plus grande réalisation de l’Antéchrist pour le continent Africain.
L’Antéchrist a brisé le rêve africain; il a fait assassiné le Père de l’unité Africaine. Depuis ce jour là, on se sent comme de la merde, on n’a droit à rien, on ne peut rien décider, les autres décident pour nous ce qui satisfait leurs intérêts.
Nous sommes du bétails à la disposition des grandes puissances; nous ne servons qu’à régulariser leur économie et après on n’est bon pour la poubelle ou pire, pour être massacré.
Aucun président de ce beau pays avant lui n’a fait tant de mal à l’Afrique.
Je doute très fort que Nelson Mandela sollicite la présence d’un mauvais esprit, voir d’un démon autour de lui avant de quitter ce monde.
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karanga
Juin 27, 2013 @ 14:31
La preuve en est que Mandela a préféré partir plutôt que de rencontrer l’Antéchrist anti-africain.
Quand il a organisé son voyage, ce criminel pensait pouvoir faire une belle photo avec ce grand homme qu’est Mandela, ce grand homme a préféré faire mille kilomètres dans la poussière du désert de Tunis à Tripoli pour rencontrer le Guide kaddafi alors sous embargo aérienne, plutôt que de renoncer à cette rencontre.
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de maistre
Juin 27, 2013 @ 13:33
excellent article de Mr AHMED BENSSADA à lire absolument
L’aventure syrienne du président Morsi
Les égyptologues nous racontent que le pharaon Aménophis II, fils du grand Thoutmôsis III, a été contraint de mater une rébellion aux confins de la Syrie actuelle. La révolte écrasée, il rentra triomphalement chez lui avec des milliers de prisonniers, dont sept princes syriens, qu’il avait personnellement exécutés avec sa propre massue. Il accrocha leurs corps sur la proue de son vaisseau et les ramena jusqu’à Thèbes (aujourd’hui Louxor) où six d’entre eux furent exposés sur les murs du temple de Karnak. Le corps du septième malheureux fut traîné jusqu’en Nubie et subit le même sort atroce que celui de ses compatriotes « pour servir d’exemple aux princes éthiopiens et pour leur apprendre à respecter l’autorité du maître » [1].
Bien des siècles plus tard, le président Morsi se retrouve dans une situation analogue. Il aurait bien aimé mener une campagne punitive contre le président Bachar, ramener sa dépouille ainsi que celles de quelques-uns de ses proches pour les exhiber comme trophée de guerre sur la place
Tahrir. Suivant les courbes de son fleuve mythique, il aurait ensuite sillonné le pays vers le sud, traînant avec lui les restes du président syrien, traversé les frontières et atteint les rives lointaines du lac Tana où nait le Nil bleu pour montrer aux Éthiopiens qui est le vrai maître des eaux du Nil. Mais, n’est pas Aménophis qui veut. Le président Morsi excelle plus dans le chapitre de la gesticulation que dans celui de la témérité. En effet, depuis son élection, il s’est évertué à appuyer sans réserve les insurgés syriens espérant avoir rapidement « la tête » du président Bachar qu’il aurait tant aimé « épingler » sur son piètre bilan présidentiel et, du coup, faire plaisir à ses bailleurs de fonds, à la confrérie des Frères musulmans dont il est issu et aux islamistes égyptiens de diverses sensibilités. D’un autre côté, il essaie de montrer ses « griffes » à la « méchante » Ethiopie qui veut sa part des eaux du Nil, faisant fi de vieux traités qu’elle juge obsolètes. A cet égard, le discours explicitement va-t-en-guerre du président égyptien et de ses partisans islamistes est non seulement étonnant de la part de responsables d’un pays de l’envergure de l’Egypte, mais ne sied guère aux règles élémentaires d’une diplomatie responsable et efficace.
A vrai dire, Morsi n’a rien à voir avec Aménophis, si on en juge par le grand nombre de bourdes politiques qu’il a commises durant sa première année de magistrature, si bien que certains journalistes se sont questionnés sur « ses capacités d’homme d’Etat » [2]. Et cela sans compter ses agissements aux antipodes de la bienséance en visite officielle [3], ou d’autres aspects personnels, encore plus gênants pour l’étiquette et l’aura présidentielles, fussent-elles d’un pays comme l’Egypte [4].
