Barack Hussein Obama a été réélu président des Etats-Unis mardi, surmontant de puissantes difficultés économiques, sans oublier qu’il a été épargné par la malédiction Kadhafi. C’est une victoire nette, claire et sans bavure, même si l’Amérique apparaît désormais comme une nation divisée.
En battant Mitt Romney, le président sortant a réalisé dans le Colorado, l’Iowa, l’Ohio, le New Hampshire, la Virginie et le Wisconsin, une razzia dans presque tous les États clés. Il bénéficierait d’un petit avantage en Floride (49,85% des voix, contre 49,29% pour Mitt Romney). Le président américain entre à nouveau à la Maison Blanche après avoir engrangé au moins 303 voix des Grands électeurs contre 206 pour Romney. Selon les derniers chiffres du vote dit populaire même, l’antéchrist africano-américain compte actuellement 54,773,837 voix contre 53,716,689 à son adversaire Mitt Romney…
Cette réélection avalise la culture de la violence dont le nouveau chantre est Barack Obama. Il met en avant ses drones pour tuer des civils à travers le monde. Bien évidemment, c’est un choix souverain du peuple américain. En revanche, nous pouvons le critiquer sans s’immiscer dans les affaires américaines. Tiens, cette nuit, j’ai rêvé que je lui disais d’arrêter ses velléités mortifères sur la Syrie et l’Iran…Qu’il s’occupe des Etats-Unis !
A noter, le grand perdant de cette élection n’est pas ma modeste personne, mais bien Israël, qui avait misé sur Mitt Romney. Le soi-disant chrétien Obama, va donc poursuivre son entreprise de « mortuaire dronelesque » -passez-moi l’expression-, et tuer encore plus d’Africains…
Nasser
Nov 8, 2012 @ 14:21
A LIRE
Par Badr’Eddine Mili
«Un nain nommé Longuet»
Tout le monde sait, y compris en France, le pays du mot de Cambronne, que la plupart d’entre eux, à qui on a enseigné, à l’ENA, les classiques du parfait gentleman en politique, usent et mésusent, à propos de tout et de rien, du langage le plus ordurier qui soit, ramassé sur les comptoirs de bar de la mafia niçoise et corse, chez les amis d’Estrosi, de Brice Hortefeux et de Pasqua.
Nous n’avons pas besoin de rappeler ici, dans quelles circonstances, les fameux «n’ayez crainte, madame, nous les nettoierons, tous, au karcher» et «casse-toi pauv’ con» sont entrés, en fanfare, dans le dictionnaire de la politique, dite autrement. L’exemple venant d’en haut, comment voulez- vous que l’intendance ne suive pas et que , sur les traces de l’ancien plus haut magistrat de l’Etat, n’importe quel vaguemestre, ayant détenu un maroquin, n’aille pas, lui aussi, de sa petite tirade, empruntée au verlan, le plus cru, du Bois de Boulogne ? L’opinion française, dans ses segments les plus malsains, en particulier ceux liés à la droite de la droite et au Front National, se reconnaît, pour l’essentiel, dans les rodomontades de ces nervis aux pieds d’éponge. C’est pourquoi, ils redoublent de férocité, en ces temps de crise économique et sociale, d’islamophobie, de délit de faciès et de «pain au chocolat» et surtout lorsqu’il s’agit de traiter de l’Algérie, cette arête qui leur est restée en travers de la gorge, depuis 1962. Et lorsqu’ils sont à bout d’arguments – ce qui est malencontreux pour un politicien dont le métier est d’en trouver, obligatoirement, même fallacieux – ils passent du cinéma parlant au cinéma muet, avec des gestes appris dans les boudoirs de Madame Claude. Lorsque j’ai vu cette séquence jouée, sur LCP, par un second rôle de comédie de boulevard, je n’ai pu m’empêcher de me rappeler le refrain du grand Brel qui martelait : «Les bourgeois, c’est comme les cochons, plus ils sont vieux plus ils deviennent cons…». Et ça vient nous rabacher le discours servi à la sauce de «Ya bon banania !» sur les bonnes manières et les bienfaits de la civilisation que la colonisation nous aurait laissés en héritage. Après cela, ne venez pas demander aux Algériens, pour apostropher ce genre d’énergumènes, de mettre des gants et d’aller puiser leurs réparties dans le lexique des mots en rond de Vauvenargues ou de Ronsard. Au contraire, et à l’allure où vont les choses, ils ne sont pas loin de penser qu’il y a des coups d’éventail qui se perdent, bêtement, dans la nature. En vérité, ce Longuet, un délinquant de droit commun, récidiviste, qui a rejoint, dès l’université, les escouades fascistes des barbouzes, exécuteurs des basses besognes et reconverti, par la suite, à la Chiraquie, en compagnie de la bande à Léo, appartient à la race des lâches qui ne manifestent leur hostilité qu’à distance. Il me rappelle les petites frappes de l’OAS qui ne s’en prenaient, les derniers mois de la guerre, qu’aux victimes algériennes isolées, les femmes de ménage et les garçons de café, Il faut avoir été taillé dans l’étoffe des fleurs bleues des romans de la Comtesse de Ségur ou dans celle de la pire espèce des imbéciles