FALSIFICATION. L’inquiétante et loufoque obsession de François Hollande pour la Syrie.

Posted on Juin 7, 2013 @ 10:04

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Didier François et Edouard Elias

Didier François et Edouard Elias

Avec la même morgue, celle qui a conduit à la mort du journaliste de France 2 Gilles Jacquier en Syrie, François Hollande montre ses muscles, quand il s’agit du pays de Bachar al-Assad. Dans la même dynamique que le précédent Gouvernement, l’actuel redouble d’effort, de façon morbide et mortifère, pour préparer l’opinion ou faire croire à celle-ci qu’il y a un diable qui sévit sur terre, le président syrien Bachar al-Assad. Deux journalistes français ont été enlevés en Syrie et, sans aucune réflexion, encore moins une enquête voire une information irréfragable, le président français exige « leur libération immédiate ». A qui s’adresse-t-il ?

Les « qui » ont enlevé les deux journalistes ?

Quand on sait qu’il y a eu des falsificateurs dits journalistes ou plutôt des espions n’agissant que pour le compte du Qatar en l’occurrence les agents gouvernementaux français sous couverts du journal Le Monde dernièrement en Syrie, on peut/doit douter. De la sincérité du président français, et de sa sortie ridicule. Si ces journalistes ont été capturés par le Gouvernement syrien, c’est légitime sur plusieurs points: un État souverain ne peut accepter que des intrus entrent dans son pays illégalement, Français soient-ils;s’ils étaient accompagnés de la horde de barbares que Laurent Fabius nomment outrageusement des »résistants ». Ceci dit, rien ne prouve que ce soit Damas qui a arrêté ces espions. C’est le cas de le dire…

A contrario, si demain il est avéré que ces deux larbins, au temps pour moi, ces deux journalistes ont été pris par les terroristes qui en veulent toujours plus, chaque jour davantage, il risque d’être très drôle le président. La haine du président syrien Bachar al-Assad qui est devenue leur leitmotiv, une obsession incontrôlée, frise la folie. Après avoir mis la barre très haut avec le mantra loufoque, aussi risible que pathétique « Assad doit partir ! », ils sont nus. Les parrains du terrorisme en Syrie échafaudent tous les scénarri imaginables et inimaginables. La dissonance de leur chanson « gaz sarin », mêlant castra, ténor, baryton et autres voix insipides, ne passe pas.

« Gaz sarin », la chanson de l’année.

Mauvais perdants, ceux qui disent parler au nom de la paix en Syrie, et qui refusent de dialoguer ne comprennent même plus leur propre inconsistance et incohérence. Hélas, ils font exprès. Piètre chanteur, incapable de poser la voix, ils chantent faux. Tout le temps. Au réveil, le matin, à midi et le soir. Sans discontinuer donc. Avec une facilité déconcertante, ils accusent, crient, aboient tels des chiens errants, perdent leur latin. Les couplets de la chanson écrite par les journalistes du journal Le Monde sont indécente et manquent cruellement d’inspiration. Musicalement comme sur la poésie. Car, sarin ne rime pas avec Assad n’en déplaise aux esprits chagrins qui cherchent le prétexte idéal piur faire tombe le président syrien, seul et unique but de la guerre imposée en Syrie parce que, lui, est un empêcheiur de voler le gaz en rond.

Au lieu de nous saouler avec le gaz sarin, ces deux journalistes, Didier François, envoyé spécial d’Europe 1, et Edouard Elias, photographe, qui ont été enlevés hier, jeudi, par quatre hommes armés entre les villes de Marea et Herbl avaient-ils des accréditations ? Non. Or, s’ila vaient ces dernières, le sort qui leur a été réservé n’allait jamais se produire car, ils seraient sous la protection de l’armée arabe syrienne…Alors les amis, vous voulez toujours armer ces terroristes ? 

Posted in: Actualité