Il est important de noter, d’autre part, que parmi les pays de la région qui aident activement la rébellion syrienne et qui n’ont comme unique option politique que celle de l’anéantissement du président Bachar, la presse internationale a coutume de mentionner le Qatar, l’Arabie saoudite ou la
Turquie. Très rarement le nom de l’Egypte n’est cité, alors que les positions de ses dirigeants islamistes « post-printaniers » sont aussi intransigeantes que celles des pays évoqués, voire plus.
Tels les « Onze d’Athènes » qui faisaient en même temps office de policiers et de magistrats dans l’antique cité grecque, onze pays se sont rencontrés à Doha le 21 juin 2013 pour « coordonner l’aide aux rebelles syriens » [5]. A côté des cinq pays occidentaux membres du G8 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie), étaient présents : le Qatar, l’Arabie saoudite, la Turquie, la Jordanie, les Emirats arabes unis et, bien sûr, l’Egypte. Selon certaines sources, seules l’Allemagne et l’Italie n’ont pas été d’accord sur l’apport d’aide militaire aux insurgés syriens [6].
Quelques jours avant cette réunion des « vrais » amis de la Syrie (les amis « tout court » étaient bien plus nombreux lors des rencontres précédentes), le président Morsi avait annoncé la rupture « définitive » des relations diplomatiques de son pays avec la Syrie et a « exhorté la communauté internationale à instaurer une zone d’exclusion aérienne en Syrie afin de favoriser les rebelles contre les forces gouvernementales » [7]. Rappelons à ce titre que même l’administration Obama avait rejeté cette idée, la jugeant inadaptée à la situation syrienne [8].
Cette décision, prise le 15 juin 2013 par Morsi, dans un stade du Caire, devant un parterre d’islamistes acquis à sa cause, n’est en fait qu’un jalon de plus dans sa politique de soutien sans réserve aux opposants syriens.
Le président égyptien n’a jamais changé de cap depuis son accession à la magistrature suprême. Et cela a commencé dès son discours d’investiture du 30 juin 2012 à l’université du Caire, tout juste après avoir prêté serment comme premier président égyptien élu. Il avait alors déclaré : « Nous soutenons le peuple syrien. Nous voulons que l’effusion de sang cesse » [9].
Par « peuple syrien », il entendait « rébellion syrienne » et l’histoire nous a montré que, depuis, le sang syrien n’a malheureusement jamais autant coulé.
Et les chiffres sont éloquents à ce sujet : d’août 2012 (soit quelques semaines après le discours d’investiture de Morsi) à aujourd’hui, le nombre de victimes syriennes est passé de 25 000 [10] à 93 000 et celui des réfugiés de 200 000 à plus de 1,6 million [11]. Comme dans ce genre de conflit, ce sont les populations civiles qui sont les plus touchées, il va sans dire que la politique étrangère du président « frériste » est au moins aussi catastrophique que celle qu’il prône à l’intérieur de son pays. En une année, Morsi a réussi à créer un climat d’insatisfaction populaire généralisée comme en témoignent les millions de signatures recueillies par une pétition appelant à son départ [12].
Désirant prendre le leadership dans le contrôle de la rébellion syrienne, Morsi et son administration ont favorisé la création, au Caire, du Conseil pour la révolution syrienne (CRS), un nouveau groupe d’opposition constitué de dissidents syriens. Créé à peine un mois après l’investiture du président égyptien, le CRS était censé proposer une alternative au Conseil national syrien (CNS) qui faisait face, à l’époque, aux dissensions intestines de l’opposition syrienne [13] et former un gouvernement en exil basé au Caire [14]. Vivement critiquée par l’Armée syrienne libre (ASL), cette initiative n’a pas eu l’effet escompté et les desseins secrets de Morsi n’ont pas dépassé le stade embryonnaire.
Morsi a aussi utilisé des tribunes internationales pour exposer sa « politique syrienne ». Ainsi, au 16e Sommet des pays non alignés qui s’est déroulé à Téhéran fin août 2012, il a créé un incident diplomatique en dénonçant le « régime oppressif » syrien devant les représentants des 110 délégations présentes à cet évènement. Mécontente de la teneur des propos de Morsi, la délégation syrienne avait quitté l’assemblée [15].