heureux pour croire, un seul instant, que les politiciens français, toutes tendances confondues, sortent d’un cloître de vierges ayant prononcé leur vœu de chasteté, la langue trempée dans le vocabulaire châtié d’Ignace de Loyola ou de St Thomas d’Aquin. travaillant, tôt le matin, dans les quartiers européens, mais qui détalaient, comme des lapins, sous les tirs des commandos du FLN-ALN, en criant «Maman ! Maman !». Ceci dit, et au-delà de la forme choisie par ce sous-fifre des Américains en Afghanistan et en Libye, pour exprimer sa haine de l’Algérie, ce qu’on doit en retenir — quand au fond — c’est que le problème de mémoire qui détermine les relations entre l’Algérie et la France demeure entier et que l’Etat français, dans ses strates décisionnelles, détentrices du pouvoir réel, reste très réticent et, même, opposé à une reconnaissance des crimes que ses gouvernements colonialistes ont commis contre notre pays, malgré le petit pas — partiel et, quelque part, ségrégationniste — effectué par le président François Hollande qui semble tenir compte des pesanteurs de cet état d’esprit, prisonnier qu’il est d’un fantasme collectif qui illusionne la France. Une France qui continue de croire qu’elle est, toujours, à la tête de son ancien Empire colonial et qu’elle peut l’activer à sa guise, en fonction de ses intérêts, ne songeant pas, un seul instant, qu’elle se trompe d’époque, s’arrogeant, de façon factice, le pouvoir de donner des leçons, comme dans le discours de Dakar, à des peuples restés, selon elle, en dehors de l’Histoire, même si cela a été, dernièrement, corrigé, du bout des lèvres, à Kinshasa. Artificiellement gonflée par le rôle de supplétif que les Etats-Unis semblent lui reconnaître, à leur traîne, elle peine à prendre la mesure du monde que de nouvelles puissances s’apprêtent à gouverner. Pas plus qu’elle ne veut admettre que l’ère des «il faut» de Mitterrand et de Kouchner est révolue et que l’Algérie est devenue une puissance de près de 40 millions d’habitants qui a son mot à dire, peu encline à s’embarquer dans n’importe quelle relation pérenne, sans poser ses conditions qui relèvent de la morale, de la dignité et des droits humains liés à l’Histoire. Une perspective qui n’a pas l’heur de plaire, aussi, à Collard, la doublure, le nouveau Tixier-Vignancourt, entré au Parlement, en entretenant, auprès des nostalgiques, la flamme de «l’Algérie française», abondamment illustrée, en ce cinquantenaire de l’Indépendance, par «des œuvres d’art» commises par les cinéastes et les historiens idéologues français, avec l’assistance active de certains de nos «intellectuels ». Et c’est là où le bât blesse, car si on doit, finalement, s’en prendre à quelqu’un, c’est bien à ceux qui développent, chez nous, des positions ambiguës, qui observent un silence gêné ou complice sur des questions de principe et qui apportent, de ce fait, de l’eau au moulin de ces Janus de droite qui tiennent, tantôt, le devant de la vitrine, tantôt, le fond de l’arrière-boutique, un peu à la façon de ce triste sire de Longuet, un manchot qui rêve d’avoir du jarret et qui se plante comme un pied. Heureusement qu’il y a, encore, des hommes, dans notre pays, pour lui remonter les bretelles ! Ça lui apprendra à jouer au mime Marceau !
B. M.
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/11/05/article.php?sid=141075&cid=41
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Lejournal Depersonne
Nov 7, 2012 @ 20:25
Amal & Obamal
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/11/amal-et-obamal/
Ce billet est le prototype d’une info scénario.
Pour illustrer, ici, la beauté du Diable,
le jour même de sa réélection !
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sidos
Nov 7, 2012 @ 19:49
Afghanistan: indifférence face à la réélection d’Obama
La réélection du président américain Barack Obama ne provoque guère que des haussements d’épaule en Afghanistan, où la population craint de voir le pays s’enfoncer encore plus dans la guerre après le départ des troupes de combat occidentales prévu d’ici la fin 2014. Durée: 00:56
http://fr.news.yahoo.com/video/afghanistan-indiff-rence-face-la-114408339.html
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Avic
Nov 7, 2012 @ 13:04
Qui a décidé que désormais il existe une malédiction Kadhafi? C’est drôle cette tendance à la superstition et à l’idolâtrie. Obama a été réélu. Et alors? Qu’est-ce que cela change? Il faudrait tout de même rappeler que Obama n’est que le bras armé d’un système qui peut se payer autant de bourreaux que nécessaire. En vouloir à un individu est non seulement infantile, mais c’est aussi faire le jeu du système dont la première tactique est d’individualiser les rapports géostratégiques pour noyer la réalité dans des considérations émotionnelles dignes des grands thrillers hollywoodiens.