Juste quelques jours après cet incident, l’administration de l’opérateur de satellites de télécommunications égyptien semi-public Nilesat a décidé d’arrêter la diffusion des chaînes étatiques syriennes, officiellement à la suite d’une requête de la
Ligue arabe [16]. Néanmoins, cette rapide et sévère sanction n’a pas dû se faire sans l’approbation et la jubilation du gouvernement égyptien.
A ce sujet, il faut reconnaître que les islamistes égyptiens en général et les Frères musulmans en particulier ont la mémoire courte. En 2008, sous le « règne » de Moubarak, la chaîne de télévision satellitaire Al-Hiwar (très) proche de la confrérie avait aussi été bannie par Nilesat [17]. Cette mesure avait été prise par les plus hautes instances du gouvernement de l’époque, car la chaîne était jugée très critique à leur égard. Cette mesure avait d’ailleurs coïncidé avec la déclaration de Jamal Moubarak (fils de l’ex-président) dans laquelle il qualifiait certaines chaînes de « partisanes cherchant à porter atteinte à l’Egypte » [18].
Et quelle avait été la réaction des Frères musulmans ? Sur leur site, on peut encore lire : « Le bannissement de la chaîne Al-Hiwar de Nilesat contredit toutes les valeurs et les critères professionnels » [19]. Ne pourrait-on pas reprendre la même phrase pour les chaînes syriennes ? Surtout si l’on tient compte de l’omniprésence des dissidents syriens sur les plateaux de télévisions égyptiennes et du black-out total sur les informations provenant du gouvernement syrien.
Après sa démarche quelque peu hasardeuse avec la création du CRS, l’Egypte s’est reprise lors de la conférence de Doha de novembre 2012. Cette rencontre avait accouché sous forceps d’une « Coalition nationale de l’opposition syrienne » censée regrouper les différentes factions de l’opposition syrienne dans un organisme beaucoup plus fédérateur que le CNS. Bien que très réservée à l’égard de cette nouvelle entité [20], l’Egypte s’est engagée à lui offrir son hospitalité et abriter ses quartiers généraux au Caire [21]. De quoi toujours rester sur le devant de la scène dans le dossier syrien.
Interviewé par la chaîne américaine CNN en janvier 2013, Morsi a accusé Bachar de crimes de guerre contre sa population [22]. Faut-il rappeler que c’est ce même président égyptien qui, quelques mois auparavant, envoyait des lettres très chaleureuses au président israélien Shimon Peres, le qualifiant de « cher et grand ami » et d’« ami fidèle » [23] après tous les massacres perpétrés par l’Etat hébreu contre les Palestiniens ? Et que c’est ce même Morsi qui disait que « les juifs sont des suceurs de sang, des descendants des porcs et des singes » en 2010, alors qu’il n’était pas encore aux commandes du pays [24] ?
Malgré l’inexorable dégradation de la situation économique et financière de l’Egypte [25], Morsi et son gouvernement se sont engagés à aider financièrement la rébellion syrienne [26] lors de la récente rencontre des « Onze ».
Cette stratégie a été vivement critiquée en Egypte. Certains sont convaincus que Morsi utilise
le drame syrien pour détourner l’attention des problèmes économiques complexes, alors que d’autres pensent qu’il s’agit d’une vraie déclaration de guerre [27]. Dans une charge contre la politique syrienne de Morsi, le journaliste égyptien Moustafa Bakri a déclaré que « cette position, qui reflète la position de la présidence, est un aveu explicite que les dirigeants égyptiens au pouvoir sont impliqués dans la guerre contre la Syrie et qu’ils soutiennent officiellement l’envoi et la prise en charge de combattants tout en leur fournissant les garanties de ne poursuivre aucun d’entre eux après leur retour au pays » [28].
De son côté, le Mouvement du 6 avril, fer de lance de la contestation anti-Moubarak, a jugé que la rupture des relations avec la Syrie est un signe du manque de vision politique du président « alors que la situation en Syrie est compliquée et requiert avant tout une décision qui mettrait un terme au bain de sang » [29].
Il faut reconnaître que la politique suivie par Morsi et son gouvernement n’est nullement guidée par l’intérêt de l’Egypte, mais plutôt par celui de la Confrérie des Frères musulmans. Leurs accointances idéologiques avec les rebelles syriens sunnites, leur soif de vengeance pour les exactions commises par Assad père contre les Frères musulmans syriens, leurs relations privilégiées avec le Qatar, grand « argentier » des mouvements islamistes, leur lien « fraternel » avec le Cheikh Youssef
Al-Qardaoui, rédacteur en chef des fetwas pour le djihad en Syrie et prédicateur vedette de l’émirat du Qatar et, finalement, leur désir de plaire à tout prix à l’administration américaine afin de se maintenir au pouvoir sont les grandes lignes qui expliquent leur stratégie dans le dossier syrien.
Mais où est-elle donc alors cette volonté de travailler pour que cesse l’effusion de sang syrien ? Et qui se rappelle que du temps du président Nasser, considéré par les Frères musulmans comme un de leurs pires ennemis, l’Egypte et la Syrie ne formaient qu’un seul pays ? Dans le domaine de la politique intérieure, c’est du pareil au même.
Morsi et son gouvernement mettent au premier plan leur appartenance à la confrérie et leur désir de « frériser » la vie politique du pays les a amenés à procéder à des nominations controversées. Sur les 27 gouvernorats égyptiens, dix sont actuellement dirigés par des Frères musulmans [30]. A Louxor, la mythique Thèbes, joyau du tourisme égyptien, c’est Adel Mohamed Al-Khayat, un ancien chef du groupe islamiste radical Jamaa el-Islamiya, qui a été nommé gouverneur. En 1997, cette organisation terroriste avait revendiqué un attentat perpétré à Louxor. Bilan : 62 morts (58 touristes et 4 Egyptiens), dont certains ont été sauvagement achevés à l’arme blanche. L’immense tollé provoqué par cette nomination vient de contraindre le gouverneur fraîchement désigné (et ex-terroriste) à la démission [31]. Actuellement, l’opposition égyptienne semble galvanisée autour de la gigantesque manifestation qu’elle veut organiser le 30 juin 2013 pour demander le départ du président Morsi et l’organisation d’élections anticipées. Initialement pris à la légère par la confrérie, cet évènement, prévu après exactement un an de présidence de Morsi, commence à sérieusement l’inquiéter. Pourra-t-elle résister à cet ultime coup de boutoir ?
Produit du légendaire sens de l’humour égyptien, une blague de l’opposition a circulé sur la toile après la décision controversée du président Morsi : « Félicitations au peuple syrien ! Morsi a rompu ses relations diplomatiques avec vous. Nous espérons que le 30 juin, il les rompra aussi avec nous ! »
Dans ce cas de figure, et à défaut de ressembler à Aménophis II, Morsi suivra les pas de Mentouhotep VII dont le règne ne dura qu’un an. Malgré cela, on peut lire sur sa stèle érigée au temple de Karnak : « Je suis le roi au sein de Thèbes » [32].
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l'emmerdeur
Juin 27, 2013 @ 13:32
Obama traité d’hypocrite et de criminel de guerre par ses semblables
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Marie Adélaïde
Juin 27, 2013 @ 13:17
Assad : Fabius revient à la charge !!
IRIB- Le ministre français des AE a annoncé ce jeudi 27 /06 sur la radio Mont Carlo s’en tenir toujours au départ d’Assad comme condition sine qua non de la tenue des pourparlers de Genève II.
Fabius doute que cette conférence se déroule au mois de juillet bien que » les concertations entre la Russie et les États Unis et Brahimi se poursuivent »
Le ministre a prétendu que son pays n’a pas encore pris la décision de fournir des armes aux opposants d’Assad mais qu’il souhaite avant tout, qu’un équilibre de forces soit réétabli entre deux parties
« !! Fabius n’a pas dit combien de nouvelles vies va coûter ce « rééquilibrage de forces » entre une armée nationale qui défend son pays et des hordes terroristes soutenues par l’Occident. des missiles anti aériens US viennent d’arriver en Syrie.
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Bismuth
Juin 27, 2013 @ 13:05
MANDELA est éternel .et le restera .