Je n’arrive pas non plus à comprendre que l’on puisse penser que, parce qu’elle est dirigée par un noir, l’Amérique serait devenue tout d’un coup meilleure. Comme si la couleur de la peau avait des vertus particulières. Les exemples ne manquent pourtant pas, pour prouver le contraire: Wade, Campaoré (qui a été jusqu’à tuer son frère), Ouatara, pour ne citer que ceux-là.
La seule chose à savoir maintenant, c’est ce qu’il faire de son second mandat, avec moins de pressions.
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McLouf
Nov 7, 2012 @ 13:20
Très juste.
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Observateur rationel
Nov 7, 2012 @ 17:39
..ou il sera possible de lui faire payer tous ses crimes commis à l’aide des ses drones à travers le monde…contre des gens désarmés, sans jugement…parfois sans discernement…
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laa'kam
Nov 9, 2012 @ 0:00
OBAMA pleurait presque pendant son discours sur la pseudo mort du GUIDE.
Pourquoi?
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Vénus
Nov 7, 2012 @ 12:54
Vous les reconnaissez ?
https://plus.google.com/u/0/105742209790779216739/posts?cfem=1
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Vénus
Nov 7, 2012 @ 13:00
Ah zut c’était la photo de Bibi derrière notre Hollande national dans la position de la nuit de noce d’un mariage gay lol
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Vénus
Nov 7, 2012 @ 12:51
Hors sujet ? Non sujet international
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Vénus
Nov 7, 2012 @ 13:02
Y a pas un humouriste capable de nous déguiser notre Hollande en mariée avec le maire de Paris par exemple……Dommage que je suis nulle en dessin.
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Vénus
Nov 7, 2012 @ 13:06
Et puis un petit film sur une soucoupe qui serait faite en plasma comme nous, un type complètement fana, plus que moi, et moins trouillard aussi l’a filmé c’est un peu long, espagnol et anglais
http://yourtubenews.ning.com/forum/topics/ufos-ships-of-light-full-length-feature-film
Pour Obama attendons de voir, espérons qu’on aura de bonnes surprises, autour de lui il y a quand même beaucoup de personnes nocives qui ont dégagés. On en parle pas à la télé mais il y a un sacré ménage qui a été fait et bien d’autres encore à faire….
Ce n’est pas facile de savoir qui sont les bons qui sont les mauvais, qui commande qui, qui peut faire quoi ?
Malgré tout je pense que OBAMA est un moindre mal pour l’instant. L’autre c’était un Sarkozy bis
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strym
Nov 7, 2012 @ 12:28
un jr tu iras vivre en théorie, parce qu’en théorie tt va bien…a dit un retraité du mossad israelien né en 1948 à son ptit fils né en 1998 …
strym.
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strym
Nov 7, 2012 @ 12:27
tiendra t’il vivant jusqu’en 2016…?
strym.
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Yvette MARTIN
Nov 7, 2012 @ 10:11
Le démocrate Barack Obama est donc sorti victorieux de l’élection présidentielle américaine face à son challenger le républicain Mitt Romney. Décrochant par là-même un second mandat doublement historique, à la Maison Blanche, en tant que noir déjà et aussi en tant que démocrate. Les déçus de l’obamania au nombre desquels je me compte en auront eu pour leur verbe. On pourra ergoter, à n’en plus finir, sur sa victoire étriquée, et même sur le système de vote américain. Le gap entre le nombre de voix, dans le vote dit populaire et le nombre de voix en termes de grands électeurs. En somme l’ambiguïté entre le suffrage universel direct et le suffrage universel indirect. Mais le sort en est jeté! Il reste à espérer que le mélanisé Président, précocement nobélisé pour la paix lors de son premier mandat, se donne une toute autre et bien meilleure vision du monde et des relations internationales. Pour son bonheur à lui, celui des américains, et celui de la planète tout entière, dans une paix durable.
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veloceexpress
Nov 7, 2012 @ 10:11
Reblogged this on Veloce Express Transport.
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atahualpa
Nov 7, 2012 @ 10:08
IDIOCRATIE
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Estelle
Nov 7, 2012 @ 9:58
C’est vrai, c’est sans doute historique !
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Estelle
Nov 7, 2012 @ 9:54
Prem’s !
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