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ODIN
Juin 27, 2013 @ 13:05
Excellente analyse d’AainJules. L’antechrist, c’est tout à fait cela. Moi, je l’appelle le MAU-MAU ( vous savez les hommes à la machette, qui découpaient leurs adversaires au Kenya dont il est originaire par son père.
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sowhat
Juin 27, 2013 @ 13:10
les mau-mau ça n’a rien à voir avec ces fantasmagories. C’était les résistants à l’occupation anglaise du Kenya. Vous ferez bien de vous renseigner …
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ODIN
Juin 27, 2013 @ 13:44
Post destiné à tous ceux qui désespèrent et perdent courage :
Allez sur RESEAU INTERNATIONAL et lire l’article : Les européens de l’Est entrent en croisade contre les extrémistes en Syrie
Ensuite lire sur le même site :
-Vont suivre des changements rapides et profonds à l’echelle planéraire. N’oublier pas de regarder les vidéos russes sur leurs moyens militaires. Je ne pense pas que nous sommes à la veille d’un triomphe Obama, Caméron, Hollande et des chameliers.
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Shérazad
Juin 27, 2013 @ 15:30
Bonjour à tous,
Si c’était vraiment le fils de d’Obama sénior, alors comment peut on laisser sa famille vivre dans un bidonville au Kenya quand on est président des USA ,considéré comme l’homme le plus puissant de la planète !!!
Pourquoi ??? Parce qu’il n’est pas le fils d’Obama sénior, son père se nomme Franck Davis Marshall l’amant d’ Ann Dunham mère de l’imposteur et agent de la CIA , excusez moi mais il est ce qu’on appelle communément un bâtard !!!
Un bâtard de la CIA de son vrai nom Barry Soetoro !!!
A savoir que Barry « Obama » a subi une rhinoplastie
Plus d’infos ici => http://globalepresse.com/2013/05/11/barack-hussein-obama-lhistoire-cachee/
Cordialement …
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Venus
Juin 27, 2013 @ 16:26
Wouah avec la rhinoplastie effectivement il ressemble bien plus à son père Soetoro.
Mais il a dû subir plus que çà car une fois j’ai vu de sacrés cicatrices crâniennes. Bon peut-être c’était un des sosies. Le robotisé qui bouge sa tête à droite à gauche comme si il était télécommandé. Vous avez pas remarqué ?
Ouh Shérazade super documentée vous êtes.Bravo !
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Shérazad
Juin 27, 2013 @ 17:18
Sacré Venus, bien sur qu’il est télécommandé du haut de la pyramide 😆
il ressemble bien plus à son père Soetoro.
Permet moi une petite correction ( on se tutoie si tu veux bien)
— Le géniteur , donc père de Barry ==> Franck Davis Marshall
— La mère du faussaire épousa Lolo Soetoro (il était colonel des forces armées indonésiennes lié à la CIA) en 1966 qui devint donc son beau père et adopta Barry à l’age de cinq ans …
Tiens encore des infos de chez Guy Fawkes , j’adore son blog (une petite pub au passage)
http://fawkes-news.blogspot.fr/2013/04/barack-obama-alias-barry-soetoro-le.html
Bien à toi Venus 😉
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Venus
Juin 27, 2013 @ 18:34
L’histoire d’Obama très très crédible. Tout petit la CIA s’est occupé de lui. Il a dû subir le MKUltra et il est devenu le Président qu’il voulait il y a d’ailleurs un film comme çà. Il doit avoir le cerveau scindé en plusieurs personalités.
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farid algerie
Juin 27, 2013 @ 20:25
Entre autre :
http://fawkes-news.blogspot.com/2013/04/barack-obama-alias-barry-soetoro-le.html
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Shérazad
Juin 27, 2013 @ 22:10
Bonsoir Farid
Merci, mais j’ai mis le lien de Fawkes News dans mon post juste au dessus en réponse à Venus…
@ Venus
J’ai oubliée de te dire que j’ai eu un très bon professeur , c’est pourquoi je suis super documentée comme tu dis , mais pas comme lui , il est une mine d’informations à lui tout seul , il s’appelle Columbo et j’ai énormément appris avec lui dans moult domaines, mon admiration et mon amitié lui sont acquises à tout jamais et crois moi Venus, c’est une chance énorme de l’avoir ici chez AJ …
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Venus
Juin 27, 2013 @ 13:05
Celui-là il a tué bien plus que l’esclavage et il met son propre peuple en esclavage avec ses caméras, ses drônes, ces camps de concentration FEMA etc….Et la violence policière qui règne la-bas est l’égal des esclavagiste voire pire puisque les policiers tuent sans vergogne, alors que les esclavagistes devaient faire attention à leur main d’oeuvre, le fouet devait suffire sinon un ouvrier en moins.
Obama l’esclavagiste des temps modernes.
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de maistre
Juin 27, 2013 @ 12:52
Le Qatar met Hollande en colère !
Le président est allé baiser la babouche de l’émir 48 heures avant son abdication. Entre perte de temps, humiliation et incompétence…
Ce n’est pas le genre à piquer des colères, mais François Hollande a fait connaître son mécontentement à ses conseillers à propos de sa visite officielle au Qatar. « On a affaire à une équipe d’amateurs », soutient un visiteur du soir du président de la République. Il est en effet pour le moins étonnant d’effectuer un voyage officiel à Doha la veille de l’abdication de l’émir. Hollande a rencontré des gens qui ne sont plus au pouvoir aujourd’hui ! C’est désormais le fils de l’émir qui dirige la pétromonarchie. Certes, ce prince francophile a été présenté à l’hôte de l’Élysée, mais on lui prête le dessein de tout chambouler au sein de la gouvernance de l’émirat. Premier signe du changement : l’ambassadeur de Doha à Paris va céder sa place à un membre de la famille royale. L’actuel représentant est considéré comme trop proche de Nicolas Sarkozy et de l’UMP en général. Au moins, en présentant ses lettres de créances au président, ce dernier aura alors tout loisir de faire sa connaissance. « Ça revient bien moins cher et c’est plus efficace que de se rendre en délégation au Qatar pour y voir des gens bientôt évincés de l’organigramme qatari », ironise un parlementaire du Groupe d’amitié France-Qatar. D’autant que pour François Hollande, comme pour ses conseillers, il suffisait de lire l’annonce de cette succession tranquille annoncée sur Le Point.fr dès le 5 juin dernier…
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farid algerie
Juin 27, 2013 @ 20:05
Normal, c’est la diplomatie du plus mauvais président de la Ve république.
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malcolm y
Juin 27, 2013 @ 12:46
ce serait vraiment triste et injuste pour ce grand homme qu’est Nelson Mandela que de partir de ce monde à coté de l’antéchrist
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Venus
Juin 27, 2013 @ 13:06
La lutte contre le sida ? Humm le fameux vaccin qui l’innocule……….Pas du tout confiance.
Afrique si tu veux sauver ta peau, prend tes vaccins en Russie.
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Michael
Juin 27, 2013 @ 13:32
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Venus
Juin 27, 2013 @ 16:14
Ah et bien çà c’est nouveau comme discussion. Jamais entendu !
Au niveau hygiène et sexe, il a oublié quelque chose de taille, que moi j’ai entendu d’une spécialiste à Nantes. Et je vous le donne vous en faites ce que vous en voulez.
Une femme qui pratique le sexe normalement même si elle va avec quelqu’un qui a le sida, a très peu de chance de l’attraper voire aucune, elle m’a bien dit aucune.
Par contre une femme qui aime la pratique de la sodomie est pratiquement certaine de l’avoir sinon elle est très chanceuse.
Je lui ai demandé pourquoi, ceci n’était pas dit. Elle m’a répondu, on ne veut pas stigmatiser « les musulmans » en me précisant que chez les européens c’était très peu répandu.
Cà je veux bien le croire sauf que avec les films porno les européens sont plus enclin à le demander aujourd’hui. Et çà devrait se savoir même si çà ne doit sauver qu’une femme.
Voilà pourquoi çà se répand tant chez les hommes. Si le sang entre t’es condamné. Si le sang sort, tu n’attrapes rien.
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Turko
Juin 27, 2013 @ 12:34
deu’z !
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khier
Juin 27, 2013 @ 14:34
Turko, il va falloir mettre le turbo!
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Estelle
Juin 27, 2013 @ 12:05
Prem’s !
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